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126.txt | 1,821 | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. | Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. | 0 | 0 | 0 |
126.txt | 1,821 | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. | La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. | 0 | 0 | 0 |
126.txt | 1,821 | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. | PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. | 0 | 0 | 0 |
126.txt | 1,821 | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , celte cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | 78 constance , une semblable susceptibilité perdait son em-pire sur lui dans aucun cas elle n'avait le pouvoir d'ai-grir son caractère. Tolérant, mais sans indulgence pour le vice, passionné pour la gloire, quoique sans ambition, l'amour des sciences élevait sans cesse sa pensée, exal-tait son courage et le rendait infatigable. Quandil s'agis-sait de la botanique, rien ne lui coûtait fallait-il s'as-surer d'un fait délicat? il s'y livrait tout entier , il cher-chait la vérité pour elle-même, et n'était jamais troublé par la pensée des applaudissemens ou des critiques. Fallait-il combattre une erreur? il le faissait de bonne foi, avec une constance remarquable, il employait tour à-tour la force du raisonnement, l'arme si puissante de l'expérience et même celle du ridicule qui n'est pas tou-jours innocente. Mais s'agissait-il des intérêts de la pa-trie , son ame grandissait avec cette cause sublime , cette cause des coeurs vertueux. Peu d'hommes ont poussé ce sentiment aussi loin s'il n'a point versé son sang pour son pays, il lui a sacrifié sa fortune, sa santé, ses jouissances les plus chères il a bravé l'intempérie des climats pour exploiter le domaine des sciences. Au seul nom de la patrie, je l'ai vu verser des larmes en se repré-sentant ses destinées tombées entre des mains avides de sang et de désordre. La pensée de nos calamités profondes le plongeait dans une tristesse que sa physionomie tra-hissait souvent le poids de cette affection douloureuse a causé sa fin prématurée. PALISOT DE BEAUVOIS était doué d'une très-bonne vue et d'une adresse vraiment remarquable, aussi en faisant usage du miscroscope avait-il tous les moyens de se ga-rantir des illusions de cet instrument et de s'assurer de l'exactitude de ses descriptions. Il dessinait avec soin et sa | Il dessinait avec soin et sa | Il dessinait avec soin et sa | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. | 1 | 0.006494 | 0.04 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. | L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | On sait que les émotions influent sur les sécrétions. | On sait que les émotions influent sur les sécrétions. | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. | La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. | Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. | Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. | 2 | 0.007874 | 0.047619 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? | -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? | 2 | 0.012195 | 0.032258 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? | Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? | 2 | 0.008511 | 0.028571 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? | Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? | 1 | 0.006452 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. | C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. | 0 | 0 | 0 |
697.txt | 1,863 | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt? Je demanderai à mon tour Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, iï a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-'sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur a l'aide des procédés ordinaires. @Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt@? Je demanderai à mon tour @Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés@? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie@? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 27 -l'opiniâtre débutant redouble ses passes désespérées, il a perdu confiance ses mouvements mécaniques n'ont plus de vertu et ne produisent aucun effet. L'état mental du magnétiseur agit non-seulement sur la quantité, mais encore sur la qualité du fluide. On sait que les émotions influent sur les sécrétions. La frayeur altère le lait d'une nourrice la colère rend plus actif le venin d'un animal. Le fluide magnétique traversant les divers milieux comme la lumière traverse les corps diaphanes, comme l'électricité les corps conducteurs, comme le calorique tous les corps, peut parvenir à des distances plus ou moins considérables dont l'expérience n'a pas encore fixé les limites. Mais son action s'affaiblissant en raison de l'éloigne-ment et peut-être aussi en raison des obstacles interpo-sés, ne peut s'exercer à distance, que sur des sujets très-@sensibles, déjà mis en rapport avec le magnétiseur à l'aide des procédés ordinaires. -Comment se fait-il, dira-t-on, que le fluide aille se porter à de grandes distances sur le sujet, sans affecter les personnes placées sur la ligne qu'il parcourt ? Je demanderai à mon tour -Comment se fait-il que la moindre note douteuse qui s'échappe d'un ensemble d'instrumentistes aille frapper l'oreille du chef d'orches-tre, en passant inaperçue pour des auditeurs quelquefois plus rapprochés ? Comment se fait-il que les émanations du gibier aillent impressionner le chien de chasse, sans être saisies par des individus plus voisins de cette proie ? C'est qu'il y a dans le sujet magnétique, comme dans le chef d'orchestre, comme dans le chien de chasse, une sensibilité particulière, exceptionnelle, don de la nature ou fruit de l'éducation. L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | L'impulsion de la volonté au moyen du contact, du souffle ou des passes, peut imprégner de fluide le premier | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. | VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. | Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. 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Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. | Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. 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867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. | Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez elle. | 3 | 0.02439 | 0.12 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. | Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. | 1 | 0.006849 | 0.037037 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. | Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. | 1 | 0.005025 | 0.028571 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. | La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. 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Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. | Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. | 1 | 0.006711 | 0.034483 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. | Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. | -Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. | 1 | 0.013158 | 0.0625 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. 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Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. | Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. 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Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. | Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. | Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. | 2 | 0.018519 | 0.1 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Mais l'entreprise n'était point aisée. | Mais l'entreprise n'était point aisée. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. | Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. | 0 | 0 | 0 |
867.txt | 1,858 | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuine seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. êlie l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez -elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci -avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroître les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tète saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. - Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursui@ne seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 176 CE QU'ON PEUT VOIR DANS UNE RUE. VIII Cette station si étrangère aux habitudes de Ludovic n'avait pas eu lieu sans porter atteinte à son calme ordinaire. Mel-chior l'avait si bien soigné, que le nouveau licencié s'en ressentait. Cependant, au milieu des fumées du cerveau, survivait une pensée dominante et dont pour rien au monde il ne se fût départi. Il avait promis à Marguerite d'aller lui rendre compte des résultats de son examen. Elle l'attendait, elle comptait les minutes, et, dans quelque état qu'il se trou-vât, il fallait qu'il se rendit chez @elle. Ce calcul de Ludovic était aussi celui de Melchior même dans ses écarts, celui-ci @avait l'avantage de se posséder et de rester maître de lui-même. Personne ne supportait avec plus d'aisance le choc des spiritueux à force d'accroitre les doses, il en était arrivé avec eux à cet état de familiarité où se trouvait Mithridate vis-à-vis des poisons. La bière et lui, à force de se connaître, avaient fini par faire bon ménage, et il pouvait en loger des quantités indéterminées sans aucune espèce d'inconvénient. Il avait donc l'esprit libre et la tête saine, quand il sortit de l'estaminet, tandis que Ludovic avait la vue trouble et sentait ses jambes fléchir. Or, dans cette situation, tout l'avantage reste à celui qui conserve le plus de sang-froid. -@Voici mon bras, dit Melchior quand ils furent arrivés sur le seuil du café. Ludovic éprouvait un combat intérieur et manifestait une répugnance évidente. Peut-être se souvenait-il vaguement de l'engagement qu'il avait pris et craignait-il d'être vu en com-pagnie du vétéran. Aussi, loin de se rendre à l'invitation, essaya-t-il de fausser compagnie et de poursuivre seul son che-min. Mais l'entreprise n'était point aisée. Au contact de l'air extérieur, les troubles de l'organisation avaient empiré, et la marche était peu régulière. Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | Melchior s'en aperçut, et un sourire de démon effleura ses lèvres il n'avait pas manqué son but. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . | Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. | Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. | Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. | 0 | 0 | 0 |
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Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. | Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. | 0 | 0 | 0 |
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Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. | Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. | 1 | 0.017241 | 0.111111 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. | Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. | Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | 4° Essai avec la potasse caustique. | 4° Essai avec la potasse caustique. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. | -On introduit une certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. | 3 | 0.015306 | 0.057143 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. | S'il y a présence de sucre, la portion du liquide chauffée se colore en jaune, ou même en rouge brun, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. | 3 | 0.017341 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. | Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . | 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . | 0 | 0 | 0 |
522.txt | 1,873 | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. - On introduit une -certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre , on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre , la portion du liquide chauffée se colore en jaune , ou même en rouge brun , tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -29 -potasse caustique, jusqu'à ce qu'il se forme un liquide lim-pide. Ce réactif se conserve assez longtemps sans altération dans un flacon fermé, dont le bouchon en verre est enduit de paraffine, si on a la précaution d'enfermer le flacon dans une boîte au fond de laquelle se trouve une autre boîte dont le couvercle est percé de petites ouvertures et qui con-tient de la potasse caustique en morceaux destinée à ab-sorber l'acide carbonique . Pour faire l'essai d'une urine, on chauffe une certaine quantité de ce liquide dans un tube, on ajoute quelques gouttes de la solution bismuthique et on fait bouillir pen-dant quelques minutes. Aussitôt le liquide se colore en brun foncé ou brun noirâtre, et par le repos le bismuth réduit se dépose sous forme d'une poudre noire. Cette réaction est très-caractéristique et très-sensible, et de beaucoup préférable à celle qu'avait indiquée autrefois Boettger, et dans laquelle on chauffait l'urine avec du car-bonate de soude et une petite quantité de sous-nitrate de bismuth. Malgré cela elle présente encore quelques causes d'erreur. Il ne doit se trouver dans l'urine ni hydrogène sulfuré, ni albumine, ni mucilage de gomme. Il faut donc, avant l'essai, s'assurer de l'absence de ces corps, et les éli-miner dans le cas contraire. 4° Essai avec la potasse caustique. -@On introduit une @certaine quantité d'urine dans un tube de verre assez long et d'un petit diamètre@, on ajoute de la potasse caustique et on chauffe à l'ébullition la couche supérieure du liquide. S'il y a présence de sucre@, la portion du liquide chauffée se colore en jaune@, ou même en rouge brun@, tandis que la couche inférieure du liquide garde sa couleur primi-tive. Cet essai est excellent comme épreuve confirmative. 5° Essai avec une solution alcaline de carmin d'indigo sulfindigotate de soude . -@On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | - On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | -On fait bouillir l'urine avec une solution de carmin d'indigo rendue alcaline avec du | 1 | 0.011628 | 0.071429 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. | Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. | Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure. | On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. | On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. | 1 | 0.005714 | 0.033333 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. | Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. | Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. | Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. | 0 | 0 | 0 |
278.txt | 1,845 | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habilaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | -116 -besoin, les pièces justificatives originales, si ja-mais quelque accident venait à les détruire, ou seulement à les détériorer, comme il arriva entre les années 1813 et 1818. Le corps du martyr fut déposé, comme nous avons vu, dans la cha-pelle privée de M. Gérard Pâté, à qui la garde de ce précieux dépôt avait été spécialement confiée, en 1800, par l'autorité ecclésiastique. Il y resta jusqu'au mois de janvier 1813, quatre jours avant l'entrée des troupes étrangères dans Reims. On pouvait craindre quelque profanation de la part des soldats russes ou prussiens, à la vue d'un coffre fermé d'une triple serrure.. On se hâta donc de le transporter au village de Méry, sous la garde d'une soeur converse de Sainte-Claire car ni madame Baudemontni mademoi-selle Capy n'habitaient plus Reims. Le coffre fut reçu à Méry par M. Pâté de Van-dière, fils de M. Gérard Pâté, et par M. l'abbé Parent, ancien professeur de l'université de Reims. Celui-ci, pour plus de sûreté, jugea à propos de l'enfouir dans l'église du lieu, au pied de l'autel de la sainte Vierge. Ce ne fut que plus de cinq ans après que M. Pâté de Vandière. qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | qui du reste menait une vie fort retirée, le fil déter-rer en sa présence mais beaucoup trop tard, puisque le danger auquel on s'était proposé de le soustraire n'avait pas duré deux ans. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. | Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. | La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. | 2 | 0.013605 | 0.083333 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. | Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. | L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. | 1 | 0.007407 | 0.04 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. | De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. | Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. | Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Guérin, Carton et Montrosier. | Guérin, Carton et Montrosier. | 0 | 0 | 0 |
285.txt | 1,845 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de @THôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le malin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | -145 -le drapeau mais chaque compagnie isolée dut veiller, partie à la sûreté de son quartier, partie à la garde des remparts, que rien ne menaçait. Enfin les compagnies d'élite des grenadiers et des canonniers, dont le poste était la place de I'Hôtel-de-Ville, furent envoyées sur le chemin de Laon, pour ramener des pièces de canon nécessaires à la défense de la patrie, menacée, disait-on, par les ennemis du dedans et du de-hors. La place de l'Hôlel-de-Ville se trouva ainsi débarrassée de tout ce qui aurait pu entraver l'exécution du complot des terroristes et des assassins. Alors les cris de mort et les scènes de carnage purent commencer impunément, sous les yeux et à l'aide de la populace déjà ameutée. L'argent, qu'on avait dès le matin largement distribué aux exécuteurs de la justice du peuple, leur fournit de quoi boire et s'enivrer. De la soif du vin ils passèrent immédiatement à celle du sang, et ils n'eurent pas plus tôt goûté le sang qu'ils en devinrent insatiables. Sept victimes, dont trois laiques et quatre ecclésiastiques, tom-bèrent ce jour-là sous les coups des assassins. Les premiers immolés furent les trois laïques emprisonnés la veille, MM. Guérin, Carton et Montrosier. Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | Tous trois étaient, on ne peut en douter, des hommes probes, chrétiens, et, à ce 7 | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Plusieurs moururent en roule. | Plusieurs moururent en route. | 1 | 0.034483 | 0.2 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. | Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. | On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. | 0 | 0 | 0 |
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291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. | Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. | Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Les bréviaires furent mis en pièces. | Les bréviaires furent mis en pièces. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. | Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. | 0 | 0 | 0 |
291.txt | 1,845 | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en roule. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | -470 -phots pour y passer la nuit et le jour ils ne recevaient guère que des avanies et des malé-dictions de la part des populations ameutées contre eux. Plusieurs moururent en route. Les prêtres proscrits, arrivés à Rochefort, y restèrent emprisonnés et traités sans pitié jusqu'au milieu de mars, que commença leur embarquement. On les fit sortir de leurs cachots en plein jour et marcher vers le port deux à deux, portant sur le dos leur petit bagage, escortés comme des malfaiteurs ils passèrent ainsi à travers la foule des habitants, plaints et bénis par les uns, inju-riés et maudits par les autres. Quatre cents en-viron furent jetés sur le Washington et autant sur les Deux-Associés. Chaque prêtre, à peine monté sur le pont, était rigoureusement fouillé on leur enleva ainsi leurs meilleurs vêtements, leur linge, et surtout le peu d'argent que plu-sieurs n'avaient pas assez soigneusement caché. Ce qu'on leur trouvait d'objets de dévotion était saisi avec un redoublement de rage et d'impiété. Les bréviaires furent mis en pièces. Un crucifix d'ivoire, découvert sous la robe d'un chartreux, devint l'objet des plus horribles blasphèmes. Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | Un des officiers le saisit avec fureur, le posa sur un billot, et coupa d'un coup de sabre la tête du Christ, aux cris redoublés de tout l'équipage Vive la république! | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. | -DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. | 2 | 0.013699 | 0.071429 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. | Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. 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Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | , lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. | , 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. | 6 | 0.017804 | 0.096774 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. | Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. 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Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. | Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. | Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. | Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. | 1 | 0.004878 | 0.026316 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. | Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. | Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. | Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Quel est ce facteur commun? | Quel est ce facteur commun ? | 1 | 0.035714 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. | On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. | Cette théorie ne s'applique qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. | 1 | 0.004762 | 0.03125 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? | Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? | 0 | 0 | 0 |
508.txt | 1,874 | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. - DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES à qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., lst séries, no 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco cilato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez le@ blanc mais celles du second groupe, -relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soin@ et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun@? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique- qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | S. POZZI. -@DE LA VALEUR DES ANOMALIES MUSCULAIRES 5 qu'à ce jour ne sont pas assez nombreux pour qu'on puisse faire à cette question une réponse définitive. Cependant si l'on compare les relevés faits par Wood avec les détails que nous possédons soit sur les muscles d'une boschimane H. Flower et James Murrie, Journal of Anat. and Phys., 1st series, n° 2 , soit sur les nègres Chudzinski, loco citato , on peut remarquer le fait suivant Les anomalies du premier groupe que j'ai établies sont tout aussi fréquentes chez les blanc mais celles du second groupe, @relatives à une simple tendance réversive des muscles normaux, paraissent être plus abondantes dans la race nègre. Il y a là un intéressant sujet d'étude poursuivi avec une rare intelligence par l'anatomiste que je viens de citer. III. Outre ces anomalies musculaires réversives, c'est-à-dire que nous pou-vons rapprocher de types inférieurs, il en est beaucoup d'autres qui sont restées pour nous sans analogues dans l'échelle animale. Telles sont par exemple la plupart des variétés si nombreuses des muscles du larynx, etc. la subdivision désordonnée en plusieurs fais-ceaux de certains autres Voy. fig. 2, pl. VIII , etc. Ces faits méritent à coup sûr d'être signalés avec soins et bien qu'on puisse en diminuer la valeur en arguant de l'insuffisance de nos con-naissances en anatomie comparée, il ne faut pas la perdre de vue. Peut-être un jour serons-nous capables d'élucider ce point obscur. Actuelle-ment nous ne pouvons le tenter, et nous nous occuperons seulement ici des anomalies dites par retour. Le nombre de celles-ci est assez considérable, leur fréquence est assez notable, leur type assez persistant, pour qu'on soit porté à attribuer leur production à une influence directrice, à une force organique dis-tincte. Quel est ce facteur commun ? On ne peut invoquer ici l'arrêt de développement, les muscles ne pas-sant pas chez l'embryon par des états intermédiaires semblables à ceux qui constituent leurs anomalies. Cette théorie ne s'applique@ qu'aux faits d'absence congénitale de certains muscles, circonstance fréquente pour certains d'entre eux petits palmaires, pyramidaux , mais très-rare pour la plupart de ces organes. Cherchera-t-on la solution du problème dans une sorte d'adaptation anatomique sollicitée par des fonctions physiologiques exceptionnelle-ment complexes, adaptation fixée ensuite par l'hérédité? Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | Je ne m'arrêterai pas à combattre une hypothèse aussi peu vraisem-blable, car il faudrait d'abord montrer l'utilité de ces anomalies et | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. | Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | La position était des plus em-barrassantes. | La position était des plus em-barrassantes. | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. | Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | Le succès prouva la justesse de ses vues. | Le succès prouva la justesse de ses vues. | 0 | 0 | 0 |
246.txt | 1,845 | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | -43-moeurs publiques, et devenu aux yeux de la jeunesse une sorte de droit acquis, surtout de-puis que les autres curés, las de lutter en vain, semblaient l'avoir toléré par leur silence. Ce n'est pas tout les danses avaient ensuite natu-rellement pour défenseurs tous les jeunes gens du pays, qui peu d'années auparavant étaient les égaux du curé, et qui, au moment où celui-ci se serait prononcé, ne manqueraient pas de se raidir contre lui. La position était des plus em-barrassantes. Cependant M. Musart trouva moyen d'en sortir, et d'amener à une heureuse fin un projet regardé par ses confrères eux-mêmes comme impraticable il ne dit pas un mot en chaire, soit contre les danses, soit contre les dé-sordres et les scandales qui en sont la suite il se borna à les miner sourdement, c'est à dire à inspirer de l'éloignement et du dégoût aux jeu-nes personnes en qui il trouva plus de disposi-tions pour la vertu. Le succès prouva la justesse de ses vues. Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent do ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | Dociles à sa voix et à celle de la conscience, plusieurs d'abord se retirèrent de ces faux plaisirs l'exemple des premières en-traîna peu à peu les autres et en moins d'un an les danses se trouvèrent entièrement aban-données, tant il est vrai que rien n'est impossi-ble au zèle dirigé par la prudence et soutenu par la prière ! | 1 | 0.003058 | 0.016667 |
534.txt | 1,892 | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. | 0 | 0 | 0 |
534.txt | 1,892 | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. | Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. | 0 | 0 | 0 |
534.txt | 1,892 | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres-recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe celle feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain - découper ce moulage - enlever la feuille de gélatine - peser le mor-ceau d'étain découpé - diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids f-ur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | -8 -On recouvre ensuite le moulage d'une couche de gélatine glycérinée. Cette couche doit être suffisamment épaisse, il y a là un point de pratique qu'il est difficile de préciser et qui s'acquiert par l'habitude. La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. C'est là le second point du problème à résoudre. La première idée qui se présente à l'esprit est de découper ce moulage de gélatine en fragments, et de les appliquer sur une feuille de papier quadrillé divisé en centimètres carrés on compte le nombre de centi-mètres recouverts, et l'on a la surface. Ce procédé, très simple en appa-rence, est en réalité d'une application difficile, les surfaces à mesurer étant rarement linéaires, plus rarement encore géométriques elles sont le plus souvent irrégulières, il faut alors les découper par bandelettes plus ou moins longues et plus ou moins larges, qu'on doit ensuite coller avec beaucoup de soins et de patience, de manière à couvrir régulièrement le papier quadrillé. Cette opération, toujours longue et difficile, devient impraticable avec une surface aussi compliquée que celle du cerveau déplissé. Nous avons donc cherché un moyen plus rapide, et voici ce que nous proposons Supposons que nous ayons à mesurer une feuille de gélatine glycérinee, enlevée d'un moulage en paraffine et représentant la surface apparente d'un hémisphère cérébral. On fait sur le pourtour, au niveau des parties convexes ou concaves, des entailles qui permettent de rendre cette feuille absolument horizontale on la colle avec une solution de gélatine sur une feuille d'étain, ayant une épaisseur déterminée, et sur laquelle nous reviendrons tout à l'heure on découpe cette feuille en suivant exacte-ment les contours de la lame de gélatine on enlève cette dernière, et il reste un morceau d'étain que l'on pèse on divise son poids par celui d'un carré d'étain de la même feuille ayant 10 centimètres de côté, et représentant en surface 100 centimètres autant de fois le poids de la feuille d'étain découpée contiendra le poids de ces 10 centimètres, autant de fois il y aura 100 centimètres carrés. Cette seconde partie du procédé comprend donc les opérations sui-vantes coller le moulage en gélatine glycérinée sur une feuille d'étain -@découper ce moulage -@enlever la feuille de gélatine -@peser le mor-ceau d'étain découpé -@diviser le poids obtenu par le poids de 10 cen-timètres carrés de cette même feuille, et multiplier par 100. On obtient ainsi la surface cherchée. Cette méthode des pesées est, dans l'immense majorité des cas, d'une application rapide et facile. Donne-t-elle des résultats suffisamment exacts? C'est là un point fort important à examiner. On fera remarquer d'abord que, pour arriver à une exactitude rigoureuse, absolue, il faudrait avoir des feuilles d'étain d'une homogénéité parfaite, c'est-à-dire présentant le même poids @sur tous les points de leur surface et dans toute leur étendue, conditions qui doivent être difficiles à réaliser dans la pratique. | La couche géiatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. | La couche gélatino-glycérinée une fois enlevée, reste à en mesurer la surface. | 1 | 0.012821 | 0.071429 |