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Accusée d'avoir tardé à alerter sur la pandémie de coronavirus, l'OMS peut néanmoins compter sur le soutien d'Emmanuel Macron. "Merci beaucoup président Emmanuel Macron pour votre leadership dans l'action sanitaire internationale", a tweeté vendredi 17 avril le président de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus.Ce message fait suite à celui publié mardi soir par le dirigeant français sur son compte Twitter officiel appelant à "construire, autour de l'OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous". Emmanuel Macron a également indiqué avoir eu dans la soirée "un échange très riche avec les acteurs internationaux de la réponse au COVID-19" pour accélérer les efforts communs de recherche et de développement contre le nouveau coronavirus et "sauver des vies".L'Elysée a par la suite indiqué que les "contours" de cette initiative, qui inclut des acteurs publics et privés, pourraient être dévoilés la semaine prochaine. "La pandémie est mondiale et il faut donc se battre tous ensemble"Cette visioconférence a réuni, outre le chef d'Etat français et le patron de l'OMS, les responsables du Global Fund Peter Sands, d'Unitaid Marisol Touraine, de l'Alliance du vaccin Gavi Seth Berkeley, de la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI) Richard Hatchett, du programme de soutien à la recherche Wellcome Trust Jeremy Farrar, de la Fondation Bill et Melinda Gates Mark Suzman, de la Banque Mondiale David Malpass et de la commission d'experts français Care Françoise-Barré Sinoussi.Ces responsables ont convenu du "besoin très fort de coordonner tous les efforts publics comme privés" pour "agir plus vite" autour de trois objectifs: "accélérer la découverte de solutions - traitements et vaccins -, assurer leur production en quantité suffisante et en garantir l'accès universel et juste", a souligné l'Elysée. "La pandémie est mondiale et il faut donc se battre tous ensemble", ajoute la présidence française, qui estime que l'OMS "a la légitimité pour donner l'impulsion" à ces efforts.Le directeur général de l'OMS a salué "un échange d'idées vraiment constructif pour améliorer la collaboration et accélérer la fin de la pandémie de coronavirus".Des doutes sur la stratégie de PékinLa tenue de cette visioconférence avait été décidée avant l'annonce dans la nuit de mardi à mercredi par les Etats-Unis de la suspension de leur contribution au budget de l'OMS le temps d'évaluer la réponse à la pandémie de l'agence onusienne, qu'ils accusent d'être sous l'influence de la Chine, berceau du Covid-19.Emmanuel Macron a lui-même émis des doutes sur la stratégie de Pékin après l'apparition des premiers cas dans le centre du pays fin 2019. Dans une interview au Financial Times parue jeudi, il a estimé qu'il y avait "manifestement des choses qui se sont passées qu'on ne sait pas". "N'ayons pas une espèce de naïveté qui consiste à dire que (la gestion de l'épidémie par la Chine, NDLR) c'est beaucoup plus fort. On ne sait pas", a-t-il dit.Pékin a répondu vendredi en jugeant "impératif que tous les pays s'unissent pour combattre l'épidémie et gagner la guerre" contre le Covid-19.
Alors que la pandémie de coronavirus continue de sévir partout dans le monde, le président français a appelé mardi soir à "construire, autour de l'OMS, une initiative forte sur les diagnostics, les traitements et les vaccins accessibles à tous".
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Un premier Français est mort après avoir été infecté par le nouveau coronavirus apparu en Chine, dans la nuit de mardi à mercredi à Paris, a annoncé mercredi 26 février le ministère de la Santé. Il avait été "testé en urgence hier (mardi) à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière dans un état gravissime et est décédé dans la nuit", a annoncé lors d'un point presse le directeur général de la Santé Jérôme Salomon."L'enquête a été lancée en urgence" sur l'endroit où ce patient a pu être infecté et sur son entourage, a-t-il ajouté, en précisant que "tous les détails des investigations en cours" seraient présentés par le ministre Olivier Véran lors d'une conférence de presse en soirée. Le numéro 2 du ministère de la Santé a par ailleurs fait état de deux autres nouveaux cas de patients contaminés sur le territoire français, en plus de deux déjà annoncés mardi soir. Il s'agit d'un homme français de 55 ans, hospitalisé à Amiens et qui est dans une situation clinique grave, et d'un homme de 36 ans de retour de Lombardie, en Italie. Ce dernier, hospitalisé à Strasbourg, ne présente pas de signes de gravité. Les deux cas annoncés mardi soir étaient une Chinoise revenue de Chine le 7 février, hospitalisée à Paris sans "aucun signe clinique de gravité", et un "homme d'une soixantaine d'années hospitalisé en Auvergne-Rhône-Alpes après des séjours répétés en Lombardie", pour qui il n'y a pas non plus de signe de gravité, a rappelé Jérôme Salomon. Enfin, des enfants d'un "groupe scolaire de Courbevoie de retour d'un voyage en Lombardie" ont également été testés car certains présentaient des symptômes, mais les résultats sont "négatifs". Au total, 17 cas de personnes contaminées par ce virus ont été recensés en France. Outre le patient décédé la nuit dernière, un touriste chinois octogénaire était mort le 14 février.
Le directeur général de la Santé Jérôme Salomon a fait état mercredi matin de trois nouveaux cas de patients atteints du coronavirus en France. Parmi eux, un homme de 60 ans est mort dans la nuit de mardi à mercredi à Paris. Un autre homme, hospitalisé à Amiens, est dans un état grave.
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C'est le cas en France où une canicule "durable" s'est installée depuis jeudi alors que les indicateurs clés de suivi de l'épidémie de Covid-19 continuent de se dégrader dans le pays: 2.288 personnes ont été diagnostiquées positives au nouveau coronavirus en 24 heures, d'après un bilan publié vendredi par la Direction générale de la Santé (DGS).Quinze départements ont été placés en vigilance rouge canicule.Cet épisode caniculaire, prévu au moins jusqu'à mardi, ne dispense pas des gestes barrières ni du port du masque, martèlent les autorités sanitaires."Soyons prudents, gardons les bons réflexes", a exhorté samedi le ministre français de la Santé Olivier Véran.La chaleur est particulièrement pénible pour les automobilistes, très nombreux sur la route des vacances samedi, journée classée noire dans le sens des départs, rouge pour les retours.- Plages fermées -Au Royaume-Uni, la température pourrait atteindre 36 degrés samedi dans le sud-est de l'Angleterre. La veille, le thermomètre avait grimpé à 36,4 degrés à Heathrow et Kew gardens, (ouest de Londres), en faisant la plus chaude journée d'août en 17 ans. Les Britanniques ont pris la direction des plages, comme à Bournemouth dans le sud-ouest de l'Angleterre, où les autorités ont conseillé d'éviter une grande partie du littoral faute de pouvoir respecter les règles de distanciation en toute sécurité.A Londres, certains se sont rafraichi dans les étangs du parc d'Hampstead Heath, dans le nord de la capitale, tandis que d'autres ont sauté dans un train vers les plages les plus proches de la capitale comme Brighton, une ville balnéaire de la côte sud-est.Des hordes d'Allemands en quête de fraicheur ont eux aussi pris la direction du littoral. Mais les autorités locales ont averti samedi que certaines plages de la côte nord de l'Allemagne ainsi que plusieurs lacs devront fermer en raison de l'impossibilité de respecter une distance de sécurité de 1,5 m entre chaque personne."Les parcs, les lacs, les plages et les piscines sont pleins à craquer. Gardez la tête froide, maintenez vos distances et portez votre masque lorsque vous ne pouvez pas éviter la proximité", a exhorté la police de Berlin sur Twitter.Le nord de l'Europe n'a pas été épargné par la chaleur, et samedi a marqué le 8 août le plus chaud jamais mesuré aux Pays-Bas depuis 1901, selon le service météo néerlandais. Les températures ont dépassé les 35 degrés et des milliers de personnes ont afflué vers les plages néerlandaises, y compris à La Haye, où beaucoup ont ignoré les distances recommandées, a constaté un journaliste de l'AFP.Le record de chaleur pour un 8 août a aussi été battu à Bruxelles avec 34,3 degrés mesurés samedi après-midi. Le recours aux ventilateurs est toutefois "déconseillé", sauf à la maison, car avec le brassage de l'air ils favorisent la propagation du Covid-19, a averti le Conseil national de Sécurité.Ces vagues de chaleur sont amenées à revenir. L'épisode de sécheresse "sans précédent depuis 250 ans" qui a frappé l'Europe deux étés consécutifs en 2018 et 2019 risque de se reproduire beaucoup plus souvent d'ici la fin du siècle, en raison du réchauffement de la planète, a mis en garde une étude publiée jeudi.Si rien n'est fait pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, un tel événement a sept fois plus de chances de se reproduire dans la deuxième partie du XXIe siècle, soulignent les auteurs.Mais cette répétition serait sensiblement réduite, jusqu'à plus de deux fois, si le monde parvenait à réduire sensiblement les émissions de CO2.
Transpirant sous leurs masques, les Européens se sont rués samedi sur les plages, où le mépris des gestes barrières a inquiété les autorités au moment où plusieurs pays constatent une augmentation des cas de nouveau coronavirus.
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Ses concurrents vont-ils s'entretuer? A six mois du premier tour des municipales à Paris, la maire PS sortante Anne Hidalgo caracole en tête des intentions de vote, sept points devant le candidat LREM Benjamin Griveaux, et neuf devant le marcheur dissident Cédric Villani, selon un sondage rendu public dimanche 15 septembre. Si le premier tour des municipales de mars 2020 avait lieu ce dimanche, 24% des voix iraient à une liste de la majorité municipale "Paris en commun" menée par l'édile socialiste et soutenue par le PS, le Parti Communiste, Les Radicaux de Gauche, Centre et Indépendants. Avec 17%, la seconde place reviendrait à une liste LREM conduite par Benjamin Griveaux, deux points devant celle menée par Cédric Villani (15%).Dati et EELV sur les talons des "marcheurs"Cette enquête Ifop-Fiducial pour le Journal du dimanche et Sud Radio est la première à paraître depuis l'annonce de la candidature dissidente du scientifique la semaine dernière. L'étude semble confirmer que la maire sortante pourrait tirer les marrons du feu qui brûle entre au sein des "macronistes" en vue des élections, qui se tiendront les 15 et 22 mars 2019. En quatrième place avec 14% des voix, le sondage place une liste LR conduite par Rachida Dati, juste devant une liste Europe-Ecologie-les-Verts (EELV) menée par David Belliard (13%).Viennent ensuite à égalité avec 5% une liste LFI conduite par Danielle Simonnet et une liste Agir menée par Pierre-Yves Bournazel. Cette liste, soutenue par le Rassemblement national et pilotée par Serge Federbusch est créditée de 4%. La liste menée par l'ex-conseiller communication de François Hollande Gaspard Gantzer recueillerait 1% des voix, devant une liste d'extrême-gauche (0,5%). Du côté des thèmes de campagne qui vont déterminer le choix des électeurs, les sondés citent en premier lieu la propreté (69%), devant la lutte contre la pollution (65%) et la sécurité des biens et des personnes (63%). Viennent ensuite la maîtrise des impôts (59%), le développement économique et l'emploi (55%) et l'environnement, la lutte contre le dérèglement climatique (55%), devant l'amélioration de la circulation (51%) et l'urbanisme, l'aménagement de la ville (48%).Sondage réalisé en ligne du 9 au 12 septembre auprès d'un échantillon représentatif de la population parisienne de 1.102 personnes de 18 ans et plus (968 personnes inscrites sur les listes électorales), selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 point.Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, mais une indication du rapport de forces au jour de la réalisation du sondage.
Selon une étude publiée dans le JDD, la maire sortante de la capitale semble bénéficier de la guerre interne chez les "marcheurs" entre le candidat investi par la majorité et Cédric Villani, qui a présenté sa candidature dissidente le 4 septembre dernier.
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L'administration pénitentiaire a déjà anticipé la possible future arrestation de Redoine Faïd. Selon Le Journal du Dimanche (JDD)/ITALIC], une cellule de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis est prête à accueillir le braqueur en cavale, dans le quartier d'isolement consacré aux personnalités publiques ou aux détenus appelant à une surveillance particulière.Condamné en avril à 25 ans de prison pour son rôle d'"organisateur" d'un braquage raté en 2010 et en fuite depuis le 1er juillet, Redoine Faïd serait ainsi incarcéré près de Salah Abdeslam. L'unique seul membre vivant connu des commandos des attentats du 13 novembre y est enfermé depuis le 27 avril 2016. Le rappeur Booba y est quand à lui également incarcéré dans l'attente de son procès pour la rixe de l'aéroport d'Orly avec son "rival" Kaaris". Les trois hommes ne pourront pas se croiser, du fait de leur régime de détention spécial.Faïd reconnu fin juillet, avant de disparaître à nouveauLa préparation spécifique "en amont" d'une cellule pour Redoine Faïd répond de son profil de "détenu particulièrement signalé" (DPS). S'il est retrouvé, il fera selon toute vraisemblance l'objet d'une détention provisoire, mais ne pourra légalement pas être placé dans un établissement ultra-sécurisé comme Condé-sur-Sarthe ou Vendin-le-Vieil. Redoine Faïd a en effet interjeté appel de toutes ses condamnations, lui donnant le statut de "prévenu" (et pas de condamné), "empêchant par là son incarcération ailleurs que dans une maison d'arrêt" (comme celle de Fleury-Mérogis), précise le JDD. Redoine Faïd qui s'est évadé par hélicoptère d'une prison de Seine-et-Marne le 1er juillet, avait été reconnu le 24 juillet sur des images de vidéosurveillance : il venait d'échapper à un contrôle de gendarmerie et d'abandonner dans sa fuite une voiture dans le parking souterrain d'un centre commercial de Sarcelles.
Selon Le JDD, la cellule du braqueur évadé est déjà prête dans la plus grande prison d'Europe.
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Mais Emmanuel Macron et Edouard Philippe comptent s'assurer d'un large consensus politique sur la date, afin d'éviter de nouvelles critiques, après celles qu'ils ont essuyées en maintenant le premier tour en mars.Le souvenir de ce premier round des municipales est encore cuisant. Un paysage politique sens dessus dessous, accusant Emmanuel Macron de jouer au "Baron noir" en envisageant un report du scrutin, avant de demander à quelques heures de l'ouverture des bureaux de maintenir les élections. L'exécutif accusé d'avoir propagé l'épidémie en maintenant le 1er tour Depuis, alors que l'opposition estime ne pas avoir été suffisamment consultée dans ce choix, l'exécutif essuie des procès en inconséquence. Il aurait favorisé la propagation de l'épidémie de coronavirus, deux jours avant de décreter un confinement général - même si une étude parue vendredi tend à démontrer le contraire. Municipales 2020: comment devrait se passer le second tour ?par BFMTV"C'est le Premier ministre qui a pris la perte", souffle un de ses proches, ajoutant qu'Edouard Philippe "réfléchit aux meilleurs moyens d'associer les forces politiques et les parlementaires aux choix de la bonne date" pour le second tour, qui concerne environ 5.000 communes - pour l'essentiel les plus peuplées. Dans les quelques 30.000 communes restantes, les conseils municipaux ont été élus dès le 1er tour et prendront bientôt leurs fonctions. Faudra-t-il revoter pour les deux tours ?La décision s'appuiera d'abord sur un rapport du Conseil scientifique, attendu en début de semaine. Mais d'ores et déjà, l'hypothèse de tenir le 2e tour fin juin, vraisemblablement le 28, a fait son chemin à l'Elysée et Matignon. Car si ce 2e tour ne pouvait être organisé en juin, cela impliquerait de refaire l'intégralité du scrutin, à l'automne voire en mars 2021."La position du président est que si ça peut se faire avant l'été, il faut aller au bout de la séquence", assure un de ses familiers. Une ligne partagée par le Premier ministre, selon des sources concordantes dans la majorité, alors qu'Edouard Philippe est lui-même directement impliqué au Havre, où il a obtenu 43,6% des voix au 1er tour.Larcher a dit "non" à PhilippeA la manoeuvre, Edouard Philippe envisageait donc de solliciter un débat et un vote au Parlement sur l'organisation de l'élection fin juin, sur la base de l'article 50-1 de la Constitution, qui n'engage pas la responsabilité du gouvernement. Une façon de figer publiquement les positions des uns et des autres, et d'éviter d'éventuels revirements. Ou "de se couvrir", raille un responsable de parti, même si l'entourage d'Edouard Philippe assure qu'il n'est "pas question de diluer les responsabilités". Le Premier ministre aurait assorti sa proposition d'une "clause de revoyure au 10 juin", pour tenir compte d'une éventuelle aggravation de la situation épidémique, selon une source au sein de la majorité. Mais il s'est heurté jeudi au refus du président du Sénat Gérard Larcher (LR), convié à déjeuner à l'Elysée avec le président de l'Assemblée Richard Ferrand (LREM). Le gouvernement doit arbitrer, selon LRSelon cette même source, Gérard Larcher "ne veut pas participer au vote" car "il dit que c'est par décret que le gouvernement doit fixer la date, c'est son pouvoir réglementaire". Une position confirmée vendredi par le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui qualifie de "drôle d'idée de vouloir faire un débat et un vote" puisque le Parlement a déjà entériné le 23 mars, en adoptant la loi d'état d'urgence sanitaire, la possibilité d'un scrutin d'ici à la fin juin."En vérité, Les Républicains ne veulent pas de vote car personne n'est d'accord avec personne", estime en retour un ténor de la majorité, qui ironise : "Les mêmes qui disent qu'on ne les consulte pas assez, jugent que là on les consulte trop".Divisions au sein même des partis Quoi qu'il arrive, le consensus sera difficile à obtenir, tant les avis divergent au sein de tous les camps. Ainsi la présidente du RN Marine Le Pen milite-t-elle pour des municipales en 2021, quand Louis Aliot, candidat RN en passe de l'emporter à Perpignan, plaide pour la fin juin.L'entourage d'Emmanuel Macron n'est lui-même pas uni sur ce point, certains s'inquiétant d'une "campagne à la sauvette" en juin. Mais "entre le 1er et le 2e tour, normalement il n'y a que trois jours entiers de campagne", pointe en retour le patron du MoDem François Bayrou, favorable à un vote avant l'été.
Réponse la semaine prochaine. L'exécutif va trancher sur le second tour des élections municipales, qui pourrait se tenir fin juin.
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"Pas possible... les Insoumis préfèrent le café chaud au café facho", a-t-il simplement posté sur Twitter. Un message qui ressemble à un non catégorique de la part du camp de Jean-Luc Mélenchon. "J'aimerais bien prendre un café avec Laurent Wauquiez, pourquoi pas avec Mélenchon, pourquoi pas avec d'autres. Mais qu'on soit constructifs, tout en ne niant pas nos divergences qui sont parfois très importantes", avait plaidé sur France Info Florian Philippot. Des arguments loin d'avoir convaincu la France Insoumise. De son côté, Laurent Wauquiez n'a dans l'immédiat pas répondu à l'invitation.
Florian Philippot, Jean-Luc Mélenchon et Laurent Wauquiez n'iront pas prendre un café ensemble. L'invitation avec été lancée par le vice-président du Front national sur France Info , mais elle ne convient pas du tout au porte-parole de la France Insoumise Alexis Corbière.
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Comme à son habitude, le fondateur du Front national se livre sans filtre. L'homme politique qui fêtera bientôt ses 90 ans revient sur ses souvenirs d'enfance jusqu'au lancement du FN en 1972. Sur le régime de Vichy, Jean-Marie Le Pen déclare que "Pétain n'a pas manqué à l'honneur en signant l'armistice (...) Les Français parlaient aux Français pour leur enseigner plus la haine du Maréchal que celle d'Hitler. J'en fus atterré. Je ne comprenais pas pourquoi. La raison était pourtant simple : il fallait que De Gaulle abaissât Pétain pour monter lui-même."Le général De Gaulle est ainsi la cible des attaques du président d'honneur du FN. "De Gaulle reste pour moi une horrible source de souffrance pour la France", lance-t-il en rappelant sa rencontre avec ce dernier, en 1945, alors qu'il avait 17 ans. "J'allais voir le 23 juillet le général De Gaulle à Auray. Pour toucher le grand homme. Il n'avait pas encore acquis le métier des bains de foule et passait hiératique, un peu excédé, au milieu de la masse enthousiaste. Je serrais cette main indifférente. Il me parut laid et dit quelques banalités à la tribune tendue de tricolore. Il n'avait pas une tête de héros. Un héros doît être beau. Comme saint Michel ou le maréchal Pétain. J'étais à nouveau déçu."Dans ce premier tome, Jean-Marie Le Pen évoque en quelques lignes ses filles. Un portrait peu flatteur. "Il est trop tôt pour parler de mes filles, explique-t-il dans les extraits révélés par Le Parisien - Aujourd'hui en France. Je pourrais en dire du mal, je le fais parfois quand on m'y provoque. Je ne comprends pas tous leurs actes, ni tous les reproches qu'elles me font. Elles peuvent changer, et moi aussi (...) Marine vient de subir une présidentielle et des législatives décevantes. Le prochain congrès du FN s'annonce houleux. Elle est assez punie comme cela pour qu'on ne l'accable pas. Un sentiment me domine quand j'y pense : j'ai pitié d'elle.." Autre sujet, celui qui a été qualifié pour le second tour de l'élection présidentielle en 2002 revient sur les circonstances dans lesquelles il a perdu l'usage de son oeil, en montant un chapiteau pour un meeting de Jean-Louis Tixier-Vignancourt - le candidat d'extrême droite à l'élection présidentielle de 1965 : "A Hyères, en maniant le maillet pour enfoncer une sardine où l'on attache les cordes de tension, j'ai un choc à l'oeil, on doit m'hospitaliser, précise-t-il. Décollement de la rétine. La tuile. Je dois quitter la caravane avant Nice, remonter en train les deux yeux bandés, appuyé sur le bras de Pierrette (NDLR : sa première épouse). A Lyon, je consulte un grand ponte, le professeur Paufique. Son diagnostic est sans espoir : hémorragie dans le vitré. Il m'opère, mais je perds la vue d'un oeil qui restera sensible à la douleur qu'elle lui cause. C'est pourquoi je porterai un bandeau, d'abord pour me protéger contre les batteries de projecteurs que l'on affronte sur scène. Paufique m'a recommandé de faire particulièrement attention, je risque de perdre l'autre, par un phénomène qu'il nomme pathologie sympathique."
Le Parisien - Aujourd'hui en France dévoile sur son site en exclusivité ce mardi 20 février des extraits des Mémoires de Jean-Marie le Pen, "Fils de la nation" (Ed. Muller), à paraître le 1er mars prochain.
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Une nouvelle qui n'a pas surpris Amanda Lear, l'ancienne muse du peintre décédé en 1989. "Dali ne pouvait pas avoir d'enfant. Je suis bien placée pour le savoir, j'ai été sa maîtresse pendant dix-sept ans. Il n'a jamais de sa vie pénétré une femme, il me l'a assez dit. La tripoter, pourquoi pas, mais de là à lui faire un enfant, ça, c'est une autre paire de manches", révèle sans détour la chanteuse dans une interview accordée à VSD. Pour elle, il n'y avait aucunement besoin de procéder à l'exhumation des restes de l'artiste pour arriver à cette conclusion, car elle explique que quand il avait 20 ans et qu'il traînait avec Picasso, "il ne touchait même pas les prostituées". "Il s'agit évidemment des élucubrations d'une voyante extra-lucide, une mythomane, une folle qui veut de l'argent", commente sans détour Amanda Lear dans VSD au sujet de celle qui prétendait être la fille de Salvador Dali, toujours choquée quasiment 20 ans après que ses "dernières volontés" n'aient pas été respectées.
Les tests ADN ont parlé. La cartomancienne espagnole de 62 ans Pilar Abel n'est pas la fille de Salvador Dali.
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"Je considère que l'Église est victime". Mgr Dominique Lebrun, l'archevêque de Rouen, a annoncé, vendredi 18 mai, avoir demandé à se constituer partie civile au nom de son diocèse après l'assassinat du père Jacques Hamel par deux jihadistes, le 26 juillet 2016 à Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime). "Je considère que l'Église est victime. Je l'ai fait en mon nom personnel comme représentant moral de la religion catholique et aussi en tant que président de l'association cultuelle du diocèse de Rouen", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse."J'ai effectivement formulé une demande de constitution de partie civile en octobre 2017. Il m'est apparu juste que le diocèse continue de vivre les suites de cet attentat". "Il n'y a pas dans ma tête de recherche de coupable et encore moins de vengeance, mais plutôt une volonté de comprendre ce qui s'est véritablement passé". Le parquet s'est opposé à la constitution de partie civile du diocèse, selon une source proche du dossier. C'est la juge d'instruction, Emmanuelle Robinson, qui sera chargée de trancher."Cela porte sur des questions de droit, sur ma qualification, cela touche à ma qualité de proche de la victime", a détaillé l'archevêque de Rouen pour expliquer les réticences du parquet. "Je n'envisage pas trop un refus de la part de la justice. Un tel refus serait quelque chose qui défierait le bon sens", a-t-il dit. Interrogé sur sa volonté de se constituer partie civile, Mgr Lebrun a notamment évoqué "le lien assez fort avec l'enquête menée parallèlement en interne à l'Église en vue d'une béatification du père Hamel".Le délai avant le procès en béatification exceptionnellement raccourciPrésent à ses côtés, le prêtre en charge du dossier de béatification, le père Paul Vigouroux, a estimé que la constitution de partie civile pourrait "permettre de savoir si vraiment, c'est par haine de l'Église que l'assassinat a été commis. C'est un élément important pour la détermination de la qualité de martyr", élément clé afin de permettre une béatification. Le père Vigouroux a dit espérer finir à la fin de l'année l'audition des témoins, dont des membres de la famille du curé égorgé. La transmission du dossier au Vatican pourrait avoir lieu dès l'an prochain.Dès l'automne 2016, ému par cet assassinat d'un homme prônant la paix et le dialogue interreligieux, le pape François avait exceptionnellement accepté de raccourcir le délai avant l'ouverture du procès en béatification, habituellement fixé à cinq ans après le décès. Le prêtre Hamel, 85 ans, venait d'achever sa messe matinale dans son église de cette banlieue ouvrière de Rouen quand il avait été tué de deux coups de couteau à la gorge. Les assassins, qui se réclamaient de l'organisation État islamique, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean, tous deux fichés S, avaient été tués par les forces de l'ordre à leur sortie de l'église.
Près de deux ans après l'assassinat du père Jacquel Hamel, le diocèse de Rouen a annoncé qu'il souhaitait se constituer partie civile.
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Sa venue était attendue. Le passage de Greta Thunberg n'a pas fait l'unanimité chez les Républicains, qui ont encore affiché leurs tensions internes. Guillaume Larrivé et Julien Aubert, tous deux candidats à la présidence du parti, avaient appelé au boycott de l'intervention de la militante écologiste. Ce mardi 23 juillet, ils étaient pourtant plusieurs à garnir les rangs de la salle Victor Hugo, au sein de l'Assemblée nationale."Je n'ai pas assisté à une messe, je n'ai pas vu le prix Nobel de la peur", a commenté le député LR Eric Diard, après l'intervention de la jeune Suédoise. "J'ai vu simplement des jeunes, particulièrement une jeune, plutôt réservée, qui était de son temps et qui disait sa crainte sur son avenir, et qui nous a simplement dit 'Ne m'écoutez pas mais écoutez les scientifiques' On gagne toujours à entendre la jeunesse!".La veille, le député LR avait déploré l'attitude de certains éléments de son groupe parlementaire. "Je croyais qu'on avait tiré les leçons des européennes", se lamentait-il. "Ils ont voulu faire parler d'eux, je le regrette", a t-il ajouté au sujet des députés LR ayant appelé au boycott.Le conseiller national LR Jérôme Besnard a rétorqué, qualifiant la sortie d'Eric Diard de "minable". "Être dans le vent est une ambition de feuille morte", critique t-il.Cet échange d'amabilités est un nouvel épisode des distensions internes au sein des Républicains, ravivées par la venue de Greta Thunberg. "Chirac, au secours!", s'était désolé le sénateur François Grosdidier, selon Public Sénat. "On n'accueille pas cette jeune fille comme une scientifique, mais comme la porte-parole d'une génération. Il suffit d'entendre nos enfants!", avait-il déploré.
Deux camps s'opposent autour de l'intervention de la militante écologiste suédoise, qui a pris la parole mardi 23 juillet devant plusieurs dizaines de députés.
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L'enseigne de supermarchés Carrefour a publié un rappel concernant un lot de "véritable andouille de Guéméné", de la marque Reflets de France. Ce lot 91580057 (dont les sept du code-barres sont 2119963) est soupçonné d'être infecté par la listeria. Les personnes qui détiendraient ce produit, dont la date limite de consommation était au 26 juillet doivent le rapporter à leur point de vente et le pas les consommer, même si elles ont été congelées.Vigilance pour les personnes fragilesLes personnes qui en auraient consommé et qui présentent seraient victimes de fièvre, de maux de tête, doivent consulter rapidement leur médecin traitant. Une vigilance particulière doit également être portée aux personnes âgées, femmes enceintes et personnes immunodéprimées qui auraient consommé les lots concernés par ce rappel.
Un lot d'andouilles de Guéméné de la marque "Reflets de France" a été rappelé par l'enseigne de supermarchés Carrefour. Le lot est suspecté d'être infecté par la listeria.
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La justice se prépare à la riposte. Après les nouvelles violences survenues samedi 8 décembre lors des manifestations des "gilets jaunes", le parquet de Paris s'organise pour traiter un nombre exceptionnels de prévenus. Compte tenu du millier d'interpellations effectuées par les forces de l'ordre dans toute la France, le nombre d'audiences est considérablement revu à la hausse pour les journées de lundi 10 et mardi 11 décembre."Le parquet est pleinement décidé à ne pas laisser impunies les exactions commises à Paris en marge de cette journée", a insisté le procureur de la République Rémy Heitz, précisant que "plus de 900 majeurs et près de 100 mineurs" avaient été placés en garde à vue.Au tribunal de Paris, porte de Clichy, le nombre d'audiences avait déjà été doublé après le troisième samedi de mobilisation pour faire face à l'afflux de prévenus. Ce dispositif sera "reconduit". Ce sont ainsi dix audiences de comparutions immédiates qui siégeront, contre trois habituellement. D'autres tribunaux (Créteil, Bobigny, Nanterre) seront aussi mobilisés pour accueillir certains prévenus. "Des réponses rapides associant fermeté et pédagogie seront mises en œuvre", a promis le procureur.Les "profils" des personnes interpellées sont "très proches de ceux de la semaine dernière", a aussi souligné Rémy Heitz : "Majoritairement des hommes âgés de moins de 40 ans, pour la plupart sans antécédent judiciaire, venus de différentes régions de France". Figurent aussi des individus issus "des rangs de l'ultra droite ou de l'ultra gauche", ainsi que des "profils d'hommes plus jeunes, motivés souvent par une volonté de piller des commerces".
La justice ajuste son mode de fonctionnement pour traiter les dossiers du millier d'individus interpellés lors du quatrième samedi de mobilisation des "gilets jaunes".
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Elan de générosité inédit chez les Français qui ne se contentent pas d'applaudir chaque soir à 20 heures les soignants, et plus généralement toutes les personnes mobilisées pour lutter contre l'épidémie de Covid-19. Les Français mettent également la main au portefeuille pour aider les personnels hospitaliers et les plus démunis face à la crise sanitaire. Évoquant une "incroyable mobilisation", l'entreprise de cagnottes en ligne Leetchi a répertorié près de 4.300 cagnottes ouvertes sur sa seule plateforme. Elles sont majoritairement à destination des personnels soignants mais nombreuses sont celles venant en aide aux personnes en situation de fragilité depuis le début du confinement. D'après Leetchi, cet élan de générosité est inédit sur le site depuis l'incendie de la cathédrale de Notre-Dame-de-Paris en avril 2019, à la suite duquel quelque 2.500 cagnottes avaient été mises en ligne. "La plupart des cagnottes ont déjà récolté plusieurs dizaines de milliers d'euros", a précisé Leetchi dans un communiqué, en évoquant "deux qui dépassent les 100.000 euros : une en soutien au CHU de Bordeaux et une autre pour l'achat de masques". C'est d'ailleurs une des nouveautés dans cette bataille pour les plus vulnérables : certains appels aux dons concernent directement l'aide aux soignants, l'achat de masques, de matériels ou la recherche d'un vaccin. La Fondation de France, l'AP-HP et l'Institut Pasteur ont ainsi conjointement appelé à la solidarité pour soutenir "les soignants, les chercheurs et aider les personnes les plus vulnérables". Il s'agit notamment, précisent-ils, de financer "le développement de vaccins, fournir du matériel" aux personnels soignants et d'aider "les personnes âgées confinées seules". La fondation des hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France a de son côté lancé avec la Fédération hospitalière de France (1.000 hôpitaux, 3.800 établissements médico-sociaux) un "Fonds d'aide d'urgence Covid 19" pour venir en soutien aux hôpitaux et aux Ehpad. Privées de leurs moyens de collecte traditionnels, les associations caritatives sont également nombreuses à recourir à cette nouvelle générosité. Impossible en effet de suspendre les actions de soutien auprès des plus pauvres. Le Secours Populaire a par exemple besoin de 10 millions d'euros,. Qu'il doit trouver sans passer par les traditionnelles chasses aux œufs, brocantes, braderies, lotos, etc. "50% de la collecte de fonds grand public de la Croix-Rouge repose aujourd'hui sur des collectes de face à face, que ce soit dans la rue ou grâce au porte-à-porte", explique de son côté Jean-Christophe Combe, le directeur général de la Croix rouge française.Il parle de "30 millions d'euros d'impact si le confinement venait à s'étendre jusqu'à fin avril". Pour contrer cette catastrophe, l'association a lancé un "appel à dons, pour répondre à l'urgence de la crise du Covid-19 (...) aux conséquences sociales collatérales potentiellement dramatiques". De fait, le dispositif d'écoute et de livraison solidaire de nourriture et de médicaments pour les personnes vulnérables confinées en situation d'isolement social, appelé "Croix rouge chez vous", a déjà reçu "environ 20.000 appels" en cinq jours. Également obligés de se tourner vers un appel aux dons spécifiques, Emmaüs Solidarité et la Fondation Abbé Pierre cherchent à financer des tickets services, quand le Samu Social suggère de donner ses titres restaurant. Autre difficulté en temps de confinement : les bénévoles. Les Restos du Cœur expliquent pourtant avoir besoin de "renforts pour continuer" ses missions. Et Médecins du monde continue d'effectuer des maraudes dans les camps de migrants et bidonvilles, appelant à la générosité du grand public pour "maintenir ce dispositif d'urgence". "Sans doute, des personnes seules, isolées, en situation de handicap, non accompagnées ou qui n'ont plus accès à des services d'aide à domicile mourront sans même être atteintes du Covid-19", rappelle Jean-Christophe Combe.Mais au delà de ces grandes campagnes, la solidarité s'organise très souvent à l'échelle individuelle : des particuliers ont par exemple proposé de mettre gracieusement leurs logements à disposition des personnels soignants pour leur éviter des déplacements. D'autres prêtent main forte à leurs voisins ou à des personnes vulnérables en promenant leurs animaux de compagnie ou en faisant leurs courses.La pandémie de Covid-19 a fait émerger "un profond mouvement solidaire" et une prise de conscience sur "un lien social vital", analyse le psychiatre et psychanalyste Serge Hefez. Selon lui, le moteur n'est pas la peur mais une "réelle solidarité". "Paradoxalement, même si on ne s'est jamais senti autant isolé, on n'a jamais été autant relié aux autres. Notre individualisme est radicalement remis en question puisqu'on ne peut plus penser qu'à soi", poursuit-il.
La pandémie de Covid-19 a fait émerger "un profond mouvement solidaire" et une prise de conscience sur "un lien social vital", analyse un médecin.
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Ces droits de retrait concernent surtout "la distribution", a précisé Nicolas Galepides, du côté de SUD PTT. La direction de la Poste juge toutefois que ce chiffre n'a "aucun fondement".Et Nicolas Galepides de l'accuser de tenir un double discours en affirmant que "la politique de l'entreprise n'est pas de contester le droit de retrait, et, au même moment, d'exercer des pressions (sur ceux qui en font l'usage) en menaçant de retirer des jours de salaires".Par ailleurs, "entre un tiers et la moitié du corps social de La Poste (250.000 salariés) n'est pas au travail", en raison du Covid-19, a ajouté la fédération syndicale qui s'appuie sur "les remontées disponibles" faute de "bilan sanitaire" officiel.La direction de La Poste souligne que "l'employeur n'a pas le droit de collecter des informations sur l'état de santé de ses personnels" et estime que "ce type de mesure pour lutter contre l'épidémie du Covid-19 est inefficace et n'est pas demandé par les autorités sanitaires". "La priorité de La Poste c'est la santé des postiers", réaffirme-t-elle, assurant avoir pris "dès janvier 2020 des mesures précoces, massives, systématiques et concertées de prévention et de protection de ses personnels, en respectant les recommandations du gouvernement et des autorités sanitaires".Une audience le 3 avrilDes mesures de réduction d'activité et de fermeture de bureaux de poste ont été mises en place par la direction mais le service postal se poursuit. SUD PTT l'a assignée en référé pour "l'obliger à évaluer les risques professionnels liés à l'épidémie de Covid-19" et "recenser les cas de contamination" chez ses employés ainsi que les mesures prises en conséquence, les moyens de protection sur le terrain restant "très insuffisants", selon le syndicat. Une audience a été fixée au 3 avril.SUD PTT, 3e syndicat de La Poste, parle de "milliers de cas suspectés" de Covid-19 parmi les agents, de "167 cas avérés" au "réseau" (bureaux de poste) sur 35.200 personnes, et d'"un jeune postier de 25 ans dans le coma à Paris". L'Unsa parle de "300 cas avérés chez les postiers".
C'est une annonce du syndicat SUD PTT, qui dénonce des pressions sur les salariés ayant fait usage de ce droit.
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Le président ... du lobby des chasseurs. C'est en ces termes que Brigitte Bardot qualifie Emmanuel Macron, dans une missive en date du 7 juin où elle s'en prend avec véhémence à l'ouverture anticipée de la chasse à certains animaux dont le sanglier, le chevreuil ou le renard. "Comment osez-vous lâchement permettre l'ouverture de la chasse, deux mois avant celle qu'autorise la loi européenne? En pleine période de reproduction, c'est scandaleux!", tonne la militante dans une lettre relayée sur son compte Twitter. "Le confinement, que vous nous avez imposé, a permis de constater à quel point la nature, les animaux sauvages, reprenaient confiance sans la présence humaine, cette espèce qui a le don de se faire détester et craindre par toutes les autres espèces", estime t-elle, avant d'attaquer le chef de l'Etat : "L'exemple que vous donnez est lamentable. Vous êtes le fossoyeur des animaux, et, hélas, aussi celui de la France, avec toute votre indifférence", s'indigne t-elle.Outre les périodes d'ouverture générale de la chasse (entre septembre et février), des exceptions peuvent être permises par arrêté préfectoral pour des chasses anticipées, dès le 1er juin. Depuis la levée du confinement, l'exécutif a pris plusieurs dispositions en ce sens, dont un décret du 18 mai permettant de raccourcir les délais de publication de ces arrêtés préfectoraux. Ces "délais raccourcis" ne resteront en vigueur que jusqu'au 10 juillet, précise Le Parisien.
La militante de la cause animale a écrit une tribune acerbe contre le président de la République, au sujet de la réouverture anticipée de la chasse pour certaines espèces.
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Le Taj Mahal, l'une des sept merveilles du monde moderne et principale attraction touristique de l'Inde, est fermé depuis la mi-mars en raison de l'épidémie de coronavirus.Des photos prises dimanche par l'AFP montrent qu'une partie d'une balustrade a complètement disparu."Une balustrade qui fait partie de la structure d'origine du monument a été endommagée", a confirmé à l'AFP le chef des services archéologiques de l'Inde, Vasant Kumar Swarnkar."Ont également été endommagés une autre balustrade plus récente, un faux plafond dans la zone où les touristes attendent, et le socle de la porte principale d'entrée du site", a-t-il ajouté.En revanche, la structure principale du mausolée bâti par l'empereur moghol Shah Jahan en mémoire de son épouse bien-aimée Mumtaz Mahal, morte en 1631, est intacte.De violents orages ont touché toute la région vendredi, tuant au moins 13 personnes.Ce genre d'orages meurtriers est relativement courant pendant la saison de la mousson en Inde, de juin à octobre. Une série d'orages qui avait touché l'an dernier en août et septembre l'Etat de Madhya Pradesh, dans le centre du pays, avait tué 150 personnes.
Une série de violents orages qui ont fait vendredi 13 morts dans la région d'Agra, dans le nord de l'Inde, ont également endommagé le Taj Mahal, y compris la porte d'entrée du site et deux des balustrades, a-t-on annoncé dimanche de source officielle.
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Si nous pourrons dormir une heure de plus dimanche matin, il fera nuit plus tôt. L'UE projetait de supprimer le changement d'heure en 2019 mais le projet n'est pas prêt et cette disparition n'aura pas lieu avant 2021. En septembre 2018, la Commission européenne a proposé de supprimer le changement d'heure. Le dossier, comme tout projet de réforme de l'UE, est désormais entre les mains des deux colégislateurs, le Parlement et le Conseil (les États membres). Le premier, favorable à la fin du changement d'heure saisonnier, a voté en mars le report de la date de 2019 à 2021. En 1980, l'UE avait unifié les dispositions relatives à l'heure d'été. Auparavant, les pratiques variaient d'un pays à l'autre. Ce changement avait été introduit principalement pour des motifs d'économies d'énergie - notamment le charbon utilisé pour la production d'électricité - mais celles-ci seraient en réalité marginales, selon la Commission. Quant aux 28 États membres, chacun va devoir choisir de rester en permanence à l'heure d'hiver ou à l'heure d'été. En France, une vaste consultation citoyenne (plus de 2,1 millions de participants) lancée en février 2019 a montré que la majorité des participants (59,17%) préféraient rester à l'heure d'été. Pour savoir l'heure qu'il est, consultez l'horloge parlante d'Orange au 36 99.
La France passe à l'heure d'hiver dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 octobre. À 03H00, il sera 02H00, heure d'hiver, en retardant les montres d'une heure.
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Sacrée mésaventure pour le fils d'une grande figure politique française. Dans la soirée du 20 juin, alors que les Parisiens profitaient des prémices de la fête de la Musique, Thomas Fabius, 39 ans, dirigeant de plusieurs PME, et fils de Laurent Fabius, ancien ministre de la République et actuel président du Conseil constitutionnel, a été cambriolé. L'intéressé était, au moment des faits, en déplacement aux Pays-Bas. Le cambriolage a eu lieu à son domicile, un appartement du VIIe arrondissement, ont confirmé au Point des sources policières. Connu pour son addiction aux jeux de casino et ses frasques judiciaires, Thomas Fabius a été alerté de ce cambriolage par la concierge de son immeuble. Celle-ci avait pris la peine d'appeler les forces de l'ordre juste avant de le prévenir. Selon Le Point, Thomas Fabius a demandé à ce qu'aucune intervention ne soit entamée sans sa présence dans son domicile. Son retour dans la nuit, aux alentours d'une heure, a donc permis aux enquêteurs de commencer leurs prélèvements. Parmi les pertes : une montre Patek Philippe d'une valeur de 200 000 euros, selon la victime, ainsi que d'un tableau de maître dont le fils de Laurent Fabius a déclaré ignorer le montant.ConvoitiseLe parquet de Paris a saisi la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire parisienne pour enquêter sur cette effraction. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, ce sont 12 218 logements parisiens qui ont été victimes d'un cambriolage en 2018. Cette hausse est due, selon la préfecture de Paris, à « l'attractivité » ainsi que la « richesse » de la capitale, qui attise les convoitises d'une délinquance venue de partout dans le monde.
Le fils du président du Conseil constitutionnel a été cambriolé dans son appartement du VIIe arrondissement parisien, samedi 20 juin au soir. Les pertes s'annoncent lourdes, détaille le Point.
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"Soit on dit 'J'ai raison tout seul', et c'est souvent la caractéristique de monsieur Macron, soit on écoute". En cette nouvelle journée de grève interprofessionnelle, Philippe Martinez a fustigé la méthode d'Emmanuel Macron dans le cadre de la réforme des retraites. "Y a besoin de réformer notre système de retraite, mais pas besoin de le casser", a-t-il estimé ce mardi 10 décembre sur France 2, critiquant un chef de l'Etat qu'il juge "dogmatique". Réforme des retraites : "Le projet Macron, c'est chacun pour soi", assure Philippe Martinez (CGT)par franceinfoLe leader syndical a évoqué le "soutien important de l'opinion publique" à la grève, face à un président de la République qu'il dit coincé dans sa "posture jupitérienne". "On a tendance à l'oublier : est-ce que les 66% de personnes qui ont voté Macron au deuxième, c'était un vote d'adhésion à son programme? Je ne crois pas. Un peu d'humilité!" lance t-il, estimant qu'Emmanuel Macron "en manque, et depuis le début!". "Le gouvernement dit c'est comme ça, on se met au garde-à-vous et on change les virgules et les points à la fin du texte. C'est ça une discussion, c'est ça une ouverture d'esprit? Je ne crois pas". "Si les annonces du Premier ministre ne sont pas à la hauteur des attentes de ceux qui sont mobilisés, c'est le Premier ministre qui recherche l'affrontement, c'est pas nous".La question des retraites, "ciment de tous les mécontentements"Quant aux perturbations occasionnées par les grèves, "ça génère des gênes pour les usagers, mais la question, ce n'est pas celle là. C'est l'avenir qu'on prépare pour les futurs retraités et les générations suivantes. Soit on fait rien et on se laisse piquer nos acquis sociaux, soit on agit". Philippe Martinez a par ailleurs défendu les propositions de son syndicat, opposant "la solidarité" au "chacun pour soi", au cours d'un mouvement social qui implique de nombreux corps de métier. "Les retraites, c'est le ciment de tout les mécontentements. Il y a de la colère, soit on écoute, soit on fait comme si ça n'existait pas", affirme t-il encore.
Le secrétaire général de la CGT s'en est pris à la réforme "très dogmatique" voulue par le chef de l'Etat, à la veille de l'annonce du plan du gouvernement par Edouard Philippe.
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Une "fuite vapeur" sur une "tuyauterie située en salle machines dans la partie non nucléaire des installations" a été constatée dans la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne). L'unité de production n°2 a donc été arrêtée lundi matin, un arrêt qui n'a "aucune conséquence sur la sûreté des installations, la sécurité des personnes, ni sur l'environnement", a annoncé la direction de la centrale dans un communiqué diffusé lundi 2 décembre. "La réparation sera menée au plus tôt pour permettre de redémarrer l'unité n°2 en toute sûreté, dans les meilleurs délais", a précisé la direction de la centrale. Dans l'attente, "l'unité de production n°1 est actuellement en production et à la disposition du réseau électrique national", a-t-elle ajouté. Le réacteur avait été remis en fonctionnement jeudi 28 novembre, après un arrêt programmé pour assurer sa recharge en combustible.La centrale de Golfech compte deux réacteurs d'une puissance de 1.300 mégawatts chacun, produisant en moyenne chaque année 50% de la consommation électrique de la région Occitanie. Le 12 octobre, un incident s'était produit au sein de l'unité de production n°2 de la centrale lors d'"opérations de vidange" d'un réacteur. L'incident avait été déclaré à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) qui a mené une inspection renforcée sur le site mobilisant une vingtaine de ses inspecteurs et prévue de longue date. La direction de la centrale avait admis "un non-respect des règles générales d'exploitation" lors de cette vidange, dû à une erreur humaine. Dans son dernier rapport annuel, publié en mai 2019, l'ASN avait pointé la "dégradation" de l'exploitation.
À l'origine de cette décision : la constatation d'une "fuite vapeur" en salle des machines dans la partie non nucléaire de la centrale. La centrale de Golfech produit en moyenne chaque année 50% de la consommation électrique de la région Occitanie.
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La République en marche se paye une campagne au frais du contribuable", dénonce notamment Benoît Hamon.Dans le cadre du grand débat ouvert pour répondre à la crise des "gilets jaunes", Emmanuel Macron se rendra jeudi 14 février dans la région Centre-Val de Loire. Ce sera le septième débat pour le chef de l'État depuis le 15 janvier, après Grand-Bourgtheroulde (Eure), Souillac (Lot), Valence et Bourg-de-Péage (Drôme), une rencontre à l'Élysée avec une centaine d'élus d'outre-mer, un débat citoyen à Évry-Courcouronnes, dans l'Essonne, et un échange avec des jeunes à Autun, en Saône-et-Loire. Que vont devenir les propositions citoyennes du grand débat? Emmanuelle Wargon répondpar BFMTVLes ministres multiplient également les déplacements. Le ministre de l'Économie et des Finances Bruno Le Maire a notamment participé à une réunion publique à Louveciennes, dans les Yvelines, le 31 janvier, et la ministre de la Santé Agnès Buzyn à un rendez-vous à Trappes, également dans les Yvelines, le 3 février. Un agenda bien chargé qui, à quatre mois des élections européennes, interpelle l'opposition. "Il y a un déséquilibre évident, s'insurge ce lundi 11 février Benoît Hamon, le leader de Génération.s, dans les colonnes du Parisien. C'est indiscutablement un moyen de défendre ses ambitions électorales avec les deniers publics. La République en marche (LREM) se paye une campagne au frais du contribuable.""Emmanuel Macron sature l'espace médiatique dans une séquence très politique avec des rendez-vous électoraux. C'est quand même cocasse de faire cette grande tournée aux frais des Français !", s'indigne également auprès du quotidien le député La France insoumise (LFI) Alexis Corbière. La commission des comptes de campagne et le CSA saisis"Ce fameux débat est en fait une campagne déguisée pour l'élection européenne", a de son côté déclaré lundi sur Sud Radio la maire PS de Lille Martine Aubry, pointant notamment du doigt le discours de la ministre de la Santé dans les Yvelines, qui fait "explicitement référence aux élections européennes". "Nous sommes très vigilants avec la commission des comptes et nous rapportons tout ce que nous faisons pour les élections européennes dans nos comptes de campagne", a-t-elle déclaré. "Est-ce que le gouvernement va rapporter dans ses comptes de campagne les débats organisés aux frais de l'État ? Je pose la question de manière assez solennelle aujourd'hui", a-t-elle poursuivi.Les élus Les Républicains (LR) Philippe Juvin et Valérie Boyer ont annoncé samedi avoir saisi respectivement la commission nationale des comptes de campagne (CNCCFP) et le CSA, dénonçant eux aussi "une campagne électorale déguisée" de LREM. Philippe Juvin affirme par ailleurs avoir demandé au président de la CNCCFP "d'intégrer" dans les comptes de campagne des élections européennes de LREM "les moyens alloués à la réunion publique dAgnès Buzyn". Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Sénat, envisage également de saisir le CSA, tout comme LFI, "pour savoir si tout ça est conforme aux règles de répartition du temps de parole".Que dit la loi ?Ces réunions peuvent-elles être considérées comme des meetings électoraux ? Un candidat ne peut utiliser les moyens que lui confère son mandat pour en briguer un autre, rappelle Le Parisien, soulignant au passage qu'Emmanuel Macron n'est pas candidat aux élections européennes du 26 mai. "Certains peuvent avoir le sentiment qu'il fait campagne parce qu'il remonte dans les sondages depuis qu'il a initié le grand débat. Mais on ne peut que le suspecter ! Personne ne peut prouver qu'il est de mauvaise foi", explique au quotidien Alexandre Viala, professeur de droit public à l'Université de Montpellier. "Pour être pris en défaut de partialité et en flagrant délit de détournement du grand débat public au profit de la campagne européenne, il faudrait des éléments plus objectifs, comme la présence de membres de la future liste électorale à ces réunions, des preuves de l'implication du parti présidentiel, et des appels au vote", assure-t-il.
Alors qu'Emmanuel Macron et ses troupes sillonnent la France, à la rencontre des Français, dans le cadre du grand débat national, l'opposition accuse la majorité de détourner ces rendez-vous en campagne pour le scrutin du 26 mai. "C'est indiscutablement un moyen de défendre ses ambitions électorales avec les deniers publics.
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L'arrivée de Morandini sur i-Télé n'enchante pas les salariés de la chaîne et ils comptent bien faire entendre leur voix. Ils ont ainsi voté hier, à une majorité écrasante, en faveur d'un mouvement de grève contre cette arrivée. Ce mardi 18 octobre, la grève a été reconduite pour 24 heures par les employés du groupe Canal+.Une émission qui diviseC'est donc dans ce climat glacial que Jean-Marc Morandini a lancé sa nouvelle émission. Ne laissant rien paraître, l'animateur a débuté avec un reportage sur un épisode de la série "New York Unité Spéciale", qui traite des scandales sexuels dans lesquels Donald Trump est impliqué. Un choix audacieux sachant que l'animateur, présumé innocent, a été mis en examen pour "corruption de mineur aggravée". Durant la prise d'antenne de Morandini, de nombreux salariés ont quitté les locaux afin de montrer leur mécontentement. Etant en sous-effectif, un confrère rapporte à BFMTV que "la direction a dû appeler en renfort des techniciens de Canal+ et des chefs-techniciens dont le boulot n'est pas d'appuyer sur les boutons".Cela n'a pas empêché l'apparition de différents bugs techniques lors de l'émission, dont l'erreur réalisée sur le nom de famille de Stéphane Plaza sur un bandeau visible à l'écran. Des problèmes qui n'ont pas échappé aux téléspectateurs qui les ont largement commentés sur Twitter.Ce retour a également eu un impact sur les publicités. En effet, alors que l'animateur a lancé des programmes publicitaires, le public n'a pu découvrir que des bandes-annonces. Ne souhaitant pas être associé à l'image de ce dernier, les annonceurs n'ont pas investi dans des espaces publicitaires pendant la diffusion de Morandini Live.Les audiences sont au rendez-vousMalgré l'indignation du public et des journalistes, les audiences pour cette première ont été plus que satisfaisantes. Selon les informations du site Puremedias, l'émission a rassemblé 108 000 téléspectateurs en moyenne. Une belle performance pour la chaîne qui réalise généralement deux fois moins sur cette tranche. Cependant, il est à se demander si tout le buzz autour de l'animateur n'a pas attiré le public seulement pour un effet de curiosité. À voir si cela se maintient dans les jours prochains !
Jean-Marc Morandini continue de déchaîner les passions ! Malgré la grève votée par la rédaction d'i-Télé, ce dernier a bien pris l'antenne hier à 18h sur la chaîne. Il a donc animé le premier numéro de Morandini Live.
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Jenifer fera finalement son retour cet été, rapporte le magazine Gala. L'ancienne jurée de The Voice montera sur la scène du festival Le Mas des Escaravatiers. Elle partagera l'affiche avec Catherine Ringer, Christophe ou encore Benjamin Biolay. Depuis l'accident, la chanteuse s'est réfugiée en Corse auprès de sa famille. Son ami le chanteur Amir a pu obtenir de ses nouvelles dernièrement auprès de son manager et assure que la star " va bien ". Rendez-vous le 20 juillet à Puget-sur-Argens dans le Var pour le come-back de Jenifer. L'interprète défendra les titres de son dernier album " Paradis secret ".
Depuis l'accident de son bus de tournée début mars, Jenifer s'est éloignée de la scène et des médias. Au lendemain du drame qui a coûté la vie à deux personnes, la chanteuse annonçait cette prise de recul sur les réseaux sociaux.
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Le duc et la duchesse de Sussex, qui ont officiellement cessé d'être des membres actifs de la famille royale en avril dernier, vivaient jusqu'alors à Los Angeles, la ville natale de Meghan Markle, où ils ont été rapidement harcelés par des paparazzis à l'affût.Le couple a porté plainte, accusant certains d'entre eux d'avoir photographié à leur insu leur jeune fils Archie dans leur jardin.Les époux "ont emménagé dans leur maison de famille en juillet" et "se sont installés dans la tranquille intimité de leur quartier", a déclaré un porte-parole à l'AFP, sans confirmer le lieu de leur nouvelle résidence. Ils "espèrent que cela sera respecté, pour leurs voisins comme pour eux en tant que famille", a ajouté ce porte-parole.Selon les médias People et Page six, leur nouvelle maison est située à Santa Barbara, à environ 150 kilomètres au nord de Los Angeles, où habitent plusieurs stars américaines, comme Oprah Winfrey.Le prince Harry, 35 ans, a dénoncé à de multiples reprises la pression des médias sur son couple et en a fait la raison principale de sa mise en retrait de la famille royale.
Le prince Harry et son épouse Meghan Markle ont déménagé dans une nouvelle maison située à Santa Barbara, une riche ville de bord de mer près de Los Angeles, en Californie, selon des médias américains.
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Mohammed Salim Patel a presque totalement perdu la vue à l'âge de 15 ans. Il se déplace depuis à l'aide d'une cane mais ressent un manque d'indépendance : "Pour le moment, je suis dépendant de beaucoup de personnes pour toutes sortes de choses - les amis, la famille, je dois leur demander s'ils sont libres, si on peut aller quelque part s'ils veulent faire quelque chose", explique-t-il à la chaîne anglaise. Impossible pour lui de prendre un chien, car il a trop peur de cet animal. Il a donc trouvé la parade : le cheval guide d'aveugle. Dans des images diffusées par la BBC, on voit Mohammed et Digby, cheval miniature de 8 mois, apprendre à se repérer ou à traverser la route. L'équidé, qui vit dans le Yorkshire (nord-est de l'Angleterre), va devoir suivre une formation d'au moins un an avant de pouvoir accompagner Mohammed.Déjà des chevaux d'aveugles aux États-UnisCes chevaux miniatures sont déjà utilisés par des non-voyants de l'autre côté de l'Atlantique. Par peur des chiens ou allergie à leurs poils. En 2000, un Américain, Dan Shaw, a été le premier aveugle au monde à obtenir un cheval guide : "J'adore les animaux. Prendre un chien après 8 ou 10 ans, puis devoir en entraîner un nouveau, et devoir faire ça trois ou quatre fois dans ma vie... c'est douloureux".La Guide Hors Foundation fait d'ailleurs valoir que les chevaux sont plus appropriés que les chiens pour guider les aveugles, du fait de leur durée de vie (25 à 30 ans en moyenne pour un cheval miniature, 10 à 14 pour le Labrador). Leurs militants bataillent pour qu'ils soient autorisés dans les avions et les restaurants.
VIDÉO. Un journaliste non-voyant de 23 ans va être le premier Britannique à recevoir un cheval guide, rapporte la BBC.
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La situation des Ehpad en France inquiète les autorités sanitaires. Pourtant, alors que l'épidémie de coronavirus continue de toucher le pays, un de ces établissements parvient à résister tant bien que mal à cette maladie. Selon les révélations de BFM Lyon, l'Ehpad Vilanova situé à Corbas, près de Lyon (Rhône), ne compte aucun cas de contamination au Covid-19 depuis que le virus est arrivé dans l'Hexagone. Une performance remarquable au vu des conséquences de la maladie dans les autres résidences de ce type mais dont la direction préfère ne pas se gargariser pour le moment. « Il faut rester humble, parce qu'en une seconde, tout peut basculer. On sait que le virus est très rapide, donc on essaye d'être un peu plus intelligent que lui en coupant tous les circuits », calme la directrice de l'Ehpad, Valérie Martin, à BFM Lyon.Le personnel confiné avec les résidentsPour réussir à ne pas être contaminé au Covid-19, des mesures strictes ont été prises. Les 22 salariés de l'Ehpad Vilanova de Corbas sont confinés directement à l'intérieur du centre depuis le 18 mars dernier. « Ce sont des personnes qui ont la liberté d'aller et venir, donc ils ne sont pas dans leurs chambres », souligne Valérie Martin.Une politique de prévention qui a le mérite d'entretenir un lien social dans l'établissement médical. Privés des visites de leurs proches, les résidents compensent en côtoyant au quotidien leurs soignants. « Ils prennent leurs petits déjeuners ensemble, leurs repas, ils assistent aux animations », raconte la directrice à BFM Lyon.Cette situation inédite semble convenir au personnel qui devrait être confiné dans cet Ehpad jusqu'au 3 mai prochain. « Le fait qu'on les voit tous les jours et qu'on rentre dans leur quotidien, on remplace un peu la famille qu'ils n'ont pas pour l'instant », confie Sophie Brunet, attachée administrative de la résidence. « Si c'était mes propres parents, j'aurais aimé que quelqu'un s'occupe d'eux ainsi. »
Selon les informations de BFM Lyon, l'Ehpad Vilanova de Corbas (Rhône) parvient à résister à une contamination au coronavirus. Le personnel soignant s'est d'ailleurs confiné dans l'établissement pour éviter d'importer le virus.
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Si la Chine, premier pays touché par le nouveau coronavirus, se remet progressivement de l'épidémie, c'est au prix d'énormes répercussions économiques. Des millions de personnes ont perdu leur emploi.Pour joindre les deux bouts, les plus vulnérables n'ont d'autre choix que de s'improviser vendeurs de rue, proposant des plats préparés, des sous-vêtements, des jouets, ou même... des petits lapins vivants.A l'image de Wang Zhipin, 72 ans, installé dans un passage souterrain de Pékin et qui cherche désespérément des clients pour ses chaussettes."Les affaires ne sont pas très bonnes", peste le vieil homme, ancien agent d'entretien originaire de la province centrale du Henan."Je n'ai pas d'autre source de revenus et ma santé est trop mauvaise pour continuer à nettoyer par terre", explique-t-il à l'AFP.- Le Premier ministre à la rescousse -Dans un discours le mois dernier, le Premier ministre Li Keqiang a fait l'éloge des vendeurs de rue qui ont permis, selon lui, de créer 100.000 emplois dans une grande métropole du sud-ouest, au moment où le pays fait face à une explosion du chômage. "L'économie des rues et les petits commerces sont d'importantes sources d'emploi (...) et sont tout aussi vitaux pour la Chine que les boutiques de luxe", a-t-il déclaré.Les propos de M. Li ont été interprétés comme un feu vert au retour des étals de rue, pourtant bannis dans les grandes villes au nom de la modernité qui se conjugue en milliers de grands magasins et centres commerciaux clinquants.Mais sur le terrain, beaucoup de marchands à la sauvette se heurtent à la vindicte de la police qui a mis des années à faire disparaître des rues ces étalages -- avec brutalité parfois."J'ai commencé cette semaine à vendre des crêpes, mais (ils) m'ont déjà chassée quatre fois", affirme une femme d'âge moyen, qui préfère taire son nom, dans un quartier de l'est de Pékin.Le Premier ministre "est un haut responsable communiste. Pourquoi la police va-t-elle à l'encontre de ce que souhaite le Parti communiste?", s'interroge M. Wang.- 600 millions de pauvres -La presse aussi se montre réfractaire. Le Quotidien de Pékin a qualifié les étals de rétrogrades et "non-adaptés" à la capitale, où des milliers de petits commerces ont déjà été éliminés ces dernières années.En dehors de Pékin, certaines villes et capitales provinciales ont toutefois assoupli les restrictions.Le sujet est rapidement devenu viral sur les réseaux sociaux. Le mot-dièse "Que vendriez-vous si vous étiez un vendeur de rue?" a reçu des millions de vues sur Weibo, l'équivalent de Twitter en Chine.Et les photos de rues encombrées de stands et de marchands ambulants sont devenues très populaires.Les analystes doutent cependant que les vendeurs de rue suffisent à relancer la deuxième économie mondiale, où le chômage est monté en flèche cette année.Le taux officiel est à 6% (proche du record de 6,2% en février). Ce chiffre ne reflète toutefois que la situation des citadins et exclut de facto les centaines de millions de travailleurs migrants, originaires des campagnes et les plus fragilisés par la pandémie.Selon le Premier ministre, 600 millions de personnes, soit près de la moitié de la population, gagnent moins de 1.000 yuans par mois (124 euros).Ce chiffre, de nature à menacer la sacro-sainte "stabilité sociale", met aussi en péril l'ambitieuse promesse du président Xi Jinping d'éradiquer l'extrême pauvreté en 2020.En période de ralentissement, "assouplir les restrictions est judicieux pour permettre aux chômeurs de dégager un revenu", relève Albert Park, professeur d'économie à l'Université des sciences et technologies de Hong Kong.Toutefois, cela pourrait s'avérer contre-productif à long terme."Les vendeurs de rue risquent de prendre le chiffre d'affaires des magasins en dur, sans stimuler la consommation totale" sur laquelle compte Pékin pour faire redémarrer l'économie, estime M. Park.
Ils se sont cru autorisés à envahir de nouveau les trottoirs des grandes villes de Chine en plein marasme économique, mais les vendeurs de rue peinent à s'imposer face à des policiers aux aguets.
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L'ex-souverain, 82 ans, "s'est rendu aux Emirats Arabes Unis le 3 août et y reste", a déclaré un porte-parole de la Maison royale, sans autre précision.L'ancien monarque avait annoncé le 3 août qu'il s'éloignait de son pays pour "faciliter l'exercice" de ses fonctions à son fils Felipe VI, au moment où les justices suisse et espagnole épluchent ses comptes en banque.Juan Carlos avait fait savoir par son avocat qu'il restait à la disposition de la justice si besoin était.Aucune enquête ne vise à ce jour Juan Carlos lui-même mais les accusations d'une ancienne maîtresse, Corinna Larsen, relayées par la presse, ont éveillé la curiosité d'un procureur de Genève sur sa fortune qu'il aurait placée sur des comptes secrets en Suisse. L'ancien monarque qui entretient des liens étroits avec les monarchies du Golfe, y aurait notamment reçu 100 millions de dollars de l'Arabie saoudite en 2008.Les procureurs de la Cour suprême espagnole, seule habilité à juger un ancien souverain, cherchent aux à savoir si la conclusion d'un contrat pour la construction d'un train à grande vitesse en Arabie saoudite aurait donné lieu à des commissions illégales et si le roi Juan Carlos en aurait bénéficié, comme l'affirme Corinna Larsen.Les révélations de la presse sur l'enquête se succédaient accentuant la pression sur la Maison royale qui a encouragé ce départ à l'étranger, avec l'accord du gouvernement.Son départ en exil n'a pas été bien accueilli en Espagne. Selon un sondage publié dimanche par ABC, journal favorable à la couronne, 56% d'un échantillon de 802 personnes le désapprouvent. Et 61% estiment qu'il nuit à son fils.Les partis anti-monarchistes, y compris la gauche radicale Podemos qui fait partie du gouvernement, ont dénoncé une "fuite". La destination de Juan Carlos après son départ avait donné lieu à de multiples spéculations mais le journal espagnol ABC avait rapporté le 7 août qu'il se trouvait à Abou Dhabi, capitale des Emirats Arabes Unis.
L'ancien roi Juan Carlos, qui avait quitté l'Espagne début août poursuivi par des soupçons de malversations, se trouve aux Emirats Arabes Unis, a annoncé lundi la Maison royale espagnole, levant le voile sur son lieu de résidence.
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"Ma famille ne mérite pas cela". Benjamin Griveaux a annoncé renoncer à la mairie de Paris, ce vendredi 14 février. Le candidat investi par la majorité a pris cette décision après la divulgation de messages privés écrits et vidéos à caractère sexuel. "Les réseaux sociaux et un site internet ont relayé des attaques ignobles mettant en cause ma vie privée. Personne ne devrait subir une telle violence", a déclaré l'ancien porte-parole du gouvernement, dans une allocution diffusée en début de matinée. "Je ne souhaite pas exposer davantage ma famille et moi. Tous les coups sont désormais permis, cela va trop loin. C'est pourquoi j'ai décidé de retirer ma candidature à l'élection municipale parisienne", a t-il poursuivi. "Le projet pour Paris, que nous avons construit, pour lequel nous nous sommes battus, vivra mieux sans moi", a t-il constaté, adressant ses remerciements à son équipe de campagne.En marge de sa déclaration, Benjamin Griveaux a indiqué s'être entretenu tard jeudi soir avec le président Emmanuel Macron, qui l'a selon lui assuré de son soutien "quelle que soit sa décision", en l'invitant à protéger les siens."Menace pour notre démocratie"Le candidat a pris sa décision seul et "personne ne l'a forcé", a souligné la députée Olivia Grégoire, l'une de ses porte-parole, tandis que le monde politique témoigne de son émoi. "L'attaque indigne qu'il subit est une menace grave pour notre démocratie", a ainsi tweeté l'ex-LREM et candidat dissident à la mairie de Paris Cédric Villani. La maire PS de Paris Anne Hidalgo a appelé "au respect de la vie privée et des personnes".Me Richard Malka, l'avocat de Benjamin Griveaux, a annoncé qu'il "poursuivra toutes les publications qui violeront la vie privée" de son client.
Le chef de file de La République en Marche a retire sa candidature pour "l'élection municipale parisienne", après la diffusion d'images à caractère sexuel.
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Les Pyrénées-Atlantiques étaient déjà placées en vigilance orange depuis jeudi soir. Vendredi 25 septembre, c'est aussi le cas du département voisin des Hautes-Pyrénées. De fortes pluies tombent depuis la nuit sur les Pyrénées. "On mesure pour le moment vers 5 heures des cumuls dans les Pyrénées-Atlantiques entre 30 et 50mm sur le Pays Basque, avec 35 mm à Cambo-les-Bains et 38 mm à Saint-Pée-sur-Nivelle, ainsi que 33 mm à Lourdes dans les Hautes-Pyrénées", précise Météo France dans son bulletin de vendredi matin. La pluie domine Un régime perturbé de nord-ouest domine sur l'Hexagone. Il apportera de fréquentes giboulées en Aquitaine, et des ondées au nord de la Loire le matin. Ces ondées se décaleront sur le nord-est l'après-midi, des éclaircies se développent sur le nord-ouest mais avec toujours un risque d'averses près de la Manche. Au sud de la Garonne en revanche les averses se succèderont jusqu'au soir, parfois orageuses, les cumuls seront importants en particulier sur les Pyrénées-Atlantiques. Il neigera toute la journée sur les Pyrénées, ainsi que sur les Alpes du Nord. la limite pluie-neige située vers 2.000 m en début de journée s'abaissera à 1.500 m l'après-midi.Les températures baissent Ailleurs sur la moitié sud, le temps sera plus sec, le ciel variable. Sur les régions méditerranéennes le ciel sera voilé mais lumineux, au prix d'une tramontane soufflant à 100 km/h sur le littoral.Le vent d'ouest sera également très fort en Corse, jusqu'à 120 km/h, ainsi qu'en montagne et sur la façade océanique avec 80 à 100 km/h.Les températures seront en baisse. Les minimales iront de 6 à 11 degrés dans les terres, 9 à 15 en bord de mer. Les maximales varieront entre 11 et 16 degrés sur la moitié nord et le Massif central, 14 et 20 au sud.
Météo France place un deuxième département en alerte, les Hautes-Pyrénées, après les Pyrénées-Atlantiques. L'automne s'installe sur le pays.
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Entamé le 17 mars et déjà prolongé une fois, le confinement mis en place pour freiner l'épidémie de coronavirus se poursuivra après le 15 avril, a prévenu cette semaine l'Elysée, sans préciser la durée du nouvel allongement. Une interrogation à laquelle devrait répondre lundi soir Emmanuel Macron. Le président du Conseil scientifique, dont l'avis est habituellement suivi par le gouvernement, a répété à plusieurs reprises cette semaine que le confinement devait durer encore plusieurs semaines, "probablement jusqu'à début mai". Une estimation qui pourrait correspondre aux premières prévisions de Jean-Michel Blanquer, qui estimait au début de la crise que l'école pourrait reprendre le 4 mai. Néanmoins, ces derniers temps, les médias se sont fait l'écho d'un scénario qui inquiète les parents d'élèves : l'école ne pourrait reprendre qu'en septembre prochain. "Ce n'est qu'une rumeur", a assuré jeudi soir sur Franceinfo le ministre de l'Education nationale. "En réalité, on ne peut pas le dire. Ce que j'espère, c'est que cela se passe le plus tôt possible et qu'il y ait classe avant l'été. On travaille beaucoup sur ce scénario-là", a-t-il précisé. "La décision se prendra "en fonction de ce que diront les autorités sanitaires et ce qu'on sera en mesure de le faire", a-t-il poursuivi.Le ministre a par ailleurs ajouté que les dispositions prises pour le baccalauréat et le brevet, "sont des mesures qui sont plus que complémentaires d'une hypothèse de retour avant les vacances d'été". Ce retour des élèves en classe est "le scénario privilégié", mais il est "conditionné à l'évolution de la pandémie et de l'analyse et des préconisations des autorités sanitaires", a-t-il insisté.Jean-Michel Blanquer avait indiqué samedi sur BFMTV qu'il était "impossible" de savoir quand les élèves pourraient retourner en classe. "J'aimerais bien que ce soit au début du mois de mai, mais cela peut être plus tard", avait-t-il expliqué.
Le ministre de l'Education nationale a assuré jeudi soir sur Franceinfo que les bruits selon lesquels l'école ne reprendrait qu'à la rentrée de septembre n'étaient que des "rumeurs".
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Les salariés de Lubrizol partagent "les craintes sanitaires et environnementales de la population" après l'incendie de l'usine chimique de Rouen mais ne s'expliquent pas "le départ de cet incendie", selon un communiqué intersyndical."Nous, salariés de Lubrizol, sommes choqués par cet incendie et les extrapolations médiatiques qui en sont faites. Nous sommes victimes en tant que salariés mais également en tant qu'habitants. Nous partageons les craintes sanitaires et environnementales de la population", écrivent dans un communiqué commun les syndicats CFDT, CFTC et CFE-CGC. "Au regard des échanges avec nos collègues qui sont intervenus cette nuit-là, nous n'arrivons pas à nous expliquer le départ de cet incendie", ajoutent les syndicats, assurant que "la sécurité est un pilier de notre culture d'entreprise"."Tout comme l'ensemble de la population, nous sommes impatients de connaître les résultats de l'enquête judiciaire en cours afin de clarifier les responsabilités", ajoutent-ils.Les syndicats indiquent aussi s'être mis d'accord "afin de faire appel à une expertise indépendante pour évaluer l'impact de cet incendie sur la santé des salariés et des sous-traitants travaillant sur le site".Silencieux depuis l'incendie du 26 septembre, les représentants des salariés de Lubrizol Rouen disent avoir "décidé solidairement" de se "concentrer sur l'accompagnement des salariés de notre entreprise plutôt que de communiquer avec les médias".
Alors que le gouvernement ne parvient pas à calmer l'inquiétude des Rouennais, les salariés de l'usine incendiée le 26 septembre ont fait savoir qu'ils partageaient leurs "craintes".
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Comme vendredi, le trafic SNCF restait très perturbé samedi, au premier jour des vacances scolaires, en raison d'un mouvement de contestation des cheminots, qui évoquent leur droit de retrait après un accident qui a fait plusieurs blessés mercredi.La direction accuse de son côté les conducteurs et contrôleurs de faire une "grève illégale". "Ce n'est pas admissible. C'est une grève surprise qui ne respecte pas la loi", a réagi samedi Guillaume Pepy, le PDG de la SNCF sur BFMTV. "Ce n'est pas aujourd'hui un droit de retrait, il n'y a aucun danger grave et imminent sur aucun train à la SNCF", a-t-il insisté.Un avis partagé par Édouard Philippe. Alors qu'il visitait le Centre national des opérations ferroviaires à Paris aux côtés de M. Pepy et du secrétaire d'État aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, le Premier ministre a dénoncé samedi midi un "détournement du droit de retrait"et une "grève sauvage à "l'impact inacceptable pour des dizaines et des dizaines de milliers de Français". "J'ai demandé à la SNCF d'examiner toutes les suites, y compris judiciaires, qui pouvaient être données lorsque des gens ne respectent pas la loi", a déclaré le chef du gouvernement. Le droit de retrait est "un droit syndical que je respecte parfaitement, mais qui n'est pas mis en oeuvre et s'est transformé en une grève sauvage", a insisté Edouard Philippe, critiquant vivement une "volonté de ne pas respecter la loi sur la grève dans les services publics, de la détourner pour avoir un impact maximal sur les Français". "C'est évidemment inacceptable", a-t-il martelé dans un "message ferme". "Trois millions de Français doivent prendre le train un jour comme celui-ci", a rappelé le Premier ministre, évoquant une "situation inédite". "Nous sommes en train de regarder toutes les solutions juridiques pour que les conducteurs" qui ont cessé le travail le "reprennent" et "nous les mettons en demeure", a ajouté le patron de la SNCF. S'ils ne le font pas, "ils vont évidemment s'exposer au droit disciplinaire". Plus tôt dans la matinée, M. Pepy avait également annoncé son intention d'aller devant la justice pour faire reconnaître qu'il s'agissait d'une grève "surprise"."Ce n'est pas une grève inopinée, c'est un droit de retrait. La direction doit arrêter les déclarations mensongères", a réagi auprès de l'AFP Julien Troccas, secrétaire confédéral de Sud-Rail."Il y a péril""Ça a peut-être les effets d'une grève pour les usagers, c'est pénalisant, mais ce n'est pas une grève", a également assuré sur Europe 1 Rémi Aufrère-Privel, secrétaire général adjoint de la CFDT-Cheminots. "Il y a péril", a-t-il assuré. Cet arrêt de travail fait suite la collusion d'un un TER reliant Charleville-Mézières à Reimset d'un convoi routier exceptionnel coincé sur un passage à niveau à Saint-Pierre-sur-Vence (Ardennes) qui a fait 11 blessés, dont le conducteur. "Ce qui est en question dans l'accident de mercredi, c'est un type de matériel et un mode d'exploitation", a-t-il détaillé. "En cas de collision frontale, avec ce type de matériel, il y a de forts risques qu'il annihile les deux systèmes d'alertes lumineux et sonores, qui sont très importants pour éviter un 'surraccident' dans l'accident"."Chaque conducteur qui utilise un certain type de matériel peut s'estimer en danger en cas de collision frontale, d'autant plus qu'il est seul à bord du train", a enchaîné le syndicaliste. "Ça correspond à un péril imminent dans la mesure où vous additionnez les difficultés et les risques". Cette solitude des conducteurs est en effet au cœur des revendications des syndicats. Lors de l'accident, "le conducteur était lui-même blessé, il a dû descendre de son train", précise Rémi Aufrère-Privel. "Nous avons demandé à la direction de remettre des contrôleurs à bord de ces trains", a-t-il ajouté. Mais, regrette-t-il, "la direction n'a pas voulu nous répondre sur ce sujet".
Alors que le trafic ferroviaire était encore très perturbé ce samedi, le Premier ministre a fustigé une "grève sauvage" à "l'impact inacceptable pour des dizaines de milliers". Il a demandé à la SNCF d'examiner toutes les suites, "y compris judiciaires", a-t-il précisé.
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Comment va être restaurée la cathédrale Notre-Dame, ravagée par le feu en avril dernier ? À l'identique, comme le souhaite l'architecte chargé de Notre-Dame lui-même, Philippe Villeneuve, ou en la soumettant à un geste architectural audacieux, comme l'a évoqué l'exécutif ? La question du projet architectural demeure totalement ouverte, a indiqué dimanche 5 janvier le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration du monument, lors d'un entretien avec CNEWS/Europe 1/Les Echos. "Nous allons, pour la flèche, définir dans les semaines qui viennent le processus précis qui va permettre de faire la consultation qui a été annoncée", a indiqué M. Georgelin. "Ceci nous conduira dans le courant de l'année 2020", a-t-il précisé. "Pour reconstruire la flèche, il faut d'abord que la charpente ait été faite, que le toit ait été refait", a-t-il poursuivi. Pour le choix du matériau de reconstruction de la charpente, "c'est un processus, pareil, il y aura étude, examen de toutes les options possibles", a-t-il dit, démentant des informations de presse affirmant que le choix ait été arrêté d'une réfection à l'identique en bois.L'incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris, chef-d'œuvre de l'art gothique construit du XIIe au XIVe siècle, a détruit sa charpente et la flèche, oeuvre de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc au XIXe siècle. Composée d'un enchevêtrement de poutres massives en chêne, plusieurs fois rénovée depuis le XIIe siècle, la charpente de la cathédrale était l'une des plus anciennes de la ville et était surnommée la "forêt"."Notre-Dame n'est pas sauvée", "elle est toujours en état de péril", a par ailleurs rappelé le général. "Aujourd'hui, ce sur quoi nous ne pouvons pas nous prononcer, c'est l'état de la voûte, il faut aller l'inspecter", a expliqué Jean-Louis Georgelin, qui s'est dit toutefois "assez confiant".La prochaine opération prévue est le démontage de l'échafaudage installé autour de la cathédrale avant l'incendie, qui doit être retiré car il présente une menace pour le bâtiment. Par la suite, un diagnostic complet permettra aux architectes de préconiser comment restaurer la cathédrale. Une fois conclus les appels d'offre, se profilera le début de la reconstruction proprement dite en 2021. Le président Emmanuel Macron a dit souhaiter que la reconstruction soit achevée en 2024, un délai jugé serré par certains.
Le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de la cathédrale, a assuré que la question du projet architectural demeurait totalement ouverte et ferait l'objet d'études et de consultations.
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La crise sanitaire traversée par le pays depuis plusieurs mois a incité les Français à la prudence concernant leur argent. Ce vendredi 4 septembre, la Banque de France a publié sa note mensuelle sur la "situation financière des ménages en France", que le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France a pu consulter. Et les chiffres parlent d'eux-mêmes : entre mars et juillet, le montant de l'épargne économisée par les Français a atteint les 85,6 milliards d'euros, un record. "C'est le montant total de l'épargne accumulé sur leurs comptes à vue, leurs livrets et comptes rémunérés une fois déduits leurs crédits. C'est un chiffre historique à l'image de la crise que nous traversons" détaille Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l'international à la Banque de France, cité par Le Parisien. "Il faut s'attendre à ce que les Français continuent d'épargner par précaution" D'après l'économiste, cette tendance devrait se poursuivre dans les mois à venir. "Compte tenu de la crise sanitaire, certains achats, comme les voyages, restent restreints et tant qu'on n'aura pas de vaccin, il faut s'attendre à ce que les Français continuent d'épargner par précaution après une période d'épargne forcée due au confinement", a ajouté Olivier Garnier. Ces chiffres ne sont pas une bonne nouvelle pour l'économie française, car chaque euro mis à la banque est un euro qui n'est pas dépensé. La Banque de France note cependant "un redémarrage d'activité dans plusieurs secteurs avec des niveaux proches de la normale, d'avant la crise", et met en avant le fait que les dépôts bancaires ont légèrement reculé en juillet (-16 milliards d'euros, contre +17 milliards en juin). Pour espérer une hausse de la consommation, l'Etat mise sur son colossal plan de relance économique, annoncé jeudi 3 septembre par Jean Castex.
Les Français n'avaient jamais autant épargné qu'au cours des derniers mois, révèle Le Parisien-Aujourd'hui en France. Selon les derniers chiffres de la Banque de France, les dépôts bancaires ont atteint 85,6 milliards d'euros entre mars et juillet.
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Le premier épisode neigeux de l'année se poursuit mercredi 23 janvier. Selon le dernier bulletin de Météo France diffusé à la mi-journée, la vigilance neige et verglas est maintenue dans les départements suivants : Ardennes, Aube, Cher, Côte-d'Or, Eure-et-Loire, Loir-et-Cher, Loiret, Marne, Nièvre, Saône-et-Loire, Paris et petite couronne (75-92-93-94), Seine-et-Marne, Yvelines, Yonne, Essonne et Val-d'Oise. L'alerte a par ailleurs été élargie à la Corse-du-Sud et la Haute-Corse.L'alerte météo a pris fin dans la matinée pour la Seine-Maritime et à la mi-journée pour l'Aisne, le Nord, l'Oise, le Pas-de-Calais et la Somme. En tout, 21 départements sont concernés par l'alerte neige et verglas. Quatre départements des Pyrénées sont, eux, toujours placés en alerte avalanches : les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, l'Ariège et la Haute-Garonne. "De nombreuses avalanches" attendues dans les Pyrénées En Île-de-France et dans le Centre, "le dégel est en place partout cet après-midi mais on attend de nouvelles gelées pour la nuit prochaine, de -1 à -3 °C, localement -4 degrés sous abri d'ici jeudi à l'aube. Ces conditions restent très propices à des phénomènes glissants par regel au sol de l'eau ou de plaques de neige durcie", note Météo France. Du Nord-Est au Rhône Alpes, "les chutes de neige faiblissent peu à peu". En Corse, "l'épisode de neige plus intense commence en début de soirée". Concernant le risque d'avalanches, il devrait atteindre un pic en fin de journée, au niveau 5, et se prolonger dans la nuit de mercredi à jeudi. "L'activité avalancheuse atteindrait alors un pic durant cette fin de journée du 23 et la nuit suivante. De nombreuses avalanches, d'abord moyennes puis grandes, parfois très grandes, pourront se produire et toucher des secteurs routiers ou infrastructures exposés, y compris à moyenne altitude".
Mercredi à la mi-journée, 25 départements français sont toujours en alerte météo. L'alerte neige et verglas a été étendue à la Corse.
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Deux avocats ont fait appel à des personnalités politiques et du monde du spectacle pour demander le retour des enfants de jihadistes retenus dans des camps en Syrie. Me Marie Dosé, l'un des trois avocats qui ont porté plainte à l'ONU contre l'État français pour le retour de ces enfants, et Me Henri Leclerc, militant à la Ligue des droits de l'homme, se sont entourés de signataires prestigieux comme Valeria Bruni Tedeschi, Daniel Cohn-Bendit, Edwy Plenel, Anny Duperey, ou encore Benoît Hamon. Ensemble, ils signent cet "appel pour le retour des enfants français détenus au Kurdistan syrien". "Actuellement, des enfants français, dont plus des deux tiers ont moins de six ans, sont détenus arbitrairement au Kurdistan syrien dans des conditions extrêmement précaires les exposant directement à un risque de mort. Ils sont une centaine ; certains sont nés en Syrie quand d'autres ont été emmenés par leurs parents ou l'un d'entre eux. Aucun n'a choisi de naître sur zone ou de rejoindre Daech. Ils sont victimes du choix des adultes. Ils sont, tout simplement, des victimes de guerre", lit-on sur le site de la pétition. Celle-ci dénonce les conditions de vie des enfants dans ces camps. "Certains sont malades et tous - profondément marqués par ce qu'ils ont vu et subi - portent les stigmates des traumatismes de guerre". De futurs enfants-soldatsLes auteurs mettent en garde les autorités français si rien est fait pour ces enfants. "Ces enfants ne deviendront des bombes à retardement que si la France persiste à refuser leurs rapatriements : en Syrie, Daech et les groupuscules terroristes n'attendent qu'une chose ; les récupérer pour mieux les former à devenir des enfants soldats et à haïr les valeurs que nous portons". Le texte demande le rapatriement des enfants en France dans les plus brefs délais. "Nous ne pouvons pas tergiverser plus longtemps, sauf à laisser périr des innocents qui demeurent, quel que soit le choix de leurs parents, nos enfants", conclut-il. Les Français contre le retour de ces enfants ? Mercredi après-midi, la pétition avait recueilli près de 3.500 signatures. "J'espère que ce sont ces voix-là qui vont être entendues", a réagi Me Marie Dosé auprès de BFMTV. Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro publié le 28 février, 67 % des Français souhaitent que les enfants de jihadistes restent en Irak et en Syrie.Les deux avocats ont déjà signé, la semaine dernière, une tribune dans Le Monde appelant les autorités françaises à rapatrier ces mineurs. Dimanche 3 mars, Me Henri Leclerc s'était indigné sur BFMTV du silence du gouvernement concernant le sort de ces enfants. "Le président tchétchène a dit qu'il fallait rapatrier les enfants, Donald Trump a fait rapatrier les enfants américains, Vladimir Poutine a fait rapatrier les enfants russes. La France, rien. Qu'est ce que c'est que cette image de la France ?", a-t-il interrogé.
Deux avocats ont lancé une pétition pour demander à l'État français de rapatrier les enfants français retenus en Syrie. Des personnalités comme Daniel Cohn-Bendit et Anny Duperey défendent le texte.
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"Si la situation épidémiologique devait à nouveau se dégrader, le port du masque pourrait devenir obligatoire sur l'ensemble de la capitale", est-il précisé. Les rassemblements et manifestations de plus de dix personnes qui ne garantiront pas le respect des mesures barrières seront par ailleurs interdits. Depuis lundi, le masque était obligatoire à Paris dans quelques zones de la ville, dont les voies sur berge.Paris a, depuis, été classée vendredi, comme les Bouches-du-Rhône, département dans lequel la circulation du virus est active. "Chaque jour, environ 600 personnes sont testées positives au Covid-19 dans la région dont 260 à Paris. Le taux de positivité s'établit aujourd'hui à 4,14% à Paris, à 3,6% en Ile-de-France contre 2,4% en moyenne nationale", selon la préfecture. Les 15-45 ans sont les plus touchés, même si les autres tranches d'âge ne sont pas épargnées.Là où le masque n'est pas obligatoire, il est recommandé de le porter lorsqu'il y a beaucoup de monde. Par ailleurs, les contrôles s'assurant du respect des gestes barrières, vont être renforcés dans les bars, restaurants et sur les terrasses. En cas de non respect de ces règles, les établissements pourraient être fermés administrativement.Les contrôles du port du masque dans les transports en communs vont également s'intensifier.Le Premier ministre Jean Castex, craignant un retour à un système de santé "sous tension", a sommé mardi les Français de se ressaisir pour éviter une reprise de l'épidémie, demandant aux préfets d'étendre leur obligation dans les espaces publics.Longtemps présenté comme "inutile" par les autorités, le masque est devenu obligatoire dans les lieux publics clos le 20 juillet.Depuis, les préfets ont été autorisés à l'imposer à l'extérieur "lorsque les circonstances locales l'exigent".De nombreuses communes l'ont déjà mis en place comme Nice, Rennes, Lille, Marseille, La Rochelle, Bordeaux, Lyon...
Le port obligatoire du masque à Paris sera étendu à partir de samedi matin 08H00 à de nombreuses zones de la capitale dont une partie des Champs-Elysées, le quartier du Louvre et celui des Batignolles, a annoncé vendredi le préfet de police de Paris.
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La famille de l'octogénaire décédée en décembre à Marseille a porté plainte pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner", a annoncé lundi 15 avril sa avocat. "Le rapport d'autopsie et les éléments médicaux montrent clairement qu'il y a un lien direct entre la grenade reçue au visage par Mme Redouane et son décès, contrairement aux allégations médiatiques du procureur de la République de Marseille", a déclaré à l'AFP l'avocat de la fille de l'octogénaire, Yacine Bouzrou.Le 2 décembre, Zineb Redouane, 80 ans, décède à l'hôpital "d'un arrêt cardiaque sur la table d'opération". A l'époque, le procureur de Marseille Xavier Tarabeux précise qu'"à ce stade, on ne peut pas établir de lien de cause à effet entre la blessure et le décès". Mme Redouane, de santé fragile, a été frappée au visage par un projectile en fermant les volets de son appartement alors que de violents incidents ont éclaté dans sa rue, le samedi 1er décembre, en marge de manifestations de Gilets jaunes, de la CGT et contre l'habitat insalubre. Des plots de grenade ont été retrouvés chez elle.Enquête en coursLe parquet a saisi l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) puis ouvert une information judiciaire "pour recherche des causes de la mort". "L'enquête menée par un juge d'instruction permettra de déterminer l'origine du décès. Les antécédents médicaux vont être analysés", a réagi lundi M. Tarabeux. "A l'issue, en fonction des différents éléments recueillis, cela déterminera l'orientation de la procédure", a poursuivi le procureur, qui souligne que lors de ses précédentes déclarations il avait bien indiqué qu'il s'agissait de premières conclusions, "à ce stade" de l'enquête. L'avocat, qui met en cause "l'impartialité de la juridiction", a également demandé la délocalisation de l'affaire. "Si elle a été conduite aux urgences et opérée, c'est bien en raison du projectile reçu", a-t-il insisté. "Nous ne comprenons pas pourquoi la personne qui a tiré cette grenade n'a toujours pas été identifiée, quatre mois après c'est scandaleux", a ajouté Me Bouzrou, alors que la vieille femme aurait confié à une voisine qu'un "agent de police l'avait visée".
Le 2 décembre 2018, Zineb Redouane était décédée à l'hôpital d'un arrêt cardiaque. L'octogénaire avait été touchée au visage par un projectile en fermant les volets de son appartement, alors que de violents incidents éclataient dans sa rue, en marge d'une manifestation des Gilets jaunes.
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La police française pourrait avoir mis la main sur un "véritable prédateur", selon les termes du Parisien. Le quotidien révèle vendredi 5 avril qu'un Français expatrié de 51 ans, a été arrêté par l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) lors de son retour sur le territoire français. Il a été mis en examen pour "viols et agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans", "détention acquisition et captation en vue de sa diffusion d'images à caractère pornographique sur un mineur", "participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un crime" et "corruption de mineur de plus de 15 ans". Il revenait de Thaïlande, où il avait eu à faire avec les autorités du pays. Jean Christophe Q, professeur de français, avait été pris en flagrant délit par la police thaïlandaise, dans un hôtel de Bangkok, le 4 février. Dans sa chambre, les policiers ont trouvé deux jeunes garçons de 13 et 14 ans ainsi que le sinistre "attirail" du touriste sexuel : pilules de viagra, caméra, et préservatifs. Les deux adolescents avaient été "recrutés" sur Facebook par Jean-Christophe Q., qui les aurait rémunéré d'une trentaine d'euros pour des relations sexuelles.Malgré les preuves flagrantes, le professeur de français est libéré après une période de détention. Pendant ce temps-là, les autorités françaises sont prévenues, et préparent "l'interception" du ressortissant, qui revient finalement en France fin mars, à Besançon, pour rendre visite à ses parents.Il est alors interpellé par les agents de l'OCRVP, qui découvrent sur son téléphone portable des dizaines de photos et vidéos le montrant avec des enfants asiatiques. Selon Le Parisien, Jean-Christophe Q. est soupçonné d'avoir abuser d'au moins cinquante enfants entre Thaïlande, Malaisie, Philippines et Inde.
Un ressortissant français a été interpellé à son retour en France, après un séjour en Thaïlande. Il est soupçonné d'avoir abusé de près de 50 enfants, dans plusieurs pays d'Asie du Sud-Est.
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En visite dans une caserne de pompiers de Paris à la mi-journée, lundi 31 décembre, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a vertement critiqué les "gilets jaunes" qui ont appelé à se mobiliser pour le réveillon du Nouvel An. "À quoi on peut s'attendre ? Au désordre, parce que manifestement, les gilets jaunes organisent ou désorganisent aujourd'hui leur mobilisation pour mettre le désordre. (...) Ce que je note, c'est la volonté de nuire des gilets jaunes qui ne sont plus dans la manifestation", a-t-il fustigé.Des "gilets jaunes" ont prévu de manifester dans plusieurs villes de France et en particulier sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris où des milliers de personnes étaient attendues pour participer aux festivités du passage à la nouvelle année. Près de 9.000 personnes indiquaient lundi matin, sur le réseau social Facebook, qu'elles comptaient participer à un "acte VIII" qui se veut "festif et non-violent" et plus de 62.000 se disaient "intéressées". Par ailleurs, un groupe baptisé "gilets jaunes citoyens" indique avoir déclaré une manifestation au rond-point des Champs-Elysées lundi soir à 20 heures.Par crainte de débordements, mais aussi pour faire face à la menace terroriste, 148.000 membres des forces de sécurité, dont 12.000 dans la capitale, ont été mobilisés. Autour des Champs-Élysées, un périmètre de protection a été instauré dès 16 heures.Selon Christophe Castaner, la force mobilisatrice des "gilets jaunes" s'est néanmoins essoufflée : ils étaient 32.000 dans toute la France samedi dernier, selon lui, contre 38.600 lors de leur "acte VI" le 22 décembre. Les violences et dégradations, ainsi que le nombre de blessés, ont aussi marqué le pas. Samedi 29 décembre, quelques heurts entre des protestataires et les forces de l'ordre ont cependant éclaté notamment à Marseille et Bordeaux. Dans le XVe arrondissement de Paris, plusieurs centaines de manifestants ont conspué les "journalistes collabos" à proximité des locaux de BFMTV et de France Télévisions.
Le ministre de l'Intérieur dénonce le "désordre" causé par les "gilets jaunes" qui veulent manifester lors du réveillon du Nouvel An.
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Après les difficultés économiques liées au confinement, place à celles liées au déconfinement. Depuis début juin, l'État ne prend plus en charge entièrement le dispositif de chômage partiel, raison pour laquelle certaines entreprises ont décidé de réduire le salaire de leurs employés. À commencer par de grandes entreprises comme le transporteur aérien Ryanair. Il a demandé à ses employés de faire un choix : un plan de licenciement d'un quart de ses effectifs ou bien la baisse de salaire de 20% pour les pilotes et 10% pour les stewards pendant cinq ans. Une perte de 300 euros par mois pour les stewards, soit 15 000 euros en cinq ans. Un "chantage" pour les syndicats, la ministre du Travail et le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, qui ont d'ores et déjà dénoncé la méthode. Situation similaire pour le quotidien sportif L'Équipe, comme le précise Midi Libre. Face à une chute drastique des ventes, la direction entend baisser les salaires, le treizième mois et les RTT "en échange d'un maintien de l'emploi jusqu'au 31/12/2024". "La direction entend profiter d'une crise conjoncturelle pour imposer une attaque inédite contre ses salariés. Faute de projet stratégique et éditorial pour un fleuron de la presse sportive, la seule solution trouvée par la direction est d'utiliser les salariés comme variable d'ajustement, dans une vision court-termiste de réduction des coûts", dénoncent les syndicats dans une lettre qu'a pu se procurer Le Monde. "C'est un chantage qui n'est pas acceptable, surtout pour une entreprise qui gagne de l'argent", s'offusque, quant à lui, Dan Perez, délégué SNJ L'Équipe auprès de franceinfo. Les APC encouragés par Muriel Pénicaud Chez le sous-traitant d'Airbus et Dassault, Derichebourg Aeronautics services, il a été proposé aux salariés d'abandonner leur indemnité de transport et de repas ainsi que leur treizième mois afin de réduire l'ampleur du plan social qui prévoit 700 suppressions de postes. Ces accords de plateforme collective (APC), mis en place par les ordonnances Travail en 2017, permettent aux entreprises de remettre en cause les dispositions inscrites dans un contrat de travail si la conjoncture venait à se dégrader. En contrepartie de baisse de salaire ou d'une réorganisation du temps de travail, ils évitent les licenciements. Muriel Pénicaud a d'ailleurs incité à utiliser ces APC, note BFM TV : "Il y a des alternatives aux licenciements. J'appelle les entreprises en difficulté à négocier des accords de performance collective, créés par les ordonnances travail. Plus de 350 ont été signés depuis leur création." Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a ajouté mercredi 3 juin qu'il est souhaitable "qu'il y ait des accords d'entreprise de longue durée qui permettent de préserver l'emploi". Quelles sont les règles ? Cependant, cette application du dispositif doit suivre la réglementation. "Cela doit être dans certains cas directement accepté par le salarié. Dans les autres cas, cela doit être négocié par accord d'entreprise ou accord de branche", explique Kevin Mention, avocat du droit du travail interrogé par Europe 1. Par exemple, pour le cas de Ryanair, "cela peut se faire", dit-il, mais "c'est au salarié de choisir", continue-t-il. Le chef d'entreprise peut demander des baisses de salaire fixe ou variable, le 13e mois, suppression de RTT, etc. Mais il faut que "l'entreprise en ait réellement besoin, que ça soit vraiment compris par les salariés, et que ces derniers en aient un retour quand l'entreprise va mieux", détaille l'avocat. Et surtout pas que "l'exception devienne la règle sur ces questions-là", met-il en avant.
Face à la crise liée au coronavirus, de nombreuses entreprises ont décidé de baisser le salaire de leurs employés grâce notamment à un dispositif légal. Tour d'horizon.
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Le nombre de cas constatés de coronavirus sur le territoire français est passé de 18 à 38 en 24 heures, a indiqué le ministre de la Santé Olivier Véran ce jeudi 27 février. "Ce soir, nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. 38 cas à 19h. Plusieurs investigations sont toujours en cours, susceptibles de faire évoluer ce bilan d'ici demain soir", a t-il déclaré en début de soirée. Coronavirus: qui sont les 12 cas regroupés dans l'Oise ?par BFMTV"Nous confirmerons dans les prochaines heures s'il existe des chaines de transmission ou des foyers identifiés pour chacune des situations. Ce soir, nous restons donc au stade d'intervention qui consiste à freiner, ralentir, retarder, limiter la diffusion du virus sur le territoire national", a t-il ajouté.Parmi les nouveaux cas détectés figurait "un regroupement de 12 cas" lié aux deux malades identifiés mercredi dans l'Oise.
Lors de son point-presse, le ministre de la Santé évoque une "augmentation sensible des cas constatés".
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Pour avoir les clés de la mairie de Barcelone, a-t-il dépassé les limites qu'il s'est lui-même fixées ? Sa ligne a toujours été sans appel : pas de "compromission avec l'extrême droite". Pourtant, plusieurs faits récents, rappelés par Le Parisien, indiquent un rapprochement envers le mouvement d'extrême droite Vox qui s'est entendu avec Ciudadanos, le parti qui soutient la candidature de Manuel Valls, le 27 décembre dernier. Le même jour, un clip de campagne est posté sur son compte Twitter. Certains y reconnaissent une jeune femme au profil gênant. Dans une autre vidéo elle apparaît insultant les indépendantistes, dont elle juge le drapeau "illégal", et chantant "l'hymne espagnol avec des paroles utilisées à l'époque de la dictature de Franco", rapporte Le Parisien. Le clip de campagne avec la femme controversée est rapidement retiré, mais le mal est fait et la presse indépendantiste comme le quotidien El Nacional s'en prend à l'ancien Premier ministre français décrit comme "désemparé, perdu, ne sachant pas où il est".En novembre dernier, Manuel Valls avait été critiqué pour sa proximité avec l'homme d'affaires catalan Josep Ramon Bosch, suspecté d'être lié à des réseaux franquistes. "C'est une polémique qui tourne en rond et qui est entretenue par les indépendantistes qui sont de toute façon anti-Valls. (...) Tout cela sont des accusations sans fondement et c'est trop facile d'associer Valls à l'extrême droite, les Barcelonais ne sont pas du tout dans cette lecture-là", tente de le défendre dans Le Parisien Jean-Marie Le Guen.
Manuel Valls serait-il prêt à faire des concessions avec l'extrême droite espagnole ?
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"Malheureusement, je peux confirmer la mort de Birol Ünel. Il est mort hier (jeudi) à Berlin des suites d'une grave maladie", a déclaré à l'AFP une porte-parole du théâtre.Birol Ünel était né en Turquie en 1961, avant d'émigrer en Allemagne avec ses parents.Il avait fait le conservatoire de Hanovre, puis multiplié les rôles dans des pièces de théâtre et à la télévision, notamment dans la célèbre série policière Tatort.Mais ce sont ses rôles dans des films du réalisateur allemand Fatih Akin qui ont assis sa renommée."Repose en paix, mon ami. Tu avais une lumière en toi qui m'a toujours ébloui", a réagi Fatih Akin sur Instagram après l'annonce du décès.Dans "Head-On", en 2004, Ünel incarne un marginal alcoolique qui accepte d'épouser une jeune Allemande d'origine turque qui veut à tout prix échapper à sa famille traditionnelle très religieuse.Il reçoit plusieurs prix d'interprétation en Europe après ce rôle tandis que le film est curonné de l'Ours d'or à la Berlinale.Akin et Ünel retravaillent ensemble en 2010 pour "Soul Kitchen", une ode au métissage qui reçoit le Grand prix du jury au festival de Venise. Ünel y incarne le cuistot irascible d'un restaurant de Hambourg.
L'acteur turco-allemand Birol Ünel, premier rôle dans les films "Soul Kitchen" et "Head-On" de Fatih Akin, est décédé à Berlin à l'âge de 59 ans, a indiqué vendredi à l'AFP le théâtre berlinois Maxim Gorki.
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La pandémie provoquée par le coronavirus a tué plus de 162.000 personnes sur le territoire américain où la courbe des contaminations est en hausse vertigineuse depuis fin juin. Le nombre des nouveaux cas enregistrés y a atteint 70.000 par jour mi-juillet. Pour soutenir les millions de ses concitoyens frappés par le chômage ou menacés d'expulsion de leur logement à cause du Covid-19, Donald Trump a dévoilé samedi soir un nouveau plan d'aide par décrets.Le nouveau bilan n'a pas découragé des milliers de motards à prendre la route du Midwest, pour participer au plus grand rassemblement annuel motocycliste du monde, où des t-shirts estampillés entre autres "J'ai survécu au corona" étaient proposés à la vente. A la deuxième place des pays les plus durement frappés, le Brésil compte officiellement plus de trois millions de personnes contaminées. Et ce chiffre, ainsi que celui des morts, sont sans doute sous-évalués selon les experts, en raison du nombre insuffisant des tests. Le président brésilien Jair Bolsonaro ne s'est pas exprimé à ce sujet: il s'est borné à un tweet mettant en valeur le nombre des malades rétablis et à célébrer une victoire de son équipe de football préférée, provoquant la colère sur les réseaux sociaux. Dans le plus grand pays d'Amérique latine qui compte 212 millions d'habitants, la pandémie a jeté une lumière crue sur les inégalités, le virus ayant fait des ravages dans les favelas et particulièrement atteint les populations noires.Ces sept derniers jours, pratiquement un décès sur deux dans le monde est survenu en Amérique latine. Les conséquences économiques sont terribles partout sur ce sous-continent. En Equateur, près de 700.000 personnes ont ainsi perdu leur travail depuis le début de l'épidémie.Dans le monde, le virus a tué près de 730.000 personnes et en a contaminé plus de 19 millions au total depuis fin décembre, selon un comptage réalisé dimanche par l'AFP à partir de sources officielles.- Chaud sous les masques -Les footballeurs ne sont pas épargnés par l'épidémie. A quatre jours de son quart de finale de Ligue des champions, deux membres de l'Atlético Madrid, dont les identités n'ont pas été révélées, ont ainsi été testés positifs au Covid-19. Ce qui jette une ombre sur la phase finale de la compétition reine des clubs, débutant mercredi à Lisbonne.Au Brésil, ce sont dix joueurs de l'équipe de Goias qui ont appris dimanche qu'ils avaient été testés positifs au coronavirus quelques heures avant un match de la première journée du Championnat qui a donc dû être reporté, à la dernière minute. En Europe, où les températures ont dépassé les 35°C dimanche dans le nord, les autorités tentent quant à elles tant bien que mal de faire respecter le port du masque et de dissuader la population de s'agglutiner sur les pelouses et les plages. Le Covid-19 a fait plus de 213.000 morts sur ce continent et donne d'inquiétants signes de redémarrage.En Belgique, l'un des pays qui comptent le plus grand nombre de décès par rapport à sa population, plusieurs villes et stations balnéaires flamandes ont annoncé dimanche l'interdiction des "touristes d'une journée" pendant la vague de chaleur, après des incidents causés par le non-respect des mesures sanitaires.A Blankenberge (nord), un groupe de jeunes a refusé de quitter la plage samedi soir. Une bagarre a éclaté entre vacanciers avant de tourner à l'émeute, rendant nécessaire l'intervention de la police.Au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Allemagne aussi, des foules en quête de fraîcheur se sont massées sur les bords de mer, ignorant souvent les distances de séparation recommandées. Les autorités locales ont averti que certaines plages du nord de l'Allemagne ainsi que de plusieurs lacs devraient fermer."Les parcs, les lacs, les plages et les piscines sont pleins à craquer. Gardez la tête froide, maintenez vos distances et portez votre masque lorsque vous ne pouvez pas éviter la proximité", a exhorté la police de Berlin sur Twitter.- "Armée de contrôleurs" -Depuis la fin du mois de juillet, le port du masque de protection quasi-généralisé dans les lieux publics clos, gagne les espaces en plein air à travers la planète.En France, il sera obligatoire en extérieur dès lundi dans certaines zones très fréquentées à Paris. Des berges de la Seine aux hauteurs de Montmartre, on ne pourra désormais en principe plus flâner à visage découvert dans les quartiers touristiques et les grandes rues commerçantes de la capitale à visage découvert.Le Malawi a également décidé d'imposer le port du masque dans l'espace public, et de fermer les bars et les églises. Le nombre des cas a presque doublé ces quatre dernières semaines dans ce pays d'Afrique australe, pour atteindre samedi un total de 4.624, dont 143 mortels. "Une armée de contrôleurs a été embauchée", pour faire respecter ces nouvelles consignes, a averti le ministre de la Justice, Chikosa Silungwe.Contrastant avec le reste du monde, la Nouvelle-Zélande connaît un quasi retour à la normale et vivait dimanche son 100e jour consécutif sans nouvelle contamination recensée. Ce pays de cinq millions d'habitants, qui a fermé ses frontières dès le 19 mars et dont l'efficacité pour contenir l'épidémie est considérée comme exemplaire par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), n'a compté que 1.219 cas et 22 décès. Sur le plan judiciaire, un collectif de passagers français du Costa Magica, un navire de croisière qui s'était vu refouler début mars de plusieurs ports des Caraïbes en raison du coronavirus, a déposé 180 plaintes à Paris contre la compagnie, notamment pour homicides involontaires. "L'ensemble des victimes veulent savoir comment cette croisière a pu être maintenue alors que le navire avait déjà été refusé dans plusieurs ports la semaine précédente", a dit l'AFP leur avocat Philippe Courtois, fustigeant les moyens "extrêmement légers" mis en place par la compagnie. "Ça devait être une croisière de rêve et ça s'est fini en calvaire, à errer sur le bateau".
Le cap des cinq millions de cas de Covid-19 a été franchi dimanche aux Etats-Unis, maintenant la première puissance mondiale en tête des pays les plus touchés, suivie du Brésil qui dépasse les 100.000 morts.
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Mission: décentralisation. La Cour des comptes vient d'émettre ses préconisations et elle recommande notamment le rattachement du mythique "36" à la Direction centrale de la police. La fin de la mainmise de la préfecture de police de Paris (PP) sur sa police judiciaire, anciennement au 36 quai des Orfèvres et aujourd'hui dans l'ouest de Paris, est l'un des objectifs affichés par le ministère de l'Intérieur depuis plusieurs mois, mais elle fait l'objet d'âpres débats.Dans un rapport publié lundi, la Cour des comptes souligne un "chevauchement des compétences" entre les services parisiens et leurs homologues de la place Beauvau et "une concurrence entre les services". Conséquence: "L'existence parallèle de ces deux directions laisserait subsister une organisation peu efficiente", assène-t-elle.Le patron de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), Jérôme Bonet, a déjà exprimé publiquement le souhait de cette fusion en mai devant la commission d'enquête sur les moyens des forces de sécurité. "En terme de communication, d'information, le partage est beaucoup moins parfait si on n'est pas sous la même autorité", avait estimé celui qui a fait l'essentiel de sa carrière de police judiciaire à la préfecture. Pour Christophe Castaner, cité dans le rapport, "les observations et recommandations que comprennent ce rapport public thématique rejoignent très largement les questions qui font actuellement l'objet d'une réflexion approfondie" dans le cadre des travaux engagés pour l'élaboration d'un livre blanc de la sécurité intérieure."Il est clair que la volonté de réformer la préfecture de police est toujours d'actualité au ministère", a abondé lundi une source proche du dossier.Un petit ministère de l'IntérieurEn juillet, le préfet Didier Lallement, nommé en mars avec une feuille de route incluant la réforme de la PP, a remis des propositions. "Le ministre en a d'ores et déjà arbitré un certains nombre dont la mise en œuvre est de nature à répondre à plusieurs préoccupations exprimées par la Cour", a fait valoir lundi la préfecture de police. Mais pas un mot sur la police judiciaire parisienne dans les réponses. Car le préfet est d'un tout autre avis puisqu'il souhaiterait en plus de conserver la police judiciaire parisienne, s'adjoindre la police judiciaire de Versailles qui couvre les départements de la grande couronne (Val d'Oise, Yvelines, Essonne, Seine-et-Marne), selon une source proche du dossier. "La préfecture de police est un petit ministère de l'Intérieur. Cela lui permet de vivre dans une relative autonomie vis-à-vis du ministère de l'Intérieur", a confié un spécialiste des arcanes de l'État. "Il n'y a pas d'équivalent en France. A Lille et Marseille, les préfets ne donnent pas un ordre directement aux policiers. Il faut réduire le caractère exceptionnel et dérogatoire de la PP par rapport au reste de la police nationale", ajoute-t-il. La Cour des comptes, qui fait 13 recommandations, pointe ainsi du doigt les pouvoirs du préfet de police "trop centralisés" pour une zone géographique étendue à la petite couronne (Val-de-Marne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis) et aux aéroports parisiens. Elle recommande donc de placer les services de police de la petite couronne directement sous l'autorité des préfets départementaux. "Soucieux d'associer pleinement les préfets des départements de petite couronne à ses décisions en matière de sécurité publique (...) le préfet de police les réunit désormais deux fois par mois afin d'en faire des acteurs essentiels de l'action sécuritaire sur la plaque parisienne", a répondu la préfecture de police.
Cette recommandation suit celle du ministère de l'Intérieur, émise il y a quelques mois.
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L'ancien président de la République François Hollande a pris vendredi la défense de Ségolène Royal, dont il est l'ex-compagnon. Il a notamment estimé qu'on avait manqué à son égard d'"élégance" et de "reconnaissance".Ségolène Royal "mérite de la reconnaissance pour ce qu'elle a fait d'abord dans les gouvernements auxquels elle a participé. Elle a été plusieurs fois ministre de l'Environnement, de l'Ecologie: c'est une femme qui a toujours eu ses opinions, qui les a toujours exprimées", a estimé François Hollande, qui participait aux Assises de la citoyenneté organisées à Rennes. "Elle s'était consacrée aux pôles parce qu'on lui avait demandé de le faire. Je pense qu'elle aurait mérité de pouvoir poursuivre sa mission (d'ambassadrice des pôles, ndlr). Je pense qu'on a manqué d'élégance, et surtout de reconnaissance", a ajouté l'ancien chef de l'Etat (2012-2017).Ségolène Royal dans le viseur de la justice et du gouvernementL'ancienne ministre socialiste, visée par une enquête préliminaire sur l'usage fait des moyens mis à sa disposition en tant qu'ambassadrice des pôles, et mise en cause par le gouvernement pour ses critiques de la politique menée, notamment la réforme de retraites, a dit jeudi avoir déjà quitté son poste d'ambassadrice.Elle avait été nommée à ce poste par Emmanuel Macron en 2017.
"Elle s'était consacrée aux pôles parce qu'on lui avait demandé de le faire", a rappelé François Hollande, le père des enfants de Ségolène Royal dans la tourmente depuis quelques semaines.
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"L'extrême droite, sous toutes ses formes, n'a pas sa place dans les cortèges syndicaux ! Elle est l'amie des puissants et l'ennemie de ceux qui se battent pour la justice sociale!", écrit le syndicat dirigé par Philippe Martinez. La CGT "ne tolérera aucune provocation, aucune utilisation abusive des médias ou réseaux sociaux pour venir soutenir la stratégie d'imposture sociale de l'extrême droite". "Elles instrumentalisent la colère sociale à des fins populistes""Du Front national aux Patriotes, en passant par différents mouvements favorables au 'Frexit', des organisations identitaires, xénophobes et racistes se travestissent en pseudo-alliés et soutiens des travailleurs en lutte", poursuit-elle. "Toutes ces organisations ne font que diviser. Elles instrumentalisent la colère sociale à des fins populistes. La 'priorité nationale' est contraire à nos valeurs, comme aux valeurs républicaines", poursuit le syndicat. Florian Philippot, l'ancien bras droit de la présidente du Front national Marine Le Pen, participera jeudi à Paris à la manifestation nationale prévue contre la réforme de la SNCF, a indiqué lundi son parti, Les Patriotes. Louis Aliot, député et vice-président du FN, a pour sa part déclaré mardi qu'il n'irait pas manifester jeudi "pour ne pas risquer la violence syndicale". "Je n'irai pas manifester parce que j'ai vu que, quand notre collègue (Sébastien) Chenu est allé manifester l'autre jour, il a été agressé violemment par les nervis de la CGT", a déclaré l'élu frontiste. Le député FN du Nord Sébastien Chenu a été bousculé par des militants de la CGT et contraint de se retrancher dans un magasin à Valenciennes lors d'une manifestation de la CGT métallurgie la semaine dernière.Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a prédit mercredi à Perpignan "une très forte mobilisation" lors des manifestations nationales - 140 prévues en France - de jeudi, estimant que "si on ne fait rien, le gouvernement ne pliera pas". Un cortège d'au moins 25.000 personnes est attendu à Paris.
"L'extrême droite n'a pas sa place ni dans les cortèges syndicaux, ni nulle part ailleurs !", a lancé la CGT ce mercredi 21 mars à la veille de la double manifestation de jeudi à Paris, où s'est déjà annoncé Florian Philippot, l'ancien bras droit de Marine Le Pen.
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La fermeture de 53 stations radios et chaînes de télévision régionales, qui diffusaient en six langues, ôte également à des millions de Philippins leur principale source d'information et de divertissement. Ce géant de la radio, de la télévision et de l'internet, opposé à la politique du président populiste Rodrigo Duterte, a été contraint de fermer ses portes après la chute de ses revenus publicitaires consécutive au non renouvellement de sa licence d'exploitation par le Congrès."C'est douloureux", reconnait M. de Guzman, à l'issue de la diffusion vendredi de son dernier journal télévisé dans la région nord de l'île de Luçon. "Vous faites votre travail de manière responsable, vous faites votre part pour changer la vie des citoyens, puis au bout du compte vous perdez votre tribune", a déplôré avec amertume, auprès de l'AFP, le présentateur depuis son studio télévisé, situé à 240 kilomètres au nord de Manille.En juillet, le Congrès philippin a voté contre la délivrance d'une nouvelle licence de 25 ans à ABS-CBN, dont la précédente avait expiré en mai. L'appel, qui avait été déposé devant la Cour suprême, a été rejeté. Le groupe audiovisuel, qui appartient à la très fortunée famille Lopez, a diffusé de manière continue depuis 1953, à l'exception de la période allant de 1972 à 1986, quand elle a été saisie par le dictateur Ferdinand Marcos, dont M. Duterte est un admirateur.Depuis son arrivée au pouvoir en 2016, le président s'en est souvent pris aux médias qui critiquent sa politique, y compris sa campagne sanglante et controversée contre le trafic de drogue.Bien qu'il ait nié toute implication dans le vote du Congrès, il s'était, par le passé, engagé à empêcher tout renouvellement de la licence ABS-CBN.Depuis la perte en mai de cette licence, le géant audiovisuel a continué à diffuser un grand nombre d'émissions d'information et de programmes populaires sur le câble et internet.Cependant, la chute d'une majeure partie de ses revenus publicitaires a contraint le groupe à réduire considérablement ses coûts.- "Jour très sombre" -"Malheureusement, les revenus publicitaires (en provenance du numérique) ne sont pas aussi importants que ceux en provenance de la diffusion, donc c'est désormais là que se situe le défi", estime Regina Reyes, directrice de l'information d'ABS-CBN.Après la fermeture vendredi de nombreuses chaînes régionales, la plupart du réseau cessera d'émettre lundi. Nombre de ses journalistes et animateurs vedettes sont contraints de quitter leur fonctions et des milliers d'emplois sont menacés.Depuis des décennies, ABS-CBN qui dispose d'un vaste réseau à travers l'archipel, a joué un rôle essentiel dans la diffusion d'informations, notamment concernant les catastrophes naturelles, comme les typhons, les séismes ou l'actuelle épidémie de coronavirus. Pour beaucoup d'habitants, notamment les plus isolées qui ont peu ou pas accès à internet, elle est leur unique source d'information.Ainsi, dans certaines régions, les pêcheurs se fient à ces informations pour savoir si les conditions météorologiques permettent de sortir en mer, affirme Mme Reyes."Tout le monde n'a pas accès à internet, à la radio ou aux journaux", souligne Micaella Ilao, journaliste pour la télévision à Baguio, au nord de Manille."La suppression (de la diffusion télévisée) prive la population d'informations fiables", souligne-t-elle.L'Association des correspondants étrangers des Philippines a qualifié la fermeture des chaînes régionales d'ABS-CBN de "jour très sombre pour les médias indépendants" dans le pays, placé au 136e rang sur 180 dans le classement de l'organisation Reporters sans frontières."C'est une tragédie nationale qui est évitable, infligée par ceux-là même qui devraient protéger les Philippins de toute adversité", a-t-elle déclaré.ABS-CBN peut se pourvoir à nouveau en appel mais ce dernier ne pourra aboutir que si des membres du Congrès, contrôlé par les partisans du président, changent d'avis.En attendant, les salariés pleurent la disparition de leur média."Ce n'est pas seulement une chaîne... c'est une relation, une connexion qui a été perdue", souligne Stanley Palisada, qui était à la tête du groupe d'information régional."Vous devenez le moyen de communication privilégié utilisé par les gens (..) pour se plaindre, pour demander de l'aide, pour atteindre les fonctionnaires et les (services) gouvernementaux qui peuvent résoudre leurs problèmes".
Comme des centaines de journalistes philippins du géant audiovisuel ABS-CBN, Dhobie de Guzman, présentateur vedette d'un journal télévisé régional, se retrouve privé d'antenne, son groupe très critique envers le pouvoir ayant perdu sa licence d'exploitation.
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"Pour 2019, c'est un budget de 120 millions géré par l'Assurance Maladie qui vient renforcer la mobilisation contre les addictions", a indiqué le ministère de la Santé. Ce fonds de lutte contre les addictions liées aux substances psychoactives a été créé par la loi de financement de la sécurité sociale de décembre 2018, et son cadre fixé par un décret daté du 21 juin dernier.Il remplace le fonds de lutte contre le tabac et bénéficie de nouvelles ressources issues des amendes forfaitaires sanctionnant la consommation de cannabis. Ce nouveau fonds "permet de renforcer et de poursuivre des programmes dédiés à la lutte contre le tabac et de déployer des actions de santé publique portant également sur les autres addictions, notamment l'alcool et le cannabis", a indiqué le ministère de la Santé.Selon le ministère, son budget se découpe ainsi: plus de 46 millions investis dans l'aide à l'arrêt du tabac, 32 millions pour soutenir des projets en régions, près de 18 millions pour les projets nationaux de la société civile, plus de 13 millions investis dans la recherche et 11 millions pour la mise en place de nouvelles campagnes de marketing social. "Les conduites addictives demeurent un problème majeur de société et de santé publique", a souligné le ministère. "Chaque année en France le tabac tue 75 000 personnes, l'alcool 41 000 personnes et les drogues illicites 1 600. Le tabac et l'alcool sont les premiers facteurs de risque de mortalité évitable", a-t-il poursuivi. "Aujourd'hui 11,5 millions de Français fument quotidiennement, 10,6 millions ont une consommation d'alcool au-delà des nouveaux repères de consommation à moindre risque" et "25% des usagers de cannabis présentent un risque élevé d'usage problématique, soit plus d'1 million de personnes", a ajouté le ministère de la Santé. En octobre, des médecins addictologues avaient réclamé que l'alcool participe davantage au financement de ce fonds, via des taxes plus importantes.
Le fonds de lutte contre les addictions, qui succède au fonds de lutte contre le tabac, a été mis en place mardi.
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Elle n'en a pas cru ses yeux. Lundi 27 avril, peu après 21h30, la propriétaire d'une péniche, qu'elle avait amarrée à Fronsac, près de Libourne (Gironde), aperçoit sa maison flottante s'éloigner du port.Elle prévient alors les gendarmes, leur indiquant "avoir vu un individu monter à bord, couper les amarres et naviguer sur la Dordogne en direction de Libourne", raconte les militaires à France 3.Les autorités déploient immédiatement des moyens terrestres et fluviaux. En vain. La péniche semble s'être volatilisée. Ce n'est que le lendemain que le bateau est finalement retrouvé. Problème : si la péniche est découverte non loin du port, celle-ci est envasée. Sur place, les forces de l'ordre ne trouve personne. Vide de tout habitant, l'embarcation n'en est pas moins en désordre.Deux jours plus tard, un homme est interpellé et reconnaît être le voleur. "Il avait voulu rentrer chez lui en péniche, a-t-il expliqué aux gendarmes, après avoir été victime d'une crevaison à vélo". "Sous l'emprise de l'alcool aux moments des faits, il n'a pas réussi à manœuvrer et a fini par s'échouer", ont-ils ajouté à France 3. L'homme sera jugé en septembre.Ce vol rappelle celui que rapportait en janvier le journal L'Union. Une péniche stationnée sur l'Aisne à la halte fluviale de Soissons avait été retrouvé deux jours plus tard coincée dans le barrage de Fontenoy, à plus de 10 km de là. Les Voies navigables de France étaient intervenues afin que le bateau n'endommage pas le barrage, constitué de boudins gonflables. La péniche a été retrouvée sans personne à la barre, mais il ne pouvait s'agir que d'un vol.
En Gironde, une péniche a été volée lundi 27 avril alors qu'elle était amarrée. Elle a été retrouvée le lendemain tout près du lieu du méfait.
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Entre le gel des dotations, les économies de fonctionnement exigées et les suppressions de postes imposées, les collectivités locales sont vent debout contre l'exécutif. En juillet dernier, trois grandes associations d'élus - Régions de France, l'Assemblée des départements (ADF) et l'Association des maires de France (AMF) -, ont boycotté la Conférence nationale des territoires (CNT) pour protester contre ce qu'ils considèrent comme "une recentralisation massive" amorcée dès le début du quinquennat.Les maires ruraux sont également très en colère et prévoient des actions pour protester, prévient ce jeudi 11 octobre Yvan Lubraneski, le président des maires ruraux de l'Essonne, au micro d'Europe 1. "On s'était un petit peu calmés pendant un an face au rouleau-compresseur de l'État, qui depuis de nombreuses années affaiblit les communes, alors qu'elles sont une vraie richesse pour notre pays... On a tout simplement décidé de passer à l'action", explique ce maire sans étiquette des Molières (2.000 habitants), qui parle également au nom de l'Association des maires ruraux de France. Pas moins de 10.000 maires de communes rurales ont en effet prévu de ne pas transmettre à la préfecture les résultats des élections européennes de mai 2019. "Normalement, chaque maire prend sa voiture et va à la gendarmerie la plus proche avec son enveloppe. Là, ce sera à l'État de prendre sa voiture", précise M. Lubraneski. Cela ne "nuira pas au citoyen", assure-t-il néanmoins. Les bureaux de vote seront bien tenus, les résultats proclamés, puis affichés, mais pas transmis. Cette action n'est que la première d'une série. "Il y'en aura d'autres", promet l'édile.
Au micro d'Europe 1, Yvan Lubraneski, le président des maires ruraux de l'Essonne, a promis ce jeudi 11 octobre que cette action coup de poing contre l'État ne "nuira pas au citoyen".
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"Imposer pour ne pas reconfiner". Alors que le port du masque est obligatoire dans les lieux clos accueillant du public partout en France depuis le 20 juillet, certaines communes ont également décidé de l'imposer à l'extérieur, dans les zones très fréquentées, en raison d'une recrudescence des cas de Covid-19, Dans le NordLe préfet du Nord a ainsi annoncé vendredi soir que le port du masque serait obligatoire dans l'espace public à partir de lundi 3 août dans "un certain nombre de zones" de la métropole européenne de Lille. Dans la métropole lilloise, qui compte 95 communes regroupant 1,2 million d'habitants, les autorités constatent en effet une progression "inquiétante" de l'épidémie : le taux d'incidence a presque doublé en une semaine, atteignant désormais 31 personnes contaminées pour 100.000 habitants. Dans le "cœur de la métropole" ce taux se situe même "autour de 40, encore plus proche du seuil d'alerte", fixé à 50.Sont concernées par ces dispositions des artères à forte affluence comme les rues du centre-ville et du Vieux-Lille, essentiellement autour de la cathédrale de la Treille. La préfecture a également ciblé les zones piétonnes, comme les berges de la Deûle, ou encore les jardins publics comme le parc de la Citadelle. Les espaces ouverts ou semi-ouverts comme les marchés en plein air, les centres commerciaux et leurs parkings, ainsi que les infrastructures de transports (arrêt de bus et de tramway compris) sont également concernés par ces mesures. Tout contrevenant s'expose à une contravention de 135 euros.En MayenneLe masque est également obligatoire à compter de lundi dans les lieux publics de 69 communes de la Mayenne, département où les indicateurs "confirment la circulation active du virus", a fait savoir samedi la préfecture de Mayenne.Le port du masque est imposé dans ces 69 communes "dans tous les lieux publics (voie publique, espaces publics de plein air) à l'intérieur du périmètre délimité par les panneaux d'entrée et de sortie des villes concernées". Il s'agit notamment des "communes de Laval Agglomération, de la communauté de communes du Pays de Château-Gontier, de la communauté de communes de l'Ernée ainsi que des communes de Mayenne, Evron, Craon et Renazé, secteurs plus particulièrement affectés par le virus"."Si tous les Mayennais se mobilisent et respectent les consignes, les indicateurs sanitaires évolueront dans le bon sens. Ce combat est donc l'affaire de tous", a insisté le préfet Jean-François Treffel dans un communiqué. A NiceFace à une augmentation des patients atteints du Covid-19 dans le département des Alpes-Maritimes, le maire de Nice Christian Estrosi a demandé vendredi à la préfecture de prendre un arrêté afin d'imposer le port du masque dans sa ville. "Le cas échéant je prendrai un arrêté municipal pour l'imposer dès ce lundi", avait-il prévenu sur Twitter.Chose promise, chose due. Selon Nice-Matin, à partir de ce lundi, le port du masque est imposé dans certains quartiers de Nice. Le périmètre exact de cette obligation sera détaillé ce jour lors d'une conférence de presse. Pour le quotidien régional, le centre-ville ainsi que la Promenade des Anglais devraient être concernés. Les contrevenants s'exposent à une amende de 35 euros. L'édile Les Républicains avait déjà tenté en mai dernier de généraliser le port du masque en extérieur, avant d'y renoncer à cause de deux recours devant le tribunal administratif, rappelle Nice-Matin.Dans le CentreA Tours (Indre-et-Loire), le port du masque sera obligatoire entre 18h et 6h du matin dans un périmètre comprenant le Vieux-Tours ou encore les bords de la Loire. A Orléans (Loiret), il est obligatoire sur les quais de Loire, le soir et la nuit (de 21h à 6h), et sur tous les marchés brocantes et vide-greniers, depuis vendredi 31 juillet.Dans le Sud-OuestLe port du masque est également obligatoire à partir de lundi à Biarritz et à Bayonne (Pyrénées-Atlantique). A Biarritz, cela inclura la zone hyper-touristique de l'Hôtel du Palais et de la plage de Port-Vieux. De plus, à partir de mardi, les plages seront fermées de 22H00 à 06H00, heures auxquelles elles sont actuellement très fréquentées par des jeunes venus y faire la fête. La mairie par ailleurs ne s'interdit pas de fermer la plage ponctuellement en journée, en cas de marée haute qui limiterait la place sur le sable et conduirait à une trop forte densité de baigneurs.En BretagneA Perros-Guirec (Côtes d'Armor), le masque est obligatoire dans les secteurs "littoraux et commerçants" de 10h à 19h, depuis vendredi. A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), l'obligation est en vigueur depuis jeudi 30 juillet.
En Mayenne, à Lille, Biarritz, Nice... Pour limiter la propagation du coronavirus, de nombreuses communes françaises imposent désormais le masque aussi à l'extérieur dans les zones de forte affluence.
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Emmanuel Macron devait présider en visioconférence un double conseil de défense mardi 11 août, le premier consacré à la situation au Niger après la mort de plusieurs ressortissants français dans une attaque, et le second à la crise sanitaire du coronavirus. Plusieurs membres du gouvernement participeront à la réunion sur le Niger, prévue à 11h. Selon des sources officielles nigériennes, huit personnes dont six Français ont été tués par des hommes armés dans le sud-ouest du pays. Ce conseil de défense devait se tenir "sous l'autorité du président de la République et sur la base des informations qui seront transmises par les autorités nigériennes et françaises", selon l'Elysée.Emmanuel Macron et son homologue nigérien Mahamadou Issoufou ont affirmé leur détermination à "élucider" rapidement "les circonstances de cet attentat meurtrier" et à poursuivre la lutte en commun contre les groupes terroristes au Sahel". Plus de 4.500 soldats français y sont déployés dans le cadre de l'opération Barkhane.Sur le plan sanitaire, une rentrée à risquesPrévu dans la foulée de cette réunion, le chef de l'Etat présidera, toujours depuis le fort de Brégançon, à Borme-les-Mimosas (Var), où il est en vacances, le conseil de défense sur le Covid-19. Il en avait annoncé jeudi la tenue en se disant "vigilant et mobilisé avec nos scientifiques, avec les membres du gouvernement et nos soignants" pour faire face à l'augmentation du nombre de personnes diagnostiquées positives.Le Conseil scientifique, qui guide le gouvernement dans la lutte contre le Covid-19, a prévenu la semaine dernière que la France n'était pas à l'abri d'une reprise incontrôlée de l'épidémie, et exhorté les Français à respecter les mesures barrières. Plusieurs villes ou métropoles, comme Paris et sa banlieue, ont décrété le port du masque obligatoire dans certains lieux publics ouverts.
L'actualité tragique au Sahel pousse l'exécutif à s'adapter, pendant que les cas de Covid-19 observent un rebond préoccupant sur le territoire national.
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Cédric Herrou a été entendu. Le Conseil constitutionnel a affirmé, vendredi 6 juillet, qu'une aide désintéressée au "séjour irrégulier" des étrangers ne pouvait pas être sanctionnée, au nom du "principe de fraternité". Les Sages ont donc donné raison à Cédric Herrou, cet agriculteur condamné pour avoir aidé des migrants à la frontière franco-italienne, qui réclamait l'abolition du "délit de solidarité". Avec ce "principe de fraternité", le Conseil constitutionnel rappelle que "la devise de la République est 'liberté, égalité, fraternité'". "Il découle du principe de fraternité la liberté d'aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national", selon le texte de la décision des Sages."Je ne peux que me réjouir de cette décision"Cette décision a immédiatement fait réagir. À l'image de Gérard Collomb, le ministre de l'Intérieur qui a salué cette décision, tout en estimant qu'il serait disproportionné d'étendre les exemptions existantes "à l'entrée irrégulière sur le territoire français". Il a expliqué que le Conseil constitutionnel fera la distinction entre une aide apportée ponctuellement aux réfugiés et celle donnée en vue d'une installation définitive dans le pays. Cédric Villani, député de la République en marche, qui avait co-signé un amendement de suppression du délit de solidarité, s'est, lui aussi, réjoui. Du côté de la gauche, les élus se sont félicités de la décision prise par les Sages. "Quelle belle victoire. Il y a encore quelques beaux principes dans notre pays", a déclaré sur Twitter Ian Brossat, chef de file des communistes aux Européennes et adjoint à la maire de Paris. "Magistral! Une grande victoire pour tous les humanistes", s'est, lui, félicité, Julien Bayou, le porte-parole d'Europe Écologie Les Verts.Eric Piolle, le maire écologiste de Grenoble qui a accueilli plusieurs migrants, a salué une "victoire". Olivier Faure, le Premier secrétaire du Parti socialiste, a lui aussi réagi, avancant qu'il "serait temps que la majorité se réveille". Génération.s, le mouvement fondé par Bznoît Hamon, évoque "une belle nouvelle à l'heure où la solidarité est mise à mal". "Le moment est venu de mettre un terme à ces dérives"La situation est tout autre pour les députés des Républicains Eric Ciotti et Guillaume Larrivé. Dans un communiqué, publié en commun vendredi 6 juillet, les deux élus considèrent que "la décision que vient de rendre le Conseil constitutionnel [...] n'est pas acceptable. Le moment est venu de mettre un terme à ces dérives". "C'est un encouragement politique pour ceux qui pensent que la République française n'a pas le droit de prendre des mesures énergiques afin de protéger les frontières nationales", ont déclaré les deux députés qui ont annoncé qu'ils déposeraient un amendement au projet de révision de la Constitution, afin de pouvoir revenir sur le dispositif. Même son de cloche chez le Rassemblement national (ex-FN) qui a jugé la décision des Sages était une "atteinte à l'intégrité de la Nation" et encourageait "l'immigration de masse". Le parti dirigé par Marine Le Pen a qualifié cette mesure de "nouveau soutien aux trafiquants d'êtres humains en tout genre". Comme les Républicains, le Rassemblement national a d'ores et déjà annoncé qu'il tentera de revenir sur cette décision.
RÉACTIONS. Les Républicains et le Rassemblement national (ex-FN) ont déjà annoncé qu'ils déposeront un amendement afin de pouvoir revenir sur le dispositif.
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La France prépare son déconfinement progressif, alors que la pandémie de Covid-19 continue de sévir aux quatre coins du monde. Aux Etats-Unis, malgré des bilans quotidiens toujours lourds, les Etats fédérés avancent dans la levée des mesures de restriction. Le bilan se chiffre désormais à plus 64.700 morts outre-Atlantique, contre près de 25.000 en France. Interrogée sur la gestion de crise de Donald Trump, Marine Le Pen a renvoyé les cas français et américain dos à dos. "Je pense que Donald Trump a commis un certain nombre d'erreurs lourdes, exactement comme le gouvernement français", a t-elle commenté, à l'antenne de BFMTV, dimanche 3 mai. Il "a mis en place cette idée folle de l'immunisation collective, ça a été le cas aussi du gouvernement français. Début mars, on nous explique par la voix d'Olivier Véran ou Sibeth Ndiaye que lorsqu'on arrivera au stade 3 de l'épidémie, ce sera plus la peine de confiner personne. Donald Trump, il a été dans cet état d'esprit là", avance t-elle."Il n'y a qu'une différence, c'est que les Etats-Unis sont un pays fédéral. Donald Trump peut donner des grandes directions mais la maîtrise de l'épidémie dépend de chaque gouverneur, un peu comme en Italie", a t-elle encore ajouté. Relancée sur l'affaire des recommandations controversées de Donald Trump sur l'utilisation de désinfectant, Marine Le Pen a déploré en réponse d'autres "fake news", qui viendrait cette fois de l'équipe d'Edouard Philippe. "On a eu un grand nombre de fake news énoncées par les ministres, mais on n'a pas eu celle là, je vous l'accorde".
La présidente du Rassemblement national a dressé un parallèle entre les gestions de crise en France et aux Etats-Unis, où l'épidémie de Covid-19 a déjà fait plus de 64.000 morts.
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Le chiffre pourrait donner de l'espoir aux usagers de la RATP : 15 lignes de métro ouvertes sur 16. Mais la direction est venue nuancer ce vent d'optimisme jeudi 2 janvier : certaines de ces lignes ne seront ouvertes que "très partiellement" et uniquement aux heures de pointe. Le trafic RATP sera donc encore "très perturbé", au 30e jour de la grève contre la réforme des retraites. Comme depuis plusieurs jours, seule la circulation des lignes automatisées 1 et 14 sera normale dans le métro, et le trafic des RER A et B restera très perturbé, a annoncé la Régie. Pour se déplacer, les usagers devront se tourner vers des alternatives. La circulation des tramways sera "normale" toute la journée sur l'ensemble des lignes, et trois bus sur quatre en moyenne circuleront, a assuré la RATP dans un communiqué.
Au 30e jour de grève, le trafic s'annonce encore très perturbé vendredi 3 janvier en région parisienne.
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Chaque semaine entraîne son lot de confidences à propose de Johnny Hallyday. Sans doute toujours attristés par sa mort, ses amis livrent dans la presse leurs anecdotes sur l'icône de la musique française. Après Eddy Mitchell dernièrement, c'est cette fois-ci le publicitaire Cyril Laffiteau qui livre une confidence. Pour France Dimanche, ce dernier explique que Johnny était claustrophobe, ce qui était un problème, notamment lorsqu'il devait aller au cinéma.
Cyril Laffiteau, publicitaire et proche de l'idole des jeunes, a livré ses confidences à France Dimanche.
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Cette somme, l'une des plus importantes jamais accordées à des proches de victimes de la police, reflète l'émoi causé dans tous les Etats-Unis par ce dossier devenu emblématique du mouvement "Black Lives Matter ("les vies noires comptent")."Aujourd'hui est un jour important en direction de la justice pour Breonna. Mais ce n'est que le début", a commenté sa mère Tamika Palmer lors d'une conférence de presse. Le visage couvert par un masque arborant une photo de sa fille, elle a réclamé avec une émotion difficilement contenue l'inculpation des agents impliqués dans le drame, qui restent en liberté six mois après la mort de la jeune femme.L'accord à l'amiable met en effet un terme à la procédure au civil mais pas à l'enquête pénale. "Nous exigeons que le procureur général du Kentucky, Daniel Cameron, annonce immédiatement des mises en accusation" dans ce dossier, a renchéri Ben Crump, l'avocat de Mme Taylor.En attendant, il s'est réjoui de cet accord d'un montant "historique", l'un des plus élevés après les 16 millions de dollars que la ville de Chicago a accepté de payer en 2018 aux proches de Bettie Jones, une femme noire de 55 ans abattue par des policiers à qui elle avait ouvert la porte pour les aider à arrêter un de ses voisins."Mais les réformes globales de la police sont tout aussi importantes, elles créent un exemple", a ajouté Me Crump.- "Tragédie" -Celles-ci prévoient un meilleur encadrement des mandats d'arrêt, la mise en place d'un système recensant les plaintes contre les agents, l'inclusion de travailleurs sociaux dans les rangs des policiers ou encore des incitations financières pour qu'ils s'installent dans les quartiers défavorisés, a précisé le maire démocrate de Louisville Greg Fischer.Pour lui, il s'agit d'éviter qu'une telle "tragédie puisse se reproduire".Breonna Taylor, une infirmière de 26 ans, a été abattue en pleine nuit, le 13 mars, à son domicile quand trois policiers s'y sont présentés munis d'un mandat d'arrêt dit "no knock" qui leur permet d'entrer chez un suspect sans s'annoncer. Les agents enquêtaient sur un trafic de drogues impliquant l'ancien petit ami de la jeune femme.A leur arrivée, son nouveau compagnon avait ouvert le feu avec une arme détenue légalement. Les agents ont riposté et Breonna Taylor a reçu plusieurs balles. Il a ensuite expliqué que les agents ne s'étaient pas annoncés et qu'il avait cru avoir affaire à un cambrioleur. Eux assurent s'être présentés avant d'entrer.Les avocats de la famille Taylor avaient déposé une plainte au civil en avril pour obtenir réparation, arguant que le mandat des policiers était erroné, que les agents avaient tiré à l'aveugle sans faire preuve de la mesure nécessaire, et qu'ils avaient tardé à porter assistance à la jeune femme.Sa mort n'avait pas attiré beaucoup d'attention dans un premier temps, mais est revenue sur le devant de la scène dans le cadre des grandes manifestations antiracistes qui traversent les Etats-Unis depuis la mort de George Floyd, un quadragénaire noir étouffé par un policer blanc à Minneapolis le 25 mai.Face à la mobilisation, les autorités de Louisville ont licencié l'un des agents, Brett Hankison, et mis ses deux collègues à pied. La ville a également banni les mandats "no knock". En l'attente d'une décision judiciaire le climat reste toutefois tendu sur place, d'autant que des milices armées, censées "empêcher" les actes de vandalisme, se sont déployées à plusieurs reprises dans la ville, notamment lors d'une célèbre course équestre, le Kentucky Derby le 5 septembre.
Douze millions de dollars et des réformes de la police locale: la famille de Breonna Taylor, une Américaine noire tuée chez elle par la police, a annoncé mardi avoir renoncé à une plainte au civil dans le cadre d'un accord "historique" avec la mairie de Louisville.
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De retour de Nouakchott dans la nuit, le chef de l'Etat poursuit ses consultations en vue du remaniement, sans laisser filtrer ses intentions, même auprès de son Premier ministre Edouard Philippe dont le sort est en suspens. Sa décision n'est pas encore prise, selon ses proches, et son verdict devrait tomber d'ici le début de la semaine prochaine, peut-être dès ce jeudi ou ce vendredi.En annonçant lundi de nouvelles ambitions pour la transition écologique, après avoir promis mi-juin une politique plus sociale ou en suggérant d'appliquer à d'autre sujets la méthode de la Convention citoyenne avec des citoyens tirés au sort, le chef de l'Etat a dessiné un virage qui pourrait être incompatible avec Edouard Philippe. Ce dernier bénéficie d'une popularité en hausse, d'une nette victoire aux municipales au Havre et continue à jouer un rôle-clé dans la conquête de l'électorat de centre-droit. Mais les sujets de dissensions avec le chef de l'Etat demeurent, notamment les aspects financiers de la réforme des retraites. Emmanuel Macron a ainsi dit vouloir redémarrer la réforme mais peut-être sans l'âge pivot, défendu avec acharnement par le chef du gouvernement avant la crise du Covid-19.D'autant qu'Emmanuel Macron souhaite aussi, selon ses proches, reprendre lui-même plus étroitement les rênes de l'exécutif, après avoir laissé Edouard Philippe en première ligne ces derniers mois sur la réforme des retraites ou le déconfinement. De nombreux noms circulent pour le remplacer à Matignon, comme Michel Barnier, le négociateur du Brexit, le haut fonctionnaire Jean Castex, l'ancien ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo, ou encore la ministre des Armées Florence Parly, qui a l'avantage de connaître déjà la machine gouvernementale et d'être passée par Bercy et par le privé, ou la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse.L'Elysée n'a pas publié son agenda pour le reste de la semaine ni confirmé un rendez-vous avec Edouard Philippe évoqué par des médias. Un conseil des ministres devrait avoir lieu vendredi.
Emmanuel Macron est en train "d'arrêter la ligne" de la suite de son quinquennat et "le casting suivra logiquement et naturellement" pour le remaniement de grande ampleur prévu dans les jours qui viennent, selon son entourage mercredi.
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Les syndicats cherchent à "interpeller les parlementaires". Deux mois après le début des contestations contre la réforme des retraites, le mouvement continue ce jeudi 6 février. Des manifestations et des perturbations dans les transports sont prévus alors que le projet de loi est examiné depuis le 3 février en commission à l'Assemblée nationale. Grève contre la réforme des retraites : quels sont les montants des cagnottes pour les grévistes ?par BFMTVDes manifestations prévues dans plusieurs grandes villesLe 29 janvier, date de la dernière mobilisation, 108 000 personnes avaient défilé en France, selon l'intersyndicale. Un chiffre en nette baisse comparé aux sept journées nationales de mobilisation précédentes. Ce jeudi, le défilé parisien s'élancera à 13h30 depuis la Gare l'Est, dans le 10e arrondissement de la capitale, jusqu'à la place de la Nation. A Lyon, les manifestants sont attendus à 11h30 à la Manufacture des Tabac pour rejoindre la place Bellecour. Les Bordelais sont se donneront rendez-vous à la même heure place de la Bourse. A Marseille, le cortège partira à 10h30 porte d'Aix, tandis que les Toulousains partiront à 10 heures de la place Saint-Cyprien, recense BFM. A Strasbourg le rendez-vous est donné à 10 heures place de la Bourse, à Lille à 14h30 à la Porte de Paris et à Nantes à 15 heures au Miroir d'eau. Trafic normal en Île-de-France, et perturbé en régionsOutre les stations de métro fermées sur le trajet du cortège parisien, le trafic sera normal sur le réseau francilien. RTL ajoute que le trafic des lignes D,H; J et K des transiliens seront perturbées avec 2 trains sur 3 en circulation. C'est en PACA que des perturbations sont à prévoir : les trois lignes de tramway ne fonctionneront pas à Nice toute la journée. Les lignes de bus devraient elles aussi être perturbées, mais dans une moindre mesure, précisent nos confrères de RTL. Les contrôleurs aériens en grève L'USAC-CGT, un des principaux syndicats de contrôleurs aériens a appelé tous ses agents à la grève ce jeudi, ainsi que "les nuits en amont et aval". Ainsi, Air France annonce que "des perturbations sont possibles sur le programme de vols longs-courriers". D'autres professions sont toujours en grève depuis le début de la mobilisation. C'est le cas des avocats, des enseignants et du personnel des hôpitaux et de la fonction publique.
Une nouvelle journée de mobilisation est prévue jeudi 6 février contre la réforme des retraites. Perturbations dans les transports et défilés dans les grandes villes sont attendus.
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C'est un braquage dont s'est délectée la toile. Vendredi 27 décembre, vers 22 heures, deux hommes font irruption dans un restaurant McDonald's de Meyzieu, dans le Rhône. Cagoulés et vêtus de noir, ils décident de faire main basse sur la caisse du fast-food, rapporte le quotidien Le Progrès. Selon un témoin, l'un des deux hommes menaçait le personnel avec une arme de poing. Plusieurs clients ont filmé la scène avant de la relayer sur les réseaux sociaux.Les hashtags #Rayan et #Mcdo en TTSur les images, on peut apercevoir des employés presque impassibles face à l'agitation des braqueurs. Mais ce qui a suscité l'hilarité des internautes, c'est l'erreur de débutant commise par l'un des individus. En tentant péniblement de détacher la caisse de son tiroir, un homme en sweat-shirt somme son complice de l'aider en criant : "Viens là Rayan !" L'amateurisme des deux comparses a vite faire le tour de la toile, notamment sur Twitter où de nombreux détournements et parodies ont été partagés. Samedi 28 décembre, les hashtags #Rayan et #Mcdo se sont même retrouvés en TT (Trending Topics ou Top Tendance en français).D'après leur voix et leur allure, les deux individus, seraient plutôt jeunes. Ils ont pris la fuite avec le butin et n'ont toujours pas été retrouvés. "Ce sont sûrement des jeunes du quartier, ils s'en prennent rarement aux clients, ils savent ce qu'ils veulent. De toute façon, ici tout le monde paie par carte bancaire, ils n'ont pas dû récupérer grand-chose à part les fonds de caisse", a confié une cliente au Progrès. Ce restaurant McDonald's de Meyzieu avait déjà été la cible de malfaiteurs ; au lendemain des faits, il a rouvert ses portes. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale du Rhône et le montant du butin n'a toujours pas été communiqué.
Le braquage d'un restaurant McDonald's près de Lyon vendredi 27 décembre a suscité l'hilarité des internautes. Alors qu'il tentait de s'emparer de la caisse, l'un des malfrats a prononcé le nom de son complice.
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Fragilisé par la crise liée à l'épidémie de Covid-19, l'avionneur européen a annoncé mardi 30 juin la suppression d'environ 15.000 postes, soit 11% de ses effectifs, dont le tiers en France. Ce jeudi, ce plan social se précise avec la suppression annoncée d'un peu plus de 3.500 postes à Toulouse, dont 2.398 à la production, 980 au siège et plus de 200 dans des filiales de la ville, a indiqué à la presse le responsable syndical FO Jean-François Knepper. Pour la production, 386 postes sont aussi visés à Saint-Nazaire et 484 à Nantes. La filiale Stelia, implantée à Rochefort, Mérignac, Méaulte et Saint-Nazaire, doit aussi perdre plusieurs centaines de postes, a précisé M. Knepper, rendant compte de l'information communiquée aux syndicats par la direction du groupe."Nous allons vers un cataclysme social à l'automne", a mis en garde M. Knepper, dont le syndicat est le premier de l'avionneur. "Comment l'Etat peut-il accepter autant de licenciements?", a-t-il demandé. Les syndicats vont "maintenant s'asseoir à la table des négociations (...) On commence lundi matin et on est parti pour quatre mois", a-t-il prévenu.M. Knepper a rappelé que l'objectif des syndicats, qui estiment que la crise est conjoncturelle, reste "zéro licenciement sec". Toulouse, où Airbus et ses filiales emploient près de 30.000 salariés, "est la capitale de l'aéronautique, quand l'orage arrive, Toulouse est plus mouillée que les autres" mais "ce n'est pas une raison pour justifier tout et n'importe quoi", a-t-il ajouté. A l'annonce du plan social d'Airbus, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait jugé son ampleur "excessive". "Nous attendons d'Airbus qu'il utilise pleinement les instruments mis en place par le gouvernement pour réduire le nombre de suppressions", avait prévenu Bercy dans un communiqué.Au moins 1.500 emplois sauvésSur Franceinfo, mercredi, Thierry Baril, le directeur des ressources humaines d'Airbus a annoncé qu'environ 1.500 postes pourraient être sauvés en France. "On aura sans doute les moyens de réduire ce chiffre au travers du dispositif sur lequel l'Etat nous aide, notamment grâce au dispositif de chômage partiel de longue durée", a indiqué Thierry Baril.Les dispositifs d'aide de l'Etat devraient permettre de "sauver" 2.000 emplois, a pour sa part avancé mercredi le secrétaire d'Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, en comptant l'investissement dans la nouvelle génération d'avions verts. Il a en revanche estimé que les licenciements secs ne pourraient pas forcément être évités. "Je ne sais pas dire comment les Français et les Européens vont revoyager, s'ils vont revoyager loin, si la clientèle d'affaires va revenir dans les avions. Je ne sais pas prévoir les carnets de commandes des avions", a-t-il expliqué sur BFMTV, précisant que le retour à la normale n'était pas prévu avant deux à trois ans et que l'avionneur européen aura "une période très difficile à vivre". "La responsabilité politique, c'est de ne pas faire de promesse que d'aucuns ne sauraient réellement tenir", a-t-il martelé.
Deux jours après l'annonce du vaste plan social de l'avionneur européen, FO a rappelé que l'objectif des syndicats restait "zéro licenciement sec".
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Ben Hopper se dit prêt à tout pour "redonner un sens à sa vie". Depuis plus de trois ans, il se prépare à franchir ce qu'il appelle la "muraille bleue" : 1.635 milles nautiques, soit 3.027 km, entre Dakar, le point le plus à l'ouest d'Afrique continentale, et la côte est du Brésil. Une équipe de 11 personnes dont un médecin l'escortera en bateau dans cette tentative, prévue pour durer cinq mois, à raison de sept à dix heures de nage par jour en plusieurs sessions. Cela si les conditions météorologiques et les courants le permettent. Au cours de ses périodes de repos et pendant la nuit, il sera à bord du bateau où il pourra dormir, se réhydrater et manger des plats à haute teneur en glucides, protéines et graisses. Ben Hooper pourrait brûler jusqu'à 12.000 calories par jour.LES MÉDUSES PRINCIPALES MENACESDes équipes du Guiness World Records surveilleront qu'il a bien parcouru l'ensemble de la distance à la nage. "Côté requins, nous avons deux lignes de défense", explique cet ancien policier de 38 ans, qui a également servi dans l'armée. Outre de la viande de requin en décomposition de synthèse pour éloigner les squales, des câbles installés sur le bateau enverront des signaux électriques pour les désorienter. Mais "les méduses seront probablement une plus grande menace pour moi que les requins", précise le nageur, qui s'est retrouvé pendant son entraînement à Dakar entouré par un banc d'une quarantaine de ces animaux marins et contraint de remonter sur son kayak.Il devra aussi surmonter la fatigue musculaire, le dessèchement de ses muqueuses par l'eau salée, ou les coups de soleil (les températures devraient dépasser les 30 degrés sur son parcours). A ce jour, un seul homme peut se targuer d'un exploit comparable, le Français Benoît Lecomte, qui en 1998 a traversé l'Atlantique à la nage, dans l'autre sens, de Cape Cod (Massachusetts, est des Etats-Unis) à Quiberon (Morbihan). Mais sa prouesse n'avait pas été homologuée par le Guinness des records, l'épuisement l'ayant notamment contraint à une escale de près d'une semaine aux Açores."Je ne suis pas baraqué comme Michael Phelps...", reconnaît volontiers Ben Hooper, passant une main sur sa panse légèrement arrondie, en référence au champion olympique américain de natation. Alors pourquoi s'infliger une telle épreuve, dont les éventuelles recettes doivent aller à des associations caritatives médicales et sociales ? La vocation, raconte-t-il, lui est venue de deux explorateurs britanniques de légende : Vivian Fuchs, le premier à avoir traversé à pied l'Antarctique, et Ranulph Fiennes, qui a accompli cet exploit à la fois en Arctique et en Antarctique.Quant au choix de la natation, Ben Hooper, né prématuré avec une insuffisance pulmonaire, réchappé de justesse de la noyade dans une piscine à l'âge de 5 ans, dit croire par-dessus tout à la nécessité de repousser ses limites. "C'est de là que vient mon affinité avec l'eau", explique-t-il. L'eau ne l'a pas effrayé, bien au contraire, "c'est comme ça que tout a commencé". Victime à l'âge de 27 ans d'une dépression qui l'a obligé à quitter la police, le Britannique dit avoir décidé de s'imposer ce nouveau défi en sentant il y a quelques années les idées noires revenir le submerger.A l'entendre, les requins n'écument pas que les océans mais aussi le milieu de la natation, où la rivalité et l'appât du gain l'emportent trop souvent sur le goût de l'aventure. "J'ai un budget très, très serré. J'ai dû renoncer à travailler pour me consacrer à ça et nous vivons des dons et des parrainages. Le mois dernier, deux sponsors nous ont laissé tomber", soupire-t-il. Mais la présence de sa fille Georgie, 8 ans, qui veut devenir biologiste marine et l'accompagne tous les jours dans ses séances d'entraînement à la piscine et à la salle de sport, lui donne des ailes, confie-t-il. "C'est la principale personne à qui je voulais servir d'exemple".
Braver les requins, les méduses, les ravages de l'eau salée et du soleil... Le Britannique Ben Hooper se lance ce mardi 1er novembre dans une traversée un peu folle, celle de l'Atlantique à la nage.
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Comme prévu, elles ne font pas l'unanimité. Les préconisations du haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, ont reçu un accueil mitigé des partenaires sociaux consultés sur le "système universel" promis par Emmanuel Macron Les principaux syndicats comptent désormais exercer leur influence sur la rédaction du projet de loi qui en découlera. De nouvelles discussions doivent s'ouvrir "dès la semaine prochaine" sur la base du rapport qu'a remis le haut-commissaire au Premier ministre Edouard Philippe en fin de matinée, a indiqué Laurent Escure, le secrétaire général de l'Unsa, à la sortie d'une réunion de présentation de ces préconisations aux partenaires sociaux. Du côté des soutiens déclarés au projet présenté par Delevoye, le Medef, qui "soutiendra les grands principes de cette réforme". Le président de l'organisation patronale Geoffroy Roux de Bézieux a "salué" son "ampleur". Il se dit toutefois "vigilant" sur la question de la gouvernance du nouveau régime et le sort des "réserves" financières accumulés par les "régimes fourmis". Le rapport de Jean-Paul Delevoye "prouve que la mise en place d'un système universel est possible", s'est félicité de son côté le leader de la CFDT, Laurent Berger, "qui pousse ce type de réforme depuis maintenant de nombreuses années"."C'est prendre les gens pour des imbéciles"Notant "positivement un certain nombre d'avancées" pour un "système plus redistributif qui privilégiera d'abord ceux qui ont une carrière hachée, l'extension des droits familiaux dès le premier enfant", il a toutefois jugé "totalement stupide de fixer un âge de liquidation de la retraite complète à 64 ans". "Il faut laisser davantage de libre choix, pour s'adapter à la réalité de carrière chacun", a-t-il estimé, alors que le haut-commissaire Delevoye préconise de fixer en 2025 un âge d'équilibre à 64 ans pour une retraite à taux plein, assorti d'un système de décote/surcote.Ferme opposant à la réforme, le numéro de la CGT Philippe Martinez a de son côté dénoncé "beaucoup d'enfumage". Dire que l'âge légal reste à 62 ans, "c'est prendre les gens pour des imbéciles", a-t-il lancé. "Nous avons joué le jeu, nous avons fait des propositions concrètes, et aucune n'a été retenue", a-t-il déploré, dénonçant, à l'inverse de la CFDT, une réforme qui pénalisera davantage les "carrières hachées". "La parole de Delevoye, c'est peut-être la moins pire" a-t-il prévenu, dans l'attente du projet de loi prévu pour la fin de l'année.
La CFDT s'est félicité des grandes lignes du rapport présenté par Jean-Paul Delevoye, à l'inverse de la CGT qui dénonce un "enfumage".
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La volonté affichée du locataire de la Maison Blanche d'aller vite, en dépit des critiques démocrates, promet une fin de campagne présidentielle électrique aux Etats-Unis."Je pense que cela va aller très vite", a déclaré M. Trump depuis les jardins de la Maison Blanche, évoquant une annonce "la semaine prochaine".En soirée, lors d'un meeting en Caroline du Nord, il a précisé: "Ce sera une femme. Une femme très talentueuse, très brillante, que je n'ai pas encore choisie - mais nous avons beaucoup de femmes dans notre liste". La juge "RBG", comme elle était surnommée, s'est éteinte vendredi des suites d'un cancer du pancréas à l'âge de 87 ans. Sa mort a suscité une vague d'émotion dans le pays et aussi une immense inquiétude dans le camp démocrate, doublée d'un tir de barrage politique.Car l'arrivée d'un nouveau juge nommé par Donald Trump ancrerait le temple du droit américain dans le camp conservateur pour longtemps.- 45 jours -A 45 jours de l'élection présidentielle, le candidat démocrate Joe Biden et l'ex-président Barack Obama ont immédiatement mis en garde Donald Trump."Les électeurs doivent choisir le président, et le président doit proposer un juge au Sénat", a dit Joe Biden. Barack Obama a appelé son successeur républicain à s'abstenir alors que "des bulletins de vote sont déjà déposés" pour le scrutin du 3 novembre, par anticipation ou par correspondance.Les neuf juges de la Cour suprême sont nommés à vie, et Donald Trump a déjà procédé à deux nominations, celles des conservateurs Neil Gorsuch et Brett Kavanaugh. Son camp dispose actuellement de cinq juges.L'enjeu est considérable puisque la Cour tranche les principales questions de société, comme l'avortement, le droit de porter des armes ou les droits des homosexuels, qui sont souvent aussi les lignes de fracture d'une société américaine plus divisée que jamais. La haute cour a aussi le dernier mot sur les litiges électoraux, comme lors de la présidentielle de 2000 finalement remportée par George W. Bush face à Al Gore. La santé de la juge Ginsburg était chancelante et les républicains se préparaient à cette vacance. Donald Trump avait présenté début septembre une liste de personnalités qu'il pourrait présenter. Parmi eux, deux sénateurs ultra-conservateurs, Ted Cruz et Tom Cotton.Le chef de la majorité au Sénat Mitch McConnell a prévenu dès vendredi soir qu'il était disposé à aller de l'avant dans le processus de nomination. Dans des circonstances comparables, il y a quatre ans, il avait pourtant bloqué la désignation d'un juge par Barack Obama.- Trump en campagne -Les républicains estimaient alors qu'on ne change pas un juge en année électorale. Le président de la commission judiciaire de Sénat Lindsey Graham a pris acte samedi du souhait de Donald Trump, dont il est très proche. "Je comprends parfaitement" le président, a-t-il dit.Le président dispose d'une majorité républicaine de 53 contre 47 au Sénat, mais une poignée de sénateurs pourraient faire défaut, notamment ceux confrontés à des réélections difficiles dans des Etats modérés. L'équation politique est donc complexe.La sénatrice républicaine modérée du Maine, Susan Collins, a annoncé samedi sa position: le Sénat ne doit pas confirmer un nouveau juge à la Cour suprême avant la présidentielle du 3 novembre."Par honnêteté envers le peuple américain (...) cette décision de nomination à vie à la Cour suprême devrait être prise par le président qui sera élu le 3 novembre", a-t-elle estimé.Le lancement d'une bataille parlementaire sur la Cour suprême changerait complètement la physionomie de la campagne, aujourd'hui dominée par la pandémie de Covid-19 et ses conséquences.Donald Trump est pour l'instant en retard dans les sondages par Joe Biden, et sévèrement critiqué par les Américain pour sa gestion du coronavirus.- Une pionnière -Samedi, sous un soleil frais, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées devant la Cour suprême pour s'incliner devant la mémoire de RBG, née en 1933 à Brooklyn dans une famille juive américaine et morte le jour de Rosh Hashana, le nouvel an juif.Parmi eux, la colistière de Joe Biden, Kamala Harris, venue se recueillir avec son mari. "RBG était pour moi une pionnière, une icône, une combattante. Elle était une femme à tous les sens du terme", a-t-elle confié à une journaliste de l'AFP.Candidate à la vice-présidence mais aussi membre éminente de la commission judiciaire du Sénat, Kamala Harris jouera un rôle déterminant dans les prochains mois.Ruth Bader Ginsburg gardera une place à part dans l'histoire de la conquête des droits et de la lutte contre les discriminations. Avocate, elle obtint de la Cour suprême le démantèlement des lois discriminatoires à l'encontre des femmes. Entrée à la Cour suprême il y a 27 ans sur nomination de Bill Clinton, elle fait l'objet d'un culte aux Etats-Unis.Aucun détail n'était connu samedi sur l'organisation de ses obsèques.
Donald Trump a affirmé dans la nuit de samedi à dimanche qu'il proposerait rapidement un nom, celui d'une femme, pour remplacer la juge à la Cour suprême Ruth Bader Ginsburg, icône de la gauche américaine décédée vendredi.
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L'histoire fait froid dans le dos. Dans la nuit de samedi à dimanche, dans son logement du XIVe arrondissement de Paris, l'ancien ministre et chef d'entreprise Thierry Breton a été tiré de son sommeil par deux cambrioleurs qui l'ont attaqué ainsi que son épouse, rapporte Le Parisien. Le couple était au lit lorsqu'il a été réveillé et a reçu des coups au visage de la part de deux hommes. Leur chauffeur, qui vit sur place, a lui aussi été violenté.Menacées par les malfrats, les trois personnes ont alors été enfermées dans les toilettes du domicile pendant que leur appartement était soigneusement passé au peigne fin afin d'être pillé. Selon le quotidien, un bracelet en diamant d'une valeur de 40 000 euros a été dérobé, ainsi qu'une somme en liquide d'environ 1 000 euros. Le chauffeur de son côté déplore le vol de 150 euros en espèces.Les vols en très forte hausse dans la capitaleCe n'est que vers 3 heures du matin que Thierry Breton et ses deux compagnons d'infortune ont pu se libérer de leur séquestration. Si les trois victimes sont saines et sauves, les blessures n'étant que superficielles, elles étaient choquées au moment de l'arrivée de la police. L'enquête a été confiée à la 3e DPJ, qui dispose des images des caméras de surveillance de l'appartement, précise Le Parisien. Ce dernier explique que les cambriolages sont en très forte hausse à Paris. Il rappelle ainsi que le XIVe arrondissement, à lui seul, a enregistré une hausse de 10% en un an, avec 743 vols en 2018. Thierry Breton, 64 ans et PDG du groupe Atos, est un grand patron français qui a été ministre de l'Économie entre 2005 et 2007 lors du gouvernement Raffarin III, sous la présidence de Jacques Chirac. Il est l'un des dirigeants d'entreprise les plus respectés au monde. Ainsi, Le Parisien rappelle que la Harvard Business Review l'avait classé parmi les 100 patrons les plus performants de la planète deux années de suite. Son salaire à la tête d'Atos est estimé à quelque 5 millions d'euros par an.
L'ex-ministre de l'Économie de Jean-Pierre Raffarin a subi des violences, ainsi que son épouse et son chauffeur, lors d'un cambriolage dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 juillet.
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L'épidémie de coronavirus a plongé les pays du monde entier dans une récession historique, mais tous les secteurs ne sont pas logés à la même enseigne.L'industrie du vélo connaît un boom. Et c'est particulièrement vrai pour les grandes marques taïwanaises, d'autant que l'île est un des territoires qui a le mieux géré l'aspect sanitaire de la crise. Giant, premier fabricant mondial, n'a pas chômé ces derniers mois, selon la directrice générale Bonnie Tu. "Nous avons réagi très vite", a-t-elle dit à l'AFP, au nouveau siège du groupe à Taichung (ouest)."Nous avons mobilisé tout le groupe, et notamment les usines et les services de vente (...) pour répondre à la demande".- Manque de pièces détachées -En Europe comme en Amérique du Nord, les magasins de cycles ont fait état d'une ruée. L'Association britannique des vendeurs de cycles a ainsi constaté 20.000 commandes non encore livrées."J'ai vu un peu de tout", déclarait le mois dernier à l'AFP Lincoln Romain, directeur de Brixton Cycles à Londres. "Il y a des gens qui vont au travail, les nouveaux cyclistes, les gens qui ressortent leur vélo du garage".Aux Etats-Unis, les ventes de vélos de course ou de vélos pour aller au travail ont grimpé de 66% en mars par rapport à mars 2019, celles de vélos de loisir de 121%, celles de vélos électriques de 85%, selon le cabinet The NPD Group.Mme Tu explique qu'aux Etats-Unis et en Europe, la demande a surtout progressé sur l'entrée de gamme, les vélos à 1.000 dollars (887 euros) ou moins.Si Giant a fait tourner ses usines taïwanaises, nombre de ses ateliers de Chine continentale ont été contraints de fermer temporairement à cause de l'épidémie.Le groupe a par ailleurs été pénalisé par la difficulté à se procurer les pièces détachées.- Renaissance -En Europe, Giant pourra bientôt s'appuyer sur une nouvelle usine qui doit ouvrir en Hongrie et permettre de réduire la dépendance vis-à-vis des sites chinois tout en rapprochant la production des clients.Gina Chang, secrétaire générale de l'Association des cycles taïwanais, souligne que les fabricants ont initialement pâti au premier trimestre de l'annulation ou du report de nombreuses commandes au moment où l'épidémie a commencé à se propager. Mais les choses se sont depuis améliorées."Les deux premiers fabricants ont leurs carnets de commandes pleins jusqu'à la fin de l'année."La pandémie est donc le nouvel acte d'une renaissance en cours des fabricants de cycle taïwanais.L'île fut première jusqu'aux années 1990, avant que la Chine n'absorbe, grâce à sa main d'oeuvre bon marché, l'essentiel de cette production. Mais les choses sont depuis quelque temps en train de changer pour plusieurs raisons comme la demande grandissante en vélos électriques des pays européens ou en cycles haut de gamme. L'an dernier, l'île a bénéficié aussi de l'impact de la guerre commerciale sino-américaine.En 2019, Taïwan a exporté pour 1,36 milliard de dollars de vélos (hors électriques), contre 1,5 milliard en 2018. Mais dans le même temps, l'île a exporté pour 863 millions de dollars de vélos électriques, contre 377 millions de dollars en 2018. La majorité en direction de l'Europe.Cette année, entre janvier et avril, les exportations de vélos électriques se sont chiffrées à 301 millions de dollars, en hausse de 23% sur un an.Mme Tu espère que l'engouement pour le vélo survivra à la crise sanitaire."A vélo, vous prenez l'air. Et puis vous ne pouvez pas rouler trop près des autres, sinon vous avez accident", sourit-elle. "C'est de la distanciation sociale naturellle."
Les rues désertes, l'inquiétude face aux bus et métros bondés ou, tout simplement, le besoin d'un bol d'air après les semaines confinées sont autant d'explications du regain de popularité du vélo en Europe ou en Amérique. A Taïwan, les fabricants de cycles pédalent dur pour répondre à la demande.
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-Il suffit qu'il entende un air familier comme celui de la chanson "Quando quando, quando" du chanteur italien Tony Renis pour que le Britannique Ted Mc Dermott revienne pour quelques minutes à la réalité. Lorsque son fils, Simon, a remarqué ce miracle chez son père atteint de la maladie d'Alzheimer, il a décidé de lancer une page Facebook intitulée "The Songaminute Man" sur laquelle il poste régulièrement les images de son père lors de ses interprétations. Le succès est immédiat, certaines vidéos dépassent les 3 millions de vues."Mon père a chanté tout au long de sa vie (...) Son surnom est The Songaminute Man tout simplement parce qu'il connaît un nombre incalculable de chansons. Ces dernières années, ses souvenirs se sont vraiment détériorés. Souvent, il ne me reconnaît même plus. Cette maladie est horrible. Pourtant, à chaque fois qu'il chante, il semble de retour parmi nous", détaille Simon. "UNE IDÉE ÉMOUVANTE"En parallèle, le fils a décide de lancer une cagnotte en ligne pour lever des fonds à destination d'Alzheimer's Society, une association caritative Britannique dédiée aux malades souffrant de cette maladie. Lancée le 9 juin dernier, la cagnotte a déjà récolté plus de 50.000 dollars, soit 45.000 euros.L'initiative a été saluée par Michael Dent, en charge des levées de fonds au sein de l'association. "Alzheimer's Society est particulièrement reconnaissante envers cette fantastique levée de fonds lancée par Simon en l'honneur de son père (....) Songaminute est une idée émouvante et inspirante qui ne permet pas seulement de lever de l'argent mais aussi de mettre avant l'impact positif de la musique et du chant pour les malades."
- À chaque fois qu'il pousse la chansonnette, Ted Mc Dermott, atteint de la maladie d'Alzheimer, retrouve ses souvenirs. Son fils a décidé de poster ses prestations sur Facebook et d'ouvrir une cagnotte qui a déjà permis de récolter 45.000 euros.
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"La honte !" Quelques instants après l'annonce du César de la meilleur réalisation décerné à Roman Polanski, l'actrice Adèle Haenel a quitté la salle, vendredi 28 février. Le réalisateur, objet de vives critiques de la part des féministes après une nouvelle accusation de viol, a été distingué pour "J'accuse", thriller historique sur l'Affaire Dreyfus. Adèle Haenel est un symbole d'un nouvel élan de #MeToo en France depuis qu'elle a accusé en novembre le réalisateur Christophe Ruggia d'"attouchements répétés" quand elle était adolescente. "La honte", a-t-elle lancé en partant, suivie par la réalisatrice Céline Sciamma et quelques autres personnes, juste avant l'annonce du César du meilleur film, remis au film de Ladj Ly "Les Misérables", qui raconte l'histoire d'une bavure policière dans une cité sensible de Seine Saint-Denis.Filmée quelques instants plus tard, dans le hall de la salle Pleyel, elle s'est exclamée "vive la pédophilie, bravo la pédophilie!". Elle a toutefois refusé de livrer un commentaires face aux caméras.Roman Polanski et l'équipe de son film, y compris l'acteur Jean Dujardin qui joue le rôle principal, étaient absents de la cérémonie, où ils avaient décidé de ne pas se rendre alors que des féministes avaient appelé à un rassemblement pour protester contre les douze nominations reçues par son long métrage. Avant le début de la cérémonie, quelques centaines de manifestants avaient protesté contre Roman Polanski aux abords de la salle Pleyel, où se tenaient les César.La place donnée à Roman Polanski est jugée inacceptable par les féministes et une partie de l'opinion publique, alors qu'il est visé depuis novembre par une nouvelle accusation de viol de la part de la Française Valentine Monnier, qui dit avoir été frappée et violée par lui en 1975, alors qu'elle était âgée de 18 ans. Le réalisateur de 86 ans est également toujours poursuivi par la justice américaine pour relations sexuelles illégales avec une mineure en 1977.Vendredi matin, le ministre de la Culture Franck Riester a déclaré qu'un César de meilleur réalisateur pour Polanski serait "un symbole mauvais par rapport à la nécessaire prise de conscience que nous devons tous avoir dans la lutte contre les violences sexuelles et sexistes". Adèle Haenel avait estimé lundi dans le New York Times que "distinguer Polanski, c'est cracher au visage de toutes les victimes".
VIDÉO. Elle avait estimé lundi dans le New York Times que "distinguer Polanski, c'est cracher au visage de toutes les victimes".
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Emmanuel Macron entame ce dimanche 4 novembre un périple sur les traces de la Première Guerre mondiale. De Verdun à la Somme, le président français va sillonner onze départements en une semaine pour se rendre sur les champs de bataille de la Grande Guerre et à la rencontre d'une France périphérique frappée par la crise. Cette "itinérance mémorielle" se terminera le 10 novembre par une cérémonie avec la chancelière allemande Angela Merkel dans la clairière de Rethondes, à Compiègne (Oise), où a été signé l'armistice.Le lendemain, une centaine de dirigeants étrangers sont attendus à la traditionnelle cérémonie de l'armistice à l'Arc de Triomphe. Les présidents américain Donald Trump et russe Vladimir Poutine devraient être présents. Une partie de ces dirigeants participeront ensuite à un Forum de la Paix, organisé à La Villette à l'initiative du chef de l'État français, pour "échanger sur la paix durable et la prévention des conflits", selon la présidence. Le quai d'Orsay indique qu'il "a vocation à devenir le rendez-vous annuel des projets, idées et initiatives qui contribuent de manière effective à une meilleure coopération internationale sur les grands enjeux globaux, à une mondialisation plus juste et plus équitable et à un système multilatéral plus efficace."Le Journal du Dimanche révèle que c'est l'agence "2017" qui est chargée de gérer les centaines de journalistes attendus les 11, 12 et 13 novembre. Une agence de communication fondée par Gaspard Gantzer, l'ancien collègue d'Emmanuel Macron. Camarades de promo à l'ENA, les deux hommes ont travaillé à l'ensemble avec François Hollande à l'Élysée : le premier était conseiller en communication et le second secrétaire-adjoint. Gaspard Gantzer est également un adversaire possible à La République en marche dans la course à la mairie de Paris.
Le Journal du dimanche révèle ce 4 novembre que l'agence de communication de l'ancien conseiller de François Hollande, "2017", est chargée de gérer les centaines de journalistes attendus les 11, 12 et 13 novembre prochains à Paris pour le Forum sur la Paix initié par le chef de l'État.
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Alors que le festival, qui devait avoir lieu du 15 au 20 juin, avait annoncé en avril qu'il se tiendrait en ligne en raison de la crise du Covid-19, quelque 7.300 personnes se sont accréditées à ce stade, contre 12.300 en fin de manifestation l'an dernier. Parmi eux, 3.500 sont inscrits pour le marché du film, qui se déroule parallèmement au festival, contre 4.100 en 2019."Ca a été un gros défi, mais qu'on a quasiment rempli", souligne Mickaël Marin, directeur de Citia, l'établissement qui organise le festival. "On a un très beau contenu, et côté marché, ça a aussi été un défi très fort d'arriver à maintenir les dispositifs que connaissent les professionnels".Le Festival, qui durera deux semaines (du 15 au 30 juin), proposera comme chaque année une sélection officielle, composée de quelque 200 films, dont dix longs métrages en compétition. Parmi eux, figurent deux oeuvres françaises attendues: "Petit vampire" de l'auteur de bandes dessinées et réalisateur Joann Sfar, adaptation de ses BD éponymes, et "Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary" de Rémi Chayé, réalisateur remarqué de "Tout en haut du monde", prix du public à Annecy en 2015.A leurs côtés concourent un film belgo-français ("Bigfoot Family" de Ben Stassen et Jérémie Degruson), deux films japonais ("Lupin III The First" de Takashi Yamazaki et "7 Days War" de Yuta Murano), deux films russes ("Ginger's Tale" de Konstantin Scherkin et "The Nose or the Conspiracy of Mavericks" d'Andrey Khrzhanovsky), un film polonais ("Kill It and Leave this Town" de Mariusz Willczynski), un chilien ("Nahuel and the Magic Book" de German Acuña) et un mauricien ("Jungle Beat: The Movie" de Brent Dawes).Certaines oeuvres seront accessibles entièrement. Pour d'autres, seules quelques minutes seront disponibles."Plus de 50% de la sélection longs métrages officielle et (de la section parallèle) Contrechamps est accessible entièrement", auxquels s'ajoutent "les courts métrages, films de fin d'étude, séries télé", souligne Mickaël Marin. "Ce que le grand public va pouvoir voir pour 15 euros avec son accréditation, ce sont des heures de programmes".Des leçons de cinéma et présentations de films en cours de fabrication ("Work in progress") seront aussi proposées comme chaque année, dont celle du "Sommet des dieux" de Patrick Imbert, adaptation du manga de Jiro Taniguchi. Le Festival annoncera son palmarès le 20 juin.
Le Festival d'animation d'Annecy, grand rendez-vous mondial du secteur, se déroulera à partir de lundi pour une édition inédite entièrement numérique, avec à l'affiche notamment les films français "Petit vampire" de Joann Sfar et "Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary" de Rémi Chayé.
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En pleine crise économique, il faut "aller chercher l'argent parmi les riches". C'est ce qu'affirmait Fabien Roussel, secrétaire national du PCF, au coeur de la crise du coronavirus en mai dernier. Un postulat qui semble être partagé par de nombreux Français puisque 76% d'entre eux estiment que les riches devraient payer davantage d'impôts, selon le dernier baromètre Odoxa pour BFM Business, Challenges et Aviva publié jeudi 9 juillet. Plus précisément, les sondés soutiennent massivement l'idée de la création d'un nouvel impôt spécifique, destiné aux plus aisés. Une mesure qui convainc au-delà des clivages politiques : 86% des personnes interrogées en accord avec cette mesure se disent à gauche, 60% sont proches des Républicains et 57% de LREM. Riche à partir de 6.000 euros par moisLes sondés reconnaissent avoir une mauvaise opinion à l'égard des riches : 53% ne les aiment pas et 82% pensent que la société les aime encore moins. Pas étonnant pour Gaël Sliman, le président d'Odoxa sur BFM Business. "Ils pensent que, finalement, les riches seraient des gens égoïstes qui ne penseraient qu'à se soustraire de la collectivité nationale en faisant de l'exil fiscal ou de l'optimisation fiscale. Et finalement, aux yeux d'une majorité de nos concitoyens, il est bien légitime de leur faire payer cet impôt supplémentaire", explique-t-il.Pour les personnes interrogées, être roche signifie gagner plus de 6.000 euros net par mois ou avoir au moins 500.000 euros de patrimoine immobilier.La question de taxer les plus riches est un débat bien français. Des syndicalistes et des responsables politiques, comme Laurent Berger (CFDT) expriment cette idée depuis plusieurs mois. Si elle semble gagner l'opinion publique, elle est balayée par la majorité, qui dénonce "de la démagogie".
Taxer les riches pour faire face à la crise. C'est l'idée que partagent 76% des Français, qui soutiennent la création d'un nouvel impôt spécifique.
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Sous-titré "anticiper pour mieux protéger", ce nouvel avis mis en ligne jeudi vise à "préparer les différentes structures de l'Etat à affronter une éventuelle reprise de l'épidémie quelle qu'en soit sa forme".Le premier scénario, "le plus favorable", est celui d'une "épidémie sous contrôle" avec seulement quelques foyers "localisés pouvant être maîtrisés". Les autres envisagent "des clusters critiques laissant craindre une perte de contrôle des chaînes et contamination" et "une reprise progressive et à bas bruit de l'épidémie, plus difficile à identifier".Le dernier serait celui d'une "dégradation critique des indicateurs" de suivi de l'épidémie, traduisant "une perte du contrôle" de cette dernière.Le conseil scientifique, présidé par le spécialiste d'immunologie Jean-François Delfraissy, "souligne la nécessité de préparer" des "mesures appropriées" à chacun de ces scénarios, dans le but d'"éviter un nouveau confinement généralisé" comme celui qu'a connu le pays du 17 mars au 11 mai.Ces mesures doivent être "élaborées dès maintenant" pour pouvoir les "activer le plus rapidement possible" "lorsque cela sera nécessaire", insiste l'avis.Aussi, le conseil scientifique propose de les préparer "avec les acteurs notamment territoriaux", dans le cadre d'un "plan de prévention et de protection rapprochées" visant "à augmenter l'efficacité des mesures prises tout en limitant l'impact social et économique de l'épidémie".Un tel plan devrait inclure "le renforcement des mesures barrière et de distanciation", telles que le "port du masque obligatoire dans tous les lieux confinés".Il suggère aussi "la mise en oeuvre renforcée de la stratégie +tester, tracer, isoler+, un plan de protection des Ehpad, une protection renforcée par confinement volontaire des personnes les plus vulnérables en raison de leur âge ou de leur état de santé, un plan destiné aux personnes les plus précaires ainsi qu'un ensemble de mesures à mettre en oeuvre dans les métropoles, qui sont particulièrement exposées, notamment en Ile-de-France".Dans un entretien au Parisien, le Pr Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique, a estimé que "quoi qu'il arrive, on ne pourra pas refaire un confinement généralisé en France". "La première fois, il était indispensable, on n'avait pas le choix, mais le prix à payer est trop lourd", a-t-il ajouté. "La population ne l'accepterait sûrement pas, les conséquences économiques seraient majeures et, même d'un point de vue sanitaire, cela n'est pas souhaitable", a-t-il fait valoir, rappelant "qu'en dehors du Covid, il y a eu tous les autres malades qui ont eu des retards de diagnostic durant cette période". "Une fois qu'on a dit cela, qu'est-ce qu'on fait si la situation empire? Il faut donc un grand plan de prévention", a-t-il conclu.
Le conseil scientifique chargé de guider les pouvoirs publics dans la gestion de la crise liée au Covid-19 recommande de se préparer à "quatre scénarios probables" pour les mois à venir, allant d'une "épidémie sous contrôle" à une "dégradation critique".
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"Nous appuyons fermement les efforts de l'Equateur pour garantir que les navires sous pavillon chinois ne se livrent pas à de la pêche illégale, non déclarée et non réglementée", indique une déclaration du secrétaire d'Etat Mike Pompeo.La marine équatorienne avait alerté il y a deux semaines de la présence de quelque 260 bateaux de pêche, battant pour la plupart pavillon chinois, à proximité des Galapagos, situées à 1.000 km des côtes et qui comptent une réserve marine de 133.000 km2. Les bateaux naviguent "près de l'importante réserve maritime des Galapagos, (...) pêchant des requins menacés d'extinction pour leurs ailerons, de même que beaucoup d'autres espèces protégées", note M. Pompeo.Quito avait fait part la semaine dernière à la Chine de son "malaise" face à la présence de la flotte chinoise à proximité de l'archipel, classé au patrimoine naturel de l'humanité."Il est plus important que jamais que la communauté internationale défende l'état de droit et insiste sur une meilleure gestion de l'environnement de la part de Pékin", souligne encore le chef de la diplomatie américaine, alors que les relations sino-américaines sont tendues."La flotte de pêche internationale est hors de la zone économique exclusive (des Galapagos) et la préoccupation vient du fait qu'elle puisse y pénétrer ou s'y infiltrer", avait précisé mardi le ministre de la Défense, Oswaldo Jarrin.La réserve marine de l'archipel, célèbre pour ses tortues géantes et qui a inspiré sa théorie de l'évolution au naturaliste anglais Charles Darwin (1809-1882), compte plus de 2.900 espèces et comprend un sanctuaire de 38.000 km2 où se trouve la plus grande population de requins de la planète.
Les Etats-Unis ont apporté leur soutien à l'Equateur, inquiet de la présence d'une flotte de pêche chinoise à proximité de la réserve marine de l'archipel des îles Galapagos, a indiqué dimanche le département d'Etat.
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La police nord-irlandaise (PSNI) a annoncé dans la soirée du dimanche 21 avril la libération, sans inculpation, des deux jeunes hommes interpellés dans l'enquête sur la mort de la journaliste Lyra McKee, tuée par balle lors d'émeutes jeudi soir à Londonderry. Agés de 18 et 19 ans, ils avaient été arrêtés en vertu de la législation antiterroriste et conduits dans un poste de police à Belfast pour y être interrogés.En annonçant leur libération, la police a également lancé un nouvel appel à témoins. "Je sais qu'il y a des gens qui savent ce qui s'est passé mais qui ont peur de se manifester. Mais si vous avez des informations, aussi petites soient-elles, veuillez contacter les enquêteurs", a déclaré dans un communiqué le commissaire Jason Murphy. Selon la PSNI, Lyra McKee, 29 ans, a été tuée par un homme qui a ouvert le feu contre des policiers intervenant dans le quartier catholique de Creggan à Londonderry, où une cinquantaine d'engins incendiaires ont été lancés contre les forces de l'ordre.La "Nouvelle IRA" suspectéeSamedi 20 avril, Jason Murphy avait dit penser que "les responsables" de la mort de la jeune journaliste étaient des membres de la Nouvelle IRA, un groupe dissident de l'Armée républicaine irlandaise (IRA), militant pour la réunification de l'Irlande, y compris par la violence. Ce drame, qui a provoqué une forte émotion dans la région, rappelle les heures sombres des "Troubles" qui ont déchiré la province britannique pendant trois décennies. Opposant républicains nationalistes (catholiques), partisans de la réunification de l'Irlande, et loyalistes unionistes (protestants), défenseurs du maintien dans la Couronne britannique, ces violences avaient fait quelque 3.500 morts avant de prendre fin grâce à l'accord du Vendredi saint de 1998. Située à la frontière avec la République d'Irlande, Londonderry -- appelée Derry par les Républicains qui refusent le rattachement au Royaume-Uni -- est tristement célèbre pour le "Bloody Sunday" du 30 janvier 1972. Des soldats britanniques avaient ouvert le feu sur des participants catholiques à une marche pacifique, faisant 14 morts.En janvier, l'explosion d'une voiture piégée à Londonderry avait déjà fait craindre une nouvelle flambée de violence venant des groupes paramilitaires, en pleine tension autour du Brexit, un dossier dans lequel la frontière irlandaise constitue toujours un point d'achoppement.
Les deux personnes interpellées dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de la journaliste Lyra McKee, ont été relâchées sans être inculpées.
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Il y a 32 ans, Virginie Raymond était tuée de quatorze coups de couteau, au domicile de ses parents. L'enquête sur ce crime mystérieux et jamais élucidé a été relancé récemment, a annoncé la police judiciaire de Besançon mercredi 27 novembre. Les policiers s'interrogent sur l'implication d'un homme, adepte de la photographie, dans le meurtre de Virginie Raymond, 16 ans, tuée le 20 octobre 1987 au domicile bisontin de ses parents. Pour éclaircir cette partie de l'enquête, les enquêteurs appellent à les contacter toutes les femmes, nées entre 1964 et 1976, qui ont été accostées à Besançon pendant leur adolescence par un homme leur proposant de les photographier dans la rue. Passionnée par la photographie, Virginie Raymond avait arrêté ses études en 3e et cherchait un stage dans ce domaine au moment des faits, a précisé la police judiciaire.L'enquête, jamais élucidée, avait été rouverte par le parquet de Besançon en octobre 2017, 30 ans après le crime. Les policiers ont tout repris à zéro, avec de nouveaux enquêteurs, un nouveau juge d'instruction et des avancées scientifiques importantes pour les aider dans leur enquête.Afin de trouver de nouveaux témoins, ils appellent également toutes les personnes ayant habité dans le même ensemble d'immeuble que la victime (134, rue de Belfort à Besançon). La police judiciaire appelle encore toutes les personnes ayant aperçu l'adolescente à Dijon en octobre 1987 à prendre contact avec les enquêteurs, qui ont activé deux numéros de téléphone à cet effet (03 81 44 58 70/03 81 21 11 80).La jeune fille avait été découverte morte par sa mère le 20 octobre 1987 vers 16H00. D'après les résultats de l'autopsie de l'époque, elle n'avait pas été violée. Aucune infraction ni aucun vol n'avait été constaté.
Les enquêteurs espèrent recueillir les témoignages de femmes ayant été abordées dans la rue par un homme proposant de les photographier.
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Tout comme ses proches.Elle a toujours du mal à y croire. Pourtant, Vaimalama Chaves est bien la nouvelle Miss France. Un titre acquis après plusieurs heures de spectacle télévisuel, aux dépens de Miss Guadeloupe, qui devrait changer sa vie. Suivie par LCI ce dimanche matin après une (très) courte nuit, elle semble toujours sur son nuage."Je suis Miss France. Déjà me dire que j'étais que Miss Tahiti c'était dur, alors me dire que je suis Miss France... oulala ce n'est pas une mince affaire."Une émotion pour la jeune femme de 24 ans, plutôt communicative. Sa mère, présente lors de la cérémonie avait du mal à retenir ses larmes après le sacre. "Depuis bébé, je l'ai toujours regardée avec sa petite bouille, avec ses grands yeux. Elle a grandi et puis là elle a le titre...", confesse-t-elle.Une Miss loin des standardsCe titre de Miss France 2018 était pourtant loin de lui être destiné il y quelques années encore. Dans un univers où les petites mensurations sont de rigueur et les formes boudées, Vaimalama Chaves porte une taille 42 et mesure 1m78. Il y a tout juste cinq ans, elle faisait même une trentaine de kilos de plus, révèle LCI. "On a tous des défauts. Ce qu'il faut, c'est juste s'accepter tel qu'on est et être plus doux avec soi. Parce qu'on est très exigeant", confie la Miss.Désormais, elle essaye des robes qu'elle n'aurait jamais pensé mettre. Mais "devenue une princesse", elle peut tout se permettre. Elle évoque aussi avec simplicité son nouveau statut aux journalistes. "J'essaye de faire attention à ce que je dis quand même. C'est pour ça que ce n'est pas toujours du tac au tac quand je réponds. J'ai peur de faire des fautes de diction", dit la Tahitienne qui ne veut cependant pas renier son accent."Je suis heureuse de faire voyager au travers de mon accent et j'espère que ça va motiver les gens à venir découvrir la Polynésie".Vaimalama Chaves est la première Miss Tahiti élue Miss France depuis vingt ans. La dernière était Mareva Galanter.
À peine quelques heures après son titre de Miss France, Vaimalama Chaves multiplie les sorties médiatiques. Suivie par LCI, la jeune Tahitienne n'en revient toujours pas.
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Au total, la déferlante a fait 44 blessés. Lundi 29 juillet, une vaque géante s'est formée dans un bassin du parc aquatique de Longjing, dans la province de Jilin, dans le nord-est de la Chine. En début d'après, de nombreux baigneurs se trouvaient dans la piscine quand une vague de plusieurs mètres de haut s'est abattue sur le bassin. La scène est visible sur une vidéo amateur, partagée sur les réseaux sociaux. Certains baigneurs, pour la plupart équipés de bouée, ont été éjectés hors de la piscine. Si la plupart des touristes ne sont que très légèrement blessés, les autres sont restés à hospitalisés pour des fractures aux côté ou aux pieds, selon l'agence de presse chinoise Xinhua. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident serait dû à un dysfonctionnement dans la salle de commandes de la piscine. Pour l'heure, le bassin reste fermé au public.
44 personnes ont été blessées alors que la vague aurait été provoquée par un problème technique de la salle de contrôle.
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Le groupe, qui édite une dizaine de titres et emploie 250 personnes, a pâti de l'arrêt des courses pour cause du coronavirus, qui l'a obligé à suspendre l'impression de ses journaux, peut-on lire dans la décision du tribunal rendue mardi.Paris Turf souffre également de la situation du distributeur Presstalis, lui-même en redressement judiciaire, et qui devrait faire défaut à Paris Turf à hauteur de 1,2 million d'euros et plus généralement de la baisse des ventes papier.Le redressement judiciaire s'inscrit dans le cadre d'un processus de "prépack cession" (cession préétablie), qui permet d'accélérer le calendrier en arrivant devant la justice avec déjà plusieurs projets de reprise.Quatre offres de reprise ont été déposées, et d'autres pourront être proposées jusqu'au 14 juin.Deux offres concernent l'ensemble du périmètre du groupe, et deux autres des parties (une pour la partie presse, une autre pour la partie opérateur de prise de paris), a précisé le syndicat SGJ-FO dans un communiqué."Cinq autres marques d'intérêt auraient été enregistrées entre le 12 et le 19 mai, dont deux pour un périmètre global et une circonscrite au pôle équitation (Cheval Magazine et Cheval Pratique)", ajoute le SGJ-FO, alertant que "si aucun chiffre précis n'a été communiqué au CSE sur les différents dossiers des repreneurs, les risques sur l'emploi sont certains"."S'agissant d'une entreprise de presse, le principe même du +prépack cession+ pourrait permettre à l'acheteur comme au vendeur de déroger aux règles conventionnelles en matière de licenciement: indemnité conventionnelle, recours à la Commission arbitrale, ouverture d'une clause de cession, un des piliers de la convention collective des journalistes", s'inquiète le syndicat.Dans sa décision, le tribunal "renvoie l'affaire à l'audience du 22 juin (...) afin d'étudier les offres reçues dans le cadre du prépack cession".Le groupe est détenu par Jacques-Henri Eyraud, le président de l'OM, majoritaire (à 66,57%), et par Jean-Claude Seroul, grand propriétaire de chevaux et fondateur des Editions en Direct (Tiercé magazine, Bilto, Paris Courses) (à 33,43%).Il réalise un chiffre d'affaires de 65,6 millions d'euros et compte deux sites, en région parisienne et à Aix-en-Provence. Ses titres n'étant plus certifiés par l'ACPM-OJD, aucun chiffre de diffusion n'est disponible.
En cessation de paiement, le premier groupe de presse hippique en France Paris Turf a été placé en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Bobigny, qui se prononcera sur sa reprise le 22 juin.
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Objectif affiché de la mesure ? Diminuer les retards des vols, car le rangement de ces bagages prend trop de temps au personnel de bord, selon Ryanair. "Nous espérons que ces restrictions vont permettre d'accélérer l'embarquement et d'éliminer les retards causés par le manque d'espace sur des vols avec plus de 360 bagages", a expliqué mercredi le directeur marketing du groupe Kenny Jacobs. Cet été, avec un taux de remplissage de 97%, les coffres des avions de la compagnie étaient saturées, a-t-il précisé.À MOINS DE PAYER UN SURPLUS...Les passagers, disposant des "Prioruty boarding" et ayant payé cinq ou six euros supplémentaires lors de leur réservation, pourront cependant garder leurs bagages en cabine. Les bagages des autres devront systématiquement aller en soute. Seule exception, les jeunes parents pourront toujours apporter un petit sac pour changer leur bébé, à condition que son poids ne dépasse pas les cinq kilos. Pour tenter de limiter la grogne de ses clients, Ryanair a annoncé en parallèle une modification de sa politique tarifaire pour les gros bagages payants en soute : l'enregistrement coûtera 25 euros au lieu des 35 euros actuels par valise. Le poids autorisé passant également de 15 à 20 kg. Mais ces prix ne sont valables qu'au moment de la réservation. Si vous omettez d'enregistrer vos bagages, vous devrez débourser 40 euros à l'aéroport. De même un supplément de 10 euros par bagage sera réclamé pendant les vacances de Pâques et de Noël, sur les itinéraires les plus longs. Certains internautes ont déjà exprimé leur scepticisme quant à ces arguments."Ce changement de politique coûtera en fait à Ryanair plus de 50 millions d'euros par an en manque à gagner, à cause de la réduction des frais de bagages enregistrés", a répondu Kenny Jacobs. "La baisse des tarifs sur les bagages en soute", permettra selon lui "d'encourager davantage de clients à choisir cette option".
À partir du 1er novembre, la compagnie aérienne low-cost, Ryanair, va faire payer à ses passagers le droit d'emporter des bagages en cabine. Seuls les petits sacs seront désormais transportés gratuitement.Jusqu'alors, la compagnie irlandaise permettait de prendre gratuitement en cabine un grand sac ou une petite valise n'excédant pas 55 cm de hauteur, 40 cm de largeur et 10 kilos.
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Le wagon de l'une des attractions de montagnes russes a déraillé. Les autorités locales ont fait état de plusieurs blessés dans un premier bilan. Selon le "Daily Record", il s'agirait le wagon du grand huit nommé "Tsunami" qui se serait détaché des rails en plein virage, avant de chuter de plus de neuf mètres et de s'écraser sur un manège pour enfants. Le parc à thèmes aurait été évacué et plusieurs enfants seraient gravement blessés."Ma fille est rentrée saine et sauve à la maison, témoigne un père au Daily Record. Mais d'autres familles sont moins chanceuses que nous". Plusieurs parents seraient dans l'attente de nouvelles de leurs enfants. "On dirait un film d'horreur", ajoute un autre témoin, comme le relaye 20 minutes.Selon la chaîne publique, BBC, six ambulances et six voitures de pompiers se sont rendues sur les lieux. Entre huit et dix personnes se trouvaient à bord du train. Comme l'assure 7sur7, l'attraction peut atteindre 65km/heure et comporte plusieurs loopings. Il y a un peu plus d'un an, un accident du même type en Angleterre avait fait quatre blessés graves.
Un terrible accident a touché l'Écosse ce dimanche. Les faits se sont déroulés dans le parc d'attractions M&D's de Motherwell en Écosse.
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"Je suis une femme noire, je vis dans ce pays depuis 20 ans et je suis là pour dire que les vies noires comptent, celles de mes enfants et de mes frères, pour que l'on puisse vivre dans un pays sûr", confie à l'AFP Tabatha Bernard, 38 ans et originaire de Trinidad-et-Tobago, dans l'imposant cortège de New York. Des célébrations du "Juneteenth"(contraction de juin et de 19 en anglais), ce jour de 1865 où les derniers esclaves ont été libérés au Texas, ont été observées aux quatre coins du pays. A Washington, des manifestants ont abattu dans la nuit de vendredi à samedi la statue du général sudiste Albert Pike, unique statue d'un général confédéré érigée dans la capitale.Le président Donald Trump, qui avait publié un communiqué commun avec son épouse Melania pour marquer "Juneteenth" et "la joie incomparable qu'a dû susciter l'émancipation", a qualifié sur Twitter l'incident de "honte pour notre pays".Il a accusé la police de Washington de "ne pas faire son travail en regardant une statue être abattue et incendiée".Les protestations dénonçant "le racisme, l'oppression et les violences policières" s'étaient auparavant concentrées durant la journée autour du monument en mémoire à Martin Luther King à l'appel des professionnels des clubs locaux de basket-ball.- "Rendre des comptes" -Près de la Maison Blanche, la manifestation était festive sur la nouvellement baptisée "Black Lives Matter Plaza" où des centaines de personnes ont dansé au son de la Go-Go Music avant de défiler dans les rues du centre-ville."On ne pourra pas éliminer tous les policiers racistes", explique à l'AFP Joshua Hager, 29 ans , mais "nous voulons en virer la majorité et leur faire rendre des comptes".Sa compagne, Yamina BenKreira, souhaite que l'histoire des Afro-Américains soit mieux enseignée pour que les jeunes "prennent conscience" des discriminations.Ces dernières semaines, les appels en faveur d'un déboulonnage de monuments à la gloire de personnalités du camp confédéré pendant la guerre de Sécession (1861-1865) qui pullulent dans le Sud du pays, se sont multipliés.Aux racines de ce mouvement qui a ravivé les plaies raciales de l'Amérique : la mort de George Floyd, Afro-Américain de 46 ans, asphyxié par un policier blanc qui l'avait arrêté fin mai à Minneapolis.Soixante ans après le mouvement pour les droits civiques, la minorité noire (13% de la population) reste la grande oubliée de la prospérité. Plus pauvre et en moins bonne santé, elle est sous-représentée au niveau politique et sur-représentée dans les prisons.Des manifestations monstres, parfois émaillées de violences, pour dénoncer cette situation ont continué après la mort d'un autre Afro-Américain, Rayshard Brooks, par la police d'Atlanta le 12 juin.Comme à Minneapolis, le policier en cause a été limogé puis inculpé de meurtre.Dans une autre affaire, la mairie de Louisville, dans le Kentucky, a annoncé le licenciement d'un policier impliqué dans la mort d'une infirmière noire, Breonna Taylor, tuée dans son appartement en mars.- "Amusez-vous bien" -S'il a dénoncé les morts de George Floyd et Rayshard Brooks, Donald Trump a surtout dirigé ses prises de parole contre les manifestants, appelant régulièrement à "la loi et l'ordre".Le milliardaire républicain qui brigue un second mandat renoue samedi avec ses meeting de campagne à Tulsa, dans l'Oklahoma. Il avait suscité l'indignation en choisissant la date symbolique du 19 juin et a dû le reporter au lendemain.La ville reste hantée par le souvenir d'une des pires émeutes raciales de l'histoire, où jusqu'à 300 Afro-Américains ont été massacrés par une foule blanche, en 1921.Craignant des débordements alors que plus de 100.000 personnes sont attendues dans le comté de 650.000 habitants, le maire avait décrété un couvre-feu partiel jusqu'à dimanche mais le président a obtenu son annulation."Amusez-vous bien", a-t-il écrit sur Twitter à ses partisans.A la veille de ce meeting, lors duquel Donald Trump espère donner un nouvel élan à sa campagne, le "Juneteenth" a donné lieu à une fête de rue familiale dans la ville. Chris, homme noir de 30 ans, y a moqué le président, qui affirme avoir rendu cette commémoration "très célèbre". "Aucun de ses partisans ne peut prétendre ignorer le passé raciste de sa grande Amérique", assure-t-il.Le candidat démocrate Joe Biden a qualifié les propos de son adversaire à la présidentielle de novembre de "grotesques".Aux descendants de Harriet Tubman et Frederick Douglass, anciens esclaves noirs figures emblématiques de l'abolitionnisme, l'ancien vice-président d'Obama a dit en ce jour de commémorations, sa "confiance" dans la poursuite d'une justice raciale aux Etats-Unis.
"Dire que les vies noires comptent" : à travers des rassemblements, souvent festifs, des milliers d'Américains ont célébré vendredi "Juneteenth" pour le 155e anniversaire de l'abolition de l'esclavage et l'unique statue d'un général confédéré à Washington a été mise à bas, dans un pays secoué par des tensions raciales depuis la mort fin mai de George Floyd.
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Dès 8H00, les gendarmes sont intervenus pour gérer l'afflux progressif de clients devant le supermarché Lidl censé ouvrir une demi-heure plus tard. "C'était tendu au moment de l'ouverture, on a engagé 70 personnes pour rétablir l'ordre et il a fallu repousser la foule", a précisé la gendarmerie.L'enseigne, qui propose régulièrement des promotions sur des produits non-alimentaires, commercialisait la PS4 au prix de 95 euros au lieu de 300. Dans l'espoir d'en profiter, certains clients avaient même campé devant l'établissement, selon la gendarmerie. Diffusées sur les réseaux sociaux, des images de la foule massée devant l'entrée du magasin montrent l'usage de gaz lacrymogènes, qui "fait suite à un jet de bouteille sur un gendarme", selon la gendarmerie. L'enseigne Lidl a indiqué à l'AFP qu'"aucune communication émanant de Lidl n'a été faite sur cette vente" et qu'une "photo prise à titre privé annonçant la vente de PS4 à Orgeval a été malencontreusement relayée de façon très virale".Le magasin a été fermé et la vente de PS4 définitivement annulée, a précisé Lidl.Dans la cohue, une personne a fait un malaise et un gendarme a été blessé par un jet de bouteille.A 10H30, environ 150 personnes étaient encore sur place selon les autorités et la situation était revenue à la normale.
Les forces de l'ordre ont dû intervenir mercredi matin pour disperser une foule de 500 personnes agglutinées devant un magasin qui proposait une promotion sur la console PS4 à Orgeval (Yvelines), a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
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Au lendemain des derniers face-à-face entre gouvernement, syndicats et patronat avant la grève du 5 décembre, Edouard Philippe s'est dit "déterminé" à mettre en oeuvre la réforme des retraites, lors d'un point-presse à l'Elysée, mercredi 27 novembre, à l'issue du Conseil des ministres. La concertation s'achèvera "le 9 ou le 10 décembre", a indiqué le Premier ministre qui présentera "dans les jours qui suivront" le projet du gouvernement "dans sa globalité". A propos du mouvement social du 5 décembre, Edouard Philippe a affirmé ne pas être "de ceux qui confondent manifestants et casseurs". "C'est leur droit le plus légitime. J'ai le plus grand respect pour le droit de grève et de manifester", a t-il soutenu, appelant en parallèle "au calme, au respect de la loi, de la propriété, et de l'ordre public". Le chef du gouvernement a une nouvelle fois exposé son projet de "remplacer les 42 régimes existants par un système universel dont les règles seront les mêmes pour tous". Il en a profité pour redire l'argument de l'exécutif, qui voit en cette réforme "la fin logique du système fondé sur des solidarités corporatistes et menant à la création d'injustices" vers "une solidarité universelle"."On ne change pas un contrat social brutalement"Le Premier ministre répond également aux nombreuses voix ayant critiqué le gouvernement sur l'absence de ligne claire. "A ceux qui nous disent qu'ils n'en savent pas assez sur notre projet : nous avons pris le temps de consulter. "On nous a suffisamment reproché la verticalité" pour prendre le temps de discuter et d'écouter. "On peut faire de grandes transformations à condition de se donner le temps" martèle t-il. "Nous ne transigerons pas sur l'objectif, mais nous prendrons le temps qu'il faut pour y arriver". "On ne change pas un contrat social brutalement. Nous allons mettre un terme aux régimes spéciaux, mais nous ne voulons pas stigmatiser ceux qui s'y trouvent aujourd'hui. L'universalité oui, la brutalité, non!", a t-il lancé.Parmi les pistes, le gouvernement souhaite "casser le caractère binaire entre activité et retraite", en clair : "faire en sorte qu'il soit possible de travailler après liquidation de la retraite en continuant à acquérir des droits". Le Premier ministre a soutenu les "nouveaux droits" de ce projet : "pension majorée dès le premier enfant", "pensions de réversion plus protectrices et plus justes pour le conjoint survivant". Il rappelle en outre que "les retraités actuels ne seront évidemment pas concernés par la réforme", et "les droits acquis seront conservés à 100%".Quant à la question d'exclure du nouveau système universel les actifs qui seraient à moins de 5 ans de la retraite, le Premier ministre laisse aussi une marge de manoeuvre : "S'il faut éloigner cet âge afin de prendre en compte les choix individuels de chacun, je suis prêt à prendre en compte les revendications", a t-il déclaré.Le Premier ministre a en outre refusé d'émettre un avis définitif sur la controversée "clause du grand-père", sujet de toutes les discordes. Ce dispositif prévoirait que le nouveau régime ne s'applique qu'aux nouveaux entrants sur le marché du travail. "Pour ma part, du moment où on construit un système universel, je suis ouvert à la discussion", a t-il affirmé, estimant cependant que les opposants à ce projet "n'ont pas tort". Côté gouvernement, Gérald Darmanin avait toutefois considéré comme "objectivement pas possible" l'application de cette mesure, le 24 novembre dernier. "Nous devrons progressivement travailler plus longtemps" a encore plaidé le chef du gouvernement, disant préférer un "allongement progressif" de la durée de travail à des augmentations de cotisations ou baisses de pensions.
Le Premier ministre a martelé sa volonté de "prendre le temps" pour mener à bien sa réforme vers un système de "solidarité universelle". "L'universalité, oui, la brutalité, non", affirme t-il.
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Un accident de la route a fait plusieurs de victimes ce lundi... mais il ne s'agissait pas d'êtres humains. Un camion belge qui transportait des poulets vivants s'est renversé sur l'autoroute A26 après avoir touché une glissière de sécurité, a rapporté le Courrier picard. L'accident est survenu dans le sens Reims - Calais à Rumaucourt (Pas-de-Calais). Au total, 9000 gallinacés se trouvaient dans le poids lourd et plusieurs dizaines d'entre eux sont décédés. Le chauffeur, en revanche, est sorti indemne.
L'accident s'est produit autour de 4h30 ce lundi quand le camion s'est renversé sur l'autoroute.
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Un Alphajet de la Patrouille de France a fait une sortie de piste à Perpignan, jeudi 25 juillet. L'appareil a fini sa course contre un muret de la D117, qui borde l'aéroport de la ville. Selon le site d'information régionale L'Indépendant, l'accident serait consécutif à une mauvaise manœuvre.L'avion aurait traversé une route avant de s'arrêter dans un terre-plein de séparation. Le pilote de l'appareil, légèrement blessé, a pu s'éjecter. Aucune autre victime n'est à déplorer, selon la préfecture des Pyrénées-Orientales. La Patrouille de France était attendue pour une démonstration aérienne dans le ciel de Saint-Cyprien (Pyrénées-Orientales). Le spectacle, qui devait se tenir dans l'après-midi, a été annulé.
L'accident est survenu dans la matinée de jeudi 25 juillet, aux abords de l'aéroport de Perpignan.
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Des bactéries ont été découvertes dans les toilettes de la Station spatiale internationale. C'est ce que révèle une étude de la Nasa publiée le 23 novembre dans la revue BMC Microbiology et relayée par le New York Post. Une présence qui inquiète particulièrement les scientifiques. Cette bactérie très résistante, Enterobaster bugandensis, pourrait s'avérer dangereuse pour la santé des astronautes, puisqu'elle provoquerait des maladies, précise l'étude. Fort heureusement, selon l'auteur du rapport, "les souches trouvées à bord de l'ISS ne semblent pas être parmi les plus virulentes pour la santé humaine, mais elles doivent être surveillées", a indiqué Nitin K. Singh.Il se pourrait que cette bactérie soit arrivée en même temps qu'une vingtaine de souris, en juillet dernier. Les scientifiques tentent désormais d'analyser son génome pour comprendre son potentiel pathogène. Le rapport évoque par ailleurs "un patient compromis", ce qui laisserait penser qu'un astronaute serait arrivé dans l'ISS déjà infecté.
La présence de bactéries super résistantes dans l'ISS inquiète. La santé des astronautes pourrait être menacée, révèle le New York Post.
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Enchaînés à leurs lits, privés de toilettes et autorisés à seulement une douche par an, les enfants ont vécu dans des conditions déplorables depuis 2010. On apprend également que la fratrie préparait depuis plus deux ans cette évasion. Après la découverte d'une "maison de l'horreur" en Californie, où treize enfants étaient maltraités, leurs parents, David Allen et Louise Anna Turpin ont été inculpés par un tribunal du comté de Riverside à plusieurs chefs d'accusations dont "torture", "maltraitance" ou "séquestration" sur 12 de leurs enfants. La justice estime que la petite fille seulement âgée de deux ans n'aurait pas subi les mêmes sévices que ses frères et soeurs. Alors qu'ils encourent, selon le droit américain, 94 ans de prison, David et Louise Turpin ont plaidé non-coupables de toutes les accusations à leur encontre lors d'une audience pour leur signifier leur inculpation.
Le procureur du comté de Riverside a dévoilé les conditions de vie des 13 enfants du couple Turpin dans leur maison à Perris, en Californie.
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Neuf départements du sud-est de la France étaient placés en vigilance orange canicule ce mardi 31 août. Une alerte qui devrait être étendue à d'autres départements dans les prochaines heures. Météo France attend en effet une nouvelle vague de forte chaleur entre jeudi et dimanche sur une grande partie du pays. La moitié sud devrait être particulièrement impactée.Un épisode très fort en termes d'intensité et aussi de durée"Après un palier cette semaine, les températures vont remonter à partir de jeudi, tout particulièrement sur le sud-est du pays", explique le prévisionniste à Météo France, Olivier Proust, au Parisien. Une "masse d'air très chaude va arriver du Maghreb", précise-t-il. "La France va connaître à partir de vendredi des températures qui vont atteindre des niveaux caniculaires, localement à plus de 40°C"."Ce sera un épisode très fort en termes d'intensité et aussi de durée car ces températures très élevées vont dépasser le week-end, même si nos prévisions restent à affiner pour le début de la semaine prochaine", ajoute-t-il. Faut-il craindre une alerte rouge ? "C'est trop tôt pour le dire", répond Olivier Proust. "On arrive à des niveaux de chaleur très importants donc l'orange sera clairement mis en place dans beaucoup de départements, soit une bonne partie du pays"."Ça va être au moins du 'gros' orange""Pour la canicule, le rouge n'est encore jamais arrivé. Ce n'est pas exclu par Météo-France (...) mais il va falloir faire des calculs de prévision et des moyennes sur plusieurs jours. Quoi qu'il en soit, ça va être au moins du 'gros' orange". À Bordeaux et à Toulouse, le mercure pourrait monter jusqu'à 38 degrés. En région parisienne, les prévisions sont "plus incertaines" mais les températures devraient "approcher les 35 degrés en fin de semaine".Des spots doivent être diffusés à partir de mardi, à la radio et à la télévision, pour alerter la population sur les risques de déshydratation et sur les gestes de prévention à adopter en période de canicule, a indiqué mardi la ministre de la Santé Agnès Buzyn.Ces spots décrivent notamment les symptômes d'un "coup de chaleur" qui doivent alerter, et détaillent les bons gestes à adopter: entre autres, boire abondamment et fréquemment (mais pas d'alcool), se mouiller régulièrement le corps, fermer les volets, éviter l'effort physique.Ils seront diffusés six fois par jour, gratuitement, par l'ensemble des chaînes de télévision et de radio. Cette opération de communication, qui va durer au moins une semaine, sera également relayée sur les réseaux sociaux.
Les températures vont à nouveau grimper à partir de ce mercredi 1 août sur une grande partie de l'Hexagone. Elles devraient dépasser les 40 degrés à l'ombre par endroits d'ici vendredi, selon les prévisionnistes de Météo France.
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Le drame s'est déroulé mardi 11 février peu après 15 heures dans une station de lavage des Lilas en Seine-Saint-Denis. Un automobiliste âgé de 35 ans a été tué d'un coup de couteau après un différend autour d'une place dans la file d'attente. Selon une source proche de l'enquête, la victime aurait doublé un autre automobiliste dans la file d'attente permettant d'accéder à la station de lavage et une dispute a éclaté entre les deux hommes. Des témoins les ont alors séparés. Mais le deuxième automobiliste et auteur présumé des faits est ensuite revenu vers le premier et lui aurait asséné un coup de couteau fatal au niveau de l'abdomen. Le suspect, âgé de 30 ans et originaire de Romainville (Seine-Saint-Denis), a alors pris la fuite à bord de son véhicule. Il a été interpellé mardi en début de soirée, a indiqué le parquet de Bobigny. Une enquête pour homicide volontaire a été confiée à la police judiciaire du département.
Un suspect, âgé de 30 ans, a été interpellé. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte.
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Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a déposé deux plaintes au commissariat du 12e arrondissement de Paris, le 27 avril dernier, après avoir reçu, de même que sa mère, plusieurs lettres de menace, rapportent nos confrères de Closer. Une information confirmée par son avocat, Me Mathias Chichportich. Les courriers mentionnent notamment le ralliement de Gérald Darmanin à Emmanuel Macron. "Traître, Judas, faux-cul qui se voit déjà Ministre de Macron en 2022"La première plainte concerne une lettre de menace envoyée directement au ministère de l'Action et des Comptes publics, le 17 avril dernier. On peut y lire : "Le Lieutenant du Christ meurt innocent nous pardonnons aux républicains leurs crimes et nous prions Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur les Français." La seconde plainte porte sur plusieurs lettres de menace de mort à l'encontre de Gérald Darmanin, reçues par sa mère en août 2017 et en mars dernier : "Traître, Judas, faux-cul qui se voit déjà Ministre de Macron en 2022, t'inquiète pas, les femmes parlent et parleront... nul nul" ou encore "Salaud, traître, faux-cul, pédé... avec Macron tu finiras comme Paul Doumer... pauvre type, pauvre con... Tu gâches ta vie." En janvier dernier, le ministre de l'Action et des Comptes publics avait déjà déposé plainte pour dénonciation calomnieuse dans une affaire de viol classée finalement sans suite par le ministère public. Il avait ensuite déposé plainte, en mars dernier, contre une femme qu'il l'accusait d'avoir usé de son poste de maire de Tourcoing pour avoir des relations sexuelles.
Gérald Darmanin, le ministre de l'Action et des Comptes publics, a reçu plusieurs lettres de menace. Certains des courriers étaient adressés directement à sa mère.
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Son dossier est entre les mains du parquet de la ville.Dans la nuit du 2 au 3 septembre, vers minuit et demi, une "petite altercation", comme la qualifie un témoin, a éclaté dans le centre-ville de Beauvais. Un jeune homme visiblement alcoolisé - son taux d'alcoolémie était à 0,7 g, selon plusieurs sources -, est alors intervenu. Et pas n'importe lequel. Le Parisien rapporte mardi 5 septembre qu'il s'agissait d'un policier stagiaire chargé de la surveillance du palais de l'Élysée. Pas en service au moment des faits, le jeune homme a sorti une matraque télescopique et son arme, et a pris la peine d'enfiler son brassard "police". "Il a commencé à balayer la foule qui s'était massée avec son revolver. La bagarre était pourtant déjà terminée et il n'y avait pas de tension particulière", a raconté au quotidien un témoin de la scène. Appelés par de nombreux badauds, les policiers municipaux ont débarqué sur place. Le policier de l'Élysée aurait alors refusé de baisser son arme et les aurait insultés avant d'être finalement interpellé et placé en garde à vue. Son excès de zèle sera-t-il puni ? Selon Le Parisien, le dossier est actuellement entre les mains du parquet de Beauvais. S'il n'est pas certain que des poursuites soient engagées contre lui, les outrages envers les policiers municipaux n'étant pas caractérisés, une enquête administrative devrait en revanche être ouverte par la préfecture de police de Paris.
FAIT DIVERS. En repos au moment des faits, un policier chargé de la surveillance de l'Élysée a sorti son arme en plein centre-ville de Beauvais (Oise) dimanche soir, rapporte Le Parisien.
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Cible des critiques de opposants à la réforme des retraites =1emqui l'accusent de vouloir l'influencer à son avantage, le gestionnaire d'actifs BlackRock a vu son siège parisien envahi mardi 7 janvier par des grévistes de la SNCF et de la RATP. Ils ont décerné "une médaille du déshonneur" à l'entreprise et ont réclamé le retrait du projet gouvernemental. Plusieurs dizaines de manifestants ont envahi l'immeuble abritant notamment les bureaux de BlackRock, dans le IIe arrondissement de la capitale, puis ont été bloqués par les forces de l'ordre sur le trottoir devant le bâtiment, a constaté une journaliste de l'AFP. Les manifestants ont été évacués dans le calme. Une dizaine de camions de gendarmes mobiles et de CRS étaient mobilisés devant l'immeuble Le Centorial. "On est partis de nous-mêmes de l'immeuble au bout d'une dizaine de minutes. On ne voulait surtout pas que les choses s'enveniment", a déclaré à l'AFP Bérenger Cernon, responsable de la CGT-Cheminots à la gare de Lyon, d'où étaient partis les manifestants à l'issue d'une assemblée générale. Les grévistes ont allumé des fumigènes dans l'immense hall de cet immeuble, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux, où étaient visibles des drapeaux de la CGT-Cheminots, SUD-Rail, Solidaires et le logo de la CGT-RATP. "Et on ira, et on ira jusqu'au retrait" (de la réforme), ont chanté les manifestants."On aurait bien voulu aller jusqu'au siège de BlackRock, au 4e étage" mais "on est restés dans le hall. C'était surtout une action symbolique, le jour de la reprise des négociations" sur la réforme, a indiqué M. Cernon. "Tout s'est passé dans le calme", a dit à l'AFP une cheminote, étiquette du syndicat Solidaires collée sur son manteau.Les cheminots grévistes de la gare de Lyon avaient apporté une grande pancarte, où était dessinée une "médaille de déshonneur" décernée aux "pilleurs" de BackRock, selon une photo postée par M. Cernon sur Twitter, faisant référence à la Légion d'honneur attribuée le 1er janvier à Jean-François Cirelli, président de la branche française BlackRock. Les manifestants ont aussi déployé une banderole de "lycéens, étudiants, profs AED" disant "l'heure est grève".BlackRock, "on sait très bien que c'est un lobby de l'ombre et qu'il existe une connivence entre le gouvernement et ce lobby", a accusé M. Cernon. Interrogée par l'AFP, la direction de BlackRock a confirmé qu'il y a eu intrusion dans son immeuble, mais sans fournir de détails dans l'immédiat.
Les manifestants ont été évacués dans le calme après l'intervention des forces de l'ordre.
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La fin de l'année 2019 approche à grands pas et avec elle ses vœux. Emmanuel Macron ne déroge pas à la tradition et a déjà pris de l'avance, puisqu'il a déjà envoyé un courrier, accompagné d'une boîte de chocolats de la boutique de l'Élysée, à ses 27 homologues de l'Union européenne ainsi qu'aux responsables des institutions de l'UE, comme chaque année, révèle ce 22 décembre Le Journal du Dimanche.Selon l'hebdomadaire, le chef de l'État français a encouragé la chancelière allemande Angela Merkel à plus d'audace. "L'Europe n'est pas une routine", a-t-il écrit, avant de poursuivre : "Je souhaite que nous puissions conduire davantage de débats stratégiques sur les grands défis géopolitique de l'Union."Au Premier ministre britannique Boris Johnson, le président donne rendez-vous après le Brexit du 31 janvier pour "renforcer la relation bilatérale", et fait allusion au 10e anniversaire des accord de défense de Lancaster House.
Dans le courrier de vœux envoyé à la chancelière allemande Angela Merkel, le président français l'encourage à plus d'audace, révèle Le Journal du Dimanche.
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Selon la radio, qui a réussi à la joindre, rien n'est encore signé mais les informations sur un éventuelle départ pour rejoindre son père en Afrique sont "fausses".L'ancienne benjamine de l'Assemblée nationale ne parlerait plus de politique avec sa tante "et cela facilite leur relation", a expliqué un proche de Marion Maréchal-Le Pen à Europe 1. "Quant à son grand-père, elle fait en sorte de ne plus le croiser alors qu'elle se rend souvent dans le domaine familial de Montretout à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine)", précise la radio. Elle aurait également coupé les ponts avec tous les cadres du FN : "Je me suis rendu compte à quel point les gens se moquent de la politique", explique-t-elle. L'ancienne députée du Vaucluse garde tout de même un œil sur l'actualité politique. Elle aurait d'ailleurs suivi le discours du candidat à la présidence des Républicains (LR), Laurent Wauquiez, à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône). "Du sous-Sarkozy", selon elle."IL N'EST PAS QUESTION, POUR L'INSTANT, QU'ELLE REVIENNE"Un retour en politique est-il envisageable à l'horizon 2022 ? L'idée est réapparue le 7 septembre à l'occasion du lancement du mensuel L'Incorrect, où l'on retrouve comme rédacteurs certains de ses fidèles comme son ancien bras droit à l'Assemblée, Arnaud Stéphan. Le magazine se fixe d'ailleurs comme ligne rédactionnelle de "réinventer le logiciel politique et culturel de la droite"."Il n'y a pas la main de Marion derrière ce projet", a assuré Arnaud Stéphan. "Il n'est pas question, pour l'instant, qu'elle revienne". Beaucoup de proches sont, eux, persuadés de son retour en 2021. Mais si elle revient, la radio précise que "ce ne sera pas au sein du Front national".
Selon Europe 1, l'ancienne députée du Front national (FN), Marion Maréchal-Le Pen, a pris ses distances avec la politique et son ancien parti. La nièce de Marine Le Pen, âgée de 27 ans, suit désormais des formations "en comptabilité-gestion et en anglais" dans le but d'intégrer une entreprise comme cadre supérieure.
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Alors que le convoi quittait le palais de Westminster après la séance hebdomadaire des questions au chef du gouvernement, un participant à un rassemblement contre le sort des Kurdes en Turquie s'est précipité sur la chaussée.Le véhicule de tête, la Jaguar grise transportant Boris Johnson, a dû freiner brusquement et le Range Rover qui le suivait lui est rentré dedans. Le convoi est reparti, laissant apparaître le coffre de la voiture embouti.Downing Street a confirmé que Boris Johnson se trouvait à l'intérieur. "Concernant ce qu'il s'est passé, je pense que la vidéo parle d'elle-même. Aucune blessure n'a été rapportée", a indiqué un porte-parole du chef du gouvernement conservateur, qui aura 56 ans vendredi et qui a été hospitalisé pendant une semaine en avril après avoir été contaminé par le nouveau coronavirus.Le manifestant a été interpellé, a constaté le photographe de l'AFP présent.
La voiture transportant le Premier ministre britannique Boris Johnson a été emboutie mercredi par un véhicule l'escortant à la sortie du Parlement à Londres, lorsqu'un manifestant a fait irruption sur sa route, a constaté un photographe de l'AFP.
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Depuis mardi soir, des trombes d'eau s'abattent sur le sud du pays, avec des conséquences parfois dramatiques. Seule la Haute-Corse restait jeudi 24 octobre en alerte orange aux orages et pluie-inondation, la vigilance ayant été levée à l'aube dans l'Hérault par Météo France.Un département particulièrement touché par les intempéries. Mercredi, une septuagénaire a été emportée par l'eau en sortant de sa maison à Cazouls-d'Hérault, à 45 kilomètres de Montpellier. Elle aurait paniqué devant la montée du niveau, malgré les consignes d'attendre à son domicile l'arrivée des secours, selon une source proche du dossier. Les pompiers l'ont retrouvée inanimée dans une vigne. Elle a été réanimée et héliportée vers le centre hospitalier de Montpellier. Dans l'Hérault toujours, la voie de chemin de fer a été emportée par endroits par un "torrent d'eau", entre Agde et Béziers, a annoncé la SNCF. Conséquence : en pleines vacances de la Toussaint, il n'y aura plus de trains entre Montpellier et Toulouse et Montpellier et l'Espagne, au moins jusqu'à la rentrée des classes le 4 novembre.310 litres d'eau par mètre carréÀ Béziers, il est tombé "plus de 310 litres d'eau par mètre carré" mercredi, selon selon le préfet Jacques Witkowski. "Cela fait plusieurs années qu'on n'a pas vu un mouvement de pluie aussi large, qui concerne (une zone) de l'Espagne à la France, sur aussi peu de temps", a-t-il commenté.Sous des trombes d'eau et des vents violents, près de 1.000 personnes ont été évacuées dans ce département, sur des routes, chez elles, ou d'un camping pour la moitié d'entre elles. Les pompiers on procédé à 113 sauvetages, dont 38 par hélicoptère, et ont dû également mettre "en sécurité" une vingtaine de chevaux.
Les violents orages qui ont balayé le littoral méditerranéen ont conduit à l'hospitalisation en "urgence absolue" d'une femme dans l'Hérault, où un important axe ferroviaire a dû être coupé, au moins jusqu'à la fin des vacances de la Toussaint.
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