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https://www.frenchweb.fr/fintech-swan-leve-5-millions-deuros-aupres-de-creandum-et-bpifrance/404920 | Financing | swan une plateforme de banking a service à destination de développeurs lève 5 million euro à occasion un tour de table mené par le fonds suédois creandum avec la participation de bpifrance via son pôle digital venture pour compléter s service la startup parisienne obtenu un agrément établissement de monnaie électronique auprès de la banque de france qui lui permet exercer dans toute union européenne lancé en 2019 par nicolas benady nicolas saison et mathieu breton au sein du startup studio efounders swan développe une plateforme permettant aux entreprises de proposer de service bancaires à leurs client comme la création de comptes bancaires et la dotation une carte mastercard et un iban la startup adresse à de nombreux secteurs activité et attend à voir apparaître de banques dans e commerce ou le profession libérales comme chez le dentistes ou encore le chauffeur il existe déjà de plateformes de banking a service mais leur installation fastidieuse peut prendre jusqu à 6 mois intervient nicolas benady swan été conçu pour réduire drastiquement ce délai et simplifier la vie de développeurs selon entrepreneur le entreprises peuvent proposer de carte avec leur propre logo en moins de 5 minute via swan pour le startup comme le grand comptes intégration de service bancaires dans leur produit principal est souvent le seul moyen de capter plus de part dans la chaîne de valeur commente simon schmincke associé chez creandum dans le cadre de cette levée de fonds swan ambitionne de se développer un point de vue technique et commercial signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateurs nicolas benady nicolas saison et mathieu breton création 2019 siège social paris secteur fintech activité plateforme de banking a service à destination de développeurs financement 5 million euro en septembre 2020 à occasion un tour de table mené par le fonds suédois creandum avec la participation de bpifrance via son pôle digital venture pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.frenchweb.fr/french-tech-contentsquare-nouvelle-licorne-francaise-avec-un-tour-de-table-de-190-millions-de-dollars/400379 | Financing | contentsquare spécialiste de analyse de comportements de internautes sur le site et application annoncé une levée de fonds de 190 million de dollar qui fait de la start up une nouvelle licorne société dont la valeur dépasse un milliard de dollar la valeur de contentsquare atteint un milliard de dollar dans cette opération déclaré à afp un porte parole de bpifrance qui participe à la levée de fonds cette opération est une de plus importantes depuis le début de année en france derrière celle ecovadis en janvier agence de notation rse 200 million de dollar mais devant celles de manomano également en janvier place de marché pour le bricolage 125 million euro et back market en mai téléphones reconditionnés 110 million euro la levée de fonds marque entrée au capital de contentsquare du fonds américain blackrock private equity partner la plupart de investisseurs existants à savoir bpifrance canaan eurazeo growth gpe hermes highland europe h14 et kkr ont participé à opération précisé contentsquare entreprise connu une forte croissance ce dernières années sa dernière levée de fonds 60 million de dollar remontait à janvier 2019 contentsquare qui compte aujourd hui 650 salariés dont 300 en france vend un logiciel qui analyse la manière dont le internautes se comportent sur un site mouvements de la souris ou du doigt sur écran temp passé sur une page déplacement à intérieur du site le logiciel en tire ensuite de recommandations pour le propriétaire du site en vue de maximiser son taux de conversion est à dire la propension de internaute à acheter le biens ou service proposés cette masse de données permet de comparer efficacité de chaque site par rapport aux site du même secteur et en tirer grâce à intelligence artificielle le meilleures recommandations possible nous avon plus de 700 client et collectons tous le jours 10 milliard de transaction utilisateurs expliqué jonathan cherki fondateur et directeur général de contentsquare la france compte moins une dizaine de licornes deezer blablacar doctolib efront dataiku auxquelles on peut ajouter le vétérans ovh et veepee et la franco américaine kyriba le destin traditionnel une licorne est être introduite en bourse lorsque son succès est bien établi est définitivement un chemin que on considère ne serait ce que pour obtenir excellence opérationnelle et la maturité que le statut entreprise cotée requiert indiqué jonathan cherki mais il a encore de possibilités de financement privé même pour une entreprise ayant atteint le statut de licorne t il ajouté selon le patron de contentsquare la crise du coronavirus a pa eu impact sur le processus de levée de fonds ce qui est passé sur ce trois derniers mois renforce importance du canal digital est à dire le ventes en ligne que contentsquare permet justement de maximiser t il indiqué de gen se sont mi à commander en ligne et continueront de le faire t il estimé fondateur jonathan cherki création 2012 siège social paris activité plateforme optimisation et analyse de expérience utilisateur effectifs 650 collaborateurs financement 190 million de dollar en mai 2020 60 million de dollar en janvier 2019 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.lavoix.eu/fr/news/124/lavoix-conversion-of-an-ep-patent-application-into-national-utility-models | Securing | A. Legal basis for conversion of an EP patent application into utility models According to Art. 140 and 135 (1) (b) of the European Patent Convention, the contracting states may provide for the possibility to convert a European patent application that is refused or withdrawn or deemed to be withdrawn, or a European patent that is revoked into a national utility model. Furthermore, a few contracting states have enacted laws permitting to use a European patent application or a European patent under opposition as the basis for the derivation of a national utility model. B. Where is conversion/derivation into a utility model possible? According to information gathered from the patent offices and our European associates, the following contracting states currently allow under certain conditions the registration of a utility model based on a European patent application or European patent: C. When to consider conversion/derivation into a utility model The owner of an EP patent application or of an EP patent under opposition might consider conversion/derivation in particular in the following situations: 1. The inventive step of the claims of the EP application or patent seems debatable. Utility model protection might be an option because several contracting states require a lower degree of inventiveness for utility models; 2. The main prior art invoked against the EP application/patent is a non-written disclosure. In some contracting states, this non-written disclosure might not be prior art for a utility model; 3. The main prior art was published shortly before the effective date of the EP application/patent by the applicant/inventor. Indeed, some contracting states have a grace period for utility models; 4. The owner of a pending EP application wants to quickly obtain an enforceable right. This is only a brief introduction into obtaining utility model protection based on an EP application/patent. Please contact us to discuss in detail the specific advantages and drawbacks if you are interested by this option. Writer: Fabian LIEB | 1business
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https://www.maddyness.com/2015/02/20/entreprise-connaissance-consommateur/ | Storytelling | après avoir proposé un programme centré sur innovation à la française en 2014 et avoir démontré le dynamisme de la filière marketing communication opinion le printemps de études va plus loin en 2015 et livre une vision prospective sur avenir de études s nouveaux eldorado et évolution du comportement de consommateurs le printemps de études vécu en véritable accélérateur de business dressera le 16 et 17 avril prochains au palais brongniart à paris un panorama complet de la filière avec pour promesse de la faire grandir encore et toujours un événement prospectif à suivre et soutenu par maddyness année écoulée été très stimulante pour le secteur de études accélération de possibilités permises par le technology digital recueil en mobilité social medium listening offre de nombreuses opportunités et modifie profondément la façon dont le marque doivent adresser le consommateurs et interagir avec leurs client de nombreux outils observation voient le jour et la mesure de émotions impose peu à peu pour mieux appréhender individu et son inconscient et cela est particulièrement vrai en 2015 le marché est en pleine mutation tout abord orienté sur de question études puis intégrant peu à peu plus de focus sur de enjeux entreprise plus large le secteur de études démarre aujourd hui une nouvelle phase dans laquelle il convient aider plus concrètement encore le entreprises à répondre aux enjeux business quote le outils évoluant rapidement il est essentiel pour le professionnels du secteur de informer du marché pour le découvrir et suivre leurs évolutions chaque année nous constatons au printemps de études que certaines tendances se poursuivent et autres apparaissent affinant toujours plus la connaissance du consommateur enjeu stratégique pour le entreprises précise stéphanie perrin commissaire général de la manifestation avant ajouter un enjeu autant plus aigu qu il se vit sur fond de pression économique et du facteur temp en entreprise quote la profession se transforme évolution de insight vers toujours plus de proposition de décision et action opérationnelles développement de usage en mobilité analyse de information non structurées écoute de comportements digitaux multi service multi écrans pour aider à prendre le bonnes décisions stratégiques le professionnels de études doivent rester en permanence informés de évolution du marché le études sont devenues élément majeur de la stratégie de entreprises plus que jamais il est indispensable pour le décideurs de disposer de bons insight pour prendre le décisions stratégiques appropriées un changement qui implique non seulement une évolution de compétences métiers mais aussi un renforcement de impact business de recommandations fond et forme pour rester au courant de ce tendances la profession doit constamment améliorer développer et créer de outils porteurs efficacité et de valeur ajoutée et ainsi apporter de information toujours plus fine quote stéphanie perrin précise que le printemps de études aide à introduire ce nouvelles transformation et livre le opportunités qui offrent pour le marché de études il le fait grandir qualitativement et quantitativement le printemps de études réunit tous le acteurs de la filière études tant instituts que prestataires pour le études qu organisation professionnelles ou chercheurs et universitaires ainsi événement est à même de proposer de véritables focus sur le innovation du secteur et s avancées et ce sou de format et modalités à la carte pour s visiteurs quote | 7people
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https://www.maddyness.com/2015/06/22/emailing-soldes/ | Storytelling | tic tac dans deux jours très précisément le soldes été vont débuter et avec elles une hausse importante de activité de tous le site marchands quelle fréquence envoyer s emailing quel contenu utiliser comment personnaliser ce emailing au maximum quote la rédaction de maddyness est associée à simplemail pour partager 8 conseils afin de bien préparer sa stratégie emailing en vue de soldes été et pour in fine générer le plus de chiffre affaire possible quote 1 une personnalisation subtile de emailingun email marketing dont objet est personnalisé génère de taux ouverture 30 fois plus élevés qu un email classique il serait donc dommage de passer à côté de cela pour personnaliser une campagne emailing de soldes la méthode classique consiste à utiliser le prénom nom de abonné dans objet ou dans le contenu de email une autre méthode peut consister à fournir un code promotionnel unique à chaque abonné comme dans exemple de 3 suisse ci dessous enfin il peut être judicieux de proposer aux abonnés de produits soldés en concordance avec leurs précédents achats 2 une segmentation fine de listes de contacten emailing comme dans beaucoup de domaines il est crucial de se mettre à la place de s abonnés il va de soi qu un homme de 35 an ne souhaite pa recevoir le mêmes offres promotionnelles qu une jeune fille de 18 an il convient donc de bien segmenter s listes de contact en fonction de âge du sexe et ou de la localisation 3 de couple expéditeur objet efficacesle nom expéditeur et objet sont le premières information que abonné va visualiser en recevant un emailing ce sont ce deux information qui vont influencer sa décision ouvrir ou non emailing le nom expéditeur doit donc être connu et facilement identifiable pour abonné et objet doit être le plus percutant pertinent possible 4 du contenu de qualitéen cette période de soldes il faut bien prendre en compte le fait que le abonnés vont être très sollicités pour se démarquer de la concurrence il peut être intéressant de proposer un contenu différent et insérer une vidéo ou un gif comme dans exemple ci dessous dans emailing surtout quand on sait qu une vidéo génère 30 fois plus de clics qu une image classique 5 apporter de inspirationinutile attendre la fin de soldes pour utiliser le données de son site commerce identifier dès le début de soldes le produits qui se vendent le mieux et le proposer dans de campagnes emailing peut donner de inspiration aux abonnés et le inciter à acheter une autre astuce consiste à présenter une sélection article en fonction de différents budget ou en fonction de la remise accordée 6 utiliser le réseaux sociauxau moment de soldes hiver 2015 kookaï avait construit une excellente campagne emailing en utilisant instagram idée repérer le photo instagram présentant leurs produits et le insérer dans une campagne emailing cela permet à la marque de prêt à porter féminin de présenter s produits une manière différente et utiliser le témoignages de s clientes pour rassurer et convaincre le internautes de la qualité de s produits 7 une fréquence envoi adaptéepréparer un planning envoi peut avérer très utile en cette période de soldes il agira envoyer régulièrement de offres promotionnelles et utiliser le statistiques pour cibler efficacement le abonnés qui ouvert cet emailing qui cliqué sur tel lien etc un autre bon réflexe en période de soldes consiste à mettre en place une campagne emailing automatique pour relancer le paniers abandonnés le solution emailing comme simplemail permettent de le faire en quelques clics seulement enfin toujours dans un souci de différentiation il peut être judicieux de proposer aux abonnés de créer leur panier quelques jours avant le lancement de soldes pour éviter la cohue et donc peut être le ralentissement du débit sur le site en question le jour 8 un design responsiveon sait qu aujourd hui un email sur deux est ouvert sur mobile il convient donc de bien utiliser de modèles template email responsive pour qu il affichent correctement sur mobile tablette ou ordinateur enfin si email est responsive il va sans dire que le site web doit être aussi même si peu de ventes se passent sur mobile internaute peut utiliser ce support pour étudier le caractéristiques du produit ou le comparer à autres | 3digital
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https://www.frenchweb.fr/deepreach-lex-dg-de-solocal-mene-une-levee-de-82-millions-deuros-pour-sa-startup/408760 | Financing | deepreach spécialisé dans le marketing digital et local lève 8 2 million euro en série auprès de son fondateur jean pierre remy ancien président directeur général de solocal ex pagesjaunes avec la participation investisseurs privés fondé en 2017 deepreach développe une plateforme saas de communication à destination de agences et annonceurs basée sur intelligence artificielle elle leur permet automatiser analyse du marché local ainsi que le lancement de campagnes locale deepreach commencé à commercialiser sa plateforme en mar 2019 et revendique depuis plus de 120 agences clientes et 12 000 annonceurs pour être informé de la disponibilité du guide de la rpa édité par frenchweb nous vous invitons à vous abonner à notre newsletter consacrée aux nouveaux service et solution pour accélerer votre transformation numérique la startup adresse notamment de solution pour le agences promettant par exemple de campagnes optimisées et une solution automatisée cross medium deepreach vient par ailleurs de recevoir le grand prix de innovation de digilocales 2020 qui distingue le meilleures solution pour la communication locale pour son fondateur et pdg jean pierre remy est le marché tout entier qui prend désormais pleinement conscience de enjeux du local après avoir revendu egencia au groupe expedia en 2004 remy été nommé responsable au niveau européen puis mondial de activités voyage affaire expedia avant de rejoindre solocal en tant que directeur général en 2009 avec deepreach il ambitionne désormais de démocratiser accompagnement de marque dans leurs action de maketing local la startup basée à paris souhaite à présent multiplier s ventes par 2 ou par 3 en 2021 et poursuivre son expansion sur de nouveaux marchés européens cette levée de fonds va nous permettre de poursuivre le développement de notre plateforme et accroître notre présence à international en particulier en allemagne et au royaume uni conclut jean pierre remy fondateur jean pierre remy création 2017 siège social paris secteur marketing communication marché solution digitales de marketing local financement 8 2 million euro en série auprès de son fondateur jean pierre remy ancien directeur général de solocal ex pagesjaunes avec la participation investisseurs privés pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/les-secrets-du-succes-des-salles-de-sport-low-cost-neoness_427858 | R.O.I. | Comment gagnez-vous de l’argent avec vos abonnements à partir de 10 euros par mois? Avec mon associée, Céline Wisselink, nous avons enlevé toutes les prestations annexes qui coûtent cher – sauna, hammam, piscine… – et représentent la moitié du prix de l’abonnement, pour nous concentrer sur le sport. Depuis la création en 2008, combien de salles avez-vous ouvertes? Nous venons d’ouvrir la 24e salle. Elles sont situées majoritairement en région parisienne et un peu en province: Marseille, Lyon, Bordeaux, Rouen et Nantes. Actuellement, nous ouvrons une dizaine de salles par an. Comment choisissez-vous vos emplacements? La clé, c’est la proximité. Nous nous installons là où le bassin de population est suffisant: 100.000 personnes à moins de quinze minutes à pied, en voiture ou en métro. Nous enregistrons 500 à 1.000 passages par jour et par club. Envisagez-vous l’international? Ce segment de marché est déjà très développé en Europe, la France est en retard. Il faudrait que nous -changions de continent. Où en est Neoness huit ans après? L’entreprise compte 250 salariés. Nous ne communiquons pas sur notre chiffre d’affaires. La société d’investissement Salvepar a récemment injecté 25 millions d’euros pour accélérer notre développement: il faut 1 à 2 millions pour lancer une salle de gym. Qu’est-ce qu’une salle de gym low cost? Tous nos coachs sont diplômés d’Etat, c’est la loi. L’encadrement sportif est le cœur de notre prestation. Nous ne rognons pas là-dessus. Les machines sont haut de gamme. Les économies se font ailleurs : nous avons de grandes salles de 300 mètres carrés où nous pouvons donner cours à 80 personnes. Vos clients sont-ils fidèles? Nous avons le même taux de fidélisation que l’ensemble des acteurs du marché. Nous sommes à 92% de taux de satisfaction. Avec nos prix bas, nous touchons une frange de la population qui n’était pas motivée au départ pour faire du sport. Nous ne sommes pas dans le culte du corps, il n’y a pas de miroirs dans nos salles, et ceux qui craignent le regard des autres se sentent à l’aise. Quel est le profil moyen des membres? Jeune actif, 28 ans, plutôt féminin. Nous avons 52% de femmes, les moins de 40 ans représentent 70% de la clientèle. Nous sommes extrêmement mixtes. Certaines salles sont très CSP+, comme celle du XVe arrondissement. Celle d’Aubervilliers est plus mélangée en termes de population. Quelle place prend le digital dans votre stratégie? Nous étudions toutes les formes d’encadrement sportif qui nous permettent de démocratiser le sport, y compris le coaching virtuel sur YouTube. Mais il ne remplacera pas les vrais coachs. Nous ne croyons pas au 100% digital. C’est l’humain qui motive. Pour 2 euros par mois, notre application permet de créer des programmes avec les machines du club. Que vous apporte votre réussite? Nous avons choisi avec mon associée d’être entrepreneuses pour être libres de nous organiser comme nous le voulions, d’orienter l’entreprise comme nous le sentions. Entretien réalisé par Claire Bouleau et Gilles Fontaine. \n\n \n \n Sport\n \n | 12society
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/fiscalite-social-ce-qui-empeche-nos-entreprises-de-grandir_62172 | Financing | Aujourd’hui, la France est-elle capable de produire des "licornes", ces entreprises, à l’image de BlaBlaCar, valorisées à plus d’1 milliard de dollars ? C’est rare. En France, nous avons du mal à faire grandir les entreprises, notamment en raison de contraintes sociales ou fiscales. Ces sociétés qui croissent très vite vont chercher du financement et des marchés ailleurs. En revanche, nous avons une génération d’entrepreneurs français multirécidivistes, capables de fonder des leaders mondiaux. Nous avons aussi des centres de recherche qui aident ces jeunes pousses et les amènent à un niveau d’excellence mondial. Qu’est-ce qui ne marche pas ? Chaque année en France, environ 550.000 personnes veulent créer leur entreprise, soit un Français sur cent. Ce qui en fait l’un des pays à la plus forte densité entrepreneuriale dans le monde. Au final, seuls un millier d’entre elles dépasseront un jour la barre des 50 salariés. Cela fait quarante ans que ça dure. Quand on regarde le stock des PME de plus de 250 personnes, il y en a 4.500 en France pour 9.000 en Angleterre, 11.500 en Allemagne. La loi Macron change-t-elle la donne ? Non, elle est très en dessous de la rupture qu’il aurait fallu provoquer. Le problème est politique. Il faut refondre totalement le droit du travail. Et la fiscalité n’est pas du tout intéressante pour ceux qui prennent le risque. Aucun gouvernement, à droite comme à gauche, n’a eu le courage de faire ce qu’il faut. Les entrepreneurs en France n’ont pas les politiques qu’ils méritent. La dynamique vient de la société civile plus que du monde politique. Serena Capital a lui-même été fondé par une bande d’entrepreneurs… Le fonds a été créé en 2008 par Xavier Lorphelin, Marc Fournier et moi-même, et nous avions envie de faire ce métier d’investisseur comme des entrepreneurs. Nous finançons et accompagnons opérationnellement d’autres entrepreneurs pour les faire grandir. Nous avons notamment épaulé La Fourchette, Melty, Aramisauto… Nous recevons 20 dossiers par semaine, notamment dans le big data ou les objets connectés, et nous voyons le monde se réinventer sous nos yeux. Aujourd’hui, n’importe quel modèle peut être chamboulé par des jeunes qui ont eu l’idée de simplifier la vie des gens. Vous avez lancé l’association 100.000 entrepreneurs, dont vous rapportez l’action dans un livre L’Avenir à portée de main. Quel est son objet ? Les enseignants acceptent aujourd’hui que des entrepreneurs viennent dans leur classe expliquer aux élèves qu’ils peuvent prendre leur vie en main, et que la France est un magnifique pays pour entreprendre. Les jeunes n’entendent que des mauvaises nouvelles et nous allons dans les classes pour leur dire : vous avez un talent fou, faites-en un projet, portez-le, donnez un sens à votre vie. Et ce message, tout le monde a envie de l’entendre. Retrouvez l'intégralité de l'interview dans la vidéo ci-dessous: Entretien réalisé au Victoria 1836 par Jean-Baptiste Diebold et Gilles Fontaine \n\n \n | 5learning
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https://www.lavoix.eu/fr/news/106/jurisprudence-reber-holding-gmbh-and-co-kgc-anna-klusmeier | Securing | Wolfgang Klusmeier dépose une demande de marque communautaire composée du signe verbal Wolfgang Amadeus Mozart PREMIUM pour revendiquer notamment des « café, thé, cacao, sucre, riz, tapioca, sagou, succédanés du café; farines et préparations faites de céréales; pain, glaces comestibles; miel, sirop de mélasse; levure, poudre pour faire lever; sel; moutarde; vinaigre, sauces (condiments); épices; glace à rafraîchir » en classe 30. La société Reber Holding GmbH & Co. KG forme opposition à l’encontre de cette demande de marque, sur la base de ses marques antérieures suivantes : Le demandeur de la marque contestée sollicite des preuves d’usage des marques allemandes précitées. En réponse à cette demande, l’opposant présente notamment une copie couleur du couvercle d’une boîte de Mozartkugeln (variété de chocolats allemands), semblable à la reproduction ci-dessous : La division d’opposition de l’OHMI considère que l’opposant n’a pas prouvé l’usage de ses marques antérieures et rejette l’opposition. Cette décision est confirmée par la Chambre des recours qui considère que les éléments produits par l’opposant sont insuffisants pour démontrer l’usage de ses marques antérieures. La société Reber Holding GmbH & Co. KG forme alors un recours auprès du Tribunal de Première Instance de l’Union Européenne (TPIUE). Le TPIUE considère notamment que la copie en couleur du couvercle de la boîte de Mozartkugeln précitée ne constitue pas une preuve d’usage de la marque allemande figurative n° 1151678, au motif que : « (…) la façon dont il est fait usage de la marque allemande figurative antérieure n° 1151678 sur le couvercle de la boîte de Mozartkugeln dont la requérante a fourni une copie ne permet pas de conclure qu’elle a été utilisée en tant que marque, à savoir conformément à sa fonction essentielle qui est de donner une indication de l’origine commerciale du produit concerné. […] Sur le couvercle en cause, elle est placée dans le coin inférieur droit du portrait d’un homme représenté à la manière d’un tableau du XVIIIème siècle et qui pourrait être Wolfgang Amadeus Mozart. Ainsi que le relèvent à juste titre l’OHMI et l’intervenante, sur cet emballage, c’est clairement ce portrait qui, du fait de sa taille et de son positionnement, domine. L’inscription stylisée « W. Amadeus Mozart », qui est rédigée en fins caractères et dont la couleur ainsi que le style s’harmonisent parfaitement avec ceux de l’encadrement, en l’occurrence doré et baroque, du portrait, n’apparaît, dans l’image d’ensemble, qu’au second plan et comme un élément purement décoratif et accessoire. Elle sera perçue comme une indication que le portrait représente Wolfgang Amadeus Mozart et non comme une indication de l’origine commerciale des Mozartkugeln contenues dans la boîte. » Le TPIUE ajoute que « c’est plutôt le terme REBER qui sera susceptible d’être perçu comme une indication de l’origine commerciale du produit ». Le TPIUE rejette le recours formé par Reber Holding GmbH & Co. KG. Contact: Gwénaël TOUSSAINT | 0agronomy
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https://www.maddyness.com/2018/01/29/marketing-contentsquare-leve-42-millions-dollars/ | Financing | la startup contentsquare observe et analyse de milliard de mouvements tactiles ou de souris pour optimiser le parcours client et maximiser la conversion à achat une technologie qui convaincu le fonds canaad highland europe eurazeo et h14 la plateforme française analyse prédictive du comportement client contentsquare annonce ce lundi avoir bouclé un tour de table de 42 million de dollar 33 8 million euro auprès de canaan investisseur de lendingclub ou match com highland europe qui de participation dans wetransfer ou photobox eurazeo et h14 il agit de la troisième levée de la martech qui avait notamment sécurisé 20 million de dollar lors de son précédent tour de table en octobre 2016 cet apport au capital doit permettre à contentsquare de continuer à développer s activités en europe et aux états unis où la startup avait ouvert un bureau après son précédent closing avec 200 employés engagés en un peu plus un an et la signature de 120 nouveaux client à instar de carrefour orange ou tiffany la startup déjà largement entamé son internationalisation elle souhaite désormais asseoir sa stature dans s différents marchés imposer face à une concurrence foisonnantecontentsquare observe et analyse le mouvements en ligne de client tactiles ou de souris pour optimiser leur parcours sur un site ou une application mobile le données sont ensuite utilisées pour augmenter engagement maximiser le taux de conversion et ainsi rentabiliser au mieux le plateformes achat la vocation de contentsquare est aider le entreprises à comprendre comment et pourquoi le client interagissent avec leur site internet téléphone et application explique jonathan cherki pdg de contentsquare en utilisant ce data notre objectif premier est améliorer expérience digitale de consommateurs et bien entendu accroître le ventes de no client la startup qui se définit comme arme secrète de équipes digitales convaincu le investisseurs grâce à une exécution efficace alors même que le secteur de la martech est très concurrentiel le fait qu il soit aujourd hui possible pour une une marque de vendre tout type de bien et de le livrer rapidement au client final signifie que le facteur clé de différenciation pour la fidélité envers la marque est expérience client souligne michael gilroy partenaire chez canaan est là que la magie de contentsquare intervient s employés peuvent aider le entreprises à vraiment comprendre s utilisateurs et créer une expérience innovante contentsquare en quelques chiffres créé en 2008 fondateur jonathan cherki siège paris 49 8 million euro levés depuis la création | 3digital
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https://www.frenchweb.fr/marketing-appsflyer-boucle-une-mega-levee-de-210-millions-de-dollars-pour-conquerir-lasie/390047 | Financing | appsflyer spécialisé dans la mesure audience de campagnes marketing sur mobile lève 210 million de dollar en série à occasion un tour de table mené par general atlantic avec la participation de investisseurs historiques qumra capital goldman sachs investment arm dtcp deutsche telekom capital partner pitango venture capital et magma venture partner la startup israélienne avait déjà levé 56 million de dollar en série en 2017 ce qui porte le financement total de entreprise à 294 million de dollar lancé en 2011 par reshef mann et oren kaniel appsflyer développe une plateforme saas qui fournit de outils analyse aux entreprises pour le guider dans leur gestion de campagnes marketing sur mobile la startup basée à san francisco est également développée dans la prévention contre la fraude sur mobile et pour cela ouvert sa plateforme aux partenaires et développeurs tier leur permettant ajouter leurs propres solution personnalisées à appsflyer explique oren kaniel envergure appsflyer lui permet de fournir de données attribution précises et une protection contre la fraude publicitaire ce qui permet aux annonceurs économiser notamment de million commente anton levy co président et directeur mondial de la technologie chez general atlantic qui rejoint le conseil administration appsflyer avec le directeur général de general atlantic alex crisses si cette levée de fonds doit permettre à appsflyer améliorer sa plateforme est notamment pour permettre à s partenaires de se développer sur le marché asiatique avec plus de confiance en effet la startup israélienne ne cache pa son ambition de conquérir le marché asiatique et déjà noué de partenariats avec de grandes sociétés à instar de baidu ou tencent appsflyer est déjà étendu sur le marché européen où il compte de client tels que deliveroo sephora ou encore waze ainsi que dans le reste du monde avec nike ou hbo la startup revendique à ce jour 850 employés répartis dans 18 bureau à travers le monde fondateurs reshef mann et oren kaniel création 2011 siège social san francisco secteur marketing activité mesure audience de campagnes marketing sur mobile financement 210 million de dollar en série à occasion un tour de table mené par general atlantic avec la participation de investisseurs historiques qumra capital goldman sachs investment arm dtcp deutsche telekom capital partner pitango venture capital et magma venture partner pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.strategie.gouv.fr/english-articles/reorienting-financial-intermediation-towards-sustainable-financing-bangladesh-banks | Market Impact | A densely populated South Asian developing country with an extended low-lying coastal belt, Bangladesh is particularly vulnerable to a rise in sea levels and other climate change threats created by the high carbon emissions of industrial economies. This is spite of it having minuscule per capita carbon emissions. The government of Bangladesh is aiming to reduce this vulnerability by embracing low carbon climate-resilient options in development strategies and initiatives. The intended transition from conventional high carbon emission output practices and lifestyles to the low emission sustainable alternativeslargely entails rechannelling existing financing flows to new sustainable options instead of allocating vast sums to new financing. BB has focused on catalyzing the needed shift of financing flows in the domestic market towards the adoption of sustainable low carbon practices and lifestyles. While the government is mobilizing fiscal resources for major new public climate-action initiatives, BB’s reorientation efforts in the financial sector are helping the adoption of sustainable low carbon options in the private sector, which constitutes over four-fifths of the economy. BB began by launching a sustained sensitization and motivation initiative to ingrain a socially responsible institutional ethos of inclusive, environmentally responsible financing in the country’s financial sector. BB holds regular consultative engagements with banks and financial institutions in setting mutually agreed incremental targets for green and inclusive financing in specified priority productive sectors (in percent of annual total new financing). High performers earn token awards by way of recognition or commendation, a better supervisory rating score, etc. BB’s motivation initiatives have resonated well in the entire financial sector; all public and private banks and financial institutions, both local and foreign, have embraced green and inclusive financing, devising innovative and cost-efficient service delivery modes for attaining the targets. Just as importantly, the motivation initiative has dissuaded the financial sector from financial speculation and wasteful consumption, increasing financing availability for environmentally sustainable projects. Enabling sustainable financing goes hand in hand with BB’s motivation initiatives. Environmental Risk Management (ERM) guidelines issued by BB in 2011 have provided local lenders with assessment frameworks on which to base their sustainable financing decisions. Reform initiatives are ongoing in the local capital and financial markets to foster fundraising through the issuance of corporate bonds, including green bonds. BB has also encouraged forging collaborative and cooperative platforms for local green entrepreneurs and lenders, facilitating their work with climate action and financing support networks abroad. Low cost refinance support lines in local currency are available from a BB window against sustainable financing for low carbon projects in 47 specified areas, including renewable energy generation, effluent treatment and energy efficient output practices. Initiated with BB’s own modest funding (within the limit of reserve money growth permissible in BB’s monetary programmes), development partners such as the Asian Development Bank, the World Bank and the Japan International Cooperation Agency have subsequently joined together to increase and expand the refinance lines supporting green financing and SME financing. A new foreign currency refinance line of up to USD 500 million from BB’s resources is being lined up specifically to support financing for the adoption of environmentally sustainable practices in water management and other areas in the export-oriented textile and leather industries. BB has also been adjusting the macro prudential rules (e.g. debt equity ratios) to create a more favorable bias for financing low carbon green options rather than conventional ones. It is too early to assess the impact of the BB’s initiatives in reducing the carbon footprint. This is because green financing in the domestic market has not yet attained the critical mass needed for concrete results. However, gains in the momentum in the financial sector towards sustainable green financing are already clearly perceptible. The highly favorable macroeconomic stability outcomes of BB’s sustainable financing initiatives are also evident. Bangladesh has enjoyed more than 6% average annual real GDP growth for well over twelve years now amid a prolonged global economic crisis. Strong gains in the external sector and a foreign exchange reserve buildup have put the domestic currency under sustained appreciation pressure. All banks and financial institutions in the domestic market are steadily building up their portfolios of green financing assets. IDCOL, a public sector infrastructure financing company, has already amassed a green financing portfolio large enough to raise new green bond funds. Besides promoting the green transition of the domestic financial sector, BB is also affirming its commitment to the low carbon transition of global finance by acquiring and holding green bonds in its foreign exchange reserve asset portfolio. BB intends to proactively pursue rapid progress in all these areas, aiming in the near to medium term to increase low carbon financing in Bangladesh’s financial sector. M.A.M. Kazemi, par mmadeira M.A.M. Kazemi is the senior adviser to the governor and former deputy governor of the Bangladesh Bank. M.A.M. Kazemi est conseiller principal du gouverneur et ancien gouverneur adjoint, Banque centrale du Bangladesh.\n France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.lavoix.eu/fr/news/279/forme-et-fonction-attention-strategie-de-protection | Securing | Une jardinière, une chaise, une poussette, une télécommande, un interrupteur, etc…sont susceptibles d’être protégés par le droit des dessins et modèles eu égard à leur apparence et par le droit des brevets eu égard à leur technicité. Le choix de la protection n’est pas anodin car la portée de protection d’un brevet ou d’un modèle diffère : protection de l’invention dans ses variantes par brevet et protection de l’apparence d’un produit mettant en œuvre l’invention par modèle. Bien souvent le choix de la protection s’impose. En effet, toutes les apparences ne sont pas protégeables par modèle. Lorsque la fonction impose la forme, une protection par modèle est exclue et la voie du brevet doit être privilégiée. Ainsi, l’article 8, paragraphe 1, du RDC dispose qu’« un dessin ou modèle communautaire ne confère pas de droits sur les caractéristiques de l’apparence d’un produit qui sont exclusivement imposées par sa fonction technique ». Quel critère appliquer ? Si la forme choisie est la seule à pouvoir remplir la fonction technique considérée, la voie du modèle doit être écartée mais l’inverse, c’est-à-dire la multiplicité des formes permet-elle de conclure à une protection par modèle. Ce critère de la « multiplicité des formes » est contesté au motif notamment qu’il favoriserait la protection de formes dépourvues de tout aspect esthétique. Le caractère esthétique d’une forme n’est toutefois pas une condition de protection d’un modèle. La Directive 98/71, en son considérant 14, dispose que si « l’innovation technologique ne doit pas être entravée par l’octroi de la protection des dessins ou modèles à des caractéristiques imposées exclusivement par une fonction technique (…) il est entendu qu’il n’en résulte pas qu’un dessin ou modèle doit présenter un caractère esthétique ». Pour l’EUIPO, lorsque « seule la fonction du produit importe, le droit des dessins et modèles n’a pas lieu d’être », et ce en dépit d’autres formes possibles. Le critère de la multiplicité des formes continuent à séduire. Ainsi, dans un jugement du 6 octobre 2016, le TGI de Paris a rejeté une action en annulation d’un modèle communautaire de stylet sur le fondement de l’article 8 au motif que « il apparaît que le design particulier recherché est celui de la forme du stylo encre et l'ajout des deux boutons apparents sur le dessus n'est qu'esthétique, alors que d'autres stylets avec la même fonction technique ont été commercialisés sous des formes différentes tel que cela apparaît de l'examen des pièces versées aux débats. » Certes, le tribunal note que l’ajout des boutons est esthétique mais il fait également référence aux autres formes possibles... Dans un jugement du 15 septembre 2016, le TGI de Paris rappelle avec pédagogie que : « le seul fait que les formes prises par le produit incorporant le modèle répondent à des contraintes techniques liées à son utilité et à sa fonctionnalité ou que celui-ci fasse par ailleurs l'objet d'une demande de brevet (…) n'implique pas en soi que ces contraintes techniques dictent exclusivement le choix de la forme et de l'apparence retenues. » L'adverbe "exclusivement" implique que le motif de nullité ne peut être retenu que si la forme est commandée par la seule fonction. Sur le critère de multiplicité des formes, les magistrats prennent une position claire : « Pour apprécier ce caractère fonctionnel, rien n'interdit de tenir compte de la multiplicité des formes existantes dans l'art antérieur qui peuvent constituer un indice, certes non suffisant, des variations formelles autorisées par la contrainte technique ». Ainsi, lorsqu’une seule forme est possible pour obtenir une fonction, une protection par modèle doit être exclue et une protection par brevet recherchée. En revanche, lorsque plusieurs formes sont possibles pour atteindre une fonction donnée, une protection par modèle est envisageable sous réserve que « toutes les caractéristiques essentielles de l’apparence du produit ne soient pas uniquement dictées par sa fonction technique ». Pour une protection par modèle, la fonction ne doit pas imposer la forme. Brevet et/ou modèle, une synergie des droits, plus complémentaires qu’antinomiques qui impose une réflexion avant toute divulgation afin d’optimiser la protection de vos actifs immatériels. Contact : David MILLET | 2design
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/lavenir-de-voiture-electrique-se-joue-t-chine | Value Chain | En 2009, hier encore, la Chine ne produisait qu’une poignée de véhicules électriques. En 2018, elle en écoulera plus d’un million, s’adjugeant ainsi une bonne moitié des ventes mondiales. En l’espace d’une décennie, ce pays a réussi à créer de toutes pièces une filière industrielle dont l’essor spectaculaire pourrait à terme rebattre les cartes du marché mondial de l’automobile. D’autant que les Chinois ne cachent pas leurs ambitions exponentielles : 2 millions de véhicules électriques vendus en 2020, 7 millions en 2025 et 16 millions en 2030. De fait, le pays n’a pas ménagé ses efforts, fixant les objectifs de production, multipliant les subventions à l’achat, encourageant les joint-ventures avec des entreprises occidentales, érigeant des barrières protectionnistes. Un écosystème a surgi de terre, entièrement tendu vers l’émergence de champions nationaux. Car si la diffusion du véhicule électrique doit contribuer à dépolluer les villes et à réduire la dépendance aux importations d’hydrocarbures, elle vise surtout, dans l’esprit des dirigeants, à donner naissance à une nouvelle filière industrielle — avec l’ambition d’en devenir le leader mondial. La mobilité électrique, qui remet tous les constructeurs automobiles sur un pied d’égalité, offre de fait à la Chine l’occasion de prendre un raccourci technologique, en faisant l’impasse sur le thermique. Forte déjà de sa domination dans le secteur clé des batteries, la Chine peut esquisser aujourd’hui un tournant stratégique : fin de l’obligation des partenariats locaux pour les sociétés occidentales, baisse des taxes à l’importation, arrêt programmé des subventions à l’achat de voitures électriques, établissement de quotas de production de voitures électriques, réduction des barrières douanières. Mais sous l’apparence d’une ouverture plus grande au marché, c’est le même esprit de conquête qui est à l’œuvre. Fera-t-il naître le prochain géant mondial de l’industrie automobile ? Champions installés et start-up sont sur les rangs. Quoi qu’il en soit, compte tenu du gigantisme du marché intérieur, la politique chinoise en la matière pourrait bien contraindre les constructeurs occidentaux à revoir leur positionnement, d’abord sur le marché chinois, et sans doute à terme sur l’échiquier mondial. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.makery.info/2016/08/01/en-amazonie-un-fablab-flottant-veut-connecter-jungle-et-technologie/ | Market Impact | Iquitos (Pérou), correspondance Le concept du Floating fablab existait depuis trois ans. Depuis peu, nous avons passé la première étape pour en faire une réalité concrète : nous avons un bateau ! Le co-directeur du Fab Lab Lima Benito Juarez a présenté le Floating fablab (FLF), littéralement le « fablab flottant », à la FAB9, la réunion internationale des fablabs, à Yokohama au Japon en août 2013. En septembre 2015, Benito Juarez a officiellement défendu ce projet de promotion et de sauvegarde de la culture et de l’environnement en Amazonie au sommet des Nations unies sur le développement durable à New York. L’idée ? Installer un fablab sur un bateau entièrement écologique qui naviguerait sur une portion du fleuve Amazone, offrant éducation et accès à la technologie aux nombreuses communautés isolées qui y habitent. Ce projet répond à la plupart des 17 objectifs de développement durable de l’ONU fixés lors de ce sommet, qui valorisait le travail à long terme engagé par les communautés locales et mettait en avant un effort international pour un monde plus heureux et plus sain. Le Floating fablab suit notamment les objectifs 9, 10 et 11 qui parlent de construire des infrastructures résistantes, d’encourager l’innovation et l’industrialisation ouverte, de réduire l’inégalité entre les pays et de rendre les villes et l’habitat humains ouverts, sûrs, résistants et durables. Le Floating fablab est ainsi à la fois une plateforme mobile pour la recherche en bioremédiation, et un outil d’intégration sociale qui apporte éducation et technologie aux communautés négligées. Depuis trois ans, une cinquantaine de volontaires de 20 pays sont impliqués dans le projet du fablab flottant, offrant une gamme d’expertise allant des techniques de management à la stratégie de design. Chaque semaine, les membres de l’équipe se donnent rendez-vous en ligne pour évoquer les développements de chaque spécialité. De nombreux fablabs, dont ceux d’Argentine, de Monterrey au Mexique, du Salvador, les Roma Makers en Italie et la totalité du réseau péruvien ont également participé au montage du projet, collaborant dès 2014 à un atelier de design pour réfléchir aux premiers concepts pour le bateau. Depuis trois ans, le Floating fablab a collaboré avec différentes entreprises, organisations non gouvernementales comme gouvernementales. La marine péruvienne nous a apporté un soutien précieux. Depuis 2014, le FLF travaille avec les Servicios Industriales de la Marina (Sima, les chantiers navals de la marine) qui construisent et rénovent les navires de l’armée péruvienne. Le Sima a notamment proposé d’entreposer et de rénover un pilote de fablab flottant. « Nos services sont fiers de contribuer à cet important projet dont vont bénéficier tous les peuples d’Amazonie péruvienne », explique Juan Diaz, directeur du Sima Iquitos. Les soldats de la marine appréhendent souvent des narcotrafiquants sur le fleuve Amazone. Et confisquent leurs bateaux. L’un d’eux, le Yonatan, a été donné au Floating fablab en mai 2016 pour servir de prototype pour le projet ! Le capitaine Santiago Cobos de la marine péruvienne, qui travaille notamment avec le gouvernement pour améliorer la vie des communautés qui vivent dans les parties les plus reculées de l’Amazonie, estime que « ce bateau peut être le début du grand projet sur lequel travaillera le Sima Iquitos ». Yonatan est actuellement à quai sur les chantiers navals de Sima Iquitos, en attente de rénovation. Il sera agrandi de quelques mètres, en longueur et en largeur, pour atteindre une taille de 7m x 36m et ainsi gagner en stabilité. Cela permettra également d’y installer un grand auditorium qui contiendra les machines nécessaires à la fabrication digitale et un espace pour animer des ateliers. «Le fablab apportera une plateforme de connaissances qui aidera à diminuer la pollution et contribuera significativement au développement.» « Notre plus gros défi sera les matériaux », dit Benito Juarez à propos des rénovations à venir. « Nous aimerions effectuer des recherches sur l’intégration de matériaux locaux dans la fabrication numérique. La plupart des peuples de la jungle construisent en utilisant des bio-matériaux comme les palmiers. Mais c’est assez dangereux en cas d’incendie. Or, nous avons beaucoup d’orages dans la jungle. Cela fait partie du risque d’y habiter. Notre défi premier est donc de trouver la manière d’utiliser ces matériaux locaux mais aussi de développer un cadre qui prenne en compte les risques d’incendies et des fortes pluies. » La prochaine campagne de crowdfunding du FLF, après FAB12 à Shenzhen en août, sera cruciale pour se procurer les fonds pour rénover et agrandir le bateau en fablab mobile opérationnel et écologique. L’équipe est en quête de la meilleure plateforme pour lancer cette campagne mais a déjà décidé que le projet serait mieux représenté par une plateforme latino-américaine comme Ideame. « Nous aimerions vraiment impliquer la communauté internationale dans la construction du bateau, » ajoute Benito Juarez. « Notre système de “fabsourcing” donnera l’opportunité aux gens de faire don de machines ou de matériel et aussi développer une partie du bateau et la livrer dans la jungle pour l’assembler. Nous allons faire un programme pilote de fabsourcing après FAB12 en Chine et ensuite nous aimerions le mettre en place pour la construction finale du bateau. » Benito Juarez souhaite créer un réseau de fablabs flottants couvrant 2000 km du fleuve Amazone, depuis sa source à Nauta au Pérou jusqu’au centre du Brésil. Dix bateaux couvriraient environ 200 km chacun et travailleraient en étroite collaboration, échangeant provisions et informations. Un réseau de « nœuds » de fablabs fixes serait établi dans des lieux adaptés sur le rivage, où les bateaux mobiles pourront se mettre à quai et où les membres du Floating fablab pourront s’aventurer dans la jungle pour atteindre les habitants qui vivent plus en retrait. La vision à long terme de Benito Juarez peut sembler un rêve follement ambitieux, mais le don du bateau Yonatan de la part de la marine prouve qu’il réalisable. « Nous pensons pouvoir lancer le Floating fablab au début de l’année prochaine », conclut-il. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 7people
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https://www.lavoix.eu/fr/news/216/strategie-pour-optimiser-votre-protection-a-titre-de-marque | Storytelling | La Marque est un signe distinctif dont la fonction est de servir d’indicateur d’origine des produits ou services d’une entreprise : Il est donc impératif d'élaborer soigneusement sa stratégie de dépôt et d’utilisation dans un but d’optimisation de la protection de ses droits en répondant en amont aux questions suivantes : LAVOIX vous apportera des réponses à ces différentes questions dans le cadre de ses IP ALERT. Nous vous proposons, dès aujourd’hui, d’apporter un éclairage sur la problématique du dépôt de la marque en couleurs ou en noir et blanc. * * * * * * * * * En raison de sa charge émotionnelle, et de son fort pouvoir d’identification auprès du public, la couleur est un choix stratégique pour les entreprises. Les Marques prennent donc souvent des couleurs. Il est possible en droit français et communautaire de protéger une Marque en couleurs, soit qu’il s’agisse d’un agencement particulier de couleurs, soit d’une couleur isolée qui ne doit pas être une couleur primaire. L’article L.711-1 (c) du code de la Propriété Intellectuelle dispose en effet qu’une marque peut être constituée d’une ou plusieurs couleurs, à savoir consister en « des dispositions, des combinaisons ou des nuances de couleurs ». Concernant la Marque communautaire, les couleurs ou combinaisons de couleurs peuvent de la même façon constituer une marque valable. Ainsi, les Marques de couleurs suivantes ont été enregistrées : Description : Bleu (Pantone 2747C), argent (Pantone 877C) Description : Couleur orange décrite comme suit selon la référence LAB de la Commission Internationale de l'Eclairage : L : 58.32, a : 41.91, b : 48.06, avec un delta E de 2 (mesure effectuée sous une illuminance de D 65/10o) Ainsi, si une protection est recherchée pour les couleurs particulières d’une Marque, cette dernière devra être déposée avec une représentation en couleurs. Elle sera également publiée en couleurs dans les Bulletins Officiels et les tiers en auront ainsi connaissance. Depuis un arrêt de la Cour de Justice des Communautés Européennes LIBERTEL du 6 mai 2003, la jurisprudence est maintenant fixée : « une couleur peut être protégée à condition qu’elle puisse faire l’objet d’une représentation graphique qui soit claire, précise, complète par elle-même, facilement accessible, intelligible, durable et objective ». La simple représentation de la marque en couleurs sur le formulaire de dépôt même avec la mention « marque en couleurs » n’est donc pas suffisante pour pouvoir revendiquer un droit sur les couleurs. La marque doit en outre être accompagnée par la désignation de cette couleur, par une description précise de la combinaison des couleurs et de leur agencement et, notamment, par un code d'identification internationalement reconnu, tel qu’un code Pantone (marque elle-même enregistrée). Cette obligation est d’ailleurs prescrite (i) pour les marques françaises, par le décision du Directeur de l’INPI N°2014-142 bis (article 2 (d) – « si la marque n’est constituée que de la représentation d’un couleur ou d’une combinaison de couleurs la description devra comporter obligatoirement un code d’identification international reconnu de cette couleur » et (ii) pour les marques communautaire par la Règle 3 (5) du Règlement CE N°2868/95 « les couleurs dont la marque se compose sont également indiqués en lettres et une référence à un code de couleurs reconnu peut être ajouté »). En outre, une nuance de couleur doit être distinctive, c’est-à-dire qu’elle ne doit pas être générique, usuelle ou descriptive des produits ou services visés. Un acteur économique ne peut se voir accorder un monopole d’utilisation sur une nuance de couleur si cette couleur est de l’essence de ce type de produits ou de services: par exemple, une société spécialisée dans le domaine nautique ne pourra s’approprier une nuance de bleu sans autre élément distinctif (assemblage particulier, combinaison de couleurs, éléments figuratifs etc.). Il est à noter, que le caractère distinctif peut être acquis par un usage long ou intensif de la ou des couleurs par le titulaire. Le choix de déposer la marque en couleurs ou en noir et blanc n’est pas neutre sur l’étendue de la protection qui sera reconnue à celle-ci : en effet, une revendication de couleurs constitue une restriction pour la marque enregistrée, puisque sans cette revendication, son titulaire aurait le droit exclusif d’utiliser sa marque dans n’importe quelle couleur. Ainsi, lorsque la marque comporte d’autres éléments caractéristiques (logo, dessin ou élément verbal), un dépôt en couleurs est susceptible de limiter la protection et il est recommandé uniquement lorsque la ou les couleurs sont un élément important de la marque. La protection d’une combinaison de couleurs est strictement limitée à la combinaison déposée, et ne permet pas au titulaire de disposer d’un droit exclusif d’utilisation sur chaque couleur séparément. Toutefois, la protection de la marque en couleurs n’est pas limitée à la stricte teinte déposée mais s’étend aux nuances similaires, aux mêmes dispositions ou combinaisons même si les couleurs sont légèrement différentes : chaque appréciation sera faite in concreto par les offices ou les tribunaux, en comparant les marques en conflit dans leur ensemble afin de déterminer si un risque de confusion est susceptible d’exister dans l’esprit de la clientèle. Bien entendu, plus les couleurs seront arbitraires par rapport aux produits et services, plus large sera la protection accordée à ces combinaisons ou nuances de couleurs. En conclusion, la couleur participe à la reconnaissance de la marque par le public et elle peut influencer le choix des consommateurs d’une façon déterminante. Il convient d’opter pour un dépôt en couleur lorsque la couleur est le ou un des éléments distinctifs essentiels de la marque et lorsqu’on est assuré que la couleur aura une certaine pérennité dans le temps afin de ne pas rendre sa marque vulnérable par une exploitation non conforme (dans d’autres couleurs). Rédacteurs : Catherine LEVALET et Philippe LODS | 2design
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/comment-legalstart-a-fait-son-trou-parmi-les-professions-reglementees_24988 | Uniqueness | Challenges. Vous voulez "ubériser" les métiers juridiques. Quels sont vos atouts? Timothée Rambaud: Avec ce service, lancé début 2014, nous apportons une solution simple, rapide et économique aux entrepreneurs : créer une société, déposer une marque, rédiger un contrat de travail ou approuver ses comptes. Notre produit leur permet de gérer eux-mêmes ces démarches pour une somme dérisoire. Il est compliqué de chasser sur le terrain des professions réglementées. Quels sont vos rapports? Nos relations se passent bien, nous n’avons pas le droit de fournir des prestations de conseil juridique. Nous venons d’ailleurs de signer un partenariat avec NCE, l’association Notaires conseils d’entrepreneurs. En France, c’est nouveau qu’une profession réglementée collabore avec une solution disruptive. Il n’y a pas de méfiance, nos offres sont complémentaires. Si nos clients ont besoin de conseils à forte valeur ajoutée, nous les mettons en contact avec des notaires. Cela change-t-il votre modèle économique? C’est un nouveau volet de notre aventure. L’utilisateur final va réaliser des économies sur les actes simples et sur le conseil des notaires, qui doivent afficher une plus grande transparence tarifaire. Craignez-vous la concurrence de nouveaux acteurs? En France, plusieurs start-up se sont inspirées de notre succès. Mais elles ne combinent pas les trois briques de notre activité: l’information juridique avec un questionnaire dynamique simple, la génération de contrats et l’automatisation des formalités administratives. Legalstart est en contact avec tous les greffes des tribunaux de commerce et une centaine de journaux d’annonces légales. Avec une pièce d’identité et un justificatif de domicile, nous nous occupons des démarches administratives automatiquement. Qu’en est-il côté américain? Les deux grosses entreprises de legal tech américaines, LegalZoom et Rocket Lawyer, ont encore à faire en Amérique du Nord avant de venir chez nous. Le droit français est différent. Si elles devaient s’installer ici, elles s’allieraient à un acteur local. Vous cassez les prix, alors comment faites-vous pour être rentable? Nous misons sur le nombre d’actes, car nos services sont peu onéreux. Créer une SARL coûte 140 euros en moyenne chez nous. Une économie substantielle pour le consommateur par rapport au conseil plus poussé d’avocat (jusqu’à 1.500 euros l’acte). Notre activité est en forte croissance de plus de 100% par an depuis 2014. Nous avons accompagné plus de 30.000 entrepreneurs. Nous réfléchissons à une levée de fonds pour développer l’activité professionnelle avec les avocats et les expertscomptables. Nous pensons nous implanter à l’international, d’abord dans les pays francophones. Mesurez-vous votre réussite? J’ai travaillé dix ans dans la finance, chez Goldman Sachs, avant de me lancer. J’avais besoin d’un challenge plus opérationnel. Une voix inté- rieure me disait de le faire. Je suis fier d’avoir sauté le pas. \n\n \n \n Start-up\n \n | 8production
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/rio-climate-challenge-2015 | Market Impact | The Rio Climate Challenge/Rio Clima (RCC) 2015 will meet on the 26th and 27th of October in Rio de Janeiro - one month before the 21st Conference in Paris of the UNFCCC (COP21) - to brainstorm the ‘positive pricing’ of carbon reduction as well as carbon taxation issues in order to define concrete and realistic proposals to be presented to the UNFCCC and the G20 group. Its main purpose is to add critical mass to the approval of the Brazilian submission (made in COP20 in Lima, Peru) in the Paris process related to “recognizing the social and economic value of carbon reduction” and to refine, aiming at the post-Paris process, the “positive pricing” mechanisms, including the one presented by France Strategie. The RCC 2015 will bring together prestigious leaders and thinkers working on low carbon transition issues for a two-day event with closed and public sessions. The financing of the transition to low carbon economies demands only in the energy sector U$ 1 trillion every year. Governments - most of them running persistent deficits and huge debts - do not have sufficient resources to fund it by themselves. The Green Climate Fund, in the best-case scenario, will guarantee U$ 50 billion for all mitigation actions, although it is hard to believe it actually will. The risk of deflation has induced the EU to pursue ‘quantitative easing’ without a specific productive low carbon destination. The global financial system operates close to U$ 300 trillion in pursuit of self-multiplication, detached from productive investment. As the world experienced in 2008 and subsequently, this comes along with dire macroeconomic consequences. How to bring at least a fraction of this enormous wealth into productive transition to low carbon economies? Would that make sense for macroeconomics and social development? The international community should officially recognize carbon reduction as a convertible unit of value enabling an agreed upon institution – the IMF or a pool of central banks, to guarantee commercial banks financing carbon reduction investments to be replayed in ‘carbon reduction certificates’ convertible to currencies by this existing or new institution. The financial system could then design an array of new products linked to this “climate currency”. In fact, this recognition is not based on that much of an abstraction. The economic global losses in ‘business as usual’ or in other underperforming carbon reduction scenarios are quantifiable with increasing precision notwithstanding some degree of controversy. In fact, carbon reduction has an intrinsic social/economic value to be recognized and incorporated to both international and national accounting. This arrangement along with the reforms of taxation systems – at local, provincial, national and international level - focusing on carbon intensity and ending fossil fuel subsidies are fundamental conditions for success beyond the classic command and control actions and agreements which will not be able, by themselves, to ‘bridge the gap’. Eduardo Eugenio Gouvêa Vieira (President, Federation of Industries of the State of Rio de Janeiro), Alfredo Sirkis (Executive diretor, Brazil Climate Center), Marina Grossi (Brazilian Business Council for Sustainable Development - CEBDS), Israel Kablin (FBDS) and André Correa (Rio de Janeiro State Secretary). Ken Berlin (President and CEO of Climate Reality) Discussion about the transition to low carbon economies and their instruments. Conclusions based on the debates from the previous day. Michele Stua (Sussex), Christophe de Gouvello (World Bank), Jean Charles Hourcade (CIRED) and Irving Mitzner (Johns Hopkins) Vincent Aussilloux (France Stratégie), Rogério Studart (COPPE) and Celso Lemme (COPPE). Discussion about the Brazilian proposal about the recognition of the social and economic value of mitigation activities. Guiding questions: Baptiste Perrissin-Fabert (Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, France), Alfredo Sirkis (Executive diretor, Brazil Climate Center) and Emílio la Rovére (COPPE). Guiding questions for discussion: José Eli da Veiga (USP), Roberto Schaeffer (COPPE) and Alexandre Prado (Instituto Arapyaú) Guiding questions for discussion: Mario Molina (Climate Reality), Isaura Frega (Rio de Janeiro State Secretary) and Branca Americano (ICS) France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 7people
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https://www.frenchweb.fr/fintech-visa-et-bnp-misent-sur-currencycloud-dans-un-tour-a-80-millions-de-dollars/390659 | Financing | monzo revolut starling bank profitant de essor de néo banques qui font appel à s service mais aussi un marché de paiements transfontaliers qui restait encore à transformer currencycloud vient de réaliser une levée de fonds de 80 million de dollar auprès de mastodontes du secteur ce tour de table de série qui porte à 140 million de dollar le fonds levés par entreprise britannique depuis sa création en 2012 été réalisé auprès de visa de international finance corporation membre du groupe de la banque mondiale de bnp paribas de sbi group et de la siam commercial bank le investisseurs historiques sapphire venture notion capital gv accomplice et anthemis ont également participé depuis 2012 currencycloud développe de apis qui permettent aux entreprises financières intégrer de service de transfert argent transfontalier dans leur plateforme la startup déclare posséder aujourd hui 85 apis réparties sur quatre module qui permettent de collecter convertir gérer et payer depuis sa création elle revendique avoir traité plus de 50 milliard de dollar de paiements transfrontaliers outre le fintech elle compte aussi de acteurs historiques du secteur parmi s client comme visa standard bank south africa ou encore brookline bank la plateforme a service de currencycloud est entièrement basée sur le cloud si son ascension été facilitée par émergence de néo banques qui ont massivement fait appel à s service currencycloud aussi pu profiter un marché où le poids lourds comme western union ou encore moneygram ont mi du temp à se transformer avec de service jugés particulièrement couteux et peu malléables son dernier produit appelé currencycloud spark est une solution qui permet à s client de proposer de comptes mulltidevises pour collecter stocker convertir et payer dans plus de 35 devise en mai dernier entreprise comptait 200 employés avec ce dernier tour de table currencycloud souhaite notamment augmenter son portefeuille de service et ajouter de méthodes de paiement alternative à son offre de produits comme le paiement mobile ou instantané fondateur mike laven nigel verdon richard arundel stephen lemon création 2012 siège social londres secteur fintech activité service financier spécialisés dans le transferts transfrontaliers financement série de 80 million de dollar en janvier 2020 140 million de dollar au total investisseurs visa international finance corporation membre du groupe de la banque mondiale bnp paribas sbi group siam commercial bank sapphire venture notion capital gv accomplice et anthemis rejoignez la promo 2020 du club decode fintech pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.frenchweb.fr/103-millions-de-dollars-pour-figure-et-ses-prets-sur-la-blockchain/385656 | Financing | en février nous vous annoncions la levée de 65 million de dollar de la toute jeune fintech californienne figure technology créée en janvier 2018 le investisseurs continuent de parier sur la startup qui propose de prêts aux particuliers en se basant sur la blockchain cette dernière vient ainsi de réaliser un tour de table de 103 million de dollar en série repérée par techcrunch il faut dire qu à la tête de entreprise on retrouve notamment mike cagney co fondateur du spécialiste du refinancement de prêts étudiants sofi désormais piloté par ancien coo de twitter anthony noto il maintenant entre le main une entreprise qui dispose importants fonds pour continuer son développement puisqu avant même ce dernier tour elle avait déjà levé 120 million de dollar auprès de rpm venture dst global ribbit capital dcm dcg nimble venture ou encore morgan creek comment expliquer un tel engouement figure propose de service financier aux consommateurs pour amélioration de habitat la consolidation de dettes et le régimes de retraite sa particularité est de créer s produits sur la blockchain son produit phare baptisé figure home equity loan line est une offre de prêt dont approbation et le financement peuvent être accordés en cinq jours tout se fait en ligne elle appuie sur un protocole blockchain appelé provenance développé par figure en 2018 le emprunteurs peuvent solliciter un crédit allant jusqu à 150 000 dollar pour s différents produits la startup revendique 1 2 milliard de dollar de prêts approuvés pour de milliers de client depuis sa création et elle continue à étendre son offre en attaquant désormais aux prêts étudiants une problématique particulièrement discutée et débattue en ce moment aux etats unis un nouveau produit qui séduit le investisseurs son offre student loan refinance doit leur permettre de consolider leurs emprunts à un taux plus ba la société emploie déjà 200 personnes aux etats unis fondateurs mike cagney june ou alana ackerson cynthia chen sara priola création 2018 siège social san francisco secteur fintech marché service financier aux consommateurs via la blockchain financement 223 million de dollar depuis sa création donc une série de 103 million de dollar pour son dernier tour à date investisseurs rpm venture dst global ribbit capital dcm dcg nimble venture ou encore morgan creek pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.maddyness.com/2020/01/06/part-du-lion-marche-de-niche/ | Uniqueness | trouver sa place et se positionner sur un marché peut être compliqué quand vous avez un produit de niche qui vraiment une valeur ajoutée unique à offrir au client et malgré la particularité de votre entreprise il a de grandes chance que vous ayez quand même un peu de concurrence en clair quelle est la meilleure approche pour imposer votre produit sur un marché de niche evaluez la concurrence de fond en comble vous avez peut être déjà fait chauffer google récupéré quelques information sur vos concurrent s mais vous apprendrez pa grand chose utile à moins de plonger dedans à corp perdu créez un document entièrement dédié à la concurrence épluchez societe com et surtout oubliez pa le base le produits et le service le prix le positionnement image de marque et la réputation vous pouvez aussi regarder leurs commentaires en ligne et leur couverture presse pour bien saisir quelle image il renvoient au grand public trouvez votre avantage concurrentiel une fois toutes ce information rassemblées recentrez vous sur votre produit et saisissez votre différence cet avantage cela peut être le prix de meilleurs commentaires de vos client s ou encore que la recherche scientifique derrière votre projet est plus aboutie explique angelo di simone fondateur de nuovaluce beauty mais il est nécessaire de le savoir pour pouvoir se démarquer en clair votre avantage compétitif est ce que vous pouvez faire que vos concurrent s ne peuvent pa il ne vous saute pa aux yeux est peut être le moment de revoir la sélection de vos produits ou leur prix sans cet avantage face à la concurrence il va être difficile de se positionner efficacement sur un marché de niche jouez avec vos force par contre si vous connaissez déjà votre avantage concurrentiel misez tout sur le marketing faites en sorte que vos client s potentiel le sachent ce qu il obtiendront avec votre produit plutôt qu avec celui de concurrent s le fabricants de produits ménagers maîtrisent ça à la perfection en montrant dans leurs atouts leurs face à ceux de concurrents il est pa nécessaire de le faire en vidéo ou en image cela peut passer par la publicité ou même par le texte de présentation de votre site expliquez concrètement en quoi votre solution est plus qualifiée plus populaire ou moins coûteuse que la concurrence articulez votre discours de vente autour du fait que votre produit est le meilleur du marché utilisez de influenceurs eu pour finir améliorez la visibilité de votre produit en ayant recours à de influenceurs eu dont audience est votre cible marché cela vous aidera dans un environnement compétitif une part car il a de chance que cela vous démarque en termes de stratégie publicitaire autre part car vous pourrez vous reposez sur la confiance et la crédibilité qu inspirent ce acteurs et actrices à leur communauté attention toutefois à qui vous faites appel il est important de commencer par analyser le influenceurs eu notamment en vérifiant qu il ne reposent pa sur de follower ou de like achetés travailler avec de influenceurs et influenceuses permet de toucher directement sa clientèle assure influencity mais pour cela il faut bien le choisir en passant leur profil au crible faites une liste de candidat s potentiel le qui adressent à votre cible et ont assez de follower puis contactez le avec un budget en tête ce est pa parce se positionner sur un marché de niche est soit disant difficile que est impossible et que ça doit être un obstacle ce quelques conseils vous aideront à vous positionner face à la concurrence et à vous tailler la part du lion retrouvez article original de jennifer spencer ici | 2design
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/marie-eloy-de-think-bigher-il-y-a-de-la-magie-a-voir-grand-1174658 | Magic Team | "Quel est le moment où tu as think bigger, pensé plus grand ?" Marie Eloy pose cette question à tous les intervenants – pour beaucoup féminines – présents à Station F ces 23 et 24 janvier. L’un d’eux osera répondre "pour voir plus grand, il faut voir avec les yeux de Marie Eloy", devant une salle et une maîtresse de cérémonie hilares. "Il y a une phrase de Goethe que j’aime beaucoup : une fois que vous rêvez d'entreprendre, commencez-le. L'audace a du génie, du pouvoir, de la magie. Et c’est tellement ça, il y a de la magie si on commence à voir grand", s’exclame cette femme de 44 ans, dont le sourire éclaire continuellement le visage. Le goût pour l’entrepreneuriat de cette optimiste convaincue est né de la solidarité. La mère de famille bretonne a réalisé qu’en s’entraidant il était possible de créer, d’avancer, de faire naître des ambitions. En un mot, d’entreprendre. "Je ne me définissais pas trop comme entrepreneure au début, c’était sous forme associative mais ça s'apparentait à de l'entrepreneuriat." Cette première expérience, c’est la création d’une école Montessori en 2011. Pour que sa fille, de 6 ans à l’époque, entre dans une école avec une pédagogie alternative, elle décide de monter le projet avec une autre mère. "On a obtenu les locaux un mardi, le jeudi j’accrochais des panneaux partout aux alentours, annonçant des portes ouvertes le week-end suivant et l’ouverture de l’école en septembre", raconte-t-elle. Et elle ajoute en riant : "On était en avril, on n’avait pas d’enseignants, pas d’enfants, pas de business plan, pas d’argent". Finalement les familles ont répondu présentes, l’association remplit son fichier d’inscriptions pour les deux années suivantes, et l’école se monte en une semaine grâce aux dons de matériels et aux enseignants présents aux portes ouvertes. "On a fait un sacré coup." La solidarité qui a porté le projet d’école, elle décide de la dupliquer à l’échelle de sa région, la Bretagne. Ainsi est né Femmes de Bretagne en 2014, un réseau féminin d’entraide à la création d’entreprise. Ce serait trop bête de s’arrêter aux frontières de Breizh… Ce réseau régional devient Femmes des territoires, pour que l’entraide soit nationale. Enfin, en 2016, Marie Eloy décide de fonder un réseau spécialisé dans l’accompagnement des dirigeantes : Bouge ta boîte, lancé en 2017 au niveau national. "Il y avait beaucoup de cheffes d’entreprise qui me disaient qu’elles voulaient arrêter, qu’elles n’arrivaient pas à joindre les deux bouts, qu’elles ne savaient pas se vendre, ni prospecter." Indignation pour Marie Eloy, convaincue que les réseaux professionnels ne sont pas assez ouverts aux femmes entrepreneures. Elle affirme que "c’est dans les réseaux que les business plans sont challengés." Bouge ta boîte a réalisé une étude auprès de ses membres, toutes les observations de Marie sont confirmées : 67% des entrepreneures gagnent moins que 1.500€, 55% ne connaissent pas de modèle de femme entrepreneure inspirante, 61% n’ont pas fait de business plan avant de se lancer. "J’étais une entrepreneuse type aussi au début", ironise-t-elle. Dans ce réseau de femmes, des cercles restreints de 10 à 20 dirigeantes, aux allures de comités stratégiques, se rencontrent toutes les deux semaines. Les membres se suivent, se recommandent, se coachent et leur complicité est flagrante à Think big’her. Pour Géraldine Cloerec, directrice des opérations de Bouge ta boîte, la force de sa présidente est qu’" elle fédère et embarque tout le monde dans son dynamisme et son optimisme". Y compris elle, entraînée dès les débuts du projet. Fini les statuts associatifs pour Marie Eloy. Avec Bouge ta boîte c’est bonjour la start-up de 15 salariés, les business plans et les levées de fonds. La première de 400.000 euros s’est d’ailleurs bien déroulée. Mais le deuxième tour de table, clôturé en septembre dernier, "était vraiment dur", pour la jeune business woman qui a effectué 100 pitchs. "J’ai eu des refus de partout, étant une femme qui lève des fonds pour de l’humain à destination d’autres femmes, je crois que je me suis pris tous les clichés dans la figure", se remémore-t-elle en riant jaune. Aujourd’hui elle veut changer les codes. "Je veux que les ‘’bougeuses’’ bougent leurs boîtes, bougent leurs territoires, pour faire bouger les lignes de l’économie", prônant un besoin de plus de "roles models" féminins, d’entrepreneures inspirantes mises en lumière et la fin des clichés sur les freins des femmes à se lancer dans le business. | 12society
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https://www.frenchweb.fr/boks-leve-1-million-deuros-pour-simplifier-la-reception-de-colis-a-domicile/397162 | Financing | boks spécialisé dans la réception de colis à domicile lève 1 million euro auprès de business angel avec la participation de la bpi parmi le investisseurs figurent notamment jonathan benhamou et clément buyse fondateurs de peopledoc notus technology holding de geoffroy roux de bézieux ou encore clément alteresco fondateur de morning coworking lancé en 2017 par adrien oksman et olivier de rodellec boks développe et commercialise de coffres connectés permettant de livraisons de colis dans le party commune de immeubles la startup propose également sa solution aux maisons individuelles depuis peu concrètement le coffre boks est fixé au sol ou au mur de party commune et requiert du livreur un code à usage unique pour qu il dépose le colis le client possède quant à lui une clé bluetooth pour récupérer son colis à tout moment la digitalisation du service de livraison est devenue une étape incontournable dans e commerce pour répondre aux difficultés de la réception de colis boks collabore avec le syndic de copropriétés et le grand groupes immobiliers afin offrir aux usagers une meilleure expérience client commentent adrien oksman et olivier de rodellec ce système permet ainsi aux livreurs de déposer de colis à tout moment ce qui laisse une plus grande liberté aux client qui souvent ne peuvent pa être présents au même moment que le livreur installation de boks ne nécessite pa de travaux particuliers et peut être faite en intérieur comme en extérieur dans le cadre de cette levée de fonds la startup toulousaine ambitionne de doubler s effectifs cette année pour renforcer notamment son pôle commercial et s équipes technique fondateurs adrien oksman et olivier de rodellec création 2017 siège social toulouse france secteur livraison activité coffres connectés permettant de livraisons de colis financement 1 million euro en mar 2020 auprès de business angel avec la participation de la bpi parmi le investisseurs figurent notamment jonathan benhamou et clément buyse fondateurs de peopledoc notus technology holding de geoffroy roux de bézieux ou encore clément alteresco fondateur de morning coworking pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.frenchweb.fr/le-francais-snowleader-com-leve-10-millions-deuros-pour-developper-son-reseau-a-linternational/390270 | Financing | le vendeur en ligne équipements de plein air snowleader annoncé jeudi la levée de 10 million euro destinés notamment à financer le développement de son réseau de magasins en dur en france comme à étranger ce troisième tour de table depuis la création de entreprise en 2008 été souscrit par la société de gestion indépendante 123 im bnp paribas développement et sofimac régions indiqué le fondateur du groupe thomas rouault rouault qui est âgé de 36 an reste majoritaire au capital de la société après cette opération passé par nike le jeune entrepreneur avait fondé sa société il a onze an dans un garage de la station du grand bornand haute savoie avec une mise initiale de 12 000 euro rentable dès le début elle connu depuis une croissance forte et régulière qui porté an dernier son chiffre affaire à 35 million euro 38 avec 205 000 colis expédiés snowleader se targue un positionnement décalé qui se traduit par offre un reblochon fermier pour 150 euro achats depuis sa création elle ainsi écoulé 135 000 exemplaires de ce fromage emblématique de la chaîne de aravis où la société vendu s premier équipements pour le client étrangers qui génèrent déjà 40 de ventes mais pourraient ne pa apprécier le effluves du fromage le groupe offre autres cadeaux grâce notamment à un partenariat avec le coutelier savoyard opinel notre vocation est pa être le mieux placé en termes de prix nous préférons investir dans la relation avec no client expliqué rouault à afp nous répondons à leurs question six jours sur sept il a très peu de platesformes qui investissent autant que nous dans ce domaine t il fait valoir en arguant que cela générait une relation affectueuse entre snowleader et s client la reblochon company comme elle aime à appeler dispose déjà de trois magasins en centre ville à annecy lyon et chamonix et entend en augmenter le nombre en france elle compte installer à paris toulouse et strasbourg et à étranger à zürich bruxelles et londres à raison de deux nouveaux magasins ouvert chaque année rouault expliqué que distribution en ligne et physique se renforçaient un autre ouverture un magasin entraîne une hausse de ventes sur le web de 80 dans un rayon de 30 kilomètres t il souligné argent de la dernière levée de fonds servira aussi à moderniser outil informatique et à ouvrir à horizon 2021 un nouveau siège social entrepôt le bâtiment actuel de chavanod près annecy étant devenu trop étroit l horizon 2025 26 snowleader est fixé pour objectif atteindre le 100 million euro de chiffre affaire avec une part à export supérieure à 50 fondateur thomas rouault création 2008 siège social annecy secteur commerce sport activité vente équipement sportif financement 10 million euro en janvier 2020 auprès de 123 im bnp paribas développement et sofimac régions pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 12society
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https://www.makery.info/2015/05/22/labsurd-au-plus-pres-de-limpossible/ | Engineering | Comment activer la sensation de présence dans l’expérience de la réalité virtuelle ? Pour générer une telle sensation, c’est à dire l’acceptation cognitive de la réalité simulée, plusieurs moyens ont été imaginés, de l’hyper-réalisme à un environnement qui réponde avec promptitude à nos sollicitations. L’une des pistes intéressantes, c’est la multi-modalité, qui fait appel à plusieurs de nos sens pour renforcer l’investissement dans la VR. C’est cette direction qu’a choisie l’artiste et chercheuse Judith Guez, qui présentait Lab’Surd le 4 mai à l’Institut Google dans le cadre des rencontres art et réalité virtuelle du VRLab et du Décalab. La jeune doctorante au Laboratoire Image numérique et réalité virtuelle (INREV) de Paris 8 s’est s’appuyée sur l’haptique – la science du toucher, par analogie avec l’acoustique ou l’optique – et le couple action/perception pour maintenir la présence du participant dans un univers glissant progressivement vers l’onirisme. Le lien physique réalisé permet plus de folie dans l’expérience. Lab’Surd dans la vraie vie, c’est une chaise et une table. Sur la table sont posés un verre et une lampe – qui ressemble à la lampe animée de Pixar. Le visiteur est invité à s’asseoir, sans plus d’instructions que de se saisir du verre. Il est ensuite équipé d’un Oculus Rift et d’un casque audio. La séance dure quelques minutes. Si le temps est contraint, l’espace, lui, va se détendre et se transformer. Les murs vont se dissoudre ou se dilater pour offrir des saynètes de plus en plus aberrantes du point de vue du participant. Mais alors que l’on pourrait rester étranger à l’environnement, on comprend que le verre est interactif. Ce lapin d’Alice nous permet de passer physiquement de l’espace réel à l’espace virtuel. L’absence d’instruction rend l’expérience unique. On commence à jouer avec la boule de lumière en constatant que nos mouvements physiques ont un impact sur l’environnement. A l’aide du verre, on la pousse, on tente d’enfermer ce petit feu-follet malin et rassurant, tandis que le monde autour de nous se restructure dans d’impossibles configurations à la Escher ou Magritte. Il y a quelque chose d’Alice au pays des merveilles, à la fois merveilleux et un peu inquiétant. Judith Guez fait un parallèle entre le mouvement surréaliste et ce qu’elle appelle « sur-virtualité ». Une réalité virtuelle qui va plus loin, qui trompe nos sens pour paraître vraie mais qui, une fois acceptée, nous emmène là où le réel ne nous donne pas accès. Ce faisant, elle explore également les marges de la convergence, un terme un peu technique qui recouvre l’interpénétration des plans de réalités. Et si l’on parle de réalité augmentée qui ajoute des éléments virtuels dans notre champ de vision, pourquoi ne parlerait-on pas de virtualité augmentée ? Comme si des éléments réels venaient sur-impressionner le virtuel : ici le verre, la lampe et le postulat du décor. C’est en quelque sorte le principe de l’accroche. Ensuite, il sera plus facile d’accepter que cette réalité s’atomise et se recompose. Il doit y avoir une certaine joie à se dire que l’on designe à la frontière de deux mondes, comme un explorateur qui donnerait à voir au-delà du monde connu. Le réalisateur retrouve ainsi son étymologie de créateur de réalité. Mais c’est surtout un travail d’équipe efficace et un emploi judicieux des nouvelles techniques de simulation qui a permis à Judith de mettre au point ce petit pont vers l’impossible. La chercheuse s’est entourée de Guillaume Bertinet, graphiste 3D temps réel ; Kévin Wagrez, ingénieur de recherche à Paris Tech et Florian Costes, sound designer. L’univers a été conçu sous Unity 3D, avec un Oculus Rift DK2 pour l’immersion et une manette Razer Hydra (un joystick 3D) cachée dans le verre. Lab’Surd, développé pour Laval Virtual 2014, était en mode démo lors de l’évènement Brainstorm à l’Institut culturel Google, organisé conjointement par VRLab et Décalab à Paris. Le « petit laboratoire d’exploration de la survirtualité » sera également présenté lors du festival Ars Electronica, en septembre prochain à Linz, en Autriche. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.strategie.gouv.fr/english-articles/cop21-moment-truth-climate-and-sustainable-development | Market Impact | Time is running out to act on climate change, poverty eradication and sustainable development. These challenges cannot be met independently of each other. The task of COP21 is to send strong policy signals that determined climate action is needed and will not harm the economy. In fact, these actions will trigger multiple employment, health and human development benefits by aligning strengthened short-term economic growth with long-term sustainable development goals. It is challenging but possible to trigger the transformation toward low carbon futures and to increase the affordability of advanced technologies despite the current pressures on public budgets. The world is awash in liquidity. What is needed is to redirect the savings of households, pension funds, insurance schemes, and sovereign wealth funds towards long-term and low-carbon investments. Sound regulatory frameworks and innovative financial mechanisms must be established to reduce the risks attached to potentially profitable low-carbon projects that are blocked by a combination of high upfront costs and an uncertain environment, so as to attract private savings and institutional investors. COP 21 can provide critical policy hooks for step changes in economical and financial intermediation based on public guarantees for low carbon investments; an agreed social value of carbon mitigation activities could be incorporated into diverse low-carbon financial initiatives supporting Intended Nationally Determined Contributions (INDCs); strong and enforceable requirements for Measuring, Reporting and Verification (MRV) can ensurethe environmental integrity and sustainability of the resulting investments. Such a framework can secure the transparency of voluntary commitments by countries, clubs of countries and non-state actors. If it can achieve these goals, the Paris Agreement can unleash a wave of investments into low-carbon development that responds to short-term economic and social challenges while supporting the fundamental changes that will be needed to build our new common future. Time is running out to act on climate change. This has been repeated many times since the UN Conference on Environment and Development was held in Rio de Janeiro in 1992, but world greenhouse gas emissions have nonetheless steadily increased since then. The remaining carbon emissions budget that will sustain a reasonable likelihood of stabilizing the global temperature increase below 2°C will be exhausted in a few decades, if current trends continue. Time is pressing for poverty eradication, income security, achieving universal access to sustainable energy, food, water, transportation and housing services, and improving public health and education. Only by addressing these urgent challenges, can we lower pressure on resources, slow the pace of forced migration (accelerated by climate change) and ensure world security over the century. These challenges cannot be met independently of each other. Climate stabilization is only possible with the full participation of developing countries, which implies a framework that recognizes the past responsibilities of industrialized countries. Without rapid and ambitious climate mitigation, human aspirations and development goals will be thwarted by climate change. The task of COP 21 is thus to fulfill the Cancun agreement (COP16) to facilitate ‘building a low-carbon society that …. ensures continued improvement in human wellbeing (...) growth and “equitable access to sustainable development”. As we are engineers, economists and social scientists, sharing diverse cultures and coming from countries facing very different challenges, we are conscious of concerns about the timeliness of [the major investment needed for effective] climate action in a world facing unemployment, social unrest, debt and financial instability. We assert that, sound climate action will not harm the economy but in fact trigger multiple employment, health, security and development benefits, aligning strengthened short term growth with long term sustainable development goals. There is no cornucopia of cheap and environmentally benign alternatives to fossil energy. Demand-side responses are needed to extend the timespan for deploying these alternatives. This requires transformations in commercial energy systems and also in buildings, transportation, industry, and agriculture in order to enhance energy efficiency, reduce the demand for energy services, and promote cradle-to-grave management of production processes. Energy, transportation, and building infrastructures are critical for low-carbon futures and for inclusive development: Re-design of urban and transport infrastructures, exploitation of local renewable energies, quality of urban development, efficacy of market coordination and of institutional reforms, provision of basic needs, lower vulnerability to climatic damages and to the volatility of fossil fuels prices. A major challenge is to increase these investments and to redirect them in a climate friendly and resilient way. To meet this joint challenge, climate policy tools must be aligned with policies adopted for objectives other than climate mitigation: regulations to build electricity grids supporting a higher level of intermittent renewable energy will remove barriers to more decentralized electricity production (including integration between heat and electricity systems, higher quality rural electrification); smart urban planning will bring major health co-benefits through reduced local air pollution and will contribute to social inclusion; reforms of real estate markets to slowdown urban sprawl will make speculative investments less attractive; promoting material efficiency will reduce waste generation; the conservation of ecosystem services threatened by climate changes will contribute to hedging against deforestation and abandonment of traditional agricultural lands. A credible climate regime is needed to secure the mutual reinforcement of Intended Nationally Determined Contributions (INDCs) and Sustainable Development Goals (SDGs): consistency of national public investments, de-fragmentation of the Overseas Development Assistance, and alignment of donors to universal objectives. All of these things, taken together, can lead to the mobilization of subnational and non-central state actors including corporates, cities and rural communities. The Paris Agreement must offer a convincing perspective on the gains of cooperation, thereby to create a virtuous circle whereby more ambitious INDCs will be adopted as they contribute to SDGs. This virtuous circle is the only way of bridging the emissions gap between current country pledges and the 2°C objective. Implementing the CBDR principle has proven challenging in adversarial negotiations on dividing the remaining global carbon emissions budget. Instead the CBDR principle must now be applied to secure real rights of access to finance, technology and development opportunities for developing countries. This is needed to guide a cooperative process between countries with different historical responsibility for climate change and who bring differing levels of technical and financial capacity to enable the transition to low-carbon development. The task of developed countries is to decarbonize their existing capital stock, to change consumption patterns, to decrease energy consumption and to transform the legacy of carbon-intensive energy systems. The task of developing countries that are currently building much of their infrastructures is to avoid being locked into a high-carbon development pathway. Commitments under the CBDR principle should thus be geared towards maximizing development opportunities and the obligations for cooperative conduct. The responsibility of developed countries is to propose a framework facilitating developing countries to implement and reinforce their INDCs through access to: Accelerating the transformation toward low-carbon futures despite the current pressures on public budgets is challenging but possible. The world is awash in liquidity and there is no lack of savings. One ‘fault line’ of the world economy is rather the long-term investment shortfalls and the preference of financial intermediaries for liquid assets. A massive redirection of savings towards low-carbon infrastructure and technologies entails inevitable trade-offs but will reduce this fault line and unleash a strong positive ripple effect across multiple sectors. It will benefit both the developed and developing countries. Success cannot be achieved without the mobilization of pension funds, insurance schemes, sovereign funds and households bank deposits which fund a major part of the global economy. Strong regulatory frameworks and Innovative financial mechanisms can be set up urgently to a) reduce the risks attached to low-carbon projects that are close to the break-even point but blocked by high upfront costs; and b) attract private savings and institutional investors by valuing low carbon assets. The required reforms (e.g., to Basel III regulations, refinancing criteria, public guarantees on credit lines) are beyond the scope of the UNFCCC. They will result from initiatives by ‘clubs of pioneers’ but COP 21 can provide four critical hooks for stimulating the step changes that are necessary in financial intermediation: Climate finance will facilitate the deployment of carbon pricing mechanisms. Lowering investment risks through the use of supportive regulatory frameworks will increase the volume of low-carbon investments at any given carbon price. These regulatory frameworks will allow sufficient time for robust implementation, without postponing the required amount of low-carbon investments, for deploying the compensatory transfers, and the accompanying measures that are needed to increase carbon prices to the required level. It will also enhance the efficacy of non-price policies (emission standards, norms, public works) by securing consistency with the agreed social value of carbon reduction and strengthening the confidence of investors. The Paris agreement is critical. It must set the stage for myriad activities on the ground to mobilize not only the ‘climate concerned’ but also the ‘climate agnostics,’ using the low-carbon transition to better achieve sustainable development goals as well as to respond to short-term economic challenges. This mobilization demands initiatives beyond the UNFCCC, reforming other domains of global governance (finance, trade) and launching clubs of ‘pioneers’ committed to low-carbon transformations in countries, regions and cities. These initiatives must start directly after the Paris COP. They can do so only if the Paris Agreement establishes a global regime that provides a high level of political legitimacy. A consistent set of rules, derived from the over-arching principles presented in this declaration, is needed to prevent fragmentation, hedge against opportunism and secure consistency with universal objectives. These are the conditions for launching a virtuous circle that overcomes the economic concerns and vested interests that have, thus far, prevented humanity from responding adequately to the threats arising from human-induced climate change. The Paris Agreement will thus help unleash an investment wave that is targeted to low-carbon development and poverty eradication that will respond to short-term economic challenges while supporting the societal changes necessary to build our “new common future”. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/michel-et-augustin-est-chez-starbucks-aux-etats-unis-en-france-et-bientot-en-chine_77039 | Storytelling | Michel et Augustin a créé un incroyable buzz en s’invitant dans le bureau du patron de Starbucks. Le contrat est-il signé ? Nous ne cherchons pas le buzz. Nous avons reçu un appel de Starbucks pour expédier des échantillons au comité de dégustation. Pour quasiment le même prix, nous avons demandé à deux de nos trublions, Hassan et Charlotte, d’aller les livrer et de rencontrer le patron Howard Schultz. Grâce à la mobilisation des internautes, il les a reçus. Et dans une convention interne de 500 cadres Starbucks, il a annoncé que nos produits allaient être vendus dans ses boutiques sur les marchés américain, britannique et français. Vous êtes à l’essai ou c’est un référencement définitif ? A Paris, New York et Seattle, les avocats ont établi le contrat en quarante-huit heures, et nous avons déjà livré 35 magasins à Manhattan. Mais ce n’est qu’un début, car il y en a 11.000 aux Etats-Unis et 100 en France. Le buzz nous a certes fait gagner le droit d’être vendus chez Starbucks dans trois des plus gros marchés, mais nous discutons maintenant de notre arrivée dans ses cafés en Chine. Vous avez créé l’entreprise avec votre ami d’enfance Michel de Rovira. Vous partez développer le marché américain, mais lui reste à Paris… Oui. Je pars en famille. Nous souhaitions vivre cette aventure depuis longtemps. Nous avons des bureaux américains avec déjà sept salariés. Avant même l’arrivée de Starbucks, nos produits sont présents dans 200 points de vente, que nous avons conquis un par un par porte-à-porte. Le marché américain est considérable en misant sur les produits sains et l’image de la France. Un drapeau français a été ajouté au logo pour rappeler que nous proposons un savoir-faire pâtissier français. Il y a deux ans, vous avez cédé la majorité de votre société à Artémis, le holding de François Pinault. Etes-vous encore les patrons ? Nous sommes passionnés par le goût, mais ce secteur n’offre pas une croissance spectaculaire. Aussi, pour nous développer, nous avons l’appui d’un grand entrepreneur, François Pinault, et de sa copilote à Artémis, Patricia Barbizet. Progressivement, ils ont investi une dizaine de millions d’euros parce qu’ils croient à notre projet de créer une marque alimentaire premium urbaine qui fait rayonner le savoir-faire français dans le monde. Vous êtes un des employeurs qui font rêver les jeunes diplômés. Maîtriser les réseaux sociaux est-il le secret ? Connaître les nouveaux médias est important, mais ce qui peut séduire les jeunes diplômés, c’est de travailler dans un environnement positif. On a décidé d’être acteurs de nos vies et de travailler avec enthousiasme. Un acte de foi que je renouvelle chaque matin. Nous ne sommes pas une entreprise comme les autres. Nous avons un niveau d’engagement fort avec un projet mondial dans lequel chacun a une responsabilité importante. Propos recueillis au Victoria 1836 par Jean-François Arnaud et Gilles Fontaine \n\n \n \n Croissance\n Holding\n \n | 0agronomy
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https://www.makery.info/2015/10/19/flippaper-dessine-le-jeu-de-demain/ | Needs | Régressif ou futuriste ? Flippaper est un flipper à dessiner avant de le jouer. Régressif pour le plaisir pas forcément coupable de retrouver les sensations du bon vieux flipper, ce jeu électronique qui a d’une certaine manière ouvert la voie au jeu vidéo (le premier de l’arcade, la borne elle-même étant l’ancêtre du jeu vidéo sur Playstation et autres Xbox du jour). Et futuriste pour le mélange qu’il opère entre le dessin physique (avec gros feutres rouge, vert, bleu) et le parcours de la balle à l’écran. Flippaper a déjà une bonne grosse dizaine de sorties à son actif, « dans des états variés » explique à moitié sérieux Jérémie Cortial, l’un des concepteurs de cette borne qui marie jeu collectif et dessin. Depuis le tout premier prototype en 2013 jusqu’à la version actuelle, présentée il y a peu au Point éphémère à Paris dans le cadre du festival de BD déviante Formula Bula, et à l’honneur cette semaine à la bibliothèque Italie (le 21/10) dans le cadre du festival Numok à Paris, Flippaper s’est émancipé de son côté bricolo rétrogeek DiY. Il est désormais presque clean, avec sa coque carénée en métal, bois, et mastic polyester (néanmoins poncée main). Le hard comme le software ont été peaufinés pour un usage fonctionnel (ça marche avec n’importe quel dessin, gribouillis comme vraie illustration). Le dessin est scanné grâce à un miroir réfléchissant sur le haut de la borne, et le PC à l’intérieur de la machine n’a plus qu’à transformer immédiatement les couleurs en parcours, avec fonctions afférentes : vert pour « speed », rouge pour « bump » et bleu pour « mur ». Le programme, lui, a été écrit en C++ par Roman Miletitch. Mais si le Flippaper impressionne par son design léché, il reste bel et bien un prototype, puisqu’à l’état d’unique exemplaire. Ses promenades de manif en festival lui donnent un peu de visibilité même s’il est toujours un peu décalé : il ne relève pas vraiment de la BD dans un festival de dessin, il ne rentre pas dans la case œuvre d’art ni dans celle du jeu vidéo… Le Français Jérémie Cortial, 37 ans, artiste, co-fondateur du collectif sérigraphique Elshopo, et le Belge Roman Miletitch, 29 ans, chercheur en intelligence artificielle, se sont trouvés un terrain d’entente pour développer ce projet entre dessin et jeu, analogique et numérique, art et design, et ont réussi à faire du Flippaper un parfait outil convivial et ludique, qui plaît aux enfants mais aussi à tous les nostalgiques du tilt et amateurs de jeu vidéo. La simplicité apparente du dispositif est le fruit de deux ans de travail. On dessine sur une grande feuille de papier posées à la place de l’écran du flipper avec trois gros feutres vert, rouge, bleu. On appuie sur le bouton « Scan » et on joue son parcours aussitôt. En sous-position des traits, une balle de flipper rebondit, disparaît ou se démultiplie en fonction des traits dessinés. « Selon la forme des dessins, on peut créer un langage plus ou moins complexe et programmer un gameplay, un vrai parcours de jeu qui n’est pas que magique et gadget », explique Jérémie Cortial. Le proto a été soutenu par des institutions (le Scan, soutien à l’art numérique de la région Rhône-Alpes) et des centres d’art et festivals défricheurs du type Retro (no) future games festival (à Cergy-Pontoise en octobre 2013) et Eniarof, la fête foraine déviante (Aix-en-Provence, novembre 2013). Il a coûté « environ 7000 euros » réfléchit à voix haute Jérémie (mais l’investissement en temps des deux créateurs n’est pas comptabilisé dans l’équation…). Les deux concepteurs sont loin d’en avoir fini avec Flippaper : « Le programme évolue en permanence, on aimerait que la couche de programmation supplémentaire soit accessible en Processing (un langage de programmation plus « abordable » que C++, Ndlr) de manière à l’ouvrir à d’autres développeurs, poursuit Jérémie Cortial. Pour d’autres softs, qui ne seraient pas forcément un flipper, pour des ateliers… Et pourquoi pas proposer un kit de développement pour que chacun ait sa propre appli ?» Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/mardis-de-lavenir-transition-ecologique-debat | Market Impact | Une session des « Mardis de l'avenir », organisés par l'Assemblée nationale, avec l'appui du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, de l'Iddri et du think tank Cartes sur table, se tiendra le 3 mars. Cette session, qui portera sur le thème "Les nouveaux indicateurs de développement ", accueillera Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics. Jean Pisani-Ferry participera également à cette rencontre. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.frenchweb.fr/livraison-la-startup-belge-urbantz-leve-6-millions-deuros/395901 | Financing | urbantz spécialisé dans optimisation de la gestion du temp de livraison lève 6 million euro en série auprès de korys etf partner et de investisseurs historiques la startup belge avait déjà levé 3 million euro en 2018 lancé en 2015 par jonathan weber michael darchambeau mélanie applincourt et lionel goncalves urbantz développe une solution saas de gestion de livraison à destination de retailer commerçants et transporteurs la startup bruxelloise se veut présente sur le premier et le dernier kilomètre et conçu pour cela une solution web et mobile permettant optimiser la gestion du temp de livraison optimisation de itinéraires de ressources livreurs et de livraisons au moindre coût font partie de fonctionnalités de la solution urbantz qui intègre aisément à de application et site web via s api pour obtention de carte en temp réel alertes ou encore de notation de service notre solution vise à aider industrie à passer à la numérisation de service de livraison tout en réduisant impact environnemental de la logistique sur le villes commente jonathan weber pdg urbantz parmi s client urbantz compte de petite startup comme de grand groupes à instar de carrefour ou encore discount autres startup françaises se sont positionnés sur le marché de optimisation du temp de livraison à instar de kardinal ex citodi spécialiste de optimisation de la livraison de colis qui levé 2 million euro en novembre 2019 présente en europe au moyen orient et aux etats unis la startup belge ambitionne de renforcer sa position sur le marché européen notamment en accélérant dans la commercialisation de son produit et en recrutant une vingtaine de collaborateurs en se concentrant sur le profils technique et commerciaux fondateurs jonathan weber michael darchambeau mélanie applincourt et lionel goncalves création 2015 siège social bruxelles belgique effectifs 40 secteur livraison activité solution saas de gestion de livraison concurrents kardinal financement 6 million euro en mar 2020 en série auprès de korys etf partner et de investisseurs historiques pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/proteines-dinsectes-innovafeed-recolte-140-millions-deuros-aupres-de-temasek-et-creadev/410099 | Financing | la start up française innovafeed un de leader de la production de protéines insectes pour le animaux élevage levé 140 million euro qui vont notamment permettre la construction une usine aux etats unis dans le cadre un partenariat avec le géant américain de agroalimentaire adm cette nouvelle levée de fonds porte le financement total innovafeed à 200 million euro pour accélérer le développement en france et à international indiqué le groupe jeudi dans un communiqué elle est permise par le deux actionnaires historiques innovafeed temasek fonds souverain singapourien et creadev fonds investissement de la famille mulliez alors que son usine de nesle dans la somme une capacité de 15 000 tonne de protéines insectes par an est entrée en service il a moins un mois cette levée de fonds doit permettre la construction une première implantation aux etats unis innovafeed en occurrence sur le site du siège adm archer daniel midland company à decatur illinois une capacité annuelle de 60 000 tonne de protéines insectes quatre fois celle de nesle la construction de cette usine commencera en 2021 indiqué la start up qui a pa souhaité dévoiler le montant de investissement le site adm à decatur est le plus gros site de transformation de maïs au monde expliqué clément ray président innovafeed adm accepté de vendre un de derniers terrain disponibles sur son site et conclu avec la start up un contrat à très long terme de fourniture de matières premières selon le dirigeant si échelle est nettement plus grande le modèle est identique à celui de usine de nesle implantée à proximité une amidonnerie du sucrier français tereos le coproduits du maïs adm decatur seront recyclés localement pour nourrir le insectes grâce à de infrastructure connectées au site ce modèle de production permettra également à innovafeed utiliser 27 mégawatts énergie résiduelle récupérée du processus adm énergie qui était pa valorisée auparavant précisé la start up ce partenariat avec adm permet de servir un contrat passé par innovafeed avec un autre géant américain du négoce et de la transformation de matières premières agricoles le groupe cargill avec cargill nous avon un contrat pour commercialiser de protéines insectes dans le secteur de aquaculture et le contrat prévoit augmentation de capacités de production innovafeed explique ray qui se réjouit de faire travailler indirectement le deux concurrents et le deux plus gros acteurs de agroalimentaire au niveau mondial gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise référente sur achat média digital et le tracking afp pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 0agronomy
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https://www.e-marketing.fr/Thematique/experience-1295/experience-utilisateur-2241/Breves/Les-profils-Snapchat-dotent-nouveau-look-Bitmoji-362920.htm | Desirability | Dès aujourd'hui, les Snapchatters pourront voir une version tridimensionnelle d'eux-mêmes sur leur profil Snapchat et leur profil d'ami, leur offrant ainsi une toute nouvelle façon de s'exprimer et de montrer leur personnalité sur Snapchat. Avec plus de 200 millions de personnes qui utilisent des Bitmoji chaque jour, les Snapchatters pourront bientôt choisir parmi plus de 1 200 combinaisons de postures corporelles, d'expressions faciales, de gestes et d'arrière-plans pour personnaliser davantage leur présence numérique. Qu'il s'agisse de signes de la main, de plages pittoresques ou d'arrière-plans à motifs d'animaux, les Snapchatters peuvent désormais adapter leurs Bitmoji 3D à leur humeur. Grâce aux capacités 3D de qualité Pixar, les Snapchatters verront des détails améliorés sur leur avatar personnalisé, qu'il s'agisse des textures des vêtements de leurs marques de mode préférées ou de l'éclat des boucles d'oreilles de leur avatar. Le nouveau profil propose également: À lire aussi : Snapchat lance son mode d'achat publicitaire "Snap Select" Snapchat lance Spotlight, une plateforme vidéo inspirée de Tik Tok | 2design
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/raphael-jabol-avostart-de-la-banlieue-a-station-f-1174913 | Legitimacy | A Station F, dans l’antre de la “startup nation”, un entrepreneur dénote un peu. Jean, basket et sweat, pour l’instant, rien de surprenant. Mais en filigrane, on comprend vite des origines sociales différentes. Raphaël Jabol, 31 ans, prévient : “Surtout, ne tombez dans le misérabilisme, il n’y a pas besoin d’en faire plus, la réalité est déjà forte.” La réalité, pour lui, c’était sa cité à Bobigny, où il a grandi. Issu d’un milieu populaire, il a été confronté aux rivalités de quartiers et aux faibles perspectives d’avenir. Dans son lycée à Pantin, une Rep (Réseau d'éducation prioritaire), “des mecs arrivaient avec des marteaux et des extincteurs pour se battre”, confie-t-il, sans oublier les jeunes, en bas de son HLM, qui ont sombré dans les problèmes, dont certains sont décédés. Un milieu difficile duquel il arrive à s’extirper grâce à ses bons résultats à l’école et aux voies d’accès facilités entre les Rep et Sciences Po. C’est donc rue Saint-Guillaume à Paris que le jeune Raphaël passera toute sa scolarité à suivre une spécialisation marketing. Après plusieurs voyages, un échange outre-Atlantique à l’université John Hopkins et un prêt bancaire de 20.000 euros pour financer son séjour, le pas-encore entrepreneur rejoint L’Oréal, avant de claquer la porte six ans plus tard. “On allait me proposer un poste plus haut, mais j’avais du mal avec l’idée de gérer un énorme budget, tout ça pour vendre des shampoings”, ironise-t-il. Rapidement, il rencontre Pierre Aïdan et Stéphane Le Viet, les cofondateurs de Legalstart, une startup juridique BtoB à succès. A trois, ils imaginent un nouveau bébé et Avostart est lancé fin 2017. Ce trio entend rendre accessible le conseil juridique à tout le monde et pour peu cher. “Le droit était pour moi un super moyen pour réduire une partie des inégalités”, précise Raphaël Jabol. Et d’ajouter : “Je pense toujours à mon entourage, si demain ils ont une emmerde, ils ne savent pas où aller. Même moi, plus jeune, je n’étais pas informé.” Face à la jungle des avocats et leur spécialisation, difficile effectivement de s’y retrouver. Avostart propose deux types d’aides : des questions-réponses gratuites avec un avocat sur internet. Un algorithme se charge de cibler les requêtes et les besoins pour diriger vers l’avocat compétent. En plus d’une aide juridique par téléphone de 20 minutes pour 39 euros, la startup propose un abonnement de 5 euros par mois, avec engagement sur un an, pour des entretiens téléphoniques illimités. “Les ‘gens en banlieue’ ont tendance à appeler quand le problème est avéré. ‘Je viens de me faire licencier, qu'est-ce que je fais ?’, par exemple. Les autres vont plutôt nous contacter pour prendre le problème en amont, avant qu’il ne lui tombe sur la tête”, ajoute-t-il. Son ambition alors : que tout le monde puisse se diriger vers un avocat avant même que les litiges soient trop importants. De l’autre côté, les avocats payent un abonnement, entre 79 et 129 euros.La jeune pousse revendique 1.500 avocats inscrits et vient tout juste de franchir la barre des 50.000 utilisateurs et des 2.000 abonnés. La semaine dernière, sa startup a été retenue parmi les 40 pépites les plus prometteuses de Station F. En mai dernier, c’était Facebook qui leur faisait confiance pour rejoindre la troisième édition de leur programme d’incubation “Startup Garage”. Loin d’être un handicap, ce passage de la banlieue à Station F guide les décisions de l’entrepreneur. “Je relie toujours chaque chose que j’entreprends à l’endroit d’où je viens pour leur donner de la visibilité, sinon ils n’en n’ont pas”, regrette-t-il. Et d’ajouter : “Quand tu regardes le paysage tech, tu vois toujours les mêmes profils et les mêmes grandes écoles. C’est de la responsabilité de tout l’écosystème entrepreneurial d’aller les chercher de nouveaux talents.” Avec Station F, Raphaël part sensibiliser les jeunes à l’entrepreneuriat dans les lycées. “Ils ont très peur du risque. Mais je leur dis que le risque n’est qu’une question de perspective. Quand j’ai démissionné de L’Oréal, mes parents ont failli péter les plombs. Mais pourtant, pour moi, quitter ce CDI n’était pas un risque : si t’as ton idée, si tu sais que tu peux le faire, si tu peux évaluer le risque, alors banco !”, conseille-t-il. Et de marteler : “Surtout que si tu te plantes, tu pourras revendre ton expérience entrepreneuriale beaucoup plus cher à un futur employeur.” A la fois libéral et social, le startuppeur part du principe que tout le monde doit pouvoir être au fait de la diversité des opportunités professionnelles. A chacun, ensuite, de faire son choix. “Tout le monde n’est pas censé devenir PDG ou agrégé de philo”, ajoute-t-il, “mais plutôt savoir que c’est possible et ensuite faire son choix. Ce n’est pas uniquement une question financière, mais d’accès à l’enseignement.”Macroniste en 2017, comme bien des entrepreneurs, aujourd’hui il regrette l’absence de social dans les réformes du président. “Macron se fout du milieu d’où je viens, et surtout, il ne le connaît pas”, insiste l'entrepreneur. Dimanche dernier, le JDD révélait qu’Emmanuel Macron avait été “bouleversé” par Les Misérables, un film de Ladj Ly sur la banlieue et qu’en conséquence, il demandait au gouvernement “d’améliorer les conditions de vie en banlieue”. Pas de quoi convaincre Raphaël Jabol qui préfère souligner un élément : “Macron avait invité le réalisateur à sa projection privée à l’Elysée, alors que Ladj Ly lui avait proposé de venir à l’avant-première, en Seine-Saint-Denis…” | 5learning
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https://www.frenchweb.fr/certideal-leve-8-millions-deuros-pour-setendre-sur-le-marche-europeen-des-smartphones-reconditionnes/398912 | Financing | a heure de obsolescence programmée et du manque innovation de rupture sur le marché de smartphones le secteur de produits électroniques reconditionnés est en plein essor selon le prévisions du cabinet idc le marché mondial du smartphone reconditionné devrait peser 51 milliard de dollar ici 2022 échappant pa au phénomène le marché français pèse désormais plus un demi milliard euro avec plus de 2 million de smartphones reconditionnés écoulés dans hexagone en 2019 si cette part ne représente pour instant qu un dixième de ensemble de smartphones vendus en france elle ne fait cependant que grimper au fil de années signe un intérêt croissant de français pour économie circulaire un modèle qui pourrait prendre encore plus ampleur avec la crise du coronavirus propice à une large réflexion sur no habitude de consommation dans ce contexte de nombreux entreprises ont vu le jour ce dernières pour tirer profit de ce secteur florissant à image de back market recommerce remade ou encore certideal cette dernière qui développe une plateforme achat de smartphones reconditionnés mais aussi autres produits électroniques comme de tablettes ou de montres connectées vient de boucler un tour de table de 8 million euro mené par maif avenir et bnp paribas développement le investisseurs historiques à savoir inter invest capital et citizen capital qui avaient injecté 2 million euro dans la start up tricolore en novembre 2017 ont également remis au pot dans le cadre de cette nouvelle opération fondée en 2015 par laure cohen et yoann valensi la société revendique plus de 160 000 client plutôt que être une marketplace agrégeant de revendeurs citideal opté pour une plateforme qui approvisionne directement auprès de opérateurs pour affranchir de tout intermédiaire dans la chaîne de valeur du reconditionnement ainsi entreprise teste elle même le appareils en examinant 30 point de contrôle technique micro bouton accueil connecteur de charge le nettoie et le répare le ca échéant avant de le proposer à la vente sur son site cet atout est particulièrement précieux en ce temp compliqués où le marché est bouleversé et no concurrents tributaires de contraintes de leurs intermédiaires estime laure cohen co fondatrice de la start up française vous pouvez retrouvez intégralité de son interview ici sélectionnée pour intégrer le programme french tech 120 du gouvernement certideal réalisé en 2019 un chiffre affaire de 20 million euro la société est encore loin de 65 million euro de revenus de recommerce mais elle mise sur ce nouveau financement de 8 million euro pour accélérer la cadence en déployant notamment sa plateforme dans de nouveaux pay européens déjà opérationnelle en france et en espagne elle doit être lancée dans le prochains mois en italie en belgique au portugal et au royaume uni une expansion européenne qui accompagnera un doublement de effectifs pour atteindre le 80 collaborateurs ici fin 2020 certideal vise le 70 million euro de chiffre affaire à horizon 2022 fondateurs laure cohen et yoann valensi création 2015 siège social levallois hauts de seine activité plateforme achat de smartphones reconditionnés effectifs 40 collaborateurs financement 8 million euro en avril 2020 auprès de maif avenir bnp paribas développement inter invest capital et citizen capital 2 million euro en novembre 2017 auprès inter invest capital et citizen capital pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 2design
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https://www.influencia.net/jc-decaux-devient-full-data-driven/ | Storytelling | l affichage extérieur est bel et bien devenu data driven si on tient compte de développements récents de acteurs de ce secteur et notamment de la toute récente annonce de jcdecaux concernant le lancement de jcdecaux data solution nous venons donner une meilleure lisibilité à notre approche data pour chacun de no marchés en complétant avec de solution globales ce que nous faisons de mieux en local explique françois xavier pierrel chief data officer du groupe en appliquant un portefeuille de solution basées sur la data à la fois internationale et locale et adaptées à chaque marché jcdecaux offre aux annonceurs aussi bien de la simplicité dans un domaine hautement technique et souvent complexe que de éléments de comparaison avec le autres leviers publicitaires sans oublier efficacité de campagnes tout en gardant une pratique agile et une mise à échelle adaptée à un groupe une telle portée le solution développées dans chaque pay interagissent avec le central afin que le annonceurs maximisent impact et le roi de leurs investissements médias précise il la data semble en effet être partout dans le dooh de jcdecaux depuis analyse de impact de la création publicitaire en amont de la diffusion jusqu à la mesure de performance de campagnes pour ne citer que deux étapes le solution touchent par conséquent aussi bien à optimisation de la planification et de la diffusion de contenus qu à la génération de engagement notamment en tandem avec le mobile et à évaluation de performance de campagnes médias pour rendre tout cela possible aux plateformes développées en interne par le groupe viennent ajouter de partenariats avec une cinquantaine acteurs technologiques tels qu adsquare s4m et de opérateurs télécom parmi le solution composant ce data solution le creative heatmap permet à aide de intelligence artificielle évaluer impact potentiel et adéquation une création publicitaire grâce à analyse du lieu où le regard du passant va se poser lors de sa diffusion en affichage extérieur ce qui fonctionne sur un feed ne marche pa nécessairement en ooh et cela peut arriver que on ait à adapter le concept créatif pour assurer de sa performance explique françois xavier pierrel un autre exemple phare de solution que le groupe apprête à lancer dans le semaines qui viennent concerne la mesure de performance de campagnes pour chaque opération annonceur connaîtra la couverture la répétition et également la contribution au drive to store mesurée en partenariat avec adsquare à cela ajoutera plus tard la mesure de la contribution de écrans du groupe aux campagnes drive to app et drive to web quinze pay concernés dans un premier temp en lançant son offre mondiale de solution data le groupe français de communication extérieure présent dans plus de 80 pay illustre sa propre transformation qui eu comme point orgue la création une direction data en 2018 aujourd hui composée une cinquantaine de data scientist data analyst et data engineer et pilotée par françois xavier pierrel dans un premier temp quinze pay sont concernées par la nouvelle offre à commencer par la france le royaume uni allemagne la belgique le pay ba espagne italie le émirats arabes unis afrique du sud et le états unis luciana uchôa lefebvre | 2design
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/billetterie-weezevent-s-emancipe-de-son-actionnaire-veepee_778890 | Magic Team | Challenges - Comment la reprise des événements s’est-elle passée cet été? Pierre-Henri Deballon - Nous sommes passés de problèmes de pauvres, ne plus avoir d’événements, à des problèmes de riches, gérer la reprise sans ressources. Avec la pandémie, nos recettes sont tombées à 5% de leur niveau, et notre effectif, de 100 à 80 salariés en raison des départs non remplacés. Quand, lors de la reprise, l’activité a été décuplée, jusqu’à dépasser de 20% le niveau de 2019, ça a été compliqué… Comment expliquer ce rebond? Côté organisateurs, beaucoup étaient dans les starting-blocks pour reprogrammer dès que possible leurs événements annulés et l’été est la saison des gros festivals. Côté participants, il y avait une forte envie de sortir à nouveau. Notre chance est d’être entré dans la crise en pleine forme. L’entreprise a toujours été à l’équilibre, nous n’avons jamais distribué de dividendes, notre trésorerie était positive. Et le gouvernement a vraiment joué le jeu avec le chômage partiel et le fonds de solidarité. Les événements ont-ils beaucoup évolué pour s’adapter au contexte? Leur taille et leur durée ont été adaptées. Les Vieilles Charrues, d’habitude, c’est 60.000 personnes par jour, debout, qui se piétinent, et un autre festival la nuit au camping! Cette année, c’était 5.000 personnes, assises, et pas de camping. Le pass sanitaire est aussi devenu obligatoire. Je pense d’ailleurs que c’est la meilleure solution pour protéger le secteur d’une mise à l’arrêt. Qui sont vos clients? Ce sont 15.000 organisateurs d’événements de toute taille, du Salon de l’agriculture à des cours de photo. Notre logiciel de vente en ligne est gratuit, nous nous rémunérons sur l’achat de places. Nous fournissons aussi l’appareil qui contrôle les billets à l’entrée. Et plus de 70% des 100 plus gros festivals français utilisent notre technologie de cashless, qui permet d’acheter son sandwich ou sa bière avec un bracelet. En 2015, Veepee a pris 60% de Weezevent. La prochaine étape? Nous avons toujours gardé le contrôle opérationnel. A un moment, nous nous sommes donc dit que cela faisait sens de reprendre le contrôle complet. Et cela collait avec le recentrage stratégique de Veepee. Avec Sébastien Tonglet, nous venons de racheter leurs parts, en levant de la dette. Nous ne l’avons pas fait parce que l’entreprise déclinait car, depuis 2015, elle a beaucoup grandi, mais nous voulons maîtriser le scénario du futur de Weezevent. Justement, quelle est la suite? Aujourd’hui, nous sommes la deuxième billetterie en France, derrière France Billet, et le plus gros acteur européen de cashless. Depuis le rachat du belge PlayPass en mars, l’international pèse 50% de notre chiffre d’affaires. Nous espérons devenir un leader européen. Pourriez-vous vous diversifier? Non, notre métier reste de fournir des technologies aux organisateurs d’événements. Mais il n’est pas exclu de leur proposer un logiciel de gestion du staff et des bénévoles, qui participent aux événements tout comme les utilisateurs. Votre rêve de croissance? Devenir leader mondial! \n\n \n \n Pass sanitaire\n \n | 12society
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https://www.lavoix.eu/fr/news/432/brexit-et-contrats | Securing | Se pose alors la question de la portée géographique de ces accords. En droit français, il est communément admis qu’en vertu de la théorie de l’autonomie de la volonté des parties, le régime du contrat ainsi que sa formation, ses effets, son interprétation et les potentiels conflits de lois sont régis par la recherche de la commune intention des parties qui prime sur le sens littéral des termes du contrat. Pour les accords dont la clause territoriale se limite à « l’Union Européenne » sans autres précisions, la situation dépendra de leur date de conclusion. Il convient en effet de distinguer les accords conclus avant le 23 juin 2016 de ceux conclus après cette date qui correspond au référendum adoptant la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne. Dans la mesure où le Brexit était encore un événement imprévisible avant cette date, les parties avaient nécessairement la commune intention d’intégrer tous les États de l’Union Européenne, y compris le Royaume-Uni. Une limitation de sa portée territoriale n’est donc pas justifiable. En revanche, des doutes subsistent pour les accords conclus depuis le vote du référendum (après le 23 juin 2016) puisque le Brexit n’était plus un événement imprévisible. Le Royaume-Uni pourrait être considéré exclu de la portée territoriale de ces contrats. Nous pourrions soutenir, en effet, que si les parties avaient souhaité intégrer le Royaume-Uni, elles auraient clairement rédigé une clause en se référant d’une part aux « États de l’Union européenne » et, d’autre part, au « Royaume-Uni ». Nous vous recommandons donc de vérifier vos contrats conclus après le 23 juin 2016 et sommes à votre disposition pour vous assister dans cette analyse afin de déterminer l’opportunité de conclure ou non des avenants à ces derniers. | 7people
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https://www.influencia.net/catmull-pixar-technologie-creativite-marchent-main-dans-main/ | Magic Team | ed catmull ma définition de la créativité est très large est la capacité à résoudre de problèmes dans notre ca bien sûr la créativité incarne dans no histoires mais elle est aussi dans la façon dont nous créons no film ed le vrai sujet est de faire en sorte que le collaborateurs voient que ce qu il sont en train de faire de la valeur et de impact si vous mettez ça en place si vous même vous pensez que vous avez un impact alors le gen autour de vous vont suivre et seront déterminés à résoudre le problèmes et à consacrer toute leur énergie en somme ce qui est le plus important de faire est de assurer que vous travaillez sur quelque chose qui une vraie valeur et de créer un environnement dans lequel chacun se sent en sécurité pour tester de choses en sachant que si jamais ça ne fonctionne pa ce ne serum pa un souci ed la créativité devient plus difficile lorsque le entreprises grandissent souvent il a cette illusion que la personne créative est un génie solitaire qui reste dans son coin je ne pense pa que ce soit la meilleure façon être créatif être créatif implique être avec autres personnes de communiquer dans notre ca il y pa un cerveau créatif mais toute une équipe créative sur chaque film qui travaille ensemble un film comme beaucoup autres produits ce sont de milliers de décisions à prendre voire de centaines de milliers vous avez bien sûr besoin une équipe de direction qui dit comment assembler le différentes pièces ensemble mais est définitivement un travail collectif lorsqu un groupe est trop gros la capacité de gen à travailler ensemble commence à décroître il a différents moyens de résoudre ce problème de la taille un eux est avoir de process de fixer de règles pour faire le choses ainsi vous produisez plus mais ce est plus aussi original qu avant il a un équilibre à trouver pour avoir le bon nombre de personnes et le bons talent tout en ayant pa trop de bureaucratie qui ferait qu on tuerait la créativité est difficile ed au début de ma vie étais inspiré par deux personnes en particulier walt disney et einstein deux personnalités iconiques un du côté artistique autre du côté scientifique puis plus tard en œuvrant à rapprocher ce deux aspect ai été inspiré par de nombreuses personnes mais ce qui eu le plus impact sur moi été dans le années 70 quand ai participé au programme arpa advanced research project agency au sein de mon université l époque le gouvernement américain finançait de projets de recherche dans tout le pay avec très peu de contraintes bureaucratiques et de contrôle il faisaient confiance aux gen pour répondre aux enjeux du moment ed la réalité est qu elles marchent main dans la main il a bien quelque chose que roy disney retenu de son oncle walt toujours cherché à introduire de nouvelles technology dans le monde de animation même si aujourd hui on ne le voit plus comme de nouvelles technology à époque ça était walt compris qu en associant le deux ensemble on dégageait une énergie le changements technologiques créent de nouvelles opportunités pour le artiste et le artiste sont toujours à la recherche de projets qui sont presque impossible à réaliser ed quand nous avon débuté nous étions tellement concentrés sur idée de faire tout correctement dans le règles de art que nous somme clairement passés à côté de certains sujets en matière inclusion mais lorsque nous avon réalisé cela ainsi que notre responsabilité nous avon reconnu no faiblesses et no erreurs et nous avon travaillé pour le réparer notamment dans le processus de création de film nous avon cherché à en apprendre davantage sur le autres culture ou le façons de penser différentes en essayant de ne pa rester en surface est un processus permanent mais il est nécessaire de assurer que de gen autres culture participent que de femmes réalisent no film et même dans le casting de voix de no film de faire en sorte que no préjugés ne guident pa no choix sans qu on en rende compte pour nous est une question de responsabilité de nous améliorer et améliorer no film span data mce type bookmark style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 class mce_selres_start span zante benoit | 5learning
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/axelle-lemaire-nous-devons-croire-en-nos-entrepreneurs_31349 | Storytelling | Pour la French Touch, vous réunissez entrepreneurs et investisseurs français à New York. Que peut-on attendre concrètement de cette conférence ? En France, on a un réel savoir-faire, mais on n’est pas très fort pour le faire savoir. Cet événement, auquel je participe en compagnie du ministre de l’Economie Emmanuel Macron, est essentiel pour la promotion de la French Tech. Mais cela sert aussi à développer des opportunités d’affaires. Nos entreprises ont besoin d’accéder aux marchés, aux financements. Quelles sont les entreprises présentes les plus représentatives de la French Tech ? Il y a les fleurons nationaux connus, qui ont réussi des levées de fonds historiques. A New York, il y a Devialet, Sigfox ou OVH, quatrième hébergeur mondial. Et puis il y a BlaBlaCar, très représentatif, car c’est de l’économie collaborative. Pourquoi l’économie collaborative est-elle une spécificité française ? Je crois qu’il y a un aspect culturel. Les Français sont assez bidouilleurs. Et il y a également une tradition du partage, peut-être par l’engagement dans la vie associative, qui fait qu’il y a une demande d’usages collaboratifs. Que pourront espérer les entrepreneurs de votre futur projet de loi sur le numérique ? Nous allons mettre à leur disposition des données publiques et également des données d’intérêt général. Cette nouvelle catégorie désigne des données privées produites par des sociétés commerciales. Nous les inciterons à les mettre à disposition des start-up et des entreprises du même secteur. Rendre ces données accessibles, c’est mieux connaître les marchés et proposer des solutions innovantes. C’est vrai, par exemple, pour les autoroutes, le logement social, le transport… Qu’obtiendront les sociétés en échange de leurs données privées ? Certainement un modèle freemium. L’idée n’est pas de donner en accès libre des informations qui ont une valeur patrimoniale et qui pourraient être utilisées par des géants d’Internet autant que par des start-up. Il y a deux ans, la Silicon Valley s’est émue du refus d’Arnaud Montebourg de vendre Dailymotion à Yahoo!. Vous avez aussi refusé la vente il y a quelques mois à un hong-kongais… Je ne pense pas qu’il y ait eu une affaire Dailymotion bis. En tout cas, cela n’a pas été interprété comme tel à l’international. Mais il faut regarder toutes les offres sur la table. En l’occurrence, le choix qui a été fait [en faveur de Vivendi] a été un choix de présence à l’international et d’enrichissement des contenus. C’est un choix rationnel. Allez-vous réussir à surmonter le French bashing ? Bien sûr ! Le French bashing vient souvent des Français. Il faut faire l’effort d’être moins sévère vis-à-vis de son pays. Petit à petit, la perception change. L’année dernière, les investissements étrangers dans l’Hexagone ont augmenté de 12%, très tirés par le numérique d’ailleurs. Il y a beaucoup de signes positifs, notamment des entrepreneurs ultradynamiques qui veulent conquérir le monde. Propos recueillis au Victoria 1836 par Jean-Baptiste Diebold et Jérôme Lefilliâtre \n\n \n | 2design
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/chute-de-volkswagen-consequences | Securing | L'agence fédérale américaine de protection de l'environnement, l'EPA, a annoncé vendredi dernier avoir ouvert une procédure à l’encontre de Volkwagen (VW), accusé d’avoir équipé les véhicules diesel vendus aux États-Unis d’un logiciel limitant leurs émissions polluantes (oxyde d’azote NOx) lors des tests réalisés pour obtenir un certificat de conformité. En réaction, l’action de Volkswagen a baissé de près de 20 % lundi, correspondant à une diminution de sa valorisation boursière de 15 milliards d’euros (de 77 à 62 milliards), soit approximativement le montant maximale de l’amende encourue par VW (16 milliards d’euros, en prenant comme base de calcul l’amende maximale de 37 500 dollars par véhicule, sur 482 000 véhicules). Mardi, l’action a encore perdu près de 20 % (soit une perte additionnelle de 12 milliards d’euros) : elle a donc perdu le tiers de sa valeur en deux jours, signe que les répercussions sont encore loin de s’être toutes faites sentir. Plusieurs conséquences peuvent être tirées de cet événement. Le premier lésé, c’est le citoyen qui respire de l’air plus pollué. VW a confirmé mardi que ce dispositif était implanté dans 11 millions de véhicules dans l’ensemble du monde. Le Guardian a estimé que les émissions de NOx liés à ces véhicules étaient comprises entre 240 000 et 950 000 tonnes. À titre illustratif, si on retient le coût social (impact sur la santé et sur les récoltes) de 4600 euros la tonne de NOx, fixé dans un rapport européen pour l’évaluation socioéconomique des projets, le coût de la pollution générée pourrait atteindre 4,4 Md€ par an. Lire la suite de l'article France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.frenchweb.fr/eco-conduite-13-million-deuros-pour-le-boitier-connecte-de-la-startup-wenow/389075 | Financing | wenow spécialisé dans éco conduite lève 1 3 million euro à occasion un tour de table mené par raise impact avec la participation de lita de bpifrance et de business angel notamment du réseau femmes business angel lancé en 2014 par valérie ma et fabien carimalo wenow développe une solution connectée à un boîtier permettant aux entreprises de réduire leur empreinte carbone en adoptant une conduite écologique le entreprises employant de conducteurs peuvent ainsi le équiper de la solution wenow pour économiser du carburant et donc de argent tout en réduisant leurs émissions de co2 une fois intégré au véhicule le boîtier enregistre et analyse le gestes du conducteur pour lui offrir ensuite un coaching adapté en matière éco conduite via une application mobile wenow travaille notamment avec entreprise charier où la consommation de carburant aurait été réduite de 17 en espace un an réconcilier économie et écologie est la seule solution pour que le entreprises emparent du développement durable expliquent valérie ma et fabien carimalo co fondateurs de wenow si la technologie wenow est dédiée avant tout aux entreprises la startup adresse aussi aux particuliers avec la solution wenowbox labellisé par bcorp depuis 2017 wenow ambitionne désormais équiper le plus grand groupes européens fondateurs valérie ma et fabien carimalo création 2014 siège social paris secteur éco conduite activité boîtier connecter financement 1 3 million euro à occasion un tour de table mené par raise impact avec la participation de lita de bpifrance et de business angel notamment du réseau femmes business angel pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/apres-le-rachat-deveroad-et-duber-freight-europe-sennder-leve-160-millions-de-dollars/412738 | Financing | sennder poursuit sa montée en puissance sur le marché européen du fret routier. la start-up allemande vient en effet de boucler un tour de table de million de dollar auprès d’accel, lakestar, hv capital, project et scania. sur cette somme, million de dollar seront alloués au développement de technology pour digitaliser le secteur du fret routier et optimiser la flotte de camion de transporteurs. au total, l’entreprise berlinoise levé million de dollar depuis sa création en , ce qui la place parmi le poids lourds émergents d’un marché européen pesant milliard d’euros, dont milliard rien qu’en france et en allemagne. avec une valorisation désormais supérieure au milliard de dollars, l’entreprise allemande intègre le cercle de licornes. elle vise le milliard d’euros de chiffre d’affaires à l’horizon . écoutez notre échange avec maxime legardez, managing director france chez sennder, pour comprendre le enjeux derrière cette opération : fondée par david nothacker, julius köhler et nicolaus schefenacker, le groupe d’outre-rhin passé la vitesse supérieure en avec deux grandes opérations d’envergure. tout d’abord, sennder mi la main au printemps sur everoad, start-up française lancée par maxime legardez, entrepreneur français passé par rocket internet, et financée notamment par xavier niel (free, , station f…), jacques-antoine granjon (veepee) ou encore olivier mathiot (priceminister). «notre objectif était le même : créer un géant européen du transport routier de marchandises sou la forme d’un commissionnaire de transport digital», indiquait alors maxime legardez, fondateur d’everoad devenu depuis managing director france chez sennder. pour donner plus de consistance à cette ambition, l’entreprise allemande frappé très fort à l’automne en récupérant le activités européennes d’uber freight, l’application du géant américain de vtc exclusivement dédiée au transport routier de marchandises. en plus de renforcer sennder, cette opération illustre la consolidation qui est en train de s’opérer sur le marché européen du fret routier. chronotruck notamment cédé aux sirènes de gefco à l’été . toutefois, cette consolidation n’a rien de surprenant dans un secteur où le marge sont très faibles et où le volume de marchandises prises en charge fait la différence. avec une armée de plus de collaborateurs et transporteurs partenaires, sennder espère maintenir la concurrence à distance pour rester le chasseur et ne pa devenir la proie. le marché à conquérir est immense puisque % de camion roulent à vide et % à moitié à remplis en france et dans toute l’europe. et ce n’est pa la crise du coronavirus qui inquiète le acteurs du secteur, du fait notamment de besoins en marchandises de géants de la distribution. la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateurs : david nothacker, julius köhler et nicolaus schefenacker création : siège social : berlin secteur : transport activité : digitalisation du transport routier de marchandises financement : million de dollar en janvier , million de dollar en juillet , million de dollar en avril … lira aussi : pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux ([email protected])nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris | 13transport
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/fabriquer-un-meuble-100-local/ | Market Impact | Ah, ces appartements sans personnalité qui ressemblent tous à la page 12 du catalogue… Grâce à OpenDesk, un site fondé par le couple de designers Joni et David Steiner, votre intérieur ne ressemblera plus jamais à aucun autre. Cette plateforme généreuse vous propose en effet des plans de meubles dessinés par des designers reconnus ainsi que des instructions pour les monter, le tout en licence libre. Il vous suffit d’acheter les matières premières chez l’ébéniste du coin (recensé sur le site), de ressortir la caisse à outils qui commençait à rouiller, et de vous retrousser les manches ! Les moins bricoleurs choisiront une option un peu plus coûteuse et se feront directement livrer l’intégralité les éléments nécessaires pour monter le meuble en kit. Au-delà de vous faire plaisir en bricolant une table basse inédite ou une étagère originale, vous contribuez par ce mode de production local à réduire les émissions de CO2 qui sont habituellement produites par le transport des meubles fabriqués à l’autre bout du monde… On reporte le dîner chez moi? J’ai pas fini les chaises !\nD’autres plans du même genre sur notre page FaceBook. Restez branché ! | 4environment
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/financement-transitions-bas-carbone | Market Impact | Il poursuivra successivement trois objectifs : Les présentations et les discussions auront lieu en anglais. 9h45-10h – Introduction de Jean Pisani-Ferry, France Stratégie Introduction : Comment le cadre institutionnel européen pourrait incorporer l’agenda de la transition bas carbone\nChristian Egenhofer et Jorge Nunez, CEPS Table-ronde avec brèves présentation sur : Discussion ouverte et conduite par Carlo Jaeger, Chairman of the Global Climate Forum, Beijing Normal University 11h25-11h30 – Courte pause Introduction : Comment consolider des initiatives diverses mais convergentes\nJean-Charles Hourcade, CIRED Table-ronde avec de brèves présentations sur : Discussion ouverte et conduite par Pascal Canfin, WRI Discussion sur les contours d’une adresse collective et les liens avec le processus de la négociation Étienne Espagne, chargé de mission, France Stratégie : [email protected] France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.strategie.gouv.fr/publications/guide-de-levaluation-socioeconomique-investissements-publics | Legitimacy | Les investissements publics représentent, en France comme dans tous les pays développés, une part significative des investissements nationaux et concernent des secteurs aussi divers que le transport, l’énergie, la santé, la culture, l’éducation ou la justice. Ils façonnent à long terme – pour des décennies, voire des siècles – le pays, sa croissance, la qualité de son environnement et sa capacité à affronter les défis futurs. L’évaluation socioéconomique des investissements publics a pour objectif d’apprécier et de comparer les gains de bien-être et les coûts d’un investissement pour la collectivité. Elle constitue un éclairage indispensable pour le décideur public. Le guide s'adresse aux porteurs de projet et aux décideurs publics. Il présente les principes et les méthodes permettant d’évaluer un investissement d’un point de vue socioéconomique, et permet d’appliquer un cadre d’analyse commun à tous les investissements publics, même si chaque secteur a ses caractéristiques propres. L'évaluation socioéconomique des projets d'investissement est obligatoire depuis 2013 et le Commissariat général à l'investissement pilote une contre-expertise indépendante des projets pour lesquels les financements apportés par l’État et ses établissements publics dépassent 100 millions d’euros. Préalablement à la validation par le comité d’experts, le Guide de l’évaluation socioéconomique des investissements publics a été transmis en consultation aux ministères et aux établissements publics, et tient compte des observations recueillies auprès des utilisateurs. Il sera régulièrement enrichi par des compléments opérationnels et des annexes techniques. Tableau des compléments\nau Guide de l’évaluation socioéconomique des investissements publics France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/blockchain-nyctale-leve-1-million-deuros-pour-analyser-lactivite-des-crypto-actifs/398708 | Financing | nyctale spécialisé dans analyse de activité de réseaux blockchain lève 1 million euro en pré amorçage auprès outlier venture bpi france et de business angel dont certains membres du réseau insead business angel france lancé en 2018 par blaise cavalli et pierre colin nyctale développe de outils logiciels analyse de activité économique de crypto actifs basés sur le réseaux blockchain comme bitcoin ou ethereum la startup française pour objectif de démocratiser le réseaux blockchain dans le monde de la finance la plateforme saas adresse aussi bien aux institution financières qu aux fournisseurs application nyctale inspire acteurs internationaux comme bloomberg cb insight ou crunchbase dans son modèle économique en fournissant de données analytiques à forte valeur ajoutée et de enseignements stratégiques sur activité usage et investissement de ce actifs dans le cadre de cette levée de fonds nyctale ambitionne de poursuivre le développement de sa plateforme équipe projet devrait réunir 5 collaborateurs à plein temp ici été fondateurs blaise cavalli et pierre colin création 2018 siège social paris secteur blockchain activité plateforme analyse de activité économique de crypto actifs basés sur le réseaux blockchain financement 1 million euro en avril 2020 en pré amorçage auprès outlier venture bpi france et de business angel dont certains membres du réseau insead business angel france pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 10science
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/investir-transition-ecologique-limitant-effets-rebond | Financing | Les propositions d’ingénierie financière susceptibles d’orienter l’investissement vers la transition énergétique et écologique doivent passer au crible d’au moins deux critères distincts, financier et environnemental. Cela va de soi mais vaut d’être rappelé dans le contexte des débats actuels : l’investissement n’est pas un but en soi mais un moyen pour atteindre l’objectif recherché, à savoir la soutenabilité. Celle-ci se mesure à travers la demande finale et non à travers l’offre : ce qui est soutenable ou pas, c’est un pouvoir d’achat et son impact sur les ressources limitées, une façon de consommer, d’être mobile, de vivre. L’investissement dans l’offre, par exemple dans les nouveaux procédés industriels, permet de réduire la pression sur les ressources à confort de vie constant mais n’abolit pas les limites physiques de la planète. Ces dernières se déclinent au pluriel et ne se laissent pas réduire aux seules gaz à effet de serre ; il en va autant de l’impact sur la biodiversité et les écosystèmes locaux dont nous dépendons pour notre survie même. Ce rappel me paraît utile car le financement de l’investissement « soutenable » donne lieu à la création des richesses qui, elles, ne le sont pas forcément. Un problème clef de la transition écologique concerne la coexistence de la « nouvelle » économie, supposée plus économe en ressources et moins intense en émissions de gaz à effet de serre, et de « l’ancienne » ; typiquement, des énergies renouvelables et des sources d’énergie fossiles. La première a émergé comme une niche au sein de la seconde et poursuit sa lente croissance grâce aux innovations techniques, aux nouveaux modes de vie et aux régulations qui lui sont favorables (subsides, taxes, prix garantis, etc.). Mais les deux permettent de créer de la valeur et d’accumuler des richesses qui s’agrègent indistinctement au sein du système financier mondialisé : toute décision financière s’appuie sur un système monétaire où une monnaie parfaitement fongible – « all-purpose money » en anglais – relie parfaitement les richesses issues des deux économies. Cette fongibilité de la monnaie multiplie les effets rebonds potentiels, les « fuites » d’émission et les déplacements d’impacts, annulant ainsi en partie les gains écologiques à tous les niveaux : de la consommation individuelle jusqu’aux flux mondiaux des investissements directs. Donnons-en deux illustrations. À micro-échelle, chaque fois qu’une mesure de politique publique récompense un quelconque « éco-geste » pour sa contribution aux objectifs de soutenabilité, l’analyse d’impact doit inclure l’impact du pouvoir d’achat supplémentaire gagné grâce à l’éco-geste en question. Si la rétribution se fait en monnaie parfaitement fongible, les possibilités de « fuites » se multiplient et l’impact global devient d’autant plus difficile à estimer. D’où les expérimentations de ces dernières années de cartes de fidélité du type « green-for-green », qui rétribuent l’éco-geste non en euros ou en monnaie nationale mais en monnaie complémentaire, dont la fonction est de délimiter qualitativement le surplus de pouvoir d’achat offert (agriculture écologique, énergie renouvelable, transports durables, etc.). À plus grande échelle, des richesses gagnées grâce aux investissements dans les énergies renouvelables peuvent se retrouver réinvesties dans les énergies fossiles ou dans la dégradation des écosystèmes à l’autre bout de la planète, tout simplement en intégrant le circuit bancaire classique (dépôt, produits d’épargne…). Différentes propositions tentent de corriger ce problème a posteriori : la société civile lance des campagnes appelant les banques à « désinvestir » les énergies fossiles ou certaines industries polluantes, les banques et les fonds d’investissement répondent en proposant des produits d’investissement responsable. Mais la valeur réelle de ces efforts n’est pas aisée à établir, et les progrès palpables restent peu nombreux. Cette critique écologique de la fongibilité monétaire n’est pas sans rappeler le débat sur les indicateurs de richesse : c’est le même principe d’équivalence (ou de substituabilité) des différentes formes de richesse qui est au cœur des deux débats. À l’idée d’une pluralité des richesses complémentaires mais non substituables correspond celle de special-purpose money, un système de circuits monétaires complémentaires mais non substituables (plus précisément, avec une convertibilité limitée). De fait, l’idée est tacitement présente dans de nombreux projets de monnaies locales en France, dont les chartes introduisent des critères de soutenabilité auxquels les entreprises souhaitant adhérer au réseau doivent répondre (Blanc et Fare, 2013) Or ces monnaies ne sont pas des monnaies d’investissement, et leur impact sur les échanges économiques est extrêmement faible voire inexistant. Il s’agit en réalité d’outils plus pédagogiques qu'économiques, de la sensibilisation citoyenne sur le rôle de la monnaie plus que de l’organisation de la production et des échanges. (Kalinowski, 2014) La seule l’exception à cette règle vient des plateformes d’échanges interentreprises comme WIR en Suisse ou Sardex en Italie, où les objectifs de la transition écologique sont pour le moment plutôt absents. Les limites de ces initiatives locales ne tiennent pas uniquement au contexte institutionnel, plutôt hostile aux innovations monétaires. Plus fondamentalement, elles se heurtent à l’organisation économique dans son ensemble, dont elles livrent une critique écologiquement intéressante mais exogène, impuissante, à l’image de la soutenabilité elle-même. En revanche, elles pourraient s’intégrer aux dispositifs d’investissement proposés par ailleurs, qu’il s’agisse du circuit public (commandes publiques, taxes locales), ou des outils de valorisation économique des impacts environnementaux. À chaque fois, l’insertion du circuit monétaire complémentaire permettrait de limiter les « fuites » et augmenterait la résilience. Une idée serait ainsi d'utiliser le pouvoir libératoire de l'impôt local pour asseoir la confiance dans un circuit monétaire complémentaire. Dans une sorte de circuit du Trésor territorial, les recettes fiscales d'une région pourraient gager l'émission d'une monnaie complémentaire qui circulerait à l'échelle de la région, et dont la demande serait en partie assurée par la commande publique. Une autre consisterait à intégrer les monnaies locales aux circuits d’investissement dans la transition écologique et énergétique : infrastructures, production locale d'énergie, reconversion agricole, etc. Nous le savons, ces investissements ne sont pas assez « rentables » aux yeux des investisseurs privés et doivent être bonifiés d'une façon ou d'une autre (Blanc & Perrissin-Fabert, 2015) Mais alors il est essentiel de « cloisonner » la circulation de ces richesses créées par convention, sous peine de retrouver le problème initial. Ajoutons pour finir que cette voie n’est pas la seule pour orienter le système financier vers le principe de complémentarité, plutôt qu’une substituabilité absolue des richesses : l’essentiel est d’augmenter la diversité d’acteurs, de régulations et de principes de gestion au sein du système. À l’échelle locale, une politique de taux préférentiels ou un « Community Reinvestment Act » à la française ou à l’européenne irait dans le même sens, en obligeant les banques à investir une partie de leurs ressources localement, indépendamment du « benchmark » mondial de rentabilité. Le même principe vaut pour les coopératives bancaires dédiées à certains secteurs d’économie et affranchies du « benchmark » en question. À l’échelle mondiale, il se peut que les campagnes de désinvestissement des énergies fossiles aboutissent et que les banques n’arrivent pas à contourner les règles. Il reste que dans toutes ces solutions plus classiques, la fongibilité de la monnaie facilite la migration des richesses initialement « circonscrites » à un pouvoir d’achat ou un territoire donné, augmentant ainsi les risques de « fuites » et de déplacements d’impacts. Aglietta Michel ; Espagne Étienne ; Perrissin-Fabert Baptiste, « Une proposition pour financer l’investissement bas carbone en Europe », France Stratégie, Note d’analyse, février 2015, n°24. Blanc Jérôme et Fare Marie, « Chartes et comités d’agrément dans les dispositifs de monnaies citoyennes : une spécificité française ? », Congrès de l’Association Française de Sociologie, RT12 « Sociologie économique », Nantes, 2-5 septembre 2013. Blanc, Jérôme ; Perrissin-Fabert, Baptiste, « Financer la transition écologique par les monnaies locales », Note de l’Institut Veblen (à paraître en novembre 2015). Blanc Jérôme, « Transition écologique de l’économie et monnaies locales. Discussion à partir des propositions de Michel Aglietta », in : Magnen Jean-Philippe et Fourel Christophe, D’autres monnaies pour une nouvelle prospérité [Rapport], 2015, deuxième partie, pp. 169-180. Caminel, Thierry et alli, « Produire plus, polluer moins : l’impossible découplage ?, Les éditions des Petits Matins, 2014. Daly, Herman E.; Cobb, John B., For the Common Good: Redirecting the Economy Toward Community, the Environment, and a Sustainable Future, Beacon Press 1994. Dron, Dominique, « Pour une régulation écosystémique de la finance », Note de l’Institut Veblen, octobre 2015. Fare, Marie, Les conditions monétaires d’un développement local soutenable : des systèmes d’échange complémentaires aux monnaies subsidiaires, Thèse, Université Lumière Lyon 2, Lyon, 2011. Kalinowski, Wojtek, « L’impact socio-économique des monnaies locales et complémentaires », Note de l’Institut Veblen, novembre 2014. Magnen, Jean-Philippe ; Fourel, Christophe, D’autres monnaies pour une nouvelle prospérité [Rapport], Paris, Ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité et Secrétariat d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, de la consommation et de l’économie sociale et solidaire, 2015, 76, 180, 46 p. kalinowski.jpg, par mmadeira Wojtek Kalinowski, co-directeur de l’Institut Veblen Sociologue et historien de formation, diplômé de l’Université d’Uppsala en Suède, de l’Université Paris-Sorbonne et de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Avant de rejoindre l’institut, il a travaillé comme journaliste et responsable web pour le magazine Alternatives Économiques, comme responsable éditorial à l’Institut de recherche sur la gouvernance, et, dans les années 2004-2008, comme délégué général à La République des Idées. Il a participé à la création de la revue La Vie des Idées dont il a été le rédacteur en chef dans les années 2005-2006 et, après le passage en ligne de la revue, membre de la rédaction en chef jusqu’à 2010. Il est aujourd’hui conseiller de la rédaction. D’origine polonaise, il a longtemps vécu en Suède avant de s’installer en France en 1998. Wojtek Kalinowski, Co-Director, Veblen Institute Educated as a sociologist and as a historian, graduated form The Uppsala University (Sweden), the Paris-Sorbonne University and the École des Hautes Études en Sciences Sociales (Paris). Prior to join the Veblen Institute, he worked as a journalist and webmaster for the French magazine Alternatives Économiques; as editor at the French Institut de recherche sur la gouvernance; and as managing director of La République des Idées (2004-2008). He took part in the development and launching of La Vie des Idées, being its Chief Editor in 2005-2006 and a member of its editorial board until 2010, when it has been changed into an online magazine. He now serves as an advisor to its editorial Board. Born in Poland, he lived in Sweden for quite a long time before settling in France in 1998. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 7people
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https://www.frenchweb.fr/airbags-intelligents-inmotion-leve-10-millions-deuros-aupres-dupfront-ventures-et-360-capital/411605 | Financing | la jeune société in&motion annoncé vendredi une levée de fonds de million d’euros, qui doit lui permettre de diffuser plus largement à l’international s gilets airbags « intelligents » pour motards, skieurs et cavaliers. ce nouveau tour de table été souscrit par deux fonds, le californien upfront ventures, partenaire historique de la société, et le français capital, ainsi que par la banque publique bpifrance. interrogé par l’afp, rémi thomas, l’un de cofondateurs de l’entreprise basée dans le grand annecy, indiqué que in&motion comptait ouvrir l’an prochain de filiales en allemagne et aux états-unis. l’entreprise compte parallèlement diversifier sa gamme de produits. peu pratiques, le airbags pour motards d’ancienne génération se déclenchent en ca d’éjection sou l’effet d’un câble reliant le pilote à sa machine. ceux d’in&motion sont activés par un boîtier électronique qui analyse le mouvements de l’utilisateur en temp réel. ce boîtier est alimenté par le données collectées par tous le utilisateurs de ce système et se perfectionne sans cesse grâce à l’intelligence artificielle. « il a une infinité de situations. il n’y jamais deux accident pareils », explique m. thomas pour justifier l’apport de cette technologie. en ca d’accident, le système actionne en quelques milliseconde de boudins gonflables de à centimètres qui protègent la nuque, le thorax et la colonne vertébrale. le chiffre d’affaires, qu’in&motion ne souhaite pa dévoiler, est encore modeste et la société reste déficitaire, six an après sa création. in&motion, qui compte une quarantaine de salariés, sous-traite la fabrication de s gilets à de tiers. la société vend s équipements à de spécialistes du textile sportif qui l’intègrent dans leurs propres produits. le nom « in&motion » est affiché, un peu comme celui du fabricant de tissus « respirants » goretex figure sur de nombreux vêtements outdoor. le groupe dispose d’une seconde source de revenus, récurrents, puisque le utilisateurs de s produits doivent souscrire à un abonnement. vente de matériel et abonnement contribuent à part égales au chiffre d’affaires. le principaux concurrents, dainese et alpinestar, « viennent du monde du vêtement ». « nous on fait le pari inverse: on vient du monde de la tech et on s’associe avec de marque de vêtement», relève m. thomas. in&motion s’est lancé à s débuts sur le marchés de pro du sport, en ski et en moto gp. s équipements seront ainsi largement utilisés par le motards du prochain rallye dakar. la société bénéficie du soutien d’assureurs, comme la mutuelle de motards et la macif, qui font la promotion de s produits et acceptent de prendre à leur charge une partie du coût de l’abonnement. % de accident graf sur la route concernent le deux-roues motorisés alors qu’ils ne représentent que % de usagers. gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto, entreprise référente sur l’achat média digital et le tracking. afp pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux ([email protected])nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris | 10science
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https://www.frenchweb.fr/rh-jobandtalent-leve-88-millions-deuros-aupres-dinfravia/412387 | Financing | comme tant d’autres, le marché de l’emploi été durement touché par la crise du coronavirus. c’est dans ce contexte que jobandtalent, startup espagnole spécialisée dans la digitalisation du marché de l’intérim, levé million d’euros à l’occasion d’un tour de table mené par le fonds français infravia growth qui injecté à lui seul million d’euros. ce sont joint au tour de table le investisseurs historiques de la startup, à savoir atomico, seek, dn capital et kibo venture notamment. jobandtalent avait notamment levé million d’euros auprès de seek en novembre ainsi que million de dollar auprès d’atomico en . le montant total du financement de l’entreprise s’élèverait aujourd’hui à environ million de dollars. lancé en par felipe navio, felix ruiz hernandez, juan urdiales et tabi vicuña, jobandtalent est à l’origine d’une plateforme de mise en relation entre recruteurs et candidats via un système de « matching ». une formule qui semble gagnante pour la startup basée à madrid qui revendique à ce jour intérimaires à plein temps, et double de taille tous le ans. une croissance que le fondateurs expliquent par une transformation du marché qui s’accélère elle aussi. « la covid accéléré la transformation de nombreuses industry », commente juan urdiales, co-fondateur et ceo de jobandtalent. « nous avon remarqué une adoption plus rapide de nouvelles technology sur ce derniers mois que sur le dernières années. le marché de l’intérim connaît une importante transformation qui s’accélère, passant de structure physique traditionnelles vers de organisation ‘data-driven’ qui améliorent l’expérience de intérimaires et de employeurs. » la startup amitionne désormais de se développer à l’international, notamment en france, au royaume-uni et en allemagne. « notre investissement dans jobandtalent illustre parfaitement la stratégie du fonds qui consiste à investir dans de startup confirmées pour le aider à devenir le leader européens de leurs marchés en apportant de capitaux ainsi que du support opérationnel pour se développer », explique guillaume santamaria, partner chez infravia. il s’agit pour le fonds growth d’infravia de son premier financement depuis son lancement il a mois. la solution d’assurance professionnelle spécialiste de startups. protégez votre société et s dirigeants avec de expert qui vous comprennent. fondateurs: felipe navio, felix ruiz hernandez, juan urdiales, tabi vicuña création: siège social: madrid, espagne secteur: rh activité: plateforme de mise en relation entre recruteurs et candidats financement: million d’euros à l’occasion d’un tour de table mené par le fonds français infravia growth qui injecté à lui seul million d’euros. ce sont joint au tour de table le investisseurs historiques de la startup, à savoir atomico, seek, dn capital et kibo venture notamment. pour communiquer sur frenchweb, devenez partenaire frenchweb.fr est édité par decode medium sa au capital de euros. n° de rcs: paris. rue de bretagne paris, france. directeur de la publication: richard menneveux ([email protected])nos condition générales de ventes frenchweb.fr est hébergé par claranet rue bréguet - paris | 12society
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https://www.makery.info/2014/10/27/limpression-3d-metal-pour-tous-avec-la-mini-metal-maker/ | Value Chain | Imprimer en 3D des objets en métal ? L’idée séduit, mais tarde à se démocratiser. La Mini Metal Maker pourrait prochainement renverser la tendance et faire entrer l’impression 3D métal dans les foyers adeptes du DiY. Car ce prototype destiné au grand public permet de réaliser chez soi des petites pièces imprimées en métal… sans contraintes d’installation de sécurité, ni risque pour la santé, contrairement à d’autres imprimantes à vocation plus industrielle. La technologie de la Mini Metal Maker se base en effet sur l’utilisation des pâtes à métaux – composées de particules métalliques, d’eau et de liant organique non toxique – conjuguée avec l’impression 3D à bas coûts. Lancées au Japon dans les années 90 par les géants Mitsubishi Materials Corporation et AIDA Chemical Industries, ces matières malléables que l’on peut triturer à mains nues ont des qualités plastiques proches de l’argile. Et ont révolutionné l’artisanat d’art puisqu’elles existent en argent, en or, en cuivre, mais aussi en acier. Logique que les pâtes à métaux intéressent dès lors les designers hardware. Surtout si elles peuvent être utilisées avec une imprimante 3D pour prototyper des pièces miniatures et complexes comme des turbines ou des pistons. David Hartkop et Ben Aiken, concepteurs de la Mini Metal Maker, misent là-dessus. Une fois imprimée par leur machine ultra compacte (40 cm de haut pour 30 cm de profondeur et une zone d’impression de 6 x 9 cm), la pièce est séchée dans un four – il faut aérer pour le coup – pour évaporer eau et matières organiques. Ne reste que le métal pur qui peut être retravaillé à loisir. Sachant par ailleurs qu’il conserve toutes ses propriétés conductrices d’électricité. Présentation de la Mini Metal Maker par David Hartkop, son concepteur (vidéo en anglais) : Actuellement en cours de développement, la Mini Metal Maker a fait l’objet d’une campagne Indiegogo achevée fin 2013, qui a rassemblé 34.874 $ sur un objectif de 10.000 $. Depuis, l’équipe a consacré l’année 2014 à la mise au point des têtes d’impression et des extrudeurs, avec pas moins de 6 prototypes réalisés. Son prix n’a pas encore été communiqué. La livraison des premiers produits beta test est en cours et une version DiY existe également. Pilotée par des logiciels open source, elle a été présentée le 12 octobre. Cependant, les instructions complètes de montage sont réservées en avant-première aux contributeurs de la campagne Indiegogo. Dommage car elles ne seront pas – dans un premier temps en tous cas -, disponibles en open source, mais vendue 25 $ sur demande. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.makery.info/2016/03/16/les-verites-projetees-de-nobumichi-asai-du-studio-wow/ | Legitimacy | Tokyo, de notre correspondante Depuis le succès international de Omote (2015), l’application spectaculaire de mapping facial en temps réel, Nobumichi Asai enchaîne les projets qui explorent cette technologie de la juxtaposition, notamment dans les arts de la scène. L’œuvre holographique Light of Birth, actuellement exposée dans le cadre de Media Ambition Tokyo au Japon, met encore plus en évidence notre perception brouillée entre virtuel et réel. En interview, ce maître de l’illusion réelle part de la science et touche à la théologie. D’ailleurs, qu’est-ce que la réalité ? Quel est le rapport entre vos deux œuvres emblématiques, le mapping facial d’«Omote» et l’hologramme «Light of Birth»? Ce sont deux œuvres similaires utilisant le même code – Open CV. L’espace infographique de l’ordinateur et l’espace physique sont juxtaposés afin de faire apparaître les images du PC dans l’espace réel. Ces images suivent et réagissent aux mouvements du sujet. Vous avez utilisé des programmes open source pour les créer? J’ai utilisé OpenCV, mais elles auraient pu être créées sans : OpenCV est une compilation de lois mathématiques et physiques converties en code. Le code qui sert à calibrer l’espace dans ces œuvres utilise le concept déterministe de l’homographie en mathématiques. Lancé en 1999, le projet OpenCV d’Intel est maintenant disponible en open source. Les lois universelles des mathématiques et de la physique sont ouvertes et disponibles à tout le monde. En général, les industries qui développent les codes les protègent avec des brevets. C’est pour cette raison que j’apprécie profondément le fait qu’Intel offre OpenCV en open source. Parce que les choses qui nous sont essentielles sont partagées par tous, tout comme l’eau et l’air. «Connected Colors», WOW (Nobumichi Asai), 2016: Selon vous, le monde naturel peut être décomposé en lois algorithmiques. Qu’entendez-vous par la phrase «Au commencement était le Code»? Quand on examine de près le monde naturel, on se rend compte que toutes sortes de choses ont la même structure que le code. Par exemple, les êtres vivants sont définis par l’ADN. Les quatre bases A, T, G et C se combinent pour constituer 21 types d’acides aminés. Ce sont ces mêmes 21 types d’acides aminés qui se combinent pour former les innombrables variations de protéines et d’enzymes moléculaires qui constituent une cellule. A leur tour, ces cellules forment les systèmes et les organes qui constituent le corps humain. On compte plus de 37 trillions de ces cellules. La façon dont tout cela fonctionne ressemble beaucoup à la programmation informatique. Dans l’ordinateur, la suite de 0 et de 1 forme les instructions de base, qui se combinent pour créer des modules, lesquels contiennent les fonctions de base, ou les classes. Celles-ci se combinent à leur tour pour créer des systèmes aux fonctionnalités complexes. En termes de mécanique quantique, on pourrait dire que la nature (l’espace) est elle-même constituée d’opérations mathématiques. Par exemple, une réaction chimique telle que H2 + O2 -> 2H2O suit des règles fixes et peut être interprétée en tant qu’opération mathématique. En outre, les arrangements d’atomes et de molécules représentent le code et peuvent être considérés comme des variables. Ainsi, on peut dire que le monde est né d’innombrables processus parallèles qui ont lieu simultanément. Ceci se transpose à la notion de réalité virtuelle omnidirectionnelle qui résulte de calculs parallèles dans une unité de traitement général (GPU). Je pense que l’espace et le monde naturel sont générés par le code (= lois). Ainsi, j’ai montré à travers cette œuvre holographique la génération de l’existence physique par le code. «Light of Birth», WOW (Nobumichi Asai), 2016: Il existe une phrase dans les textes bouddhistes: « Des devoirs illimités proviennent d’un seul principe. » Elle prêche que toutes les choses sur Terre proviennent d’un seul principe d’origine qui règne sur l’univers. Les sages auraient-ils profondément capturé l’essentiel de notre univers ? Jusqu’ici j’ai parlé du matérialisme numérique, mais je ne suis pas un matérialiste, parce que même si les humains sont composés d’un conglomérat d’atomes, le fait de conglomérer un tas d’atomes ne fait pas l’humain. C’est dans ce cadre qu’opère un pouvoir mystique et miraculeux qui est irréversible. Le code complexe et sophistiqué qui a créé toutes les formes de vie n’est pas né au hasard du jour au lendemain. Alors qui est-ce qui a écrit le code qui sépare les êtres vivants des choses sans vie ? Je pense que « l’existence » des « choses » qui ne sont pas des choses est en train de se découper de l’éther grâce à l’évolution de la technologie. Quelles applications futures envisagez-vous pour cette technologie de plus en plus précise, que ce soit le mapping sur les êtres vivants ou les hologrammes? Aujourd’hui, d’un point de vue technologique, c’est inévitable que les images virtuelles se « réalisent ». Je sens que le vecteur de la créativité humaine est en train de traverser la frontière de l’humanité même. Les hologrammes et le mapping en vidéoprojection sont emblématiques de cette tendance sous-jacente. Autre tendance récente, le mouvement robotique (qui essaie de créer artificiellement des humains) est également influencé par ce vecteur. Avec des produits comme BigDog et Petman, l’entreprise Boston Dynamics est toujours en pleine innovation. Je vois la technologie comme faisant partie de l’évolution humaine. Je me reconnais dans le flux de cette évolution et cela m’excite. Même les secteurs de l’art et du loisir avancent à grands pas en exprimant l’évolution de la technologie et ils continueront sans doute de surprendre et d’exciter les gens. Le photographe japonais Nobuyoshi Araki a dit : « Le visage humain est en fait un nu. » Le visage de la personne dit tout d’elle : ses émotions, son âge, son état physique, son caractère, son individualité, ses idéaux… Le fait de contrôler l’image de ce visage détient un potentiel d’expression énorme. Par exemple, dans notre récent projet de clip vidéo pour la chanson Ending Theme d’Amazarashi, nous avons relevé le défi de transformer l’artiste, qui a une trentaine d’années en réalité, à différentes étapes de sa vie entre 20 et 100 ans. L’expérience de voir la représentation de la vieillesse et de la mort en l’espace de quelques secondes nous rappelle qu’une vie humaine n’est pas éternelle, mais a ses limites. «Ending Theme», Amazarashi, clip réalisé par WOW, 2016: L’intérêt de cette représentation n’est pas celui de la fiction comme dans un film, mais plutôt le fait qu’elle représente « quelque chose qui se passe ici et maintenant ». C’est-à-dire que c’est présenté comme « une expérience vraie » plutôt qu’une simulation. Je pense qu’à l’avenir, les progrès en ce qui concerne la vitesse des ordinateurs, les capteurs et les projets nous donneront des réalités de plus en plus « vivantes » plutôt que précises. A l’avenir, ces représentations qui utilisent ces technologies de vision artificielle vont rapidement brouiller la frontière entre le réel et le virtuel. Mais pour les humains, la différence en terme de signification entre réel et virtuel n’existe pas. Pour le cerveau, les expériences réelles et les expériences virtuelles sont toutes les deux encodées. C’est parce qu’elles sont équivalentes, rien de plus que des signaux électroniques abstraits. «Le plus important, ce n’est pas “réel ou virtuel” mais tout simplement “vérité ou non-vérité”.» Par exemple, si l’on part du principe que les billets de banque et les pièces de monnaie sont réels, alors l’argent sur un compte en banque est virtuel (rien que des chiffres, un code). Si c’est une vérité, on peut l’utiliser ; si c’est une non-vérité, on ne peut pas. Autrement dit, la seule chose qui importe, c’est : est-ce que sa signification est une réalité, ou pas ? Quels sont vos projets? En ce moment, je fabrique un dispositif qui projette votre visage en tant qu’« objet 3D » à distance et en temps réel. A l’époque de Skype, ce qui m’intéresse c’est la téléportation des humains en tant qu’« objets » et non pas en tant qu’« images ». Cela ressemblerait au dispositif de téléportation dans Star Trek. A vrai dire, on peut déjà faire les choses qui ont été faites dans le film Avatar. En terminologie de réalité virtuelle, on l’appelle « télexistence ». C’est un thème majeur des technologies associées. C’est intéressant de réfléchir à ces notions sous le prisme des religions et des visions du monde traditionnelles. Les concepts du « paradis » chrétien et de la « terre pure à l’ouest » bouddhiste nous rappellent que la conscience humaine est peut-être située en un point lointain et ne peut être transférée sur notre planète que par la vie ou la mort. Qui sait, il se peut que le monde que l’on croit réel ne soit rien qu’un espace virtuel comme Matrix ? Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/acheter-des-invendus-prix-reduit/ | Market Impact | Vous connaissez le principe du sac de viennoiseries invendues, proposé à moitié prix par votre boulanger. Pourquoi ne pas l’appliquer à tous les commerces de bouche ? L’application mobile Too Good To Go vous met en relation avec des commerçants qui souhaitent brader leurs invendus alimentaires. Elle a été développée au Danemark, puis lancée en France par un groupe de jeunes expats rentrés au pays. Sur l’appli, vous pouvez chercher les invendus disponibles autour de vous et les payer en ligne à prix réduit, avant de vous pointer à l’heure de fermeture pour venir récupérer votre pitance, dans le resto, l’épicerie ou la boucherie du coin. Le modèle économique de cette startup : une commission fixe d’un euro prélevée sur chaque transaction. De quoi nourrir des espoirs de développement durable… Pour savoir comment devenir un héros (ou une héroïne) de l’anti-gaspi, lancez donc cette vidéo : D’autres plans du même genre sur notre page Facebook. Restez branché(e) ! | 0agronomy
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https://www.lavoix.eu/fr/news/210/the-epo-ranked-first-in-quality-survey | Legitimacy | The European Patent Office was ranked first among the five largest Patent Offices in terms of patent quality and level of service in a recent survey of patent professionals worldwide by Intellectual Asset Management (IAM) magazine. The latest IAM benchmarking survey is based on responses received earlier this year from more than 650 corporate IP managers, non-practicing entity (NPE) executives, and private practice lawyers and attorneys. When asked about their perceptions of the quality of the patents granted by each of the five largest IP offices in the world, 60% of corporate respondents rated EPO grants as either "excellent" or "very good". Among private practice respondents, 62% rated EPO quality as either excellent or very good. For NPE executives, the figures were 56% with excellent or very good. In terms of the level of service provided by the IP5 offices, the EPO also ranked first in the survey, with all categories of respondents rating it number one. In addition, 14% of corporate and private practice respondents and 19% of NPEs considered that the quality of the EPO's services had improved over the last year. The other offices included in the survey are the Japan Patent Office (JPO), the Korean Intellectual Property Office (KIPO), the State Intellectual Property Office of the People's Republic of China (SIPO), and the United States Patent and Trademark Office (USPTO). If you have any questions concerning this newsletter, please contact us. This IP Alert is for information purposes only and does not constitute legal advice. | 10science
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https://www.lavoix.eu/fr/news/268/jurisprudence-novembre-2016 | Securing | Tribunal de l’Union Européenne (TUE) – 29 septembre 2016 – affaire T335/15 « Universal Protein Supplements Corp. vs. EUIPO ». Une demande de marque de l’Union Européenne constituée de la forme a été déposée pour désigner des « compléments nutritionnels » en classe 5, des « vêtements, chaussures » en classe 25 ainsi que des « Services de magasins de vente au détail en ligne de compléments nutritionnels ; produits liés à la santé et au régime alimentaire ; vêtements et chaussures » en classe 35. L’Examinateur a notifié son titulaire d’un refus d’enregistrement pour défaut de caractère distinctif de la demande de marque pour l’ensemble des produits et services revendiqués, ce dernier a contesté ce refus mais l’EUIPO a maintenu sa décision première. Un recours a donc été formé, mais la chambre des recours a donné raison à l’Examinateur ; un nouveau recours a été formé devant l’instance dont nous analysons aujourd’hui la décision. Le TUE entérine la décision de l’Examinateur et rejette le recours considérant que : Tribunal de l’Union Européenne (TUE) – 11 octobre 2016 – affaires T753/15 et T461/15 « Guccio Gucci SpA vs. EUIPO (Guess ?) » Le 11 octobre 2016 le Tribunal de l’Union Européenne a rendu deux décisions relatives au signe déposé à titre de marque par la société GUESS IP HOLDER LP. La première décision (T461/15) est relative à une action en nullité déposée à l’encontre d’une marque de l’Union Européenne composée de ce signe, tandis que la seconde action concerne une opposition formée à l’encontre d’une seconde demande de marque de l’Union Européenne également composée de ce signe. Ces deux actions contre le signe ci-dessus ont été déposées par la société GUCCIO GUCCI SpA notamment titulaire des marques antérieures suivantes : Cette action en nullité et l’opposition à l’enregistrement sont toutes deux fondées la lettre de l’article 8 du règlement 207/2009 du 26 février 2009 relatif au refus d’une marque lorsqu’il existe un risque de confusion avec des marques antérieures. La chambre des recours de l’EUIPO, pour chacune des décisions, avait déjà considéré que « La lettre « G » comme base des différents signes ne constituait pas, à elle seule, un motif suffisant pour établir une quelconque similitude pertinente, que ce soit sur le plan visuel, phonétique, conceptuel. », et que « La lettre majuscule « G » en tant que concept constitue une simple caractéristique graphique pouvant être représentée, positionnée et stylisée de plusieurs façon ». D’autant plus que le signe contesté est purement figuratif et abstrait, et que le public ne percevra pas la lettre majuscule « G » mais seulement un motif ornemental et abstrait qui pourrait être perçu comme reproduisant des lettres stylisées telles que « X », « E » ou encore « 3 » et « E ». Le Tribunal de l’Union européenne, saisi par la société GUCCIO GUCCI SpA, dut alors se prononcer sur le bien-fondé de la décision rendue par la chambre de recours de l’EUIPO, et motiva ses deux décisions de la même façon. Ce fut, à titre liminaire l’occasion de rappeler les principes relatifs à l’appréciation globale du risque de confusion, et notamment que le consommateur moyen perçoit une marque comme un tout et ne se livre pas à un examen de ses différents détails. Aussi, le public pertinent conservant l’image de la marque dans son ensemble, il ne percevra pas dans le signe la lettre majuscule « G », mais plutôt un motif ornemental et abstrait. Les recours de la société GUCCIO GUCCI ont été rejetés. Cette décision démontre que des marques composées d’une même base, ici la lettre « G », peuvent être jugées complètement différentes en raison d’une appréciation des marques dans leur ensemble. ***** Changement dans le droit des marques et des modèles aux Iles Cayman Actuellement, pour être titulaire d’une marque aux Iles Caïmans, il est nécessaire d’être titulaire d’une marque britannique, ou désignant ce territoire (marque de l’Union Européenne ou via la marque internationale) et de présenter une demande d’extension à cet office insulaire. Dans son plan de modernisation des droits de propriété intellectuelle présenté à la fin du mois d’aout dernier, le gouvernement des iles Caïmans a présenté un ensemble de lois, qui devraient entrer en vigueur d’ici le début de l’année 2017. Ces textes prévoient notamment : S’agissant de la durée de protection d’une marque, il ne change pas et demeure de 10 années. Compte tenu de ce changement de législation, un rallongement des délais de traitement des demandes de marques désignant ce territoire seront à prévoir au début de l’année 2017. Aussi, nous vous recommandons vivement d’anticiper vos projets de dépôts et de procéder en ce sens avant la fin de l’année. Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN | 11security
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https://www.frenchweb.fr/fret-routier-convoy-leve-400-millions-de-dollars-de-plus-pour-tenir-uber-a-distance/383423 | Financing | convoy à origine une application pour optimiser le transport routier de marchandises lève 400 million de dollar en série auprès de generation investment management baillie gifford fidelity et durable capital partner ainsi que le investisseurs déjà présent lors de la série à instar de rowe price associate capitalg et lone pine capital la startup américaine avait déjà levé 185 million de dollar en septembre 2018 après avoir engrangé 62 million de dollar en juillet 2017 et 16 million de dollar en mar 2016 lancé en 2015 par dan lewis et grant goodale convoy développe une application pour optimiser le transport routier de marchandises qui fonctionne de la même manière que le application classiques de vtc est à dire en mettant en relation camionneurs et entreprises face à la concurrence uber freight application du géant américain conçue spécialement pour le camion ou celle de loadsmart convoy ambitionne accélérer son développement la startup américaine par ailleurs ajouter une nouvelle fonctionnalité à son offre baptisée convoy go permettant aux camionneurs de se remorquer directement sur de convois de marchandises remplis fondateurs dan lewis et grant goodale création 2015 siège social seattle marché application pour optimiser le transport routier de marchandises concurrents uber freight loadsmart financement 400 million de dollar en série auprès de generation investment management baillie gifford fidelity et durable capital partner ainsi que le investisseurs déjà présent lors de la série à instar de rowe price associate capitalg et lone pine capital pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/fintech-6-millions-deuros-pour-paylead-et-sa-solution-danalyse-des-donnees-bancaires/395294 | Financing | après lydia qonto le fintech françaises continuent à attirer le investisseurs il agit en particulier ici analyse de données bancaires paylead vient ainsi de réaliser un tour de table de 6 million euro en série une levée qui fait entrer open cnp le fonds de corporate venture de cnp assurance au sein de son capital investisseur historique side capital également participé ainsi que de business angel parmi lesquels hugues le bret fondateur du compte nickel qui entre au comité stratégique de la startup fondé en 2016 par charles de gastines jacquelin becheau la fonta et karim bakir paylead basé à paris permet à de banques de fintechs ou encore de distributeurs de créer de programme de fidélité grâce à analyse de données bancaires cela leur permet de mettre en place de programme de cashback sur le achats online ou offline de client la solution développée par la startup détecte automatiquement le transaction éligibles et est censée préserver leur anonymat le client doivent en amont donner leur consentement via paylead le marque peuvent aussi proposer de offres commerciales personnalisées la startup par exemple lancé de programme de fidélité avec bnp paribas arkéa groupama ou encore le spécialiste du cashback poulpeo la fintech constitué un réseau de marchands de plus de 6 000 point de vente avec cette levée elle prévoit de renforcer s équipes tech et data 20 postes sont ouverts sur ce métiers afin étoffer son réseau de marchands la fintech va également dédier une partie de son recrutement à la constitution une équipe commerciale sur le même créneau on peut citer de entreprises comme cdlk ou encore transaction connect fondateurs charles de gastines jacquelin becheau la fonta et karim bakir création 2016 siège social paris secteur fintech activité analyse de données bancaires financement série de 6 million euro réalisée auprès open cnp side capital hugues le bret pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/pourquoi-showroomprive-s-est-lance-en-bourse_29275 | Uniqueness | Challenges. La période des soldes est-elle une période plus difficile pour vous qui proposez des réductions en permanence ? Thierry Petit. Ce n’est pas une moins bonne période, car les consommateurs ont encore plus envie de faire de bonnes affaires, donc, il y a du trafic. Pour nous, le meilleur moment reste d’octobre à décembre. Comment vous imposez-vous face aux distributeurs, qui offrent de plus en plus des promotions toute l’année ? Nous nous posons en partenaire de nos marques, pas seulement en soldeur. Nous les accompagnons dans la génération de trafic, la découverte des membres. Quant aux consommateurs, ils aiment les bons plans, c’est une tendance de fond. >> L'interview complète en vidéo: En octobre dernier, vous êtes entré en Bourse en levant 256 millions d’euros. Pourquoi à Paris, et pourquoi ne pas avoir levé auprès de fonds ? La Bourse nous apparaissait comme une évidence. Nous avons 10 ans, c’est un cap. Elle nous permet de gagner en notoriété à l’international et nous donne les moyens de grandir. Nous avons choisi la place de Paris parce que nous réalisons plus de 80 % de notre activité en France. Il est clair que c’est plus compliqué ici. Plusieurs cotations ont été annulées, comme Deezer ou Oberthur. Il n’y a pas eu d’introduction de cette taille depuis SeLoger en 2006, preuve de la complexité de la tâche. Mais il y a quand même une bonne dynamique française, avec des entreprises qui grandissent. Votre principal rival, Vente-privée, avec lequel vous êtes en litige, refuse d’aller en Bourse… Nos contentieux sont de l’ordre du business. Pour le reste, il n’y a pas une seule façon de voir l’entreprise. Nous sommes allés en Bourse, car nous avons préféré la transparence, et rendre nos salariés actionnaires. Mais souvent, dans le monde d’Internet, on lit tout et n’importe quoi. En réalité, personne ne publie ses chiffres… Votre vrai concurrent n’est-il pas Amazon ? Effectivement, Amazon a une offre et un service fabuleux. Mais il y a de la place pour plusieurs acteurs. Dans la vente événementielle, on peut être deux ou trois. L’e-commerce ne représente que 7 % des ventes de la distribution, 3 % en -Espagne, 2 % en Italie. Le marché va naturellement grandir. Souhaitez-vous élargir votre offre ? Nous nous sommes concentrés -initialement sur la femme. Nous l’adressons sur son premier centre d’intérêt, la mode, qui représente 60 % de notre offre. Mais nous nous diversifions autour de ses intérêts : la famille, l’enfant, la maison. Vous êtes investisseur et avez ouvert en juin un incubateur spécialisé dans la mode, Look Forward. Etes-vous intéressé par d’autres secteurs ? Avec Look Forward, nous essayons de valoriser des initiatives marquantes dans la façon de produire, consommer ou distribuer la mode. En parallèle, je regarde tout un tas de secteurs. Je suis ingénieur de formation, j’aime bien la technologie. Je suis très sensible à la santé, car je trouve qu’elle n’a encore jamais vraiment été traitée à l’aune du big data. Entretien réalisé au Victoria 1836 par Claire Bouleau et Jean-Baptiste Diebold \n\n \n \n Bourse de Paris\n Start-up\n \n | 2design
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https://www.lavoix.eu/fr/news/283/jurisprudence-avril-2017 | Securing | C’est après une procédure de près de douze années que nous obtenons enfin le dénouement de l’affaire qui a opposé la dénomination sociale française FORGE DE LAGUIOLE à la marque de l’Union Européenne LAGUIOLE déposée le 20 novembre 2001 et qui, déjà, avait fait l’objet de nombreuses contestations mais finalement enregistrée le 17 janvier 2005. Cette marque désigne de nombreux produits et services en classes 8, 14, 16, 18, 20, 21, 28, 34 et 38. La société FORGE DE LAGUIOLE avait laissé peu de répit à la marque nouvellement enregistrée LAGUIOLE en déposant une demande de nullité partielle devant l’EUIPO dès le 22 juillet 2005. Cette demande de nullité était fondée sur la dénomination sociale FORGE DE LAGUIOLE utilisée pour les activités de « fabrication et vente de tous articles de coutellerie, cisellerie, articles cadeaux et souvenirs – tous articles liés aux arts de la table ». À partir de ce moment les décisions se suivent et ne se ressemblent pas. Pour mémoire, en novembre 2006 la division d’annulation rejette la demande en nullité. Puis en 2011 la Chambre des recours déclare alors que la marque LAGUIOLE est nulle pour les produits relevant des classes 8, 14, 16, 18, 20, 21, 28 et 34. Le recours est cependant rejeté en ce qui concerne les services de la classe 38 (télécommunications, etc.). Elle notamment considéré que, même si une dénomination sociale est, par principe, protégée pour toutes les activités couvertes par son objet, et dans l’hypothèse où celui-ci est suffisamment précis, cette protection se trouve cependant limitée « à tout le moins dans les secteurs où elle avait effectivement exercé ses activités avec le dépôt de la marque LAGUIOLE ». En l’occurrence, elle a considéré que « tous les produits désignés par ladite marque empiétaient sur les secteurs d’activité de [FORGE DE LAGUIOLE] ou se situaient dans des secteurs d’activité connexes », à l’exception des services de la classe 38. En réponse, M. SZAJNER, titulaire de la marque LAGUIOLE a déposé un recours devant le Tribunal de l’Union Européenne. Le 21 octobre 2014, le TUE a considéré qu’il n’existait un risque de confusion que pour certains produits expressément commercialisés par FORGE DE LAGUIOLE et a annulé la décision de la Chambre de Recours pour le autres produits. L’EUIPO et FORGE LAGUIOLE déposent un pourvoi devant la CJUE qui confirme l’arrêt du Tribunal. Outre le fait de venir mettre un terme à cette bataille judiciaire, qui va, sans doute, raviver les ardeurs de titulaires légitimes de droit sur le terme LAGUIOLE, cette décision donne également l’opportunité à la Cour de se prononcer sur la validité de la prise en compte d’une décision émanant d’une juridiction nationale rendue postérieurement à la décision d’un corps de l’EUIPO, en l’occurrence il s’agit de la décision de la Cour de Cassation rendue le 10 juillet 2012 et relative à la portée de la protection d’une dénomination sociale. La Cour précise que « le Tribunal doit appliquer une règle de droit national telle qu’interprétée par les juridictions nationales à la date à laquelle il rend sa décision » (point 42), et même si cela peut conduire le tribunal « à se livrer à une appréciation d’une règle du droit national qui diffère de celle de cette chambre de recours ». Bednarski est le titulaire d’un modèle communautaire désignant les « véhicules (jouets) » et notamment composé des vues ci-dessous : La société Franz Schneider a demandé la nullité de ce modèle en se fondant sur l’absence de nouveauté d’une part, et de caractère propre d’autre part, notamment en se fondant sur un modèle antérieur dont la représentation est la suivante : 1) Sur l'appréciation de la nouveauté La chambre des recours considère que la catégorie de produits à prendre en considération étant très large elle devait être restreinte aux jouets pelleteuses sur lesquels on peut s’assoir. Cette identification distingue utilement les produits en cause, d'une part, les jouets représentant d'autres véhicules et, d'autre part, de véhicules portatifs à petite échelle (reproductions). En l’occurrence, Les différences relatives à la conception du siège des deux jouet-pelleteuse, « seule et de loin », suffisante pour exclure toute identité entre les modèles. Le siège est presque plat dans le modèle antérieur alors qu’il a un dossier clairement visible dans le modèle contesté. 2) Sur l'appréciation du caractère propre La chambre des recours s’est particulièrement attardée sur la détermination de l’utilisateur averti et en a conclu que dans le cas d’espèce il y avait deux utilisateurs avertis à prendre en considération : Il serait cependant erroné de prendre en considération les adultes qui achète des jouets pour eux même dans la notion d’utilisateur averti dans la mesure où les parties s’accordent à dire que ce type de jouet est à destination des enfants entre 3 et 4 ans. Au vu de ce qui précède, le modèle contesté est donc maintenu dans son entièreté. Comme vous le savez, le nombre de noms de domaine réservés est en perpétuelle augmentation, et notamment grâce aux dizaines de nouvelles extensions qui sont lancées chaque mois. Nous attirons également votre attention sur les extensions suivantes, dont les phases de Sunrise sont en cours, ou prochainement ouvertes selon le planning ci-dessous TLD Sunrise Landrush Ouverture Générale .OBSERVER 16/02/2017-17/04/2017 19/04/2017-22/04/2017 22/04/2017 .REALTY 16/02/2017-17/04/2017 19/04/2017-22/04/2017 22/04/2017 .AFRICA 04/04/2017-02/06/2017 05/06/2017-19/06/2017 04/07/2017 .HEALTH 08/05/2017-07/07/2017 09/03/2017-07/07/2017 n/c .CREDITUNION 04/05/2017-03/06/2017 06/06/2017 n/c .RADIO 30/08/2017-01/11/2017 30/08/2017-01/11/2017 n/c .ZUERICH 19/02/2018 n/c n/c Par ailleurs, l’extension .MOI est désormais ouverte à tous ! Nous sommes à votre disposition pour vous conseiller et procéder à la réservation de noms de domaine parmi ces extensions. Date de publication : Avril 2017 Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN | 3digital
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/exosquelettes-wandercraft-va-se-lancer-aux-etats-unis_728505 | Needs | Challenges. Qu’est-ce qu’un exosquelette? \n\nMatthieu Masselin. C’est une structure robotique. Le premier cas d’application, c’est l’exosquelette industriel, militaire, qui augmente les capacités de l’utilisateur, pour courir plus vite, plus longtemps, soulever des charges plus lourdes. L’autre cas, sur lequel nous nous sommes positionnés, rend au patient une capacité perdue: la marche. Nous avons été les premiers à utiliser les algorithmes de la marche et l’équilibre dans un exosquelette.\n\nQuel est votre produit phare? \n\nC’est un exosquelette utilisé sous la surveillance du personnel médical, en rééducation: Atalante. Il coûte 100.000 à 200.000 euros. Nous en avons vendu une petite dizaine en France, au Luxembourg et aux Etats-Unis. Nous avons d’excellents partenariats avec des centres de rééducation tels que ceux de Berck-sur-Mer, Kerpape, Pionsat, et La Renaissance Sanitaire, ainsi qu’avec les meilleurs groupes de recherche en robotique: Caltech, l’université du Michigan, le CNRS, les Mines de Paris. Quelles sont ses évolutions? \n\nD’ici à la fin d’année, nous allons dévoiler une nouvelle technique de marche, bien plus anthropomorphe, grâce à l’attaque par le talon, le déroulé du pied, le mouvement de la hanche, du genou. Plus révolutionnaire encore, Atalante sera capable de travailler sur le contrôle latéral, le balancement. Aujourd’hui, la plupart des exosquelettes n’utilisent qu’une direction, vers l’avant. Or, ces mouvements latéraux sont très importants pour rééduquer un patient, lui apprendre à se rattraper quand il tombe sur le côté etc.\n\nOù produisez-vous? \n\nNous faisons produire les pièces chez des usineurs en France et les assemblons ici, dans nos locaux de 1.300 mètres carrés à Paris, où se trouve aussi la R&D. Notre stratégie a d’abord consisté à construire un énorme savoir-faire, une propriété intellectuelle en robotique. La commercialisation n’a commencé qu’en milieu d’année dernière. Le marché est énorme: dans le monde, au moins 30 millions de personnes sont en fauteuil roulant.\n\nA quand l’international? \n\nNous venons de décider d’aller aux Etats-Unis. Nos premiers contacts avec la FDA (Food and Drug Administration) se sont très bien passés. Nous espérons y arriver courant 2021 ou début 2022. Nous utiliserons une très grande partie de nos données cliniques européennes. Mais il y a quelques incertitudes liées à la situation actuelle. Et nous devons mener des tests, notamment auprès du personnel médical. Avez-vous d’autres projets? \n\nEn novembre, pour la première fois, nous participerons au Cybathlon, les jeux Olympiques de la robotique, à Zürich. Je pense que notre exosquelette sera le seul sans béquilles: dire qu’il y a trois ans, nous n’avions jamais mis un patient dans un exosquelette! Les épreuves consistent en des défis représentatifs de la vie courante: se lever d’un sofa très bas et mou, slalomer autour d’obstacles, monter des marches.\n\nVotre rêve de croissance? \n\nVoir quelqu’un marcher en exosquelette sans choquer personne. \n\n \n \n Start-up\n Santé\n \n | 6medical
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/accelerer-transition-ecologique-systemes-alimentaires-concilier-imperatif | Market Impact | En effet, le recours massif aux intrants de synthèse (pesticides et engrais azotés) contribue à la pollution des milieux, perturbe les équilibres écologiques et porte atteinte à la biodiversité rare et ordinaire[1], ce qui peut altérer à long terme le potentiel de production des agro-écosystèmes. Il constitue un facteur de réchauffement climatique et de pollution de l’air à travers les émissions d'ammoniac et de méthane liées à l’élevage, l’épandage d’intrants de synthèse ou d’effluents[2]. Par ailleurs, les perturbateurs endocriniens présents dans les pesticides impactent la santé humaine via les expositions chroniques des populations[3]. À l’échelle mondiale, la production agricole repose sur des acteurs interconnectés au niveau de territoires spécialisés[4], constituant un système alimentaire, au sens proposé en 2010 par Rastoin et Ghersi comme « un réseau interdépendant d’acteurs […], localisé dans un espace géographique donné […] et participant directement ou indirectement à la création de flux de biens et services orientés vers la satisfaction des besoins alimentaires d’un ou plusieurs groupes de consommateurs localement ou à l’extérieur de la zone considérée »[5]. Cette spécialisation territoriale limite la résilience globale du système alimentaire et induit des pressions sur l’environnement, accrues par les pertes et gaspillages tout au long de la chaîne alimentaire, qui représentent aujourd’hui près d’un quart de la production mondiale (1,6 Gt). En l’absence de toute évolution des modes de consommation, une augmentation de près de 60 % de la production alimentaire actuelle serait nécessaire d'ici 2050 pour répondre aux besoins liés à l’accroissement de la population mondiale, selon la FAO[6]. Face à cette tendance mondiale, de nouveaux comportements alimentaires émergent dans les pays développés. En France, les consommateurs se déclarent prêts à manger durable et local[7] et, au-delà de l’impact sur la santé, les dimensions sociales et environnementales de l’alimentation progressent parmi les déterminants d’achat[8]. Le poids relatif du prix diminue, même s'il reste le premier critère de choix[9]. Cette évolution se traduit concrètement par une diminution de la consommation de viandes[10], le développement de la consommation des produits issus de l’agriculture biologique[11], ainsi que par l’émergence d’initiatives locales, publiques et privées, centrées sur la reterritorialisation des systèmes alimentaires[12]. Participant à cette dynamique, les collectivités territoriales s’engagent : à travers la déclaration de Rennes du 4 juillet 2014, l’Association des régions de France promeut des systèmes alimentaires territorialisés pour répondre à un objectif d'alimentation durable[13] et huit collectivités territoriales françaises ont signé en 2015 le Pacte de politique alimentaire de Milan[14], allant dans le même sens. En terme économique, l’agriculture française connaît depuis de nombreuses années une situation dégradée, caractérisée par une baisse constante de l’emploi, des pertes de parts de marché à l’export[15] et un salaire moyen faible, de 1 250 euros par mois, masquant de fortes disparités en fonction des secteurs de production. Ainsi, près de 30 % des exploitants agricoles touchaient moins de 350 euros par mois en 2016[16]. Dans ce contexte, la recherche de rendements croissants, qui a prévalu en France depuis 1945, apparaît insatisfaisante pour assure aux agriculteurs un revenu décent. La recherche d’accroissement de la valeur ajoutée, associée à sa meilleure répartition entre acteurs des filières, au bénéfice des agriculteurs, et à une montée en gamme des productions, peut s’y substituer. Face à l’enjeu environnemental, des modes de production fondés sur l’optimisation des fonctionnalités des agro-écosystèmes ont fait la démonstration de leur intérêt environnemental, qu’il s’agisse d’agro-écologie[17], d’agriculture biologique ou de systèmes d’élevage autonomes[18]. Ces modes de production faiblement consommateurs d’intrants ne sont pas systématiquement associés à d’importantes diminutions de rendements[19], qui peuvent être limitées par des associations de culture[20]. Ils pourraient répondre à la demande alimentaire d’une population mondiale grandissante si celle-ci faisait évoluer son régime alimentaire et limitait les gaspillages[21]. Par ailleurs, des études montrent que des systèmes agro-écologiques peuvent présenter une rentabilité élevée[22], créer davantage de valeur ajoutée par actif agricole et produire des effets économiques positifs à l’échelle des territoires (emplois, valeur ajoutée induite)[23]. Ces systèmes agro-écologiques demeurent néanmoins minoritaires aujourd’hui, en raison de verrous socio-techniques importants (prises de risque, verrous culturels, verrous techniques liés à l’utilisation de variétés culturales dont le rendement est fortement lié à l’usage d’intrants)[24] et de soutiens publics majoritairement tournés vers les systèmes conventionnels, malgré les récentes inflexions de la politique agricole commune (PAC)[25]. Alors que s’achèvent les États généraux de l’alimentation, mobiliser l’ensemble des acteurs des systèmes alimentaires vers la transition écologique apparaît la voie prioritaire à engager pour répondre à l’impératif environnemental auquel l’humanité est confrontée, tout en apportant une réponse à la crise économique que connaît le secteur agricole. Pour accompagner cette transition, susceptible de refonder le « contrat social » entre agriculteurs et consommateurs, il sera nécessaire de mettre en cohérence les politiques publiques relatives à l’agriculture, à l’alimentation et à l’environnement et d’utiliser l’ensemble des leviers financiers existant. La politique agricole commune (PAC), qui sera refondée après 2020, pourrait participer de cet enjeu. * Ripple W.J., Wolf C., Newsome T.M., Galetti M., Alamgir M., Crist E., Mahmoud M.I., Laurance W.F. (2017), « World Scientists’ Warning to Humanity: A Second Notice », BioScience, novembre. [1] Le Hir P. (2017), « Une espèce de mammifère sur trois en péril en France métropolitaine », Le Monde, 15 novembre 2017. [2] Snoubra B. (2013), « Les surplus d’azote et les gaz à effet de serre de l’activité agricole en France métropolitaine en 2010 », Commissariat général au développement durable, Chiffres et statistiques, n°448, septembre 2013. [3] Schillinger P. et Vasselle A. (2017), Les perturbateurs endocriniens dans les produits phytopharmaceutiques et les biocides, Paris, Sénat, rapport d’information n°293, 46 p.. [4] Claquin P., Martin A., Deram C., Bidaud F., Delgoulet E., Gassie J., Hérault B. (2017), MOND’Alim 2030, panorama prospectif de la mondialisation des systèmes alimentaires, Paris, La Documentation française, 228 p. [5] Rastoin J.-L, Ghersi G. (2010), Le système alimentaire mondial : concepts et méthodes, analyses et dynamiques, Versailles, Editions Quae, 565 p. [6] Food and Agriculture Organization (2013), Technical report on Food Wastage Footprint – Impacts on Natural Resources, Rome, 63 p. [7] Blézat Consulting, CREDOC, Deloitte Développement Durable (2017), Quels comportements alimentaires pour demain ?, Paris, 123 p. [8] Mercier E. et Dusseaux V., (2016), Alimentation durable : les Français de plus en plus attentifs à ce qu'ils mangent, IPSOS et Fondation Carasso, Paris. [9] Association nationale des industries agro-alimentaires (2015), Les Français et l’alimentation. [10] Sans P. (2017), « Pourquoi nous consommons de moins en moins de viande », Le Monde, 11 septembre. [11] Agence Bio (2016), Perception et consommation des produits biologiques, Montreuil. [12] Centre de ressources du développement durable (2016), Premiers décryptages des systèmes alimentaires durables territorialisés, Paris, 16 p. [13] Association des régions de France (2014), Déclaration de Rennes pour des systèmes alimentaires territorialisés. [14] Pacte de politique alimentaire urbaine de Milan (2015). [15] Lubatti G., Casset-Hervio H., Reynaud D. (2016), L’agriculture en 2016, INSEE, Paris. [16] Zéau P. (2016), « Revenus des agriculteurs : les chiffres restent inquiétants », Le Figaro, 10 octobre 2017. [17] Chevassus-au-Louis B., Villien C., Claquin P. (2016), Rapport d’avancement du Comité d’évaluation de la politique agro-écologique, Ministère de l’agriculture, Paris, 74 p. [18] Devienne S., Garambois N., Mischler P., Perrot C., Dieulot R., Falaise D. (2016), Les exploitations d’élevage herbivore économes en intrants (ou autonomes) : quelles sont leurs caractéristiques ? Comment accompagner leur développement ?, Ministère de l’agriculture, Paris, 165 p. [19] Lechenet M., Dessaint F., Py G., Makowski D., Munier-Jolain N. (2017), « Reducing pesticide use while preserving crop productivity and profitability on arable farms », Nature plants, mars, n°17008 (3). [20] Ponisio L.C., M'Gonigle L.K., Mace K.C., Palomino J., de Valpine P., Kremen C. (2014), Diversification practices reduce organic to conventional yield gap, Proceedings of the Royal Society B, 10 décembre. [21] Muller A., Schader C., Scialabba N. E.-H., Brüggemann J., Isensee A., Erb K.-H., Smith P., Klocke P., Leiber F., Stolze M., Niggli U. (2017), « Strategies for feeding the world more sustainably with organic agriculture », Nature Communications, n°1290. [22] INRA (2014), « 10 ans d’expérimentation de systèmes agricoles autonomes et 100 % bio », Paris. [23] Dieulot R. (2015), « Résultats de l’observatoire technico-économique bovin-lait du réseau agriculture durable », RAD, Cesson-Sévigné, 16 p. [24] Meynard J.-M., Messéan A., Charlier A., Charrier F., Fares M., Le Bail M., Magrini M.B., Savini I., Réchauchère O. (2014), La diversification des cultures : lever les obstacles agronomiques et économiques, Éditions Quæ, Versailles, 106 p. [25] Kirsch, A., Kroll, J.-C., Trouvé, A. (2017). « Impact of CAP direct payments and their distribution on the supply for Environmental public goods in agriculture », in : Brainstorming on evolution of the CAP 2020+: Concepts for a future CAP targeting public good and ecosystem performance at the farm level, European Commission Joint Research Centre, Ispra (Italie), 19 janvier. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 7people
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/le-slip-francais-lance-une-collection-femme-pour-accelerer-sa-croissance_462301 | Storytelling | Vous lancez une collection pour femme. L’avez-vous appelée La Culotte française? Non! Cela reste Le Slip français, une marque de sous-vêtements, maillots, accessoires confortables, faciles à porter, entièrement fabriqués en France. Quasiment la moitié de nos 85 000 clients sur le Web sont déjà des femmes, qui achètent pour leur compagnon, père, frère. Depuis le début, elles nous demandent des produits. Nous lançons donc cette semaine une vingtaine de références pour elles, notamment des maillots de bain et des ensembles de lingerie. Comment être rentable en produisant en France? C’est un nouveau modèle : nous distribuons, surtout sur le Web, des articles faciles à expédier. L’argent que nous pourrions économiser en fabriquant ailleurs, nous l’économisons dans les frais de distribution. Nous n’étions pas rentables en 2016, mais le serons en 2017. L’an dernier, notre chiffre d’affaires a doublé, à 7,8 millions d’euros. Environ 60% sont réalisés sur notre site, 15% chez des revendeurs et 25% dans nos trois boutiques parisiennes. Quatre autres ouvriront cette année, dans plusieurs villes. Comment avez-vous réussi à créer un marketing décalé et viral? La clé, c’est le contenu. Pour attirer les clients, il faut raconter une histoire, expliquer l’origine de la marque, ses valeurs. Ensuite, les réseaux sociaux sont une caisse de résonance de cette histoire. Mais ils sortent de nouveaux usages chaque semaine. Se dire que, parce qu’on a 30 ans, on sait correctement les utiliser, est faux ! Il faut un énorme travail de veille pour comprendre leur fonctionnement. Pourquoi avoir encore souhaité lever des fonds? En 2015, nous avons levé 2 millions d’euros auprès de 360 Capital Partners, un fonds de capital-risque généraliste qui nous a aidés à mettre en place notre stratégie. Comme nous avons bien progressé en montrant un gros potentiel, nous avons cherché un autre partenaire pour devenir une vraie marque de mode. C’est ainsi que le fonds Experienced Capital Partners, spécialisé dans la mode, a pris 36,5% de notre capital en octobre dernier pour 8 millions d’euros. Il va nous aider à nous lancer en Allemagne et au RoyaumeUni en 2018. Bénéficiez-vous d’autres soutiens? Oui, nous venons d’être sélectionnés par le R3iLab, le réseau innovation immatérielle pour l’industrie, soutenu par l’Etat, qui accompagne des projets de recherche et développement. Le made in France est une des clés de notre marque. Nous nous sommes demandé : comment le pérenniser ? La production reste très manuelle. Nous devons innover pour maintenir ce savoir-faire en France. Le R3iLab nous apporte un financement d’environ 10000 euros et un accompagnement pour lancer un prototype de machine afin de fabriquer de manière plus automatique les sous-vêtements. Quel est votre dernier succès? A ce jour, dans mon équipe du siège, personne n’a quitté l’entreprise depuis sa création en 2011! \n\n \n \n Start-up\n \n | 2design
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https://www.frenchweb.fr/raphael-vullierme-luko-lassurance-a-5-a-10-ans-de-retard-sur-la-banque/411379 | Uniqueness | après la vague de néobanques qui obligé le banques traditionnelles à accélérer leur transformation digitale le néoassurances vont elles réussir le même tour de force face aux assureurs historiques oui veut croire raphaël vullierme co fondateur et ceo de luko jeune pépite française qui attèle à dépoussiérer assurance habitation assurtech est encore loin être à la hauteur de la fintech mais son décollage ne fait plus aucun doute on est au tout début de innovation dans assurance estime raphaël vullierme nous somme partis pour 15 à 20 an un cycle innovation extrêmement fortes dans assurance et plus largement dans le logement ajoute il écoutez notre entretien avec le co fondateur de luko cette vague numérique qui apprête à déferler sur le secteur de assurance est pa le fruit du hasard et pour cause elle est amplifiée par internet de objets et intelligence artificielle deux révolutions majeures qui vont permettre de faire émerger une nouvelle génération assurance centrées sur la prévention et non plus la réaction cette approche proactive luko imagine depuis quatre an maintenant ailleurs à s débuts en 2016 luko était une entreprise exclusivement positionnée sur le marché de la smart home la première solution de la société en effet pris la forme un petit boîtier qui se colle sur le compteur électrique pour détecter automatiquement tous le appareils électriques de la maison et ainsi savoir quand et comment il consomment de énergie de manière à améliorer la protection du domicile du client si par la suite la société est concentrée sur son produit assurance habitation pour se faire une place sur un marché qui pèse 10 milliard euro en france elle entend appuyer un an après sa série de 20 million euro sur son récent tour de table de 50 million euro mené par eqt venture pour développer de nouveaux service permettant empêcher de accident avant qu il ne surviennent dans ce sen luko d ore et déjà lancé docteur house un service de téléconsultation du foyer qui permet établir un bilan de santé du logement à distance outre de nouvelles fonctionnalités dans s carton luko rêve aussi europe initialement prévue en 2020 son expansion sur le vieux continent été reportée à 2021 à cause de la crise du coronavirus qui mi à rude épreuve la start up pendant le premier confinement avec une croissance divisée par six avant de rebondir revendiquant 100 000 assurés dans hexagone la société se dit désormais prête pour attaquer à un marché européen pesant 100 milliard euro sou œil vigilant de mastodontes historiques comme allianz et axa et de start up concurrentes à image de lovys leocare ou encore lemonade start up américaine ambitieuse qui vient de débarquer en france mais au delà de la rivalité entre nouveaux acteurs et groupes traditionnels raphaël vullierme estime qu il est temp de redorer le blason un secteur qui mauvaise réputation le meilleur assureur qu on peut souhaiter est un assureur qui fait en sorte qu on ait pa de problèmes personne ne le contredira pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.maddyness.com/2015/09/03/cbien/ | Financing | la startup cbien qui permet de sécuriser en ligne inventaire de tous s biens à travers un espace personnel annonce une première levée de fonds 1 4 million euro pour accélérer son développement créé en décembre 2013 outil cbien permet de regrouper tous s document importants contrats assurance contrats de maintenance factures suivi de garanties un algorithme aide à évaluer la valeur de s biens matériels ce qui peut avérer utile en ca de vente prochaine et lors un déménagement un sinistre ou de succession familiale inventaire peut être partagé en un clic avec un accès depuis importe quel support ordinateur tablette ou mobile la jeune pousse offre notamment le même niveau de sécurité que le banques donc aucun souci de vol ou de piratage accès à inventaire se fait de manière confidentielle et sécurisée pour la première fois elle lève 1 4 million euro auprès de maif avenir sferen innovation macif et matmut covéa next maaf mma et gmf et bpifrance cette levée de fonds est une nouvelle étape décisive pour cbien elle devrait en effet nous permettre de recruter de nouveaux profils de créer une relation privilégiée avec le compagnies assurance et de financer le développement de la d pour améliorer no différentes plateformes mobile et web david gascoin cofondateur de cbienla force de ce concept réside à la fois dans son positionnement mais aussi dans la maîtrise une technologie unique qui lui permis de réaliser ce premier partenariat stratégique avec le principaux acteurs de assurance mutualiste en france devenir investisseur et partenaire de cbien est à la fois très cohérent avec notre volonté de développer de service aux sociétaires mais aussi de conforter notre position assureur de référence de économie collaborative précise nicolas boudinet directeur général de maif avenir quote à relire appliness 4 application à découvrir whyd cbien la boîte à sardine et wepopp quote | 2design
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https://www.influencia.net/le-regne-de-lhyperpersonnalisation/ | Storytelling | connaître leurs client et être le plus précises et pertinentes possible pour leur adresser le bon message au bon moment sur le bon support et en temp réel objectif de enseignes est de personnaliser toujours plus leurs offres et de créer une relation de proximité avec le consommateurs aujourd hui le application digital in store sont le outils privilégiés pour proposer de expériences personnalisées individualiser le parcours achat et récolter de la data yves rocher décide individualiser le parcours digital de chaque visiteur application donne accès à toutes le fonctionnalités utiles en point de vente et est une porte entrée à un parcours personnalisé suivant le information fournies par le client la révolution de service devient incontournable voire essentielle en termes de valeur perçue de différenciation et de fidélisation dans le secteur très concurrentiel du commerce le méthodes de livraison adoptent le formes personnalisées le plus diver pour satisfaire le clientèles à pied en véhicule à faibles émissions de co2 en prenant rendez vous plébiscité par plus de 80 de acheteurs hors de heures de travail ou le week end sans oublier de livraisons de plus en plus rapides et la souscription à de abonnements premium en 2021 le retailer doivent relever de nouveaux défis technologiques tout en offrant une expérience adaptée aux exigences du consommateur le équipes en magasin sont au cœur de la transformation digitale puisque leur rôle et leurs outils changent ce qui signifie pour eux investir de nouvelles compétences le marque ont bien compris et désormais e learning impose pour le former on entre dans une nouvelle ère où le vendeur devient un ambassadeur de la marque un animateur de communauté cela explique par explosion de réseaux sociaux et avènement du social commerce omnicanalité phygital et commerce impliquent une multiplicité de données qu il faut collecter analyser et exploiter afin de renforcer la connaissance client et mieux cerner s attentes et s préférences le enjeux actuels sont de maîtriser le données et leur traitement pour tirer de intelligence de cette avalanche de data trouver le juste équilibre entre expérience personnalisée et respect de la vie privée récolter de la zero party data volontairement partagée par le client et qui doit désormais prévaloir dans le stratégies marketing amazon été un de premier à exploiter s données client ce qui lui permis de faire de la publicité ciblée et engranger environ 13 l an passé walmart et dunnhumby ont suivi générant respectivement 13 et 500 en 2020 en france ce sont fnac darty et casino qui ont compris tôt intérêt de données casino est appuyé sur relevanc sa filiale experte en data pour monétiser le 33 million de profils client de son réseau géant casino franprix monoprix etc la monétisation de données se professionnalise et de nouveaux acteurs conçoivent de espaces physique ou digitaux pour faire connaître et essayer de produits aux consommateurs achat se faisant uniquement online ce acteurs se sont spécialisés dans la revente de data est le ca de b8ta tv aux états unis pionnier dans ce domaine prenons pour exemple un service de stylisme personnel en ligne qui aide le client à trouver de vêtements grâce à un algorithme à partir un questionnaire sur leurs goûts morphologie habitude il recevront 5 proposition vestimentaires parmi lesquelles choisir celle qui leur convient intelligence artificielle et le machine learning sont en train de redéfinir en profondeur le marketing traditionnel en permettant de personnaliser le message publicitaires en temp réel géolocalisation sm géofencing le technique sont multiple pour amener le consommateur en point de vente à partir une navigation internet ou une campagne marketing ou publicitaire spécifique bannières ou sm géolocalisés etc une requête locale de internaute seo local de service spécifiques localisation disponibilité de produits click collect etc hyperpersonnalisation est imposée dans tous le domaines pour le marque qui souhaitent rester compétitives et créer le lien avec un client à la recherche une véritable interaction pour lira la tendance précédente dédiée au social commerce cliquez ici et pour précommander le baromètre retail insight de s4m disponible à la rentrée cliquez ici sandrine préfautdirectrice générale de s4m | 8production
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https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/cop21-un-support-reconstruire-un-systeme-financier-compatible-bien-commun-climatique | Financing | Comment se structure le texte ? Et surtout quels effets peut-on en attendre sur les moyens de mobilisation de la finance pour la transition bas carbone ? Pour apprécier la portée du texte, il faut rappeler que la CNUCC [1] n’a pas de mandat sur les enjeux de gouvernance économique et financière mondiale. Mais l’ampleur des besoins de financement et les effets macroéconomiques potentiellement massifs des politiques climatiques introduisent inévitablement le sujet du financement dans les négociations climat. Cette extension des sujets couverts par les négociations climat participe d’une certaine « climatisation du monde » [2], à laquelle l’élan de mobilisation pour la COP21 a grandement contribué. Mais l’Accord lui-même ne peut délivrer de message précis sur les instruments économiques et financiers à mettre en œuvre [3]. Sur la forme, tout d’abord, le texte adopté à Paris le 12 décembre dernier comprend une Décision, dont les différents éléments s’appliquent avec effet immédiat, et en annexe se trouve l’Accord de Paris lui-même, qui est destiné à mettre en place un cadre juridique pour l’action climatique après 2020. Pouvant être modifiée par les prochaines COP, la Décision permet ainsi d’accroître les ambitions lors des discussions futures avant même la mise en œuvre effective de l’Accord. Sur le fond ensuite, la Décision réaffirme encore une fois l’objectif des 100 milliards de dollars de transfert Nord-Sud par an d’ici 2020, cet objectif devenant un plancher. Deux avancées majeures méritent toutefois d’être relevées : (i) l’article 2 de l’Accord mentionnant l’alignement de tous les flux financiers avec un développement bas carbone envoie un signal fort en faveur de la redirection de l’épargne mondiale vers les investissements de la transition bas carbone ; (ii) le paragraphe 109 de la Décision, qui reconnaît que réduire les émissions de CO2 a une valeur, représente une brique politique essentielle qui permettra aux États, aux acteurs et aux institutions du secteur financier de construire des instruments innovants de financement. La réaffirmation de l’objectif des 100 milliards de dollars pour l’atténuation et l’adaptation est une condition de la crédibilité des engagements des pays du Nord. Le texte de Paris n’indique, en revanche, ni par quels moyens cet objectif sera atteint, ni comment mesurer les flux financiers Nord-Sud pour le climat. La séparation entre pays du Nord et pays du Sud, qui structurait l’ensemble du Protocole de Kyoto, ne subsiste dans l’Accord de Paris que pour ce qui concerne les transferts financiers liés au respect du principe de « responsabilité commune mais différenciée ». De plus, aucune mention de l’objectif des 100 milliards de dollars de transferts annuels d’ici à 2020 n’est faite dans l’Accord lui-même. L’engagement pris à la conférence de Copenhague de 2009, réitéré à Cancún l’année suivante, est inscrit au niveau de la Décision (paragraphe 54, qui renvoie au paragraphe 3 de l’article 9 de l’Accord), et devient dans le texte de Paris un seuil minimal à rehausser avant 2025. La stabilisation d’une méthode de comptabilisation des flux de financement – que ce soit pour l’atténuation ou l’adaptation – avait donné lieu à des controverses avant et pendant la COP [4]. Elle est repoussée à la COP24. Pour atteindre l’objectif d’« un plafonnement mondial des émissions de gaz à effet de serre dans les meilleurs délais » (inscrit à l’article 4 de l’Accord), la stratégie consistant à demander aux États d’annoncer leur contribution nationale de réduction des émissions de gaz à effet de serre est confirmée, à l’exception du régime spécial accordé aux pays les moins avancés – PMA - et aux petits États insulaires. Une révision quinquennale de ces contributions à partir de 2020 doit permettre de régulièrement réviser les objectifs à la hausse. Des mécanismes financiers de flexibilité sont expressément prévus afin de permettre à une Partie de faire face à ses objectifs en finançant des réductions d’émissions dans d’autres pays. Le texte de Paris ne donne enfin pas d’élément clé en main pour réorienter les « milliers de milliards » de dollars vers les investissements nécessaires à la transition bas carbone. Mais il pose des jalons politiques essentiels pour stimuler la création de nouveaux instruments financiers et justifier la prise en considération plus ou moins volontaire des enjeux climatiques par les acteurs du système financier. Ainsi l’article 2 fait de l’alignement des flux financiers avec « un profil d’évolution vers un développement à faible émission de gaz à effet de serre et résilient au changement climatique » un des objectifs principaux de l’Accord au côté de l’objectif physique de contenir l’élévation moyenne de la température de la planète à 2°C, voire 1,5°C, et de celui d’un renforcement des capacités d’adaptation aux effets néfastes des changements climatiques. La reconnaissance, dès l’article 2, d’un lien entre le système financier et adaptation au changement climatique est également un signal fort puisqu’il se fait ainsi au niveau juridique le plus élevé. Ensuite, le paragraphe 109 de la Décision reconnaît la « valeur sociale, économique et environnementale des mesures d’atténuation volontaires et leurs retombées bénéfiques sur l’adaptation, la santé et le développement durable ». Il ouvre la voie à des formes de tarification « positive » du carbone par la valorisation des réductions d’émissions des nouveaux investissements. Il envoie un signal fort aux acteurs économiques et financiers sur la possibilité que des États introduisent une telle valeur dans la comptabilité de la richesse de leur nation. En l’absence (temporaire) de prix du carbone à des niveaux adéquats, une telle valeur peut désormais compter dans les modèles économiques et être insérée dans des dispositifs de financement comme une valeur de référence du prix du carbone futur. En donnant à voir aussi la richesse créée par les politiques climatiques plutôt que la seule pénalisation des émissions de GES, il faut voir dans ce paragraphe une opportunité pour réintroduire un débat plus apaisé sur la tarification du carbone. La COP21 a été conçue comme un processus élargi de discussions qui dépasse les acteurs traditionnels de la négociation onusienne. La Présidence française a parlé de l’Alliance de Paris pour qualifier cette mobilisation et inclusion des acteurs de la société civile, en particulier les citoyens, les collectivités locales, mais aussi les entreprises et les institutions financières. La section V de la Décision fait état de cette dynamique inclusive, en citant notamment au paragraphe 134 les institutions financières au titre des acteurs clés. Les engagements pris au sein de cette Alliance représentent sûrement le résultat le plus puissant de la COP21.\nC’est ainsi que le climat est devenu, par exemple, un sujet de préoccupation légitime pour les plus hautes instances de la régulation financière mondiale. Les banques centrales et diverses institutions financières internationales, dans le cadre d’une mission confiée au Financial Stability Board, se sont engagées à étudier les méthodes d’évaluation du risque climatique inclus dans les titres financiers et à en proposer des utilisations sur une base volontaire par les acteurs financiers. Cet engagement est un produit exogène à la COP21. Il a été porté par la dynamique créée autour de la COP et trouve aujourd’hui une justification au sein du texte de Paris. Les mesures concrètes de mise en œuvre de cet alignement du système financier sur les objectifs bas carbone devront être surveillées de près en 2016. Ce sont les acteurs de la société civile qui feront vivre l’accord de Paris et le transformeront en actions en s’appuyant sur le nouveau socle juridique hybride qu’il représente. Ils pourront également puiser des éléments du texte pour porter les enjeux climatiques au-delà du périmètre et du strict mandat de la CNUCC. C’est en cela que l’article 2 de l’Accord et le paragraphe 109 de la Décision constituent deux briques politiques et juridiques essentielles qui pourraient contribuer à reconstruire un système économique et financier compatible avec le bien commun climatique. France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/la-plateforme-de-social-selling-jolimoi-cherche-des-fonds_770286 | Storytelling | Challenges - Le futur du commerce passera-t-il par les réseaux sociaux? Isabelle Rabier - La recommandation va jouer un rôle de plus en plus important. Environ 70% des millennials préfèrent acheter auprès de leurs pairs ou de personnes auxquelles ils s’identifient, notamment via les réseaux sociaux. Je m’intéresse à cette tendance du social selling depuis des années. Avant Jolimoi, j’avais déjà créé Dermance, une marque de cosmétiques vendue par des conseillers à domicile. Quel est le concept de Jolimoi? C’est la première plateforme multimarques de social selling dans la beauté. Elle permet à des experts beauté, autodidactes passionnés ou professionnels, formés, de conseiller et vendre des produits en physique ou en digital à leur communauté. Nous travaillons avec une cinquantaine de marques et 1.200 stylistes beauté en France et en Belgique. Ils signent un contrat de vendeur à domicile indépendant (VDI) ou d’autoentrepreneur. Quel est l’apport de la tech? Sur notre application, le styliste crée son site, le personnalise, gère ses réseaux sociaux, se forme en e-learning… Le client, lui, peut faire un diagnostic beauté, prendre rendez- vous avec son styliste, voir les produits que celui-ci aime… Grâce à nos algorithmes, notre chatbot détermine les références de notre catalogue qui correspondent aux besoins du client. Comment gagnez-vous de l’argent? Nous avons des accords de distribution avec les marques. Grâce à notre entrepôt à Lille, nous gérons les stocks et la logistique. Les ventes ont lieu en ligne et nous payons en moyenne 28% de commission aux vendeurs. Pour les marques, l’intérêt est de toucher de nouvelles cibles et de bénéficier du contenu créé par les stylistes en ligne. Ce sont des influenceurs gratuits… Je n’aime pas ce terme. A aucun moment ils ne sont payés pour pousser une marque plutôt qu’une autre. Nous avons développé des algorithmes non biaisés de recommandation. Nous voulons que le client ait ce dont il a besoin et rien d’autre. Personne ne peut payer de campagne chez Jolimoi. Quelle est la prochaine étape? Notre chiffre d’affaires, de plusieurs millions d’euros, a quadruplé l’an dernier et encore doublé au premier trimestre 2021. A la rentrée, nous allons nous lancer en Europe du Sud, en Italie. Nous visons aussi une série A, inférieure à 10 millions d’euros, dans les mois à venir. Enfin, nous avons développé un studio de réalité augmentée. Il permet aux stylistes de faire essayer des centaines de références de maquillage à distance aux clients. Et nous déployons un outil de live shopping. Vous avez lancé le Parental Act… Nous avons initié le mouvement en février 2020 avec Céline Lazorthes (Leetchi) et Thibault Lanthier (MonDocteur). A la naissance d’un enfant, nous nous engagions à payer un mois de congé parental au second parent. Nous avons rallié près de 400 signataires. Et nos préconisations ont été reprises quasiment en l’état dans la loi ! Votre rêve de croissance? Devenir une plateforme leader au niveau global et faire plusieurs centaines de millions de ventes. Lire le dernier club entrepreneurs Energie solaire: le fondateur d'Oscaro lève 4 millions pour sa nouvelle entreprise \n\n \n \n Start-up\n \n | 2design
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https://www.lavoix.eu/fr/news/46/2012-breves-marques-noms de domaines | Securing | Adhésion de la Colombie au Protocole de Madrid concernant les marques internationales : La Colombie est devenue le 29 mai 2012 le 87e membre du système des marques international. Elle est ainsi le deuxième état d’Amérique Latine, après Cuba, à adhérer au système de dépôt de marques internationales. Il est possible de désigner la Colombie par le biais d’une marque internationale depuis le 29 août 2012. Le Parlement européen rejette l’ACTA : Le Parlement européen a rejeté le 4 juillet 2012 l’Accord Commercial Anti-Contrefaçon, empêchant toute ratification par l’Union Européenne ou un état membre. Le vote des députés européens a notamment été influencé par un très fort lobbying de la part des citoyens européens. L'ACTA avait été négocié entre l'UE et ses États membres, les États-Unis, l'Australie, le Canada, le Japon, le Mexique, le Maroc, la Nouvelle Zélande, Singapour, la Coréedu Sud, et la Suisse. Son objectif était de lutter plus efficacement contre les atteintes aux droits de propriété intellectuelle, à savoir la contrefaçon et le piratage, en encourageant la coopération et la surveillance à l'échelle internationale. L’AFNIC est reconduite comme l’Office d’enregistrement des noms de domaine en .fr : Suite à l’appel d’offre qui avait été lancé le 22 mars 2002 par le gouvernement français, L’AFNIC voit ainsi son mandat prolongé d’une durée de 5 ans. | 11security
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https://www.lavoix.eu/fr/news/284/Avis-provisoire-accompagnant-les-résultats-partiels-de-la-recherche | Securing | Jusqu'à présent, si l'examinateur de recherche ne considérait pas les revendications comme unitaires, au stade de la recherche, l'avis sur la brevetabilité (ESOP ou WO ISA) était émis avec le rapport de recherche européen ou international complet (voir les règles 62(1) CBE et 43bis.1 PCT). A partir du 1er avril 2017, l'OEB émet une opinion provisoire sur la brevetabilité de l'invention (ou du groupe unitaire d'inventions) mentionnée en premier lieu dans l'ensemble des revendications. L'opinion provisoire est communiquée conjointement avec les résultats de la recherche partielle (voir R64(1)CBE et R164(1)a) CBE, et l'article 17(3)a) PCT) et l'invitation à payer des taxes de recherche supplémentaires. La nouvelle procédure est applicable aux demandes directes du PE, aux demandes Euro-PCT pour lesquelles une recherche européenne supplémentaire est exécutée en vertu de la règle 164(1) CBE, et aux demandes pour lesquelles le demandeur a renoncé à la communication en vertu de la règle 70(2) CBE. Elle est également applicable lorsque l'OEB agit en tant qu'administration chargée de la recherche internationale (ARI) pour les demandes PCT. Par conséquent, pour toutes les demandes de brevet européen, les utilisateurs seront informés des raisons de l'évaluation de la non-unité en même temps que l'invitation à payer des taxes de recherche supplémentaires. L'avis provisoire est établi sur un nouveau formulaire 1707 de l'OEB, qui n'est fourni qu'à titre d'information. Une réponse à l'avis provisoire n'est pas requise et ne sera pas prise en compte lors de la publication du rapport de recherche européenne étendue (RESE). Seul le rapport de recherche européenne étendue nécessite une réponse (voir la règle 70a CBE). Selon le même principe, tout argument ou modification apporté dans le cadre du PCT ou toute réponse selon la règle 161 CBE ne doit être déposé qu'après l'émission du rapport de recherche internationale complet et de l'opinion écrite. L'opinion provisoire accompagnant les résultats partiels de la recherche sera mise à la disposition du public par le biais de l'inspection en ligne des dossiers. Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique. | 10science
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https://www.frenchweb.fr/la-startup-vinted-devient-la-premiere-licorne-lituanienne/385303 | Financing | vinted annonce une levée de fonds de 128 million euro menée par un nouvel investisseur lightspeed venture partner avec la participation investisseurs historiques tels que sprint capital insight venture partner accel et burda principal investment cette occasion entreprise devient la première licorne lituanienne alors que le acteurs traditionnels du prêt à porter doivent faire face à un marché en baisse depuis plus de dix an un segment porté par avènement du commerce poursuit son ascension celui du seconde main la startup lituanienne vinted su imposer en france au point que la marque occupe la dixième place de site commerce le plus visités au 2e trimestre selon le classement fevad mediamétrie vinted revendique 10 million de membres en france présente dans 11 autres pay etats unis allemagne belgique royaume uni pologne république tchèque lituanie espagne autriche luxembourg et pay ba entreprise en compte 23 million au total avec hexagone où elle est arrivée en 2013 comme plus grand marché mais cette percée ne est pa faite si facilement nous vous proposons de découvrir histoire de vinted dans un decode spécial consacré à la startup fondée par milda mitkute et justas janauskas pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://www.makery.info/2015/07/20/on-ny-voit-rien-allume-la-plante-verte/ | Securing | Des plantes qui brillent comme dans Avatar ? Pas encore… Le rendement lumineux des espèces bioluminescentes au naturel ne permet qu’une faible lumière, comme celles des étoiles. La recherche dans ce domaine s’est cependant accélérée depuis les années 1980, et est devenue accessible aux biohackers peu après 2010. Pour obtenir de la lumière à partir du vivant, deux possibilités : cultiver des algues ou bactéries naturellement bioluminescentes, ou modifier l’ADN de plantes existantes. La première voie est relativement simple pour qui a le pouce vert. Les algues lumineuses vivent sans problème dans une armoire avec lampe à UV et minuteur. Une fois que la concentration est suffisante, il suffit de remuer le tout pour que les végétaux marins produisent une douce lumière bleutée. Rien de difficile techniquement, et ce tuto en forme de sablier le prouve. Il est aussi possible de cultiver des bactéries en boîtes de Petri, qui auront l’avantage d’émettre de la lumière en continu, mais en présentant le même inconvénient que les algues : la faible intensité de la lumière produite. Ce tutoriel se sert de ces organismes microscopiques pour visualiser la pollution de l’eau. La solution à ce problème a été trouvée par une équipe d’étudiants de l’Université de Cambridge lors d’iGEM 2010 (International Genetically Engineered Machine), la compétition internationale de biologie synthétique. En combinant l’ADN de deux espèces de lucioles, les jeunes chercheurs ont réussi à créer un standard de brique génétique codant une bioluminescence efficace. C’est cette facilité d’utilisation qu’a utilisée la start-up américaine Glowing Plant pour créer une bactérie qui rend lumineuse l’Arabidopsis, une petite plante bien connue des biologistes pour son génome simple. En plongeant les feuilles dans la solution bactérienne, le gène de luminescence est copié dans l’ADN des cellules immergées, et celles-ci se mettent rapidement à produire de la lumière. Reste que cette méthode pose une question éthique. Fondée à partir d’un financement plus que réussi sur Kickstarter (8 433 contributeurs ont engagé 484 013 $ en 2013), Glowing Plant propose comme récompense un kit pour modifier soi-même le génome de la plante. Bien qu’ils affirment, avec le soutien de scientifiques, que leur plante modifiée ne créée pas de risques pour l’environnement, rien n’empêche de changer le gène à injecter dans l’ADN du végétal. Un kit pour apprenti-sorciers ? Selon Glowing Plant, l’agence de protection de l’environnement américaine, l’EPA (Environmental Protection Agency), ne souhaiterait pas réguler les kits tant que ceux-ci ne contiennent pas de gènes de résistance aux antibiotiques. Cependant, le débat autour de l’encadrement des OGM aux Etats-Unis a repris du poil de la bête. Si les premiers kits devraient être acheminés cet automne, rien ne dit (pas même les biohackers de Glowing Plant) que l’avenir ne sera pas à plus de régulation. Affaire à suivre… Quel que soit le moyen employé, on est tout de même loin de pouvoir remplacer l’éclairage urbain par des plantes, ce qui constitue l’objectif affiché des biohackers qui s’attellent à la tâche. Les recherches s’accélèrent cependant depuis 2010, et chercheurs comme biohackers pourraient bien parvenir à augmenter la luminosité de ces organismes de plusieurs ordres de grandeurs. Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 10science
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https://www.maddyness.com/2016/02/29/ab-tasty-leve-5-millions-deuros/ | Financing | ab tasty spécialiste de solution a testing et de personnalisation de expérience utilisateur lève 5 million euro pour démocratiser la segmentation prédictive et permettre à s client adresser de message toujours plus pertinentes à leurs cibles solution de référence sur le marché de a testing ab tasty fondée en 2011 par alix de sagazan et rémi aubert entend doper encore plus s capacités innovation pour ce faire la startup créée en 2011 accueille à son capital omnes capital aux côtés de s investisseurs xange private equity et kima venture pour un tour de table de 5 million euro ab tasty bénéficie également du soutien de bpifrance dans le financement de s programme innovation nous somme ravis accompagner alix et rémi dans le développement ab tasty dès no premier échanges nous avon en effet rencontré un binôme complémentaire et extrêmement ambitieux le puissant actif technologique ainsi qu une base de client de premier plan et en forte croissance ont également été déterminants dans notre décision investissement enfin omnes apportera aux équipes ab tasty son expérience et son réseau dans le cadre de la poursuite de expansion internationale de la société indique xavier brunaud directeur de participation chez omnes capital la démocratisation de optimisation prédictive dans le viseurdéjà leader de a testing et de la personnalisation de contenus la société entend simplifier accès de s client aux dernières innovation en matière de algorithmes prédictifs et de machine learning depuis deux an une équipe de data scientist ainsi rejoint le rangs de la société qui compte 65 collaborateurs et déjà initié de nombreux projets d chez plusieurs acteurs du commerce de médias ou de acquisition de lead de la segmentation prédictive qui permet identifier le segment audience à adresser en priorité à la diffusion optimale de message pour délivrer de expériences toujours plus personnalisées et à même de convertir optimisation prédictive est plein de promesses pour le 350 client de la jeune pousse parmi lesquels de grand noms comme cdiscount showroomprivé carrefour pierre vacances webedia ou encore axa le machine learning nous permis augmenter de 30 la rentabilité de campagnes optimisation de no client nous visons le 75 amélioration en développant la segmentation prédictive qui adaptera le message à chaque internaute explique dans un communiqué rémi aubert cofondateur ab tasty à la conquête du mobile et de nouveaux paysprésente dans 5 pay avec de bureau à paris londres cologne madrid et sydney et comptant de client dans 40 pay ab tasty entend renforcer s équipes internationale cette année et ouvrir de nouveaux bureau en 2017 une politique de recrutement qui accompagnera le développement de la société sur de nouveaux leviers de croissance notamment le mobile ab tasty for app déclinaison de expertise ab tasty sur application mobile d ailleurs déjà séduit puisqu elle été primée lors du dernier salon commerce paris en recevant le grand prix du jury de commerce award ab tasty affiche aujourd hui une croissance de 100 par an et fait partie de 48 entreprises le plus innovantes récompensées par la french tech et soutenues par le label bpifrance excellence quote à relire finance b tasty annonce une levée de 1 1 million euro auprès de 2 fonds quote crédit photo shutterstock | 3digital
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https://www.lavoix.eu/fr/news/79/ways-to-accelerate-patent-grant-in-europe-and-germany | Securing | A. Informal personal interview with the Examiner Thanks to their close proximity to the European Patent Office (EPO) and the German Patent and Trademark Office (GPTO), the attorneys of LAVOIX Munich can easily arrange an informal personal interview with the Examiner during patent prosecution.In such a case, the attorney meets the Examiner personally in his/her office to discuss any outstanding objections. Very often, such an informal meeting greatly helps in understanding the Examiner’s position and enables the application to be put in condition for allowance.LAVOIX Munich offers clients interested in fast prosecution the opportunity for the attorney in charge of the file to contact the Examiner directly after receipt of the first substantive office action, suggesting a personal interview. In general, Examiners agree to such an interview since it allows them to move forward with the file. B. Request for accelerated search and examination GPTO Prosecution at the GPTO can be accelerated on request. The applicant must indicate why they would like the prosecution to be accelerated. The request is free of official charges.EPOProsecution at the EPO can be accelerated using a simple one page request. The request is free of official fees. The EPO’s accelerated prosecution program is called PACE.C. Patent Prosecution Highway (PPH)The Patent Prosecution Highway (PPH) is a framework in which an application whose claims have been determined to be patentable in one Office is eligible to go through an accelerated examination in another Office upon the applicant’s request.Below, we provide the relevant links regarding PPH at the GPTO and the EPO:GPTOPPH based on US application PPH based on JP application PPH based on CN application PPH based on CA application PPH based on KR application EPOPPH based on US application PPH based on PCT application PPH based on JP application Before the EPO, we generally advise our clients to file an acceleration request under PACE (see section B. above) instead of a PPH request. PACE is granted without conditions, whereas with PPH the claims of the EP application must “sufficiently correspond” to the allowable claims of the parallel application.D. Waiving EPO CommunicationsWaiving the invitation to proceed furtherBefore the applicant receives the European search report, they can pay the examination fee and waive the invitation under Rule 70(2) EPC to proceed further with the application, irrespective of the results of the search. In this case the European search report is issued together with a first examination report instead of a search opinion.Euro-PCT: Waiving the opportunity to file amendments shortly after EP phase entryThe applicant can accelerate the processing of an international application by explicitly waiving their right to the Communication under Rules 161(1) and 162 EPC allowing them to file amendments shortly after EP phase entry.This is under condition that, on entry into the European phase, the applicant has already taken all necessary steps such as filing amendments or corrections in response to the WO-ISA, the IPER or the explanations contained in the SISR, and paying the claims fees.The EPO can then immediately start the supplementary European search or examination. E. ConclusionIf you are interested in accelerating prosecution in a specific case, we would be glad to assist you in deciding which of the above options would be best suited. Each option has certain advantages and drawbacks that we could then discuss in detail.If you have questions on the above, feel free to contact us. | 3digital
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/funding-low-carbon-transition-role-financial-system | Financing | Given the tight budgetary constraints faced by most governments across the world, public spending will not be sufficient to provide the level of investment needed to deliver on our collectively agreed target of reducing global warming by two degrees. Setting up the right financial mechanisms for efficient carbon pricing is therefore essential to enforcing, implementing and ensuring the success of the “Intended Nationally Determined Contributions”. With this in mind, a growing number of private financial operators, central banks and financial regulators are already incorporating sustainability factors into their objectives and policies. On June 30, 2015, Presidents Dilma Rousseff and Barack Obama met in Washington D.C. to stress in a joint statement the role the financial system must play alongside public funding: "The Presidents recognize the social and economic value of mitigation actions and their co-benefits to adaptation, health and sustainable development. The Presidents pledged to work together toward mobilizing public funding and developing financial instruments to catalyse large-scale private investments to support low-carbon development projects and countries’ transitions to low-carbon economies. Further, the Presidents affirmed the need for continued, robust financial support to help realize developing countries’ mitigation potential and to enhance their adaptation actions." The aim of the conference will be to assess the effectiveness of the various financial mechanisms the private and public sectors can put in place to foster carbon reductions. Experts and policymakers will also discuss whether there is scope at a national, regional or international level for an agreed economic and social value of mitigation actions that could anchor private and public investments. With: Laurence Tubiana, Special Representative for the 2015 Paris Climate Conference; Carlo Carraro, Research Director, Fondazione Eni Enrico Mattei; Jean Pisani-Ferry, Commissioner General for policy planning, France Stratégie; Rachel Kyte, World Bank Group Vice President and Special Envoy, Climate Change Group; Dipak Dasgupta, Board Member of Global Climate Fund; Pascal Canfin, Co-chair of the Commission on Innovative Climate Finance; Seyni Nafo, Co-Chair of the SCF and incoming Chair of the Africa Group; Thomas Heller, Executive Director, Climate Policy Initiative; Alfredo Sirkis, Executive Director, Center Brazil Climate; Leonardo Martinez-Diaz, US Treasury; Simon Zadek, UNEP Inquiry, Global Green Growth, IISD; Jean-Charles Hourcade, CIRED. 10:00am - Introductory remarks 10:15am - Avenues for a greater contribution of the financial system to the transition From prudential instruments, green funds and green banks to the use of supervisory instruments by central banks, various initiatives to steer private investments away from brown to green technologies are increasingly relying on financial instruments. This session will aim at discussing their effectiveness in supporting a transition to a low carbon economy. Moderator: Jean Pisani-Ferry, Commissioner-General, France Stratégie Rapporteur: Marcene Broadwater, Global Head of Climate Change Strategy and Business Development, IFC 11:30am - Keynote Address Laurence Tubiana, Special Representative for the 2015 Paris Climate Conference 11:45am - Toward an agreed social and economic value of mitigation actions? In line with the June 30 joint statement of Presidents rousseff and obama, the social and economic value of mitigation actions is increasingly factored in by governments, financial regulators and private financial operators. The purpose of this session will be to discuss whether there is scope for an agreed value of mitigation actions higher than the current price of carbon. Could this value be secured and operationalized to anchor current investment decisions to gradually shift away production and consumption patterns from Co2 intensive technologies? A proposal will be presented at the beginning of the session to introduce the discussion. Moderator: Carlo Carraro, Research Director, Fondazione Eni Enrico Mattei Rapporteur: Étienne Espagne, CEPII 12:55am - Concluding remarks NY Climate Week, par mmadeira France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 4environment
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https://www.academieduservice.com/2021/06/07/reouverture-reprendre-confiance-reussir-relance/ | Magic Team | Cette crise sanitaire qui met sous cloche le monde entier depuis plus d’un an semble prendre la porte de la sortie, et ce, depuis la première étape du déconfinement le 19 mai dernier. Entre désir de verres en terrasse et reprise de l’activité, le déconfinement s’est fait attendre. Les dernières annonces et la vaste campagne de vaccinations nous donnent enfin de l’espoir. Mais pour les entreprises, le souhait de gommer ces mois moroses se confond avec l’inquiétude de la reprise d’activité. Comment reconquérir un marché en berne ? Les acteurs économiques ont plus que jamais besoin de faire les bons choix stratégiques pour rebondir. Les enjeux sont forts : réussir la réouverture et y voir l’opportunité de réinventer la relation client. Par son « Programme RE », l’Académie du Service accompagne les entreprises à co-construire une expérience client qui réengagent autant les équipes que les clients. Imaginer une relation client plus positive, plus vraie et plus sincère. Sommaire « Le monde d’après ». Voilà des mois que ces quelques mots sont mentionnés avec autant d’espérance que d’impatience. Après des mois de fermeture et l’arrivée des beaux jours, cette envie de liberté est plus forte que jamais. On s’était imaginé déjà en terrasse avec des amis à partager un verre, flâner dans les magasins et craquer pour une nouvelle paire de baskets, visionner le dernier James Bond au cinéma, enlacer ses proches… Des situations de vie somme toute commune qui sont pourtant devenues exceptionnelles. Les récentes mesures du Gouvernement donnent enfin de quoi espérer le retour d’une nouvelle normalité. Réouverture des commerces et des lieux culturels, disparition progressive du couvre-feu ou retour des voyages, la reconquête de nos habitudes est en marche. Grâce à la campagne mondiale de vaccinations, ces décisions nous donnent confiance pour la suite. Si cette soif de reprise est unanime, elle est encore plus forte du côté des commerçants et des autres acteurs économiques privés de leur activité tout ce temps. Cependant le retour à la “vie d’avant” ne signifie pas pour les entreprises une reprise identique de leur activité avant la pandémie. Les faits ont changé durablement les clients et les collaborateurs ainsi que leurs comportements. Réussir sa réouverture est donc un défi majeur pour les entreprises. Et si la reprise était une opportunité de se réinventer et de rebondir ? Qu’ils soient fermés ou non, les commerces doivent se préparer pour ne pas rater le coche de leur retour physique mais aussi le retour en masse des clients. Telle une première fois, il est essentiel de refaire bonne impression et de peaufiner au mieux son expérience client. Quel que soit le secteur d’activité, faire la différence est indispensable. Bien que le monde d’avant réouvre ses portes, il a profondément changé. La crise a fragilisé l’écosystème, les équipes et la confiance commune. Accepter cette idée est la première brique de l’expérience client à reconstruire. Relancer les projets stoppés en 2020 ne doit pas se faire au hasard, mais passer par une préparation solide. Se faire accompagner nous semble crucial pour donner toutes les chances à une relance réfléchie et performante. Fidèle à son ADN, l’Académie du Service continue de s’adapter aux besoins et conjonctures actuels pour fournir un accompagnement ciblé. Notre dernier programme et l’équipe de l’Académie du Service vous aident à franchir cette nouvelle étape, et donc opérer un retour à la vie normale dans les meilleures conditions possibles. Ce « Programme RE » s’articule autour de plusieurs fondements : — REmobiliser les équipes ou comment le Covid-19 a modifié la façon d’accueillir un client. Avec le télétravail, les codes ont changé. Se retrouver dans ce nouveau monde donne lieu à de nouvelles habitudes et ruptures. Le programme permet un état des lieux global de la Relation Client dans ce contexte post-crise grâce à un échange avec nos experts. — REinventer l’expérience client dans un monde modifié. Nous vous donnons les clés pour coconstruire à nouveau et accueillir le client différemment. Grâce à un atelier d’une journée, vous découvrirez quelles nouvelles intentions prodiguer à vos clients et comment offrir un accueil différenciant malgré les protocoles sanitaires toujours en vigueur. — REbooster les compétences des équipes par des formations efficientes telles que « Les Essentiels de la Relation Client ». Vouloir réinventer son expérience client induit de repenser également sa façon d’être avec lui. Notre programme sécurise les expertises fondamentales des équipes et permet de trouver les ressources nécessaires dans cette période toujours incertaine. — REmettre le client au cœur du quotidien grâce à l’application développée par l’Académie du Service : Lookey. Cet outil donne les moyens de fédérer vos équipes autour de la réouverture, et ce tout en créant une expérience client unique. — REfaire la différence en réengageant les équipes avec autant de conviction que les clients. « Équipe heureuse, Clients heureux », notre label sert de fil conducteur pour réaliser un triple audit d’évaluation de la Symétrie des Attentions. Notre programme fournit les arguments permettant une communication positive et marquante. En dépit de contraintes sanitaires toujours actuelles, le « Programme RE » a été pensé et développé pour faire rimer réouverture et rebond, que ce soit maintenant ou pour la rentrée de septembre. Pour réussir sa relance économique, il faut pouvoir redonner confiance à l’ensemble des acteurs de l’entreprise. Mobiliser et fédérer ses équipes autour d’un projet d’enchantement client est le meilleur antidote à ce climat d’insécurité. En complément de notre « Programme RE », revivez notre webinaire sur « Les Tendances de la Relation Client 2021 à l’heure de la reprise ». | 5learning
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/table-ronde-trois-ans-apres-lenergiewende-point-dechouer | Legitimacy | Simples turbulences passagères, ou au contraire erreurs de conception beaucoup plus profondes ? C’est à cette question que tacheront de répondre les experts invités dans une perspective technique, économique mais aussi historique. Avec : Avec la participation de Dimitri Pescia de l'Agora Energiewende « Trois ans après, l'Energiewende sur le point d'échouer ? »\nTable ronde du Jeudi 2 octobre 2014\nde 17h30 à 19h30\nFrance Stratégie\n18 rue de Martignac, 75007 Paris France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/yubo-le-reseau-social-pour-les-adolescents-leve-11-millions-deuros/386862 | Financing | si facebook est aujourd hui le réseau social le plus puissant du monde avec sa plateforme éponyme son application de photo instagram et s messageries messenger et whatsapp avec 2 8 milliard utilisateurs mensuels le géant américain est pa forcément celui qui est le plus plébiscité par le adolescent en effet snapchat ou encore application tiktok qui est devenue un véritable phénomène mondial ont dépassé facebook auprès de jeunes âgés de 13 à 16 an selon une étude de morning consult derrière le géants américains et chinois qui comptent plusieurs centaines de million utilisateurs sur leurs différentes plateformes un réseau social français actuellement le vent en poupe auprès de 13 25 an lancé en 2015 par sacha lazimi jérémie aouate et arthur patora yubo qui séduit le adolescent avec son approche basée sur de vidéos diffusées en direct pour permettre aux utilisateurs de se retrouver dans de groupes avec de centre intérêt communs revendique en effet 25 million inscrits à travers le monde misant sur anglais dès s débuts la plateforme est surtout performante dans le pay anglophones états unis royaume uni australie où elle compte 80 de son audience dont 50 en amérique du nord cependant le réseau social entend pa arrêter en si bon chemin et veut étendre encore un peu plus à international nous avon évoqué le enjeux sur ce marché et le ambition de yubo avec sacha lazimi un de s fondateurs yubo vient de boucler un tour de table de 11 2 million euro mené par iris capital et idinvest partner alven sweet capital le fonds lancé par le créateurs du jeu vidéo candy crush et village global fonds soutenu par de grand noms de la tech comme mark zuckerberg jeff bezos bill gate ou encore reid hoffman ont également participé à opération celle ci doit permettre au réseau social de se déployer sur de nouveaux marchés comme le japon et le brésil en parallèle la plateforme va recruter 35 collaborateurs supplémentaires ici six mois pour disposer une équipe de 50 personnes an prochain yubo répond à un besoin fondamental de la génération socialiser dans le monde digital de la même manière qu elle noue de amitiés dans la vie réelle cette levée de fonds va nous permettre de franchir de nouvelles étapes technologiques et étendre notre empreinte internationale explique sacha lazimi co fondateur et ceo de yubo dans la forêt de réseaux sociaux qui courtisent la génération et le millennials yubo veut tirer son épingle du jeu en permettant aux adolescent de rencontrer de nouvelles personnes dans la tranche âges 13 25 an pour se faire de vrais amis dans le même temp facebook instagram et consort au départ conçus pour permettre à leurs utilisateurs de se connecter à de personnes qu il connaissent déjà sont devenus au fil du temp de médias et de véritables usines publicitaires qui ont permis de faire émerger de influenceurs utilisés comme de armes marketing auprès de leurs communautés si yubo est distingué sur ce plan la plateforme est néanmoins confrontée au principal point noir de ensemble de réseaux sociaux à savoir la prolifération de contenus haineux et choquants pornographie harcèlement ainsi qu à de personnes qui tentent de contourner le limites âge imposées par la société fondateurs sacha lazimi jérémie aouate et arthur patora création 2015 siège social paris secteur réseaux sociaux activité réseau social pour le 13 25 an effectifs 17 collaborateurs financement 11 2 million euro en décembre 2019 pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 12society
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https://www.influencia.net/frederic-montagnon-objectif-arianee-creer-internet-plus-respectueux-grace-blockchain-aux-nft/ | Storytelling | frédéric montagnon la question de base arianee est de repenser la relation entre le marque et le individus quand on regarde bien en ligne essentiel de la collecte information et le ciblage sont faits dans un seul but permettre aux marque de communiquer si on arrive à repenser la façon dont ce lien se fait et à faire en sorte que le marque puissent mieux communiquer avec leurs client on arrivera à créer un internet plus respectueux arianee adresse donc avant tout aux marque pour le accompagner sur le problématiques de gestion de garanties de la seconde main ou de authentification de produits et au delà de ça repense le lien qu elles entretiennent avec leurs client concrètement nous leur proposons de créer une identité numérique pour leurs objets qui sert ensuite à régler le question de sav de revente occasion comme est le ca chez ba sh ou authentification beaucoup plus rapidement grâce à la blockchain on peut enfin créer de unicité dans le monde numérique ça ouvre de nombreuses possibilités m notre protocole permet dejà de nombreux ca usage évolutifs avec une notion interopérabilité demain on peut imaginer par exemple de ventes privées virtuelles dans de jeux avec de produits qui auront une réalité physique également m lorsque ai commencé à intéresser à la blockchain et aux cryptomonnaies il a presque 8 an le technology étaient pa matures pendant longtemps cela été un idéal avec de projets assez basiques plus qu une réalité industrielle mais depuis trois ou quatre an on voit une montée en puissance de ce projets aujourd hui le technology sont devenues beaucoup plus applicables et appréhendables elles ont prouvé leur fiabilité le avancées se sont finalement accélérées tout un coup mais au delà de la technologie ce qui est fascinant est de voir de communautés concevoir et gouverner de systèmes information en distribuant la prise de décision et en faisant le choix de mettre la gouvernance entre le main de individus et non plus un petit groupe de personnes est cela la vraie rupture avec la blockchain tout est une question de gouvernance est ailleurs pour cela qu au départ arianee est une association loi 1901 dont 50 de membres du board sont de marque qui se sont appropriées la technologie et en détiennent de part sou forme de cryptomonnaie car en fait arianee est un coté une association qui opère le protocole en open source et de autre une société qui construit de outils qui permettent de se servir du protocole le fonds qui ont participé à la levée ont pris une participation dans le deux entités ailleurs est la première fois que de fonds comme isai et bpifrance vont avoir une exposition à de cryptomonnaies est une vraie avancée m nous avon fait le choix de travailler en priorité avec le monde du luxe car est un marché mondial avec de marque qui ont un reach global il a peu de secteurs dans lesquels le marque sont distribuées à ce point de manière mondiale et puis le marché du luxe besoin de se transformer comme toutes le industry et il est encore loin avoir exploité tout le potentiel du numérique nous avon commencé à travailler avec le groupe richemont et plusieurs de s maisons dont vacheron constantin nous travaillons aussi avec breitling pour qui nous émettons de nft non fungible token pour chaque montre qui sort de s atelier nous encodons tout ce qui concerne le modèle avec son numéro de série m il a encore quinze jours on utilisait pa du tout le terme est pourtant ce que nous faisons mais est un acronyme qui ne parlait à personne aujourd hui il a beaucoup de bruit autour de nft associés à art digital mais du coup on ne comprend plus grand chose lorsque jack dorsey vend le nft de son premier tweet est avant tout un coup de com pour ceux qui ont participé à enchère rien de plus avec la blockchain il est possible de créer deux type de token ceux qui sont fongibles dont deux unités échangent indifféremment à une valeur donnée comme est le ca du bitcoin et ceux qui sont non fongibles qui ont chacun leur identité propre et unique ce sont ce derniers que nous émettons lorsque nous rattachons un objet physique à la blockchain nous pouvons donc aussi associer un nft à un tweet et le vendre mais cela ne nous intéresse pa vraiment nous souhaitons avant tout travailler avec de émetteurs est à dire de marque ou de producteurs de biens physique et peut être demain le créateurs et le artiste représenter la propriété un bien réel ou virtuel par un nft est bien mais il me semble beaucoup plus intéressant explorer ce qu on peut faire à partir de ça par exemple nous somme en train de réfléchir avec de marque pour donner accès à de collection en avant première ou à de défilés numériques recréer un peu de rareté et exclusivité dans un monde numérique est peut être aussi recréer opportunité avoir plus attention est là qu est la valeur zante benoit | 2design
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https://www.frenchweb.fr/happydemics-leve-3-millions-deuros-supplementaires-aupres-dadelie-et-sia-partners/411030 | Financing | happydemics progresse sur le marché de études et sondages avec une levée de fonds de 3 million euro réalisée auprès du fonds adelie et du cabinet de conseil indépendant sia partner clôturant ainsi un tour de table de 8 million euro la startup française avait en effet récolté 5 million euro il a six mois auprès du family office fair avec la participation de laurent ritter et alexandre yazdi de voodoo spécialiste français du gaming cette opération doit financer happydemics dans son expansion internationale lancé en 2015 par tarek ouagguini et nicolas trabuc happydemics développe une solution à destination de entreprises qui collecte et analyse le données opinion de consommateurs à partir de ce données le entreprises clientes déterminent une stratégie pour adapter leurs offres et optimiser le roi de leurs campagnes publicitaires la startup basée à paris compte parmi s client de groupes français du cac 40 tels que total danone ou encore bnp paribas happydemics revendique la collecte de données opinion de 3 milliard individus dans plus de 140 pay avec une croissance de 400 en 2020 la startup ambitionne désormais étendre sa solution à international nous somme convaincus que notre solution répond à une attente forte du marché à heure une crise sanitaire et économique qui rebattra profondément le carte dans de nombreux autres secteurs commerce retail industrie explique tarek ouagguini présent à paris et amsterdam happydemics souhaite notamment ouvrir un bureau londres et lancer une campagne de recrutement le marché mondial de études consommateurs est estimé à environ 50 milliard de dollar happydemics développé une nouvelle génération de technology qui aide le entreprises à recueillir avec une grande rapidité et fiabilité le opinion de cibles très spécifiques dans 144 pay commente jean manuel costa co fondateur du fonds adelie la startup parisienne comptabilise un financement total environ 11 million euro elle avait levé 1 2 million en 2018 notamment auprès de cédric siré antoine le conte et kima venture et 2 million euro en juin 2017 auprès de accélérateur axeleo et de frédéric mazzella co fondateur de la plateforme de covoiturage blablacar gagnez rapidement en visibilité en ligne grâce à junto entreprise référente sur achat média digital et le tracking fondateurs tarek ouagguini et nicolas trabuc création 2015 siège social paris secteur marketing activité solution aide à la décision financement 3 million euro auprès du fonds adelie et du cabinet de conseil indépendant sia partner pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/location-de-vetements-la-start-up-les-appretes-propose-une-alternative-aux-soldes-1223224 | Market Impact | Elles se sont rencontrées sur les bancs de l'école de commerce. Anne-Claire Chanvin et Marie Brandicourt ont lancé en juin 2020 leur start-up Les Apprêtés. Le concept ? Proposer à leur clientèle mixte de recevoir chaque mois une box de vêtements éthiques et durables. Le but est de faire découvrir aux « consommacteurs », comme elles aiment les appeler, des marques engagées tout en se faisant plaisir. Chaque mois les abonnés reçoivent une box composée de vêtements éthiques : ils sélectionnent ceux qui leur plaisent dans le catalogue du site, ou bien ils peuvent choisir de recevoir une sélection « surprise » de vêtements. Durant un mois, ces vêtements sont les leurs, ils sont libres de les porter autant de fois qu'ils le souhaitent. Au bout du mois, si le vêtement plaît au point de ne pas vouloir en être séparé il peut être acheté par l'abonné. La jeune pousse récupère une commission. Si le vêtement ne plaît pas ou que l'on souhaite renouveler fréquemment sa garde-robe, il est renvoyé : l'étiquette de retour prépayée et le packaging réutilisable sont fournis par la start-up. Par la suite, le contenu de la box retour est remis à neuf après un passage express en pressing éco responsable (moindre consommation d'eau et de produits nocifs pour l'environnement). A LIRE AUSSI : Comment profiter des soldes d'été tout en étant éco-responsable ? Une fois le vêtement en fin de vie, il pourra être bradé sur le site. En partenariat avec le service de collecte Le relais, ils sont aujourd'hui donnés, récupérés, recyclés ou upcyclés. Les Apprêtés souhaitent également proposer des ateliers physiques d'upcycling à ses consommacteurs. « Il y a eu un constat, celui que les Millennials (25-35 ans) sont soumis à une certaine dualité dans leur manière de consommer la fashion », estime Anne-Claire Chanvin cofondatrice de la jeune pousse. Tiraillée entre un large choix et leurs valeurs sociales et écolos, cette génération souhaite consommer la mode différemment mais ne sait pas toujours comment s'y prendre. A l'heure actuelle il est possible d'être livré en point relais (centraliser les retraits de commande permet d'éviter le transport supplémentaire en porte à porte) en France mais aussi en Belgique et au Luxembourg. Dans le catalogue en ligne des Apprêtés ne figurent que des vêtements avec des critères bien précis. Le made in France est omniprésent au même titre que la certification de matières naturelles d'origine biologique ou encore les matières recyclées et upcyclées (réintroduire dans un cycle de création des matériaux ou objets usagés). A LIRE AUSSI : A Soldes éthiques : les clients de cette start-up fixent eux-mêmes le montant de la réduction Aujourd'hui, ont répondu à l'appel des Apprêtés 21 marques qui promeuvent des valeurs durables, locales et respectueuses de l'environnement. Parmi elles, on peut citer Montlimart pour les hommes ou encore Gentle factory et Aatise pour les femmes. « A l'avenir on aimerait étendre nos gammes au sportswear ou encore aux vêtements de grossesse par exemple. On aimerait beaucoup travailler avec les fameux jeans 1083 ou encore la marque Ekyog », lance la jeune femme. « Malgré la crise nous avons pu atteindre nos objectifs de lancement. » + 269 % sur la cagnotte organisée sur Kisskissbankbank en mars dernier. Avec une centaine de pré ventes, la jeune pousse était très satisfaite de ses débuts malgré une stratégie de communication ébranlée par le Covid-19. « On avait prévu d'organiser trois évènements pour le lancement, on a dû basculer sur une stratégie 100 % digitale. » Aujourd'hui, elles sont deux à faire tourner l'entreprise, plus une personne en free-lance pour gérer les réseaux sociaux. Elles aimeraient bien accueillir un stagiaire ainsi qu'une personne en contrat d'apprentissage pour la vente mais cela devra attendre l'augmentation du chiffre d'affaires. Les fondatrices explorent toutes les pistes de financement : « Il y a beaucoup de concours dans la mode responsable qui permettent de se faire connaître et d'obtenir des enveloppes. » Autre piste : Anne-Claire Chanvin dit également s'attarder sur les fonds d'investissement green ou encore les bourses de la french tech. | 5learning
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/vodka-start-up-pme-les-mille-vies-de-charles-beigebder_734740 | Financing | Challenges - Comment accompagnez-vous les PME françaises? \n\nCharles Beigbeder - Nous les aidons à grandir. En France, nous avons trois fois moins d’ETI qu’en Allemagne et deux fois moins qu’en Italie. Or, c’est le moteur de la croissance d’un pays. Ici, les banques financent mal le capital-développement. Les entrepreneurs se tournent donc vers le capital-investissement, dont les acteurs ont eu tendance à vouloir prendre le contrôle des entreprises.\n\nEn quoi êtes-vous différent? \n\nAudacia a été pionnier dans la création d’un capital plus patient et minoritaire. Nous apportons aux entrepreneurs des capitaux, qui ne sont pas trop dilutifs, des compétences, du conseil. En quatorze ans, nous avons accompagné 320 PME réalisant 5 à 100 millions d’euros de chiffre d’affaires, comme Fermob ou Kusmi Tea, et investi 800 millions. Ma fierté, c’est qu’une dizaine d’entre elles soient devenues des ETI. Nous investissons 1 à 10 millions, pour six ans. Nous récupérons 1,6 fois la mise. Vous accélérez sur le quantique… \n\nIl y a deux ans, nous avons lancé un fonds de capital-innovation consacré aux technologies quantiques, Quantonation, qui a déjà investi dans 12 start-up. Nous avons aussi pris une participation de référence au capital du spécialiste du coliving Sharies. Et, ensemble, nous avons créé un fonds dans l’immobilier, Audacia Elévation. Quelle différence entre le coliving et la traditionnelle colocation? \n\nLes colocations concernent souvent des étudiants, logés dans des appartements inadaptés. Le coliving s’adresse aux jeunes cadres, souvent expatriés, qui ont du mal à se loger dans les métropoles. Audacia Elévation va racheter des bâtiments ou en faire construire pour les transformer en surfaces de coliving. Il y aura 5 ou 6 chambres presque identiques, avec chacune sa salle de bains. Quatre surfaces ont déjà ouvert à Marseille, Nancy et Paris.\n\nEt vous lancez une vodka? \n\nJ’ai plusieurs participations via mon holding Gravitation. Depuis longtemps, nous avions envie de faire un projet avec mon frère Frédéric. En juin, nous avons lancé Le Philtre, une vodka écoresponsable, premium, vendue 49 euros, dans des bouteilles en verre recyclé. Elle est produite à Cognac, avec du blé bio. Vous avez aussi lancé des chemises.\n\nPourquoi ce besoin de créer? \n\nJ’ai souvent des idées. Certaines ont réussi, d’autres moins, comme Happytime ou AgroGeneration. J’ai mis du temps à comprendre que ce que j’aime, c’est créer. Rien n’est plus enthousiasmant que de voir une idée devenir réalité. Le fil conducteur de mes projets, c’est le déficit d’offres. J’ai mis une dizaine de millions d’euros dans Audacia, dont j’ai quasiment 100% du capital. Le reste appartient aux collaborateurs.\n\nAvez-vous d’autres idées? \n\nOui, je m’intéresse à la souveraineté numérique. Nous sommes archidominés par les Gafam. Je pense que les nouveaux processeurs optiques et quantiques pourraient être le catalyseur d’une nouvelle offre de cloud européen. Nous y travaillons avec Quantonation.\n\nVotre rêve de croissance? \n\nRallier le Top du private equity \n\n \n \n Start-up\n \n | 2design
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https://www.e-marketing.fr/Thematique/experience-1295/experience-utilisateur-2241/Breves/agence-Emakina-rejoint-consortium-Arianee-360272.htm | Legitimacy | La technologie Arianee transforme profondément la relation client dans les secteurs du luxe et de la mode grâce à la création de passeports numérique. Emakina mettra à disposition son expertise en business digital ainsi que ses savoir-faire pour déployer la plateforme Arianee à grande échelle. Grâce à ce partenariat, les maisons de luxe et les marques de mode pourront désormais intégrer la solution Arianee directement au sein de leur écosystème et proposer une expérience client réinventée, en phase avec de nouvelles attentes des consommateurs. Ce partenariat vient renforcer l'ambition commune d'Arianee et d'Emakina d'offrir à leurs clients les solutions les plus efficaces et innovantes pour permettre aux marques et aux maisons de luxe de relever le défi d'une amélioration constante de l'expérience utilisateur à l'ère de la transformation numérique, tout en développant leur activité. A lire aussi Les 5 clefs d'une expérience client réussie | 2design
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https://www.strategie.gouv.fr/debats/mobilites-numerique-vers-un-nouvel-interet-collectif-seance-3 | Uniqueness | Thibaud Simphal, General manager, Uber France, présentera sa vision du devenir du transport et cherchera à répondre aux deux questions : « Que seront demain les nouveaux modèles économiques du transport ? Quels en seront les acteurs ?». Puis deux discutants mettront en perspective cette vision et lanceront les débats : France Stratégie est une institution autonome placée auprès du Premier ministre, France Stratégie contribue à l’action publique par ses analyses et ses propositions. Elle anime le débat public et éclaire les choix collectifs sur les enjeux sociaux, économiques et environnementaux. Elle produit également des évaluations de politiques publiques à la demande du gouvernement. Les résultats de ses travaux s’adressent aux pouvoirs publics, à la société civile et aux citoyens. Nous contacter Données personnelles et cookies | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/la-startup-kardinal-leve-2-millions-deuros-pour-sa-solution-doptimisation-de-livraison-de-colis/381881 | Financing | la startup kardinal ex citodi spécialiste de optimisation de la livraison de colis levé 2 million euro auprès de serena et entrepreneur comme bertrand diard talend christophe chausson le fondateurs de cheerz aurélien de meaux et antoine le conte david binks pascal boris ou encore bruno scherrer lancé en 2015 par jonathan bouaziz cédric hervet et hugo farizon kardinal développe une solution saas à destination de sociétés de transport de colis pour répondre à leurs contraintes la startup propose optimiser le tournées via intelligence artificielle notamment en fonctions du trafic et du type de véhicule utilisé en guidant le prises de décision en temp réel selon le ceo de kardinal jonathan bouaziz le dernier kilomètre est aujourd hui la partie la plus coûteuse de la distribution et donc la priorité de transporteurs malheureusement le professionnels peinent encore à mettre en place de solution optimisation de tournées vraiment adaptées à leurs contraintes si la startup parisienne se concentre essentiellement sur la livraison de colis son offre vise aussi le agent itinérants techniciens maintenance commerciaux kardinal ambitionne désormais accélérer le développement de sa solution notamment en renforçant s équipes financement 2 million en octobre 2019 auprès de serena bertrand diard christophe chausson aurélien de meaux antoine le conte david binks pascal boris bruno scherrer pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 13transport
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https://www.frenchweb.fr/french-tech-isai-lance-un-nouveau-fonds-de-90-millions-deuros/399745 | Financing | en pleine crise du coronavirus le investissements dans la tech française sont en chute libre malgré quelques sursauts avec le tour de table majeurs alan 50 million euro ou back market 110 million euro évoquant une certaine frilosité cédric le secrétaire état au numérique avait reconnu en mar que le fonds pouvaient être tentés de garder de la réserve et laisser passer la crise cependant il avait alors appelé ce derniers à prendre leurs responsabilités en continuant investir dans le start up le message été visiblement bien reçu du côté isai qui annonce aujourd hui le lancement de son troisième fonds pour continuer à investir dans le start up le plus prometteuses de écosystème français baptisé isai venture iii ce nouveau véhicule investissement vient de boucler un premier closing à 90 million euro sa taille maximale est fixée à 120 million euro comme s deux prédécesseurs isai venture iii serum dédié au post amorçage dans ce cadre le fonds investira dans une vingtaine de projets avec de ticket entrée compris entre 1 million et 3 million euro une poche indépendante serum toutefois consacrée à amorçage avec de ticket de 150 000 euro à la manière un super angel dixit isai si le timing pour annoncer le lancement un tel fonds est un signal fort pour la tech française il en demeure pa moins audacieux en cette période délicate pour le entrepreneur le crisis sont de périodes de changements profonds à occasion desquelles de grand talent porteurs de projets innovants et disruptifs se révèlent regardez le stripe slack whatsapp airbnb github tous ont été créés durant la crise de subprimes rappelle thierry vandewalle directeur associé isai nous avon la conviction que la créativité est plus forte sou contrainte confirme christophe raynaud directeur général isai depuis son lancement en 2010 isai est devenu un fonds emblématique de la tech française se décrivant lui même comme le fonds investissement de entrepreneur internet créé par geoffroy roux de bézieux actuel président du medef pierre kosciusko morizet priceminister stéphane treppoz sarenza et ouriel ohayon techcrunch france appsfire zengo isai est connu pour avoir misé très tôt sur blablacar et contribué à envol de start up françaises comme evaneos tinyclues ou malt adaptant à évolution de écosystème français qui largement gagné en maturité et en visibilité depuis apparition du label french tech lancé par le gouvernement en 2013 le fonds dirigé par jean david chamboredon élargi son champ action ce dernières années pour contribuer à envol de sociétés déjà matures prêtes à embrasser une ambition internationale sur leur marché cela est notamment matérialisé an passé avec le lancement un fonds de 90 million euro avec capgemini pour investir dans 15 à 20 start up b2b dans le monde principalement en europe et aux états unis le fonds français entend ailleurs développer davantage cette approche transatlantique au cours de prochaines années pour beaucoup de start up du digital le marché de référence est celui de états unis il est très important que nous puissions à la fois investir dans de sociétés américaines fondées par de français et accompagner de start up françaises dans leur expansion en amérique du nord précise pierre kosciusko morizet co fondateur isai et plus gros souscripteur du nouveau véhicule investissement isai venture iii lira aussi pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 1business
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https://start.lesechos.fr/innovations-startups/portraits-innovateurs/claire-suco-de-meuf-paris-derriere-chaque-femme-qui-reussit-il-y-a-elle-meme-1174923 | Storytelling | Même pas 30 ans, et déjà eu plusieurs vies… Après des études d’art dramatique, Claire Suco démarre sa carrière dans le cinéma en 2013. Trois ans plus, tard elle retourne sur les bancs de l’école et intègre la formation en entrepreneuriat de l'ESCP Europe à Madrid. En pleine reconversion, cette parisienne de 27 ans se fixe pour objectif d’aider les femmes à surmonter les règles douloureuses et lance une box avec des produits naturels (protections hygiéniques, thés adaptés aux cycles menstruels). Après un an de développement, l’aventure s’arrête. À la place, naît le projet Meuf Paris. C’est en cherchant un cadeau d’anniversaire pour une amie que Claire Suco trouve l’inspiration de cette marque engagée qui dénonce le sexime ordinaire. “Je voulais lui offrir un message positif, mais je n’ai rien trouvé”, se souvient la jeune femme. Qu’à cela ne tienne : elle décide de lancer sa propre ligne de vêtements sur internet avec des messages “empowering” comme “Derrière chaque femme qui réussit, il y a elle-même”, "Guerrière", "Mumpreneuse", "Aventurière", “Badass". Financé avec seulement 1.000 euros au départ, le projet décole très vite. Elle revendique désormais près de 88.000 abonnés sur Instagram et prévoit un chiffre d’affaires d’un million en 2020. Pour cartonner sur la plateforme, Claire mise sur la sincérité et l’originalité de son discours. “Et pour aborder des sujets de société, l’humour est une bonne piste”, indique l’entrepreneure. Un an après le lancement de la boutique en ligne, Claire ouvre son premier pop up store dans le Marais à Paris, l’an dernier. Elle multiplie les collaborations et travaille sur la création de “l’uniforme” Anti-Sexism Academy pour le clip Balance ton quoi d’Angèle, dirigé par la réalisatrice belge Charlotte Abramow. Un sacré challenge : “il a fallu créer l’ensemble des tenues en deux semaines en faisant appel uniquement aux producteurs français”, raconte-t-elle Une publication partagée par Les Echos START (@lesechosstart) le 21 Nov. 2019 à 3 :10 PST “Derrière Meuf, il y a énormément de boulot, des week-ends et des vacances sacrifiés”, tient à rappeler Claire, à la tête d’une équipe de cinq personnes. “Au fil de l’eau, je découvre que 90% de mes réalisations viennent de ma capacité à me projeter. L’entrepreneuriat, c’est souvent des galères, mais elles sont assez marrantes”, ajoute l’entrepreneure. Au-delà de ses punchlines très inspirantes, Claire a accepté de partager avec nous ses trois conseils pour créer sa marque. “Avec du recul, j’ai réalisé que dans ma première startup, on n’était pas assez dans l’action, on perdait trop de temps à intellectualiser. Une aventure entrepreneuriale, c’est avant tout de tester les idées le plus vite possible pour savoir si elles marchent ou s’il faut arrêter. Quand j’ai une idée, il me faut un résultat dans 10 jours. C’est un rythme effréné, mais c’est efficace !” Une publication partagée par Les Echos START (@lesechosstart) le 21 Nov. 2019 à 2 :56 PST “Un entrepreneur ne peut pas se permettre de dire : je ne sais pas faire. Quand on lance son activité, il y a un milliard de sujets à traiter comme le marketing, la commercialisation, la comptabilité. Il est impossible de tout savoir et de tout maîtriser. Lancez-vous, et demandez de l’aide aux experts. Vous apprendrez en marchant !. C’est la stratégie que je suis sur Instagram par exemple.” “Quand nous avons ouvert notre premier pop up store, nous avons mis la moitié de notre trésorerie dans le projet, une décision hyper risquée. Mais ce choix courageux s’est révélé gagnant. Une deuxième boutique éphémère a ouvert ses portes cette année pour la période de Noël à Paris. Bien que trancher sur des sujets aussi stratégiques soit une source de stress, s’y confronter et voir des résultats positifs in fine booste sa confiance en soi.” Pour ne rien manquer à nos stories, suivez-nous sur Instagram. Vous voulez en savoir plus sur notre partenaire ? Madamn, c'est par ici. Et enfin, pour prolonger la discussion, rendez-vous sur 52%, le groupe d’entraide pour les femmes, porté la rédaction des Echos START. Et vous pouvez aussi regarder les épisodes précédents : Céline Lazorthes de Leetchi : "Personne ne voulait s’associer avec moi"Sophie Viger, directrice de 42, livre ses 3 conseils pour trouver sa voie. | 5learning
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https://www.lavoix.eu/fr/news/356/Chambre-de-recours-élargie-de-l-Office-européen-des-brevets-Nouvelle-saisine-relative-au-double-brevet | Securing | A) Plus particulièrement, les questions soumises à la Grande Chambre de recours sont les suivantes : 1. Une demande de brevet européen peut-elle être refusée en vertu de l'article 97(2) CBE si elle revendique le même objet qu'un brevet européen délivré au même demandeur et ne faisant pas partie de l'état de la technique en vertu de l'article 54(2) et (3) CBE ? 2.1. Si la réponse à la première question est affirmative, quelles sont les conditions d'un tel refus et quelles sont les conditions différentes à appliquer lorsque la demande de brevet européen à l'examen a été déposée: 2.2. En particulier, dans ce dernier cas, un demandeur a-t-il un intérêt légitime à ce que la demande de brevet européen (ultérieure) soit délivrée, étant donné que la date de dépôt et non la date de priorité est la date pertinente pour le calcul de la durée du brevet européen en vertu de l'article 63(1) CBE ? Il convient de noter que, la décision correspondante de la chambre de recours n'ayant pas encore été publiée, les questions susmentionnées ont été déduites du procès-verbal de la procédure orale, qui s'est déroulée le 7 février 2019. B) La réponse à ces questions est pertinente en pratique. En effet, elle influera en particulier le traitement des demandes divisionnaires de brevet à l'OEB, ainsi que les meilleures pratiques en termes de rédaction de ces demandes de brevet. Nous vous tiendrons informés de l'évolution de cette affaire. Ces informations sont données à titre indicatif et ne constituent pas un avis juridique. | 11security
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/geoffroy-roux-de-bezieux-vice-president-du-medef-et-repreneur-d-entreprises_555813 | Financing | Comment se passe la succession au Medef ? C’est très compliqué, je ne peux rien dire pour l’instant. Pourquoi vous être lancé dans la reprise d’entreprises ? J’ai revendu Virgin Mobile à SFR fin 2014. J’aurais pu partir me reposer, mais je suis un entrepreneur. J’ai donc voulu créer un groupe, Notus, que je contrôle à 100 %. Auparavant, j’ai été deux fois dans une aventure technologique où j’ai été obligé de me diluer pour faire grandir l’entreprise dans un secteur en forte croissance. Cette fois, j’ai pris des secteurs à plus faible croissance. Quelles activités ciblez-vous ? J’ai aujourd’hui quatre participations, toutes à l’équilibre ou en profit, dans deux domaines. Côté outdoor, j’ai repris Chullanka, une filiale de Decathlon, spécialiste du matériel de randonnée et de plein air, et Chronoloisirs, qui vend du matériel de pêche sur Internet. Côté gastronomie, j’ai racheté Oliviers & Co., notre fer de lance, qui sélectionne des huiles d’olive haut de gamme sur le pourtour méditerranéen, et le Fondant Baulois, qui fabrique un fondant au chocolat, notre activité la plus rentable. Au total, j’ai investi 10 millions d’euros. Notus représente 40 millions de chiffre d’affaires et 250 collaborateurs. Comment avez-vous relancé Oliviers & Co.? C’était une belle endormie. Nous avons rationalisé le réseau de distribution. Puis, j’ai pris deux décisions simples : monter en gamme et développer le digital, qui représente désormais 17% des ventes. Nous accélérons maintenant à l’international. Fin janvier, nous ouvrons un magasin à Tokyo et nous nous lançons en Chine sur Tmall, la plateforme d’Alibaba. En France, nous avons inauguré un nouveau flagship dans l’extension du centre commercial Parly 2, au Chesnay. Notus a aussi une activité de private equity. Combien pèse-t-elle? Au-delà de mes prises de participation via ISAI, le fonds que j’ai cofondé avec trois entrepreneurs en 2009, j’ai investi en direct 3 millions d’euros dans une quinzaine d’entreprises en trois ans. Je mets des tickets de 100000 à 500000 euros. Récemment, je suis entré au capital de Flatsy, qui propose aux agents immobiliers des free-lances qui réalisent les visites de logements. Avant, j’avais misé sur Payfit, qui dématérialise les bulletins de paye. L’an dernier, j’ai revendu mes parts dans Credit.fr à Tikehau et celles dans E-Cotiz à BPCE. Selon vous, la France est-elle devenue une terre d’entrepreneurs ? Oui ! Quand j’ai créé ma première entreprise à 33 ans, c’était considéré comme un choix de carrière risqué. Aujourd’hui, les start-up sont probablement le premier employeur à la sortie des grandes écoles! Culturellement, l’esprit d’entreprise est beaucoup plus valorisé. Fiscalement, il est plus facile d’entreprendre car un certain nombre de dispositifs ont été créés. Et financièrement, il y a une abondance de liquidités. Quel est votre rêve de croissance? Viser 100 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici trois ans. \n\n \n | 0agronomy
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https://www.lavoix.eu/fr/news/266/reforme-du-droit-des-contrats-octobre-2016 | Securing | Le nouveau texte est entré en vigueur le 1er octobre 2016 et s’applique, sauf exception, à tous les contrats conclus, renouvelés ou tacitement reconduits depuis cette date. La réforme a tout d’abord permis de consacrer de nombreuses solutions jurisprudentielles, de moderniser la terminologie datant du code civil de 1804 (l’acte « sous seing privé » devient par exemple l’acte « sous signature privée ») et de clarifier certaines notions. C’est ainsi notamment que l’article 1101 du code civil dispose désormais que « le contrat est un accord de volontés entre deux ou plusieurs personnes destiné à créer, modifier, transmettre ou éteindre des obligations ». Notons également que la notion de cause du contrat disparait, le nouvel article 1128 prévoyant désormais que « sont nécessaires à la validité du contrat 1°) le consentement des parties 2°) leur capacité de contracter 3°) un contenu licite et certain ». Certaines innovations ont par ailleurs été apportées, parmi lesquelles nous citerons les suivantes : L’importance de cette réforme n’est pas à négliger en matière de propriété industrielle, tout particulièrement en ce qui concerne les nouveautés précitées. Le régime des contrats spécifiques tels que la licence, la cession, l’accord de confidentialité, l’accord de consortium ou encore le contrat de partenariat, est en effet régi par le droit commun. Contact : Gwénaël TOUSSAINT | 11security
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https://www.makery.info/2015/11/24/au-coeur-du-lave-linge-qui-voulait-deprogrammer-son-obsolescence/ | Financing | Un lave-linge conçu pour vous accompagner pour au moins 50 ans, l’idée est séduisante. Montable en kit, L’Increvable peut tout aussi bien être démonté en quelques coups de tournevis. Comme alternative au lestage habituel en béton, un système innovant de ballast d’eau permet de le rendre léger au transport. Et son logiciel de commande peut être mis à jour en le connectant à un ordinateur. Bref, l’arme fatale contre l’obsolescence programmée qui voit un lave-linge classique rejoindre le cimetière de l’électroménager au bout de 10 ans en moyenne. Son seul défaut ? Ce lave-linge n’existe pas encore. Son concepteur, Julien Phedyaeff, l’a imaginé au sortir de ses études de design à l’Ensci (Ecole nationale supérieure de création industrielle) en 2014. Son projet a été repéré par l’Agence pour la promotion de la création industrielle. Julien Phedyaeff, depuis rejoint par Christopher Santerre, designer produit, voudrait qu’ils deviennent des agents de disruption du marché en proposant des solutions éthiques et durables. Notamment en se donnant les moyens de faire exister L’Increvable. Christopher Santerre, alors stagiaire, a été marqué par cette remarque d’un designer : « Du moment que le produit finit dans les mains de l’utilisateur, notre contrat est rempli. Après, qu’il dure ou pas, ce n’est pas notre problème. » Conscient des logiques de l’obsolescence programmée en tant que consommateur, c’était la première fois que Christopher le vivait en tant qu’acteur de l’industrie. « J’estime que la responsabilité du designer va au-delà d’une simple logique de séduction pour faire acheter », dit Julien Phedyaeff. Pour se financer, les jeunes designers n’ont pas choisi la voie initiale du financement participatif. Avant même qu’un prototype ne soit mis au point, L’Increvable a déjà bénéficié d’une large communication comme solution exemplaire à l’obsolescence programmée. Mais les deux concepteurs ne souhaitent pas que la vie virtuelle de la machine entache les objectifs du projet. L’Increvable embarque des innovations qu’il va falloir valider sur le terrain de l’ingénierie. Julien et Christopher estiment la création d’un prototype industriel à 100 000 euros. Leur site annonçait qu’ils allaient réunir la somme d’amorçage d’ici décembre. Christopher révise le calendrier : « Nous avons des pistes sérieuses qui nous permettraient d’atteindre au moins la moitié de notre objectif d’ici la fin de l’année. » Le parcours est encore semé d’embûches : L’Increvable était en lice pour le James Dyson Awards 2014, mais n’a finalement pas été retenu. Beaux joueurs, ils s’en amusent: « James, tu as toujours notre mail ! ». Les deux designers ont décidé d’intégrer des orientations économiques plus durables dans la conception du prototype : « L’idée est de diminuer au maximum nos besoins en capitaux fixes, c’est-à-dire les lignes de production nécessaires à la fabrication de la machine. » Ils ont donc repensé les étapes de l’architecture d’une machine traditionnelle, en explorant d’autres principes constructifs que la tôlerie emboutie. Enfin, « l’un des points clé du projet est l’assemblage. Il devra se faire sans outillage lourd, pour réaliser là aussi des économies ». Une campagne de crowdfunding est prévue en 2017 pour financer la production. Pour le montant appelé cependant, « sans prototype, nous ne sommes pas en mesure d’évaluer le coût de revient d’une première série d’Increvables ». Chaque mois, l’essentiel de l’actu des labs. (archives) | 4environment
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https://www.influencia.net/zoom-met-video-toutes-apps/ | Needs | pourquoi arrêter en si bon chemin zoom connu une année 2020 historique son chiffre affaire bondi de 326 sur son dernier exercice clôturé le 31 janvier 2021 à 2 65 milliard de dollar son résultat net est quant à lui passé en douze mois de 25 3 à 672 3 million de dollar qui a pa passé ce dernières semaines quelques heures sur cette plateforme pour échanger avec s collègues ou converser avec s client yves siméon le manager du cabinet de conseil et de formation reload a ailleurs pa caché son ra le bol dans une tribune publiée sur la quotidienne influencia vous êtes épuisé par avalanche de réunions et le changement de vos routine en un mot vous en avez marre de zoom la plateforme créée en 2011 par eric yuan un ingénieur chinois débarqué aux états unis dans le années 1990 est devenue un symbole de notre nouvelle vie de covidée la fin de la pandémie mais si elle va arriver ne devrait toutefois pa représenter un coup arrêt brutal pour zoom le télétravail on le sait est la nouvelle marote de beaucoup entrepreneur de quoi inciter la firme américaine à multiplier le nouveaux service autres que sa solution de visioconférence sa dernière annonce en date devrait lui permettre de faire un nouveau bond en avant zoom video communication est le nom officiel du groupe côté en bourse au nasdaq vient de lancer un kit de développement logiciel sdk vidéo ce nouvel outil permet aux développeurs de tirer partie de la vidéo hd de audio et de fonctions interactives de pointe de zoom pour créer et enrichir de application vidéo et de expériences de bureau avec de interface utilisateur native ce kit facilite utilisation de la vidéo dans de nombreuses configuration telles que le médias sociaux le gaming ou achat en ligne il améliore également expérience client en créant de apps et de fonctionnalités qui réduisent le friction dans le parcours de utilisateurs et offrent de possibilités engagement du public le développeurs ont pa été longs à tirer bénéfice de ce kit plus de 1000 applis native ont déjà été créées depuis le lancement de sdk vidéo se réjouit grégoire kiss le directeur de ventes pour le grand comptes de zoom france un succès logique utilisation de la vidéo est plus omniprésente que jamais explique zeus kerravala analyste principal chez zk research la prochaine vague expériences basées sur la vidéo serum alimentée par intégration de la vidéo directement dans le application professionnelles et grand public qui améliorent de manière transparente le flux de travail et renforcent interaction sociale le sdk vidéo de zoom sont faciles à utiliser et permettent le développement rapide application vidéo entièrement personnalisables la plateforme californienne estime aujourd hui être prête à répondre à tous le besoins de sa clientèle professionnelle ce rythme là le gafam pourraient bientôt devenir le gafamz therin frédéric | 10science
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https://www.soonsoonsoon.com/fr/detections/recompenser-des-innovations-pour-les-lancer/ | Desirability | Une ampoule qui s’allume, pour peu que ce soit dans une tête bien faite, c’est parfois une idée qui peut changer le monde. Pour la troisième année consécutive, les prix EDF Pulse récompensent les startups européennes les plus innovantes, dans trois domaines : l’habitat connecté, la e-santé et la ville bas carbone. Sur les 300 projets en course, nous vous avions présenté les 6 finalistes (2 dans chaque catégorie). Eh bien nous détenons désormais l’enveloppe qui contient la liste des 3 lauréats ! Petit rappel : chacun recevra 100.000 euros et sera coaché puis promu par EDF. Les lauréats ont été dévoilés le 30 juin à l’occasion d’une cérémonie organisée dans le cadre du salon Viva Technology. And the winners are... Catégorie « habitat connecté » : EcoismeEcoisme est un boîtier connecté faussement égoïste qui détecte l’ensemble des appareils électriques branchés chez vous et qui vous indique comment optimiser leur utilisation pour réduire votre facture d’électricité. Si vous laissez un ventilateur ou un fer à friser branché par erreur, alors Ecoisme vous rappelle à l’ordre, pour éviter une note trop salée ou un incendie trop enflammé. Catégorie « e-santé » : BiomodexBiomodex vous propose de vous entraîner sur des maquettes ultra-réalistes imprimées en 3D, avant de vous improviser chirurgien. Des simulateurs qui reproduisent parfaitement l’anatomie et les propriétés biomécaniques du corps humain. Hyper utile pour les chirurgiens de métier qui veulent répéter avant une opération. Catégorie « ville bas carbone » : KARAKARA est un système d’éclairage public intelligent. Chaque lampadaire peut détecter votre présence à plus de 30 mètres, déterminer votre masse et votre trajectoire, et moduler sa luminosité en conséquence. Selon que vous soyez piéton, cycliste, automobiliste ou pilote de deltaplane, vous n’aurez pas droit au même éclairage. Résultat : jusqu’à 70% d’économie d’énergie pour votre ville ! Grâce à EDF, ces startups vont pouvoir libérer leur énergie créative et se projeter dans le futur. | 9resource
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https://www.frenchweb.fr/cazoo-leve-240-millions-de-livres-aupres-de-general-catalyst-et-d1-capital-partners/406020 | Financing | la plateforme achat de voitures occasion en ligne cazoo lève 240 million de livres sterling soit environ 264 million euro à occasion un tour de table mené par general catalyst d1 capital partner et de fonds gérés par fidelity management research company ainsi que blackrock cette opération inclue la participation de catterton durable capital partner the spruce house partnership novator mubadala capital et dmg venture la startup britannique qui était passée au rang de licorne en récoltant 100 million de livres environ 110 million euro en mar 2020 confirmé que sa valeur était désormais estimée à 2 milliard de livres sterling cazoo voit le jour en 2018 sou impulsion alex chesterman fondateur de lovefilm un site de location de film en streaming et de jeux vidéos racheté par amazon pour étoffer son offre prime vidéo face à netflix ainsi que de zoopla une plateforme immobilière cazoo développe quant à lui une plateforme achat de voitures occasion à instar de vroom aux états unis la startup britannique achète restaure puis revend s véhicules aux particuliers cazoo revendique 100 million de livres de revenus depuis son lancement depuis le mesures de confinement et de distanciations sociales mi en place pour pallier la crise du coronavirus cazoo enregistre une progression de s ventes le britanniques préférant voyager dans leurs propres véhicules que dans de transport en commun en le achetant en ligne au cours de derniers mois nous avon assisté à une accélération du passage de achat de voitures hors ligne à achat en ligne le consommateurs britanniques continuant à adopter notre proposition unique remarque alex chesterman je connais alex depuis dix sept an depuis époque où nous avon créé lovefilm commente adam valkin directeur général de general catalyst il fait carrière dans identification de grand marchés de consommation où la technologie peut conduire au changement puis dirigé cette transformation en se concentrant sur le client et en lui apportant un service de confiance dans le cadre de cette levée de fonds la startup basée à londres ambitionne de renforcer s équipes et s infrastructure ce dernier financement donne à cazoo la puissance de feu nécessaire pour mener à bien no projets visant à offrir aux consommateurs britanniques la meilleure expérience achat de voiture possible conclut le fondateur de cazoo signez vos document contractuels directement en ligne avec yousign spécialiste français de la signature électronique yousign aide le startup entreprises en croissance à bâtir la meilleure expérience de signature fondateur alex chesterman création 2018 siège social londres royaume uni secteur cartech financement 240 million de livres sterling soit environ 264 million euro à occasion un tour de table mené par general catalyst d1 capital partner et de fonds gérés par fidelity management research company ainsi que blackrock cette opération inclue la participation de catterton durable capital partner the spruce house partnership novator mubadala capital et dmg venture pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 13transport
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https://www.influencia.net/laustralie-deploie-massivement-la-reconnaissance-faciale-pour-controler-les-quarantaines/ | Securing | depuis plusieurs mois usage de la reconnaissance faciale à de fin sécuritaires et ou sanitaires et le réserves qu il suscite tant de citoyens que de institution nationales ou européennes ne cesse être traité dans no colonnes si la chine avait jeté un pavé dans la mare en 2014 avec instauration de son crédit social en témoigne la horde de sujets à charge diffusés et publiés à époque par le mass medium apathie médiatique semble aujourd hui prévaloir dès que on évoque une possible application de cette technologie sur un territoire européen certes on est encore loin de la résignation collective dépeinte dans black mirror en europe tout du moins mais quand on voit intérêt grandissant de pouvoirs public pour une telle technologie on ne peut que redouter avenir autant plus que ce qui est vrai dans no contrées est davantage de autre côté de atlantique ou de océan indien de quoi donner ensuite donner de idées à tous le ayatollah du progrès technologique début septembre la police australienne annonçait recourir à la reconnaissance faciale pour assurer du bon respect de mesures sanitaires par s concitoyens en occurrence ce sont le états de nouvelles galles du sud et victoria qui abrite notamment sydney melbourne et donc plus de la moitié de 25 million australiens qui ont recours pour assurer que leurs administrés restent bien isolés durant leur quarantaine le protocole mi en place impose aux australiens concernés de répondre à de contrôles inopinés en envoyant un selfie capturé depuis leur domicile si le logiciel qui collecte également de données sur la localisation de s utilisateurs arrive pa à vérifier la signature faciale de la personne la police est susceptible de passer à leur domicile pour de plus amples vérifications ce essais réalisés sur la base du volontariat sont basé sur une technologie développée depuis 2020 par une entreprise dénommée genvis la firme basée à perth espère profiter de cet essai grandeur nature pour ensuite vendre leur solution à étranger ironie du sort est que cette information lourde de conséquences été révélée quelques jours à peine après que le nation unies ont mi en garde sur le danger de cette technologie en regard de droits de homme michelle bachelet la haute commissaire de nation unies aux droits de homme déclaré le mercredi 15 septembre dernier que la reconnaissance faciale présente un risque grave pour le droits de homme jusqu à ce que de garanties adéquates soient mi en place avant de poursuivre intelligence artificielle peut être une force pour le bien aidant le sociétés à surmonter certains de grand défis de notre époque t elle déclaré mais le technology de ia peuvent avoir de effets négatifs voire catastrophiques si elles sont utilisées sans tenir suffisamment compte de la manière dont elles affectent le droits humains de personnes au vu de ce révélations kristin butcher directrice générale de gengis déclaré sobrement que nous ne pouvons pa instaurer une quarantaine obligatoire sans opérer de vérifications si on souhaite que le population ne courent aucuns danger autre part il est impossible de vérifier systématiquement chaque adresse sur un territoire national donné ainsi usage de la technologie impose loin de partager sa vision de la situation de nombreux avocats de droits humains ont déjà mi en garde sur inexactitude de la reconnaissance faciale une part et sur le risque une utilisation de données récoltés par le autorités à de fin autres que simplement sanitaire autre part interrogé sur le sujet par euronews toby walsh professeur intelligence artificielle à université de nouvelle galles du sud concluait cet usage spécifique me dérange mais je suis avant tout inquiet par le fait que celui ci symbolise la montée en puissance de cette technologie dans no vies même si elle fonctionne convenablement elle valide idée que application de la reconnaissance faciale est légitime jusqu où iron nous en attendant le dénouement de cet effroyable scenario nous vous relayons le résultats encourageants une étude menée par de chercheurs de université ben gurion du néguev dont objectif était élaborer de moyens pour contourner ce logiciels de reconnaissance faciale après avoir appliqué du maquillage numériquement puis physiquement sur une vingtaine de personnes le scientifiques ont réussi à tromper le logiciels dans 98 de ca le processus est fait en deux étapes le maquillage numérique été appliqué en fonction une carte thermique ciblant le régions le plus identifiables du visage un maquilleur ensuite reproduit le maquillage numérique sur le participant en assurant que le résultat soit le plus naturel possible dans le expériences numériques le taux de réussites élevaient à 100 concernant le expériences physique le participant ont été identifiés dans 47 de ca lorsqu il ne portaient pa de maquillage et dans 33 7 de ca quand il étaient maquillés de façon aléatoire cependant le système a identifié le participant que dans 1 2 de ca lorsque le chercheurs ont appliqué le maquillage sur le party hautement identifiables du visage concernant le maquillage utilisé aucune crainte à avoir objectif est pa de vous grimer comme le joker de todd philip dès que vous voudrez passer un portique de sécurité le chercheurs ont eu recours à de palette de couleur neutres pour obtenir une apparence naturelle en bref une étude qui rassurera quelque peu le défenseurs de droits de homme du monde et le actionnaires de séphora span style display inline block width 0px overflow hidden line height 0 data mce type bookmark class mce_selres_start span pour faire appliquer le quarantaines imposées à s administrés australie teste de protocoles à base de reconnaissance faciale sacha montagut | 7people
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/paris-sportifs-le-trublion-zebet-veut-tripler-sa-part-de-marche_729647 | Uniqueness | Challenges. D’où vient votre passion pour les courses de chevaux? \n\nEmmanuel de Rohan-Chabot. Aller aux courses était une distraction familiale. Dans les années 2000, mon frère a eu une idée: la France comptait beaucoup plus de joueurs de courses que de détenteurs d’actions en direct. Or, il y avait de nombreux sites sur la Bourse et aucun sur les courses. Il fallait lancer un fil d’informations hippiques!\n\nComment l’avez-vous monétisé? \n\nAu début, nous voulions vendre de la publicité mais les seuls annonceurs intéressés venaient du porno et du crédit à la consommation. J’ai découvert que certains pays d’Europe accordaient des licences à des opérateurs de paris sur Internet. Je suis parti à Malte. Nous avons commencé les paris en 2005 avec un avantage économique considérable: nous ne reversions rien aux organisateurs de courses, et ne payions que 0,5% de taxes, contre 14% en France. Trois jours après, le PMU nous assignait en justice.\n\n Combien de temps ont duré les ennuis judiciaires? \n\nIl y a eu trois ans de procédure civile, puis le PMU a réactivé une procédure pénale. J’ai été mis en examen. Heureusement, très vite, le gouvernement Fillon a décidé qu’il fallait réformer le droit français du jeu. La loi de mai 2010 a mis fin au monopole d’Etat.\n\nAujourd’hui, où en êtes-vous? \n\nNous sommes le seul opérateur de paris hippiques avec le PMU et pesons 30% du marché. Les autres acteurs Internet nous confient la gestion de cette activité. Nous avons réduit nos marges au minimum pour offrir un taux de redistribution supérieur. Nous gérons environ 250 millions d’euros d’enjeux qui génèrent un produit brut de 18%. Le chiffre d’affaires atteint 50 millions. La moitié part en taxes.\n\nPourquoi avoir lancé ensuite les paris sportifs avec ZEbet, en 2014? \n\nIl y a une perméabilité de la clientèle. Et ce secteur décolle en France. En 2019, sur Internet, il y a eu 1,1 milliard d’euros d’enjeux en paris hippiques et quasiment 5 milliards en paris sportifs. ZEbet pèse déjà plus que ZEturf, 300 millions. Mais c’est un marché bien plus concurrentiel, avec trois opérateurs principaux (Betclic, Unibet et Winamax) et des challengers, dont nous, avec 6% du marché.\n\nLa crise actuelle vous affecte-t-elle? \n\nPendant le confinement, les compétitions sportives se sont arrêtées, l’activité de ZEbet a chuté de 85%. Mais celle de ZEturf a bondi de 60% car les PMU étaient fermés. Cette croissance se maintient. La grosse question, ce sont les conséquences économiques. Notre activité n’est pas contracyclique: nous ne vendons pas une possibilité d’enrichissement, mais une distraction. En 2008, la dépense moyenne par client avait baissé significativement.\n\nDevrez-vous lever des fonds? \n\nNon. Nous sommes bénéficiaires depuis 2012, nous pouvons résister. Nous allons continuer à investir, surtout en technologie. Et après la Belgique et l’Espagne, nous ouvrons le Portugal et la Hollande, et regardons des opportunités d’acquisitions en Europe du Sud.\n\nVotre rêve de croissance? \n\nTripler la part de marché de ZEbet. \n\n \n \n Sport\n \n | 12society
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https://www.lavoix.eu/fr/news/340/Mise-à-jour-des-directives-de l-OEB-en-matière-d-examen | Securing | La liste complète des modifications apportées aux directives de novembre 2018 peut être consultée à l'adresse suivante : http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/m.htm Nous notons en particulier les changements suivants : A partir du 1er avril, la taxe de renouvellement pour la troisième année peut être payée jusqu'à 6 mois avant son échéance(nouvelle règle51(1) CBE http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/a_x_5_2_4.htm) À cet égard, voir également notre alerte IP de février 2018. L'information sur l'état de la technique conformément à la règle 141 de la CBE a été spécifiée pour se rapporter aux dépôts de brevets et de modèles d'utilité (http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/c_iii_6.htm). En ce qui concerne les procédures d'opposition, la jurisprudence récente a été prise en compte. En particulier, il est précisé que dans le cas d'une opposition recevable et d'une opposition irrecevable, l'état de la technique citée dans l'opposition irrecevable est pris en compte dans la mesure où il est pertinent à première vue (http://www.epo.org/law-practice/legal texts/html/guidelines2018/e/d_i_6.htm). Les règles relatives aux déclarations concernant "l'esprit de l'invention" ont été clarifiées et harmonisées (http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/f_iv_4_4.htm). En ce qui concerne la clarté, les critères de recevabilité des termes relatifs dans les revendications ont été modifiés et rendus moins stricts. Dans le cas où un terme relatif n'est pas le seul élément distinctif par rapport à l'état de la technique, il peut désormais être autorisé à être conservé dans la revendication (http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/f_iv_4_6_1.htm). De même, la pratique concernant des termes tels que "environ", "substantiellement" et "à peu près" a été assouplie et devrait éviter à l'avenir les objections inutiles de manque de clarté (http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/f_iv_4_7_1.htm). En ce qui concerne les termes "comprenant" et "consistant", il a été précisé que l'expression "consistant essentiellement" signifie pour les composés ou compositions chimiques spécifiques que d'autres composants peuvent être présents, à savoir ceux qui n'affectent pas matériellement les caractéristiques essentielles du composé ou de la composition. Pour les autres entités, il est précisé que la signification est identique à celle de "comprenant" (http://www.epo.org/law-practice/legal-texts/html/guidelines2018/e/f_iv_4_21.htm). Publications | 11security
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https://www.frenchweb.fr/biotech-stilla-technologies-leve-20-millions-deuros-pour-sa-solution-danalyse-genetique-de-precision/392253 | Financing | la biotech parisienne stilla technology vient de lever 20 million euro en série dans un tour de table qui fait entrer le groupe chinois tus holding dans son capital le investisseurs historiques illumina venture kurma partner lbo france paris saclay seed fund bnp paribas développement et idinvest ont également participé fondé en 2013 stilla technology propose une technologie dont le but est de permettre aux chercheurs de détecter et quantifier le mutation adn avec plus de précision grâce au pcr digitale listen to biotech stilla technology lève 20 million euro pour sa solution analyse génétique de précision on spreaker mais en quoi la pcr digitale consiste elle analyse génétique est idée aller détecter de adn et de arn pour par exemple savoir si quelqu un telle ou telle maladie mais aujourd hui analyse génétique est très complexe à faire si vous prenez une prise de sang classique un tube de 10 millilitre il a autant de molécules adn qu il a arbres en forêt amazonienne cette analogie est valable à la fois en termes de quantité de diversité et de complexité explique rémi dangla co fondateur de stilla technology le problème supplémentaire est que dans une prise de sang on va trouver essentiellement de adn qui va provenir de vos cellules saines mais celles ci ne disent pa grand chose sur ce qui vous affecte ce qui intéresse le médecins aujourd hui est de détecter le molécules adn anormales qui vont venir de bactéries de virus ou de cellules provenant de cancer normalement ce molécules adn sont très rares dans le sang du patient sinon est qu il est vraiment déjà très malade enjeu est de détecter ce molécules intérêt avec de concentration très faibles à état de trace où le besoin de faire de analyse génétique de précision en 2016 la startup lancé sa propre solution appelée naica est un système qui comporte deux instrument qui vont ensuite permettre de faire une analyse génétique de précision grâce à un consommable il agit une petite puce il faut imaginer un morceau de plastique de la taille une carte de crédit à peu près toute notre technologie est dans cette puce est un morceau de plastique à intérieur duquel on va manipuler échantillon à analyser de sorte à isoler le molécules adn qui nous intéressent explique notamment rémi dangla entreprise qui est parvenue engendré s premier revenus dès 2017 propose sa technologie aux organismes de recherche spécialisés en biologie moléculaire et en analyse génétique son objectif est qu elle puisse également à termes être utilisée par tous le laboratoires analysis à de fin de diagnostic médical après une levée de série de 16 million euro réalisée en novembre 2018 ce nouveau tour de table doit permettre à la startup de développer une nouvelle génération de sa solution de pcr digitale pour viser le laboratoires analysis médicales son objectif est également accélérer s activités existantes dans le domaine de la recherche en chine fondateurs rémi dangla charles baroud magali droniou clément gay etienne fradet création 2013 siège social paris secteur biotech activité analyse génétique de précision effectifs 80 personnes financement série de 16 million euro en novembre 2018 série de 20 million euro en février 2020 investisseurs illumina venture kurma partner lbo france paris saclay seed fund bnp paribas développement idinvest tus holding pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 6medical
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https://www.frenchweb.fr/marketing-boost-my-mail-leve-1-million-deuros-pour-optimiser-les-signatures-mail/401855 | Financing | boost my mail spécialisé dans la mise à jour et optimisation de signature mail lève 1 million euro réparti en capital prêt bancaire et dispositif innovation avec appui de la bpi et de ouest croissance lancé en 2018 par arnaud guillet boost my mail est une filiale du groupe a5sys permettant aux entreprises et organisation de transformer la signature mail en atout en marketing de communication et commercial la solution prend la forme une application saas compatible avec de messageries telles que outlook ou gsuite boost my mail repose sur un positionnement simple et efficace utiliser le email collaborateurs pour unifier renforcer image de marque et communiquer sur le actualités de entreprise nous souhaitons accompagner le entreprises dans amplification et la démultiplication de leur communication à aide de la signature de mail explique arnaud guillet son président la startup nantaise qui revendique plus de 20 000 utilisateurs de sa solution ambitionne désormais accélérer la commercialisation de sa solution notamment en recrutant une dizaine de collaborateurs dans le pôles commercial marketing développement et support boost my mail espère compter 100 000 utilisateurs et 600 entreprises clientes ici juin 2022 aujourd hui nous somme même en capacité de pouvoir nous ouvrir vers international conclut arnaud guillet fondateur arnaud guillet création 2018 siège social nantes secteur marketing activité solution marketing et communication financement 1 million euro réparti en capital prêt bancaire et dispositif innovation avec appui de la bpi et de ouest croissance pour communiquer sur frenchweb devenez partenaire frenchweb fr est édité par decode medium sa au capital de 75 192 euro de rcs 504 475 112 paris 55 rue de bretagne 75003 paris france directeur de la publication richard menneveux richard decode medium no condition générales de ventes frenchweb fr est hébergé par claranet 2 rue bréguet 75011 paris | 8production
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https://www.lavoix.eu/fr/news/253/jurisprudence-slogan-audi-juin-2016 | Securing | Dans la droit lignée du fameux arrêt AUDI, une fois encore, les instances Européennes ont eu loisir de rappeler que pour qu’un slogan puisse être enregistré à titre de marque, et donc considéré comme distinctif, il était nécessaire que les caractéristiques du signe demandé soient « de nature à lui conférer un caractère original ou prégnant particulier, à déclencher chez le public pertinent un processus cognitif ou un effort d’ interprétation qui permettent de faire de ce signe, dans la perception de ce public, autre chose qu’ une simple formule promotionnelle incitant le consommateur à consommer ». En l’espèce, le tribunal de l’Union Européenne (TUE, 31 mai 2016, T301/15, Jochen Schweizer / EUIPO) a considéré que le slogan « Du bist, was du erlebst », qui peut être traduit par « vous êtes ce que vous éprouvez » n’est pas distinctif en relation avec quel que produits ou services que ce soit dans la mesure où le consommateur le percevra comme « message élogieux incitant le consommateur à consommer afin d’accroître son épanouissement personnel et non comme une indication de leur origine commerciale ». Contacts : Marion LAPERRIERE et Béatrice DAUBIN | 3digital
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https://www.challenges.fr/club-entrepreneurs/keensight-le-fonds-qui-investit-dans-des-societes-de-niche-rentables_480402 | Financing | Comment choisissez-vous vos investissements? Nous investissons dans des sociétés rentables, générant entre 15 et 250 millions d'euros de chiffre d'affaires, en croissance de plus de 10% par an, leaders mondiaux dans les technologies de l'information ou la santé. Nous identifions des segments intéressants, et avant de faire notre choix, pendant des mois et des années, nous rencontrons l'ensemble des sociétés du secteur en Europe ainsi que l'écosystème: fournisseurs, clients, experts sectoriels, banquiers spécialisés… Qu'avez-vous à apporter à ces champions? Nous nous adressons à des entrepreneurs hors norme, qui n'ont pas attendu Keensight pour réussir. Mais nous leur offrons un accompagnement à valeur ajoutée, lié à nos dix-huit ans d'expérience avec des sociétés de secteur, de taille, de croissance similaires et soumises à des problématiques identiques. Résultat : la croissance moyenne des sociétés de notre portefeuille est de plus de 20 % sur les cinq ans passés. En dix-huit ans, l'écosystème de la France a-t-il évolué? Oui, c'est l'un des trois pays, avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni, où il y a le plus de sociétés correspondant à nos critères. Elle a créé un écosystème qui leur permet de se développer, grâce à des formations adaptées, des grands groupes qui tirent la croissance et de plus en plus d'entrepreneurs. Les fonds de votre type sont-ils suffisamment nombreux? On parle davantage des sociétés de capital-risque qui financent les cash-flows négatifs de sociétés en très forte croissance. Mais je pense qu'en Europe il y a également un besoin très fort d'acteurs comme nous, qui investissent dans des sociétés au cash-flow déjà positif ayant autofinancé leur croissance. Nous sommes quasiment les seuls sur ce créneau. Quelle est votre dernière sortie? Nous venons de céder Smile à Eurazeo. C'est le leader dans le domaine de l'open source, en forte croissance depuis notre entrée au capital. Autre sortie potentielle, Vision-Box, leader mondial des portes automatiques douanières. Quel serait votre conseil pour choisir son investisseur? L'investisseur doit être expert du secteur et être habitué aux problèmes rencontrés par l'entrepreneur. Il doit prouver sa capacité à s'adapter aux besoins de l'entrepreneur, en construisant, par exemple, dès l'entrée, une transaction financière lui convenant, en termes de majorité ou non au capital, d'effet de levier. Enfin, il doit apporter au quotidien son expérience et des ressources humaines. A Keensight, nous sommes nous-mêmes des entrepreneurs, internationaux, ayant déjà travaillé dans les secteurs où nous investissons. Quel est votre dernier succès? C'est la création du leader mondial des ciments osseux dans l'orthopédie, Demetra Holding, grâce à la réunion d'une société italienne, Tecres S.p.A et d'une autre, allemande, Biomaterials GmbH. \n\n \n | 6medical
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https://www.lavoix.eu/fr/news/185/laguiole-la-fin-d-une-longue-procedure | Securing | Le Tribunal de l'Union européenne a rendu le 21 Octobre, 2014, un jugement très attendu dans une affaire opposant la société FORGE LAGUIOLE, dont le siège est à Laguiole, et M. Szajner qui vit à Niort. Il convient au préalable de rappeler rapidement la genèse de cette affaire: M. Szajner a déposé un recours devant le Tribunal. Le tribunal se réfère à un arrêt de la Cour de cassation française du 10 Juillet 2012, selon lequel : « la dénomination sociale ne [bénéficiait] d’une protection que pour les activités effectivement exercées par la société et non pour celles énumérées dans ses statuts ». (C. cass Ch. Com., Coeur Princesse / Mattel France, n ° 08 à 2012,010). Bien que, le tribunal estime que LAGUIOLE soit un terme "descriptif ou générique pour l'activité de" Forge Laguiole » il attire notre attention sur le fait que l'élément descriptif peut être l'élément dominant même si sa distinctivité est réduite. Ainsi, le tribunal considère que "les signes présentent une certaine similitude visuelle, phonétique et conceptuel de haut niveau." En outre, le tribunal estime qu'il y a un risque de confusion puisque le public pertinent peut croire que les produits contestés ont la même origine que les produits de FORGE LAGUIOLE. La demande d’enregistrement contestée est annulée à l'égard notamment des produits de la classe 8 suivants: « les outils et instruments à main (actionnés manuellement); cuillères; scies, tournevis, sécateurs, serpes; outils à main et d'outils pour le jardinage (actionnés manuellement); râteaux, pelles, pioches, pinces, marteaux, pierres à aiguiser, tondeuses à gazon (instruments à main); Appareil parasite mort de la plante; pulvérisateurs d'insecticide; outils mécaniques pour hacher, couper les aliments; non-boîtes électriques; rasoirs, lames de rasoir; rasage cas; limes à ongles et pinces à ongles, coupe-ongles; manucure; Tondeuse à cheveux, électriques et non électriques; appareils d'épilation, électriques et non-électriques, une pince à sourcils ". Cette décision a été considérée comme majeure pour FORGE LAGUIOLE. Effectivement et, sur la base de l'arrêt, et de sa dénomination sociale, FORGE LAGUIOLE pourrait attaquer des tiers utilisant ou déposant le mot LAGUIOLE seul. Néanmoins, le tribunal mentionne bien que LAGUIOLE est un terme descriptif appliqué à de la coutellerie. Aussi, dans le cas de l’utilisation et/ ou le dépôt par un tiers de LAGUIOLE en association avec un autre terme, la conclusion ne serait probablement pas la même. Enfin, il s’agit du jugement du tribunal de l’Union européenne et un recours est toujours possible. Rappelons que, quelques mois plutôt qu’en France, l'arrêt de la Cour d'appel de Paris du 4 Avril, 2014 opposant la ville de Laguiole et une autre partie ne vivant pas à Laguiole, Laguiole a été considéré comme commun et générique pour un couteau. Le tribunal a rejeté la demande de la ville de Laguiole à l’encontre du nom Laguiole pour un couteau ne provenant pas de Laguiole. Contact : Béatrice DAUBIN | 11security
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