Specialite
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Question
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Answer
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Rhumatologie
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5,295
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Concernant le dosage de HLA B27 dans la spondyloarthrite: (Sélectionnez la ou les bonnes réponses) a. si la recherche de l'HLA B27 est négative, le diagnostic de spondyloartrhite est exclu b. la recherche de l'HLA B27 est un test peu spécifique c. si la recherche de l'HLA B27 est négative, il faut recontroler le test à 12 semaines d. l'HLA B27 est un allèle normal du complexe majeur d'histocompatibilité e. la prévalence de l'HLA B27 dans la population générale caucasienne est de 16 à 18%
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct, E: Choix incorrect, HLA-B27 qui est un allèle normal du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) est très fortement associé avec la spondylarthrite ankylosante L'intérêt diagnostique de la recherche du HLA-B27 est discuté. Dans une spondylarthrite ankylosante certaine, la recherche du B27 est inutile. En revanche, dans certains cas douteux (tableau clinique évocateur mais ne permettant pas d'être affirmatif), on peut demander ce typage, ce qui va alors permettre d'appliquer les nouveaux critères ASAS : absent, il ne permet pas d'écarter le diagnostic (10 % d'authentiques spondylarthrites ankylosantes sont B27 négatif) ; positif, il peut conforter un cas clinique douteux mais en aucun cas il ne signe la maladie (97 % des sujets B27 + n'auront jamais de SpA). En effet, 6 à 8 % des sujets caucasoïdes sont HLA-B27 positif, ce qui diminue beaucoup la spécificité de ce test. Il s'agit d'un gène, il est inutile de repeter ce test génétique en cas de négativité..
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles est(sont) un (des) signe(s) de gravité à rechercher à l’examen clinique devant un tableau de lombosciatique aiguë S1 ? a. un déficit moteur < ou = à 3 b. une hypoesthésie sur le trajet radiculaire c. une abolition du reflexe achilléen d. un syndrome de la queue de cheval e. la répétition d'épisodes douloureux lombaires
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, C. L’abolition d’un réflexe ostéo-tendineux n’est pas un signe de gravité. Elle a par contre une valeur localisatrice permettant de définir la racine nerveuse en cause : réflexe achilléen pour la racine S1 et reflexe rotulien pour la racine L4
Rhumatologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Vous recevez une jeune femme de 30 ans en consultation pour évaluation d'un tableau de douleurs articulaires touchant essentiellement les mains et les poignets, d’apparition progressive, symétrique, évoluant par poussées, associé à des épisodes de gonflement articulaire. Elle n'a pas d'antécédents notables. Vous réalisez une prise de sang, quel(s) élément(s) évaluez vous en 1ère intention ? a. Uricémie b. Anticorps anti DNA natifs c. CRP d. Anticorps anti CCP e. Aucun (pas de bilan dans les atteintes dégénératives)
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Devant un tableau de polyarthrite, il faut rechercher un syndrome inflammatoire biologique. Chez une femme jeune devant un tableau de poly arthrite, toujours rechercher un RIC de type lupus. Devant une poly arthrite symétrique, la PR doit être évoquée. Classiquement, pas de crise de goutte chez la femme non ménopausée, et devant un tableau de poly arthrite avant de diagnostiquer une atteintes dégénératives tjs faire un bilan, d'autant que c'est une jeune femme donc diagnostic peu probable.
Rhumatologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect,
Quelle biothérapie parmi les suivantes est constituée d’anticorps monoclonaux humanisés partiellement? a. Rituximab b. Etarnercept c. Adalimumab d. Certolizumab e. Golimumab
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect, Ac monoclonal chimérique « XIMAB » § Ac monoclonal humanisé « ZIMAB » § Ac monoclonal humain « MUMAB » Pour les anticorps monoclonaux ont utilise le sufixe MAB . Lorsqu'ils sont humanisés le suffixe complet est ZUMAB : TOCILIZUMAB/certolizumab Lorsqu'ils sont humains le sufixe complet est mumab : Golimumab Lorsqu'ils sont chimérique, le suffixe complet est XIMAB : Rituximab.
Rhumatologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Parmi les propositions suivantes relatives à une lombo-sciatique S1 d’origine discale, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) ? a. il s’agit d’une lomboradiculalgie « symptomatique » b. elle s’accompagne souvent d'une attitude antalgique c. la douleur est impulsive aux efforts d. elle s’accompagne d’un signe de Léri e. elle nécessite le plus souvent une prise en charge chirurgicale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Par opposition à une radiculalgie « commune » ou non spécifique : A. Toux et défécation par exemple pour les efforts physiologiques : C Il s’agit du Lasègue pour les atteintes du nerf sciatique : D Une prise en charge médico-infiltrative est efficace dans la majorité des cas : E.
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Un patient de 30 ans consulte en cabinet de médecine générale pour une lombalgie associée à une radiculalgie qui évoluent depuis 3 semaines. Le trajet radiculaire se situe à la face antérieure de la cuisse droite et la face interne de mollet droit. Il a pris des AINS qui étaient efficace initialement mais ne le sont plus. Quelle(s) proposition(s) suivante(s) est (sont) vraie(s) ? a. Vous vous attendez à ce que le réflexe rotulien droit soit aboli b. Vous vous attendez à ce que le réflexe achiléen droit soit aboli c. vous vous attendez à un déficit moteur du jambier antérieur droit d. Vous vous attendez à un déficit moteur du quadriceps droit e. vous vous attendez à un déficit moteur du triceps sural droit
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Il s’agit d’un patient présentant une lombocruralgie L4 droite donc on cherche une atteinte L4
Rhumatologie
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5,305
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,
Vous voyez en consultation une patiente de 52 ans sans antécédent notable pour polyarthralgies évoluant depuis 1 mois. Les douleurs sont d'horaire inflammatoire avec un dérouillage matinal de 2 heures, de nombreux réveils nocturnes. Elles prédominent aux niveau des mains, des poignets et des genoux. A l'examen clinique vous notez une tuméfaction des 2 poignets, des métacarpophalangiennes 2,3 et 5 à droite et 2 et 3 à gauche. Il existe un choc rotulien à droite. Elle vous montre une biologie: - vitesse de sédimentation 40 mm (N<20 mm) - facteur rhumatoide à 180 UI (N<20) - anticorps antipeptides citrulinés (ACPA) > 340 (N<20) Quel est(sont) le(s) critère(s) ACR/EULAR 2010 vous permettant de faire le diagnostic de polyarthrite rhumatoide chez cette patiente? a. atteinte de 4 à 10 petites articulations b. durée des symptômes c. positivité des anticorps antipeptides citrulinés d. positivité du facteur rhumatoide e. syndrome inflammatoire biologique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Réponse ACDE La durée des symptomes doit être supérieure à 6 semaines pour être côtée (1 point) Ici on compte 7 petites articulations gonflées et 1 grosse soit 3 points, un sydrome inflammatoire biologique soit 1 point, facteurs rhumatoides et ACPA fortement positifs soit 3 points Le score total est donc de 7 points soit > à 6 ce qui confirme le diagnostic.
Rhumatologie
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5,306
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Parmi les propositions suivantes relatives à la spondylodiscite infectieuse, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. c'est une infection du disque intervertébral et des plateaux vertébraux adjacents b. le mode de contamination le plus fréquent est la voie hématogène c. le germe le plus fréquemment en cause est E. Coli d. en France, elle est le plus souvent liée au bacille de Koch e. dans la majorité des cas la prise en charge est chirurgicale
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, L’inoculation directe faisant suite à un geste chirurgical ou percutané sur le rachis est beaucoup plus rare : B. Le germe le plus fréquent est un staphylocoque (aureus ou epidermidis). La tuberculose (mal de Pott) reste une cause rare en France de spondylodiscite : C et D. La prise en charge chirurgicale est exceptionnelle. La ponction biopsie discovertébrale est réalisée en radiologie interventionnelle : E.
Rhumatologie
1
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5,307
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Un homme de 55 ans a un gonflement de cheville droite depuis 5 jours. Il a des antécédents de diabète insulinorequérant, de cardiopathie ischémique et d’hypertension artérielle. A l’arrivée aux urgences, la température corporelle est à 37.4°, la tension artérielle à 14/8, l’hémodynamique est conservée. La cheville droite est le siège d’un épanchement confirmé en échographie. Il n’y a pas de souffle cardiaque. Une ponction est effectuée en urgence ramenant un liquide purulent avec 35000 éléments, 95% de polynucléaires neutrophiles, 5 % d’éléments mononuclés, pas de microcristaux, un examen direct négatif. Quelles sont les propositions justes ? (QRM : plusieurs réponses possibles)? a. L'absence de fièvre élimine une arthrite septique b. Le diabète est un facteur de risque d'arthrite septique c. Le liquide articulaire est inflammatoire d. L'examen direct négatif élimine une arthrite septique e. Une IRM de cheville doit être réalisée en urgence
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, L'absence de fièvre n'élimine pas une arthrite septique car la fièvre n'est pas constante. La présence d'un diabète augmente le risque infectieux et représente un facteur de risque d'arthrite septique. Le liquide articulaire compren plus de 2000 éléments par mm3, par définition, il est donc inflammatoire. Un examen direct négatif n'élimine pas une arthrite septique. Il faut attendre la culture du liquide articulaire quelques jours après l'examen direct pour éliminer une arthrite septique si cette culture est négative. Il n'y a pas lieu de réaliser une IRM articulaire en urgence en cas de suspicion d'arthrite septique.
Rhumatologie
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5,308
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quelles sont les contre-indications à une ponction articulaire en dehors d'une suspicion d'arthrite septique : a. une infection cutanée au niveau du site de ponction b. des trouble de la coagulation c. une thrombopénie < 50G/L d. du matériel prothétique articulaire e. une fracture intra-articulaire
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Item 196, cofer : Les contre-indications à une ponction articulaire sont : une infection cutanée au niveau du site de ponction ; des troubles de la coagulation par coagulopathie ou traitement anticoagulant ; une thrombopénie < 50 G/L ; du matériel prothétique articulaire ; une fracture intra-articulaire. Cependant en cas de suspicion d'arthrite septique, toute contre-indication est relative.
Rhumatologie
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5,309
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,
Un homme de 25 ans présente depuis 3 semaines une dorsalgie d'intensité croissante. Les douleurs sont présentes au repos et le réveillent la nuit. Il n'a pas d'antécédents. Quelle(s) est (sont) le (les) diagnotic(s) possibles ? a. Une métastase osseuse b. Une spondyloarthrite c. Une spondylodiscite infectieuse d. Une tumeur neurologique e. Une tumeur osseuse primitive
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Il faut évoquer toutes les causes de dorsalgies inflammatoires (tumorale, infectieuse, rhumatsmale...) il s'agit d'une dorsalgie symptomatique jusqu'a preuve du contraire. il faut aussi savoir rechercher des causes viscérales (cardiaque, pulmonaire, digestive...)
Rhumatologie
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5,310
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Quel(s) signe(s) physique(s) est (sont) observé(s) à l'examen des mains d'un sujet ayant une arthrose digitale ? a. Nodule rhumatoïde b. Nodosité de Bouchard c. Tophus digital d. Déviation latérale d'une interphalangienne distale e. Nodule palmaire du 4ème rayon
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les nodosités de Bouchard sont des tuméfactions osseuses dorsales des articulations interphalangiennes proximales ; une désaxation distale est aussi possible au cours de l'arthrose des interphalangiennes distales. Le nodule palmaire correspond à un épaississement localisé de l'aponévrose palmaire superficielle au cours de la maladie de Dupuytren. Le nodule rhumatoïde est observé au cours de la polyarthrite rhumatoïde. Le tophus digital correspond à la maladie goutteuse.
Rhumatologie
1
4
5,312
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Une patiente de 76 ans vous consulte en cabinet de médecine générale pour des lombalgies. Ses principaux antécédents sont une hyperthyroïdie, un tabagisme actif. Elle vous apprend qu’elle a consulté aux urgences il y a 2 jours car les douleurs étaient très importantes. Des radiographies auraient été réalisées et auraient retrouvées 3 fractures vertébrales. Grâce à l’adaptation des antalgiques, elle se sent mieux, et vient vous voir pour la suite de la prise en charge. Ses douleurs sont de rythme mécanique. Elle n’a pas perdu de poids et pèse 50kg. Mais sa taille actuelle est de 1m65 versus 1m68 à 20 ans. Quelle(s) proposition(s) suivante(s) est (sont) vrai(es) ? a. Elle présente 4 facteurs de risque d’ostéoporose b. Un bilan biologique doit être réalisé c. Sa perte de taille oriente vers une cause secondaire d. Une ostéodensitométrie n’est pas nécessaire car il existe une indication thérapeutique e. Le traitement le plus adapté est le tériparatide pour cette patiente
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Elle présente 4 FDR d’ostéoporose : l’âge, l’antécédent d’hyperthyroidie, la tabagisme actif et la maigreur (IMC : 18kg/m2). Un bilan biologique est nécessaire comprenant : NFS, EPP, CRP, ionogramme sanguin avec créatinine, ca2+, phosphorémie, vitamine D, PTH. Dans les urines : calciurie et créatininurie. La perte de taille est en lien avec les fractures vertébrales, et n’oriente pas spécifiquement vers une cause secondaire. Une ostéodensitométrie doit être réalisé pour évaluer la densité minérale osseuse avant la mise sous traitement pour le suivi sous traitement. Le tériparatide est le traitement à choisir en cas de fractures vertébrales (plus de 2), s’il n’existe pas de contre-indications (hypercalcémie, hyperparathyroïdie primaire, antécédent de radiothérapie ou de tumeurs osseuse primaires ou secondaires).
Rhumatologie
1
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5,313
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Une patiente de 35 ans, sans antécédents particulier en dehors d’une fausse couche à 10 semaines d’aménorhée, vient vous voir en consultation pour des polyarthralgies des 2 mains (MCP et IPP) et des poignets associées à des myalgies diffuses mais sans arthrite clinique. Elle ne décrit pas d’autre symptôme associé. Son frère est traité pour une spondyloarthrite associée à une maladie de Crohn. Son médecin traitant lui prescrit une biologie: la CRP est à 8mg/l, l’hemoglobine est normale, les lymphocytes à la limite supérieure de la normale, les plaquettes sont à 120G/L. Elle est HLA-B27 positive. Quel est le diagnostic le plus probable? a. Une vascularite à p-ANCA b. Un lupus érythémateur disséminé c. Une spondyloarthrite périphérique d. Un rhumatisme psoriasique e. Un syndrome de Gougerot-Sjogren
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, Femme jeune, atcd obstétricaux d’1 FSP, polyarthralgies symétriques des petites articulations Lymphopénie et thormbopénie Syndrome inflammatoire modéré => très évocateur LED +/- SAPL à rechercher
Rhumatologie
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5,314
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quels sont les éléments faisant craindre une fracture vertébrale secondaire ou « symptomatique » non ostéoporotique ? a. Absence de recul du mur postérieur b. Asymétrie c. Atteinte de la vertébre T12 d. Lyse pédiculaire e. Rupture corticale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, à connaitre par cœur + Recul du mur postérieur Atteinte au dessus de T5 Ostéocondensation, ostéolyse Asymétriqe Erosion, rupture corticale Lyse pédiculaire ou vertèbre borgne, lyse épineuse Syndrome inflammatoire, Fièvre, AEG, douleur inflammatoire = SUSPECT
Rhumatologie
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5,315
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quelle est la principale contre-indication des biphosphonates dans l’ostéoporose fracturaire ? a. L’hypercalcémie b. Une anémie c. Une insuffisance rénale chronique avec un DFG inférieur à 30 ml/min. d. Un antécédent de cancer e. un antécédent de radiothérapie
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Les biphosphonates sont contre indiqués en cas d'insuffisance rénale sévère avec un DFG inférieur à 30 ml/min. Attention C'est le teriparatide qui est contre indiqué en cas d'antécédent de cancer ou de radiothérapie.
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
A propos de l'examen sémiologique de l'épaule, sélectionnez le ou les items valides a. le Yocum est une manœuvre utilisée pour la recherche d'un conflit sous acromial b. le Hawkins est une manœuvre utilisée pour la recherche d'un conflit sous acromial c. le test de Gerber permet de tester le subscapulaire d. l'infra-épineux permet une rotation interne e. le test de Jobe permet de tester l'infra-épineux
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Item 357, page 446 Conflit sous acromial : Yocum, Neer, Hawkins Jobe : supra-épineux, abduction Patte : Infra-épineux, Rotation externe Gerber : Subscapulaire : Rotation interne Palp-up test : Long biceps : flexion coude / antépulsion
Rhumatologie
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5,318
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable,
Madame L, 42 ans, que vous suivez pour une polyarthrtie rhumatoïde récente avec positivité à fort taux des anticorps anti-CCP et des facteurs rhumatoides, érosive d'emblée, vient vous voir en urgence car elle présente des douleurs des mains et des pieds avec une EVA à 60/100. Elle est réveillée toutes les nuits par les douleurs, notamment en fin de nuit. Elle décrit également des difficultés d’endormissement. La mobilisation des articulations gonflées est difficile mais l’activité permet de diminuer les phénomènes douloureux. Elle décrit le matin une période de 2 heures où les mouvements sont difficiles du fait d’une ankylose articulaire. Elle a déjà présenté un épisode similaire au poignet droit il y a 2 mois. Ces crises sont survenues alors même qu’elle poursuit son traitement par METHOTREXATE à la dose maximale recommandée depuis plus de 6 mois et avec une bonne efficacité initiale. Quelle adaptation de son traitement de fond lui proposez vous? a. Aucune b. Introduction LEFLUNOMIDE en monothérapie c. Ajout LEFLUNOMIDE au METHOTREXATE d. Introduction d'un anti-TNF alpha en monothérapie e. Ajout d'un anti-TNF alpha au METHOTREXATE
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, A. échappement au METHOTREXATE avec plusieurs poussées et présence de facteurs de sévérité de la polyarthrite rhumatoïde avec positivité à fort taux des anticorps et érosion initiale, indication formelle à une modification thérapeutique. B. présence de facteurs de sévérité de la polyarthrite rhumatoïde avec positivité à fort taux des anticorps et érosion initiale, selon recommandation plutot biomédicament. C. association METHOTREXATE-LEFLUNOMIDE, non recommandée en France D et E. maintien recommandé du METHOREXATE en l'absence de contre indication et de mauvaise tolérance lors de l'ajout d'un anti-TNF alpha.
Rhumatologie
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5,319
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi les diagnostics suivants, le(s)quel(s) est (sont) susceptible(s) d’être un facteur déclenchant de syndrome douloureux régional complexe de type I (également appelé algoneurodystrophie) ? a. un AVC ischémique b. un diabète de type 1 c. une grossesse d. une cirrhose hépatique e. une mastectomie avec curage ganglionnaire pour un cancer du sein
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Parmi les autres facteurs favorisants, on peut citer les rhumatismes inflammatoires, le syndrome du canal carpien, la sclérose en plaques, la thrombose veineuse profonde, le zona, un panaris, les dysthyroïdies, la prise de phénobarbital.
Rhumatologie
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5,320
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Concernant les propositions suivantes sur la physiopathologie des spondyloarthrites, citez la(les) proposition(s) vraie(s) : a. Il s’agit d’une maladie liée à l’X induite par la transmission du HLA B27 b. Le HLA-B27 est un allèle normal du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) c. La prévalence du HLA-B27 dans la population générale caucasienne est de l’ordre de 6 à 8 % d. La présence d’HLA-B27 est exceptionnelle chez les sujets à peau noire, et sa présence est un élément séméiologique encore plus élevé que chez un sujet caucasien e. La recherche du HLA-B27 est indispensable pour pouvoir porter le diagnostic de spondyloarthrite chez un patient
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Même s’il existe souvent une prédisposition familiale, la SpA n’est pas absolument pas une maladie génétique! La présence ou l’absence du HLA B27 ne détermine pas la maladie. Sa transmission n’est pas mendélienne, et encore moins liée à l’X ! Le Human Leukocyte Antigen-B27 est un allèle normal du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) qui est très fortement associé avec la spondylarthrite ankylosante (il s’agit de l’une des plus fortes associations actuellement connues entre un antigène du système HLA et une maladie, avec un risque relatif supérieur à 200). La prévalence du HLA-B27 dans la population générale caucasienne est de l’ordre de 6 à 8%. La prévalence du HLA B27 parmi les malades atteints de spondylarthrite ankylosante de forme radiographique atteint90%, de 63 à 75 % parmi les malades souffrant d’arthrite réactionnelle ou de syndrome de Reiter, de 30 à 70% pour le rhumatisme psoriasique et les rhumatismes associés aux entérocolopathies inflammatoires. L’absence du HLA B27 ne permet pas d’écarter le diagnostic. Positif, il peut conforter un cas clinique douteux, mais en aucun cas il ne signe la maladie (97% des B27 n’ont jamais de spondylarthropathies). En effet, 6 à 8% des sujets caucasiens sont HLA B27 positifs, ce qui diminue beaucoup la spécificité de ce test.
Rhumatologie
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5,321
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Une patiente de 57 ans consulte pour une monoarthrite du genou gauche au service des urgences. La douleur et l’épanchement sont apparus en 48 heures. Elle est très douloureuse et a des difficultés à marcher. Votre examen clinique retrouve effectivement un épanchement intra articulaire. Vous ponctionnez le genou, le laboratoire vous répond qu’il y a 3050 éléments/mm3. Quelle(s) proposition(s) est (sont) vraie(s) ? a. Il s’agit d’un liquide mécanique b. Il s’agit d’un liquide inflammatoire c. L’étiologie pourrait être une poussée d’arthrose d. L’étiologie pourrait être une arthrite septique e. L’étiologie pourrait être une poussée de spondyloarthrite
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Liquide >2000 éléments/mm3 est inflammatoire, et<1000/mm3 est mécanique. Les 3 causes d’arthrites principales sont : l’arthrite septique, l’arthrite microcristalline (goutte ou chondrocalcinose) et un rhumatisme inflammatoire (PR, Spondyloarthropathie…).
Rhumatologie
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5,322
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Vous voyez Monsieur P en consultation qui se plaint d’un gonflement articulaire du genou droit depuis 5 jours. Le genou est gros, chaud, rouge et douloureux à l’examen clinique. Il vous dit être réveillé la nuit du fait des douleurs et présenter un dérouillage matinal de 45 minutes environ. Quelles sont les causes possibles de ce tableau clinique ? a. Arthrite septique b. Arthrose c. Arthrite micro-cristalline d. Algodystrophie e. Arthrite réactionnelle
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Rhumatologie
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5,323
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,
Devant un tableau de polyarthrite débutante, quel bilan biologique est à proposer en première intention ? a. anticorps anti nucléaires (ACAN) b. anticorps anti peptide cyclique citrullinés c. c reactive proteine (CRP) d. facteur rhumatoïde e. vitesse de sédimentation
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Le bilan biologique d'une polyarthrite débutante comprend toutes ces propositions ainsi que la réalisation d'un bilan hépatique et du dosage de la créatininémie.
Rhumatologie
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5,324
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quelles consignes alimentaires devez-vous donner à un patient souffrant de crise de goutte ? Parmi les solutions thérapeutiques, la(les)quelle(s) est (sont) exacte(s) ? a. diminution de sa consommation en boissons alcoolisées b. diminution de sa consommation en Sodas c. Préférer les jus de fruits d. Préférer une alimentation riche en viande e. un régime sans laitage
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, il faut limiter la consommation en base purine. On conseil au patient d'arrêter (diminuer) sa consommation d'alcool (surtout la bière) et de soda ou de jus de fruits sucrés. Les viandes (surtout les abats) sont aussi a restreindre. Le régime sans laitage est à la mode dans les rhumatismes inflammatoires, ne marche pas. Il faut avoir en tête que l'hyperuricémie fait partie du syndrome métabolique.
Rhumatologie
1
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5,326
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Un homme est suivi pour spondyloarthrite axiale associée à l'antigène HLA B27 depuis 2 ans. Il a reçu depuis le début de l'évolution un seul AINS (Ketoprofène) sur un mode intermitent qui soulageait parfaitement les symptômes, associée à une gymnastique auto-rééducative. Depuis 3 semaines il signale des douleurs axiales ne répondant plus à cet AINS. Que proposez vous ? (une à plusieurs propositions exactes) a. Remplacement de l'AINS par une corticothérapie générale en courte cure b. Remplacement par un autre AINS c. Instauration d'un anti-TNF alpha d. Gymnastique auto-rééducative rachidienne à poursuivre e. Infiltration cortisonée épidurale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, le traitement anti-TNF ne sera proposé qu'après échec d'au moins 2 AINS pas d'interet de la corticothérapie generale ou locale
Rhumatologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix correct et indispensable,
Quelle(s) est (sont) l’(es) étiologie(s) que vous pouvez évoquer devant une polyarthrite subaiguë chez une femme de 35 ans ? (1 ou plusieurs réponses possibles) a. Une goutte b. Une arthrite septique c. Une polyarthrite virale d. Une polyarthrite rhumatoïde e. Une polyarthrite lupique
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix correct et indispensable, la goutte n'est pas à évoquer chez la femme avant la ménopause sauf contexte très particulier (insuffisance rénale sévère, chimithérapie sur hémopathies)
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5,330
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Concernant le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), quelle(s) est/sont la/les réponse(s) exacte(s) ? a. Il existe une prédominance féminine b. Les traumatismes sont à l’origine de 50% des SDRC c. Risque de séquelles dans environ 75% des cas d. L’évolution peut être prolongée (12-24 mois) e. Les corticoides sont le traitement de 1ère intention
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Prédominance féminine avec souvent un facteur déclenchant, évolution favorable chez 90% des patients mais peut être prolongée Le traitement associe kinésithérapie douce et des médicaments dont l’effet est aléatoire (aucune AMM en France actuellement)
Rhumatologie
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5,331
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Une jeune patiente de 30ans vient vous consulter car elle a réalisé une radiographie du bassin retrouvant une ostéonécrose aseptique de la tête fémorale droite. Quelle(s) étiologie(s) ou facteurs de risque devez-vous rechercher chez elle ? a. Un alcoolisme chronique b. Une corticothérapie à fortes doses c. Un lupus érythémateux systémique d. Une drépanocytose e. Une maladie coeliaque
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les étiologies et facteurs de risque de l’ostéonécrose aseptique sont multiples :Traumatismes local : fracture du col, luxation de la tête fémoraleEtiologies non traumatiques : alcoolisme, corticothérapie à fortes doses, embolie gazeuse, LES (SAPL), drépanocytose, diabète, dyslipidémie (hypertriglycéridémie surtout), grossesse, radiothérapie, Maladie de Gaucher.
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5,332
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les propostions suivantes lesquelles sont des signes radiologiques de coxarthrose ? a. l’ostéophytose marginale b. la condensation sous-chondrale c. le pincement articulaire supéro-externe d. les géodes e. les syndesmophytes
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les signes radiologiques d'une arthrose sont :le pincement articulaire, l'ostéocondensation, les géodes et les ostéophytes. Les syndesmophytes correspondent à des ponts osseux rachidiens dans la spondyloarthrite.
Rhumatologie
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5,333
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Cochez la (les) proposition(s) exacte(s) a. Les biphosphonates se fixent préférentiellement sur les ostéoblastes b. Lors d'une scintigraphie osseuse, il convient de réaliser l'examen 3h après l'injection du 99mTc-biphosphonate pour obtenir une bonne fixation du traceur sur le squelette c. L’imagerie hybride TEMP-TDM augmente significativement la sensibilité de la scintigraphie osseuse, mais modifie peu sa spécificité d. Le18F-FNa est particulièrement bien adapté à la détection de métastases osseuses en Tomographie par Emission de Positons car il est spécifique du métabolisme osseux e. Le principal avantage de la TEP au 18F-FNa est qu'elle permet de mettre en évidence les localisations secondaires d’un cancer de prostate, qu'elles soient osseuses ou ganglionnaires
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A. Les biphosphonates se fixent préférentiellement sur les ostéoblastes. Faux, ils se fixent sur les cristaux d'hydroxyapatite B. Lors d'une scintigraphie osseuse, il convient de réaliser l'examen 3h après l'injection du 99mTc-biphosphonate pour obtenir une bonne fixation du traceur sur le squellette. Vrai C. L’imagerie hybride TEMP-TDM augmente significativement la sensibilité de la scintigraphie osseuse, mais modifie peu sa spécificité. Faux, les 2 paramètres sont significativement augmentés. D. Le18F-FNa est particulirement bien adapté à la détection de métastases osseuses en Tomographie par Emission de Positons car il est spécifique du métabolisme osseux. Vrai E. Le principal avantage de la TEP au 18F-FNa est qu'elle permet de mettre en évidence les localisations secondaires d’un cancer de prostate, qu'elles soient osseuses ou ganglionnaires. Faux, pas les localisations ganglionnaires car le 18F-FNa est spécifique uniquement du métabolisme osseux et non du métabolisme tumoral
Rhumatologie
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5,334
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Concernant les manœuvre de testing de la coiffe des rotateurs Quelles sont la ou les propositions justes ? a. La manœuvre de Jobe explore le tendon du supra-épineux b. Le Palm-up test explore le muscle sous scapulaire c. La manœuvre de Yocum signe un conflit sous-acromial d. La manœuvre de Hawkins teste le grand pectoral e. La manœuvre de gerber ou Lift-off teste le muscle supra-épineux
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, A vrai B faux c'est le long biceps C vrai D faux ce n'est pas un muscle de la coiffe, elle teste le sous scapulaire E faux elle teste l'infra épineux
Rhumatologie
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5,335
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
La pseudopolyarthrite rhizomélique est un rhumatisme qui se caractérise par : a. Une altération de l´état général b. Des céphalées temporales c. Des arthromyalgies des ceintures d. Une claudication intermittente de la mâchoire e. Une raideur matinale d´au moins 30 minutes
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La PPR se caractérise par des arthromyalgies inflammatoires (DM>30mn) des ceintures scapulaires et pelviennes associées à une altération de l’état général. Les céphalées et la claudication intermittente de la mâchoire sont observées dans la maladie de Horton
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5,336
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Vous voyez en consultation une patiente de 67 ans, pour un tableau d’arthralgies. Elle souffre depuis 3 mois, de douleurs des deux poignets, des deux coudes, et des mains. L’échelle visuelle de la fatigue est à 80/100 en lien avec des réveils quotidiens vers 3 heures du matin. Elle rapporte une impression d’être « raide » toute la matinée, lui empêchant d’aller faire son marché. Quel diagnostic par ordre de fréquence pouvez vous évoquer devant se tableau clinique ? a. Une arthrite septique b. crise d’arthrose des poignets c. Une polyarthrite rhumatoïde d. Une arthrite réactionnelle e. Une pseudo polyarthrite rhizomyélique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, La polyarthrite rhumatoïde n'est pas une maladie rare, elle a une prévalence entre 0.3 à 0.5 % en france.
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5,337
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Quels éléments d'interrogatoire seraient en faveur d'une spondyloarthrite chez un sujet de 38 ans consultant pour lombalgie chronique ? a. Des douleurs récurrentes liées à son activité professionnelle b. Un antécédent familial de polyarthrite rhumatoïde c. Un épisode inexpliqué d'arthrite du genou d. Un eczéma chronique e. Des sciatiques tronquées inflammatoires récurrentes
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, E correspond vraisemblablement à des épisodes de pygalgies/fessalgies liées à des épisodes récurrents de sacroiliite
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5,338
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Un patient de 70 ans vous consulte car il souffre d’arthromyalgies d’horaire inflammatoire avec un dérouillage matinal de 3 heures. Ces douleurs sont bilatérales et symétriques touchant les ceintures scapulaires et pelviennes, accompagnées d’une importante asthénie et d’une perte de 5 kg en 2 mois. Il n’y a pas de synovite périphérique. Parmi les symptômes suivants, le(s)quel(s) doit (doivent) être recherché(s) systématiquement à l’interrogatoire devant ce tableau clinique a. Céphalées b. ptosis c. douleur au toucher du cuir chevelu d. douleur à la mastication e. hypoacousie bilatérale
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Réponses A, C, D Le tableau clinique évoque une pseudopolyarthrite rhyzomélique. Une artérite à cellules géantes (Horton) doit être recherchée systématiquement. Cette vascularite peut se manifester par des céphalées temporales, une claudication intermittente de la mâchoire qui se manifeste par des douleurs à la mastication, une hyperesthésie du cuir chevelu au toucher. Le ptosis et l’hypoacousie bilatérale ne sont pas des signes classiques d’artérite à cellules géantes
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5,339
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les propositions suivantes concernant une fracture vertébrale non traumatique, lesquelles orientent vers la nature maligne de cette fracture sur une radiographie standard ? a. disparition d’un pédicule b. ostéolyse corticale c. respect du mur postérieur d. siège de la fracture vertébrale au dessus de T4 e. symétrie de la vertèbre de face
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, La nature maligne d'une fracture vertébral sur radiographie standard est suspectée lorsque : -Asymétrie de la vertèbre de face - -disparition du pédicule ( aspect de vertèbre borgne) -fracture siégeant au dessus de T5 -Non respect du mur postérieur, ou présence de lyse corticale -présence de masse paravertébrale ou d'apposition périostée ( plus rare)
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5,342
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Vous ponctionnez un genou gonflé depuis 48h. L’analyse du liquide articulaire retrouve : 800 éléments/mm3, 20% PNN, 15% de lymphocyte. Le reste de l’analyse est en cours. Quelle(s) est (sont) les propositions vraie(s) ? a. le liquide est mécanique b. le liquide est inflammatoire c. il pourrait s’agir d’une poussée de chondrocalcinose d. il pourrait s’agir d’une arthrite septique e. il pourrait s’agir d’une poussée inflammatoire de gonarthrose
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, <1000 éléments/mm3 = liquide mécanique, > 2000éléments/mm3=liquide inflammatoire Liquide mécanique : étiologie : arthrose Liquide inflammatoire : septique, microcristallin, rhumatismale
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5,343
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Devant la découverte d'une lésion vertébrale lytique métastatique d'un cancer du sein avec signes neurologiques, quelle(s) proposition(s) est (sont) exacte(s) dans la prise en charge à la fois symptomatique et anti tumorale ? a. denosumab b. antalgiques de pallier adapté à l'intensité de la douleur c. corticothérapie d. radiothérapie externe e. stimulation de l'activité physique telle que la marche
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les traitements antirésorbeurs comme l'acide zolédronique (bisphosphonate) en injection intraveineuse mensuelle ou le dénosumab en sous cutanée, traitent ou préviennent l'hyercalcémie, et réduisent le risque d'évènement osseux.La corticothérapie est utile pour réduire les conséquences des compressions nerveuses.La mise en décharge des zones lytiques en attente de stabilisation (chirurgie, cimentoplastie percutanée, radiothérapie) est nécessaire. Ici on préconise en fonction de l'étage atteint l'immobilisation par corset ou le lit strict.
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5,344
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Le patient que vous voyez en consultation se plaint d’un syndrome rotulien typique. Quelles en est sont les caractéristiques ? a. - Présence d´un signe du caddie b. - Présence d´un signe du cinéma c. - Douleur lors de la descente des escaliers d. - Douleur lors de la marche sur terrain plat e. - Douleur lors de l´agenouillement
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, le syndrome rotulien ou fémoro-patellaire correspond à une douleur localisée plutôt sur la face antérieure du genou, favorisée lors de la descente des escaliers, la station assise prolongée (signe du cinéma) et l’agenouillement.
Rhumatologie
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5,345
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quand faut-il réaliser des examens complémentaires devant une lombalgie aiguë ? a. en cas de fièvre b. en cas de douleur mécanique c. si la toux ou à la défécation déclenchent la lombalgie d. en cas d'altération de l’état général e. en cas de brûlures mictionnelles
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, A. Elle doit faire éliminer une spondylodiscite infectieuse par un bilan biologique et une IRM du rachis lombaire B. Devant un simple lumbago, sans aucun drapeau rouge, il n’y a pas lieu de réaliser une imagerie C. Le caractère impulsif à la toux et à la défécation oriente vers une origine discale. Il est à rechercher en cas de radiculalgie mais pas nécessairement en cas de rachialgie seule D. L’existence d’une altération de l’état général doit faire rechercher une cause tumorale E. Elle doit faire éliminer une pyélonéphrite aigue par un bilan biologique et une bandelette urinaire
Rhumatologie
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5,346
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Une patiente de 65 ans consulte suite à une fracture de l'extrémité supérieure du fémur survenue suite à une chute de sa hauteur. Elle n'a pas d'antécédent notable. Quel(s) examen(s) biologique(s) est (sont) à demander? a. calcémie b. électrophorèse des protéines plasmatiques c. marqueurs tumoraux d. myélogramme e. vitamine 25OHD3
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Réponses: ABE Le bilan de base de l'ostéoporose comprend entre autre le bilan phospho calcique et le dosage de la vitamine D ainsi que l'électrophorèse des protéines plasmatiques. La recherche de cancer ou myélome sera fonction du résultat du bilan initial De plus les marqueurs tumoraux n'ont pas d'intérêt diagnostic mais dans le suivi des pathologies cancéreuses.
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5,347
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Quel(s) est (sont) le(s) paramètre(s) d’évaluation d’une polyarthrite rhumatoïde ? a. Décompte du nombre d'articulations douloureuses sur 28 articulations (critère DAS28-VS) b. Décompte du nombre d'articulations gonflées sur 66 articulations (critère DAS28-VS) c. Durée de la raideur matinale d. Mesure de l'appréciation globale de la maladie par le médecin (échelle visuelle analogique) (critère DAS28-VS) e. Mesure de la vitesse de sédimentation globulaire (critère DAS28-VS) et/ou de la protéine C réactive
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, COFER : Paramètres d'évaluation de l'activité de la polyarthrite rhumatoïde Décompte du nombre d'articulations douloureuses sur 28 articulations (critère DAS28-VS). Décompte du nombre d'articulations gonflées sur 28 articulations (critère DAS28-VS). Durée de la raideur matinale. Mesure de l'intensité de la douleur (échelle visuelle analogique). Mesure de l'appréciation globale de la maladie par le patient (échelle visuelle analogique) (critère DAS28-VS). Mesure de la vitesse de sédimentation globulaire (critère DAS28-VS) et/ou de la protéine C réactive.
Rhumatologie
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5,349
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Un patient de 55 ans consulte aux urgences de l’hôpital où vous êtes de garde pour une douleur de pied gauche apparue brutalement hier. L’hallux de votre patient est rouge et chaud. Vous pouvez à peine l’examiner tellement il est douloureux. Il n’a pas de plaie cutanée en regard. Dans ses antécédents on note une HTA traitée par Furosémide et un diabète de type 2 traité par Metformine. Ses constantes sont : TA : 150/80mmgh, Fc : 90bpm, Tp : 38.1°C, BU négative, Poids : 105kg pour 1m75. Quelle(s) proposition(s) suivante(s) est (sont) vraie(s) ? a. L’hypothèse la plus probable est une crise de goutte b. L’hypothèse la plus probable est une arthrite septique c. Si la ponction articulaire retrouve des cristaux de pyrophosphates de calcium, cela oriente vers une crise de goutte d. Si le patient a une uricémie normale, cela écarte une crise de goutte e. Les cristaux d'acide urique sont très biréfringents
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, L’hypothèse principale est une crise de goutte car : -localisation de l’hallux est typique - apparition brutale des douleurs - homme > 35 ans , en surpoids, traitement par diurétiques au long cours. -fébricule Dans le cadre d’une crise de goutte les cristaux à la ponction sont des cristaux d’urate de sodium. Lors de la crise de goutte, l’uricémie peut être normale. microcristaux d'acide urique: longs cristaux en aiguille, extra- et intracellulaires, très biréfringents en lumière polarisée
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Le liquide synovial dans le cadre d’une arthrose simple non compliquée peut montrer : a. <2000 éléments/mm3 b. La présence de microcristaux d’hydroxyapatite ou de pyrophospate de calcium c. >50% de polynucléaires neutrophiles d. Des cellules LE e. Un aspect macroscopiquement visqueux
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A : Vrai (liquide non inflammatoire) B : Vrai (issus de l’os sous chondral) C : Faux (>50% PNn= liquide inflammatoire) D : Faux(cellules LE dans le Lupus) E : Vrai (liquide de type mécanique)
Rhumatologie
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5,351
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Devant un gonflement du genou, la ponction du liquide articulaire est puriforme. L'examen cytologique retrouve une formule avec 20 000 leucocytes/mm3, dont 90% de PNN, 10 % lymphocytes et l’examen direct des cocci gram positif en amas; pas de cristaux visibles. Parmi les propositions suivantes concernant le liquide de ponction articulaire, laquelle ou lesquelles (est) sont vraie(s) ? a. Liquide mécanique b. Liquide inflammatoire c. Liquide septique d. Présence d´un Streptocoque e. Présence d´un Staphylocoque
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La formule du liquide est celle d’un liquide inflammatoire avec Leucocytes > 2000/mm3. Elle est riche en PNN orientant vers une origine septique, mais c’est la présence d’un germe au direct qui confirme cette hypothèse. Un liquide septique est toujours inflammatoire. L’inverse est faux. Les cocci gram + en amas sont des staphylocoques. Les cocci gram + en chaînettes sont des streptocoques.
Rhumatologie
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5,352
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quels examens biologiques effectuez-vous devant le diagnostic d’une ostéoporose fracturaire pour rechercher une ostéoporose secondaire ? a. calcémie b. electrophorèse des protéines sériques c. magnésium d. vitamine D e. créatinine
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Il n'y a pas de consensus sur les examens initiaux à effectuer systématiquement. On peut proposer de doser initialement : Hémogramme ; électrophorèse des protéines sériques ; CRP ; calcémie, phosphatémie, créatininémie avec estimation de la clairance selon la formule de Cockroft ou MDRD ; 25(OH)D3 ; sur les urines des vingt-quatre heures : calciurie, créatininurie. Ces dosages ont pour but d'éliminer une ostéopathie maligne (myélome ou métastases). Au cours de l'ostéoporose ces examens sont le plus souvent normaux. Il n'existe pas de syndrome inflammatoire, ni de gammapathie monoclonale. La découverte d'une hypercalcémie dans ce contexte doit faire rechercher une cause maligne ou une hyperparathyroïdie primitive (avec souvent une hypophosphatémie associée) ; les autres causes d'hypercalcémie ne doivent pas être oubliées (sarcoïdose, surdosage en vitamine D…).
Rhumatologie
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Quel(s) manifestation(s) extra articulaire(s) est (sont) associée(s) aux spondyloarthrites? a. eczéma b. maladie de Crohn c. psoriasis d. syndrome de raynaud e. uvéite antérieure aigue
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Les symptômes extra articulaires à rechercher dans les spondyloarthrites sont: - uvéites antérieures - maladie inflammatoire chronique de l'intestin: Crohn, rectocolite hémorragique - Finssinger, leroy reiter (conjonctivite, uréthrite, arthrite) - psoriasis
Rhumatologie
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5,356
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Madame T, âgée de 78 ans, vous consulte pour une douleur de la main droite. En l'interrogeant , la douleur est située à la base du pouce de la main droite, elle est déclenchée par l'utilisation du pouce notamment lorsqu'elle utilise un économe. Vous suspectez une rhizarthose. Quel(s) traitement(s) préconisez vous? a. mise en place d'une attelle de repos b. traitement antalgique simple par pallier 1 c. introduction de méthotrexate d. abstention thérapeutique e. discuter la cryothérapie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, pour l'arthrose la prise en charge est essentiellement antalgique. on discute l'immobilisation avec une attelle. si échec on peut infiltrer l'articulation.
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Vous avez donc retenu l’indication d’un traitement par anti-TNF devant cette maladie mal contrôlée, avec progression structurale rapide. Quel(s) est (sont) le(s) élément(s) à demander systématiquement dans le cadre du bilan avant traitement par anti-TNF ? : a. Une numération formule sanguine b. Un dosage de l’acide urique c. Une mise à jour du vaccin anti-pneumococcique d. Une coloscopie e. Un antécédent de néoplasie survenu dans les 5 années précédentes, qui contre-indiquerait le traitement
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La mise à jour vaccinale devrait idéalement être réalisée le plus tôt possible, au moment de la mise sous Méthotrexate (voire avant), car on sait que ce médicament diminue la réponse vaccinale. Les anti-TNF augmentent le risque infectieux, d’où l’intérêt de vacciner les patients. Les vaccins inactivés sont sans risque et peuvent être administré aux patients sous anti-TNF: grippe, Hépatite A et B, PentaCoq, Diphtérie/Tétanos/poliomyélite, Coqueluche, Haemophilus influenzae B, Méningocoque, Pneumocoque, Fièvre typhoïde. Les vaccins vivants atténués sont contre indiqués ! Les vaccins vivants atténués disponibles en France sont : fièvre jaune, BCG, ROR (rubéole, oreillon, rougeole), varicelle-zona, rotavirus La HAS a proposé en 2013 un nouveau schéma vaccinal pneumococcique : PREVENAR 13, complété au moins deux mois après par le PNEUMO 23. Normalement le patient est vacciné « à vie ». Si le patient était vacciné par l’ancien schéma (PNEUMO 23 seul) : revacciner avec le nouveau schéma après 3 à 5 ans. Les dépistages systématiques du VIH, VHB et VHC sont systématiques. Un antécédent de pathologie démyelinisante (sclérose en plaque, névrite optique rétrobulbaire) contre-indique l’utilisation des anti-TNF, car ceux-ci peuvent induire des poussées. La coloscopie ne fait pas partie du bilan systématique.
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les propositions suivantes concernant la goutte, laquelle ou lesquelles est/sont exacte(s) ? a. la goutte est une arthropathie microcristalline à cristaux d’urate de sodium b. l’articulation la plus fréquemment touchée au début de la maladie est la première métacarpo-phalangienne de la main c. la goutte peut être secondaire à la prise prolongée de certains diurétiques d. la goutte peut être secondaire à une insuffisance rénale chronique e. la goutte peut être secondaire à une hyperparathyroïdie primitive
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A. Les autres arthropathies microcristallines sont le rhumatisme à pyrophosphate de calcium (anciennement appelée chondrocalcinose) et le rhumatisme apatique (dans lequel les cristaux sont submicroscopiques et non observés en microscopie optique). B. La goutte donne classiquement pendant les premières années des accès aigus de l’articulation métatarsophalangienne (MTP) du gros orteil et d’autres articulations du pied (autres MTP, tarse, cheville) C. Ce sont essentiellement les diurétiques thiazidiques et le furosémique. Les autres principaux traitement pourvoyeur de goutte sont : la ciclosporine, certaines chimiothérapie anticancéreuses, certains antituberculeux (éthambutol et pyrazinamide), le tacrolimus et l’aspirine à faible dose D. L’insuffisance rénale chronique peut entrainer une goutte par diminution de l’élimination rénale de l’acide urique. E. L’hyperparathyroïdie primitive peut entrainer un rhumatisme à pyrophosphates de calcium (chondrocalcinose) secondaire mais n’entraine pas de goutte. Les autres causes de goutte secondaires sont : certaines hémopathies (maladie de Vaquez, leucémie myéloide chronique, drépanocytose), le saturnisme, certaines enzymopathies (déficit en hypoxanthine guanine phosphoribosyl transférase) et certaines causes génétiques (gènes codant des transporteurs d’acide urique dans les tubules rénaux (URAT-1, ABCG2, UMOD, MCKD)). On peut également voir des gouttes secondaires dans certaines situations aigues : infarctus du myocarde, acidose métabolique, pré-éclampsie et glycogénose hépatique.
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5,360
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Le syndrome de Löfgren associe : a. paralysie faciale périphérique b. uvéite antérieure c. érythème noueux d. oligoarthrite des membres inférieurs e. lupus pernio
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Syndrome de Lofgren : érythème noueux + oligo/polyarthrite aiguë et fébrile touchant les grosses et moyennes articulations des membres inférieurs (chevilles et genoux) + adénopathies hilaires bilatérales asymptomatiques et non compressives
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5,361
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Concernant la goutte, sélectionnez le ou les items valides a. la goutte résulte d'une hyperuricémie chronique supérieure à 60 mg/L ou 360umol/L b. les cristaux mis en évidence dans le liquide articulaire sont des cristaux de pyrophosphate de calcium c. la goutte primitive est due dans 90% des cas à un défaut d'élimination rénale de l'acide urique d. la bière sans alcool et les sodas sont pourvoyeurs de crise de goutte e. la posologie de la colchicine doit être réduite chez le sujet insuffisant hépatique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, B : goutte : cristaux d'urates de sodium, E : adaptation de la colchicine en fonction de insuffisance rénale
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5,362
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Parmi les localisations suivantes, la(les)quelle(s) constitue(nt) une (des) fracture(s) grave(s), nécessitant l'introduction d'un traitement anti ostéoporotique quelle que soit la valeur de l'ostéodensitométrie? a. crane b. deux côtes simultanées c. extrémité inférieure du radius d. extrémité supérieure du fémur e. vertèbre
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Réponses DE Les fractures dites graves sont les suivantes: Extrémité supérieure du fémur , Extrémité supérieure de I'humérus fémur distal tibia proximal, 3 côtes simultanées, bassin vertèbres
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5,363
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Mr M, agé de 55 ans vient vous consulter pour une gonalgie évoluant depuis 48 heures. Il décrit l'apparition brutale d'un gonflement du genou droit avec une vive douleur. cliniquement, le genou est chaud, gonflé et douloureux. Vous constatez une température à 38,5°. Il est diabétique sous metformine, souffre d'une arythmie complète par fibrillation auriculaire sous apixaban. Quel(s) prélèvement(s) allez vous effectuer en urgence ? a. hémoculture aérobie et anaérobie b. ponction du genou pour prélèvement du liquide articulaire c. électrophorèse des protéines sériques d. hémoglobine glyquée e. un quantiféron
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, le tableau est celui d'une arthrite septique jusqu'à preuve du contraire. Il faut donc faire des prélèvements infectieux en urgence.
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5,364
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
En ce qui concerne le Calcium, quelles sont les réponses vraies ? a. C’est la vitamine D inactive (25-OH-vitamine D3) qui permet l’absorption du calcium au niveau digestif b. La PTH n’intervient pas dans la régulation de l’homéostasie phospho-calcique c. La PTH stimule la résorption osseuse d. C'est le calcium libre ionisé qui représente la forme active du calcium e. L'hypercalcémie est définie par un taux de calcium total (corrigé si nécessaire) supérieur à 1,6 mmol/l
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, C’est la forme active 1,25OH qui permet l’absorption digestive du calcium La PTH est au centre de la régulation du métabolisme phospho-calcique Une hypercalcémie est définie comme un taux > 2,6mmol/l
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5,365
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi ces propositions, quelle(s) est/sont la/ les principale(s) étiologie(s) de la chondrocalcinose secondaire ? a. Sarcoïdose b. Hyperparathyrodie primaire c. Insuffisance rénale d. Hypertension artérielle e. Hémochromatose
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Les deux étiologies de chondrocalcinose secondaire les plus fréquentes sont l'hyperparathyroidie primitive et l'hémochromatose. Plus rarement, la chondrocalcinose accompagne une hypomagnésémie (syndrome de Gitelman), une alcaptonurie (ochronose) ou une hypophosphatasie
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5,366
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quel(s) est (sont) le(s) effet(s) indésirable(s) connu(s) du Méthotrexate ? a. Hypocalcémie b. teratogène c. inhibiteur du cytochrome P450 d. Hyperuricémie e. hypercalcémie
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Le methotrexate est extrement tératogène. Il faut absolument le prescrire avec une contraception chez la femme. Chez l'homme il faut prevenir le patient car le risque est présent aussi.
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5,367
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Un patient de 75ans, vous ai adressé pour le bilan d’une hypercalcémie à 2,90mmol/l. Sa phosphorémie est normale et sa PTG (parathormone) est normale. Vous notez sur votre électrophorèse des protéines une hypogammaglobulinémie profonde à 3g/l. Quelles examens demandez vous pour appuyer le diagnostic suspecté ? a. Un dosage des chaines légères libres sériques b. Une échographie des glandes parathyroidiennes c. Une scintigraphie au MIBI d. Une immunoélectrophorèse des protéines urinaires e. Un dosage de l’enzyme de conversion de l’angiotensine
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Biologie évocatrice d’un myélome multiple à chaines légères du fait de l'hypogammaglobulinémie La PTH est adaptée à l’hypercaclémie (contrairement à l’hyperparathyroidie ou la PTH est augmentée ou anormalement normale) devant vous faire recherche une étiologie néoplasique L’ECA est réalisé dans le cadre du bilan de sarcoidose. L’EPP retrouve alors une hypergammaglobulinémie polyclonale.
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5,368
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Un jeune patient de 22 ans vient vous voir en consultation. Vous le suivez pour une spondylarthropathie axiale radiographique. Il souhaite avoir des informations sur la biothérapie. Parmi les propositions suivantes, quelles informations sont justes ? a. Les biothérapies ne sont pas immunosuppressives b. Nécessité une surveillance cutanée annuelle c. Ne contre indique pas la vaccination contre la fièvre jaune d. Ne doit être jamais arrêté même si fièvre ou prise d’antibiotique pour limiter le risque immunogénicité e. Doit être continué en cas de geste chirurgical programmé
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, Les biothérapies sont des traitements immunosuppresseurs . Ils nécessitent une surveillance annuelle cutanée, pour s'assurer de l'absence d'apparition de base ou spinocellulaire Il faut les arrêter: - avant des faire un vaccin atténué vivant (ex :fièvre jaune) -avant toute opération invasive programmée -Si épisode infectieux (fièvre ou prise d'antibiotiques ) L'information et l'éducation des patients sont indispensables pour limiter les risques.
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5,370
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Concernant les traitements des spondyloarthrites inflammatoires, sélectionnez le ou les items valides a. la sulfasalazine est surtout efficace sur la forme axiale b. le méthotrexate hebdomadaire à faible dose comme dans la polyarthrite rhumatoïde peut-être utilisé c. les anti-inflammatoires stéroidiens sont la pierre angulaire du traitement des spondyloarthrites d. les biomédicaments types anti TNF ne sont indiqués qu'après échec d'au moins 2 AINS pendant 2 mois e. les seuls biomédicaments pouvant être prescrits dans les spondyloarthrites sont les anti-TNF
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, A et B : Méthotrexate, léflunomide, sulfasalazine : action sur les formes périphériques, pas d'effet sur l'axiale C : les AINS sont la pierre angulaire des SPA E : Biomédicaments dans la SPA : anti TNF, anti IL17, anti IL12/23
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5,372
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi les critères suivants, sélectionnez celui ou ceux qui décrivent une douleur de type inflammatoire : a. Douleur associée à des réveils matinaux précoces b. Douleur nocturne c. Douleur augmentant avec l’activité d. Douleur soulagée par le repos e. Douleur associée à un dérouillage matinal
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Rythme de la douleur mécanique : diurne, augmentant avec l’activité, soulagée par le repos Rythme de la douleur inflammatoire : nocturne, réveil matinal prématuré, dérouillage matinal
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5,373
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Dans l'arthrose digital quel(s) est (sont) le(s) grand(s) principe(s) thérapeutique(s) ? a. anti inflammatoires non stéroïdiens b. bisphosphonates c. paracétamol d. port d'orthèses lors des poussées e. repos strict des articulations atteintes
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Réponses: ACD Les bisphosphonates ne sont pas utilisés dans le traitement de l'arthrose On conseille l'entretien articulaire plutôt que le repos
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5,374
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quelles sont les atteintes rhumatologiques classiques dans la polyarthrite rhumatoide ? a. Les interphalangiennes distales b. Les métacarpophalangiennes c. Les poignets d. Les sacro-iliaques e. Les vertèbres dorsales
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, des douleurs articulaires d'horaire inflammatoire (fin de nuit et petit matin) associées à une raideur matinale d'une durée comprise entre trente minutes et plusieurs heures ; elles sont localisées sur les poignets, les MCP, les IPP mais aussi les MTP, les genoux, les épaules, les chevilles et plus rarement les hanches ; les douleurs s'étendent progressivement devenant fixes, bilatérales et symétriques. pas d'atteintes des IPD, localisations possibles dans le rhumatisme psoriasique et l'arthrose les sacro-iliaques et le rachis dorsal dans la spondyloarthrite
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5,375
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct,
A propos des traitement par corticoïdes dans la pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) et l'artérite à cellule géante (ACG) : Sélectionnez le ou les items valides a. dans la PPR, la dose moyenne recommandée de la corticothérapie est de 0.2 mg/kg/j b. dans l'ACG sans signe oculaire ou cérébral, la dose moyenne recommandée de la corticothérapie est de 0.5 mg/kg/j c. en cas d'ACG compliquée de signes oculaire ou ischémiques, la dose moyenne recommandée de la corticothérapie est de 1 mg/kg/j d. dans le cadre de la corticothérapie au long cours il faut discuter de la mise en route d'un traitement anti-ostéoporotique e. dans le cadre de la corticothérapie au long cours il faut mettre à jour les vaccinations usuelles et la vaccination anti-grippale et anti-pneumoccocique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix correct, E: Choix correct, PPR : 0.2 mg/kg/j ACG non compliquée : 0.7 mg/kg/j ACG compliquée : 1 mg/kg/j Penser aux mesures associées à la CTC au long cours : régime pauvre en sel et sucre, vitamine D, activité physique, vaccins, traitement anti ostéoporotique, potassium, ...
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5,376
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Quelle(s) biothérapie(s) peut (peuvent) être utilisée(s) dans le traitement de la spondyloarthrite axiale ? a. anti lymphocyte B CD 20+ b. anti interleukine 1 c. anti interleukine 6 d. anti tumor necrosis factot alpha e. inhibiteur de la co activation des lymphocytes T
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable, Réponse D Seuls les anti TNF alpha sont utilisés dans les spondyloarthrites. Les autres biothérapies citées peuvent être sont utilisées dans la polyarthrite rhumatoide.
Rhumatologie
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5,377
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Cocernant les propositions suivantes sur la physiopathologie des spondyloarthrites, citez la(les) proposition(s) vraie(s) : a. Le HLA-B27 est un allèle normal du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) b. La prévalence du HLA-B27 dans la population générale caucasienne est de l'ordre de 6 à 8% c. La présence du HLA-B27 est indispensable pour pouvoir porter le diagnostic de spondylarthrite chez un patient d. La transmission du HLA-B27 est récessive liée à l'X, ce qui est explique la prédominance masculine de la maladie e. Le HLA-B27 peut se positiver en vieillissant.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Même si la présence du HLA-B27 peut souvent être un élément important aidant au diagnostic (cf. critères ASAS), sa présence n'est absolument pas indispensable ou suffisante pour poser le diagnostic, puisque sa prévalence est de l'ordre de 6 à 8 % dans la population caucasienne, et qu'il existe 10 à 20% d'authentiques spondyloarthrites qui sont HLA-B27 négatives. le HLAB27 est une donnée génétique du génome, elle ne varie pas au cours de la vie.
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5,378
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Parmi les propositions suivantes quel(s) est (sont) le(s) paramètre(s) utile(s) dans le suivi de l'activité d'une polyarthrite rhumatoïde ? a. calcul du disease activity index 28 (DAS28) b. évaluation du score health assessment questionnaire (HAQ) c. facteur rhumatoïde d. nombre d'articulation douloureuse e. vitesse de sédimentation
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Réponses: ADE Le HAQ est un indice fonctionnelle et ne traduit pas l'activité de la maladie contrairement au DAS 28 Il n'y a pas d'intérêt démontré de suivre le taux de facteur rhumatoïde qui n'est utile que dans le diagnostic
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5,379
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Vous voyez aux urgences un patient qui présente une épidurite de T9 compliquée d’une compression médullaire secondaire à un adénocarcinome prostatique. Que pouvez-vous mettre en évidence à l'examen clinique ? a. une aréflexie ostéotendineuse b. des réflexes vifs aux membres inférieurs c. une paraparésie des membres inférieurs d. une hypertonie plastique e. un signe de Hoffman positif
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Le syndrome sous-lésionnel médullaire comporte : - une atteinte motrice : déficit de la force musculaire de topographie et d'intensité variables. En général, il s'agit plus d'une paraparésie spasmodique que d'une véritable paraplégie. Le syndrome pyramidal est le plus souvent spasmodique, avec hypertonie élastique, réflexes ostéotendineux vifs, diffusés, polycinétiques, trépidation épileptoïde du pied, signe de Babinski ; - des troubles sensitifs dans le même territoire sous-jacent au niveau de la compression ; - des troubles génitosphinctériens : retard à la miction, envies impérieuses, rétention d'urine, constipation, impuissance. Diagnostic différentiel d'une compression périphérique : aucun signe du syndrome pyramidal n'est observé lors d'une compression périphérique.
Rhumatologie
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5,380
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les éléments suivants, lesquels permettent de poser le diagnostic d’ostéoporose chez une femme ménopausée ? a. T-score au col fémoral < -2.5 b. Z-score au col fémoral < -2.5 c. T-score au rachis lombaire (L2-L4) < -1 d. T-score au rachis lombaire < -2.5 e. Z-score à la hanche totale < -1.5
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Pour la femme ménopausée, la définition de l'ostéoporose n'utilise que le T-score. Ostéopénie si T-Score < -1 Ostéoporose si T-score < -2.5, quel que soit le site.
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5,382
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
La ponction articulaire d'une articulation au cours d’une poussée de polyarthrite rhumatoïde retrouve un liquide : a. Mécanique b. pauci-cellulaire c. riche en cellules dont la majorité sont des polynucléaires neutrophiles d. riche en cellules dont la majorité sont des lymphocytes e. des cristaux
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Le liquide est inflammatoire donc riche en cellules et en majorité de polynucléaires neutrophiles
Rhumatologie
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5,383
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable,
Parmi les propositions suivantes, laquelle est la manifestation extra-articulaire des spondyloarthrites ? a. La méningite aseptique b. L’eczéma c. La maladie cœliaque d. Les troubles de l’audition e. L’uvéite antérieure aiguë
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, Les signes extra articulaires à rechercher sont : Les uvéites antérieures aigues Les entérocolopathies inflammatoires ou maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Le psoriasis Les atteintes cardiaques avec possibles troubles du rythme ou de conduction
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5,384
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi les propositions suivantes laquelle (lesquelles) est (sont) un (des) facteur(s) de risque de fracture ostéoporotique ? a. antécédent familial de fracture de l'extrémité inférieure du radius chez un parent au premier degré b. antécédent personnel de fracture ostéoporotique c. carence en folates d. ménopause après 50 ans e. polyarthrite rhumatoïde
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Réponse a : il s'agit d'un antécédent de fracture de l'extrémité supérieure du fémur Réponse c : la carence en vitamine D est un facteur de risque d'ostéoporose Réponse d : la ménopause précoce avant 40 ans est un facteur de risque
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5,386
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Cochez la (les) proposition(s) exacte(s) a. Pour réaliser une scintigraphie osseuse on utilise du 18F-FNa car il émet des photons de 511 Kev b. Le radiopharmaceutique utilisé en scintigraphie osseuse est un biphosphonate qui se fixe sur l'hydroxyapatite par échange avec ses phosphates c. Lors d'une scintigraphie osseuse, il convient de bien hydrater le patient d. La scintigraphie osseuse aux biphosphonates marqués est un examen particulièrement adapté pour rechercher des métastases osseuses d'un cancer de la thyroïde e. La réalisation d'une TEP au 18F-FDG peut permettre de mettre en évidence aussi bien une tumeur primitive que d'éventuelles localisations osseuses secondaires
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A. Pour réaliser une scintigraphie osseuse on utilise du 18F-FNa car il émet des photons de 511 Kev. Faux, le 18F-FNa est utilisé pour réaliser une Tomographie par Emission à Positons du squelette et non une scintigraphie B. Le radiopharmaceutique utilisé en scintigraphie osseuse est un biphosphonate qui se fixe sur l'hydroxyapatite par échange avec ses phosphates. Vrai C. Lors d'une scintigraphie osseuse, il convient de bien hydrater le patient. Vrai D. La scintigraphie osseuse est un examen particulièrement adapté pour rechercher des métastases osseuses d'un cancer de la thyroïde. Faux, on priviligie l' 131I qui est spécifique du cancer de la thyroïde E. La réalisation d'une TEP au 18F-FDG peut permettre de mettre en évidence aussi bien une tumeur primitive que d'éventuelles localisations osseuses secondaires. Vrai
Rhumatologie
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5,388
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi les propositions suivantes concernant l’arthrose de l’épaule (ou omarthrose), laquelle ou lesquelles est/sont exacte(s) ? a. elle se traduit par une douleur inflammatoire b. elle peut être consécutive à une chondrocalcinose c. une rupture de la coiffe des rotateurs entraîne généralement une omarthrose excentrée d. elle se caractérise par un élargissement de l’interligne articulaire radiologique e. elle se caractérise par une condensation radiologique de l’os sous chondral
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A. L’omarthrose se traduit par une douleur de type mécanique, évoluant vers un enraidissement. B. On peut aussi retrouver une omarthrose centrée dans d’autres pathologies articulaires destructrices comme la polyarthrite rhumatoïde évoluée D. Les radiographies montrent un pincement de l’interligne articulaire en cas d’omarthrose E. En cas d’omarthrose excentrée, on retrouve, en plus des signes d’arthrose glénohumerale, des signes de rupture de coiffe (ascension de la tête humérale avec diminution de l’espace sous-acromial voire une néoarticulation acromiohumérale)
Rhumatologie
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quel(s) élément(s) de l'interrogatoire serai(en)t en faveur du diagnostic de spondyloarthrite axiale chez un patient consultant pour des rachialgies chroniques ? a. Des antécédents familiaux de sciatiques opérées chez son père b. La présence d'une éruption aux pieds après port de chaussures en matière synthétique c. Des douleurs fessières la nuit lors des changements de position d. Un dérouillage matinal de 2 heures e. Une histoire de gonflement spontané d'un genou amélioré par la prise de kétoprofène
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, A ATCD familiaux de spondyloarthrite importants, mais pas de sciatiques radiculaires (les seules potentiellement à l'origine d'une chirurgie) B histoire évocatrice d'eczéma de contact C fessalgies non inflammatoires ici
Rhumatologie
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5,390
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Une femme de 48 ans présente des douleurs chroniques de la cheville gauche apparues suite à un traumatisme. Vous suspectez un syndrome douloureux régional complexe. Quel(s) élément(s) est (sont) compatible(s) avec ce diagnostic ? a. Pincement de l´interligne tibio-talien sur les radiographies standards de la cheville b. Hyperfixation en regard de la cheville sur la scintigraphie osseuse au Tc c. Hypercalcémie modérée d. CRP normale e. épanchement articulaire tibio-talien comprenant 7600 éléments/mm3
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, dans le Sd reginal complexe : jamais de pincement articulaire pas de signes d'arthrite
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Mme G. vous consulte pour une douleur du genou droit évoluant depuis 2 ans. La douleur est apparue progressivement et il existe depuis quelques semaines un gonflement du genou. Quel(s) élément(s) anamnestique(s), clinique(s) ou biologique(s) serai(ent) en faveur d'une gonarthrose? a. Une douleur prédominante à la montée ou descente des escaliers b. Un aspect inflammatoire local avec rougeur et chaleur au niveau de l'articulation c. Un syndrome inflammatoire biologique d. Un liquide articulaire comportant 350 éléments par mm3, sans cristaux sans germes e. Des réveils nocturnes non positionnels liés à la douleur
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, une gonarthrose même en pousée donne des douleurs mécaniques sans syndrome inflammatoire biologique ou signes inflammatoires locaux
Rhumatologie
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5,392
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Quelles sont, parmi les propositions, celles qui appartiennent aux signes cardinaux de l’arthrose sur les radiographies: a. Un pincement localisé de l’interligne articulaire b. la présence de syndesmophytes c. la présence d'une ostéosclérose sous-chondrale d. la présence de géodes avec sclérose réactionnelle périphérique e. la présence de calcifications méniscales
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Signes à connaitre permetant d’étayer votre diagnostic et également de ne pas méconnaître les diagnostics différentiels. Les syndesmophytes sont retrouvés dans les rhumatismes inflammatoires (spondyloarthrites), ne pas confondre avec l’ostéophyte d’origine dégénérative.
Rhumatologie
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5,393
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Une femme de 82 ans est hospitalisée pour une fracture de l'extremité du fémur droit suite à une chute de sa hauteur. Il s'agit du premier épisode fracturaire. Son bilan biologique est normal et vous concluez à une fracture ostéoporotique. Quels traitements pouvez-vous lui prescrire pour traiter son ostéopathie fragilisante ? a. Du denosumab en cas de contre-indication aux bisphosphonates b. Du raloxifène c. Du tériparatide d. Du zolédronate e. Le traitement hormonal de la ménopause
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Le traitement hormonal de la ménopause (THM) n'est plus proposé dans le cadre du traitement de l'ostéoporose, sa prescription est habituellement limitée dans le temps, en période post-ménopausique précoce. Le raloxifène appartient à la classe des SERM (modulateurs sélectifs du récepteur aux œstrogènes) n'a pas montré d'efficacité sur les fractures périphériques. Les bisphosphonates, alendronate (70 mg en une prise orale par semaine) et risédronate (35 mg en une prise orale par semaine), diminuent l'incidence des fractures vertébrales, non vertébrales et les fractures de l'extrémité supérieure du fémur. Ils sont contre-indiqués en cas d'antécédent d'œsophagite et nécessitent que les règles d'administration soient scrupuleusement respectées ; le zolédronate (5 mg) administré par voie intraveineuse tous les ans est efficace pour prévenir les fractures vertébrales et périphériques dont les fractures de l'extrémité supérieure du fémur. Le dénosumab est une biothérapie ciblant le RANKL (anticorps monoclonal anti-RANKL) est indiqué dans l'ostéoporose post-ménopausique sévère en cas d'échec, d'intolérance ou de contre-indication aux bisphosphonates et chez l'homme en prévention de l'ostéoporose secondaire à un traitement hormono-ablatif pour cancer de la prostate.
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5,394
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quels sont les composants de la matrice osseuse ? a. Collagène de type 1 b. Collagène de type 3 c. Protéines non collagéniques d. Lipides e. Cristaux d’urate de sodium
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Composition de la matrice osseuse : • Collagène : – type 1 essentiellement – 90% des protéines de l’os – Synthétisé par les ostéoblastes • Protéines non collagéniques : – nombreuses protéines (ostéocalcine, ostéonectine, vitronectine, protéoglycanes…) – 10-15% de la matrice mais fonction très importante interaction cellule-cellule et cellule-matrice • Substance minérale : – 70% du poids de l’os – Cristal osseux – cristaux d’hydroxyapatite – processus de minéralisation complexe • Contrôlé par l’ostéoblaste Réponse B : le collagène de type 3 est présent dans les muscles squelettiques, pas dans la matrice osseuse. Réponse D : il n’y a pas de lipides au sein de la matrice osseuse. Réponse E : les cristaux d’urate de sodium sont les cristaux observés dans le liquide articulaire des patients atteints de goutte.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Quel(s) est (sont) le(s) affirmation(s) exacte(s) au sujet des anti-inflammatoires non stéroïdien ? a. Les anti-cox2 sélectifs ont une meilleur tolérance rénale b. Les AINS partagent 4 propriétés, une activité́ antipyrétique, antalgique, anti-inflammatoire et inhibition des fonctions plaquettaires c. les AINS doivent être toujours prescrit avec un inhibiteur de pompe à proton d. ils constituent le traitement de première ligne pour les spondylarthropathies e. Leur association avec les anti aggrégants plaquettaires ne présentent aucun risque
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les AINS ne sont pas toujours prescrit avec des IPP. Chez un sujet jeune, sans antécédents d'ulcère gastro duodénale, il n'y a pas d'indication à le prescrire. Les anti-cox 2 ont simplement une meilleure tolérance digestive. L'association AINS avec anti aggrégant plaquettaire ou Anti coagulant, augmente le risque hemorragique.
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5,397
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Mme H, 52 ans, a une chondrocalcinose articulaire certaine. Vous recherchez une cause de chondrocalcinose secondaire vu son âge. Quel(s) examen(s) biologique(s) allez-vous réaliser ? a. un coefficient de saturation de la transferrine b. un dosage sanguin du pyrophosphate de calcium c. un dosage de la magnésémie d. un dosage de l’uricémie e. une cortisolémie à 8H
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, les causes de CCA secondaire sont: l'hyperparathyroïdie primitive, l'hémocromatose, l'aphosphatasie et l'hypomagnésémie.
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5,398
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Quels sont parmi les signes extra-articulaires suivants ceux pouvant s'associer classiquement à une polyarthrite rhumatoïde ? a. une sclérite b. une uvéite antérieure aigue c. du psoriasis d. une maladie inflammatorie chronique de l'intestin e. un syndrome sec oculaire et buccal
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Source COFER : Manifestations extra-articulaires à la phase d'état : la maladie rhumatoïde Les manifestations extra-articulaires de la polyarthrite rhumatoïde traduisent le caractère systémique de la maladie rhumatoïde. 4.2.1 - Altération de l'état général Elle est présente surtout lors des poussées évolutives avec une fébricule, une asthénie parfois très marquée et un amaigrissement. 4.2.2 - Nodosités sous-cutanées ou nodules rhumatoïdes Rares au début de la maladie, ils sont retrouvés chez 10 à 20 % des patients. Il s'agit de nodules, fermes, mobiles et indolores, siégeant au niveau des crêtes cubitales, des tendons extenseurs des doigts (cf. fig. 18.4 cahier quadri) et également au niveau du tendon d'Achille. On les retrouve parfois au sein d'un hygroma au coude. En histologie, on trouve une nécrose fibrinoïde centrale, entourée d'histiocytes en palissade puis d'une couronne périphérique de cellules lymphoplasmocytaires. Ces nodules ne sont pas pathognomoniques de la polyarthrite rhumatoïde et sont rencontrés dans certaines autres connectivites (mais où ils sont cependant exceptionnels). Les localisations viscérales sont très rares mais classiques (le nodule rhumatoïde pulmonaire, des cordes vocales, des valves cardiaques, etc.). La nodulite rhumatoïde est une forme particulière caractérisée par l'efflorescence de nodules rhumatoïdes au niveau des mains associée à de volumineuses géodes intraépiphysaires des mains ou des pieds. Cette efflorescence de nodule est parfois observée sous traitement par méthotrexate. 4.2.3 - Adénopathies Retrouvées dans 20 à 30 % des cas, elles sont superficielles, mobiles, en général infracentimétriques. La présence d'adénopathies de grande taille ou évolutives doit faire rechercher un autre diagnostic (LMNH, infection…). 4.2.4 - Vascularite rhumatoïde La vascularite rhumatoïde est rare et concerne moins de 1 % des cas, essentiellement au cours des polyarthrites « anciennes ». Il s'agit de lésions cutanées associant un purpura vasculaire, des nécroses digitales (fig. 18.6 cahier quadri) ou des orteils (pouvant prendre l'aspect de micro-infarctus), d'ulcères profonds à l'emporte-pièce d'apparition brutale, de livedo réticulaire. En histologie, il s'agit d'une vascularite leucocytoclasique ou d'une angéite nécrosante sans microanévrysme (plus rare). Il peut exister une neuropathie périphérique traduisant une vascularite sévère et devant être traitée en urgence. 4.2.5 - Syndrome sec Il est présent dans 20 à 25 % des cas. Il se traduit par une xérophtalmie, une xérostomie (les anticorps anti-SSA et anti-SSB ont une fréquence de l'ordre de 5 % au cours de la polyarthrite rhumatoïde). 4.2.6 - Atteinte cardiaque L'atteinte des trois tuniques est possible, dont le péricarde (péricardite, le plus souvent exclusivement échographique sans traduction clinique) ; l'atteinte du myocarde serait plus fréquente mais le plus souvent sans traduction clinique. 4.2.7 - Atteinte rénale L'apparition de signes rénaux au cours de la maladie rhumatoïde doit faire redouter une amylose AA, ou le plus souvent une atteinte iatrogène avec une glomérulonéphrite interstitielle ou une glomérulonéphrite extramembraneuse. Une atteinte propre liée à la polyarthrite rhumatoïde est beaucoup plus rare. L'amylose secondaire de type AA se traduit au début par une protéinurie puis, secondairement, un syndrome néphrotique, puis une insuffisance rénale progressive. On peut également observer des tuméfactions indolores de l'épaule. 4.2.8 - Atteinte pulmonaire Des infections pleuropulmonaires sont fréquentes sur ce terrain immunodéprimé par la maladie, par le traitement de fond et la corticothérapie. La pleurésie rhumatoïde, la fibrose pulmonaire interstitielle diffuse, le nodule rhumatoïde pulmonaire sont rares, parfois révélateurs. Les bronchectasies semblent beaucoup plus fréquentes au cours de la polyarthrite rhumatoïde. De volumineux nodules des deux champs pulmonaires confluents étaient observés chez des patients silicosés, sous le terme de syndrome de Caplan (rare depuis la fermeture des mines de charbon). 4.2.9 - Atteinte de l'œil La sclérite et l'épisclérite sont rares, de l'ordre de 1 à 5 % des patients, mais de mauvais pronostic (risque de scléromalacie perforante). 4.2.10 - Manifestations hématologiques L'anémie est fréquente et corrélée le plus souvent à l'intensité du syndrome inflammatoire. Le syndrome de Felty associé à la polyarthrite rhumatoïde comprend une splénomégalie isolée et une leuconeutropénie. Il survient au cours d'une polyarthrite rhumatoïde ancienne, érosive, nodulaire, fortement séropositive avec présence de facteurs anti-nucléaires. Il s'agit d'un syndrome au pronostic défavorable en raison du risque d'infection grave et récidivante lié à la leuconeutropénie. La lymphocytose à larges lymphocytes granulomateux ou pseudo-syndrome de Felty. Il s'agit d'une prolifération médullaire et sanguine de lymphocytes T, de type monoclonal, associée à une neutropénie, une splénomégalie, une thrombopénie, une hépatomégalie et à des infections récidivantes. Son pronostic est habituellement plus favorable.
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5,400
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les critères suivants, sélectionnez celui ou ceux qui décrivent une douleur de type mécanique : a. Douleur associée à des réveils matinaux précoces b. Douleur nocturne c. Douleur augmentant avec l’activité d. Douleur soulagée par le repos e. douleur associée à un dérouillage matinal significatif (45 min)
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Rythme de la douleur mécanique : diurne, augmentant avec l’activité, soulagée par le repos Rythme de la douleur inflammatoire : nocturne, réveil matinal prématuré, dérouillage matinal
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5,402
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Quels sont les composants du DAS28-CRP a. EVA douleur b. Nombres d'articulations gonflées c. EVA activité de la maladie (patient) d. Nombre de réveils nocturnes e. EVA activité de la maladie (médecin)
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Il y a en tout : la CRP, l'EVA activité de la maladie (patient), le nombre d'articulations et le nombre d'articulations gonflées (sur 28).
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5,404
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Concernant l'échographie articulaire au cours de la polyarthrite rhumatoide (PR), quelle(s) est/sont la/les réponse(s) juste(s) : a. Au cours du suivi d'un patient atteint de PR, l'échographie articulaire peut remplacer les radiographies dans l'évaluation structurale car elle est non irradiante. b. L'échographie articulaire permet une évaluation de l'activité inflammatoire de la PR. c. L'échographie articulaire est indispensable au diagnostic initial de PR. d. L'échographie articulaire permet de guider un geste de ponction ou d'infiltration. e. L'échographie articulaire permet une évaluation structurale de la PR.
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, Même si elle ne permet pas de remplacer les radiographies standards, l'échographie a un triple rôle dans la PR : - évaluation structurale (présence/absence d'érosions) - évaluation inflammatoire (présence/absence de signal doppler) - guidage d'un éventuel geste interventionnel
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5,405
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable,
Votre collègue des urgences vous appel pour discuter d’un dossier d’une patiente. Madame L, âgée de 59 ans, vient aux urgences devant une asthénie. Voici les résultats de sa prise de sang : Calcémie à 3,2 mmol/L, Phosphatémie à 1,2 mmol/L, créatinémie à 420 µmol/L soit un DFG à 15 mL/min selon cockroft, urée à 33 mmol/L, hémoglobine à 9,3 g/dL, plaquettes à 100 G/L, polynucléaires neutrophiles à 1,2 G/L, PTH non dosable, Electrophorèse des protéines met en évidence une hypogammaglobuline à 2 g/L. Au vu de l’ensemble des éléments suivants Quel diagnostic est le plus probable ? a. Hypercalcémie maligne sur une hyperparathyroïdie primaire b. Métastases osseuses sur processus néoplasique d’origine mammaire c. Hypercalcémie maligne sur une sarcoïdose avec granulomes rénaux d. Lithiases rénales riches en calcium e. Myélome multiples a chaines légères avec probable insuffisance rénale aigue sur précipitation des chaines légères
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable, Tableau d'hypercalcémie, insuffisance rénale aiguë et de pancytopénie avec hypogammaglobulinémie, le diagnostic doit être suspecté en urgence et confirmé par un myélogramme.
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5,406
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect,
Parmi les fractures suivantes la(es)quelle(s) est(sont) à considérer comme une fracture sévère ostéoporotique chez une patiente ménopausée? a. Une fracture simultanée de 3 côtes b. Une fracture vertébrale cervicale traumatique c. Une fracture de l’extrémité supérieure du fémur d. Une fracture en H du sacrum e. Une fracture du poignet
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, Les fractures sévères sont: l' extrémité supérieure du fémur, l'extrémité superieure de I'humérus, le fémur distal, le tibia proximal, 3 côtes simultanées, le bassin
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5,407
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Quel(s) élément(s) clinique(s) vous feront craindre une origine extra-rachidienne à des douleurs lombaires ? a. L'association à une sciatalgie de trajet complet b. La difficulté du patient à rester immobile c. La présence d'une raideur segmentaire rachidienne importante d. L'absence de douleur à la palpation rachidienne e. La survenue brutale d'un collapsus cardiovasculaire
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, La présentation agitée du patient, la discordance entre les douleurs supposées rachidiennes rapportées par le patient et l'absence d'anomalie physique rachidienne sont évocatrices d'une origine extra-rachidienne.
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5,408
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Concernant l’atteinte enthésopathique périphérique dans les spondyloarthrites, quelle(s) est/sont la/les réponse(s) exacte(s) ? a. l'atteinte la plus fréquente et la plus caractéristique des enthèses est l'atteinte de la tubérosité tibiale antérieure b. la talalgie plantaire inférieure traduit l'enthésite du tendon achilléen c. les enthésites siègent de façon préférentielle aux membres inférieurs d. Les anti-TNF ne sont pas efficaces dans le traitement des enthésites e. l'enthésite est une inflammation du corps du tendon
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, Il s'agit de l'atteinte caractéristique des spondyloarthrites : c'est la traduction clinique de l'enthésopathie inflammatoire, ou enthésite. Toutes les enthèses peuvent être atteintes, mais les enthésites siègent de façon préférentielle aux membres inférieurs. L'atteinte la plus fréquente et la plus caractéristique est la talalgie. La talalgie est d'horaire inflammatoire, survenant le matin au lever lors du premier pas, elle s'améliore au cours de la journée. Elle est très évocatrice lorsque, survenant chez un sujet jeune, elle est bilatérale ou à bascule. À la palpation, on note soit une talalgie plantaire inférieure traduisant l'aponévrosite plantaire inférieure siégeant sous le calcanéus, soit une talalgie postérieure correspondant à l'enthésopathie du tendon achilléen ou traduisant l'existence d'une bursite pré– ou rétro-achilléenne. Il faudra savoir systématiquement rechercher l'existence d'autres enthésites par la palpation et la mise en tension systématique des enthèses (tubérosité tibiale antérieure, grand trochanter, ischion).
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5,409
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Parmi ces traitements, lequel/lesquels est/sont ostéoformateur(s) ? a. bisphosphonate b. calcium c. dénosumab d. tériparatide e. raloxifène
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable, Résorption osseuse Formation osseuse Contres-indications SERM Modulateur sélectif des R aux oestrogenes ↓ CI : thrombo-embolique Bisphophonates ↓ CI : Oesophagite Tériparatide Fragment recombinant de la PTH ↑↑ CI : hyperCa, cancer Denosumab AC monoclonal anti RANKL ↓ CI : hypocalcémie
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5,410
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Concernant l'outil FRAX®, quelle(s) est/sont la/les réponses exactes ? a. Il permet de quantifier le risque de fractures majeures à 10 ans b. Il permet de quantifier le risque de fractures mineures à 10 ans c. Il doit être fait systématiquement d. Il est utile en cas de T-score < -3,0 DS e. Il est utile en cas de fractures non sévères
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Le score du FRAX® est un outil proposé par l'OMS qui permet de quantifier le risque de fractures majeures (FESF, humérus, poignets et fractures vertébrales cliniques) et de FESF dans les dix ans et qui a été validé chez les femmes ménopausées. Le calcul du FRAX® n'est pas utile chez les patientes dont l'indication de traiter est évidente (antécédent de fracture ostéoporotique sévère ou T-score ≤ – 3). Le calcul du FRAX® est en revanche utile chez les patientes aux antécédents de fracture non sévère ou ayant une DMO > – 3. La décision de traiter dépend dans ce dernier cas de la valeur du FRAX® calculé et de l'âge de la patiente. Le calcul du FRAX® peut être réalisé directement à partir du site internet gratuit du FRAX®.
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5,411
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct,
Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) un (des) facteur(s) de mauvais pronostic dans la polyarthrite rhumatoïde ? a. la séronégativité (absence de facteur rhumatoïde ou d'anticorps anti peptide cyclique citrullinés) b. l'absence de syndrome inflammatoire biologique c. le début aigu polyarticulaire d. l'existence d'une atteinte extra articulaire e. un statut socio économique défavorisé
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct, Réponse A : la présence d'anticorps anti peptide cyclique citrullinés ou de facteur rhumatoïdes à des taux élevés sont des facteurs de mauvais pronostic Réponse B : l'existence d'un syndrome inflammatoire biologique élevé est un facteur de mauvais pronostic
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5,413
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Cochez la (les) proposition(s) exacte(s) a. Les fractures en tension donnent préférentiellement un trait de fracture oblique b. A section constante et en assimilant le col fémoral à un cylindre, un col fémoral long est plus résistant qu'un col court, car son moment d'inertie est plus élevé c. Les contraintes de flexion sont assimilables à l’action simultanée d’une contrainte de tension et d’une contrainte de compression d. Le moment d’inertie d’une pièce osseuse, associé à une contrainte de flexion, est indépendant de sa géométrie e. La fracture spiroïde du tibia se rencontre fréquemment lors d'un accident de ski lorsque la fixation n'ayant pas décroché, apparaît une contrainte en torsion
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, A. Les fractures en tension donnent préférentiellement un trait de fracture oblique. Faux ce sont les factures en compression. Dans les fractures en tension le trait est transversal B. A section constante et en assimilant le col fémoral à un cylindre, un col fémoral long est plus résistant qu'un col court, car son moment d'inertie est plus élevé. Faux, il est moins résistant car le bras de levier est augmenté et le moment d'inertie dépend uniquement du rayon qui est ici constant. C. Les contraintes de flexion sont assimilables à l’action simultanée d’une contrainte de tension et d’une contrainte de compression. Vrai D. Le moment d’inertie d’une pièce osseuse, associé à une contrainte de flexion, est indépendant de sa géométrie. Faux, au contraire c'est la géométrie qui caractérise le moment d'inertie E. La fracture spiroïde du tibia se rencontre fréquemment lors d'un accident de ski lorsque la fixation n'ayant pas décrochée, apparaît une contrainte en torsion. Vrai
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5,414
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Quelles sont les réponses exactes concernant le score du FRAX ? a. utile quand le T-score ≤-3 b. utile en cas d’antécédent de fracture du col fémoral c. utile en cas d’antécédent de fracture non sévère d. quantifie le risque de fractures majeures à 5 ans e. quantifie le risque de fractures majeures à 10 ans
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, FRAX : outil proposé par l’OMS qui permet de quantifier le risque de fractures majeures (ESF, humérus, poignet et fractures vertébrales) et de FESF dans les dix ans et validé chez les femmes ménopausées Inutile si indication à traiter évidente : ATCD fracture ostéoporotique sévère ou T-score ≤-3 Utile si antécédents de fracture non sévère ou DMO > -3
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5,415
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect,
Parmi les facteurs suivants, le(s)quel(s) est (ont) impliqué(s) dans le lupus érythémateux systémique? a. Les ultra-violets b. Les oestrogènes c. La génétique d. La tuberculose e. Le gluten
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, Les ultra-violets avec photosensibilisation et éruption au niveau des zones exposées Les oestrogènes: Les hormones oestrogéniques favorisent le développement de poussée voire de déclenchement de la maladie La génétique: Il existe une prédispostion génétique. Le taux de concordance (proportion de second jumeau atteint quand le premier est malade) constitue un argument de poids en faveur d’une composante génétique. Ce taux varie de 24 à 56 % chez les jumeaux monozygotes alors qu’il n’est que de 2 à 4 % chez les jumeaux dizygotes suggérant l’importance d’autres facteurs tels que les facteurs hormonaux et environnementaux. La tuberculose: Pas de relation directe démontrée pour la tuberculose même si les infections favorisent la nétose qui est un évènement impliqué dans la physiopathologie du lupus Le gluten: Pas de relation directe démontrée pour le gluten dont l’implication n’est démontrée que dans la maladie coeliaque
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5,416
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Vous suspectez le diagnostic de syndrome du canal carpien chez une femme de 54 ans ; sélectionnez la ou les bonnes réponses . a. Car il existe des paresthésies prédominantes dans les deux derniers doigts de la main b. Car le test de Tinel (percussion de la face antérieure du poignet) est positif c. Car le test de Phalen (flexion forcée du poignet pendant une minute) est positif d. Car il existe une atteinte du nerf radial au poignet à l’EMG e. Car c'est le plus fréquent des syndromes canalaires, survenant trois fois sur quatre chez la femme
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct, Canal carpien : C'est la compression du nerf médian lors de sa traversée du canal carpien. Ce nerf mixte assure la sensibilité de la face palmaire des trois premiers doigts et de la moitié radiale de l'annulaire, de la face dorsale des deuxième et troisième phalanges de l'index, du majeur et de la moitié radiale de l'annulaire, la motricité des muscles de l'éminence thénar (court abducteur, faisceau superficiel du court fléchisseur et opposant du pouce) et des deux lombricaux externes (fig. 4.7). C'est le plus fréquent des syndromes canalaires (1 % de la population), survenant trois fois sur quatre chez la femme (post-ménopause, fin de grossesse) ; bilatéral dans 50 % des cas, il prédomine du côté dominant et est reconnu en tant que maladie professionnelle. Des manœuvres peuvent les reproduire : percussion de la face antérieure du poignet (test de Tinel), flexion forcée du poignet pendant une minute (test de Phalen).
Rhumatologie
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct,
Parmi les items ci-dessous, lesquels prédisposent à une gonarthrose? a. Le sexe féminin b. Un surpoids c. Une insuffisance rénale d. Une entorse e. Un genu varum
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct, La gonarthrose fémorotibiale est très fréquente chez la femme (deux tiers des malades) après la ménopause. La moyenne d’âge est de 65 ans. La gonarthrose est favorisée par la surcharge pondérale, des sollicitations mécaniques anormales et répétitives de l'articulation, une surcharge liée à la morphologie (le genu varum favorise l’usure fémoro-tibiale interne et le genu valgum l'usure du compartiment externe), des cals vicieux qui peuvent entraîner des surcharges articulaires, la méniscectomie entraîne une arthrose fémoro-tibiale correspondante, à long terme. L'entorse du genou n'est pas un facteur suffisant pour induire une gonarthrose
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct,
Vous recevez un patient pour une cruralgie L4 droite non déficitaire depuis 6 semaines. Le scanner rachidien que vous avez demandé confirme un conflit disco-radiculaire L4 droit. Quelle(s) proposition(s) va (vont) à l’encontre du diagnostic (QRM : plusieurs réponses possibles) ? a. La douleur est impulsive à la toux b. Le signe de Léri reproduit la douleur c. La radiculalgie siège à la face antérieure de cuisse d. Le scanner objective une hernie discale L4L5 paramédiane droite e. Il existe une abolition du reflexe achiléen droit
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct, La question demande les signes cliniques ou paracliniques qui ne peuvent pas être retrouvés en cas de cruralgie L4 d'origine discale. L'impulsivité à la toux et le signe de Léri peuvent être présents en cas de cruralgie d'origine discale. Le trajet à la face antérieure de cuisse peut être retrouvé lors d'une cruralgie L4. A l'inverse, une hernie discale L4L5 paramédiane est à l'origine d'une sciatique L5 et ne donne pas de cruralgie L4. L'abolition du reflexe achiléen signe une atteinte S1 et non L4.
Rhumatologie
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable,
Madame X, âgée de 45 ans, a des douleurs inflammatoires des mains et des avants pieds évoluant depuis six semaines. Elle est fumeuse (10 paquets année). Le poids est à 50 kg pour une taille à 1,60 m. Elle n’a pas de fièvre. A l’examen les deuxièmes et troisièmes MCP droites et gauches ainsi que des deuxièmes troisièmes IPP des deux mains sont douloureuses à la pression et siège d’une synovite. Le squeeze test est positif. Il existe également une ténosynovite du poignet gauche. La vitesse de sédimentation est à 30 mm à la première heure, la C réactive protéine à 15 mg par litre. Le DAS28VS est à 5.48, le DAS28 CRP à 5.03. La biologie hépatique est normale. La numération formule sanguine montre une hémoglobine à 12 g par décilitre, des plaquettes à 215 Giga/L des leucocytes à 8,6 Giga/L. La biologie hépatique est normale. Le facteur rhumatoïde et les anti CCP sont positifs. Le bilan radiographique ne montre pas d’érosion. Quel traitement faut-il proposer à cette patiente (QRM : une ou plusieurs réponses possibles) ? a. un traitement anti TNF b. un traitement par Méthotrexate c. une corticothérapie à la posologie de 25 mg d. un traitement par Salazopyrine e. un traitement par Leflunomide
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable, Il s'agit d'une polyarthrite rhumatoïde certaine qui remplit les critères diagnostiques avec des facteurs de mauvais pronostic (CRP à 15 mg/l, facteur rhumatoïde positif, anti-CCP positifs). Elle n'a pas de contre-indication au methotrexate. Selon les recommandations présentes dans le COFER, le traitement doit être chez cette patiente du methotrexate.