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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Résumer le texte suivant : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. "
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Résume le texte suivant : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. "
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Résumez le texte suivant : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. "
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Résumer le texte suivant en quelques mots : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. "
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La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Condenser le texte à l'essentiel :"La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Condense le texte à l'essentiel :"La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Condensez le texte à l'essentiel :"La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
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La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. " Maintenant, rédiger un court résumé.
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. " Maintenant, rédige un court résumé.
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. " Maintenant, rédigez un court résumé.
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Article : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. "/n Résumé :
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. Comment reformuler cela en quelques mots ?
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""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
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""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Résumer ce document : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. " Résumé :
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Résumez ce document : ""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. " Résumé :
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""La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été. La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
La mairie d'Athènes a lancé jeudi un projet pilote de "Grande promenade" de sept kilomètres de long, dont le but est de rendre certaines zones du centre-ville piétonnes avec des voies cyclables.
Résumer le texte suivant : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résume le texte suivant : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumez le texte suivant : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumer le texte suivant en quelques mots : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résume le texte suivant en quelques mots : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumez le texte suivant en quelques mots : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Condenser le texte à l'essentiel :"Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Condense le texte à l'essentiel :"Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Condensez le texte à l'essentiel :"Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Maintenant, rédiger un court résumé.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Maintenant, rédige un court résumé.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Maintenant, rédigez un court résumé.
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Article : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. "/n Résumé :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Comment reformuler cela en quelques mots ?
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumer ce document : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Résumé :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résume ce document : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Résumé :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumez ce document : ""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. " Résumé :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
""Je suis pleinement engagée, déterminée à terminer cette campagne. On y va !", a lancé l'ex-ministre de la Santé aux têtes de liste des arrondissements, et son équipe de campagne, réunis en visio-conférence, a appris l'AFP auprès de participants. Une mise au clair appréciée à un mois du second tour le 28 juin, alors que des doutes persistaient ces derniers jours, face au silence de la candidate et après le report à la dernière minute de plusieurs réunions prévues mardi matin."J'ai mûrement réfléchi à la manière dont je pouvais mener cette campagne dans des circonstances exceptionnelles, politiques et personnelles", a expliqué la candidate de LREM, assurant avoir "beaucoup travaillé sur le dispositif pour nous permettre d'y aller la tête haute, tenir, trouver les ressources en (elle)". Cette prise de parole a aussi été l'occasion pour la marcheuse de redistribuer quelques rôles dans son équipe, après plusieurs départs: Gaspard Gantzer et Pierre-Yves Bournazel, ex-candidats à la mairie, seront respectivement directeur de communication et porte-parole, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources concordantes.Une précédente réunion, la semaine dernière, avait déconcerté les colistiers. Mme Buzyn, qui a repris du service à l'hôpital pendant la crise du coronavirus, avait alors "dit à tout le monde que chacun pouvait faire sa campagne dans son arrondissement et qu'elle comprenait si certains ne voulaient pas mettre sa photo sur les affiches", selon plusieurs participants.A la fin, "je ne savais pas si elle était candidate", a résumé, désarçonnée, une participante auprès de l'AFP. Dans ce contexte, LREM a même cherché un candidat de remplacement, ont rapporté à l'AFP plusieurs sources, sous couvert de l'anonymat. En vain."Oui elle a hésité", a admis mardi Gaspard Gantzer, tête de liste LREM dans le VIe arrondissement, "mais maintenant je la sens extrêmement déterminée"."Une fois de plus, elle choisit l'option par le haut, qui consiste à affronter le combat électoral", s'est réjoui le patron des députés LREM, Gilles Le Gendre. Ces derniers jours, plusieurs ont douté publiquement du maintien de la candidature Buzyn, à l'instar du dissident congédié de LREM Cédric Villani, qui s'est dit "ouvert à la discussion" avec son ancien parti. Mardi, des proches du mathématicien médaillé Fields espéraient entamer des discussions avec l'équipe de Mme Buzyn en vue d'alliance de second tour.Face aux incertitudes, certains candidats sont tentés de quitter le navire: dans le Ve arrondissement, Florence Berthout, ralliée à LREM, envisage désormais de s'allier à son ancienne famille politique, Les Républicains, ont rapporté plusieurs élus. - "Elle s'accroche" -La barre paraît plus haute que jamais dans la capitale pour LREM, qui avait pourtant placé en tête le candidat Macron en 2017, puis sa liste aux Européennes de mai 2019.Mme Buzyn, arrivée troisième du premier tour le 15 mars avec 17,3% des voix, loin derrière la maire PS sortante, Anne Hidalgo (29,3%) et la candidate LR Rachida Dati (22,7%), manque en outre d'une dynamique dans les arrondissements importants, et d'alliances pour l'heure."Il y a des Parisiens qui ont envie d'un autre choix que celui entre Mme Hidalgo et Mme Dati", veut croire Pierre-Yves Bournazel, candidat dans le XVIIIe arrondissement. Mais, les propos d'Agnès Buzyn elle-même après le premier tour ont affaibli sa candidature.Le 17 mars, elle avait provoqué un tollé en qualifiant dans Le Monde le scrutin de "mascarade", face au "tsunami" de l'épidémie qui s'annonçait. Mme Buzyn avait aussi affirmé avoir alerté le président Emmanuel Macron sur le danger du nouveau coronavirus dès le 11 janvier, puis avoir plaidé en mars pour le report du scrutin."J'aurai l'occasion de m'expliquer", a assuré Mme Buzyn mardi, comptant notamment sur "les commissions d'enquête" pour le lui permettre.La candidate doit, peut-être dès juin, être entendue en tant qu'ancienne ministre de la Santé par les commissions d'enquête que le Sénat et l'Assemblée nationale prévoient de lancer sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.Selon des projections, le parti de la majorité présidentielle "pourrait n'obtenir que dix sièges de conseillers de Paris sur 163", s'alarme une alliée. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
"J'ai mûrement réfléchi", "je suis pleinement engagée, déterminée": dix semaines après un premier tour qu'elle avait qualifié de "mascarade", Agnès Buzyn a mis fin au suspense mardi en annonçant qu'elle restait bien la candidate de LREM aux municipales à Paris.
Résumer le texte suivant : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résume le texte suivant : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résumez le texte suivant : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Condenser le texte à l'essentiel :Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie.
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Condense le texte à l'essentiel :Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie.
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Condensez le texte à l'essentiel :Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie.
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
"Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. " Maintenant, rédiger un court résumé.
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Article : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. "/n Résumé :
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
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Résumer ce document : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. " Résumé :
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Résume ce document : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. " Résumé :
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Résumez ce document : "Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. " Résumé :
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"Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
"Tout le monde s'en est sorti indemne.La vidéo a été postée mardi sur les comptes Twitter et Instagram de l'ancien gouverneur de Californie. On y voit un éléphant se rapprocher du capot d'un 4X4 ouvert, à bord duquel l'acteur effectuait un safari. "Il va nous charger", entend-on dans la voiture. L'animal finit par reculer, puis contourne le véhicule. "Il est juste curieux", explique calmement le guide soulagé. "On dirait qu'il va bien maintenant, il va nous éviter"."MIEUX QUE DANS UN FILM"Mais le répit est de courte durée. L'éléphant s'approche dangereusement de l'arrière du véhicule, avant de le charger. "Oh merde", entend-on sur la vidéo, alors que le 4X4 démarre rapidement suivi par l'imposant pachyderme qui lui court après. "Mieux que dans un film", a écrit sur Instagram Arnold Schwarzenegger, qui se trouvait en Afrique du Sud pour une conférence annuelle sur le fitness. "Certains d'entre nous ont fait dans leur pantalon", a-t-il ajouté, avant d'appeler à la protection des éléphants."Je suis absolument ébahi par ces animaux splendides. Si seulement les gens arrêtaient de les tuer pour leur ivoire", a-t-il encore dit. "Tirez leur le portrait, mais ne leur tirez pas dessus". Plus de 30.000 éléphants sont braconnés chaque année en Afrique pour leurs défenses, dont l'ivoire est très prisé en Asie. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
La star bodybuildée Arnold Schwarzenegger, alias Terminator, s'est fait une belle frayeur lors d'un safari en Afrique du Sud. Un éléphant s'est rapproché du véhicule dans lequel se trouvait l'acteur avant de la poursuivre au pas de course.
Résumer le texte suivant : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Résume le texte suivant : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Résumez le texte suivant : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Résume le texte suivant en quelques mots : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. "
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Condenser le texte à l'essentiel :Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Condense le texte à l'essentiel :Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
Condensez le texte à l'essentiel :Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".