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Résume ce document : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" Résumé : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumez ce document : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" Résumé : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumer le texte suivant : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résume le texte suivant : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumez le texte suivant : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Condenser le texte à l'essentiel :Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
| Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Condense le texte à l'essentiel :Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
| Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Condensez le texte à l'essentiel :Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
| Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Article : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
"/n Résumé : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumer ce document : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" Résumé : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résume ce document : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" Résumé : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumez ce document : "Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
" Résumé : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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"Voici une semaine, le secrétaire d'État au numérique annonçait sa candidature à l'investiture LREM dans une interview au Parisien. "Oui, je serai candidat à l'investiture. Aujourd'hui, j'ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n'osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert", déclarait-il alors. Le secrétaire d'État était convoqué dès le lendemain matin dans le bureau du Premier ministre Edouard Philippe où il a été recadré. "Ça ne peut pas fonctionner comme ça. Vous ne pouvez pas marcher en ordre dispersé", aurait prévenu le locataire de Matignon, cité par le Canard enchaîné. Et de lui rappeler le précédent Collomb : "Comme Collomb, le jour où tu partiras en campagne, tu devras quitter le gouvernement". En septembre 2018, Gérard Collomb avait annoncé sa candidature à la mairie de Lyon (Rhône) dans les colonnes de l'Express alors qu'il était encore ministre de l'Intérieur. "Il nous a pris pour des cons" Après cette entrevue, Mounir Mahjoubi avait déclaré au Parisien : "On a parlé de ce qu'il attendait de mon engagement en tant que ministre. Il aurait apprécié que je le prévienne d'une interview comme celle-là mais je n'avais pas l'impression de faire un coup politique". Selon Le Canard enchaîné, Mounir Mahjoubi n'avait pas prévenu ses collègues de l'annonce de sa candidature dans le quotidien francilien. L'hebdomadaire ajoute que quelques heures avant la parution de l'article sur le site du Parisien, Benjamin Griveaux, Mounir Mahjoubi et Stanislas Guérini s'étaient réunis pour discuter de la manière de "travailler en confiance" dans la perspective des municipales. "Il nous a pris pour des cons", aurait tempêté Stanislas Guérini, délégué général La République en marche. Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement et candidat non-officiel à l'investiture, a lui évoqué une "interview lunaire", rapporte le palmipède.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Selon le Canard enchaîné, Edouard Philippe aurait rappelé le cas Gérard Collomb à Mounir Mahjoubi. Le secrétaire d'État a annoncé la semaine dernière sa candidature à l'investiture LREM pour les municipales à Paris, sans prévenir le parti ni le gouvernement.
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Résumer le texte suivant : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résume le texte suivant : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résumez le texte suivant : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Condenser le texte à l'essentiel :Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
| POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Condense le texte à l'essentiel :Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
| POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Condensez le texte à l'essentiel :Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Article : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
"/n Résumé : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résumer ce document : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" Résumé : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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Résume ce document : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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Résumez ce document : "Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
" Résumé : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | POUVOIR D'ACHAT. Les analyses de deux organismes concluent à une amélioration de la croissance et un gain de pouvoir d'achat pour la plupart des ménages, en particulier les moins aisés, grâce aux mesures "gilets jaunes" du gouvernement.
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"Les ménages les plus modestes doivent-ils s'attendre à une embellie de leur situation ? À en croire deux études récentes, les mesures annoncées par le gouvernement en réponse à la crise des "gilets jaunes" vont avoir pour conséquence de doper le pouvoir d'achat et stimuler la croissance. Les actuels et éventuels futurs ajustements de la politique d'Emmanuel Macron devraient ainsi entraîner un "rééquilibrage massif" en faveur des ménages les moins aisés, d'après l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).L'Observatoire, rattaché à Sciences Po, explique avoir intégré pour son analyse aussi bien les mesures prévues par les lois de finances 2018 et 2019 que les dispositifs votés en urgence par le Parlement le 21 décembre. Parmi ces mesures figure la revalorisation de 90 euros de la prime d'activité, la défiscalisation des heures supplémentaires, l'annulation de la hausse de CSG pour les retraités gagnant moins de 2.000 euros par mois et l'extension du chèque énergie. Au total, ces mesures vont soutenir le pouvoir d'achat "à hauteur de 11,7 milliards d'euros en 2019", souligne mardi 29 janvier l'OFCE qui estime que l'impact sur la croissance sera de l'ordre de 0,4 point de PIB.440 euros en plusPour l'OFCE, le revenu disponible des ménages devrait augmenter en moyenne de 440 euros cette année, en raison principalement de la baisse de la taxe d'habitation (+150 euros) et de la défiscalisation des heures supplémentaires (+140 euros). Dans une étude publiée la semaine passée, l'Institut des politiques publiques (IPP) a de son côté évalué à 0,8% la hausse du pouvoir d'achat moyenne liée aux mesures "gilets jaunes". Jusque-là, les ménages les moins bien lotis étaient les 20% de ménages les plus modestes et les 20% les plus aisés, à l'exception notable des 1% "super-riches", les plus choyés par le gouvernement en raison notamment de la suppression de l'ISF. Désormais, quasiment tous les ménages sont gagnants, à quelques exceptions près : les retraités les plus aisés, qui ne vont pas bénéficier d'exemptions à la hausse de CSG, et certains ménages dépendants des allocations et qui ne travaillent pas.L'OFCE, qui confirme cette analyse, nuance toutefois en évoquant des perdants parmi les 5% de ménages les plus modestes. Un tiers devrait ainsi voir leur pouvoir d'achat se réduire, en raison notamment de la baisse des aides au logement. Chez les 15% de ménages les plus aisés, un tiers également devrait perdre du revenu disponible du fait principalement du quasi gel des pensions de retraites, qui va toucher les seniors.
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Résumer le texte suivant : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résume le texte suivant : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumez le texte suivant : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Condenser le texte à l'essentiel :Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
| Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Condense le texte à l'essentiel :Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
| Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Condensez le texte à l'essentiel :Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
| Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
"
Maintenant, rédiger un court résumé. | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Article : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
"/n Résumé : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumer ce document : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" Résumé : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résume ce document : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" Résumé : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumez ce document : "Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
" Résumé : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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"Il est devenu l'une des figures du mouvement des "gilets jaunes". Jean-François Barnaba, présenté comme un "gilet jaune" de l'Indre, est apparu sur le devant de la scène notamment après son passage dans l'Émission politique de France 2. En une semaine, il a fait plus d'une cinquantaine d'interventions en direct, a calculé L'Obs mercredi 5 décembre. Qu'est-ce qui lui vaut une telle attention des médias ? Peut-être ses prises de position modérées ? Ou bien son aisance face au micro et sa connaissance fine des mécanismes politiques, avance l'hebdomadaire.Mais avec la notoriété, viennent les interrogations sur son profil. En creusant, L'Obs et l'émission Quotidien de TMC ont pu déterminer que Jean-François Barnaba est fonctionnaire territorial. Sauf que, faute de mission, il ne travaille plus depuis 10 ans. Ce qui ne l'empêche pas de toucher un salaire de 2.600 euros net. Il a le statut de FMPE, fonctionnaire momentanément privé d'emploi. Il est le seul dans cette situation dans son département, a indiqué le conseil départemental de l'Indre, qui a précisé qu'il n'avait réalisé aucune mission depuis le 31 décembre 2008. Contacté par un journaliste de Quotidien, Jean-François Barnaba a expliqué être "actuellement privé d'emploi car en conflit avec sa hiérarchie". Il a profité de sa période d'inactivité pour écrire un livre, auto-publié. Il y est présenté comme chef d'orchestre, directeur de conservatoire, conseiller technique et directeur de la culture des collectivités.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Ce représentant des "gilets jaunes" ne travaille plus depuis 10 ans à cause d'un "conflit avec sa hiérarchie".
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Résumer le texte suivant : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Résume le texte suivant : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Résumez le texte suivant : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
" | Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Condenser le texte à l'essentiel :Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
| Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Condense le texte à l'essentiel :Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
| Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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