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"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
Résumer ce document : "Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. " Résumé :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
Résume ce document : "Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. " Résumé :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
Résumez ce document : "Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. " Résumé :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
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"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
"Dans une interview accordée au Figaro mercredi 17 octobre, Geoffroy Roux de Bézieux énumère les propositions du Medef pour endiguer la hausse des dépenses d'arrêt maladie, plus 19% entre 2010 et 2017. En cause notamment selon lui, "le vieillissement de la population au travail, en lien avec le recul de l'âge de départ à la retraite dû aux précédentes réformes. Les seniors ont des arrêts maladie plus fréquents et plus longs, c'est logique", estime le patron du Medef. Pour lui, ce sont les arrêts longs qui plombent les dépenses de la Sécu. Ainsi, "le gros de la dépense provient des arrêts longs de plus de six mois, qui pèsent 44 % de la dépense", assure-t-il. Un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit"L'assurance-maladie doit d'abord faire respecter la loi et vérifier que les assurés sociaux respectent bien les heures de sortie autorisées, envoient leurs arrêts de travail dans le délai de 48 heures...", note le Geoffroy Roux de Bézieux. Pour le Medef, il faut également renforcer les contrôles, sur les salariés, mais aussi sur les médecins. Le Medef plaide pour "une action ciblée sur les médecins gros prescripteurs et les salariés concernés par les arrêts courts et itératifs. Il pourrait, par exemple, y avoir un contrôle systématique après le 4e arrêt prescrit". Et afin que les patients ne contournent pas la règle en consultant plusieurs médecins, le Medef préconise "un parcours de prescription unique, dans lequel le médecin traitant serait le seul à pouvoir prescrire un arrêt, hors hospitalisation". Autre piste : un échange d'informations renforcé entre la médecine de ville et la médecine du travail "pour un meilleur suivi des patients et une meilleure prévention". Pointant la disparité des durées d'arrêts maladie en fonction des praticiens et des régions, Geoffroy Roux de Bézieux juge "utile d'établir des référentiels de durées d'arrêts, communs à tous, définis par la Haute Autorité de santé".Sur Twitter, le président de la fédération des médecins de France Jean-Paul Hamon a dit son mécontentement face à cette volonté du Medef de contrôler les médecins et regrette que les conditions de travail dans les entreprises ne soient pas pris en compte par le patron du Medef. En septembre, le Premier ministre Édouard Philippe a demandé une évaluation sur les causes de la hausse de 4% des arrêts de travail. Les indemnités journalières ont coûté plus de 10 milliards d'euros en 2017. Alors que le budget 2019 de la Sécurité sociale sera dans les prochains jours examiné à l'Assemblée nationale, le gouvernement veut faire des économies sur ce poste de dépense. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Les médecins jugés "gros prescripteurs d'arrêts maladie", sont notamment pointés du doigt par le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux dans une interview au Figaro.
Résumer le texte suivant : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résume le texte suivant : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumez le texte suivant : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Condenser le texte à l'essentiel :Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Condense le texte à l'essentiel :Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Condensez le texte à l'essentiel :Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Maintenant, rédige un court résumé.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Article : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. "/n Résumé :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumer ce document : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Résumé :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résume ce document : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Résumé :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumez ce document : "Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. " Résumé :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
"Le préjudice est estimé à 2 millions d'euros. Un réseau d'escrocs qui revendaient des voitures de luxes acquises frauduleusement à crédit, avec de fausses identités a été démantelé mardi, lors d'une vaste opération de police a-t-on appris samedi 20 juin dans un communiqué des forces de l'ordre.L'opération d'envergure, qui a mobilisé 90 gendarmes a permis d'interpeller en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales huit hommes et deux femmes soupçonnés à des degrés d'avoir participé à cette escroquerie.Les enquêteurs travaillent sur ce réseau depuis 2018, lorsque les premiers soupçons étaient apparus après une plainte pour "usurpation d'identité et "escroquerie" déposée par un organisme de crédit qui faisait face à un crédit impayé. Un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de l'affaire Le mode opératoire des malfaiteurs : "de très nombreux véhicules de luxe" ont été acheté chez des concessionnaires dans toute la France au moyen de financements obtenus à partir de faux papiers "avant d'être revendus illégalement". Une Maserati, des Porsches, BMW et même des campings-cars haut de gamme ont été ainsi revendu frauduleusement. Les "investigations minutieuses" ont révélé "une soixantaine de faits dont le préjudice total est estimé à deux millions d'euros. Les perquisitions ont débouché sur la saisie de près d'1 million d'euros dont 22 véhicules de sport, une quinzaine d'armes et près de 300.000 euros d'avoirs. Face à "l'ampleur et la complexité de cette escroquerie", le dossier avait été confié à "un groupe d'enquête exclusivement dédié au traitement de cette affaire", sous la direction d'un juge d'instruction, précise le communiqué de la section de recherches de Bordeaux, co-saisie avec la brigade de recherches de Mérignac et le groupe interministériel de recherches de Bordeaux.A l'issue des auditions, les dix suspects ont été mis en examen dont trois ont été écroués et 7 placés sous contrôle judiciaire strict. Arrêté dans le Var, le cerveau présumé du groupe, qui vivait sous une fausse identité, était déjà visé par un mandat d'arrêt pour des faits similaires. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Il aura fallu mobiliser 90 gendarmes pour cette opération d'envergure menée en Gironde, dans le Var et dans les Pyrénées-Orientales mardi. Dix personnes ont été arrêtées, soupçonnées d'avoir participé à une escroquerie "d'ampleur" sur des voitures de luxe.
Résumer le texte suivant : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résume le texte suivant : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumez le texte suivant : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Condenser le texte à l'essentiel :Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Condense le texte à l'essentiel :Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Condensez le texte à l'essentiel :Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
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Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Maintenant, rédige un court résumé.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Article : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. "/n Résumé :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumer ce document : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Résumé :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résume ce document : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Résumé :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumez ce document : "Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. " Résumé :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
"Des échanges de tirs ont eu lieu, tôt dans la matinée du dimanche 26 août, à Loon-Plage (Nord) entre les gendarmes et les occupants d'une voiture, rapporte France Bleu. Un passager de la voiture a été blessé par balles lors de la fusillade. Il a été transporté à l'hôpital. Vers 5h du matin, après avoir remarqué plusieurs infractions d'un véhicule, ils décident de contrôler les passagers mais à ce moment, des échanges de tirs débutent entre les deux parties. "Les tirs venaient probablement des deux côtés" relève le parquet de Dunkerque. Lors des tirs, un passager du véhicule a été touché et, au moins, un autre occupant a pris la fuite.L'homme est activement recherché par les gendarmes. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Les échanges de tirs ont eu lieu alors que les gendarmes tentaient de contrôler un véhicule.
Résumer le texte suivant : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résume le texte suivant : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumez le texte suivant : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumer le texte suivant en quelques mots : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résume le texte suivant en quelques mots : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumez le texte suivant en quelques mots : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Condenser le texte à l'essentiel :"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Condense le texte à l'essentiel :"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Condensez le texte à l'essentiel :"On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Maintenant, rédige un court résumé.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Article : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. "/n Résumé :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumer ce document : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Résumé :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résume ce document : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Résumé :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumez ce document : ""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. " Résumé :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
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""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
""On se réjouissait d'avoir une grande fête, mais voilà c'est contrarié avec la venue de Marine Le Pen." Le maire Didier Fouquet a regretté le déplacement de la présidente du Rassemblement national sur l'Île-de-Sein jeudi, pour célébrer l'appel du 18 juin. Selon l'édile, sa venue perturbe la commémoration officielle, initialement prévue "toute la journée avec un bagad, une goélette de la marine et un certain nombre d'officiels", évoquant des actions de protestation. "On nous vole un peu une cérémonie qui se voulait sympa", a-t-il déploré. "Il y aura une petite cérémonie ici sur l'île en comité restreint avant l'arrivée de Marine Le Pen", a indiqué à l'AFP Didier Fouquet.D'après lui, la cérémonie en présence du préfet du département et du préfet maritime se tiendra à la pointe de Pen-Hir, haut-lieu de la Résistance sur la presqu'île de Crozon. Interrogée, la préfecture du Finistère a simplement assuré lundi que "la cérémonie à Sein est maintenue", sans plus de précision.Didier Fouquet se dit "choqué" par ce déplacementLe RN a annoncé jeudi que Marine Le Pen se rendrait le 18 juin sur l'île pour commémorer les 80 ans de l'appel du général de Gaulle à combattre l'Allemagne nazie. Elle affirme que le RN est la "continuité" des idées du général de Gaulle, bien que son parti l'ait historiquement combattu. Ce lundi 15 juin, Marine Le Pen a confirmé son déplacement sur l'antenne de RTL. "Qui a le droit de m'interdire, moi, Française, cheffe du parti d'opposition, d'aller sur l'Île-de-Sein pour rendre hommage à ces Français qui, face aux élites qui s'étaient soumises, ont choisi la liberté de la France ?", s'est-elle interrogée.Didier Fouquet s'est dit "choqué" par ce déplacement qui vise à "récupérer des images, des symboles". "On n'est pas demandeur que Marine Le Pen vienne, mais on ne peut pas l'en empêcher", a-t-il souligné. "Il n'y aura personne de la mairie pour l'accueillir", a-t-il assuré, ajoutant qu'un collectif de Sénans était en train de se créer pour protester contre sa venue."La plupart des gens ici cherchent, sous une forme ou une autre, à montrer leur opposition et leur mécontentement", a-t-il indiqué. "Si Marine Le Pen arrive et trouve toutes les portes fermées et pas un chat dans les rues c'est quelque chose qui pourrait marquer", a-t-il avancé. La fédération du PCF du Finistère appelle de son côté à un rassemblement jeudi matin à Audierne, d'où doit partir Marine Le Pen pour Sein, pour lui montrer "qu'elle n'est pas la bienvenue".Plus d'une centaine de Sénans ont rejoint la Grande-Bretagne utilisant notamment des bateaux de pêche après avoir entendu l'appel du général de Gaulle. Ils rejoindront dans les ports anglais d'autres pêcheurs bretons pour former les premières unités des Forces navales libres. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Marine Le Pen a prévu de se rendre sur l'Île-de-Sein ce jeudi pour célébrer l'appel du 18 juin. Le maire a déploré que la venue de la présidente du Rassemblement national perturbe la commémoration officielle.
Résumer le texte suivant : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résume le texte suivant : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumez le texte suivant : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".
Résumer le texte suivant en quelques mots : "À trois jours du jour J, tour d'horizon de la situation.Dans une large coalition, syndicats, partis d'opposition et "gilets jaunes" appellent à faire grève et à manifester le 5 décembre contre la réforme des retraites qu'Emmanuel Macron est déterminé à "conduire à bien". Une mobilisation qui s'annonce suivie. "Tout est réuni pour avoir un 5 (décembre) puissant", prédit Fabrice Angei, haut dirigeant de la CGT. "Il y aura des occupations d'entreprises, d'usines, plus de 150 manifestations partout en France. Ce sera plus fort que la loi travail 2016 et que 95", prédit-il, en référence à la crise sociale d'il y a 24 ans face à un projet de réforme du système de Sécurité sociale et de retraite. Le point sur la situation :• Dans les transports► SNCFÀ la SNCF, trois syndicats représentatifs - la CGT-Cheminots, l'Unsa ferroviaire et SUD-Rail - ont aussi lancé un appel à un mouvement illimité. En déposant un préavis, la CFDT-Cheminots menace de faire grève et espère des engagements du gouvernement.► RATPLes syndicats de la RATP promettent une mobilisation "aussi forte" que le 13 septembre, qui avait mis Paris quasiment à l'arrêt. Mais cette fois, ils appellent à une grève illimitée.► Air FranceDans le transport aérien, trois syndicats d'Air France particulièrement implantés auprès du personnel au sol ont déposé des préavis. À la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), l'USAC-CGT, deuxième syndicat chez les contrôleurs aériens, appelle à faire grève jusqu'au 7 décembre, ce qui pourrait engendrer retards et annulations de vols.► Dans les transport routiers et urbainsLa CGT et FO appellent aussi à une grève illimitée dès le 5 décembre dans le transport urbain et routier de voyageurs, de marchandises, de fonds. Un appel qui concerne également les ambulanciers, déménageurs ou les taxis.• EDFTrois des quatre syndicats représentatifs - CGT, FO et l'alliance CFE-CGC-Unsa - appellent à la grève alors que les 140.000 électriciens et gaziers ont leur propre régime. Les foyers n'ont pas à craindre de coupure de courant, mais la CGT appelle à des baisses de production d'électricité, des coupures de bâtiments publics d'État (hors lieux de santé) d'opérateurs privés et "d'entreprises qui licencient".• Carburants"Il y a des appels à la grève dans les sept raffineries françaises", précise la CGT Chimie, qui n'exclut pas des arrêts de production. Toutefois, les stocks rendent improbable une pénurie à la pompe à court terme. • PoliceLes syndicats Alliance et Unsa ont lancé un appel pour des actions le 5 décembre de 10H à 15H dans tous les services de police.Fermeture symbolique des commissariats, refus de rédiger des PV, contrôles renforcés aux aéroports et aux péages: diverses actions sont prévues. Pas question pour autant de rejoindre les cortèges de manifestants, a affirmé mercredi à l'AFP le secrétaire général d'Alliance Fabien Vanhemelryck, expliquant qu'il s'agissait pour les policiers de "manifester autrement".• PompiersDans un communiqué du 26 novembre, les pompiers ont également annoncé leur participation à la manifestation. Ils s'inquiètent du flou autour des des bonifications octroyées aux sapeurs-pompiers et craignent de voir leur niveau de pension diminuer.• ÉducationLa plupart des syndicats enseignants (Snes-FSU, Snuipp-FSU, le SE-Unsa, le Snalc, Solidaires...) ont appelé les quelque 900.000 enseignants des premier et second degrés à la grève. Selon Francette Popineau, secrétaire générale du Snuipp-FSU (le premier syndicat du primaire), 10 à 20% d'écoles annoncent déjà qu'elles seront fermées le 5 décembre, et 60% d'enseignants seront grévistes. Les enseignants ont jusqu'à 48 heures avant le jour de grève pour se prononcer, mais elle prévoit d'ores et déjà "un mouvement très suivi".Le service d'accueil dans les écoles sera "très compliqué car il y aura des grévistes également du côté des personnels non enseignants (Atsem), personnels de cantine et aussi des transports".Des syndicats lycéens (Fidl, UNL, MNL) se sont joints au mouvement, ainsi que des syndicats étudiants comme l'Unef, dans la foulée des mobilisations pour alerter sur la précarité étudiante. • Les avocats Le Conseil national des barreaux a voté une journée "justice morte" pour le 5 décembre. Les avocats veulent défendre leur "régime autonome" qui, selon eux, fonctionne "parfaitement" et ne coûte "pas un euro" à l'État. Le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France, tous deux classés à gauche, ont également appelé à la grève, à la fois sur les retraites et contre "des projets de réforme mal conçus qui ne font que dégrader le service public de la justice". • HôpitauxDans un contexte de grève des urgences qui dure depuis huit mois, CGT, FO, SUD et le collectif Inter-Urgences ont relayé l'appel à la grève du 5, mais la date ne fait pas l'unanimité dans le secteur où une journée d'action spécifique est programmée le 17 décembre. Les internes sont appelés à la grève à partir du 10.Quid des "gilets jaunes" ? Réunis en "Assemblée des assemblées" à Montpellier le 3 novembre dernier, quelque 600 Gilets jaunes ont voté, à une écrasante majorité, leur participation à la manifestation du 5 décembre.Dans un communiqué, ces derniers ont appelé "les Gilets jaunes à être au cœur de ce mouvement, avec leurs propres revendications et aspirations, sur leurs lieux de travail ou sur leurs ronds-points, avec leurs gilets bien visibles !".Et les politiques dans tout ça ?Si les oppositions rejettent toutes le projet de réforme des retraites, les partis sont divisés sur l'opportunité de manifester ou pas le 5 décembre.• À gauche le soutien est unanime.► Olivier Faure, numéro un du parti socialiste, sera présent et le Conseil national du PS a appelé samedi à l'unanimité ses sympathisants à participer à la manifestation du 5 décembre. ► Les Verts appellent également leurs militants à se joindre à la mobilisation. Ils dénoncent la logique du gouvernement qui serait, selon David Cormand, leur secrétaire national, d'"opposer les plus fragiles entre eux". L'eurodéputé EELV a annoncé cette semaine qu'il manifestera le 5 décembre.► Pour les Insoumis, "la manifestation du 5 décembre sera le démarrage du grand mouvement contre la réforme des retraites" dont "l'objectif inavoué" est de "transférer les retraites vers le privé". Jean-Luc Mélenchon a twitté début novembre : "nous y serons". LFI prépare par ailleurs avec l'aide d'économistes un "contre-projet", qu'elle présentera d'ici "quelques semaines".► Enfin, Fabien Roussel, le secrétaire national du Parti communiste a confirmé sa présence "dans la rue" aux côtés des syndicats. "Le gouvernement sous-estime la colère profonde qui monte dans le pays", a-t-il déclaré jeudi sur RMC. Après la mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement, le PCF a par ailleurs appelé jeudi les partis de gauche et écologistes à participer à un meeting commun à Saint-Denis le 11 décembre pour avancer "des contre-propositions" sur le financement du système de retraites.• "La droite ne soutient pas les manifestants, qui veulent que rien ne change" ni "le gouvernement, qui ne dit pas la vérité" mais elle se place "du côté de la majorité silencieuse" a résumé Damien Abad, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée aux Échos.• Le Rassemblement national, s'il dénonce sans ambiguïté la réforme des retraites portée par le gouvernement, est divisé sur l'opportunité de manifester le 5 décembre. "Il y aura sûrement des responsables du RN qui iront" défiler contre la réforme du gouvernement, qui "sera le hold-up du siècle", a assuré la semaine dernière Marine Le Pen. La présidente du parti d'extrême droite n'ira pas, mais laisse le "choix" à ses militants de descendre ou pas dans la rue. "
De la SNCF à la RATP, en passant par Air France, EDF et les avocats, les appels à la grève le 5 décembre contre la réforme des retraites s'accumulent. À tel point que dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on l'appelle le "mur du 5 décembre".