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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
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Maintenant, rédige un court résumé. | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Article : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
"/n Résumé : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Résumer ce document : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
" Résumé : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Résume ce document : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
" Résumé : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Résumez ce document : "Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
" Résumé : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Rédige un résumé du texte ci-dessus : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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"Une "main tendue" que refuse de saisir l'eurodéputée Nadine Morano."Quand j'entends le discours de Laurent Wauquiez aujourd'hui je me dis après tout s'il est sincère, compte tenu des propos qu'il tient, il devrait aller jusqu'à proposer une alliance politique"", a déclaré dimanche 19 nobembre MArine Le Pen lors du Grand Jury de RTL/Le Figaro/LCI."Je lui demande de sortir de cette ambiguïté", a-t-elle ajouté.Si le grand favori à l'élection à la présidence des Républicains n'a pas réagi publiquement à cet appel du pied, Nadine Morano en revanche si. "Tout cela n'est pas sérieux. Marine Le Pen cherche une bouée de sauvetage. Vous avez vu à quel point depuis les élections présidentielles, et le débat désastreux qu'elle a eu face à Emmanuel Macron, elle est totalement coulée", a déploré l'eurodéputée et conseillère régionale LR de Lorraine au micro de RMC lundi 20 novembre."Dans quelle langue allons nous le dire sur toutes les chaînes de télé et de radio qu'il n'est pas pour nous question d'alliance avec le Front national", a-t-elle insisté. "Dans ma famille politique, personne n'est favorable à la sortie de l'euro", a-t-elle argué à titre d'exemple. "Marine Le Pen ne sait pas elle-même si elle pour ou contre la sortie de l'euro", a-t-elle par ailleurs ajouté. Assurant qu'elle combat le FN "par les idées et non par le mépris", Nadine Morano assure que LR s'attelle à reconquérir les électeurs du FN, parmi lesquels une grande partie "ne croyaient pas à une victoire de Marine Le Pen, mais ne voulaient pas voter pour Emmanuel Macron". "Marine Le Pen a fait la démonstration par elle-même qu'elle n'est pas en capacité de gouverner. Le FN n'est pas un parti de gouvernement, c'est un parti de contestation", a-t-elle encore fustigé.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | POLITIQUE. La présidente du Front national a suggéré dimanche au probable prochain président des Républicains Laurent Wauquiez de "sortir de l'ambiguïté" et de lui "proposer une alliance politique".
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Résumer le texte suivant : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résume le texte suivant : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumez le texte suivant : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Condenser le texte à l'essentiel :Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
| Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Condense le texte à l'essentiel :Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
| Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Condensez le texte à l'essentiel :Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
| Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Article : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
"/n Résumé : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumer ce document : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" Résumé : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résume ce document : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" Résumé : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumez ce document : "Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
" Résumé : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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"Venue présenter son dernier spectacle, Elektrik, elle ne s'attendait probablement pas à recevoir des fleurs mais elle n'avait peut-être pas prévu de s'en prendre plein la tête non plus. Car, manque de bol, ni Yann Moix ni Christine Angot n'ont aimé son spectacle. Du tout. Les deux chroniqueurs ont déversé des torrents de critiques sur la chorégraphe, jugeant que son spectacle était trop "idéologique" et que les mouvements de danse mettaient "mal à l'aise". Yann Moix a d'ailleurs comparé son spectacle à "un McDonald pour la danse".C'était toutefois sans compter le franc-parler de Blanca Li. La jeune femme ne s'est pas laissée démonter par les critiques et s'est autorisée à renvoyer les deux chroniqueurs dans leur but, mimant même un endormissement profond pendant le discours - long, est-il besoin de le préciser ? - de Christine Angot. "Vous n'aimez pas, il n'y a pas de problèmes, moi je fais ce spectacle pour les gens qui aiment. L'important c'est que moi je l'aime, que le public l'aime. Il y a des gens qui préfèrent aller au McDonald", a lâché la chorégraphe.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Que serait un dimanche matin sans un passage en revue des critiques acerbes de Yann Moix et Christine Angot sur le plateau d'On n'est pas couché ? Un dimanche matin plus serein, sans le moindre doute. Samedi 7 avril, la chorégraphe Blanca Li était parmi les invitées de l'émission de Laurent Ruquier.
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Résumer le texte suivant : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résume le texte suivant : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumez le texte suivant : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Condenser le texte à l'essentiel :Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
| La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Condense le texte à l'essentiel :Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
| La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Condensez le texte à l'essentiel :Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
| La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
"
Maintenant, rédiger un court résumé. | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
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Maintenant, rédige un court résumé. | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Article : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
"/n Résumé : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumer ce document : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" Résumé : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résume ce document : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
" Résumé : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumez ce document : "Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
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"Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chasse à la glu. Jeudi 27 août, l'Élysée a annoncé la suspension de cette pratique qui consiste à enduire les branches de colle pour piéger des oiseaux, notamment des merles et des grives. Emmanuel Macron a décidé d'interdire cette technique de chasse pour cette année à l'issue d'une réunion entre la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, et le patron de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen. La France était le dernier pays européen à autoriser la chasse à la glu dans cinq départements (Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Var et Vaucluse). Si des quotas étaient pourtant définis, la pratique ulcérait les défenseurs des animaux. "Pratique cruelle et non sélective"Après l'annonce de l'exécutif, ces derniers ne cachaient donc pas leur satisfaction. "La France se décide enfin à respecter le droit européen et interdire la chasse à la glu, pratique cruelle et non sélective", s'est par exemple félicitée la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sur Twitter. L'association 30 Millions d'amis a quant à elle déploré que la chasse à la glu ne soit pas complètement interdite. "Le président Emmanuel Macron interdit la chasse à la glu... pour un an ! Pourquoi ne pas aller au bout de la démarche et interdire définitivement cette barbarie ?" En juillet, la Commission européenne avait adressé à la France un avis motivé dans lequel elle lui demandait de "réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", rappelle Le Monde. L'instance a visiblement été entendue.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | La chasse à la glu sera interdite cette année, a annoncé l'Élysée. Cette technique est dénoncée depuis longtemps par les écologistes et défenseurs des animaux.
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Résumer le texte suivant : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résume le texte suivant : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résumez le texte suivant : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résumer le texte suivant en quelques mots : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résume le texte suivant en quelques mots : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résumez le texte suivant en quelques mots : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Condenser le texte à l'essentiel :"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
| Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Condense le texte à l'essentiel :"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
| Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Condensez le texte à l'essentiel :"Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
| Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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Maintenant, rédige un court résumé. | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Article : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
"/n Résumé : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résumer ce document : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" Résumé : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résume ce document : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" Résumé : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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Résumez ce document : ""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
" Résumé : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Bruno Le Maire, candidat à la primaire de la droite, est revenu ce lundi 24 octobre sur la question du port du voile dans l'espace public, en souhaitant que l'on "élargisse" le débat sur les "provocations vestimentaires" au-delà de la loi sur la burqa. Interrogé sur l'interdiction du "simple voile" dans les espaces publics, Bruno Le Maire a répondu qu'il souhaitait "combattre l'islam politique", et que cela "pass(ait) par toutes les manifestations de provocation vestimentaire".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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""Ce n'est pas une question de simple voile, c'est une question de provocation vestimentaire", a-t-il affirmé."Je veux non seulement que l'on applique la loi, mais qu'on la durcisse: que le port du niqab ou le port de la burqa ne soit pas simplement sanctionné par une amende mais comme un délit (...) Je souhaite ensuite que l'on élargisse, et que l'on regarde tout ce qui peut apparaître comme une provocation vestimentaire", a déclaré le député LR. Sur France 2 jeudi dernier, Bruno Le Maire avait affirmé qu'il fallait réfléchir au port du "voile", en particulier dans les espaces publics, avant de dire qu'il parlait finalement de "niqab". Lundi, M. Le Maire a pourtant souhaité que "l'on ouvre ce débat" pour parvenir à "une loi qui fixera ce qui est acceptable et ce qui n'est pas acceptable en terme de provocation vestimentaire dans notre pays"."Il n'est pas acceptable d'avoir laissé depuis vingt ans un islam politique progresser dans notre pays, un islam politique qui méprise nos lois, nos règles et notre culture", a-t-il par ailleurs déclaré. Il a aussi estimé qu'il fallait "réévaluer nos relations diplomatiques avec l'Arabie Saoudite et le Qatar", qui sont "responsables de la progression de cet islam politique en France".
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