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SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité@ son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-@tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-@ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-@i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux@, donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité, son savoir@, sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met- tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui@@ n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor- ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur@, je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire 1 .@@ Ce fut elle qui traça@, d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon@ument très- 1 Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre@, c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens.
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SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité@ son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-@tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-@ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-@i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux@, donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité, son savoir@, sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met- tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui@@ n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor- ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur@, je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire 1 .@@ Ce fut elle qui traça@, d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon@ument très- 1 Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre@, c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition.
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SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité@ son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-@tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-@ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-@i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux@, donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité, son savoir@, sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met- tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui@@ n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor- ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur@, je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire 1 .@@ Ce fut elle qui traça@, d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon@ument très- 1 Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre@, c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
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SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité@ son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-@tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-@ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-@i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux@, donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité, son savoir@, sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met- tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui@@ n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor- ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur@, je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire 1 .@@ Ce fut elle qui traça@, d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon@ument très- 1 Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre@, c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs.
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SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux , donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité@ son savoir , sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met-@tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui m n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor-@ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur , je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire i . a Ce fut elle qui traça , d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon-ument très-@i Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre , c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
SUR MADAME ROLAND. XXVII celui d'un ministre factieux. Sa femme, qui par ses talens donna plus d'éclat à ses travaux@, donnait aussi, non pas plus de fermeté, mais plus de chaleur à ses résolutions. Roland, sans moi, dit-elle dans ses Mémoires, n'eût point été moins bon administrateur son activité, son savoir@, sont bien à lui comme sa probité mais avec moi il a produit plus de sensation, parce que je met- tais dans ses écrits ce mélange de force et de douceur, d'autorité de la raison et de charme du sentiment qui@@ n'appartiennent peut-être qu'à une femme sensible, douée d'une tête saine. Je faisais avec délice ces mor- ceaux que je jugeais devoir être utiles, et j'y trouvais plus de plaisir que si j'en eusse été connue pour l'auteur. Je suis avide de bonheur@, je l'attache au bien que je fais, et n'ai pas même besoin de gloire 1 .@@ Ce fut elle qui traça@, d'un seul trait, la lettre fameuse que Roland fit remettre à Louis XVI avis sévère, mais éclairé, suivant les uns audacieuse remontrance, triste et funeste prophétie suivant les autres mais mon@ument très- 1 Madame Roland n'ambitionna jamais la célébrité attachée aux lettres. Elle a écrit dans les derniers temps de sa vie, pour servir sa cause, bien plus que pour faire briller ses talens. Dès l'âge de dix-sept ans, elle avait composé plusieurs morceaux on en trouvera des frag-mens cités en note dans cette édition. Ce sont, pour la plupart, des essais de morale ou de philosophie. Une circonstance qu'il ne faut pas omettre@, c'est qu'elle avait écrit un sermon sur l'amour du prochain, et un discours sur cette question Comment l'éducation des femmes pourrait contribuer à rendre les hommes meilleurs. En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudisscmens.
En parlant de ces essais, dans ses Mémoires, elle n'y attache pas plus d'importance qu'ils ne lui avaient coûté de peine, et son style doit peut-être à l'ab-sence de toute prétention littéraire, cette marche vive, naturelle et libre, qu'aurait gênée la contrainte de l'imitation ou le désir d'obtenir des applaudissemens.
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir.
XXXV Ce fut là, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie, elle embellit des plus doux souvenirs, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là, enfin, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir.
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes.
On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes.
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté.
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency.
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SUR MADAME ROLAND. XXXV c Ce fut là , dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie j quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore dès massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami , elle entreprit d'écrire ses Mémoires là , que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie , elle embellit des plus doux souvenirs , elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce , appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là , que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique , elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là , enfin , que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers , elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit , fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher , au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
SUR MADAME ROLAND. XXXV@@ Ce fut là@, dans les prisons de l'Abbaye et de Sainte-Pélagie @@quand, par respect pour l'égalité, on l'enfermait dans le même bâtiment que des femmes devenues la honte de leur sexe dans ces murs tout sanglans encore des massacres de septembre quand le pouvoir des mêmes hommes faisait appréhender le retour des mêmes scènes, que, cédant aux sollicitations d'un ami@, elle entreprit d'écrire ses Mémoires là@, que revenant avec sérénité sur les premières époques de sa vie@, elle embellit des plus doux souvenirs@, elle peignit des plus fraîches couleurs les riantes années de sa jeunesse là, qu'elle recueillit dans ses Anecdotes plusieurs de ces particularités qui, par ce qu'elles ont de ridicule, d'intéressant, ou d'atroce@, appartiennent à l'histoire d'une époque et la caractérisent là@, que des traits d'un esprit vif, brillant, malicieux et quelquefois satirique@, elle esquissa les portraits d'une foule d'hommes qui figuraient alors sur la scène du monde là@, enfin@, que dans ses Notices, exhalant l'indignation et les regrets d'une ame qui avait cherché la liberté et trouvé des fers@, elle présenta ses amis aux éloges, et dévoua leurs oppres-seurs à la haine de ses contemporains et de l'avenir. Deux amis fidèles étaient les confidens de ses secrets, et les dépositaires de ses écrits. On arrêta l'un, et pendant sa captivité, malgré ses ordres, à son insu, les manuscrits qu'il possédait furent livrés aux flammes. L'autre, pros-crit@, fugitif, sauva cependant son précieux dépôt. M. Bosc, car c'est à son amitié courageuse qu'on en doit la conservation, ne crut jamais les manuscrits qu'il avait assez en sûreté. Pour les soustraire à la surprise des vi-sites domiciliaires, à la vigilance des délateurs, il les laissa cachés huit mois dans le creux d'un rocher@, au mi-lieu de la forêt de Montmorency. Madame Roland, qui
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement.
Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce.
Selon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée.
Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races.
Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races.
Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines.
Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces.
Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire.
Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire.
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32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres Vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. St Ion la juste remarque du docleur Rousch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. @Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimilée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement Incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est-impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
32 UNITÉ DE L'ESPÈCE HUMAINE. Darwin. Celui-ci veut que tous les êtres vivants ne fassent au fond qu'une seule espèce. Contrairement à cette monstruosité scientifique, ceux qui voient dans les races humaines de vraies espèces, font fausse route dans les distinc-tions classiques admises généralement. S@elon la juste remarque du docteur Reusch, les transformistes ne peuvent être nos adversaires qu'en tombant dans une contradiction, eux qui veulent que même les singes entrent dans notre espèce. Voilà comment toujours la vérité, abandonnant les excentricités des extrêmes, se trouve dans les sages milieux. VII. -Preuves de l'unité de l'espèce dans la différence des races. PREMIÈRE PREUVE. Le signe le plus certain que des individus de race différente sont de la même espèce, c'est que les alliances de familles ont lieu et que les enfants sont féconds, et que cette fécondité est illimitée. Or, l'expérience est faite elle est faite avec toutes les races et cette expérience demeurera comme un argument sans réplique. Nous sommes en sécurité. La base actuelle de la science naturelle est assez solide pour n'être pas ébranlée et comme nous l'avons vu déjà, cette fécondité augmente entre races différentes. DEUXIÈME PREUVE. La seconde preuve ressort de l'impossibilité d'établir une ligne de dé-marcation entre les différentes races. Elles sont toutes reliées entre elles par des transitions insensibles. Aussi, il n'est pas étonnant que les naturalistes ne soient pas d'accord dans leur classification des races. Il n'y a pas de ligne précise, il n'y a pas même possibilité d'une ligne de démarcation fondée sur la nature, et qui soit incontestable pour séparer et distinguer les races. Qui peut dire dans les intervalles où finit le nègre et où commence l'éthiopien où finit l'éthiopien et où commence le cauca-sique car l'éthiopien est un terme moyen. Il n'y a dans chaque centre qu'un groupe restreint qui ait le type le plus développé de sa race, et encore dans ces groupes il y a des variétés qui ont des tendances vers les autres races. Toutes les races humaines sont un cercle complet de variétés se tenant sans interruption, par des transitions insensibles. Mais toutes ces variétés, ces nuances, ce plan légèrement incliné, qui relient toutes les races, s'arrêtent tout à coup pour laisser un vide, un intervalle marqué entre l'homme et les animaux les plus parfaits au-dessous de lui. Ce que nous disons ici est si vrai et si incontestable, qu'un des plus savants naturalistes, Joseph Muller, affirme qu'il est impossible d'établir une classification tout à fait exacte des races humaines. Les signes caractéristiques indiqués par les savants ne sont ni assez constants, ni assez précis on ne connaît point de principe scientifique pris dans la nature des choses, qui nous permette de distinguer les races, comme il en existe un pour les espèces. Blumenbach a établi cinq races, mais on ne doit les considérer que comme des termes extrêmes autrement on tombe dans l'arbitraire. Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
Jamais on ne pourra dé-terminer si les Tatares et les Finnois appartiennent à la race mongole ou
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art.
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art.
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 .
M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 .
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore.
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance.
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos.
Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos.
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses.
2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses.
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-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Paris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-@@@@les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
-25 -Elle ne s'était attachée à M. de Bourbon que parce qu'il était homme d'affaires, prodigue pour tout ce qui tenait au luxe bâtiments, objets d'art. M. le Duc avait recueilli le plus beau cabinet de physique, et sa splendide collection d'histoire na-turelle à Chantilly, je le répète, fut confiée au savant Valmont de Bomare l'étude lui servit de distraction et avec l'étude la gestion de ses reve-nus 1 . Les Condés avaient une fortune royale aux environs de Paris ils possédaient les fiefs de Chantilly, Enghien, Mello 2 , entremêlés de beaux châteaux forêts immenses que la confiscation de Montmorency avait grandies encore. Durant son ministère, par l'influence de la marquise de Prie, M. le duc de Bourbon s'était rattaché tous les hommes de finance. Indépendamment des qua-tre frères Pâris, il avait pour ami et commen-sal le vieux Samuel Bernard, le roi des banquiers et de ces fermiers généraux qui avaient dou-25 -les chefs du parti elle appartenait à l'école de Ninon de Lenclos. Voltaire avait dédié à la marquise de Prie sa comédie de l'Indiscret. 1 La collection métallurgique des Condés, à Chantilly, était la plus riche de l'Europe. 2 Mello est aujourd'hui la propriété de M. le baron Achille Sellière, qui l'a restauré avec une distinction parfaite il y a réuni une belle collection de poteries précieuses. M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello. 2
M. Sellière a publié un petit in-4° sur les origines du château de Mello.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée.
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée.
Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher.
Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire.
Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied.
Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient.
Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche !
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes !
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !
Mais non, c'est bien moi ah! c'est moi, c'est moi!
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir.
Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés.
J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7.
Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien.
Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
Le 12, elle sortit en voiture.
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222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous-le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes ! Mais non, c'est bien moi ah ! c'est moi, c'est moi@ !. Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
222 L'ART DE MAGNÉTISER Le 26, et non le 16 comme elle nous l'avait annoncé, elle marcha éveillée. Pendant la séance, elle fut prise tout à coup d'un violent tremblement nerveux tout le corps était en mouvement, comme dans un accès de danse de Saint-Guy. Aussitôt que je fus parvenu à le faire cesser, elle me dit Je pourrai marcher éveillée. Lorsqu'elle fut dans l'état normal, je lui proposai de mar-cher. Elle crut que je plaisantais mais, comme j'insistais et que je me mis en mesure de lui venir en aide, en la prenant sous le bras pour la soulever, elle se laissa faire. Rien ne pourrait peindre l'étonnement qu'elle éprouva lorsqu'elle se vit debout, se soutenant seule elle n'osait remuer le pied. Enfin, après bien des prières et des encou-ragements, elle osa en avancer un, puis un second, et nous gagnâmes ainsi la fenêtre. Non, je le répète, rien n'aurait pu rendre les sentiments qui se peignirent sur ce visage si mobile l'étonnement, la joie, le bonheur, l'inquiétude, la crainte tous ces sentiments se présentaient, se confondaient, disparaissaient. Elle ne pouvait en croire ses yeux. Est-ce bien moi, disait-elle, est-ce bien moi qui marche ! Mais non, je ne puis le croire c'est vous qui me portez, c'est vous qui faites aller mes jambes@! Mais non, c'est bien moi ah@! c'est moi, c'est moi!... Il me fallut la faire asseoir aussitôt, car elle fut sur le point de s'évanouir. J'avoue franchement que ce fut un des plus doux moments de ma vie j'étais bien récompensé de toutes les fatigues, de tous les tourments que j'avais éprouvés. Les 27, 28, 29, 30 septembre, elle éprouva une grande faiblesse que je ne savais à quoi attribuer, et, dès le 1er oc-tobre, il y eut des pertes blanches qui continuèrent jusqu'au 6, et ce jour-là les règles parurent mais elles cessèrent dès le 7. Le 8, la faiblesse disparut comme par enchantement, et pendant son sommeil elle marcha très bien. Les 9, 10, 11, elle marcha éveillée. Le 12, elle sortit en voiture. Le 13, elle alla se promener en voiture, et, sur la route
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme.
jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà?
Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -Déjà ?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là.
La jeune fille regretta sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Comment donc?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
-- Un scrupule, au moins.
-Un scrupule, au moins.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Elle n'a plus que moi au monde.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Nous serons deux à l'aimer et à la soigner.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes?
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
- Le ciel vous punir, vous, Marguerite !
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche? Est-ce une rupture? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Ne ju- -rons de rien.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement.
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212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeur - si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté - Déjà@? dit-elle. - Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche@? Est-ce une rupture@? La jeune fille regretta, sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur - Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? - Comment donc@? - Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas@? - Aucun. - A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? - Un obstacle@? -- Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. - Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. - Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes@? - Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. - Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. - Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! - Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju- -rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya@@-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
212 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. jeune fille n'eût plus à vaincre que le sentiment de pudeurur si naturel à son âge, et que toute résistance de sa part serait de pure forme. Cependant elle mit à se défendre une certaine opiniâtreté -@Déjà ? dit-elle. -@Voilà un mot cruel, Marguerite, reprit Ludovic blessé. Est-ce un reproche ? Est-ce une rupture ? La jeune fille regretta@ sans doute d'avoir cédé à un pre-mier mouvement, car elle reprit avec douceur -@Non, mon ami, non, ce n'est ni une rupture ni un re-proche bien loin de là. Je vous sais gré de ce que vous m'avez dit mais y avez-vous bien songé? -@Comment donc ? -@Les empêchements n'existent plus de votre côté mais, du mien, n'en apercevez-vous pas ? -@Aucun. -@A mon tour, mon ami, je dirai que voilà un mot cruel. Et ma pauvre grand'mère, qui va chaque jour déclinant, ne trouvez-vous pas que ce soit un obstacle ? -@Un obstacle ? -@@Un scrupule, au moins. Elle n'a plus que moi au monde. -@Nous serons deux à l'aimer et à la soigner. -@Merci, mon ami, dit Marguerite émue, ce mot rachète celui de tout à l'heure. Mais vous ne savez pas ce que sont les personnes âgées tout les inquiète, tout leur porte om-brage. Et dans l'état où est la vieille femme, qui sait ce que pourrait amener un changement dans ses habitudes ? -@Vous avez raison, Marguerite, s'écria Ludovic, ramené par ces mots. Égoïste que j'étais ! je m'en veux de n'y avoir pas réfléchi. Ajournons encore. -@Oui, ajournons si un malheur survenait, je croirais que c'est le ciel qui nous punit. -@Le ciel vous punir, vous, Marguerite ! -@Moi comme une autre, dit-elle avec un soupir. Ne ju@@-rons de rien. Ludovic n'insista plus seulement cette soirée dont il se faisait une fête s'écoula assez tristement. En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
En vain essaya-it de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
En vain essaya-t-il de ranimer l'entretien et d'en varier les sujets Margue-rite n'y apportait qu'une attention distraite et presque con-
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère.
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable.
Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable.
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat?
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente.
il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente.
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Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux.
Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux.
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78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa
Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences.
Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences.
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