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Condensez le texte à l'essentiel :Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé.
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Maintenant, rédige un court résumé.
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Article : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. "/n Résumé :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Résumer ce document : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Résumé :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Résume ce document : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Résumé :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Résumez ce document : "Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. " Résumé :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
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Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
"Emmanuel Macron a ouvert ce samedi matin 23 février à Paris le Salon de l'Agriculture avec un discours d'une heure prononcé devant de jeunes européens. Appelant à "réinventer" la Politique agricole commune (PAC) et promettant de "ne rien lâcher" pour promouvoir l'agriculture française.Le chef de l'État devait ensuite passer la journée au Salon. L'an dernier, il avait passé douze heures d'affilée dans les allées, répondant à aux visiteurs, y compris les plus hostiles.Vers 11h, Emmanuel Macron s'est retrouvé nez-à-nez avec un retraité qui l'a interpellé sur ses difficultés financières. Également handicapé, cet homme lui a expliqué qu'il ne touchait que "698 euros" de minimum vieillesse. Une somme inférieure à ce qu'il devrait percevoir, a confirmé le président, qui a alors chargé ses équipes de s'occuper du dossier. Après lui avoir offert un petit cadeau, l'homme, père de quatre enfants, lui est tombé dans les bras, en larmes. Le président de la République a également été interpellé à maintes reprises par des agriculteurs inquiets pour leur avenir. "Il faut expliquer et entendre", a-t-il expliqué devant les caméras.Emmanuel Macron s'est par ailleurs défendu d'être "un président des villes", arguant qu'il venait "d'une terre fière de son agriculture", la Picardie. "Je suis né à Amiens, pas à Paris", a-t-il rappelé. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Alors qu'il déambulait au contact des visiteurs, le chef de l'État s'est retrouvé face à un retraité qui lui a fait part de ses difficultés financières. Après la promesse du président de s'occuper de son cas, l'homme, également handicapé, lui est tombé dans les bras.
Résumer le texte suivant : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résume le texte suivant : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résumez le texte suivant : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résume le texte suivant en quelques mots : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Condenser le texte à l'essentiel :La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Condense le texte à l'essentiel :La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Condensez le texte à l'essentiel :La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. " Maintenant, rédiger un court résumé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. " Maintenant, rédige un court résumé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. " Maintenant, rédigez un court résumé.
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Article : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. "/n Résumé :
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Comment reformuler cela en quelques mots ?
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résumer ce document : "La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. " Résumé :
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"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
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"La France insoumise a demandé dimanche 6 septembre, au lendemain de la morts de deux soldats, à ce que le retrait des troupes françaises engagées au Mali soit discuté à l'Assemblée nationale."Nous avons besoin d'un débat à l'Assemblée nationale sur l'action de notre armée, ses objectifs et les conditions à réunir pour repartir", a déclaré le groupe parlementaire Insoumis dans un communiqué. "Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a regretté de son côté le député LFI du Nord Adrien Quattenens sur France 3. "Actuellement les Maliens sont en train de procéder (...) à une révolution citoyenne", a poursuivi Adrien Quattenens, en allusion au renversement il y a deux semaines du président Ibrahim Boubacar Keïta par une junte militaire."Les militaires eux-mêmes, qui sont engagés depuis 7 ans là-bas, disent que la solution au Mali n'est pas une solution militaire, c'est une solution politique", a-t-il ajouté, affirmant que la France n'avait "pas vocation à rester durablement installée au Mali".Deux militaires de la force française Barkhane au Sahel ont été tués samedi au nord du Mali par l'explosion d'un engin explosif improvisé (IED) au passage de leur véhicule blindé. Au total, 45 soldats français sont morts au combat dans les opérations Serval (2013) et Barkhane (depuis 2014), selon l'état-major, mais ce décompte n'intègre pas les accidents.Interrogé sur BFMTV, l'eurodéputé EELV Yannick Jadot a de son côté estimé que la France devait "rester" et "faire du militaire" au Mali, qualifiant le changement de régime de "coup d'État". "Mais il est évident qu'on ne peut pas uniquement intervenir militairement sur le Sahel et laisser la politique s'affaisser, les États s'affaisser, les États rester dans une corruption et dans une incapacité à sortir économiquement ce pays de la nasse", a-t-il précisé. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
"Ça fait 7 ans que la France est engagée sur place sans que jamais nos objectifs aient été débattus", a déploré Adrien Quatennens.
Résumer le texte suivant : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résume le texte suivant : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumez le texte suivant : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Condenser le texte à l'essentiel :Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Condense le texte à l'essentiel :Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Condensez le texte à l'essentiel :Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Maintenant, rédiger un court résumé.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Maintenant, rédige un court résumé.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Maintenant, rédigez un court résumé.
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Article : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. "/n Résumé :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Comment reformuler cela en quelques mots ?
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumer ce document : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Résumé :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résume ce document : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Résumé :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumez ce document : "Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. " Résumé :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
"Donald Trump a confirmé lundi que cette mère de trois filles faisait partie des cinq magistrates qu'il a pré-sélectionnées en vue de remplacer Ruth Bader Ginsburg, la doyenne progressiste et féministe de la Cour morte vendredi à 87 ans. "Elle est excellente, elle est hispanique, c'est une femme formidable", a-t-il déclaré sur Fox News, tout en ajoutant ne pas la connaître personnellement. "Nous aimons la Floride", a alors ajouté le président républicain.Pour ne pas entamer ses chances de rester à la Maison Blanche, Donald Trump a besoin de remporter cet Etat-clé lors du scrutin du 3 novembre. Selon les sondages, il y est au coude-à-coude avec son rival démocrate Joe Biden, qui peine à convaincre la communauté d'exilés cubains, historiquement proche du parti républicain.Nommer Barbara Lagoa à la Cour suprême "pourrait aider Trump à consolider le soutien" dont il jouit déjà dans cette population, souligne Jorge Duany, directeur de l'institut de recherches cubaines à l'Université internationale de Floride.Le président a admis que des considérations "politiques" pourraient peser dans sa décision, mais qu'il cherchait surtout une femme assez jeune pour occuper le poste pendant des décennies, "brillante" et qui ait "de hautes valeurs morales".Le positionnement de la juge Lagoa sur l'avortement, auquel sont opposés de nombreux électeurs de Donald Trump, reste une inconnue, "mais sur tous les autres sujets, elle a des états de service très conservateurs", selon M. Duany.- Little Havana -Barbara Lagoa a grandi à Hialeah, une petite ville populaire à l'ouest de Miami, où les réfugiés cubains étaient nombreux, et raconte que ses parents se sont sacrifiés pour lui offrir une scolarité dans une école catholique ce qui, dit-elle, "a renforcé sa foi en Dieu".Elle a ensuite suivi des études à l'université de Floride avant d'intégrer la prestigieuse faculté de droit de Columbia à New York, dont elle est sortie diplômée en 1992.Jeune avocate, elle a participé gratuitement à la défense de la famille américaine de Elian Gonzalez. Fin 1999, ce petit garçon cubain de cinq ans avait été récupéré en mer par les garde-côtes américains accroché à une bouée. Sa mère venait de mourir noyée dans le naufrage d'une embarcation de fortune. Adopté par son oncle de Miami mais réclamé par son père resté à Cuba, l'enfant devint l'objet d'un bras de fer entre Washington et La Havane. Au final, Fidel Castro a eu gain de cause et l'enfant est revenu en juin 2000 à Cuba, accueilli comme un héros."L'affaire a été très suivie à Miami et je suis sûr qu'elle y a gagné le soutien de nombreux hommes politiques, ici à Little Havana", souligne Jorge Duany.- "Moins controversée" -Entrée dans les années 2000 dans le système judiciaire de Floride, elle a gravi tous les échelons jusqu'à être nommée, en janvier 2019, première femme hispanique à la Cour suprême de l'Etat par le gouverneur républicain Ron DeSantis.Moins d'un an plus tard, Donald Trump l'a nommée juge dans une cour fédérale d'appel à Atlanta. Contrairement à la plupart des magistrats choisis par le président, elle a été confirmée au Sénat avec une majorité de 80 voix pour, dont de nombreux démocrates, et seulement 15 contre.Encore aujourd'hui "elle est moins controversée que d'autres candidates" potentielles à la Cour suprême, ce qui, selon M. Duany, pourrait la servir si elle devait affronter un nouveau processus de confirmation. "Comme c'est une femme et une hispanique, ce sera plus difficile pour les élus démocrates de mettre en cause son parcours et ses opinions", estime l'expert.Depuis son arrivée à la cour d'appel Atlanta, elle a toutefois suscité des critiques dans les rangs progressistes en participant à une décision qui risque de priver du droit de vote des dizaines de milliers d'anciens détenus.Donald Trump, qui doit se rendre en Floride jeudi, envisage de la rencontrer. Il annoncera son choix final samedi depuis la Maison Blanche.Si elle devait in fine entrer à la Cour suprême, Barbara Lagoa y rejoindrait une première hispanique, Sonia Sotomayor, une juge d'origine portoricaine nommée par Barack Obama en 2009. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
La juge Barbara Lagoa a un profil typique de Miami: née en Floride de parents ayant fui le régime communiste de Fidel Castro, elle a grandi dans une famille bilingue et conservatrice. A 52 ans, cela pourrait l'aider à entrer à la Cour suprême des Etats-Unis.
Résumer le texte suivant : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Résume le texte suivant : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Résumez le texte suivant : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Résumer le texte suivant en quelques mots : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
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Résume le texte suivant en quelques mots : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Résumez le texte suivant en quelques mots : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Condenser le texte à l'essentiel :De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Condense le texte à l'essentiel :De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
Condensez le texte à l'essentiel :De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet.
REVUE DE TWEETS. "Citez le nom d'un président de la République et de son Premier ministre".
"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
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Premièrement, lire le texte ci-dessous. "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Maintenant, rédiger un court résumé.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous. "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Maintenant, rédige un court résumé.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Maintenant, rédigez un court résumé.
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Article : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. "/n Résumé :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Comment reformuler cela en quelques mots ?
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
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Résumer ce document : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Résumé :
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Résume ce document : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Résumé :
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Résumez ce document : "De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. " Résumé :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
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"De nombreux commentaires, moqueurs ou indignés, ont été postés sur les réseaux sociaux après la découverte de cette question posée aux élèves de Terminale STMG lors de l'épreuve d'histoire-géographie. Une blague pour certains, presque un affront pour d'autres. Mardi 19 juin, comme toutes les filières, les candidats de STMG (sciences et technologies du management et de la gestion) passaient l'épreuve d'histoire-géographie du baccalauréat. Une des questions de l'épreuve a suscité de nombreuses réactions. "Citez le nom d'un président de la République française et de son Premier ministre". Voilà la question très simple à laquelle ont dû répondre les lycéens de la filière technologique. De nombreux messages, postés sur Twitter quelques minutes après la fin de l'épreuve, exprimaient l'hilarité ou l'incrédulité face à l'énoncé. Une filière souvent décrédibiliséeFace aux commentaires moqueurs, certains se sont énervés du mépris et de la décrédibilisation accordés aux baccalauréats technologiques et aux élèves de ces filières. Mercredi 20 juin, les lycéens, toutes filières confondues, vont plancher sur l'épreuve de langue vivante 1 (LV1). Jeudi 21 juin, les bacheliers passeront l'épreuve propre à leur filière : littérature pour les bac L, physique-chimie pour les bac S, et épreuve de spécialité pour le bac STMG (sciences et technologies du management et de la gestion). Vendredi 22 juin, les élèves des filières générales se pencheront sur les mathématiques et la langue vivante 2 (LV2). Les élèves des séries technologiques ne sont concernés que par l'épreuve de langue. Lundi 25 juin, les dernières épreuves auront lieu, notamment les matières facultatives comme les arts, le grec ou le latin. Les résultats du bac seront communiqués le vendredi 6 juillet. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
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