FREDSum / train /Autain_Attal_Bardella_Ciotti--Partie_5_Conclusion.json
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"Transcript": "P1 : Je vais vous demander à tous sa conclusion, Éric Ciotti. EC : Je crois que c'est une réforme nécessaire. P1 : est-ce que cette réforme passera, je vais être un peu plus précise dans la demande de conclusion. EC : Ça dépend du gouvernement. Ça dépend du gouvernement. Ça dépend de l'écoute qui sera apportée aux débats parlementaires et aux propositions. Nous, cette réforme, si nous avions été élus en 2017 dans les conditions que l'on connaît face à M. Macron, cette réforme, on l'aurait faite immédiatement, de façon moins brutale, de façon plus étalée dans le temps. Parce qu'elle est indispensable, je le redis, c'est cette question qu'il faut se poser, est-ce qu'elle est nécessaire, est-ce qu'elle est responsable? Bien sûr, qu'elle sera douloureuse. Elle est trop douloureuse parce qu'elle est trop tardive. Donc il faut remettre dans la perspective de parler aux 20 millions de retraités. Il y aura 20 millions de retraités en 2035. Je pense à eux, je pense au fait qu'on a le devoir de leur servir une retraite qui soit le juste retour de l'effort qu'ils ont fourni pour notre nation. P1 : Je n'ai pas très bien compris ce soir, Eric Ciotti, si vous allez aider le gouvernement à passer cette réforme. EC : Ce n'est pas la question d'aider le gouvernement. Moi, je souhaite voter cette réforme. Je le dis, très clairement, dans un esprit de cohérence, je souhaite une réforme. Elle est indispensable. P1 : Mais elle n'est pas pour l'instant abouti à vos yeux. EC : nous avons des amendements que nous avons déposés avec Olivier Marlex, avec les 62 députés du groupe des Républicains. On a obtenu une avance essentielle. Vous l'avez dit tout à l'heure. Petite retraite, il en reste une majeure sur les carrières longues, pas plus de 43 années de cotisation. C'est clair. P2 : qui coûte un million et demi, un peu plus. Un milliard. Un milliard, pardon. P1 : Vous avez le ministre des comptes publics. C'est possible ou c'est pas possible? GA : Il y aura un débat parlemental. La première ministre l'a dit tout à l'heure. Ce qu'on souhaite, encore une fois, c'est que le système nous permet de continuer à payer la pension des retraités. Il faut que ça... Non, mais on fait un petit tour de table. Regardez, j'espère, qu'ils ont pu suivre les échanges, même si ça a été compliqué parfois. Ce qu'on a vu, je crois, dans ce débat, d'abord, c'est que on ne conteste plus du côté de l'opposition le fait qu'il faut financer notre système pour pouvoir continuer à payer les pensions. Le fait que Mme Autain n'a pas contesté le fait qu'elle voulait augmenter massivement les impôts sur les Français qui travaillent et sur. CA : Le ridicule ne tue pas, M. Attal. Plus vous parlez, plus les Français ont envie d'aller manifester. GA : Ensuite, ce que je veux dire, c'est que nous, on propose une réforme, une solution. Et je ne dis pas qu'on a la science infuse, qu'on a la vérité absolue. Il y a un débat, on en voit, entre les impôts et le fait de travailler plus longtemps. Mais on propose une réforme qui, sans augmenter les impôts, va nous permettre de garantir qu'on pourra continuer à payer les pensions de retraite dans les années à venir. Et cette réforme, on la fait pour qui? On la fait pour les Français qui travaillent, qui se lèvent tôt le matin. Et si le système s'effondre, si les pensions baissent, c'est pas un problème pour les plus riches, pour eux, ça sera un problème accessoire, ils ont accumulé du patrimoine toute leur vie. En revanche, les Français qui travaillent, leur patrimoine, c'est la retraite, la pension dont ils pourront bénéficier. Et nous, on est capables de garantir qu'on ne pourra leur verser. JB : Il y a une majorité de refus aujourd'hui qui s'est constituée dans le pays. Il y a 68%, 72% des Français qui sont opposés à cette réforme. Je dis aux Français, il y a une bataille importante qui est en train, en ce moment même, de s'engager à l'assemblée nationale. La nupes a fait le choix de bloquer. CA : Ils ne sont pas là, ils ne sont pas là et ils ne déposent pas d'amendements. Ils ne sont pas dans la Rue. JB : C'est compliqué les débats avec vous. Il faut aller en meeting et ne pas participer à des débats à ce moment-là. La nupes a fait le choix. Les Français doivent le savoir de bloquer le débat parlementaire et de faire de l'obstruction parlementaire en déposant des milliers et des milliers d'amendements. CA : Vous êtes tendu monsieur bardella. JB : Conséquence de cela. Le vendredi 17 à minuit, si cette réforme n'est pas votée de manière favorable ou défavorable à l'assemblée, le texte s'en va au u Sénat. Il y a mille et une façon de s'opposer à cette réforme que c'est une réforme triste, que c'est une réforme de défaitiste, que c'est une réforme qui abandonne tous les modèles, tous les piliers du modèle social français. P1 : Et vous y opposerez pas dans la rue mais au Parlement. JB : On abandonne la démographie, on abandonne l'emploi. C'est une réforme cynique et je dis que les Français ont raison de s'y opposer. P1 : Clémentine Autain, une conclusion courte. CA : Je vais être très courte. Oui. Je pense qu'on va gagner. Et le moyen de gagner, c'est d'amplifier la mobilisation. Et je pense que une soirée comme ce soir, elle contribue à la mobilisation parce que je pense qu'elle génère beaucoup de colère. Donc le rendez-vous, c'est mardi dans la rue, c'est samedi dans la rue, nous mènerons la bataille au Parlement. Mais je veux dire à celles et ceux qui nous regardent que seul le nombre, seul le nombre peut et doit faire reculer ce gouvernement. P1 : J'espère que cette soirée elle aura aussi servi à la compréhension de cette réforme compliquée dont les Français sont en train de s'emparer. Merci à vous tous d'avoir participé à ce débat.",
"Abstractive_1": "Dans ce débat, Gabriel Attal, Clémentine Autain, Jordan Bardella et Eric Ciotti donnent leur conclusion sur la réforme des retraites. Eric Ciotti explique que la réforme est nécessaire, et qu'elle aurait du être faite plus tôt. Eric Ciotti explique que la réforme est douloureuse car elle est trop tardive, mais qu'il la votera dans un esprit de cohérence. Eric Ciotti explique qu'il souhaite que la réforme soit améliorée pour les petites retraites et les carrières longues. Gabriel Attal explique qu'il faut sauver le système des retraites, et qu'il a préféré augmenter l'âge de départ à la retraite plutôt que les impôts. Jordan Bardella explique qu'une majorité des Français rejettent la réforme des retraites, et que le gouvernement abandonne la démographie et l'emploi. Clémentine Autain explique qu'avec les manifestations et la mobilisation, la réforme des retraites sera retirée, et appelle à manifester.\n",
"Abstractive_2": "Dans ce débat, Gabriel Attal, Clémentine Autain, Jordan Bardella et Eric Ciotti donnent leur conclusion sur la réforme des retraites. Eric Ciotti soutient la nécessité de la réforme, bien qu'il estime qu'elle aurait dû être réalisée plus tôt. Il admet que la réforme sera difficile pour les Français, mais votera en faveur de celle-ci pour des raisons de cohérence. Il souhaite toutefois des amendements pour améliorer les conditions des petites retraites et des carrières longues. Gabriel Attal affirme que le système de retraite doit être sauvé et préfère augmenter l'âge de départ plutôt que d'augmenter les impôts. Jordan Bardella fait remarquer que la majorité des Français sont contre cette réforme et que le gouvernement ne tient pas compte des enjeux démographiques et d'emploi. Clémentine Autain prédit que la réforme sera retirée grâce aux manifestations et appelle à manifester pour se faire entendre.\n",
"Abstractive_3": "Il s’agit de la conclusion du débat sur la réforme des retraites, et chaque participant va résumer sa pensée en quelques mots. Eric Ciotti se dit favorable à la réforme ; elle vient néanmoins trop tard, ce qui explique son caractère douloureux. Devant l’augmentation du nombre de retraités, elle s’impose comme une nécessité pour le pays. Il termine en évoquant les amendements que son groupe dépose à l’assemblée afin d’atténuer le choc de cette réforme. Gabriel Attal estime que la réforme permettra de conserver le système ; elle évite d’avoir recours à une hausse d’impôt généralisée pour financer les pensions. Jordan Bardella évoque la défiance massive des Français à l’égard de cette réforme. Il attaque ensuite la nupes, responsable du blocage politique alors que la bataille doit impérativement avoir lieu à l'Assemblée nationale. Il regrette enfin que l’emploi et la démographie n’aient pas été évoqués par le gouvernement. Pour terminer, Clémentine Autain juge que le débat a été satisfaisant, dans la mesure où il a pu susciter de la colère et donc de la mobilisation. Elle appelle à mener le combat non seulement dans la rue, mais aussi au Parlement.\n",
"Extractive_1": "EC : Je crois que c'est une réforme nécessaire. EC : Nous, cette réforme, si nous avions été élus en 2017 dans les conditions que l'on connaît face à M. Macron, cette réforme, on l'aurait faite immédiatement, de façon moins brutale, de façon plus étalée dans le temps. EC : Elle est trop douloureuse parce qu'elle est trop tardive. EC : Je le dis, très clairement, dans un esprit de cohérence, je souhaite une réforme. EC : Petite retraite, il en reste une majeure sur les carrières longues, pas plus de 43 années de cotisation. GA : Ce qu'on souhaite, encore une fois, c'est que le système nous permet de continuer à payer la pension des retraités. GA : Ce qu'on a vu, je crois, dans ce débat, d'abord, c'est que on ne conteste plus du côté de l'opposition le fait qu'il faut financer notre système pour pouvoir continuer à payer les pensions. GA : Il y a un débat, on en voit, entre les impôts et le fait de travailler plus longtemps. GA : Mais on propose une réforme qui, sans augmenter les impôts, va nous permettre de garantir qu'on pourra continuer à payer les pensions de retraite dans les années à venir. JB : Il y a 68%, 72% des Français qui sont opposés à cette réforme. JB : On abandonne la démographie, on abandonne l'emploi. JB : C'est une réforme cynique et je dis que les Français ont raison de s'y opposer. CA : Je pense qu'on va gagner. CA : Et le moyen de gagner, c'est d'amplifier la mobilisation. CA : Donc le rendez-vous, c'est mardi dans la rue, c'est samedi dans la rue, nous mènerons la bataille au Parlement. CA : Mais je veux dire à celles et ceux qui nous regardent que seul le nombre, seul le nombre peut et doit faire reculer ce gouvernement. ",
"Extractive_2": "P1 : Je vais vous demander à tous sa conclusion, Éric Ciotti. EC : Je crois que c'est une réforme nécessaire. EC : Elle est trop douloureuse parce qu'elle est trop tardive. EC : Il y aura 20 millions de retraités en 2035. EC : nous avons des amendements que nous avons déposés avec Olivier Marlex, avec les 62 députés du groupe des Républicains. GA : Ce qu'on souhaite, encore une fois, c'est que le système nous permet de continuer à payer la pension des retraités. GA : Mais on propose une réforme qui, sans augmenter les impôts, va nous permettre de garantir qu'on pourra continuer à payer les pensions de retraite dans les années à venir. JB : Il y a une majorité de refus aujourd'hui qui s'est constituée dans le pays. JB : Je dis aux Français, il y a une bataille importante qui est en train, en ce moment même, de s'engager à l'assemblée nationale. JB : La nupes a fait le choix de bloquer. JB : On abandonne la démographie, on abandonne l'emploi. CA : Et je pense que une soirée comme ce soir, elle contribue à la mobilisation parce que je pense qu'elle génère beaucoup de colère. CA : Donc le rendez-vous, c'est mardi dans la rue, c'est samedi dans la rue, nous mènerons la bataille au Parlement.",
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