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"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
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"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
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"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
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"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
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Résumer le texte suivant : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résume le texte suivant : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumez le texte suivant : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Condenser le texte à l'essentiel :Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
| C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Condense le texte à l'essentiel :Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
| C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Condensez le texte à l'essentiel :Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
| C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
"
Maintenant, rédiger un court résumé. | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
"
Maintenant, rédige un court résumé. | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
"
Maintenant, rédigez un court résumé. | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Article : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
"/n Résumé : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumer ce document : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" Résumé : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résume ce document : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" Résumé : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumez ce document : "Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
" Résumé : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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"Un scooter maculé de sang a en effet été retrouvé, rapporte Le Parisien lundi 27 mars.Le deux-roues, un puissant T-Max semblable à celui utilisé par le tireur, a été repéré lors d'un contrôle de routine à Épinay, dans la nuit de dimanche à lundi. Son conducteur trentenaire n'avait pas les papiers du véhicule, dont la carrosserie présentait des taches de sang. L'homme a été placé en garde à vue, et les enquêteurs vont chercher à savoir s'il a un lien avec l'attaque qui a eu lieu la veille.Vers minuit dans la nuit de samedi à dimanche, des policiers avaient été la cible de tirs, rue des Rosiers à Saint-Ouen. Ils avaient été appelés un peu plus tôt pour une rixe dans le quartier des puces. Arrivés sur place, ils n'avaient trouvé personne... Si ce n'est deux hommes masqués , montés sur un scooter. Le passager du deux-roues avait alors tiré à sept reprises en direction des fonctionnaires, dont l'un avait riposté. Aucun blessé n'avait été à déplorer ce soir-là.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | C'est une découverte cruciale dans l'enquête sur les tirs qui ont visé des policiers à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, dans la nuit de samedi à dimanche. Si les auteurs de l'attaque n'ont pas encore été interpellés, les enquêteurs pourraient bien avoir mis la main sur le véhicule qui a servi à commettre le crime.
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Résumer le texte suivant : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résume le texte suivant : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résumez le texte suivant : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Condenser le texte à l'essentiel :A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
| Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Condense le texte à l'essentiel :A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
| Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Condensez le texte à l'essentiel :A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
| Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Article : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
"/n Résumé : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résumer ce document : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" Résumé : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résume ce document : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" Résumé : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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Résumez ce document : "A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
" Résumé : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Google va proposer par défaut la suppression de données de localisation et de navigation sur le web au bout de 18 mois pour tous ses nouveaux utilisateurs, a annoncé mercredi le patron du géant américain Sundar Pichai dans un billet de blog.
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"A partir de mercredi, tous les utilisateurs de Google activant pour la première fois l'historique des positions bénéficieront par défaut d'un effacement automatique de celles-ci au bout de 18 mois, a indiqué M. Pichai.De même, pour tous les nouveaux utilisateurs de Google à partir de mercredi, les données de l'historique de navigation sur le web seront elles aussi supprimées par défaut au bout de 18 mois.Pour les internautes déjà utilisateurs de Google, "nous ne modifierons pas vos paramètres", mais "nous vous rappellerons activement les contrôles de suppression automatique à votre disposition via des notifications intégrées aux produits et des e-mails, afin que vous puissiez choisir le paramètre de suppression automatique qui vous convient", indique Sundar Pichai.Les géants américains de l'internet sont confrontés depuis plusieurs années à une prise de conscience croissante des internautes sur l'étendue des données accumulées sur eux à des fins de ciblage publicitaire.Des moteurs de recherche comme DuckDuckGo ou Qwant en France par exemple ont bâti leur modèle d'affaires sur le fait qu'ils ne conservent pas les requêtes des utilisateurs, sans toutefois inquiéter Google qui reste archi-dominant sur ce marché. Dans son billet, Sundar Pichai mentionne d'autres précisions apportées par Google pour amadouer les internautes méfiants.Sur YouTube, la suppression automatique des données (sur les vidéos visionnées par exemple) sera "définie sur 36 mois par défaut si vous créez un nouveau compte ou activez votre historique YouTube pour la première fois", selon le patron de Google. Les utilisateurs actuels "peuvent toujours choisir l'option de suppression automatique de 3 ou 18 mois", précise-t-il.Google va également "faciliter" l'accès au mode "navigation privée" sur son moteur de recherche et ses produits Maps et YouTube, en permettant son déclenchement par une pression longue sur la photo de profil de l'utilisateur.
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Résumer le texte suivant : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résume le texte suivant : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumez le texte suivant : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Condenser le texte à l'essentiel :Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
| Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Condense le texte à l'essentiel :Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
| Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Condensez le texte à l'essentiel :Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
| Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
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Maintenant, rédige un court résumé. | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Article : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
"/n Résumé : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumer ce document : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" Résumé : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résume ce document : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" Résumé : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumez ce document : "Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
" Résumé : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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"Valérie Trierweiler a tourné la page et elle souhaite le faire savoir. Interrogée sur François Hollande elle a d'abord dit "vouloir avoir le droit d'avoir une opinion" sur lui en tant que journaliste. Avant de s'agacer. "On fait une émission sur François Hollande ? C'est un livre de 330 pages, et il y a trois pages sur François Hollande." Valérie Trierweiler s'agace sur France 5 des questions sur François Hollande: "Non, mais on est là pour faire une émission sur lui ? Ce n'est que 3 pages dans mon livre !"par Jeanmarcmorandini.comSi la journaliste a tempéré, Valérie Trierweiler a reconnu qu'elle allait mieux maintenant. Ajoutant qu'il "n'y a pas de raisons de revenir toujours sur cette période".
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine sur France 5, Valérie Trierweiler est apparue très agacée quand la journaliste lui a posé des questions sur son ex-compagnon, François Hollande.
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Résumer le texte suivant : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résume le texte suivant : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résumez le texte suivant : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Condenser le texte à l'essentiel :Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
| Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Condense le texte à l'essentiel :Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
| Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Condensez le texte à l'essentiel :Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
| Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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