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Code pénal, art. 131-36-9
Code pénal
Le suivi socio-judiciaire peut également comprendre, à titre de mesure de sûreté, le placement sous surveillance électronique mobile, conformément aux dispositions de la présente sous-section.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
131-36-9
LEGIARTI000006417325
LEGIARTI000006417325
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
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Article
<p></p> Le suivi socio-judiciaire peut également comprendre, à titre de mesure de sûreté, le placement sous surveillance électronique mobile, conformément aux dispositions de la présente sous-section.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006417325
LEGI
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-36-10
Code pénal
Le placement sous surveillance électronique mobile ne peut être ordonné qu'à l'encontre d'une personne majeure condamnée à une peine privative de liberté d'une durée égale ou supérieure à sept ans ou, lorsque la personne a été condamnée pour un crime ou un délit commis une nouvelle fois en état de récidive légale, d'une durée égale ou supérieure à cinq ans, et dont une expertise médicale a constaté la dangerosité, lorsque cette mesure apparaît indispensable pour prévenir la récidive à compter du jour où la privation de liberté prend fin.
1,300,233,600,000
32,472,144,000,000
131-36-10
LEGIARTI000023713263
LEGIARTI000006417326
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
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null
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Article
<p></p>Le placement sous surveillance électronique mobile ne peut être ordonné qu'à l'encontre d'une personne majeure condamnée à une peine privative de liberté d'une durée égale ou supérieure à sept ans ou, lorsque la personne a été condamnée pour un crime ou un délit commis une nouvelle fois en état de récidive légale, d'une durée égale ou supérieure à cinq ans, et dont une expertise médicale a constaté la dangerosité, lorsque cette mesure apparaît indispensable pour prévenir la récidive à compter du jour où la privation de liberté prend fin.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417326
IG-20231129
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LEGIARTI000023713263
LEGI
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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LEGISCTA000006181733
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-36-11
Code pénal
La juridiction ne peut ordonner le placement sous surveillance électronique mobile qu'après avoir fait vérifier la faisabilité technique de la mesure et la disponibilité du dispositif technique devant être utilisé.
1,553,472,000,000
32,472,144,000,000
131-36-11
LEGIARTI000038313458
LEGIARTI000006417327
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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null
Article
<p>La juridiction ne peut ordonner le placement sous surveillance électronique mobile qu'après avoir fait vérifier la faisabilité technique de la mesure et la disponibilité du dispositif technique devant être utilisé.</p>
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LEGIARTI000006417327
IG-20231129
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LEGIARTI000038313458
LEGI
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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LEGISCTA000006181733
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-36-12
Code pénal
Le placement sous surveillance électronique mobile emporte pour le condamné l'obligation de porter pour une durée de deux ans, renouvelable une fois en matière délictuelle et deux fois en matière criminelle, un émetteur permettant à tout moment de déterminer à distance sa localisation sur l'ensemble du territoire national. Le président de la juridiction avertit le condamné que le placement sous surveillance électronique mobile ne pourra être mis en oeuvre sans son consentement, mais que, à défaut ou s'il manque à ses obligations, l'emprisonnement prononcé en application du troisième alinéa de l'article 131-36-1 pourra être mis à exécution.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
131-36-12
LEGIARTI000006417328
LEGIARTI000006417328
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
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null
null
Article
<p></p>Le placement sous surveillance électronique mobile emporte pour le condamné l'obligation de porter pour une durée de deux ans, renouvelable une fois en matière délictuelle et deux fois en matière criminelle, un émetteur permettant à tout moment de déterminer à distance sa localisation sur l'ensemble du territoire national. <p></p><p></p>Le président de la juridiction avertit le condamné que le placement sous surveillance électronique mobile ne pourra être mis en oeuvre sans son consentement, mais que, à défaut ou s'il manque à ses obligations, l'emprisonnement prononcé en application du troisième alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417314&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-36-1 (V)'>l'article 131-36-1</a> pourra être mis à exécution.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006417328
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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LEGISCTA000006181733
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-36-12-1
Code pénal
Par dérogation aux dispositions de l'article 131-36-10 , le placement sous surveillance électronique mobile peut être ordonné à l'encontre d'une personne majeure, dont une expertise médicale a constaté la dangerosité, condamnée à une peine privative de liberté d'une durée égale ou supérieure à deux ans pour des violences ou des menaces punies d'au moins cinq ans d'emprisonnement et commises : 1° Soit contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité ; 2° Soit contre ses enfants ou ceux de son conjoint, concubin ou partenaire. Le présent article est également applicable lorsque les violences ont été commises par l'ancien conjoint ou concubin de la victime, ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, le domicile concerné étant alors celui de la victime.
1,553,472,000,000
32,472,144,000,000
131-36-12-1
LEGIARTI000038313453
LEGIARTI000022456436
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
193,270
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null
null
Article
<p>Par dérogation aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417326&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-36-10</a>, le placement sous surveillance électronique mobile peut être ordonné à l'encontre d'une personne majeure, dont une expertise médicale a constaté la dangerosité, condamnée à une peine privative de liberté d'une durée égale ou supérieure à deux ans pour des violences ou des menaces punies d'au moins cinq ans d'emprisonnement et commises :</p><p>1° Soit contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité ;</p><p>2° Soit contre ses enfants ou ceux de son conjoint, concubin ou partenaire.</p><p>Le présent article est également applicable lorsque les violences ont été commises par l'ancien conjoint ou concubin de la victime, ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, le domicile concerné étant alors celui de la victime.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022469767
IG-20231129
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LEGIARTI000038313453
LEGI
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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LEGISCTA000006181733
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-36-13
Code pénal
Les modalités d'exécution du placement sous surveillance électronique mobile sont fixées par le titre VII ter du livre V du code de procédure pénale.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
131-36-13
LEGIARTI000006417330
LEGIARTI000006417330
AUTONOME
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1.0
214,745
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Article
<p></p>Les modalités d'exécution du placement sous surveillance électronique mobile sont fixées par le <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idSectionTA=LEGISCTA000006138154&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de procédure pénale - Titre VII ter : Du placement sous surveillance ... (V)'>titre VII ter</a> du livre V du code de procédure pénale.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006417330
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181733
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Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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LEGISCTA000006181733
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 1 : Des peines applicables aux personnes physiques &gt; Sous-section 7 : Du placement sous surveillance électronique mobile à titre de mesure de sûreté
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Code pénal, art. 131-37
Code pénal
Les peines criminelles ou correctionnelles encourues par les personnes morales sont : 1° L'amende ; 2° Dans les cas prévus par la loi, les peines énumérées à l'article 131-39 et la peine prévue à l' article 131-39-2. En matière correctionnelle, les personnes morales encourent également la peine de sanction-réparation prévue par l'article 131-39-1 .
1,481,414,400,000
32,472,144,000,000
131-37
LEGIARTI000033611379
LEGIARTI000006417331
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
85,898
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Article
<p>Les peines criminelles ou correctionnelles encourues par les personnes morales sont : </p><p>1° L'amende ; </p><p>2° Dans les cas prévus par la loi, les peines énumérées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39 </a>et la peine prévue à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000033563226&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39-2 (V)'>article 131-39-2.</a></p><p>En matière correctionnelle, les personnes morales encourent également la peine de sanction-réparation prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417339&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39-1</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417332
MD-20240104_212434_466_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033611379
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181734
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Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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LEGISCTA000006181734
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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Code pénal, art. 131-38
Code pénal
Le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est égal au quintuple de celui prévu pour les personnes physiques par la loi qui réprime l'infraction. Lorsqu'il s'agit d'un crime pour lequel aucune peine d'amende n'est prévue à l'encontre des personnes physiques, l'amende encourue par les personnes morales est de 1 000 000 euros.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
131-38
LEGIARTI000006417334
LEGIARTI000006417333
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
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null
Article
<p>Le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est égal au quintuple de celui prévu pour les personnes physiques par la loi qui réprime l'infraction.</p><p></p><p>Lorsqu'il s'agit d'un crime pour lequel aucune peine d'amende n'est prévue à l'encontre des personnes physiques, l'amende encourue par les personnes morales est de 1 000 000 euros.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417333
MD-20241112_194922_100_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417334
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181734
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Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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LEGISCTA000006181734
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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Code pénal, art. 131-39
Code pénal
Lorsque la loi le prévoit à l'encontre d'une personne morale, un crime ou un délit peut être sanctionné d'une ou de plusieurs des peines suivantes : 1° La dissolution, lorsque la personne morale a été créée ou, lorsqu'il s'agit d'un crime ou d'un délit puni en ce qui concerne les personnes physiques d'une peine d'emprisonnement supérieure ou égale à trois ans, détournée de son objet pour commettre les faits incriminés ; 2° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer directement ou indirectement une ou plusieurs activités professionnelles ou sociales ; 3° Le placement, pour une durée de cinq ans au plus, sous surveillance judiciaire ; 4° La fermeture définitive ou pour une durée de cinq ans au plus des établissements ou de l'un ou de plusieurs des établissements de l'entreprise ayant servi à commettre les faits incriminés ; 5° L'exclusion des marchés publics à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus ; 6° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, de procéder à une offre au public de titres financiers ou de faire admettre ses titres financiers aux négociations sur un marché réglementé ; 7° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'émettre des chèques autres que ceux qui permettent le retrait de fonds par le tireur auprès du tiré ou ceux qui sont certifiés ou d'utiliser des cartes de paiement ; 8° La peine de confiscation, dans les conditions et selon les modalités prévues à l'article 131-21 ; 9° L'affichage de la décision prononcée ou la diffusion de celle-ci soit par la presse écrite, soit par tout moyen de communication au public par voie électronique ; 10° La confiscation de l'animal ayant été utilisé pour commettre l'infraction ou à l'encontre duquel l'infraction a été commise ; 11° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, de détenir un animal ; 12° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus de percevoir toute aide publique attribuée par l'Etat, les collectivités territoriales, leurs établissements ou leurs groupements ainsi que toute aide financière versée par une personne privée chargée d'une mission de service public. La peine complémentaire de confiscation est également encourue de plein droit pour les crimes et pour les délits punis d'une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an, à l'exception des délits de presse. Les peines définies aux 1° et 3° ci-dessus ne sont pas applicables aux personnes morales de droit public dont la responsabilité pénale est susceptible d'être engagée. Elles ne sont pas non plus applicables aux partis ou groupements politiques ni aux syndicats professionnels. La peine définie au 1° n'est pas applicable aux institutions représentatives du personnel.
1,405,123,200,000
32,472,144,000,000
131-39
LEGIARTI000029236660
LEGIARTI000006417335
AUTONOME
VIGUEUR
7.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Lorsque la loi le prévoit à l'encontre d'une personne morale, un crime ou un délit peut être sanctionné d'une ou de plusieurs des peines suivantes : </p><p>1° La dissolution, lorsque la personne morale a été créée ou, lorsqu'il s'agit d'un crime ou d'un délit puni en ce qui concerne les personnes physiques d'une peine d'emprisonnement supérieure ou égale à trois ans, détournée de son objet pour commettre les faits incriminés ; </p><p>2° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, d'exercer directement ou indirectement une ou plusieurs activités professionnelles ou sociales ; </p><p>3° Le placement, pour une durée de cinq ans au plus, sous surveillance judiciaire ; </p><p>4° La fermeture définitive ou pour une durée de cinq ans au plus des établissements ou de l'un ou de plusieurs des établissements de l'entreprise ayant servi à commettre les faits incriminés ; </p><p>5° L'exclusion des marchés publics à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus ; </p><p>6° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, de procéder à une offre au public de titres financiers ou de faire admettre ses titres financiers aux négociations sur un marché réglementé ; </p><p>7° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus, d'émettre des chèques autres que ceux qui permettent le retrait de fonds par le tireur auprès du tiré ou ceux qui sont certifiés ou d'utiliser des cartes de paiement ; </p><p>8° La peine de confiscation, dans les conditions et selon les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417273&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-21</a> ; </p><p>9° L'affichage de la décision prononcée ou la diffusion de celle-ci soit par la presse écrite, soit par tout moyen de communication au public par voie électronique ; </p><p>10° La confiscation de l'animal ayant été utilisé pour commettre l'infraction ou à l'encontre duquel l'infraction a été commise ; </p><p>11° L'interdiction, à titre définitif ou pour une durée de cinq ans au plus, de détenir un animal ;</p><p>12° L'interdiction, pour une durée de cinq ans au plus de percevoir toute aide publique attribuée par l'Etat, les collectivités territoriales, leurs établissements ou leurs groupements ainsi que toute aide financière versée par une personne privée chargée d'une mission de service public. </p><p>La peine complémentaire de confiscation est également encourue de plein droit pour les crimes et pour les délits punis d'une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an, à l'exception des délits de presse. </p><p>Les peines définies aux 1° et 3° ci-dessus ne sont pas applicables aux personnes morales de droit public dont la responsabilité pénale est susceptible d'être engagée. Elles ne sont pas non plus applicables aux partis ou groupements politiques ni aux syndicats professionnels. La peine définie au 1° n'est pas applicable aux institutions représentatives du personnel.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022470176
MD-20241112_194922_100_BDJQUOT
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32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181734
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Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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LEGISCTA000006181734
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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Code pénal, art. 131-39-1
Code pénal
En matière délictuelle, la juridiction peut prononcer à la place ou en même temps que l'amende encourue par la personne morale la peine de sanction-réparation selon les modalités prévues par l'article 131-8-1 . Dans ce cas, la juridiction fixe le montant maximum de l'amende, qui ne peut excéder ni 75 000 euros ni l'amende encourue par la personne morale pour le délit considéré, dont le juge de l'application des peines pourra ordonner la mise à exécution en tout ou partie dans les conditions prévues par l'article 712-6 du code de procédure pénale si le condamné ne respecte pas l'obligation de réparation.
1,173,225,600,000
32,472,144,000,000
131-39-1
LEGIARTI000006417339
LEGIARTI000006417339
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p>En matière délictuelle, la juridiction peut prononcer à la place ou en même temps que l'amende encourue par la personne morale la peine de sanction-réparation selon les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417244&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-8-1 (V)'>l'article 131-8-1</a>. </p><p>Dans ce cas, la juridiction fixe le montant maximum de l'amende, qui ne peut excéder ni 75 000 euros ni l'amende encourue par la personne morale pour le délit considéré, dont le juge de l'application des peines pourra ordonner la mise à exécution en tout ou partie dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577885&dateTexte=&categorieLien=cid' title='CODE DE PROCEDURE PENALE - art. 712-6 (V)'>l'article 712-6</a> du code de procédure pénale si le condamné ne respecte pas l'obligation de réparation.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417339
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181734
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Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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LEGISCTA000006181734
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
null
Code pénal, art. 131-39-2
Code pénal
I. – Lorsque la loi le prévoit à l'encontre d'une personne morale, un délit peut être sanctionné par l'obligation de se soumettre, sous le contrôle de l'Agence française anticorruption, pour une durée maximale de cinq ans, à un programme de mise en conformité destiné à s'assurer de l'existence et de la mise en œuvre en son sein des mesures et procédures définies au II. II. – La peine prévue au I comporte l'obligation de mettre en œuvre les mesures et procédures suivantes : 1° Un code de conduite définissant et illustrant les différents types de comportements à proscrire comme étant susceptibles de caractériser des faits de corruption ou de trafic d'influence ; 2° Un dispositif d'alerte interne destiné à permettre le recueil des signalements émanant d'employés et relatifs à l'existence de conduites ou de situations contraires au code de conduite de la personne morale ; 3° Une cartographie des risques prenant la forme d'une documentation régulièrement actualisée et destinée à identifier, analyser et hiérarchiser les risques d'exposition de la personne morale à des sollicitations externes aux fins de corruption, en fonction notamment des secteurs d'activités et des zones géographiques dans lesquels la personne morale exerce son activité ; 4° Des procédures d'évaluation de la situation des clients, fournisseurs de premier rang et intermédiaires au regard de la cartographie des risques ; 5° Des procédures de contrôles comptables, internes ou externes, destinées à s'assurer que les livres, registres et comptes ne sont pas utilisés pour masquer des faits de corruption ou de trafic d'influence. Ces contrôles peuvent être réalisés soit par les services de contrôle comptable et financier propres à la personne morale, soit en ayant recours à un auditeur externe à l'occasion de l'accomplissement des audits de certification de comptes prévus à l'article L. 821-53 du code de commerce ; 6° Un dispositif de formation destiné aux cadres et aux personnels les plus exposés aux risques de corruption et de trafic d'influence ; 7° Un régime disciplinaire permettant de sanctionner les salariés de la personne morale en cas de violation du code de conduite de la personne morale. III. – Lorsque le tribunal prononce la peine prévue au I du présent article, les frais occasionnés par le recours par l'Agence française anticorruption à des experts ou à des personnes ou autorités qualifiées pour l'assister dans la réalisation d'analyses juridiques, financières, fiscales et comptables sont supportés par la personne morale condamnée, sans que le montant de ces frais ne puisse excéder le montant de l'amende encourue pour le délit au titre duquel cette peine est prononcée. Un décret en Conseil d'Etat précise les règles déontologiques applicables à ces experts et à ces personnes ou autorités qualifiées.
1,704,067,200,000
32,472,144,000,000
131-39-2
LEGIARTI000048539764
LEGIARTI000033563226
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 32 de l’ordonnance n° 2023-1142, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2024.
2.0
1,073,935,094
null
null
null
Article
<p>I. – Lorsque la loi le prévoit à l'encontre d'une personne morale, un délit peut être sanctionné par l'obligation de se soumettre, sous le contrôle de l'Agence française anticorruption, pour une durée maximale de cinq ans, à un programme de mise en conformité destiné à s'assurer de l'existence et de la mise en œuvre en son sein des mesures et procédures définies au II.</p><p>II. – La peine prévue au I comporte l'obligation de mettre en œuvre les mesures et procédures suivantes :</p><p>1° Un code de conduite définissant et illustrant les différents types de comportements à proscrire comme étant susceptibles de caractériser des faits de corruption ou de trafic d'influence ;</p><p>2° Un dispositif d'alerte interne destiné à permettre le recueil des signalements émanant d'employés et relatifs à l'existence de conduites ou de situations contraires au code de conduite de la personne morale ;</p><p>3° Une cartographie des risques prenant la forme d'une documentation régulièrement actualisée et destinée à identifier, analyser et hiérarchiser les risques d'exposition de la personne morale à des sollicitations externes aux fins de corruption, en fonction notamment des secteurs d'activités et des zones géographiques dans lesquels la personne morale exerce son activité ;</p><p>4° Des procédures d'évaluation de la situation des clients, fournisseurs de premier rang et intermédiaires au regard de la cartographie des risques ;</p><p>5° Des procédures de contrôles comptables, internes ou externes, destinées à s'assurer que les livres, registres et comptes ne sont pas utilisés pour masquer des faits de corruption ou de trafic d'influence. Ces contrôles peuvent être réalisés soit par les services de contrôle comptable et financier propres à la personne morale, soit en ayant recours à un auditeur externe à l'occasion de l'accomplissement des audits de certification de comptes prévus à l'article L. 821-53 du code de commerce ;</p><p>6° Un dispositif de formation destiné aux cadres et aux personnels les plus exposés aux risques de corruption et de trafic d'influence ;</p><p>7° Un régime disciplinaire permettant de sanctionner les salariés de la personne morale en cas de violation du code de conduite de la personne morale.</p><p>III. – Lorsque le tribunal prononce la peine prévue au I du présent article, les frais occasionnés par le recours par l'Agence française anticorruption à des experts ou à des personnes ou autorités qualifiées pour l'assister dans la réalisation d'analyses juridiques, financières, fiscales et comptables sont supportés par la personne morale condamnée, sans que le montant de ces frais ne puisse excéder le montant de l'amende encourue pour le délit au titre duquel cette peine est prononcée.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat précise les règles déontologiques applicables à ces experts et à ces personnes ou autorités qualifiées.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033563257
MD-20240625_190601_798_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000048539764
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181734
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Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
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LEGISCTA000006181734
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 1 : Des peines criminelles et correctionnelles
<p>Conformément à l’article 32 de l’ordonnance n° 2023-1142, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2024.</p>
null
Code pénal, art. 131-40
Code pénal
Les peines contraventionnelles encourues par les personnes morales sont : 1° L'amende ; 2° Les peines privatives ou restrictives de droits prévues à l'article 131-42 ; 3° La peine de sanction-réparation prévue par l'article 131-44-1 . Ces peines ne sont pas exclusives d'une ou de plusieurs des peines complémentaires prévues à l'article 131-43 .
1,173,225,600,000
32,472,144,000,000
131-40
LEGIARTI000006417341
LEGIARTI000006417340
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Les peines contraventionnelles encourues par les personnes morales sont : <p></p><p></p>1° L'amende ; <p></p><p></p>2° Les peines privatives ou restrictives de droits prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417344&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-42 (V)'>l'article 131-42 </a>; <p></p><p></p>3° La peine de sanction-réparation prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417348&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-44-1 (V)'>l'article 131-44-1</a>. <p></p><p></p>Ces peines ne sont pas exclusives d'une ou de plusieurs des peines complémentaires prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417345&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-43 (V)'>l'article 131-43</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417340
IG-20231129
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LEGIARTI000006417341
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
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LEGISCTA000006181735
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
Code pénal, art. 131-41
Code pénal
Le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est égal au quintuple de celui prévu pour les personnes physiques par le règlement qui réprime l'infraction.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-41
LEGIARTI000006417342
LEGIARTI000006417342
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est égal au quintuple de celui prévu pour les personnes physiques par le règlement qui réprime l'infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240617_190003_022_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417342
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
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LEGISCTA000006181735
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
Code pénal, art. 131-42
Code pénal
Pour toutes les contraventions de la 5e classe, la peine d'amende peut être remplacée par une ou plusieurs des peines privatives ou restrictives de droits suivantes : 1° L'interdiction, pour une durée d'un an au plus, d'émettre des chèques autres que ceux qui permettent le retrait de fonds par le tireur auprès du tiré ou ceux qui sont certifiés ou d'utiliser des cartes de paiement ; 2° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction ou de la chose qui en est le produit.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-42
LEGIARTI000006417344
LEGIARTI000006417344
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Pour toutes les contraventions de la 5e classe, la peine d'amende peut être remplacée par une ou plusieurs des peines privatives ou restrictives de droits suivantes :</p><p></p><p>1° L'interdiction, pour une durée d'un an au plus, d'émettre des chèques autres que ceux qui permettent le retrait de fonds par le tireur auprès du tiré ou ceux qui sont certifiés ou d'utiliser des cartes de paiement ;</p><p></p><p>2° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction ou de la chose qui en est le produit.</p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417344
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
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LEGISCTA000006181735
null
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null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
Code pénal, art. 131-43
Code pénal
Le règlement qui réprime une contravention peut prévoir, lorsque le coupable est une personne morale, les peines complémentaires mentionnées aux 5°, 8° et 9° de l'article 131-16 . Pour les contraventions de la 5e classe, le règlement peut, en outre, prévoir la peine complémentaire mentionnée au premier alinéa de l'article 131-17 .
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
131-43
LEGIARTI000038313048
LEGIARTI000006417345
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.
3.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Le règlement qui réprime une contravention peut prévoir, lorsque le coupable est une personne morale, les peines complémentaires mentionnées aux 5°, 8° et 9° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000038313063&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code pénal - art. 131-16 (VD)'>l'article 131-16</a>. Pour les contraventions de la 5e classe, le règlement peut, en outre, prévoir la peine complémentaire mentionnée au premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417269&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-17</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417346
IG-20231124
null
LEGIARTI000038313048
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
null
LEGISCTA000006181735
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 131-44
Code pénal
Lorsqu'une contravention est punie d'une ou de plusieurs des peines complémentaires prévues à l'article 131-43 , la juridiction peut ne prononcer que la peine complémentaire ou l'une ou plusieurs des peines complémentaires encourues.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-44
LEGIARTI000006417347
LEGIARTI000006417347
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Lorsqu'une contravention est punie d'une ou de plusieurs des peines complémentaires prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417345&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-43 (V)'>l'article 131-43</a>, la juridiction peut ne prononcer que la peine complémentaire ou l'une ou plusieurs des peines complémentaires encourues.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417347
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
null
LEGISCTA000006181735
null
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null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
Code pénal, art. 131-44-1
Code pénal
Pour les contraventions de la 5e classe, la juridiction peut prononcer à la place ou en même temps que l'amende encourue par la personne morale la peine de sanction-réparation selon les modalités prévues par l'article 131-8-1 . Dans ce cas, la juridiction fixe le montant maximum de l'amende, qui ne peut excéder 7 500 euros, dont le juge de l'application des peines pourra ordonner la mise à exécution en tout ou partie dans les conditions prévues par l'article 712-6 du code de procédure pénale si le condamné ne respecte pas l'obligation de réparation.
1,173,225,600,000
32,472,144,000,000
131-44-1
LEGIARTI000006417348
LEGIARTI000006417348
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p>Pour les contraventions de la 5e classe, la juridiction peut prononcer à la place ou en même temps que l'amende encourue par la personne morale la peine de sanction-réparation selon les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417244&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-8-1 (V)'>l'article 131-8-1</a>. </p><p>Dans ce cas, la juridiction fixe le montant maximum de l'amende, qui ne peut excéder 7 500 euros, dont le juge de l'application des peines pourra ordonner la mise à exécution en tout ou partie dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577885&dateTexte=&categorieLien=cid' title='CODE DE PROCEDURE PENALE - art. 712-6 (V)'>l'article 712-6 du code de procédure pénale</a> si le condamné ne respecte pas l'obligation de réparation.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417348
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181735
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Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
null
LEGISCTA000006181735
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 2 : Des peines contraventionnelles
null
Code pénal, art. 131-45
Code pénal
La décision prononçant la dissolution de la personne morale comporte le renvoi de celle-ci devant le tribunal compétent pour procéder à la liquidation.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-45
LEGIARTI000006417349
LEGIARTI000006417349
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> La décision prononçant la dissolution de la personne morale comporte le renvoi de celle-ci devant le tribunal compétent pour procéder à la liquidation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417349
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181736
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false
Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
null
LEGISCTA000006181736
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
Code pénal, art. 131-46
Code pénal
La décision de placement sous surveillance judiciaire de la personne morale comporte la désignation d'un mandataire de justice dont la juridiction précise la mission. Cette mission ne peut porter que sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. Tous les six mois, au moins, le mandataire de justice rend compte au juge de l'application des peines de l'accomplissement de sa mission. Au vu de ce compte rendu, le juge de l'application des peines peut saisir la juridiction qui a prononcé le placement sous surveillance judiciaire. Celle-ci peut alors soit prononcer une nouvelle peine, soit relever la personne morale de la mesure de placement.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-46
LEGIARTI000006417351
LEGIARTI000006417350
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La décision de placement sous surveillance judiciaire de la personne morale comporte la désignation d'un mandataire de justice dont la juridiction précise la mission. Cette mission ne peut porter que sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. Tous les six mois, au moins, le mandataire de justice rend compte au juge de l'application des peines de l'accomplissement de sa mission.<p></p><p></p> Au vu de ce compte rendu, le juge de l'application des peines peut saisir la juridiction qui a prononcé le placement sous surveillance judiciaire. Celle-ci peut alors soit prononcer une nouvelle peine, soit relever la personne morale de la mesure de placement.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417350
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417351
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181736
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Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
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LEGISCTA000006181736
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
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Code pénal, art. 131-47
Code pénal
L'interdiction de procéder à une offre au public de titres financiers ou de faire admettre ses titres financiers aux négociations sur un marché réglementé emporte prohibition, pour le placement de titres quels qu'ils soient, d'avoir recours tant à des établissements de crédit, établissements financiers ou sociétés de bourse qu'à des procédés quelconques de publicité.
1,238,544,000,000
32,472,144,000,000
131-47
LEGIARTI000020148560
LEGIARTI000006417352
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>L'interdiction de procéder à une offre au public de titres financiers ou de faire admettre ses titres financiers aux négociations sur un marché réglementé emporte prohibition, pour le placement de titres quels qu'ils soient, d'avoir recours tant à des établissements de crédit, établissements financiers ou sociétés de bourse qu'à des procédés quelconques de publicité.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417352
IG-20231129
null
LEGIARTI000020148560
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181736
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false
Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
null
LEGISCTA000006181736
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
Code pénal, art. 131-48
Code pénal
La peine d'interdiction d'exercer une ou plusieurs activités professionnelles ou sociales emporte les conséquences prévues à l'article 131-28 . La peine de fermeture d'un ou de plusieurs établissements emporte les conséquences prévues à l'article 131-33 . La peine d'exclusion des marchés publics emporte les conséquences prévues à l'article 131-34 . La peine d'interdiction d'émettre des chèques emporte les conséquences prévues au premier alinéa de l'article 131-19 . La peine de confiscation de la chose est prononcée dans les conditions prévues à l'article 131-21 . La peine d'affichage de la décision ou de diffusion de celle-ci est prononcée dans les conditions prévues à l'article 131-35.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-48
LEGIARTI000006417353
LEGIARTI000006417353
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p>La peine d'interdiction d'exercer une ou plusieurs activités professionnelles ou sociales emporte les conséquences prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417292&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-28 (V)'>l'article 131-28</a>. <p></p><p></p>La peine de fermeture d'un ou de plusieurs établissements emporte les conséquences prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417306&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-33 (V)'>l'article 131-33</a>. <p></p><p></p>La peine d'exclusion des marchés publics emporte les conséquences prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417307&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-34 (V)'>l'article 131-34</a>. <p></p><p></p>La peine d'interdiction d'émettre des chèques emporte les conséquences prévues au premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417271&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-19 (V)'>l'article 131-19</a>. <p></p><p></p>La peine de confiscation de la chose est prononcée dans les conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417273&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-21 (V)'>l'article 131-21</a>. <p></p><p></p>La peine d'affichage de la décision ou de diffusion de celle-ci est prononcée dans les conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417308&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-35 (V)'>l'article 131-35.</a><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417353
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181736
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Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
null
LEGISCTA000006181736
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
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Code pénal, art. 131-49
Code pénal
Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application des dispositions des articles 131-45 à 131-47 et fixe les conditions dans lesquelles les représentants du personnel sont avisés de la date d'audience.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
131-49
LEGIARTI000006417354
LEGIARTI000006417354
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités d'application des dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417349&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-45 (V)'>articles 131-45 à 131-47</a> et fixe les conditions dans lesquelles les représentants du personnel sont avisés de la date d'audience.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417354
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181736
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false
Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
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LEGISCTA000006181736
null
null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre Ier : De la nature des peines &gt; Section 2 : Des peines applicables aux personnes morales &gt; Sous-section 3 : Du contenu et des modalités d'application de certaines peines
null
Code pénal, art. 132-1
Code pénal
Lorsque la loi ou le règlement réprime une infraction, le régime des peines qui peuvent être prononcées obéit, sauf dispositions législatives contraires, aux règles du présent chapitre. Toute peine prononcée par la juridiction doit être individualisée. Dans les limites fixées par la loi, la juridiction détermine la nature, le quantum et le régime des peines prononcées en fonction des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur ainsi que de sa situation matérielle, familiale et sociale, conformément aux finalités et fonctions de la peine énoncées à l'article 130-1.
1,412,121,600,000
32,472,144,000,000
132-1
LEGIARTI000029370560
LEGIARTI000006417356
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Lorsque la loi ou le règlement réprime une infraction, le régime des peines qui peuvent être prononcées obéit, sauf dispositions législatives contraires, aux règles du présent chapitre. </p><p>Toute peine prononcée par la juridiction doit être individualisée. </p><p>Dans les limites fixées par la loi, la juridiction détermine la nature, le quantum et le régime des peines prononcées en fonction des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur ainsi que de sa situation matérielle, familiale et sociale, conformément aux finalités et fonctions de la peine énoncées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000029363615&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 130-1 (VD)'>l'article 130-1.</a></p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417356
MD-20240625_190601_798_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000029370560
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006149820
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Chapitre II : Du régime des peines
null
null
LEGISCTA000006149820
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null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines
null
Code pénal, art. 132-2
Code pénal
Il y a concours d'infractions lorsqu'une infraction est commise par une personne avant que celle-ci ait été définitivement condamnée pour une autre infraction.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-2
LEGIARTI000006417357
LEGIARTI000006417357
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Il y a concours d'infractions lorsqu'une infraction est commise par une personne avant que celle-ci ait été définitivement condamnée pour une autre infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240820_190350_879_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417357
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
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Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
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LEGISCTA000006181737
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-3
Code pénal
Lorsque, à l'occasion d'une même procédure, la personne poursuivie est reconnue coupable de plusieurs infractions en concours, chacune des peines encourues peut être prononcée. Toutefois, lorsque plusieurs peines de même nature sont encourues, il ne peut être prononcé qu'une seule peine de cette nature dans la limite du maximum légal le plus élevé. Chaque peine prononcée est réputée commune aux infractions en concours dans la limite du maximum légal applicable à chacune d'entre elles.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-3
LEGIARTI000006417358
LEGIARTI000006417358
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque, à l'occasion d'une même procédure, la personne poursuivie est reconnue coupable de plusieurs infractions en concours, chacune des peines encourues peut être prononcée. Toutefois, lorsque plusieurs peines de même nature sont encourues, il ne peut être prononcé qu'une seule peine de cette nature dans la limite du maximum légal le plus élevé.<p></p><p></p> Chaque peine prononcée est réputée commune aux infractions en concours dans la limite du maximum légal applicable à chacune d'entre elles.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417358
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
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Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
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LEGISCTA000006181737
null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-4
Code pénal
Lorsque, à l'occasion de procédures séparées, la personne poursuivie a été reconnue coupable de plusieurs infractions en concours, les peines prononcées s'exécutent cumulativement dans la limite du maximum légal le plus élevé. Toutefois, la confusion totale ou partielle des peines de même nature peut être ordonnée soit par la dernière juridiction appelée à statuer, soit dans les conditions prévues par le code de procédure pénale.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-4
LEGIARTI000006417359
LEGIARTI000006417359
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque, à l'occasion de procédures séparées, la personne poursuivie a été reconnue coupable de plusieurs infractions en concours, les peines prononcées s'exécutent cumulativement dans la limite du maximum légal le plus élevé. Toutefois, la confusion totale ou partielle des peines de même nature peut être ordonnée soit par la dernière juridiction appelée à statuer, soit dans les conditions prévues par le code de procédure pénale.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240307_200751_780_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417359
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
false
false
Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
null
LEGISCTA000006181737
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-5
Code pénal
Pour l'application des articles 132-3 et 132-4 , les peines privatives de liberté sont de même nature et toute peine privative de liberté est confondue avec une peine perpétuelle. Il est tenu compte, s'il y a lieu, de l'état de récidive. Lorsque la réclusion criminelle à perpétuité, encourue pour l'une ou plusieurs des infractions en concours, n'a pas été prononcée, le maximum légal est fixé à trente ans de réclusion criminelle. Le maximum légal du montant et de la durée de la peine de jours-amende et celui de la peine de travail d'intérêt général sont fixés respectivement par les articles 131-5 et 131-8. Le bénéfice du sursis attaché en tout ou partie à l'une des peines prononcées pour des infractions en concours ne met pas obstacle à l'exécution des peines de même nature non assorties du sursis.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-5
LEGIARTI000006417361
LEGIARTI000006417360
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p>Pour l'application des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417358&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-3 (V)'>articles 132-3 et 132-4</a>, les peines privatives de liberté sont de même nature et toute peine privative de liberté est confondue avec une peine perpétuelle. <p></p><p></p>Il est tenu compte, s'il y a lieu, de l'état de récidive. <p></p><p></p>Lorsque la réclusion criminelle à perpétuité, encourue pour l'une ou plusieurs des infractions en concours, n'a pas été prononcée, le maximum légal est fixé à trente ans de réclusion criminelle. <p></p><p></p>Le maximum légal du montant et de la durée de la peine de jours-amende et celui de la peine de travail d'intérêt général sont fixés respectivement par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417231&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-5 (V)'>articles 131-5 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417241&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-8 (V)'>131-8.</a><p></p><p></p>Le bénéfice du sursis attaché en tout ou partie à l'une des peines prononcées pour des infractions en concours ne met pas obstacle à l'exécution des peines de même nature non assorties du sursis.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417360
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417361
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
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Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
null
LEGISCTA000006181737
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-6
Code pénal
Lorsqu'une peine a fait l'objet d'une grâce ou d'un relèvement, il est tenu compte, pour l'application de la confusion, de la peine résultant de la mesure ou de la décision. Le relèvement intervenu après la confusion s'applique à la peine résultant de la confusion. La durée de la réduction de peine s'impute sur celle de la peine à subir, le cas échéant, après confusion.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-6
LEGIARTI000006417363
LEGIARTI000006417362
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'une peine a fait l'objet d'une grâce ou d'un relèvement, il est tenu compte, pour l'application de la confusion, de la peine résultant de la mesure ou de la décision.<p></p><p></p> Le relèvement intervenu après la confusion s'applique à la peine résultant de la confusion.<p></p><p></p> La durée de la réduction de peine s'impute sur celle de la peine à subir, le cas échéant, après confusion.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417362
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417363
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
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Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
null
LEGISCTA000006181737
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-7
Code pénal
Par dérogation aux dispositions qui précèdent, les peines d'amende pour contraventions se cumulent entre elles et avec celles encourues ou prononcées pour des crimes ou délits en concours.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-7
LEGIARTI000006417364
LEGIARTI000006417364
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p> Par dérogation aux dispositions qui précèdent, les peines d'amende pour contraventions se cumulent entre elles et avec celles encourues ou prononcées pour des crimes ou délits en concours.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417364
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181737
false
false
Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
null
LEGISCTA000006181737
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 1 : Des peines applicables en cas de concours d'infractions
null
Code pénal, art. 132-8
Code pénal
Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet un crime, le maximum de la peine de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle est la perpétuité si le maximum fixé par la loi pour ce crime est de vingt ou trente ans. Le maximum de la peine est porté à trente ans de réclusion criminelle ou de détention criminelle si le crime est puni de quinze ans.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-8
LEGIARTI000006417365
LEGIARTI000006417365
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet un crime, le maximum de la peine de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle est la perpétuité si le maximum fixé par la loi pour ce crime est de vingt ou trente ans. Le maximum de la peine est porté à trente ans de réclusion criminelle ou de détention criminelle si le crime est puni de quinze ans.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417365
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192890
false
false
Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
null
LEGISCTA000006192890
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
Code pénal, art. 132-9
Code pénal
Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de dix ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni de la même peine, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé. Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni d'une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an et inférieure à dix ans, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-9
LEGIARTI000006417366
LEGIARTI000006417366
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de dix ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni de la même peine, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.<p></p><p></p> Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni de dix ans d'emprisonnement par la loi, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, un délit puni d'une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an et inférieure à dix ans, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20241106_200202_840_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417366
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006192890
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Paragraphe 1 : Personnes physiques
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null
LEGISCTA000006192890
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
Code pénal, art. 132-10
Code pénal
Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un délit, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, soit le même délit, soit un délit qui lui est assimilé au regard des règles de la récidive, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-10
LEGIARTI000006417367
LEGIARTI000006417367
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour un délit, commet, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, soit le même délit, soit un délit qui lui est assimilé au regard des règles de la récidive, le maximum des peines d'emprisonnement et d'amende encourues est doublé.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240820_190350_879_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417367
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192890
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Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
null
LEGISCTA000006192890
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
Code pénal, art. 132-11
Code pénal
Dans les cas où le règlement le prévoit, lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour une contravention de la 5e classe, commet, dans le délai d'un an à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, la même contravention, le maximum de la peine d'amende encourue est porté à 3 000 euros. Dans les cas où la loi prévoit que la récidive d'une contravention de la 5e classe constitue un délit, la récidive est constituée si les faits sont commis dans le délai de trois ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine.
1,055,462,400,000
32,472,144,000,000
132-11
LEGIARTI000006417370
LEGIARTI000006417368
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Dans les cas où le règlement le prévoit, lorsqu'une personne physique, déjà condamnée définitivement pour une contravention de la 5e classe, commet, dans le délai d'un an à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, la même contravention, le maximum de la peine d'amende encourue est porté à 3 000 euros.</p><p>Dans les cas où la loi prévoit que la récidive d'une contravention de la 5e classe constitue un délit, la récidive est constituée si les faits sont commis dans le délai de trois ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417369
MD-20241106_200158_776_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417370
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006192890
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false
Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
null
LEGISCTA000006192890
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 1 : Personnes physiques
null
Code pénal, art. 132-12
Code pénal
Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale par un crime, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. Dans ce cas, la personne morale encourt, en outre, les peines mentionnées à l'article 131-39 , sous réserve des dispositions du dernier alinéa de cet article.
1,386,460,800,000
32,472,144,000,000
132-12
LEGIARTI000028311889
LEGIARTI000006417371
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale par un crime, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. Dans ce cas, la personne morale encourt, en outre, les peines mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39</a>, sous réserve des dispositions du dernier alinéa de cet article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417372
IG-20231124
null
LEGIARTI000028311889
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192891
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Paragraphe 2 : Personnes morales
null
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LEGISCTA000006192891
null
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 2 : Personnes morales
null
Code pénal, art. 132-13
Code pénal
Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale, dans le délai de dix ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par un délit puni de la même peine, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques d'une peine d'amende supérieure à 15 000 euros, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. Dans les cas prévus par les deux alinéas précédents, la personne morale encourt, en outre, les peines mentionnées à l'article 131-39 , sous réserve des dispositions du dernier alinéa de cet article.
1,386,460,800,000
32,472,144,000,000
132-13
LEGIARTI000028311896
LEGIARTI000006417373
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale, dans le délai de dix ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par un délit puni de la même peine, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. </p><p>Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un crime ou pour un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques de 100 000 euros d'amende, engage sa responsabilité pénale, dans le délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par un délit puni par la loi en ce qui concerne les personnes physiques d'une peine d'amende supérieure à 15 000 euros, le taux maximum de l'amende applicable pour les personnes morales est doublé. </p><p>Dans les cas prévus par les deux alinéas précédents, la personne morale encourt, en outre, les peines mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39</a>, sous réserve des dispositions du dernier alinéa de cet article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417375
IG-20231124
null
LEGIARTI000028311896
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192891
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Paragraphe 2 : Personnes morales
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LEGISCTA000006192891
null
null
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null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 2 : Personnes morales
null
Code pénal, art. 132-14
Code pénal
Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un délit, engage sa responsabilité pénale, dans un délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, soit par le même délit, soit par un délit qui lui est assimilé au regard des règles de la récidive, le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est doublé.
1,386,460,800,000
32,472,144,000,000
132-14
LEGIARTI000028311893
LEGIARTI000006417376
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour un délit, engage sa responsabilité pénale, dans un délai de cinq ans à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, soit par le même délit, soit par un délit qui lui est assimilé au regard des règles de la récidive, le taux maximum de l'amende applicable aux personnes morales est doublé.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417376
IG-20231128
null
LEGIARTI000028311893
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192891
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Paragraphe 2 : Personnes morales
null
null
LEGISCTA000006192891
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 2 : Personnes morales
null
Code pénal, art. 132-15
Code pénal
Dans les cas où le règlement le prévoit, lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour une contravention de la 5e classe, engage sa responsabilité pénale, dans le délai d'un an à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par la même contravention, le taux maximum de l'amende applicable est égal à dix fois celui qui est prévu par le règlement qui réprime cette contravention en ce qui concerne les personnes physiques.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-15
LEGIARTI000006417377
LEGIARTI000006417377
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Dans les cas où le règlement le prévoit, lorsqu'une personne morale, déjà condamnée définitivement pour une contravention de la 5e classe, engage sa responsabilité pénale, dans le délai d'un an à compter de l'expiration ou de la prescription de la précédente peine, par la même contravention, le taux maximum de l'amende applicable est égal à dix fois celui qui est prévu par le règlement qui réprime cette contravention en ce qui concerne les personnes physiques.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20241002_191124_951_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417377
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192891
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Paragraphe 2 : Personnes morales
null
null
LEGISCTA000006192891
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 2 : Personnes morales
null
Code pénal, art. 132-16
Code pénal
Le vol, l'extorsion, le chantage, l'escroquerie et l'abus de confiance sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-16
LEGIARTI000006417378
LEGIARTI000006417378
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Le vol, l'extorsion, le chantage, l'escroquerie et l'abus de confiance sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417378
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192892
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Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-1
Code pénal
Les délits d'agressions sexuelles et d'atteintes sexuelles sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.
898,128,000,000
32,472,144,000,000
132-16-1
LEGIARTI000006417379
LEGIARTI000006417379
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les délits d'agressions sexuelles et d'atteintes sexuelles sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417379
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192892
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Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-2
Code pénal
Les délits d'homicide involontaire ou d'atteinte involontaire à l'intégrité de la personne commis à l'occasion de la conduite d'un véhicule terrestre à moteur prévus par les articles 221-6-1 , 222-19-1 et 222-20-1 sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction. Les délits prévus par les articles L. 221-2 , L. 233-1 , L. 233-1-1 , L. 234-1 , L. 235-1 et L. 413-1 du code de la route sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction. Ils sont également assimilés aux délits mentionnés à l'alinéa précédent lorsqu'ils constituent le second terme de la récidive.
1,643,155,200,000
32,472,144,000,000
132-16-2
LEGIARTI000045071505
LEGIARTI000006417380
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les délits d'homicide involontaire ou d'atteinte involontaire à l'intégrité de la personne commis à l'occasion de la conduite d'un véhicule terrestre à moteur prévus par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417582&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 221-6-1</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417669&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-19-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417673&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-20-1 </a>sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction. </p><p>Les délits prévus par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006840947&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 221-2</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841036&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la route. - art. L233-1 (V)'>L. 233-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841039&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la route. - art. L233-1-1 (V)'>L. 233-1-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841043&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la route. - art. L234-1 (V)'>L. 234-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841068&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 235-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841237&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 413-1 </a>du code de la route sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction. Ils sont également assimilés aux délits mentionnés à l'alinéa précédent lorsqu'ils constituent le second terme de la récidive.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417380
IG-20231124
null
LEGIARTI000045071505
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192892
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Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-3
Code pénal
Les délits de traite des êtres humains et de proxénétisme prévus par les articles 225-4-1, 225-4-2 , 225-4-8 , 225-5 à 225-7 et 225-10 sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-16-3
LEGIARTI000006417381
LEGIARTI000006417381
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Les délits de traite des êtres humains et de proxénétisme prévus par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417840&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-4-1 (V)'>articles 225-4-1, 225-4-2</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417848&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-4-8 (Ab)'>225-4-8</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417850&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-5 (V)'>225-5 à 225-7 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417868&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-10 (V)'>225-10</a> sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417381
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192892
false
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Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
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LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-4
Code pénal
Les délits de violences volontaires aux personnes ainsi que tout délit commis avec la circonstance aggravante de violences sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-16-4
LEGIARTI000006417382
LEGIARTI000006417382
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> Les délits de violences volontaires aux personnes ainsi que tout délit commis avec la circonstance aggravante de violences sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417382
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192892
false
false
Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-4-1
Code pénal
Les délits relatifs au trafic d'armes prévus aux articles 222-52 à 222-67 sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.
1,465,084,800,000
32,472,144,000,000
132-16-4-1
LEGIARTI000032632285
LEGIARTI000032632280
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
236,219
null
null
null
Article
<p>Les délits relatifs au trafic d'armes prévus aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000032632509&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-52 (V)'>222-52 à 222-67</a> sont considérés, au regard de la récidive, comme une même infraction.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000032632285
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192892
false
false
Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-5
Code pénal
L'état de récidive légale peut être relevé d'office par la juridiction de jugement même lorsqu'il n'est pas mentionné dans l'acte de poursuites, dès lors qu'au cours de l'audience la personne poursuivie en a été informée et qu'elle a été mise en mesure d'être assistée d'un avocat et de faire valoir ses observations.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-16-5
LEGIARTI000006417383
LEGIARTI000006417383
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> L'état de récidive légale peut être relevé d'office par la juridiction de jugement même lorsqu'il n'est pas mentionné dans l'acte de poursuites, dès lors qu'au cours de l'audience la personne poursuivie en a été informée et qu'elle a été mise en mesure d'être assistée d'un avocat et de faire valoir ses observations.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417383
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192892
false
false
Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
null
LEGISCTA000006192892
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 2 : Des peines applicables en cas de récidive &gt; Paragraphe 3 : Dispositions générales
null
Code pénal, art. 132-16-7
Code pénal
Il y a réitération d'infractions pénales lorsqu'une personne a déjà été condamnée définitivement pour un crime ou un délit et commet une nouvelle infraction qui ne répond pas aux conditions de la récidive légale. Les peines prononcées pour l'infraction commise en réitération se cumulent sans limitation de quantum et sans possibilité de confusion avec les peines définitivement prononcées lors de la condamnation précédente.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-16-7
LEGIARTI000006417385
LEGIARTI000006417385
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Il y a réitération d'infractions pénales lorsqu'une personne a déjà été condamnée définitivement pour un crime ou un délit et commet une nouvelle infraction qui ne répond pas aux conditions de la récidive légale.<p></p><p></p> Les peines prononcées pour l'infraction commise en réitération se cumulent sans limitation de quantum et sans possibilité de confusion avec les peines définitivement prononcées lors de la condamnation précédente.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417385
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181739
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false
Sous-section 3 : Des peines applicables en cas de réitération d'infractions
null
null
LEGISCTA000006181739
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 3 : Des peines applicables en cas de réitération d'infractions
null
Code pénal, art. 132-17
Code pénal
Aucune peine ne peut être appliquée si la juridiction ne l'a expressément prononcée. La juridiction peut ne prononcer que l'une des peines encourues pour l'infraction dont elle est saisie.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-17
LEGIARTI000006417387
LEGIARTI000006417386
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Aucune peine ne peut être appliquée si la juridiction ne l'a expressément prononcée.<p></p><p></p> La juridiction peut ne prononcer que l'une des peines encourues pour l'infraction dont elle est saisie.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417386
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417387
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181741
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Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-18
Code pénal
Lorsqu'une infraction est punie de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, la juridiction peut prononcer une peine de réclusion criminelle ou de détention criminelle à temps, ou une peine d'emprisonnement qui ne peut être inférieure à deux ans. Lorsqu'une infraction est punie de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à temps, la juridiction peut prononcer une peine de réclusion criminelle ou de détention criminelle pour une durée inférieure à celle qui est encourue, ou une peine d'emprisonnement qui ne peut être inférieure à un an.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-18
LEGIARTI000006417389
LEGIARTI000006417388
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Lorsqu'une infraction est punie de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, la juridiction peut prononcer une peine de réclusion criminelle ou de détention criminelle à temps, ou une peine d'emprisonnement qui ne peut être inférieure à deux ans.<p></p><p></p> Lorsqu'une infraction est punie de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à temps, la juridiction peut prononcer une peine de réclusion criminelle ou de détention criminelle pour une durée inférieure à celle qui est encourue, ou une peine d'emprisonnement qui ne peut être inférieure à un an.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417388
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417389
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181741
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false
Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-19
Code pénal
Lorsqu'un délit est puni d'une peine d'emprisonnement, la juridiction peut prononcer une peine d'emprisonnement ferme ou assortie en partie ou en totalité du sursis pour une durée inférieure à celle qui est encourue. Elle ne peut toutefois prononcer une peine d'emprisonnement ferme d'une durée inférieure ou égale à un mois. Toute peine d'emprisonnement sans sursis ne peut être prononcée qu'en dernier recours si la gravité de l'infraction et la personnalité de son auteur rendent cette peine indispensable et si toute autre sanction est manifestement inadéquate. Dans ce cas, si la peine est inférieure ou égale à six mois, elle doit, sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, faire l'objet d'une des mesures d'aménagement prévues à l' article 132-25 . Dans les autres cas prévus au même article 132-25, elle doit également être aménagée si la personnalité et la situation du condamné le permettent, et sauf impossibilité matérielle. Le tribunal doit spécialement motiver sa décision, au regard des faits de l'espèce et de la personnalité de leur auteur ainsi que de sa situation matérielle, familiale et sociale conformément aux dispositions de l' article 464-2 du code de procédure pénale .
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-19
LEGIARTI000038313376
LEGIARTI000006417390
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 109, XIX de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.
5.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un délit est puni d'une peine d'emprisonnement, la juridiction peut prononcer une peine d'emprisonnement ferme ou assortie en partie ou en totalité du sursis pour une durée inférieure à celle qui est encourue. Elle ne peut toutefois prononcer une peine d'emprisonnement ferme d'une durée inférieure ou égale à un mois. <br/><br/>Toute peine d'emprisonnement sans sursis ne peut être prononcée qu'en dernier recours si la gravité de l'infraction et la personnalité de son auteur rendent cette peine indispensable et si toute autre sanction est manifestement inadéquate. <br/><br/>Dans ce cas, si la peine est inférieure ou égale à six mois, elle doit, sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, faire l'objet d'une des mesures d'aménagement prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417407&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-25 (V)'>article 132-25</a>. Dans les autres cas prévus au même article 132-25, elle doit également être aménagée si la personnalité et la situation du condamné le permettent, et sauf impossibilité matérielle. <br/><br/>Le tribunal doit spécialement motiver sa décision, au regard des faits de l'espèce et de la personnalité de leur auteur ainsi que de sa situation matérielle, familiale et sociale conformément aux dispositions de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000038272125&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de procédure pénale - art. 464-2 (V)'>article 464-2 du code de procédure pénale</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000032656284
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313376
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181741
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false
Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
<p>Conformément à l’article 109, XIX de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-20
Code pénal
Lorsqu'une infraction est punie d'une peine d'amende, la juridiction peut prononcer une amende d'un montant inférieur à celle qui est encourue. Le montant de l'amende est déterminé en tenant compte des ressources et des charges de l'auteur de l'infraction. Les amendes prononcées en matière contraventionnelle, correctionnelle et criminelle, à l'exception des amendes forfaitaires, peuvent faire l'objet d'une majoration, dans la limite de 10 % de leur montant, perçue lors de leur recouvrement. Cette majoration, prononcée dans les conditions prévues à l'article 707-6 du code de procédure pénale, est destinée à financer l'aide aux victimes.
1,465,084,800,000
32,472,144,000,000
132-20
LEGIARTI000032655778
LEGIARTI000006417392
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'une infraction est punie d'une peine d'amende, la juridiction peut prononcer une amende d'un montant inférieur à celle qui est encourue. </p><p>Le montant de l'amende est déterminé en tenant compte des ressources et des charges de l'auteur de l'infraction. </p><p>Les amendes prononcées en matière contraventionnelle, correctionnelle et criminelle, à l'exception des amendes forfaitaires, peuvent faire l'objet d'une majoration, dans la limite de 10 % de leur montant, perçue lors de leur recouvrement. Cette majoration, prononcée dans les conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000032642565&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de procédure pénale - art. 707-6 (V)'>l'article 707-6</a> du code de procédure pénale, est destinée à financer l'aide aux victimes.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370574
MD-20240625_190558_426_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000032655778
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181741
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false
Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-20-1
Code pénal
Lorsque les circonstances de l'infraction ou la personnalité de l'auteur le justifient, le président de la juridiction avertit, lors du prononcé de la peine, le condamné des conséquences qu'entraînerait une condamnation pour une nouvelle infraction.
1,412,121,600,000
32,472,144,000,000
132-20-1
LEGIARTI000029370608
LEGIARTI000006417400
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Lorsque les circonstances de l'infraction ou la personnalité de l'auteur le justifient, le président de la juridiction avertit, lors du prononcé de la peine, le condamné des conséquences qu'entraînerait une condamnation pour une nouvelle infraction.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417400
IG-20231129
null
LEGIARTI000029370608
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181741
false
false
Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-21
Code pénal
L'interdiction de tout ou partie des droits civiques, civils et de famille mentionnés à l'article 131-26 ne peut, nonobstant toute disposition contraire, résulter de plein droit d'une condamnation pénale. Toute personne frappée d'une interdiction, déchéance ou incapacité quelconque qui résulte de plein droit, en application de dispositions particulières, d'une condamnation pénale, peut, par le jugement de condamnation ou par jugement ultérieur, être relevée en tout ou partie, y compris en ce qui concerne la durée, de cette interdiction, déchéance ou incapacité, dans les conditions fixées par le code de procédure pénale.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-21
LEGIARTI000006417395
LEGIARTI000006417394
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>L'interdiction de tout ou partie des droits civiques, civils et de famille mentionnés à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-26 (V)'>l'article 131-26</a> ne peut, nonobstant toute disposition contraire, résulter de plein droit d'une condamnation pénale. <p></p><p></p>Toute personne frappée d'une interdiction, déchéance ou incapacité quelconque qui résulte de plein droit, en application de dispositions particulières, d'une condamnation pénale, peut, par le jugement de condamnation ou par jugement ultérieur, être relevée en tout ou partie, y compris en ce qui concerne la durée, de cette interdiction, déchéance ou incapacité, dans les conditions fixées par le code de procédure pénale.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417394
MD-20241018_193940_149_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417395
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181741
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Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-22
Code pénal
Le procureur de la République, le juge d'instruction ou le tribunal saisi peuvent obtenir des parties, de toute administration, de tout établissement financier, ou de toute personne détenant des fonds du prévenu, la communication des renseignements utiles de nature financière ou fiscale, sans que puisse être opposée l'obligation au secret.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-22
LEGIARTI000006417397
LEGIARTI000006417396
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Le procureur de la République, le juge d'instruction ou le tribunal saisi peuvent obtenir des parties, de toute administration, de tout établissement financier, ou de toute personne détenant des fonds du prévenu, la communication des renseignements utiles de nature financière ou fiscale, sans que puisse être opposée l'obligation au secret.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417396
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417397
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181741
false
false
Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
null
LEGISCTA000006181741
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 4 : Du prononcé des peines
null
Code pénal, art. 132-23
Code pénal
En cas de condamnation à une peine privative de liberté, non assortie du sursis, dont la durée est égale ou supérieure à dix ans, prononcée pour les infractions spécialement prévues par la loi, le condamné ne peut bénéficier, pendant une période de sûreté, des dispositions concernant la suspension ou le fractionnement de la peine, le placement à l'extérieur, les permissions de sortir, la semi-liberté et la libération conditionnelle. La durée de la période de sûreté est de la moitié de la peine ou, s'il s'agit d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité, de dix-huit ans. La cour d'assises ou le tribunal peut toutefois, par décision spéciale, soit porter ces durées jusqu'aux deux tiers de la peine ou, s'il s'agit d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité, jusqu'à vingt-deux ans, soit décider de réduire ces durées. Dans les autres cas, lorsqu'elle prononce une peine privative de liberté d'une durée supérieure à cinq ans, non assortie du sursis, la juridiction peut fixer une période de sûreté pendant laquelle le condamné ne peut bénéficier d'aucune des modalités d'exécution de la peine mentionnée au premier alinéa. La durée de cette période de sûreté ne peut excéder les deux tiers de la peine prononcée ou vingt-deux ans en cas de condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité. Les réductions de peines accordées pendant la période de sûreté ne seront imputées que sur la partie de la peine excédant cette durée.
1,134,432,000,000
32,472,144,000,000
132-23
LEGIARTI000006417402
LEGIARTI000006417401
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> En cas de condamnation à une peine privative de liberté, non assortie du sursis, dont la durée est égale ou supérieure à dix ans, prononcée pour les infractions spécialement prévues par la loi, le condamné ne peut bénéficier, pendant une période de sûreté, des dispositions concernant la suspension ou le fractionnement de la peine, le placement à l'extérieur, les permissions de sortir, la semi-liberté et la libération conditionnelle.<p></p><p></p> La durée de la période de sûreté est de la moitié de la peine ou, s'il s'agit d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité, de dix-huit ans. La cour d'assises ou le tribunal peut toutefois, par décision spéciale, soit porter ces durées jusqu'aux deux tiers de la peine ou, s'il s'agit d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité, jusqu'à vingt-deux ans, soit décider de réduire ces durées.<p></p><p></p> Dans les autres cas, lorsqu'elle prononce une peine privative de liberté d'une durée supérieure à cinq ans, non assortie du sursis, la juridiction peut fixer une période de sûreté pendant laquelle le condamné ne peut bénéficier d'aucune des modalités d'exécution de la peine mentionnée au premier alinéa. La durée de cette période de sûreté ne peut excéder les deux tiers de la peine prononcée ou vingt-deux ans en cas de condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité.<p></p><p></p> Les réductions de peines accordées pendant la période de sûreté ne seront imputées que sur la partie de la peine excédant cette durée.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417401
MD-20240513_190428_893_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417402
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181776
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Sous-section 5 : De la période de sûreté
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LEGISCTA000006181776
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 5 : De la période de sûreté
null
Code pénal, art. 132-23-1
Code pénal
Pour l'application du présent code et du code de procédure pénale, les condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne sont prises en compte dans les mêmes conditions que les condamnations prononcées par les juridictions pénales françaises et produisent les mêmes effets juridiques que ces condamnations.
1,277,942,400,000
32,472,144,000,000
132-23-1
LEGIARTI000021958963
LEGIARTI000021957659
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
715,827,882
null
null
null
Article
Pour l'application du présent code et du code de procédure pénale, les condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne sont prises en compte dans les mêmes conditions que les condamnations prononcées par les juridictions pénales françaises et produisent les mêmes effets juridiques que ces condamnations.
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000021958963
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000021958965
false
false
Sous-section 6 : Des effets des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne
null
null
LEGISCTA000021957657
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 6 : Des effets des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne
null
Code pénal, art. 132-23-2
Code pénal
Pour l'appréciation des effets juridiques des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne, la qualification des faits est déterminée par rapport aux incriminations définies par la loi française et sont prises en compte les peines équivalentes aux peines prévues par la loi française.
1,277,942,400,000
32,472,144,000,000
132-23-2
LEGIARTI000021958961
LEGIARTI000021957661
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,431,655,764
null
null
null
Article
<p>Pour l'appréciation des effets juridiques des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne, la qualification des faits est déterminée par rapport aux incriminations définies par la loi française et sont prises en compte les peines équivalentes aux peines prévues par la loi française. </p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000021958961
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000021958965
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false
Sous-section 6 : Des effets des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne
null
null
LEGISCTA000021957657
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 1 : Dispositions générales &gt; Sous-section 6 : Des effets des condamnations prononcées par les juridictions pénales d'un Etat membre de l'Union européenne
null
Code pénal, art. 132-24
Code pénal
Les peines peuvent être personnalisées selon les modalités prévues à la présente section.
1,412,121,600,000
32,472,144,000,000
132-24
LEGIARTI000029370572
LEGIARTI000006417403
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
238,609,294
null
null
null
Article
<p>Les peines peuvent être personnalisées selon les modalités prévues à la présente section. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021330927
IG-20231129
null
LEGIARTI000029370572
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165267
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false
Section 2 : Des modes de personnalisation des peines
null
null
LEGISCTA000006165267
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines
null
Code pénal, art. 132-25
Code pénal
Lorsque la juridiction de jugement prononce une peine inférieure ou égale à six mois d'emprisonnement, un emprisonnement partiellement assorti du sursis ou du sursis probatoire et lorsque la partie ferme de la peine est inférieure ou égale à six mois, ou lorsque la juridiction prononce une peine pour laquelle la durée de l'emprisonnement restant à exécuter à la suite d'une détention provisoire est inférieure ou égale à six mois, elle doit, sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, ordonner que la peine sera exécutée en totalité sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté ou du placement à l'extérieur. Si la peine prononcée ou la partie ferme de la peine prononcée est supérieure à six mois et inférieure ou égale à un an d'emprisonnement, elle doit décider, si la personnalité et la situation du condamné le permettent, que la peine sera exécutée en tout ou partie sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté ou du placement à l'extérieur. Dans les cas prévus aux deux premiers alinéas, la juridiction de jugement peut ordonner le placement ou le maintien en détention du condamné dans les conditions prévues aux articles 397-4 et 465-1 du code de procédure pénale dès lors qu'elle assortit sa décision de l'exécution provisoire. Le juge de l'application des peines fixe les modalités d'exécution de la mesure dans un délai de cinq jours ouvrables, dans les conditions prévues à l'article 723-7-1 du même code.
1,700,611,200,000
32,472,144,000,000
132-25
LEGIARTI000048442213
LEGIARTI000006417407
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
14,316
null
null
null
Article
<p>Lorsque la juridiction de jugement prononce une peine inférieure ou égale à six mois d'emprisonnement, un emprisonnement partiellement assorti du sursis ou du sursis probatoire et lorsque la partie ferme de la peine est inférieure ou égale à six mois, ou lorsque la juridiction prononce une peine pour laquelle la durée de l'emprisonnement restant à exécuter à la suite d'une détention provisoire est inférieure ou égale à six mois, elle doit, sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, ordonner que la peine sera exécutée en totalité sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté ou du placement à l'extérieur.<br/><br/> Si la peine prononcée ou la partie ferme de la peine prononcée est supérieure à six mois et inférieure ou égale à un an d'emprisonnement, elle doit décider, si la personnalité et la situation du condamné le permettent, que la peine sera exécutée en tout ou partie sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté ou du placement à l'extérieur.</p><p>Dans les cas prévus aux deux premiers alinéas, la juridiction de jugement peut ordonner le placement ou le maintien en détention du condamné dans les conditions prévues aux articles 397-4 et 465-1 du code de procédure pénale dès lors qu'elle assortit sa décision de l'exécution provisoire. Le juge de l'application des peines fixe les modalités d'exécution de la mesure dans un délai de cinq jours ouvrables, dans les conditions prévues à l'article 723-7-1 du même code.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038313371
IG-20231129
null
LEGIARTI000048442213
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313374
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false
Sous-section 1 : De la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté et du placement à l'extérieur
null
null
LEGISCTA000006181744
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 1 : De la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté et du placement à l'extérieur
null
Code pénal, art. 132-26
Code pénal
Le condamné placé sous détention à domicile sous surveillance électronique est soumis aux obligations prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article 131-4-1. Le condamné admis au bénéfice de la semi-liberté est astreint à rejoindre l'établissement pénitentiaire pendant les périodes déterminées par le juge de l'application des peines. Ces périodes sont notamment déterminées en fonction du temps nécessaire pour que le condamné puisse exercer une activité professionnelle, suivre un enseignement, un stage, une formation ou un traitement, rechercher un emploi ou participer à la vie de famille ou à tout projet d'insertion ou de réinsertion. Le condamné admis au bénéfice du placement à l'extérieur est astreint, sous le contrôle de l'administration, à effectuer des activités ou à faire l'objet d'une prise en charge sanitaire en dehors de l'établissement pénitentiaire. La détention à domicile sous surveillance électronique, la semi-liberté et le placement à l'extérieur emportent également pour le condamné l'obligation de répondre aux convocations de toute autorité publique désignée par le juge de l'application des peines. La juridiction de jugement peut également soumettre le condamné aux mesures prévues aux articles 132-43 à 132-46 .
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-26
LEGIARTI000038313366
LEGIARTI000006417409
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 109, XIX de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.
4.0
28,632
null
null
null
Article
<p>Le condamné placé sous détention à domicile sous surveillance électronique est soumis aux obligations prévues aux deuxième et troisième alinéas de l'article 131-4-1. <br/><br/>Le condamné admis au bénéfice de la semi-liberté est astreint à rejoindre l'établissement pénitentiaire pendant les périodes déterminées par le juge de l'application des peines. <br/><br/>Ces périodes sont notamment déterminées en fonction du temps nécessaire pour que le condamné puisse exercer une activité professionnelle, suivre un enseignement, un stage, une formation ou un traitement, rechercher un emploi ou participer à la vie de famille ou à tout projet d'insertion ou de réinsertion. <br/><br/>Le condamné admis au bénéfice du placement à l'extérieur est astreint, sous le contrôle de l'administration, à effectuer des activités ou à faire l'objet d'une prise en charge sanitaire en dehors de l'établissement pénitentiaire. <br/><br/>La détention à domicile sous surveillance électronique, la semi-liberté et le placement à l'extérieur emportent également pour le condamné l'obligation de répondre aux convocations de toute autorité publique désignée par le juge de l'application des peines. <br/><br/>La juridiction de jugement peut également soumettre le condamné aux mesures prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417439&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-43 (V)'>132-43 </a>à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417449&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-46 (V)'>132-46</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021330938
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313366
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313374
false
false
Sous-section 1 : De la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté et du placement à l'extérieur
null
null
LEGISCTA000006181744
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 1 : De la détention à domicile sous surveillance électronique, de la semi-liberté et du placement à l'extérieur
<p>Conformément à l’article 109, XIX de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-27
Code pénal
En matière correctionnelle, la juridiction peut, pour motif d'ordre médical, familial, professionnel ou social, décider que l'emprisonnement prononcé pour une durée de deux ans, ou, si la personne est en état de récidive légale, égale ou inférieure à un an au plus sera, pendant une période n'excédant pas quatre ans, exécuté par fractions, aucune d'entre elles ne pouvant être inférieure à deux jours.
1,259,193,600,000
32,472,144,000,000
132-27
LEGIARTI000021330931
LEGIARTI000006417414
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>En matière correctionnelle, la juridiction peut, pour motif d'ordre médical, familial, professionnel ou social, décider que l'emprisonnement prononcé pour une durée de deux ans, ou, si la personne est en état de récidive légale, égale ou inférieure à un an au plus sera, pendant une période n'excédant pas quatre ans, exécuté par fractions, aucune d'entre elles ne pouvant être inférieure à deux jours.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417414
IG-20231124
null
LEGIARTI000021330931
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181745
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Sous-section 2 : Du fractionnement des peines
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null
LEGISCTA000006181745
null
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 2 : Du fractionnement des peines
null
Code pénal, art. 132-28
Code pénal
En matière correctionnelle ou contraventionnelle, la juridiction peut, pour motif grave d'ordre médical, familial, professionnel ou social, décider que la peine d'amende sera, pendant une période n'excédant pas trois ans, exécutée par fractions. Il en est de même pour les personnes physiques condamnées à la peine de jours-amende ou à la peine de suspension du permis de conduire ; le fractionnement de la peine de suspension de permis de conduire n'est toutefois pas possible en cas de délits ou de contraventions pour lesquels la loi ou le règlement prévoit que cette peine ne peut pas être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle.
1,055,462,400,000
32,472,144,000,000
132-28
LEGIARTI000006417416
LEGIARTI000006417415
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> En matière correctionnelle ou contraventionnelle, la juridiction peut, pour motif grave d'ordre médical, familial, professionnel ou social, décider que la peine d'amende sera, pendant une période n'excédant pas trois ans, exécutée par fractions. Il en est de même pour les personnes physiques condamnées à la peine de jours-amende ou à la peine de suspension du permis de conduire ; le fractionnement de la peine de suspension de permis de conduire n'est toutefois pas possible en cas de délits ou de contraventions pour lesquels la loi ou le règlement prévoit que cette peine ne peut pas être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417415
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417416
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181745
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false
Sous-section 2 : Du fractionnement des peines
null
null
LEGISCTA000006181745
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 2 : Du fractionnement des peines
null
Code pénal, art. 132-29
Code pénal
La juridiction qui prononce une peine peut, dans les cas et selon les conditions prévus ci-après, ordonner qu'il sera sursis à son exécution. Le président de la juridiction, après le prononcé de la peine assortie du sursis simple, avertit le condamné, lorsqu'il est présent, qu'en cas de condamnation pour une nouvelle infraction qui serait commise dans les délais prévus aux articles 132-35 et 132-37 , le sursis pourra être révoqué par la juridiction.
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
132-29
LEGIARTI000029370668
LEGIARTI000006417417
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>La juridiction qui prononce une peine peut, dans les cas et selon les conditions prévus ci-après, ordonner qu'il sera sursis à son exécution. </p><p>Le président de la juridiction, après le prononcé de la peine assortie du sursis simple, avertit le condamné, lorsqu'il est présent, qu'en cas de condamnation pour une nouvelle infraction qui serait commise dans les délais prévus aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417426&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-35 (VD)'>articles 132-35 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417428&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-37 (VD)'>132-37</a>, le sursis pourra être révoqué par la juridiction.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417417
IG-20231124
null
LEGIARTI000029370668
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181746
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Sous-section 3 : Du sursis simple
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null
LEGISCTA000006181746
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-30
Code pénal
En matière criminelle ou correctionnelle, le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne physique que lorsque le prévenu n'a pas été condamné, au cours des cinq années précédant les faits, pour crime ou délit de droit commun, à une peine de réclusion ou d'emprisonnement. Le sursis ne peut être ordonné à l'égard d'une personne morale que lorsque celle-ci n'a pas été condamnée, dans le même délai, pour un crime ou un délit de droit commun, à une amende d'un montant supérieur à 60 000 euros.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
132-30
LEGIARTI000006417419
LEGIARTI000006417418
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>En matière criminelle ou correctionnelle, le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne physique que lorsque le prévenu n'a pas été condamné, au cours des cinq années précédant les faits, pour crime ou délit de droit commun, à une peine de réclusion ou d'emprisonnement.</p><p>Le sursis ne peut être ordonné à l'égard d'une personne morale que lorsque celle-ci n'a pas été condamnée, dans le même délai, pour un crime ou un délit de droit commun, à une amende d'un montant supérieur à 60 000 euros.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417418
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417419
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192894
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false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192894
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-31
Code pénal
Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes physiques, aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de cinq ans au plus, à l'amende ou à la peine de jours-amende, aux peines privatives ou restrictives de droits mentionnées à l'article 131-6 , à l'exception de la confiscation, et aux peines complémentaires mentionnées à l'article 131-10 , à l'exception de la confiscation, de la fermeture d'établissement et de l'affichage. Le sursis simple ne peut être ordonné que pour l'emprisonnement lorsque le prévenu a été condamné dans le délai prévu à l'article 132-30 à une peine autre que la réclusion ou l'emprisonnement. La juridiction peut décider que le sursis ne s'appliquera à l'exécution de l'emprisonnement que pour une partie dont elle détermine la durée dans la limite de cinq ans.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-31
LEGIARTI000006417420
LEGIARTI000006417420
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p>Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes physiques, aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de cinq ans au plus, à l'amende ou à la peine de jours-amende, aux peines privatives ou restrictives de droits mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417235&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-6 (V)'>l'article 131-6</a>, à l'exception de la confiscation, et aux peines complémentaires mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417248&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-10 (V)'>l'article 131-10</a>, à l'exception de la confiscation, de la fermeture d'établissement et de l'affichage. <p></p><p></p>Le sursis simple ne peut être ordonné que pour l'emprisonnement lorsque le prévenu a été condamné dans le délai prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417418&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-30 (V)'>l'article 132-30</a> à une peine autre que la réclusion ou l'emprisonnement. <p></p><p></p>La juridiction peut décider que le sursis ne s'appliquera à l'exécution de l'emprisonnement que pour une partie dont elle détermine la durée dans la limite de cinq ans.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417420
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192894
false
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Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192894
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-32
Code pénal
Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes morales, aux condamnations à l'amende et aux peines mentionnées aux 2°, 5°, 6° et 7° de l'article 131-39 .
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-32
LEGIARTI000006417422
LEGIARTI000006417421
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p>Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes morales, aux condamnations à l'amende et aux peines mentionnées aux 2°, 5°, 6° et 7° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>l'article 131-39</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417421
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417422
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192894
false
false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192894
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-33
Code pénal
En matière contraventionnelle, le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne physique que lorsque le prévenu n'a pas été condamné, au cours des cinq années précédant les faits, pour crime ou délit de droit commun, à une peine de réclusion ou d'emprisonnement. Le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne morale que lorsque celle-ci n'a pas été condamnée, dans le même délai, pour crime ou délit de droit commun, à une amende d'un montant supérieur à 15 000 euros.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
132-33
LEGIARTI000006417424
LEGIARTI000006417423
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p>En matière contraventionnelle, le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne physique que lorsque le prévenu n'a pas été condamné, au cours des cinq années précédant les faits, pour crime ou délit de droit commun, à une peine de réclusion ou d'emprisonnement.</p><p>Le sursis simple ne peut être ordonné à l'égard d'une personne morale que lorsque celle-ci n'a pas été condamnée, dans le même délai, pour crime ou délit de droit commun, à une amende d'un montant supérieur à 15 000 euros.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417423
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417424
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192894
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Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192894
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-34
Code pénal
Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes physiques, aux condamnations aux peines privatives ou restrictives de droits mentionnées à l'article 131-14 , à l'exception de la confiscation, aux peines complémentaires prévues par les 1°, 2° et 4° de l'article 131-16 ainsi qu'à la peine complémentaire prévue au premier alinéa de l'article 131-17 . Il est également applicable à l'amende prononcée pour les contraventions de la 5e classe. En ce qui concerne les personnes morales, le sursis simple est applicable à la peine d'interdiction d'émettre des chèques ou d'utiliser des cartes de paiement prévue par les articles 131-42 et 131-43 . Il est également applicable à l'amende prononcée pour les contraventions de la 5e classe.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-34
LEGIARTI000006417425
LEGIARTI000006417425
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p>Le sursis simple est applicable, en ce qui concerne les personnes physiques, aux condamnations aux peines privatives ou restrictives de droits mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417260&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-14 (V)'>l'article 131-14</a>, à l'exception de la confiscation, aux peines complémentaires prévues par les 1°, 2° et 4° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417264&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-16 (V)'>l'article 131-16 </a>ainsi qu'à la peine complémentaire prévue au premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417269&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-17 (V)'>l'article 131-17</a>. Il est également applicable à l'amende prononcée pour les contraventions de la 5e classe. <p></p><p></p>En ce qui concerne les personnes morales, le sursis simple est applicable à la peine d'interdiction d'émettre des chèques ou d'utiliser des cartes de paiement prévue par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417344&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-42 (V)'>articles 131-42 et 131-43</a>. Il est également applicable à l'amende prononcée pour les contraventions de la 5e classe.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417425
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192894
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false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192894
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-35
Code pénal
La condamnation pour crime ou délit assortie du sursis simple est réputée non avenue si le condamné qui en bénéficie n'a pas commis, dans le délai de cinq ans à compter de celle-ci, un crime ou un délit de droit commun suivi d'une nouvelle condamnation ayant ordonné la révocation totale du sursis dans les conditions définies à l'article 132-36 ; le caractère non avenu de la condamnation ne fait pas obstacle à la révocation totale ou partielle du sursis en cas d'infraction commise dans le délai de cinq ans.
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
132-35
LEGIARTI000029370671
LEGIARTI000006417426
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p>La condamnation pour crime ou délit assortie du sursis simple est réputée non avenue si le condamné qui en bénéficie n'a pas commis, dans le délai de cinq ans à compter de celle-ci, un crime ou un délit de droit commun suivi d'une nouvelle condamnation ayant ordonné la révocation totale du sursis dans les conditions définies à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417427&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-36 (VD)'>l'article 132-36</a> ; le caractère non avenu de la condamnation ne fait pas obstacle à la révocation totale ou partielle du sursis en cas d'infraction commise dans le délai de cinq ans.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417426
IG-20231124
null
LEGIARTI000029370671
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192895
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Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-36
Code pénal
La juridiction peut, par décision spéciale, révoquer totalement ou partiellement, pour une durée ou un montant qu'elle détermine, le sursis antérieurement accordé, quelle que soit la peine qu'il accompagne, lorsqu'elle prononce une nouvelle condamnation à une peine de réclusion ou à une peine d'emprisonnement sans sursis. La juridiction peut, par décision spéciale, révoquer totalement ou partiellement, pour une durée ou un montant qu'elle détermine, le sursis antérieurement accordé qui accompagne une peine quelconque autre que la réclusion ou l'emprisonnement lorsqu'elle prononce une nouvelle condamnation d'une personne physique ou morale à une peine autre que la réclusion ou l'emprisonnement sans sursis. Lorsque la juridiction ordonne la révocation du sursis en totalité ou en partie, elle peut, par décision spéciale et motivée, exécutoire par provision, faire incarcérer le condamné.
1,553,472,000,000
32,472,144,000,000
132-36
LEGIARTI000038313316
LEGIARTI000006417427
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
85,898
null
null
null
Article
<p>La juridiction peut, par décision spéciale, révoquer totalement ou partiellement, pour une durée ou un montant qu'elle détermine, le sursis antérieurement accordé, quelle que soit la peine qu'il accompagne, lorsqu'elle prononce une nouvelle condamnation à une peine de réclusion ou à une peine d'emprisonnement sans sursis.</p><p>La juridiction peut, par décision spéciale, révoquer totalement ou partiellement, pour une durée ou un montant qu'elle détermine, le sursis antérieurement accordé qui accompagne une peine quelconque autre que la réclusion ou l'emprisonnement lorsqu'elle prononce une nouvelle condamnation d'une personne physique ou morale à une peine autre que la réclusion ou l'emprisonnement sans sursis.</p><p>Lorsque la juridiction ordonne la révocation du sursis en totalité ou en partie, elle peut, par décision spéciale et motivée, exécutoire par provision, faire incarcérer le condamné.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370664
IG-20231124
null
LEGIARTI000038313316
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192895
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Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-37
Code pénal
La condamnation pour contravention assortie du sursis simple est réputée non avenue si le condamné qui en bénéficie n'a pas commis, pendant le délai de deux ans à compter de celle-ci, un crime ou un délit de droit commun ou une contravention de la 5e classe suivie d'une nouvelle condamnation ayant ordonné la révocation du sursis dans les conditions définies à l'article 132-36 .
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
132-37
LEGIARTI000029370660
LEGIARTI000006417428
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>La condamnation pour contravention assortie du sursis simple est réputée non avenue si le condamné qui en bénéficie n'a pas commis, pendant le délai de deux ans à compter de celle-ci, un crime ou un délit de droit commun ou une contravention de la 5e classe suivie d'une nouvelle condamnation ayant ordonné la révocation du sursis dans les conditions définies à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000029370664&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code pénal - art. 132-36 (VD)'>l'article 132-36</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417428
IG-20231129
null
LEGIARTI000029370660
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192895
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Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-38
Code pénal
En cas de révocation du sursis simple ordonnée par la juridiction, la première peine est exécutée sans qu'elle puisse se confondre avec la seconde.
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
132-38
LEGIARTI000029370657
LEGIARTI000006417429
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p>En cas de révocation du sursis simple ordonnée par la juridiction, la première peine est exécutée sans qu'elle puisse se confondre avec la seconde.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417429
IG-20231129
null
LEGIARTI000029370657
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006192895
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false
Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-39
Code pénal
Lorsque le bénéfice du sursis simple n'a été accordé que pour une partie de la peine, la condamnation est réputée non avenue dans tous ses éléments si la révocation totale du sursis n'a pas été prononcée dans les conditions prévues à l'article 132-36 , la peine de jours-amende ou l'amende ou la partie de l'amende non assortie du sursis restant due.
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
132-39
LEGIARTI000029370654
LEGIARTI000006417430
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Lorsque le bénéfice du sursis simple n'a été accordé que pour une partie de la peine, la condamnation est réputée non avenue dans tous ses éléments si la révocation totale du sursis n'a pas été prononcée dans les conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417427&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-36 (VD)'>l'article 132-36</a>, la peine de jours-amende ou l'amende ou la partie de l'amende non assortie du sursis restant due.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417430
IG-20231129
null
LEGIARTI000029370654
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192895
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Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
null
LEGISCTA000006192895
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 3 : Du sursis simple &gt; Paragraphe 2 : Des effets du sursis simple
null
Code pénal, art. 132-40
Code pénal
La juridiction qui prononce un emprisonnement peut, dans les conditions prévues ci-après, ordonner qu'il sera sursis à son exécution, la personne physique condamnée étant placée sous le régime de la probation. Après le prononcé de l'emprisonnement assorti du sursis probatoire, le président de la juridiction notifie au condamné, lorsqu'il est présent, les obligations à respecter durant le délai de probation et l'avertit des conséquences qu'entraînerait une condamnation pour une nouvelle infraction commise au cours de ce délai ou un manquement aux mesures de contrôle et aux obligations particulières qui lui sont imposées. Il l'informe de la possibilité qu'il aura de voir déclarer sa condamnation non avenue s'il observe une conduite satisfaisante. Lorsque la juridiction prononce, à titre de peine complémentaire, la peine d'interdiction du territoire français pour une durée de dix ans au plus, il est sursis à son exécution durant le temps de la probation prévue au premier alinéa.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-40
LEGIARTI000038313559
LEGIARTI000006417431
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
128,847
null
null
null
Article
<p>La juridiction qui prononce un emprisonnement peut, dans les conditions prévues ci-après, ordonner qu'il sera sursis à son exécution, la personne physique condamnée étant placée sous le régime de la probation.</p><p>Après le prononcé de l'emprisonnement assorti du sursis probatoire, le président de la juridiction notifie au condamné, lorsqu'il est présent, les obligations à respecter durant le délai de probation et l'avertit des conséquences qu'entraînerait une condamnation pour une nouvelle infraction commise au cours de ce délai ou un manquement aux mesures de contrôle et aux obligations particulières qui lui sont imposées. Il l'informe de la possibilité qu'il aura de voir déclarer sa condamnation non avenue s'il observe une conduite satisfaisante.</p><p>Lorsque la juridiction prononce, à titre de peine complémentaire, la peine d'interdiction du territoire français pour une durée de dix ans au plus, il est sursis à son exécution durant le temps de la probation prévue au premier alinéa.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417433
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313559
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313564
false
false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
null
null
LEGISCTA000006192896
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-41
Code pénal
Le sursis probatoire est applicable aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de cinq ans au plus, en raison d'un crime ou d'un délit de droit commun. Lorsque la personne est en état de récidive légale, il est applicable aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de dix ans au plus. Toutes les fois que la juridiction n'a pas prononcé l'exécution provisoire, la probation n'est applicable qu'à compter du jour où la condamnation devient exécutoire selon les dispositions du deuxième alinéa de l'article 708 du code de procédure pénale. La juridiction pénale ne peut prononcer le sursis probatoire à l'encontre d'une personne ayant déjà fait l'objet de deux condamnations assorties du sursis probatoire pour des délits identiques ou assimilés au sens des articles 132-16 à 132-16-4 et se trouvant en état de récidive légale. Lorsqu'il s'agit soit d'un crime, soit d'un délit de violences volontaires, d'un délit d'agressions ou d'atteintes sexuelles ou d'un délit commis avec la circonstance aggravante de violences, la juridiction ne peut prononcer le sursis probatoire à l'encontre d'une personne ayant déjà fait l'objet d'une condamnation assortie du sursis probatoire pour des infractions identiques ou assimilées et se trouvant en état de récidive légale. Toutefois, ces dispositions ne sont pas applicables lorsque le sursis probatoire ne porte que sur une partie de la peine d'emprisonnement prononcée en application des dispositions du dernier alinéa de l'article 132-42 .
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-41
LEGIARTI000038313553
LEGIARTI000006417434
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Le sursis probatoire est applicable aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de cinq ans au plus, en raison d'un crime ou d'un délit de droit commun. Lorsque la personne est en état de récidive légale, il est applicable aux condamnations à l'emprisonnement prononcées pour une durée de dix ans au plus.</p><p>Toutes les fois que la juridiction n'a pas prononcé l'exécution provisoire, la probation n'est applicable qu'à compter du jour où la condamnation devient exécutoire selon les dispositions du deuxième alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577844&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 708 </a>du code de procédure pénale.</p><p>La juridiction pénale ne peut prononcer le sursis probatoire à l'encontre d'une personne ayant déjà fait l'objet de deux condamnations assorties du sursis probatoire pour des délits identiques ou assimilés au sens des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417378&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 132-16 à 132-16-4 </a>et se trouvant en état de récidive légale. Lorsqu'il s'agit soit d'un crime, soit d'un délit de violences volontaires, d'un délit d'agressions ou d'atteintes sexuelles ou d'un délit commis avec la circonstance aggravante de violences, la juridiction ne peut prononcer le sursis probatoire à l'encontre d'une personne ayant déjà fait l'objet d'une condamnation assortie du sursis probatoire pour des infractions identiques ou assimilées et se trouvant en état de récidive légale. Toutefois, ces dispositions ne sont pas applicables lorsque le sursis probatoire ne porte que sur une partie de la peine d'emprisonnement prononcée en application des dispositions du dernier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417436&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-42</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417435
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313553
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313564
false
false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
null
null
LEGISCTA000006192896
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-41-1
Code pénal
Lorsque la personnalité et la situation matérielle, familiale et sociale de l'auteur d'un crime ou délit puni d'une peine d'emprisonnement et les faits de l'espèce justifient un accompagnement socio-éducatif individualisé et soutenu, la juridiction peut décider que le sursis probatoire consistera en un suivi renforcé, pluridisciplinaire et évolutif, faisant l'objet d'évaluations régulières par le service pénitentiaire d'insertion et de probation, afin de prévenir la récidive en favorisant l'insertion ou la réinsertion de la personne au sein de la société. Dans ce cas, le dernier alinéa de l' article 132-41 n'est pas applicable. Si elle dispose d'éléments d'information suffisants sur la personnalité du condamné et sur sa situation matérielle, familiale et sociale, la juridiction peut alors définir les obligations et interdictions particulières auxquelles celui-ci est astreint. Dans le cas contraire, ces obligations et interdictions sont déterminées par le juge de l'application des peines dans des conditions et selon des modalités précisées par le code de procédure pénale, après évaluation de la personnalité et de la situation matérielle, familiale et sociale du condamné par le service pénitentiaire d'insertion et de probation.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-41-1
LEGIARTI000038271812
LEGIARTI000038271788
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Lorsque la personnalité et la situation matérielle, familiale et sociale de l'auteur d'un crime ou délit puni d'une peine d'emprisonnement et les faits de l'espèce justifient un accompagnement socio-éducatif individualisé et soutenu, la juridiction peut décider que le sursis probatoire consistera en un suivi renforcé, pluridisciplinaire et évolutif, faisant l'objet d'évaluations régulières par le service pénitentiaire d'insertion et de probation, afin de prévenir la récidive en favorisant l'insertion ou la réinsertion de la personne au sein de la société. <br/><br/>Dans ce cas, le dernier alinéa de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417434&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-41 (V)'>article 132-41</a> n'est pas applicable. <br/><br/>Si elle dispose d'éléments d'information suffisants sur la personnalité du condamné et sur sa situation matérielle, familiale et sociale, la juridiction peut alors définir les obligations et interdictions particulières auxquelles celui-ci est astreint. <br/><br/>Dans le cas contraire, ces obligations et interdictions sont déterminées par le juge de l'application des peines dans des conditions et selon des modalités précisées par le code de procédure pénale, après évaluation de la personnalité et de la situation matérielle, familiale et sociale du condamné par le service pénitentiaire d'insertion et de probation.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000038271812
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313564
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false
Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
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LEGISCTA000006192896
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-42
Code pénal
La juridiction pénale fixe le délai de probation qui ne peut être inférieur à douze mois ni supérieur à trois ans. Lorsque la personne est en état de récidive légale, ce délai peut être porté à cinq ans. Ce délai peut être porté à sept ans lorsque la personne se trouve à nouveau en état de récidive légale. Elle peut décider que le sursis ne s'appliquera à l'exécution de l'emprisonnement que pour une partie dont elle détermine la durée. Cette partie ne peut toutefois excéder cinq ans d'emprisonnement.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-42
LEGIARTI000038313549
LEGIARTI000006417436
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
343,592
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null
null
Article
<p>La juridiction pénale fixe le délai de probation qui ne peut être inférieur à douze mois ni supérieur à trois ans. Lorsque la personne est en état de récidive légale, ce délai peut être porté à cinq ans. Ce délai peut être porté à sept ans lorsque la personne se trouve à nouveau en état de récidive légale.</p><p>Elle peut décider que le sursis ne s'appliquera à l'exécution de l'emprisonnement que pour une partie dont elle détermine la durée. Cette partie ne peut toutefois excéder cinq ans d'emprisonnement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417438
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313549
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000038313564
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Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
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LEGISCTA000006192896
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 1 : Des conditions d'octroi du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
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Code pénal, art. 132-43
Code pénal
Au cours du délai de probation, le condamné doit satisfaire aux mesures de contrôle qui sont prévues par l'article 132-44 et à celles des obligations particulières prévues par l'article 132-45 qui lui sont spécialement imposées. En outre, le condamné peut bénéficier de mesures d'aide destinées à favoriser son reclassement social. Ces mesures et obligations particulières, à l'exception des interdictions de contact ou de paraître prévues au même article 132-45 , cessent de s'appliquer et le délai de probation est suspendu pendant le temps où le condamné est incarcéré. Le délai de probation est également suspendu pendant le temps où le condamné accomplit les obligations du service national.
1,596,240,000,000
32,472,144,000,000
132-43
LEGIARTI000042193549
LEGIARTI000006417439
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
42,949
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null
null
Article
<p>Au cours du délai de probation, le condamné doit satisfaire aux mesures de contrôle qui sont prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417440&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-44 </a>et à celles des obligations particulières prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417442&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-45 </a>qui lui sont spécialement imposées. En outre, le condamné peut bénéficier de mesures d'aide destinées à favoriser son reclassement social. </p><p>Ces mesures et obligations particulières, à l'exception des interdictions de contact ou de paraître prévues au même article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417442&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-45 (V)'>132-45</a>, cessent de s'appliquer et le délai de probation est suspendu pendant le temps où le condamné est incarcéré. Le délai de probation est également suspendu pendant le temps où le condamné accomplit les obligations du service national.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038313541
IG-20231124
null
LEGIARTI000042193549
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313547
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Paragraphe 2 : Du régime de la probation
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LEGISCTA000006192897
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 2 : Du régime de la probation
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-44
Code pénal
Les mesures de contrôle auxquelles le condamné doit se soumettre sont les suivantes : 1° Répondre aux convocations du juge de l'application des peines ou du service pénitentiaire d'insertion et de probation désigné ; 2° Recevoir les visites du service pénitentiaire d'insertion et de probation et lui communiquer les renseignements ou documents de nature à permettre le contrôle de ses moyens d'existence et de l'exécution de ses obligations ; 3° Prévenir le service pénitentiaire d'insertion et de probation de ses changements d'emploi ; 4° Prévenir le service pénitentiaire d'insertion et de probation de ses changements de résidence ou de tout déplacement dont la durée excéderait quinze jours et rendre compte de son retour ; 5° Obtenir l'autorisation préalable du juge de l'application des peines pour tout changement d'emploi ou de résidence, lorsque ce changement est de nature à mettre obstacle à l'exécution de ses obligations ; 6° Informer préalablement le juge de l'application des peines de tout déplacement à l'étranger.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-44
LEGIARTI000038313537
LEGIARTI000006417440
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p><p>Les mesures de contrôle auxquelles le condamné doit se soumettre sont les suivantes :</p><p><p>1° Répondre aux convocations du juge de l'application des peines ou du service pénitentiaire d'insertion et de probation désigné ;</p></p><p><p>2° Recevoir les visites du service pénitentiaire d'insertion et de probation et lui communiquer les renseignements ou documents de nature à permettre le contrôle de ses moyens d'existence et de l'exécution de ses obligations ;</p></p><p><p>3° Prévenir le service pénitentiaire d'insertion et de probation de ses changements d'emploi ;</p></p><p><p>4° Prévenir le service pénitentiaire d'insertion et de probation de ses changements de résidence ou de tout déplacement dont la durée excéderait quinze jours et rendre compte de son retour ;</p></p><p><p>5° Obtenir l'autorisation préalable du juge de l'application des peines pour tout changement d'emploi ou de résidence, lorsque ce changement est de nature à mettre obstacle à l'exécution de ses obligations ;</p></p><p>6° Informer préalablement le juge de l'application des peines de tout déplacement à l'étranger.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370694
IG-20231124
null
LEGIARTI000038313537
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313547
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Paragraphe 2 : Du régime de la probation
null
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LEGISCTA000006192897
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 2 : Du régime de la probation
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-45
Code pénal
La juridiction de condamnation ou le juge de l'application des peines peut imposer spécialement au condamné l'observation de l'une ou de plusieurs des obligations suivantes : 1° Exercer une activité professionnelle ou suivre un enseignement ou une formation professionnelle ; 2° Etablir sa résidence en un lieu déterminé ; 3° Se soumettre à des mesures d'examen médical, de traitement ou de soins, même sous le régime de l'hospitalisation. Ces mesures peuvent consister en l'injonction thérapeutique prévue par les articles L. 3413-1 à L. 3413-4 du code de la santé publique , lorsqu'il apparaît que le condamné fait usage de stupéfiants ou fait une consommation habituelle et excessive de boissons alcooliques. Une copie de la décision ordonnant ces mesures est adressée par le juge de l'application des peines au médecin ou au psychologue qui doit suivre la personne condamnée. Les rapports des expertises réalisées pendant la procédure sont adressés au médecin ou au psychologue, à leur demande ou à l'initiative du juge de l'application des peines. Celui-ci peut également leur adresser toute autre pièce utile du dossier ; 4° Justifier qu'il contribue aux charges familiales ou acquitte régulièrement les pensions alimentaires dont il est débiteur ; 5° Réparer en tout ou partie, en fonction de ses facultés contributives, les dommages causés par l'infraction, même en l'absence de décision sur l'action civile ; 6° Justifier qu'il acquitte en fonction de ses facultés contributives les sommes dues au Trésor public à la suite de la condamnation ; 7° S'abstenir de conduire certains véhicules déterminés par les catégories de permis prévues par le code de la route ou de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé, par un professionnel agréé ou par construction, d'un dispositif homologué d'antidémarrage par éthylotest électronique ; 7° bis Sous réserve de son accord, s'inscrire et se présenter aux épreuves du permis de conduire, le cas échéant après avoir suivi des leçons de conduite ; 8° Ne pas se livrer à l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise ou ne pas exercer une activité impliquant un contact habituel avec des mineurs ; 9° S'abstenir de paraître en tout lieu, toute catégorie de lieux ou toute zone spécialement désignés ; 10° Ne pas engager de paris, notamment dans les organismes de paris mutuels, et ne pas prendre part à des jeux d'argent et de hasard ; 11° Ne pas fréquenter les débits de boissons ; 12° Ne pas fréquenter certains condamnés, notamment les auteurs ou complices de l'infraction ; 13° S'abstenir d'entrer en relation avec certaines personnes, dont la victime, ou certaines catégories de personnes, et notamment des mineurs, à l'exception, le cas échéant, de ceux désignés par la juridiction ; 13° bis S'abstenir, pour une durée maximale de six mois, d'utiliser les comptes d'accès à des services de plateforme en ligne définis au 4 du I de l' article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique ayant été utilisés pour commettre l'infraction, si la personne a été condamnée pour une infraction mentionnée au II de l'article 131-35-1 du présent code ; 14° Ne pas détenir ou porter une arme ; 15° Accomplir à ses frais un des stages prévus à l'article 131-5-1 du présent code ; 16° S'abstenir de diffuser tout ouvrage ou oeuvre audiovisuelle dont il serait l'auteur ou le coauteur et qui porterait, en tout ou partie, sur l'infraction commise et s'abstenir de toute intervention publique relative à cette infraction ; les dispositions du présent alinéa ne sont applicables qu'en cas de condamnation pour crimes ou délits d'atteintes volontaires à la vie, d'agressions sexuelles ou d'atteintes sexuelles ; 17° Remettre ses enfants entre les mains de ceux auxquels la garde a été confiée par décision de justice ; 18° En cas d'infraction commise soit contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité, soit contre ses enfants ou ceux de son conjoint, concubin ou partenaire, résider hors du domicile ou de la résidence du couple et, le cas échéant, s'abstenir de paraître dans ce domicile ou cette résidence ou aux abords immédiats de celui-ci, ainsi que, si nécessaire, faire l'objet d'une prise en charge sanitaire, sociale ou psychologique ; les dispositions du présent 19° sont également applicables lorsque l'infraction est commise par l'ancien conjoint ou concubin de la victime, ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, le domicile concerné étant alors celui de la victime. Pour l'application du présent 19°, l'avis de la victime est recueilli, dans les meilleurs délais et par tous moyens, sur l'opportunité d'imposer au condamné de résider hors du logement du couple. Sauf circonstances particulières, cette mesure est prise lorsque sont en cause des faits de violences susceptibles d'être renouvelés et que la victime la sollicite. La juridiction peut préciser les modalités de prise en charge des frais afférents à ce logement ; 18° bis Respecter l'interdiction de se rapprocher d'une victime de violences commises au sein du couple prévue à l'article 132-45-1 du présent code contrôlée par un dispositif électronique mobile anti-rapprochement ; 19° Obtenir l'autorisation préalable du juge de l'application des peines pour tout déplacement à l'étranger ; 20° Respecter les conditions d'une prise en charge sanitaire, sociale, éducative ou psychologique, destinée à permettre sa réinsertion et l'acquisition des valeurs de la citoyenneté ; cette prise en charge peut, le cas échéant, intervenir au sein d'un établissement d'accueil adapté dans lequel le condamné est tenu de résider ; 21° L'obligation d'accomplir un travail d'intérêt général, selon les modalités prévues à l'article 131-8 ; 22° L'injonction de soins, dans les conditions prévues aux articles L. 3711-1 à L. 3711-5 du code de la santé publique , si la personne a été condamnée pour un délit pour lequel le suivi socio-judiciaire est encouru et qu'une expertise médicale a conclu qu'elle était susceptible de faire l'objet d'un traitement ; 23° L'obligation de justifier de la remise d'un bien dont la confiscation a été ordonnée ; 24° L'obligation de justifier du paiement régulier des impôts ; 25° L'obligation de justifier de la tenue d'une comptabilité régulière certifiée par un commissaire aux comptes.
1,716,422,400,000
32,472,144,000,000
132-45
LEGIARTI000049571571
LEGIARTI000006417442
AUTONOME
VIGUEUR
16.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p><p>La juridiction de condamnation ou le juge de l'application des peines peut imposer spécialement au condamné l'observation de l'une ou de plusieurs des obligations suivantes :</p><p>1° Exercer une activité professionnelle ou suivre un enseignement ou une formation professionnelle ;</p><p>2° Etablir sa résidence en un lieu déterminé ;</p><p>3° Se soumettre à des mesures d'examen médical, de traitement ou de soins, même sous le régime de l'hospitalisation. Ces mesures peuvent consister en l'injonction thérapeutique prévue par les <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idSectionTA=LEGISCTA000006171217&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 3413-1 à L. 3413-4 du code de la santé publique</a>, lorsqu'il apparaît que le condamné fait usage de stupéfiants ou fait une consommation habituelle et excessive de boissons alcooliques. Une copie de la décision ordonnant ces mesures est adressée par le juge de l'application des peines au médecin ou au psychologue qui doit suivre la personne condamnée. Les rapports des expertises réalisées pendant la procédure sont adressés au médecin ou au psychologue, à leur demande ou à l'initiative du juge de l'application des peines. Celui-ci peut également leur adresser toute autre pièce utile du dossier ;</p><p>4° Justifier qu'il contribue aux charges familiales ou acquitte régulièrement les pensions alimentaires dont il est débiteur ;</p><p>5° Réparer en tout ou partie, en fonction de ses facultés contributives, les dommages causés par l'infraction, même en l'absence de décision sur l'action civile ;</p><p>6° Justifier qu'il acquitte en fonction de ses facultés contributives les sommes dues au Trésor public à la suite de la condamnation ;</p><p>7° S'abstenir de conduire certains véhicules déterminés par les catégories de permis prévues par le <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&dateTexte=&categorieLien=cid'>code de la route</a> ou de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé, par un professionnel agréé ou par construction, d'un dispositif homologué d'antidémarrage par éthylotest électronique ;</p><p>7° bis Sous réserve de son accord, s'inscrire et se présenter aux épreuves du permis de conduire, le cas échéant après avoir suivi des leçons de conduite ;</p><p>8° Ne pas se livrer à l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise ou ne pas exercer une activité impliquant un contact habituel avec des mineurs ;</p><p>9° S'abstenir de paraître en tout lieu, toute catégorie de lieux ou toute zone spécialement désignés ;</p><p>10° Ne pas engager de paris, notamment dans les organismes de paris mutuels, et ne pas prendre part à des jeux d'argent et de hasard ;</p><p>11° Ne pas fréquenter les débits de boissons ;</p><p>12° Ne pas fréquenter certains condamnés, notamment les auteurs ou complices de l'infraction ;</p><p>13° S'abstenir d'entrer en relation avec certaines personnes, dont la victime, ou certaines catégories de personnes, et notamment des mineurs, à l'exception, le cas échéant, de ceux désignés par la juridiction ;</p><p>13° bis S'abstenir, pour une durée maximale de six mois, d'utiliser les comptes d'accès à des services de plateforme en ligne définis au 4 du I de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000801164&idArticle=LEGIARTI000006421546&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004</a> pour la confiance dans l'économie numérique ayant été utilisés pour commettre l'infraction, si la personne a été condamnée pour une infraction mentionnée au II de l'article 131-35-1 du présent code ;</p><p>14° Ne pas détenir ou porter une arme ;</p><p>15° Accomplir à ses frais un des stages prévus à l'article 131-5-1 du présent code ;</p><p>16° S'abstenir de diffuser tout ouvrage ou oeuvre audiovisuelle dont il serait l'auteur ou le coauteur et qui porterait, en tout ou partie, sur l'infraction commise et s'abstenir de toute intervention publique relative à cette infraction ; les dispositions du présent alinéa ne sont applicables qu'en cas de condamnation pour crimes ou délits d'atteintes volontaires à la vie, d'agressions sexuelles ou d'atteintes sexuelles ;</p><p>17° Remettre ses enfants entre les mains de ceux auxquels la garde a été confiée par décision de justice ;</p><p>18° En cas d'infraction commise soit contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité, soit contre ses enfants ou ceux de son conjoint, concubin ou partenaire, résider hors du domicile ou de la résidence du couple et, le cas échéant, s'abstenir de paraître dans ce domicile ou cette résidence ou aux abords immédiats de celui-ci, ainsi que, si nécessaire, faire l'objet d'une prise en charge sanitaire, sociale ou psychologique ; les dispositions du présent 19° sont également applicables lorsque l'infraction est commise par l'ancien conjoint ou concubin de la victime, ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, le domicile concerné étant alors celui de la victime. Pour l'application du présent 19°, l'avis de la victime est recueilli, dans les meilleurs délais et par tous moyens, sur l'opportunité d'imposer au condamné de résider hors du logement du couple. Sauf circonstances particulières, cette mesure est prise lorsque sont en cause des faits de violences susceptibles d'être renouvelés et que la victime la sollicite. La juridiction peut préciser les modalités de prise en charge des frais afférents à ce logement ;</p><p>18° bis Respecter l'interdiction de se rapprocher d'une victime de violences commises au sein du couple prévue à l'article 132-45-1 du présent code contrôlée par un dispositif électronique mobile anti-rapprochement ;</p><p>19° Obtenir l'autorisation préalable du juge de l'application des peines pour tout déplacement à l'étranger ;</p><p>20° Respecter les conditions d'une prise en charge sanitaire, sociale, éducative ou psychologique, destinée à permettre sa réinsertion et l'acquisition des valeurs de la citoyenneté ; cette prise en charge peut, le cas échéant, intervenir au sein d'un établissement d'accueil adapté dans lequel le condamné est tenu de résider ;</p><p>21° L'obligation d'accomplir un travail d'intérêt général, selon les modalités prévues à l'article 131-8 ;</p><p>22° L'injonction de soins, dans les conditions prévues aux <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idSectionTA=LEGISCTA000006171238&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 3711-1 à L. 3711-5 du code de la santé publique</a>, si la personne a été condamnée pour un délit pour lequel le suivi socio-judiciaire est encouru et qu'une expertise médicale a conclu qu'elle était susceptible de faire l'objet d'un traitement ;</p><p>23° L'obligation de justifier de la remise d'un bien dont la confiscation a été ordonnée ;</p><p>24° L'obligation de justifier du paiement régulier des impôts ;</p><p>25° L'obligation de justifier de la tenue d'une comptabilité régulière certifiée par un commissaire aux comptes.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000043341979
MD-20240612_185614_745_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049571571
LEGI
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LEGISCTA000038313547
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Paragraphe 2 : Du régime de la probation
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LEGISCTA000006192897
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 2 : Du régime de la probation
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Code pénal, art. 132-45-1
Code pénal
En cas d'infraction punie d'au moins trois ans d'emprisonnement commise contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité, y compris lorsqu'ils ne cohabitent pas, ou commise par l'ancien conjoint ou concubin de la victime ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, la juridiction peut, à la demande ou avec le consentement exprès de la victime, qui peut être recueilli par tout moyen : 1° Interdire au condamné de se rapprocher de la victime à moins d'une certaine distance fixée par la décision ; 2° Et, afin d'assurer le respect de cette interdiction, astreindre le condamné au port, pendant toute la durée de la mesure, d'un bracelet intégrant un émetteur permettant à tout moment de déterminer à distance sa localisation sur l'ensemble du territoire national et permettant de déterminer s'il s'approche de la victime à qui a été attribué un dispositif électronique permettant également de déterminer sa localisation. Le condamné est avisé que la pose du bracelet ne peut être effectuée sans son consentement mais que le fait de la refuser constitue une violation des obligations qui lui incombent et peut donner lieu à la révocation de la mesure. Ce dispositif est homologué par le ministre de la justice. Sa mise en œuvre doit garantir le respect de la dignité, de l'intégrité et de la vie privée de la personne et ne doit pas entraver son insertion sociale. Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article. Ce décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, autorise la mise en œuvre d'un traitement automatisé de données à caractère personnel assurant le contrôle à distance de la localisation du condamné et de la victime ; ce décret peut étendre les finalités du traitement prévu à l' article 763-13 du code de procédure pénale . Les personnes contribuant au contrôle à distance, qui ne peut conduire à imposer la présence du condamné dans certains lieux, peuvent être des personnes privées habilitées dans des conditions prévues par ce décret.
1,577,664,000,000
32,472,144,000,000
132-45-1
LEGIARTI000039778315
LEGIARTI000006417448
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
429,490
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Article
<p>En cas d'infraction punie d'au moins trois ans d'emprisonnement commise contre son conjoint, son concubin ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité, y compris lorsqu'ils ne cohabitent pas, ou commise par l'ancien conjoint ou concubin de la victime ou par la personne ayant été liée à elle par un pacte civil de solidarité, la juridiction peut, à la demande ou avec le consentement exprès de la victime, qui peut être recueilli par tout moyen :<br/><br/> 1° Interdire au condamné de se rapprocher de la victime à moins d'une certaine distance fixée par la décision ;<br/><br/> 2° Et, afin d'assurer le respect de cette interdiction, astreindre le condamné au port, pendant toute la durée de la mesure, d'un bracelet intégrant un émetteur permettant à tout moment de déterminer à distance sa localisation sur l'ensemble du territoire national et permettant de déterminer s'il s'approche de la victime à qui a été attribué un dispositif électronique permettant également de déterminer sa localisation.<br/><br/> Le condamné est avisé que la pose du bracelet ne peut être effectuée sans son consentement mais que le fait de la refuser constitue une violation des obligations qui lui incombent et peut donner lieu à la révocation de la mesure. Ce dispositif est homologué par le ministre de la justice. Sa mise en œuvre doit garantir le respect de la dignité, de l'intégrité et de la vie privée de la personne et ne doit pas entraver son insertion sociale.<br/><br/> Un décret en Conseil d'Etat précise les modalités d'application du présent article. Ce décret en Conseil d'Etat, pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, autorise la mise en œuvre d'un traitement automatisé de données à caractère personnel assurant le contrôle à distance de la localisation du condamné et de la victime ; ce décret peut étendre les finalités du traitement prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006578283&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 763-13 du code de procédure pénale</a>. Les personnes contribuant au contrôle à distance, qui ne peut conduire à imposer la présence du condamné dans certains lieux, peuvent être des personnes privées habilitées dans des conditions prévues par ce décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417448
MD-20240522_194430_244_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000039778315
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313547
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Paragraphe 2 : Du régime de la probation
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LEGISCTA000006192897
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis avec mise à l'épreuve &gt; Paragraphe 2 : Du régime de la mise à l'épreuve
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Code pénal, art. 132-46
Code pénal
Les mesures d'aide ont pour objet de seconder les efforts du condamné en vue de son reclassement social. Ces mesures, qui s'exercent sous forme d'une aide à caractère social et, s'il y a lieu, d'une aide matérielle, sont mises en oeuvre par le service pénitentiaire d'insertion et de probation avec la participation, le cas échéant, de tous organismes publics et privés.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-46
LEGIARTI000038313518
LEGIARTI000006417449
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
2.0
472,439
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Article
<p>Les mesures d'aide ont pour objet de seconder les efforts du condamné en vue de son reclassement social.</p><p>Ces mesures, qui s'exercent sous forme d'une aide à caractère social et, s'il y a lieu, d'une aide matérielle, sont mises en oeuvre par le service pénitentiaire d'insertion et de probation avec la participation, le cas échéant, de tous organismes publics et privés.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417449
IG-20231124
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LEGIARTI000038313518
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313547
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Paragraphe 2 : Du régime de la probation
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LEGISCTA000006192897
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 2 : Du régime de la probation
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
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Code pénal, art. 132-47
Code pénal
Le sursis probatoire peut être révoqué par la juridiction de jugement dans les conditions prévues par l'article 132-48 . Il peut également l'être par le juge de l'application des peines, selon les modalités prévues par le code de procédure pénale, lorsque le condamné n'a pas satisfait aux mesures de contrôle et aux obligations particulières qui lui étaient imposées. Tout manquement à ces mesures et obligations commis après que la probation est devenue exécutoire peut justifier la révocation du sursis. Si cette révocation est ordonnée alors que la condamnation n'avait pas encore acquis un caractère définitif, elle devient caduque dans le cas où cette condamnation serait ultérieurement infirmée ou annulée.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-47
LEGIARTI000038313506
LEGIARTI000006417450
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
42,949
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null
null
Article
<p></p><p>Le sursis probatoire peut être révoqué par la juridiction de jugement dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417453&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-48</a>.</p><p>Il peut également l'être par le juge de l'application des peines, selon les modalités prévues par le code de procédure pénale, lorsque le condamné n'a pas satisfait aux mesures de contrôle et aux obligations particulières qui lui étaient imposées. Tout manquement à ces mesures et obligations commis après que la probation est devenue exécutoire peut justifier la révocation du sursis. Si cette révocation est ordonnée alors que la condamnation n'avait pas encore acquis un caractère définitif, elle devient caduque dans le cas où cette condamnation serait ultérieurement infirmée ou annulée.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417452
IG-20231124
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LEGIARTI000038313506
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313522
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Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
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LEGISCTA000006192898
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
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Code pénal, art. 132-48
Code pénal
Si le condamné commet, au cours du délai de probation, un crime ou un délit de droit commun suivi d'une condamnation à une peine privative de liberté sans sursis, la juridiction de jugement peut, après avis du juge de l'application des peines, ordonner la révocation en totalité ou en partie du ou des sursis antérieurement accordés. Cette révocation ne peut être ordonnée pour des infractions commises avant que la condamnation assortie du sursis ait acquis un caractère définitif. La mesure d'interdiction du territoire français est exécutoire de plein droit en cas de révocation totale du sursis probatoire dans les conditions prévues au présent article.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-48
LEGIARTI000038313500
LEGIARTI000006417453
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p><p>Si le condamné commet, au cours du délai de probation, un crime ou un délit de droit commun suivi d'une condamnation à une peine privative de liberté sans sursis, la juridiction de jugement peut, après avis du juge de l'application des peines, ordonner la révocation en totalité ou en partie du ou des sursis antérieurement accordés. Cette révocation ne peut être ordonnée pour des infractions commises avant que la condamnation assortie du sursis ait acquis un caractère définitif.</p><p>La mesure d'interdiction du territoire français est exécutoire de plein droit en cas de révocation totale du sursis probatoire dans les conditions prévues au présent article.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417455
IG-20231129
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LEGIARTI000038313500
LEGI
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LEGISCTA000038313522
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Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
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LEGISCTA000006192898
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-49
Code pénal
La décision ordonnant la révocation partielle du sursis ne met pas fin au régime de la probation et n'attache pas à la condamnation les effets d'une condamnation sans sursis.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-49
LEGIARTI000038313503
LEGIARTI000006417456
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
300,643
null
null
null
Article
<p>La décision ordonnant la révocation partielle du sursis ne met pas fin au régime de la probation et n'attache pas à la condamnation les effets d'une condamnation sans sursis.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370697
IG-20231124
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LEGIARTI000038313503
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000038313522
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Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
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LEGISCTA000006192898
null
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null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-50
Code pénal
Si la juridiction ordonne l'exécution de la totalité de l'emprisonnement et si le sursis probatoire a été accordé après une première condamnation déjà prononcée sous le même bénéfice, elle peut, par décision spéciale, ordonner que la première peine sera également exécutée.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-50
LEGIARTI000038313515
LEGIARTI000006417457
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p><p>Si la juridiction ordonne l'exécution de la totalité de l'emprisonnement et si le sursis probatoire a été accordé après une première condamnation déjà prononcée sous le même bénéfice, elle peut, par décision spéciale, ordonner que la première peine sera également exécutée.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370651
IG-20231124
null
LEGIARTI000038313515
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000038313522
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Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
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LEGISCTA000006192898
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-51
Code pénal
Lorsque la juridiction ordonne la révocation du sursis en totalité ou en partie, elle peut, par décision spéciale et motivée, exécutoire par provision, faire incarcérer le condamné.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-51
LEGIARTI000006417458
LEGIARTI000006417458
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> Lorsque la juridiction ordonne la révocation du sursis en totalité ou en partie, elle peut, par décision spéciale et motivée, exécutoire par provision, faire incarcérer le condamné.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417458
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313522
false
false
Paragraphe 3 : De la révocation du sursis probatoire en cas de nouvelle infraction
null
null
LEGISCTA000006192898
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis avec mise à l'épreuve &gt; Paragraphe 3 : De la révocation du sursis avec mise à l'épreuve en cas de nouvelle infraction
null
Code pénal, art. 132-52
Code pénal
La condamnation assortie du sursis probatoire est réputée non avenue lorsque le condamné n'a pas fait l'objet d'une décision ordonnant l'exécution de la totalité de l'emprisonnement. Lorsque le bénéfice du sursis probatoire n'a été accordé que pour une partie de l'emprisonnement, la condamnation est réputée non avenue dans tous ses éléments si la révocation du sursis n'a pas été prononcée dans les conditions prévues par l'alinéa précédent. Le caractère non avenu de la condamnation ne fait pas obstacle à la prolongation ou à la révocation totale ou partielle du sursis probatoire dès lors que le manquement ou l'infraction ont été commis avant l'expiration du délai de probation.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-52
LEGIARTI000038313497
LEGIARTI000006417459
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p><p>La condamnation assortie du sursis probatoire est réputée non avenue lorsque le condamné n'a pas fait l'objet d'une décision ordonnant l'exécution de la totalité de l'emprisonnement.</p><p>Lorsque le bénéfice du sursis probatoire n'a été accordé que pour une partie de l'emprisonnement, la condamnation est réputée non avenue dans tous ses éléments si la révocation du sursis n'a pas été prononcée dans les conditions prévues par l'alinéa précédent.</p><p>Le caractère non avenu de la condamnation ne fait pas obstacle à la prolongation ou à la révocation totale ou partielle du sursis probatoire dès lors que le manquement ou l'infraction ont été commis avant l'expiration du délai de probation.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029370686
IG-20231124
null
LEGIARTI000038313497
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313562
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Paragraphe 4 : Des effets du sursis probatoire
null
null
LEGISCTA000006192899
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 4 : Des effets du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-53
Code pénal
Si le sursis probatoire a été accordé après une première condamnation déjà prononcée sous le même bénéfice, cette première condamnation est réputée non avenue si la seconde vient elle-même à être déclarée ou réputée non avenue dans les conditions et les délais prévus par le premier alinéa de l'article 132-52 ci-dessus ou par l'article 744 du code de procédure pénale.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
132-53
LEGIARTI000038313510
LEGIARTI000006417460
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
3.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Si le sursis probatoire a été accordé après une première condamnation déjà prononcée sous le même bénéfice, cette première condamnation est réputée non avenue si la seconde vient elle-même à être déclarée ou réputée non avenue dans les conditions et les délais prévus par le premier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417459&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-52 </a>ci-dessus ou par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006578184&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 744</a> du code de procédure pénale.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417461
IG-20231129
null
LEGIARTI000038313510
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000038313562
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false
Paragraphe 4 : Des effets du sursis probatoire
null
null
LEGISCTA000006192899
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 4 : Du sursis probatoire &gt; Paragraphe 4 : Des effets du sursis probatoire
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 132-58
Code pénal
En matière correctionnelle ou, sauf dans les cas prévus aux articles 132-63 à 132-65 , en matière contraventionnelle, la juridiction peut, après avoir déclaré le prévenu coupable et statué, s'il y a lieu, sur la confiscation des objets dangereux ou nuisibles, soit dispenser le prévenu de toute autre peine, soit ajourner le prononcé de celle-ci dans les cas et conditions prévus aux articles ci-après. En même temps qu'elle se prononce sur la culpabilité du prévenu, la juridiction statue, s'il y a lieu, sur l'action civile.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-58
LEGIARTI000006417472
LEGIARTI000006417472
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p>En matière correctionnelle ou, sauf dans les cas prévus aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417477&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-63 (V)'>articles 132-63 à 132-65</a>, en matière contraventionnelle, la juridiction peut, après avoir déclaré le prévenu coupable et statué, s'il y a lieu, sur la confiscation des objets dangereux ou nuisibles, soit dispenser le prévenu de toute autre peine, soit ajourner le prononcé de celle-ci dans les cas et conditions prévus aux articles ci-après. <p></p><p></p>En même temps qu'elle se prononce sur la culpabilité du prévenu, la juridiction statue, s'il y a lieu, sur l'action civile.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417472
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006181749
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Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement
null
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LEGISCTA000006181749
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement
null
Code pénal, art. 132-59
Code pénal
La dispense de peine peut être accordée lorsqu'il apparaît que le reclassement du coupable est acquis, que le dommage causé est réparé et que le trouble résultant de l'infraction a cessé. La juridiction qui prononce une dispense de peine peut décider que sa décision ne sera pas mentionnée au casier judiciaire. La dispense de peine ne s'étend pas au paiement des frais du procès.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-59
LEGIARTI000006417473
LEGIARTI000006417473
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> La dispense de peine peut être accordée lorsqu'il apparaît que le reclassement du coupable est acquis, que le dommage causé est réparé et que le trouble résultant de l'infraction a cessé.<p></p><p></p> La juridiction qui prononce une dispense de peine peut décider que sa décision ne sera pas mentionnée au casier judiciaire.<p></p><p></p> La dispense de peine ne s'étend pas au paiement des frais du procès.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417473
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192900
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false
Paragraphe 1 : De la dispense de la peine
null
null
LEGISCTA000006192900
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 1 : De la dispense de la peine
null
Code pénal, art. 132-60
Code pénal
La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine lorsqu'il apparaît que le reclassement du coupable est en voie d'être acquis, que le dommage causé est en voie d'être réparé et que le trouble résultant de l'infraction va cesser. Dans ce cas, elle fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine. L'ajournement ne peut être ordonné que si la personne physique prévenue ou le représentant de la personne morale prévenue est présent à l'audience.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-60
LEGIARTI000006417474
LEGIARTI000006417474
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine lorsqu'il apparaît que le reclassement du coupable est en voie d'être acquis, que le dommage causé est en voie d'être réparé et que le trouble résultant de l'infraction va cesser.<p></p><p></p> Dans ce cas, elle fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine.<p></p><p></p> L'ajournement ne peut être ordonné que si la personne physique prévenue ou le représentant de la personne morale prévenue est présent à l'audience.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417474
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192901
false
false
Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
null
LEGISCTA000006192901
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
Code pénal, art. 132-61
Code pénal
A l'audience de renvoi, la juridiction peut soit dispenser le prévenu de peine, soit prononcer la peine prévue par la loi, soit ajourner une nouvelle fois le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités prévues à l'article 132-60.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-61
LEGIARTI000006417475
LEGIARTI000006417475
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>A l'audience de renvoi, la juridiction peut soit dispenser le prévenu de peine, soit prononcer la peine prévue par la loi, soit ajourner une nouvelle fois le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417474&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-60 (V)'>l'article 132-60.</a><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417475
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192901
false
false
Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
null
LEGISCTA000006192901
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
Code pénal, art. 132-62
Code pénal
La décision sur la peine intervient au plus tard un an après la première décision d'ajournement.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-62
LEGIARTI000006417476
LEGIARTI000006417476
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> La décision sur la peine intervient au plus tard un an après la première décision d'ajournement.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417476
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006192901
false
false
Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
null
LEGISCTA000006192901
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 2 : De l'ajournement simple
null
Code pénal, art. 132-63
Code pénal
Lorsque le prévenu, personne physique, est présent à l'audience, la juridiction peut ajourner le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités définies à l'article 132-60 en plaçant l'intéressé sous le régime de la probation pendant un délai qui ne peut être supérieur à un an. Sa décision est exécutoire par provision.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
132-63
LEGIARTI000042779834
LEGIARTI000006417477
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Lorsque le prévenu, personne physique, est présent à l'audience, la juridiction peut ajourner le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités définies à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417474&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-60</a> en plaçant l'intéressé sous le régime de la probation pendant un délai qui ne peut être supérieur à un an. Sa décision est exécutoire par provision.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417477
IG-20231129
null
LEGIARTI000042779834
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042779832
false
false
Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
null
null
LEGISCTA000006192902
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
null
Code pénal, art. 132-64
Code pénal
Le régime de la probation, tel qu'il résulte des articles 132-43 à 132-46 , est applicable à l'ajournement avec probation.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
132-64
LEGIARTI000042779842
LEGIARTI000006417478
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le régime de la probation, tel qu'il résulte des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417439&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 132-43 à 132-46</a>, est applicable à l'ajournement avec probation.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417478
IG-20231129
null
LEGIARTI000042779842
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042779832
false
false
Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
null
null
LEGISCTA000006192902
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
null
Code pénal, art. 132-65
Code pénal
A l'audience de renvoi, la juridiction peut, en tenant compte de la conduite du coupable au cours du délai de probation, soit le dispenser de peine, soit prononcer la peine prévue par la loi, soit ajourner une nouvelle fois le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités prévues à l'article 132-63 . Avec l'accord du procureur de la République, le juge de l'application des peines peut, trente jours avant l'audience de renvoi, prononcer lui-même la dispense de peine, à l'issue d'un débat contradictoire tenu conformément aux dispositions de l'article 712-6 du code de procédure pénale. La décision sur la peine intervient au plus tard un an après la première décision d'ajournement.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
132-65
LEGIARTI000042779850
LEGIARTI000006417479
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
128,847
null
null
null
Article
<p>A l'audience de renvoi, la juridiction peut, en tenant compte de la conduite du coupable au cours du délai de probation, soit le dispenser de peine, soit prononcer la peine prévue par la loi, soit ajourner une nouvelle fois le prononcé de la peine dans les conditions et selon les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417477&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-63</a>. Avec l'accord du procureur de la République, le juge de l'application des peines peut, trente jours avant l'audience de renvoi, prononcer lui-même la dispense de peine, à l'issue d'un débat contradictoire tenu conformément aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577885&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 712-6</a> du code de procédure pénale.</p><p>La décision sur la peine intervient au plus tard un an après la première décision d'ajournement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417480
MD-20231125_183150_187_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000042779850
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000042779832
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Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
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null
LEGISCTA000006192902
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 3 : De l'ajournement avec probation
null
Code pénal, art. 132-66
Code pénal
Dans les cas prévus par les lois ou les règlements qui répriment des manquements à des obligations déterminées, la juridiction qui ajourne le prononcé de la peine peut enjoindre à la personne physique ou à la personne morale déclarée coupable de se conformer à une ou plusieurs des prescriptions prévues par ces lois ou règlements. La juridiction impartit un délai pour l'exécution de ces prescriptions.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-66
LEGIARTI000006417481
LEGIARTI000006417481
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Dans les cas prévus par les lois ou les règlements qui répriment des manquements à des obligations déterminées, la juridiction qui ajourne le prononcé de la peine peut enjoindre à la personne physique ou à la personne morale déclarée coupable de se conformer à une ou plusieurs des prescriptions prévues par ces lois ou règlements.<p></p><p></p> La juridiction impartit un délai pour l'exécution de ces prescriptions.<p></p>
32,472,144,000,000
null
MD-20240423_192958_481_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192903
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Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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LEGISCTA000006192903
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
null
Code pénal, art. 132-67
Code pénal
La juridiction peut assortir l'injonction d'une astreinte lorsque celle-ci est prévue par la loi ou le règlement ; dans ce cas, elle fixe, dans les limites prévues par la loi ou le règlement, le taux de l'astreinte et la durée maximale pendant laquelle celle-ci sera applicable. L'astreinte cesse de courir le jour où les prescriptions énumérées par l'injonction ont été exécutées.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-67
LEGIARTI000006417482
LEGIARTI000006417482
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
null
Article
<p></p> La juridiction peut assortir l'injonction d'une astreinte lorsque celle-ci est prévue par la loi ou le règlement ; dans ce cas, elle fixe, dans les limites prévues par la loi ou le règlement, le taux de l'astreinte et la durée maximale pendant laquelle celle-ci sera applicable.<p></p><p></p> L'astreinte cesse de courir le jour où les prescriptions énumérées par l'injonction ont été exécutées.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417482
LEGI
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LEGISCTA000006192903
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Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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LEGISCTA000006192903
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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Code pénal, art. 132-68
Code pénal
L'ajournement avec injonction ne peut intervenir qu'une fois ; il peut être ordonné même si la personne physique prévenue ou le représentant de la personne morale prévenue n'est pas présent. Dans tous les cas, la décision peut être assortie de l'exécution provisoire.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-68
LEGIARTI000006417483
LEGIARTI000006417483
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
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Article
<p></p> L'ajournement avec injonction ne peut intervenir qu'une fois ; il peut être ordonné même si la personne physique prévenue ou le représentant de la personne morale prévenue n'est pas présent.<p></p><p></p> Dans tous les cas, la décision peut être assortie de l'exécution provisoire.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417483
LEGI
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Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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Code pénal, art. 132-69
Code pénal
A l'audience de renvoi, lorsque les prescriptions énumérées par l'injonction ont été exécutées dans le délai fixé, la juridiction peut soit dispenser le coupable de peine, soit prononcer les peines prévues par la loi ou le règlement. Lorsque les prescriptions ont été exécutées avec retard, la juridiction liquide, s'il y a lieu, l'astreinte et prononce les peines prévues par la loi ou le règlement. Lorsqu'il y a inexécution des prescriptions, la juridiction liquide s'il y a lieu l'astreinte, prononce les peines et peut en outre, dans les cas et selon les conditions prévues par la loi ou le règlement, ordonner que l'exécution de ces prescriptions sera poursuivie d'office aux frais du condamné. Sauf dispositions contraires, la décision sur la peine intervient au plus tard un an après la décision d'ajournement.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
132-69
LEGIARTI000006417484
LEGIARTI000006417484
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
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Article
<p></p> A l'audience de renvoi, lorsque les prescriptions énumérées par l'injonction ont été exécutées dans le délai fixé, la juridiction peut soit dispenser le coupable de peine, soit prononcer les peines prévues par la loi ou le règlement.<p></p><p></p> Lorsque les prescriptions ont été exécutées avec retard, la juridiction liquide, s'il y a lieu, l'astreinte et prononce les peines prévues par la loi ou le règlement.<p></p><p></p> Lorsqu'il y a inexécution des prescriptions, la juridiction liquide s'il y a lieu l'astreinte, prononce les peines et peut en outre, dans les cas et selon les conditions prévues par la loi ou le règlement, ordonner que l'exécution de ces prescriptions sera poursuivie d'office aux frais du condamné.<p></p><p></p> Sauf dispositions contraires, la décision sur la peine intervient au plus tard un an après la décision d'ajournement.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006417484
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006192903
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Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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LEGISCTA000006192903
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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Code pénal, art. 132-70
Code pénal
Le taux de l'astreinte, tel qu'il a été fixé par la décision d'ajournement, ne peut être modifié. Pour la liquidation de l'astreinte, la juridiction apprécie l'inexécution ou le retard dans l'exécution des prescriptions en tenant compte, s'il y a lieu, de la survenance d'événements qui ne sont pas imputables au coupable. L'astreinte ne donne pas lieu à contrainte judiciaire.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-70
LEGIARTI000006417486
LEGIARTI000006417485
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Le taux de l'astreinte, tel qu'il a été fixé par la décision d'ajournement, ne peut être modifié.<p></p><p></p> Pour la liquidation de l'astreinte, la juridiction apprécie l'inexécution ou le retard dans l'exécution des prescriptions en tenant compte, s'il y a lieu, de la survenance d'événements qui ne sont pas imputables au coupable.<p></p><p></p> L'astreinte ne donne pas lieu à contrainte judiciaire.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417485
IG-20231124
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LEGIARTI000006417486
LEGI
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LEGISCTA000006192903
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Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 4 : De l'ajournement avec injonction
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