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Ce lundi 4 janvier, c'est le ministre des Relations avec le Parlement, Marc Fesnau qui a lâché une petite bombe : le projet de loi sur la réforme des retraites est déjà rédigé et envoyé au Conseil d'État.D'après Le Parisien, le ministre a indiqué sur Sud Radio qu'« un texte est parti au Conseil d'État afin d'amender, corriger, apporter des compléments et de l'étoffer », a-t-il indiqué. Selon les informations du Parisien, seuls, quelques membres du gouvernement étaient au courant de la procédure qui s'est déroulée la semaine dernière.Du côté des syndicats, on rit jaune. Dans trois jours, les opposants à la réforme doivent faire un énième appel à une mobilisation et mardi 7 janvier, les discussions concernant la pénibilité et le travail des séniors sont contraintes d'avoir lieu. Yves Veyrier, secrétaire général de Force ouvrière monte au créneau : « C'est bien la démonstration que ces discussions n'ont rien à voir avec le texte de la réforme qui, sans doute, devait être déjà écrit avant les vacances », rapporte le Parisien. Un sentiment de trahison pour les syndicatsChez les voisins de FO, à la CFE-CGC, le discours est le même. Pierre Roger, l'homme en charge du dossier des retraites dans son syndicat témoigne au Parisien sa réelle détermination : « S'ils espèrent, avec cette annonce, passer le message aux gens qu'il ne sert plus à rien de manifester, ils se trompent. Cela ne changera rien à notre détermination contre un projet qui n'est même pas financé et va avoir pour conséquence à terme la baisse des pensions ! ». Si le sentiment de surprise envahit les organisations syndicales, c'est simplement parce que selon elles, la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav) doit recevoir le texte du projet de loi avant même l'envoi au Conseil d'État.D'après le gouvernement, l'envoi du texte en Conseil d'Etat ne « signifie en aucun cas que les négociations qui s'ouvrent ne serviraient à rien. Le texte n'est pas figé », assure une source gouvernementale. Il est toujours possible de rédiger « une lettre rectificative », pour modifier ou compléter un projet de loi, avant son examen par l'Assemblée nationale.
Toujours dans le flou, le projet de loi sur la réforme des retraites a déjà été envoyé au Conseil d'État. Ce 6 janvier, Marc Fesnau, ministre des Relations avec le Parlement a annoncé que le projet de loi était quasiment rédigé. C'est une annonce qui risque de mettre un peu plus d'huile sur le feu concernant la réforme des retraites.
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Pas forcément le choix de cible le plus judicieux... Un homme a attaqué Arnold Schwarzenegger samedi 18 mai au cours de "l'Arnold Classic Africa", un festival multisports organisé par l'ancienne icone du culturisme, aujourd'hui âgée de 71 ans. "Merci de vos préoccupations, mais il n'y a pas à s'inquiéter", a précisé "Schwarzi"."Faites moi une faveur, au lieu de partager la vidéo du gars qui veut se rendre célèbre, regardez plutôt les athlètes", a t-il ajouté. L'acteur et ancien gouverneur de Californie discutait avec ses fans au Sandton Convention Centre de Johannesburg lorsqu'un individu a sauté à pieds-joints sur lui, sans toute parvenir à le faire tomber. "Je pensais que j'étais juste bousculé par la foule, ce qui arrive souvent. J'ai réalisé que j'avais reçu un coup de pied quand j'ai vu la vidéo, comme vous tous. Je suis content que cet idiot n'ait pas interrompu mon Snapchat". "Il a été malheureusement attaqué par surprise par un supporter fou alors qu'il fait une tournée de soutien aux athlètes," ont indiqué les organisateurs de l'événement. L'agresseur, arrêté dans la foulée, était connu des services de police pour des incidents similaires. Pas de quoi perturber Arnold Schwarzenegger plus que ça : ce dernier a précisé qu'il ne porterait pas plainte.
Le "monsieur muscles" le plus célèbre du monde a subi l'accès de folie d'un assaillant, qui lui a asséné un violent coup de pied dans le dos pendant un événement sportif organisé à Johannesburg, en Afrique du Sud.
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Les faits remontent à décembre dernier. Une homme avait menacé de mort le président de la République Emmanuel Macron via un message posté sur internet. La présidence avait dans la foulée saisit le parquet de Paris. Après enquête, les policiers avaient réussi à identifier l'auteur, du message grâce à l'adresse IP de son ordinateur. Il s'agit d'un homme habitant Montpellier dans l'Hérault. Il aurait écrit le message suivant d'après 20 Minutes : "Surveille tes arrières Manu, un de ses quatre, tu prendras du plomb dans la cervelle." L'homme interpellé souffre de troubles psychiquesL'homme est âgé de 29 ans et souffre de troubles psychiques précise Midi Libre. Il a été interpellé le 21 mai et a reconnu les faits. Il a expliqué cependant ne plus se souvenir de rien mais il a ajouté que l'alcool et les médicaments pouvaient le rendre agressif.Son procès a été reporté au 12 juin.
Un habitant de Montpellier a été interpellé le jeudi 21 mai pour avoir proféré des menaces de mort à l'encontre du président de la République Emmanuel Macron.
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News Corp avait déjà annoncé le 1er avril la suspension temporaire du tirage d'une soixantaine de journaux. Ces décisions devraient se traduire par des centaines de suppressions d'emplois.Le groupe a précisé que le gros de ses titres locaux et régionaux ne survivraient plus que sur internet à compter du 29 juin. Au total, 76 journaux ne paraîtront plus qu'en ligne et 35 titres fermeront de façon permanente.Ces disparitions reflètent une inquiétante tendance mondiale dans le secteur de la presse, qui souffre d'une baisse du lectorat cumulée à la montée en puissance de Google et Facebook, qui rognent de plus en plus dans des revenus publicitaires cruciaux pour la survie de la presse.Le PDG de News Corp Australia Michael Miller a cependant expliqué que le coup de grâce avait été donné par le nouveau coronavirus qui a plombé la pérennité de nombreux journaux locaux."Les dépenses publicitaires pour la presse papier, qui constituent l'essentiel de nos revenus, ont continué de diminuer", a-t-il expliqué dans un communiqué."En conséquence, pour faire face à ces mutations, nous restructurons l'activité de News Corp Australia pour aller là où les consommateurs et les investisseurs vont."Le groupe a précisé que cette décision, qui impactera chaque Etat australien, se traduirait "malheureusement par des suppressions d'emplois" mais que plus de 375 journalistes continueraient de suivre l'actualité locale et régionale.Le Sydney Morning Herald rapporte de son côté que la branche locale et régionale de News Corp en Australie emploie environ 1.200 personnes.Cette annonce fait suite à une série d'annonces de fermetures de médias, parmi lesquelles l'unique agence de presse nationale australienne, Australian Associated Press (AAP), qui doit mettre la clé sous la porte dans les prochaines semaines à moins d'une hypothétique reprise.
Le groupe australien du magnat Rupert Murdoch News Corp a annoncé jeudi qu'il arrêterait d'imprimer plus de 100 titres de la presse locale et régionale en Australie, et ce en raison d'un effondrement des revenus publicitaires qui a été encore aggravé par l'épidémie de nouveau coronavirus.
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. L'homme, âgé de 25 ans, avait d'abord aperçu un ourson, au bord d'un ruisseau, avant de voir arriver sa mère, visiblement mécontente.La rencontre a eu lieu en montagne, dans les Pyrénées ariégeoises, près de la frontière avec l'Espagne. Alors qu'il effectuait une randonnée, un homme s'est retrouvé face à une ourse adulte, qui s'est élancée à sa poursuite. Le randonneur a dû courir durant près de 20 minutes avant d'être tiré d'affaire et de pouvoir prévenir les secours, a-t-il raconté à France Bleu. "Je me suis mis à courir pour sauver ma peau""Sur le coup, je pensais que c'était fini. Je pensais que c'était ma dernière heure", a témoigné Nicolas Arrègle à la station de radio. Le jeune homme avait d'abord croisé un ourson, qui marchait au bord d'un ruisseau. "Dans la seconde qui a suivi en fait, j'ai vu la mère qui était en train de charger", a-t-il rapporté.Le randonneur a alors pris ses jambes à son cou : "Je me suis mis à courir en criant pour essayer de lui faire peur, pour essayer de sauver ma peau". Dans sa course, l'homme a "réussi à attraper l'une des branches d'un arbre" dont il s'est servi comme d'un "bâton, pour essayer d'effrayer" l'animal, alors que l'ourse "s'était rapprochée à 15 ou 20 mètres"."Elle était en train de grogner", se souvient-il. Le jeune homme a piqué un sprint durant près de 20 minutes avant d'atteindre le village le plus proche. il a finalement repris son souffle dans les locaux de la gendarmerie, où il a donné l'alerte. La veille, mardi, un ourson d'environ 5 mois avait été recueilli par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Le jeune animal, affaibli et amaigri, errait sans sa mère près du village de Couflens-en-Ariège, non loin de l'endroit où se trouvait le randonneur mercredi. Une cinquantaine d'ours vivent dans le massif pyrénéen, en particulier dans l'ouest de l'Ariège.
Un promeneur s'est retrouvé nez à nez avec une ourse, mercredi 12 juin dans les Pyrénées, à proximité de la commune de Seix
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"La confiance est brisée, le peuple veut reprendre le pouvoir", explique-t-il.Pour Gérard Depardieu - exilé en Russie depuis 2013 - la présidente du Front national "fait partie du jeu des élections. Elle est un des dommages collatéraux d'une société qui ne contrôle pas ses nouveaux moyens de communication et passe son temps à faire des plans sur la comète". "Plutôt que de vénérer Internet, il faut travailler la tête pour faire pousser le coeur, essayer de trouver des bulles d'air où on n'est pas pollué ni par les idées ni par la peau", poursuit-il. "La peur nous empêche de nous élever. L'ignorance engendre la brutalité"."TRUMP N'EST PAS UN ABRUTI"L'élection de Donald Trump à la Maison Blanche ? "C'est une bonne leçon pour les hommes politiques, qui n'en font plus depuis longtemps", juge Gérard Depardieu en soulignant cependant que "personne ne sait de quoi il va être capable". Il estime que "contrairement à George W. Bush, Trump n'est pas un abruti" mais "dit des choses qui le dépassent". "Les Anglais ont été les premiers à montrer leur ras-le-bol en votant pour le Brexit. Mais ils vont payer leur lâcheté très cher", déclare l'acteur des "Valseuses". "Je n'aime pas leur mentalité. Heureusement, ils ont de formidables joueurs de foot. Et Ken Loach !"Interrogé sur son nouveau film "Tour de France", qui sort mercredi et dans lequel il incarne un vieux maçon "réac" obligé de prendre la route avec un rappeur de banlieue, il observe qu'il s'agit d'un "voyage initiatique qui réchauffe le coeur". Le film montre "la rencontre entre deux France qui ne sont jamais confrontées l'une à l'autre, la France des quartiers et la France prolétaire et déshéritée", souligne son réalisateur Rachid Djaïdani, ex-champion de boxe d'Île-de-France. L'acteur confirme par ailleurs qu'on le découvrira prochainement dans un nouveau film de Fanny Ardant, une adaptation du "Divan de Staline", le roman de Jean-Daniel Baltassat. Il y incarnera un Staline "très loin du personnage des biographies", qui se rend compte en 1950 "qu'il fait peur à tout le monde et parfois à lui-même" et qui s'allonge "sur un divan ressemblant à celui de Freud". "Fanny en a fait une sorte d'opéra, elle tient très haut la note et ne la relâche jamais" ajoute-t-il.
Dans une interview accordée au Journal du dimanche (JDD), Gérard Depardieu estime que Marine Le Pen n'est pas une menace mais "une connerie". L'acteur français explique également que l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis est une "bonne leçon" pour les hommes politiques.
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"Une épidémie nationale inédite entraînant un impact sans précédent" pour les établissements de santé. C'est par ces mots que le professeur Salomon a débuté son point quotidien, dimanche 29 mars. Selon le bilan dévoilé par le directeur général de la Santé, le coronavirus a fait 2.606 morts en France à ce jour. Soit 292 nouvelles victimes en 24 heures. 19.354 personnes sont hospitalisées (+ 1.734 en 24 heures) et le nombre d'admissions a augmenté de 10% en une journée, ce chiffre étant le "reflet de contaminations survenues avant les mesures de confinement", a précisé le Pr Salomon. Parmi ces patients, 4.632 nécessitant des "soins très lourds" sont hospitalisés dans des services de réanimation. 34% de ces malades ont moins de 60 ans, 64% entre 60 et 80 ans, et 60 ont moins de 30 ans. Et 7.132 patients au total ont pu rentrer chez eux.Le Pr Salomon a insisté sur le nombre de nouveaux patients arrivant en réanimation chaque jour : 359, car l'évolution de ce chiffre conditionnera la capacité des hôpitaux à prendre en charge l'épidémie. "359 patients graves sont entrés en réanimation aujourd'hui. C'est l'élément le plus important à surveiller car il reflète la dynamique de l'épidémie", a souligné le directeur général de la Santé.Par ailleurs, la mortalité totale en France (pas seulement à l'hôpital), pour la semaine du 16 au 22 mars, a augmenté de 9%. La hausse, qui concerne surtout les plus de 65 ans, est significative dans cinq régions : Grand Est, Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté, Île-de-France et Corse. Enfin, 40.174 tests positifs ont été notifiés à l'agence gouvernementale Santé publique France. Point positif : "Si les mesures de confinement et gestes barrières ont été respectés, nous devrions observer une réduction du nombre de personnes entrant en réanimation d'ici la fin de semaine", a ajouté le Pr Salomon.
Le directeur général de la Santé Jérôme Salomon a fait un point, dimanche soir, sur le bilan du Covid-19 dans l'Hexagone et les Outre-mer.
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Alors qu'un drone survolait l'ancienne maison des époux Villemin, les parents du petit Grégory, dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25 juillet, l'actuel propriétaire de la demeure, située à Lépanges-sur-Vologne (Vosges), l'a abattu, révèle plusieurs médias dont Franceinfo et Europe 1. Ce drone, qui survolait la région, appartenait à une société de production travaillant pour Netflix. Il disposait d'une autorisation de survol pour la réalisation d'une série documentaire sur le meurtre de Grégory Villemin et les nombreux rebondissements de l'enquête. Une enquête ouverte par la brigade des transports aériens de StrasbourgLe propriétaire de la demeure, excédé, a tiré sur le drone vers 22h30, à l'aide d'une carabine 22 long rifle, qui s'est crashé au sol. Une enquête a donc été ouverte par la brigade des transports aériens de Strasbourg.L'ancienne maison des Villemin est fréquemment la cible de vidéos ou de photographies, de la part de journalistes ou de simples curieux, depuis la mort du petit Grégory. Le petit garçon, 4 ans à l'époque des faits, a été retrouvé mort noyé, pieds et poings liés dans la Vologne, le 16 octobre 1984.
L'engin survolait l'endroit pour réalisation d'une série documentaire sur le meurtre de Grégory Villemin et les nombreux rebondissements de l'enquête.
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"Quelque 150.000 personnes se sont rassemblés dans et autour de la madrasa (école coranique, ndlr)", a déclaré le chef de la police régionale Anwar Hossain, alors que selon le groupe islamiste fondé en 2010 le chiffre était bien plus élevé.Allama Shah Ahmad Shafi, dont on pense qu'il était plus que centenaire, est décédé dans la capitale, Dacca, au lendemain d'une révolte impliquant des milliers d'étudiants de la madrasa dont il était le responsable depuis 30 ans, qui l'avaient contraint à la démission.En mai 2013 Allama Shah Ahmad Shafi avait mobilisé des dizaines de milliers de manifestants exigeant qu'on exécute des blogueurs athées et qu'on adopte des lois châtiant le blasphème. Une cinquantaine de personnes avaient été tuées dans les affrontement avec la police.Sheikh Hasina, Premier ministre du Bangladesh, a salué le rôle de Allama Shah Ahmad Shafi dans la récente expansion des écoles coraniques dans le pays.Le population du Bangladesh - 160 millions d'habitants - est à 90% musulmane.
Plus de cent mille Bangladais ont assisté samedi à Chittagong (sud-est) aux funérailles du leader islamiste controversé Allama Shah Ahmad Shafi, fondateur du groupe Hefazat-e-Islam, selon la police.
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La quasi-totalité de l'Hexagone, à l'exception des trois départements de l'ouest de la Bretagne, du pourtour de la Méditerranée et de la Corse, sont désormais en alerte canicule. Quatre-vingts départements sont placés en vigilance orange, dans le dernier bulletin de Météo France, mardi 23 juillet à 16h00. C'est un record, selon l'organisme. Cinq départements sont également concernés par une vigilance orange liée aux risques d'orages violents : le Calvados, la Mayenne, l'Orne et la Sarthe, également concernés par l'alerte canicule; ainsi que la Manche - ce qui porte à 81 le nombre total de départements en alerte. Dix-neuf nouveaux départements sont concernés par la vigilance orange canicule : Aisne (02), Alpes-Maritimes (06), Ardennes (08), Eure (27), Ille-et-Vilaine (35), Loire-Atlantique (44), Marne (51), Meurthe-et-Moselle (54), Meuse (55), Moselle (57), Nord (59), Oise (60), Pas-de-Calais (62), Bas-Rhin (67), Haut-Rhin (68), Seine-Maritime (76), Somme (80), Vendée (85) et Vosges (88). L'alerte est maintenue pour les départements suivants : Ain (01), Allier (03), Ardèche (07), Ariège (09), Aube (10), Aveyron (12), Calvados (14), Cantal (15), Charente (16), Charente-Maritime (17), Cher (18), Corrèze (19), Côte-d'Or (21), Creuse (23), Dordogne (24), Doubs (25), Drôme (26), Eure-et-Loir (28), Haute-Garonne (31), Gers (32), Gironde (33), Indre (36), Indre-et-Loire (37), Isère (38), Jura (39), Landes (40), Loir-et-Cher (41), Loire (42), Haute-Loire (43), Loiret (45), Lot (46), Lot-et-Garonne (47), Maine-et-Loire (49), Manche (50), Haute-Marne (52), Mayenne (53), Nièvre (58), Orne (61), Puy-de-Dôme (63), Pyrénées-Atlantiques (64), Hautes-Pyrénées (65), Rhône (69), Haute-Saône (70), Saône-et-Loire (71), Sarthe (72), Savoie (73), Haute-Savoie (74), Paris et petite couronne (75-92-93-94), Seine-et-Marne (77), Yvelines (78), Deux-Sèvres (79), Tarn (81), Tarn-et-Garonne (82), Vienne (86), Haute-Vienne (87), Yonne (89), Territoire-de-Belfort (90), Essonne (91) et Val-d'Oise (95). Météo France note que la chaleur s'accentue. "Les températures maximales ce mardi seront généralement en hausse par rapport à la journée d'hier", lundi. Voici certaines valeurs, en °C, parmi les plus élevées relevées par Météo France mardi à 15h30 : 41,3 à Brive, 40,1 à Bordeaux, 39,8 à Poitiers et Blois, 39,4 à Agen, 39,3 à Cognac, 39,2 à Montauban et Niort, ou encore 38,8 à Nantes.
Alors que les températures doivent grimper jusqu'à jeudi, l'organisme de prévisions météorologiques étend son alerte à 80 départements, soit la plus grande partie du pays.
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"Ce soir, notre pays franchit un cap symbolique et particulièrement douloureux", a déclaré le directeur général de la Santé lundi 20 avril, puisque la France a franchi la barre des 20.000 personnes tuées par le nouveau coronavirus, avec 547 nouveaux décès enregistrés depuis dimanche. Au total, 20.265 personnes sont mortes depuis le début de l'épidémie début mars : 12.513 à l'hôpital (+ 444 en 24 heures) et 7.752 dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux (+103), a précisé Jérôme Salomon, citant les données de Santé Publique France. 30.584 personnes ont dû être hospitalisées depuis le début de l'épidémie, soit 1.465 nouvelles personnes ces dernières 24 heures. Le solde de patients admis est donc négatif, mais très faiblement puisque seules 26 personnes de moins ont été hospitalisées par rapport à la veille. La décrue se poursuit également en ce qui concerne les hospitalisations en réanimation. 5.683 personnes y sont actuellement hospitalisées dans un état grave, soit 61 de moins que la veille. Au total, 114.657 cas ont désormais été testés positifs au coronavirus sur le sol français depuis le début de l'épidémie, selon les chiffres rapportés par les 1.291 établissements de santé français.Le Covid-19 a tué "de loin davantage que toutes les épidémies de grippe, même les plus meurtrières, et davantage que la canicule de l'été 2003" qui avait fait 19.000 morts, a-t-il souligné."La vitesse de l'épidémie a diminué rapidement", mais l'immunité collective est faible"La vitesse de l'épidémie a diminué rapidement", a par ailleurs assuré Jérôme Salomon. "Sans le confinement, les gestes barrières, chaque personne porteuse contaminait trois personnes, aujourd'hui ce chiffre est passé sous le chiffre de un", a-t-il précisé. "Nous devons poursuivre notre mobilisation", a-t-il néanmoins martelé. Il a rappelé que tous les Français devaient encore "travailler tous ensemble afin de réduire la circulation virale. Plus on aura atteint un niveau bas, meilleures seront les conditions pour réduire la contamination", a-t-il insisté.Le directeur général de la Santé a également rappelé que "l'immunité collective est faible, on s'attend à avoir plus de 90% de tests négatifs, car le virus a peu circulé". D'après lui, l'urgence est d'abord de "gérer l'épidémie et donc de réaliser des tests virologiques, viendront ensuite les tests sérologiques".
Au total, Santé Publique France comptabilise lundi 20 avril 12.513 morts depuis 1er mars, dont 12.513 en hôpitaux, soit 547 morts supplémentaires par rapport à la veille. La baisse patients hospitalisés et en réanimation se poursuit.
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Lundi 12 février, Le Dauphiné libéré affirmait que Renaud était hospitalisé "dans un établissement tenu secret" du nord de la France "depuis quelques jours". Une information relayée par 20 Minutes à qui un membre de l'entourage professionnel du "phénix" confirmait que le chanteur était "indisponible pour raisons de santé" depuis plusieurs jours, pour une "hospitalisation programmée."Face à ces rumeurs, ses proches ont publié lundi soir un message sur son compte officiel Facebook. "Avant de dramatiser les Unes de la presse du sud reprises partout depuis ce midi, nous vous confirmons donc par obligation l'information de l'admission de Renaud dans une maison de repos de sa propre volonté! Rien de grave!", indique le compte Facebook "Renaud le phénix", gérées par des proches de l'artiste."Renaud est en maison de repos en région parisienne. Il y est depuis quatre ou cinq jours et pour une dizaine de jours", a précisé son frère David Séchan au journal Le Parisien. "Il va bien mais apprend à se passer de ce breuvage assassin qu'est la bière", poursuit ce dernier, démentant toute hospitalisation. "Il fait une batterie d'analyses, mais pas d'inquiétudes à avoir", assure David Séchan.Ces dernières années, l'interprète du "Mistral gagnant" a souffert de problèmes d'alcool et de dépression. Il était remonté sur scène en 2016 après avoir sorti un nouvel album, pour une tournée marathon baptisée "Phénix Tour". Il avait assuré les 140 dates prévues dans cette tournée présentée comme celle de "la renaissance".
Alors que plusieurs médias affirmaient qu'il avait été hospitalisé, les proches du chanteur ont mis les choses au point dans un message sur Facebook. En maison de repos en région parisienne, il "apprend à se passer de ce breuvage assassin qu'est la bière".
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"Pour Gisèle Halimi, le féminisme était un humanisme. La France perd une républicaine passionnée qui, comme avocate, militante et élue, fut une grande combattante de l'émancipation des femmes", a salué le président Emmanuel Macron, lui rendant hommage sur Twitter.La ministre de la culture Roselyne Bachelot a exprimé sur Twitter son "immense chagrin d'apprendre le décès de (s)on amie Gisèle Halimi". "Tant de combats nous ont réunis, tant de souvenirs en commun en particulier à l'Observatoire de la parité... Avocate infatigable des droits de femmes, magnifique écrivaine, militante déterminée", écrit-elle sur le réseau social, témoignant sa reconnaissance."Gisèle Halimi a inlassablement servi la cause des femmes donc celle de la République. Elle ajoutait le courage au talent, le génie du verbe à la science du droit, l'engagement pour la dignité des peuples à la bataille pour l'égalité. Elle restera pour toutes et tous un exemple", a salué de son côté l'ancien président de la République François Hollande.La ministre déléguée chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes Elisabeth Moreno a rendu hommage à "une très grande féministe". "Rebelle infatigable, militante engagée, Gisèle Halimi s'est battue toute sa vie pour améliorer le sort des femmes. Nous savons ce que nous lui devons. L'héritage de ses combats nous oblige. Mes pensées émues à ses proches", écrit-elle.La secrétaire d'Etat à l'Economie sociale, solidaire et responsable Olivia Grégoire a souligné de son côté "le courage, l'indépendance et l'éloquence" dont a fait preuve tout au long de sa vie Gisèle Halimi. "En se battant avec acharnement pour les droits des femmes, elle a largement dépassé son statut d'avocate pour s'imposer comme un modèle", estime-t-elle."Ecrivaine, avocate défenseure de femmes et d'hommes opprimé(e)s, députée, ambassadrice UNESCO, Gisèle Halimi s'est toujours battue contre la torture, pour l'IVG, l'égalité professionnelle, la parité... Saluons ses engagements et comme elle l'écrivit, ne nous résignons jamais !", souligne le président de l'Assemblée Richard Ferrand. "Chère Gisèle Halimi, chère Maître, j'aimais par-dessus tout le timbre et la musique de votre voix, je suis heureuse de vous avoir dit quelle force et quelle limpidité l'un et l'autre ajoutaient à vos passions. Je chéris encore nos conversations vives et vos mots résolus", écrit de son côté l'ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira. La maire de Paris Anne Hidalgo a fait part de sa "grande tristesse"."Une immense voix s'est éteinte. Combattante inlassable des droits des femmes, notamment avec le procès de Bobigny, dénonciatrice des tortures perpétrées pendant la colonisation. Nous n'oublierions jamais Gisèle Halimi", écrit-elle, adressant ses "pensées à sa famille et ses proches". Rachida Dati a de son côté rendu hommage à "celle pour qui l'injustice était "physiquement intolérable", qui n'avait pas peur de "troubler le monde", et qui avait la révolte et la soif d'indépendance chevillées au corps", une femme qui "reste un modèle pour les filles d'aujourd'hui et de demain", selon elle.Les hommages se sont multipliés également de la part des avocats. Le barreau de Limoges explique sur Twitter que la disparition de Gisèle Halimi laisse tous les avocats "orphelins". "Elle avait ses deux qualités qui font des grands avocats : rage de défendre et insoumission à l'injustice. Quand l'exigence rejoint l'intelligence... Adieu donc à cette grand figure des prétoires et au final, de l'Histoire."
"Avocate infatigable des droits de femmes", "républicaine passionnée", "grande figure de l'Histoire"... Les hommages se multiplient pour saluer l'avocate Gisèle Halimi, défenseure passionnée des droits des femmes, qui s'est éteinte ce mardi 28 juillet, au lendemain de son 93e anniversaire.
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Mercredi 16 mai, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a relancé les spéculations sur son avenir au gouvernement en déclarant sur BFMTV vouloir faire cet été une évaluation de ses résultats à la tête de son ministère. "Cet été, j'aurai suffisamment d'éléments pour pouvoir regarder si effectivement je participe à cette transformation sociétale", a-t-il affirmé. Interrogé jeudi soir dans le cadre des "Rencontres du gouvernement" sur son avenir au gouvernement, il a concédé avoir "des doutes, (...) comme tout le monde" mais "pas d'états d'âme", lors d'un déplacement aux Arcs-sur-Argens (Var). "L'idée n'est pas de faire un bilan, mais d'évaluer si on est en situation de créer les conditions d'une transition profonde. Est-ce qu'on en est capables, est-ce qu'on en a les moyens?", a-t-il encore commenté, en ajoutant : "Qu'on s'impose à soi sa propre évaluation me paraît être la première des responsabilités, c'est tout ce que j'ai dit!"Au fil de ses "déconvenues", de son "impatience" revendiquée et d'un travail qu'il a décrit comme "harassant", la première année de l'ancien militant à la tête du ministère de la Transition écologique a vu fleurir de régulières rumeurs de démission. En octobre, lui-même s'était donné "un an" pour juger de son utilité au gouvernement. "JE LE SOUTIENDRAI TOUJOURS", ASSURE PHILIPPEInterrogé sur ce sujet jeudi soir sur France 3, Édouard Philippe a assuré que Nicolas Hulot avait "parfaitement sa place, il a une parole qui est forte, il est un très bon connaisseur de ses dossiers". "Je le soutiens depuis le début, et je le soutiendrai toujours", a-t-il insisté. "Moi, je suis chef du gouvernement, mon objectif, c'est de faire en sorte que chaque ministre réussisse, d'abord parce que c'est important pour chaque ministre, et parce que c'est indispensable pour le collectif", a déclaré le Premier ministre. "Il n'y a que ça qui m'intéresse", a-t-il conclu.
Alors que mercredi, le ministre de la Transition écologique a relancé les spéculation sur son avenir au gouvernement, le Premier ministre a assuré jeudi soir que ce dernier avait "parfaitement sa place" au gouvernement.
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"Nous sommes confrontés à une crise de formation d'un gouvernement, ce qui n'était pas censé se produire car les échéances qui attendent le Liban ne permettent pas de perdre une seule minute", a affirmé M. Aoun, 85 ans, l'air fatigué, le verbe hésitant. Les partis politiques libanais s'étaient engagés début septembre à former un cabinet "de mission" composé de ministres "compétents" et "indépendants" dans un délai de deux semaines pour sortir le pays du marasme économique, avait annoncé le président français Emmanuel Macron lors d'une visite à Beyrouth. Mais le processus piétine en raison de divergences sur l'attribution de portefeuilles ministériels. Le principal obstacle vient du mouvement chiite armé Hezbollah, poids lourd de la politique libanaise, et de son allié Amal, dirigé par le chef du Parlement Nabih Berri, qui réclament le portefeuille des Finances, une demande rejetée en bloc par leurs détracteurs, dont l'ancien Premier ministre sunnite Saad Hariri. "Avec le durcissement des positions, il ne semble pas y avoir de solution à l'horizon, car toutes les solutions proposées impliquent des gagnants et des perdants", a regretté le président Aoun. Faute d'accord, le Liban se dirigera "vers l'enfer", a-t-il prévenu. Le chef de l'Etat a renvoyé dos à dos les "deux camps", soulignant que "les blocs parlementaires ne devaient pas être écartés" du processus, en allusion à la démarche entreprise par le Premier ministre désigné Moustapha Adib qui refuse toute consultation préalable avec les blocs parlementaires pour le choix des ministres comme ce fut le cas ces dernières années. Fait rare, M. Aoun a aussi critiqué l'insistance de ses alliés, le Hezbollah et Amal, sur le portefeuille des Finances, soulignant qu'aucun ministère ne devait être attribué à une communauté spécifique d'après la Constitution. - Initiative française -Plus tôt dans la journée, Moustapha Adib avait demandé "la coopération de toutes les parties afin de faciliter la formation d'un gouvernement de mission avec un programme spécifique". Dans un communiqué, il a appelé toutes les forces politiques à "oeuvrer immédiatement et sans délai pour le succès de l'initiative française, qui ouvre la voie au sauvetage du Liban et met fin à la détérioration accélérée" de la situation générale du pays. Le Liban vit depuis un an l'une des pires crises économiques, sociales et politiques de son histoire, marquée par une dégringolade de sa monnaie nationale, une hyperinflation et une paupérisation à grande échelle de la population.La crise a été amplifié par la pandémie de Covid-19 et l'explosion tragique le 4 août au port de Beyrouth, qui a catalysé la mobilisation de la communauté internationale.La communauté internationale, particulièrement la France, exige du Liban des réformes structurelles en contrepartie d'un soutien international de plusieurs milliards d'euros.
Le Liban se dirige vers "l'enfer" si un nouveau gouvernement n'est pas formé dans les plus brefs délais, a averti lundi le chef de l'Etat Michel Aoun, alors que le processus de formation d'un cabinet semble dans l'impasse.
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"Ce soir je suis heureux d'annoncer que nous avons conclu un accord avec Moderna pour la fabrication et la livraison de 100 million de doses de leur vaccin candidat contre le coronavirus. Le gouvernement fédéral sera propriétaire de ces doses de vaccins, nous les achetons", a déclaré Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.Moderna, partenaire des Instituts nationaux de santé américain (NIH), mène l'un des trois projets occidentaux à avoir commencé la phase finale des essais cliniques sur des milliers et in fine 30.000 volontaires, en juillet, avec les alliances Oxford/AstraZeneca et Pfizer/BioNTech. Des résultats préliminaires de la première phase, sur un petit nombre de personnes, ont montré que son vaccin générait une réponse immunitaire. On ne devrait pas savoir avant la fin de l'année au plus tôt si le vaccin Moderna/NIH est sûr est efficace, selon le docteur Anthony Fauci, directeur de l'institut gérant l'essai clinique, mais Donald Trump a dit espérer des résultats avant la présidentielle du 3 novembre.Cet accord porte à 2,48 milliards de dollars l'investissement public américain dans Moderna, une société de biotechnologie fondée il y a moins de dix ans et qui n'a jamais créé de vaccin jusqu'à présent. Aucune autre entreprise ou groupe pharmaceutique n'a reçu autant d'argent de Washington dans la course aux vaccins.L'accord avec Moderna inclut aussi une option pour 400 millions de doses supplémentaires, selon des communiqués de la société et du département de la Santé."Nous sommes prêts pour produire rapidement 100 millions de doses dès que le vaccin sera approuvé, et jusqu'à 500 millions peu après, on aura donc 600 millions de doses", a aussi dit Donald Trump, évoquant des chiffres sensiblement différents.Le gouvernement Trump en est à au moins 10,9 milliards de dollars dépensés dans le développement et la production de vaccins. Il avait précédemment acheté 100 millions de doses à chacune des sociétés suivantes: Johnson & Johnson, Novavax, Pfizer et Sanofi, et 300 millions de doses à AstraZeneca, soit un total de 800 millions de doses à ce jour.
Le président Donald Trump a annoncé mardi un contrat de 1,5 milliard de dollars pour la livraison de 100 millions de doses du vaccin expérimental de la biotech américaine Moderna, le sixième contrat de ce genre depuis mai.
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-Arnaud Montebourg n'a pas encore officialisé sa candidature à la primaire du Parti socialiste (PS) en vue de 2017 mais l'ancien ministre de l'Économie se met en ordre de marche. Preuve de sa détermination, il a créé à la mi-juin son propre mouvement "Le projet France", une appellation reprenant le nom de sa plate-forme participative présentée fin mai.Conséquence ? L'ancien député socialiste peut désormais lever des fonds et percevoir des dons. Selon la déclaration déposée à la préfecture de Paris, ce micro-parti permettra de "soutenir et promouvoir une action politique alternative au sein de la gauche française et ce notamment grâce à la participation des acteurs de la société civile". "C'est très simple, quand vous faites une activité politique, vous avez besoin d'un cadre légal pour lever des fonds et percevoir des dons", a expliqué à l'AFP le conseil régional PS d'Île-de-France, François Kalfon, un proche d'Arnaud Montebourg. François Kalfon (PS) : « Je demande à Arnaud Montebourg d’être candidat devant les Français »par Lopinion.frSA COLLABORATION AVEC HABITAT SUSPENDUECe dernier a par ailleurs confirmé qu'Arnaud Montebourg avait "suspendu" sa collaboration avec l'entreprise Habitat, où il occupait le poste de vice-président du conseil d'administration depuis mars 2015, confirmant une information du magazine Capital. "Habitat est une marque "business to consumer" et il ne faut pas de parasites entre cette activité et les positions politiques d'Arnaud Montebourg", a-t-il déclaré.Ses militants se lancent eux dans une tournée des plages pour assurer la promotion du projet de l'ancien ministre auprès des vacanciers. L'opération démarre aujourd'hui à Paris-Plages, explique Le Parisien ce samedi. D'autres étapes sont déjà programmées en Normandie et dans le Var. Arnaud Montebourg prépare également son traditionnel rendez-vous de rentrée, la Fête de la Rose à Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire), le 21 août. Il officialisera peut-être sa candidature à la primaire du PS et de ses alliés.BENOÎT HAMON ÉGALEMENT CANDIDAT ?L'ancien ministre socialiste, Benoît Hamon, a annoncé vendredi qu'il organiserait un grand rassemblement politique, fin août, à Saint-Denis. Dans un clip vidéo, il évoque un rassemblement "divers, pluriel, métissé comme est la France", les 27 et 28 août, où "on va fabriquer de l'espérance"."On va y fabriquer les solutions pour les 5, 10, 15, 20 ans", a expliqué le député PS frondeur."La session parlementaire se termine en laissant à beaucoup un goût amer. Nombreux sont ceux qui ne se reconnaissent plus dans la politique menée par le gouvernement. Avec le vote de la loi travail mercredi et l'utilisation pour la troisième fois de l'article 49-3, c'est bien un cycle qui s'achève", écrit-il dans un communiqué accompagnant la vidéo. En février, l'ancien ministre avait dit qu'il serait "probablement" candidat en cas de primaire à gauche.
- Comme l'a révélé L'Express vendredi, Arnaud Montebourg a lancé son propre micro-parti, "le projet France (LPF)", en juin. Objectif ? "Lever des fonds" et "percevoir des dons" dans le "but de soutenir et promouvoir une action politique alternative au sein de la gauche française".
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C'est sans surprise que le parti LR a annoncé, dimanche soir la victoire de Christian Jacob à l'élection de sa présidence. Il devient ainsi, à cinq mois des municipales, le patron d'un parti en crise profonde après deux années de délitement.Dans le discours suivant l'annonce de sa victoire, Christian Jacob a appelé chacun à mettre son égo de côté afin de travailler au rassemblement, "objectif" qu'il s'est "fixé". Il a également salué la mémoire du fondateur du RPR et de l'UMP Jacques Chirac, et salué Nicolas Sarkozy qui occupe "une place forte et singulière dans le coeur des Français". Le chef de file des députés LR, qui faisait figure de favori, l'a emporté au premier tour face au député souverainiste du Vaucluse Julien Aubert (21,28% des voix) et au plus libéral Guillaume Larrivé, député de l'Yonne (16,14%). La participation a été plus forte que prévue, puisque 62.401 adhérents à jour de leur cotisation ont voté, soit 47% de participation a précisé indiqué Henri de Beauregard, le président de la haute autorité du parti.Participation en hausseÀ titre de comparaison, en 2017, la participation avait atteint 42,46% et Laurent Wauquiez avait été élu avec près de 75% des voix. LR comptait alors 235.000 adhérents, 100.000 de plus qu'aujourd'hui."Je sais que sa mission ne va pas être simple mais j'exhorte tout le monde à faire en sorte qu'on la lui facilite", a affirmé Jean Leonetti, qui avait assuré l'intérim à la présidence depuis le départ de Laurent Wauquiez en juin après la défaite aux européennes. "Merci aux militants, nous ne devons pas les décevoir", a-t-il ajouté.Cette mobilisation devrait asseoir la légitimité de Christian Jacob dans son travail de "rassemblement", même s'il est déjà acquis qu'il ne se présentera pas à la présidentielle de 2022. "Le temps n'est pas à l'homme présidentiel", a martelé au cours de sa cinquantaine de meetings de campagne Christian Jacob, 59 ans, trois fois ministre, et qui revendique de son passé d'agriculteur un "bon sens paysan".Le nouveau président de LR, fort de sa connaissance de la machine du parti et de son image de chiraquien historique, veut avant tout "rassembler, réconcilier et rebâtir" un "grand parti de droite, ouvert, populaire et fier de ses valeurs, comme il l'explique dans sa profession de foi.Ses concurrents n'ont pas tardé à réagir sur Twitter, en remerciant notamment leurs soutiens. Ainsi, le député du Vaucluse Julien Aubert a expliqué qu'il continuerai malgré sa défaite à "défendre nos valeurs commune pour une droite patriote, républicaine et sociale". Le député de l'Yonne Guillaume Larrivé a pour sa part adressé ses félicitations à Christian Jacob et a également assuré qu'il continuerait à faire entendre la voix des militants qui lui ont fait confiance, "en homme libre de défendre (s)es convictions". Le Sénateur de Vendée Bruno Retailleau a assuré que le nouveau président pouvait compter sur lui "pour l'aider à la reconstruction de la droite". La députée européenne Nadine Morano a appelé à la "reconquête et l'esprit de compagnonnage retrouvé", saluant en Christian Jacob un "homme de la terre, un homme de terrain".
Le chef de file des députés Les Républicains (LR) succède à Jean Leonetti, président par intérim depuis la démission de Laurent Wauquiez.
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Mais la suppléante de François Ruffin (la France insoumise) dans la Somme, Zoé Desbureaux, lui affiche son "soutien total". Le chef de file des députés la République en marche (LREM), Richard Ferrand, demande à Jean-Luc Mélenchon de clarifier la position de son parti sur le sujet. ACTE 1, LE MESSAGE DE SONIA NOUR SUR FACEBOOKCertains membres du Front national s'étaient déjà fait remarquer après leurs réactions à l'attaque de Marseille. Dimanche 1er octobre, un Tunisien de 29 ans, connu de la police pour plusieurs infractions de droit commun, a poignardé à mort deux jeunes femmes de 20 et 21 ans, cousines, sur le parvis de la gare Saint-Charles, aux cris d'"Allah Akbar". Le lendemain, Sonia Nour, collaboratrice du maire PCF de La Courneuve (Seine-Saint-Denis), fonctionnaire territoriale, publiait sur Facebook ce message : "Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation Bla Bla Bla... Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les 2 jours on l'entend moins votre grande gueule." Cette opinion a déclenché une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux, notamment injurieuses ou racistes, selon Sonia Nour, qui a depuis effacé son post. Dans un nouveau message mardi, elle "apporte une clarification" : "Le mot martyr ne veut pas dire "'le juste'. Je l'emploie pas dans le sens chrétien mais dans le sens psychanalytique du terme. D'un point de vue narcissique. Malgré les croyances populaires, les attentats-suicides ne sont liés ni au fondamentalisme islamique, ni à la religion en général", écrit la fonctionnaire. "En France, nous avons l'équivalent d'un Bataclan chaque année pour les femmes. Meurtres de masse par étranglement, coups, coup de fusil, poignard... par des hommes. En quoi le crime dit 'islamiste' serait plus atroce que le crime de femmes par leur conjoint ou ex... ? Je ne minimise rien du tout au contraire. Je veux mettre en lumière l'hypocrisie qui veut que ces crimes ne soient jamais étudier (sic) sur le plan de la construction humaine et surtout de la construction masculine mais sur un versant culturaliste voir (sic) raciste...", se justifie-t-elle. ACTE 2, ELLE EST SUSPENDUE Ces explications n'ont pas convaincu Gilles Poux, le maire de La Courneuve. "Ces propos qui minimisent et banalisent des actes de terrorisme d'une sauvagerie inouïe ne méritent que la condamnation", réagit-il dans un communiqué. Il affirme lancer "sans attendre" "une mesure disciplinaire accompagnée d'une suspension à effet immédiat à l'encontre de madame Sonya (sic) Nour, en attendant que l'instruction administrative aboutisse".De son côté le porte-parole du Front national et conseiller régional Jordan Bardella a annoncé, sur son compte Twitter, avoir saisi le procureur de la République de Bobigny pour "apologie du terrorisme". ACTE 3, L'INSOUMISE ZOÉ DESBUREAUX LA SOUTIENTEn revanche, Sonia Nour a trouvé mardi du soutien chez Zoé Desbureaux, enseignante et suppléante de François Ruffin (la France insoumise, LFI) dans la Somme. Sur Twitter, elle a exprimé son "soutien total" et sa "tristesse de voir que la gauche cède à la propagande et à la désinformation fasciste". "Force à toi, Sonia, tu n'es pas seule", a-t-elle écrit. Elle a également dénoncé "les pressions de la fachosphère et de la gauche cassoulet". Son compte a, depuis, été supprimé. ACTE 4, FERRAND DEMANDE DES COMPTES À MÉLENCHONLa polémique s'est poursuivie mercredi à l'Assemblée nationale. Le chef de file des députés LREM, Richard Ferrand, a demandé à son homologue de LFI, Jean-Luc Mélenchon, de commenter les déclarations de Zoé Desbureaux. "Il n'est pas possible que le président Mélenchon n'ait pas une expression publique pour dire s'il approuve ou désapprouve les déclarations de la suppléante" de François Ruffin, "qui banalisent ce qui s'est passé à Marseille", juge l'élu du Finistère. Pour lui, les propos de Zoé Desbureaux sont "extrêmement choquants".
Dans un message sur Facebook lundi, au lendemain de la mort de deux jeunes femmes sur le parvis de la gare Saint-Charles, Sonia Nour parle du tueur comme d'un "martyr". La fonctionnaire est suspendue.
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Si l'information en avait étonné certains, elle avait aussi alimenté les théories les plus folles en temps de crise sociale et de débat autour de la réforme des retraites. La fille de Brigitte Macron, Tiphaine Auzière travaillerait pour la CFDT, un des syndicats opposés au projet présenté en décembre. Une rumeur complotisteC'est en tout cas la rumeur qui a agité les réseaux sociaux et encouragé de nombreux internautes à dénoncer un conflit d'intérêt entre l'organisation syndicale et le gouvernement. La CFDT se situe en effet sur une ligne d'opposition moins dure à l'encontre de l'exécutif que d'autres syndicats. Laurent Berger, son secrétaire général, a notamment salué ce lundi le retrait provisoire de l'âge pivot du texte, la mesure la plus contestée du projet et indiqué qu'il n'appelait pas à la grève cette semaine. Des internautes y ont vu une attitude conciliante justifiée par la supposée activité de la belle-fille d'Emmanuel Macron, Tiphaine Auzière. "Défenseur syndical" stagiaire et pas avocateSauf que cette information n'est pas exacte. La juriste originaire du nord de la France n'a jamais été l'avocate de la CFDT. Mais elle a été "défenseur syndical" de l'organisation alors qu'elle étudiait encore, il y a plus dix ans.Or un défenseur syndical est loin d'être un avocat. Il s'agit d'"un salarié autorisé à assister ou représenter un autre salarié engagé dans une procédure contentieuse", devant les prud'hommes notamment, détaille le site service-public.fr. La rédaction de France info a contacté Tiphaine Auzière qui a catégoriquement nié avoir été ou être l'avocate de l'organisation syndicale. En revanche, elle a confirmé avoir été "défenseur syndical" dans le cadre d'un stage effectué pendant ses études auprès de la branche de la CFDT représentant les entreprises du secteur de l'informatique, de la publicité et du conseil.La direction de la CFDT a également nié l'activité prêtée initialement à la fille de Brigitte Macron.
La fille de Brigitte Macron n'a en réalité jamais été l'avocate du célèbre syndicat.
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Il avait effectué une série de tests en début de semaine. Comme le relaye France Bleu, le prince Albert II de Monaco a contracté le coronavirus. Le communiqué de presse du Palais princier précise que son état de santé "n'inspire aucune inquiétude". Le communiqué indique par ailleurs qu'il "continue de travailler depuis son bureau et ses appartements privés". Le prince serait donc le 10e résident monégasque à avoir contracté le Covid-19 puisque le gouvernement monégasque annonçait mercredi que le nombre de cas était de neuf en Principauté. Des nouvelles sur la santé du prince Albert II seront données régulièrement par le palais dans les prochains jours. Aucun élément concernant d'éventuels autres cas dans la famille princière n'a été communiqué.Pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, le prince Albert II de Monaco a "instamment" demandé à ses concitoyens de respecter les mesures de confinement et de limiter les contacts avec d'autres personnes.
Comme l'a annoncé le Palais princier ce jeudi 19 mars, le prince Albert II de Monaco a été testé positif au coronavirus. Son état de santé n'inspirerait toutefois "aucune inquiétude".
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Cette partie du dossier va donc être délocalisée de Dijon vers la cour d'appel de Paris. Si cette dernière juge que la garde à vue de l'adolescente n'était pas légale, toute mention à celle-ci pourrait disparaître du dossier. Après la décision du Conseil constitutionnel, celle de la Cour de la cassation ouvre la voie à l'annulation de la garde à vue de Murielle Bolle. Placée en garde à vue en novembre 1984, quelques jours après la mort du petit Grégory Villemin, alors qu'elle n'avait que 15 ans, elle avait été interrogée par les gendarmes, puis par le juge d'instruction chargé de l'enquête. La jeune fille avait affirmé que le jour de la disparition de l'enfant, son beau-frère Bernard Laroche, un cousin de Jean-Marie Villemin, le père de Grégory, avait emmené en voiture, en sa présence, un petit garçon correspondant à la description de la petite victime. Elle s'était ensuite rétractée après avoir passé une soirée dans sa famille, affirmant que les gendarmes l'avaient obligée à accuser le mari de sa sœur. Quelques mois plus tard, en mars 1985, Jean-Marie Villemin tuait son cousin d'un coup de fusil. Depuis sa volte-face, Murielle Bolle n'a cessé de clamer l'innocence de Bernard Laroche. Aujourd'hui encore, cette rétractation reste au cœur de l'enquête. Les droits des mineurs pas respectés La Cour de cassation a reconnu, mardi 19 février, que sa garde à vue a été effectuée en application de dispositions "inconstitutionnelles". Elle charge la cour d'appel de Paris de réexaminer la question de son annulation. En novembre dernier, le Conseil constitutionnel avait déjà accordé une grande victoire à Murielle Bolle en jugeant sa garde à vue de 1984 inconstitutionnelle. Les Sages ont censuré plusieurs dispositions de l'ordonnance de 1945 sur "l'enfance délinquante", qui régissait à l'époque le traitement judiciaire des mineurs, telle qu'elle était écrite en 1984. Par exemple, la loi ne prévoyait alors ni présence d'un avocat, ni notification du droit de se taire. L'annulation entre les mains de la cour d'appel de ParisDans la droite ligne du Conseil constitutionnel, la Cour de cassation, chargée de tirer les conséquences de sa décision sur le plan judiciaire, estime que "la garde à vue de Mme Bolle a été effectuée en application des dispositions déclarées inconstitutionnelles", référence à ces dispositions censurées de l'ordonnance de 1945. Elle renvoie donc cette partie du dossier instruit à Dijon devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris. Celle-ci devra statuer sur l'annulation de cette garde à vue, ainsi que de toutes les pièces du dossier s'appuyant sur les propos de l'adolescente de l'époque. Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, 4 ans, était retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne, une rivière des Vosges, quelques heures après avoir disparu du jardin de la maison familiale de Lépanges-sur-Vologne. Depuis plusieurs années, ses parents, Christine et Jean-Marie Villemin, recevaient des menaces téléphoniques et par courrier d'un corbeau. Celui-ci n'a jamais été identifié et l'identité du meurtrier du petit garçon reste également un mystère.
JUSTICE. La Cour de cassation, la plus haute autorité de l'ordre judiciaire, a estimé, mardi, que la garde à vue de Murielle Bolle, en novembre 1984, n'était pas conforme à la Constitution.
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On a coutume de dire qu'il ne faut pas avoir froid aux yeux quand on se lance des défis sportifs. C'est semble-t-il dans cet état d'esprit-ci que Maïté Barsacq, âgée de 82 ans, a réalisé le premier saut en parachute de sa vie, explique Brut qui l'a rencontrée. Suivie de bout en bout par le média, l'octogénaire semblait d'ailleurs très à l'aise au moment de faire son saut accompagnée d'un professionnel. "Je ne me suis pas posé la question de savoir si j'étais capable ou non de le faire. J'en avais envie, donc je m'en suis donné les moyens", souligne-t-elle devant les caméras de Brut. Car tout n'a pas été simple. Comme elle le raconte, elle a traversé des périodes difficiles dans sa vie et a cru ne jamais pouvoir remarcher. "Pendant un an, je n'ai pas pu conduire ma voiture. Je ne pouvais pas marcher", rappelle-t-elle à Brut sans pour autant imaginer un jour abandonner. Dans la fleur de l'âge A force de travail et de séances de rééducation avec des kinés, Maïté a finalement pu remarcher et compte bien profiter de sa retraite pour assouvir d'autres rêves. D'ailleurs, c'est son amour pour le sport qui se retranscrit aujourd'hui dans ce saut, décrit Brut. Maïté Barsacq voulait être professeur de gymnastique quand elle était petite. Aujourd'hui, malgré son âge, elle affiche une nouvelle jeunesse. "Dans ma tête, je ne suis pas vieille. J'ai encore plein d'envies, je fais beaucoup de choses", confie-t-elle à Brut.
Maïté Barsacq a réalisé le rêve d'une vie malgré les contraintes liées au saut et les épreuves qu'elle a subies dans sa vie, raconte Brut.
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Le message est on ne peut plus clair. La FNSEA engage un bras de fer avec le gouvernement. "Comme nous n'avons pas de réponse du gouvernement, nous allons continuer nos actions syndicales: dans quelques jours nous allons bloquer les stations d'épuration; ceux qui nous imposent des contraintes vont aussi conserver leurs déchets", a déclaré Jérôme Despey, secrétaire général du syndicat agricole majoritaire, lors d'une conférence de presse. "Qui va assumer les boues de stations d'épuration des citadins? Pour l'instant, c'est un service rendu gratuitement par les agriculteurs. Mais puisque nous sommes rejetés et que le dialogue a été rompu par des maires, y compris par des maires qui n'ont pas voulu jouer leur rôle de médiateur", les municipalités vont devoir gérer seules ce qui représente un million de tonnes de matières sèches en volume par an, a expliqué la présidente de la FNSEA Christiane Lambert. Envoyer les boues d'épuration dans des stations de traitement a un coût 10 à 20 fois supérieur pour les collectivités par rapport à l'épandage par les agriculteurs, selon le syndicat.L'arrêté de décembre dans le viseurUn arrêté publié à la toute fin décembre par le gouvernement impose depuis le 1er janvier des distances minimales de pulvérisation des produits phytosanitaires recommandées par l'Agence française de sécurité sanitaire (Anses): cinq mètres des habitations pour les cultures dites basses comme les légumes et céréales; dix mètres pour les cultures hautes, fruitiers ou vignes; et 20 mètres pour les produits "les plus dangereux", qui ne représentent toutefois qu'environ 0,3% des substances actives utilisées.La FNSEA avait exigé à la fin de la semaine dernière un moratoire sur l'application de ces ZNT, en menaçant de mener des actions de protestation si elle n'était pas écoutée avant sa conférence de presse de mardi.Plus tôt dans la matinée, le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume avait fait part de son impuissance, à propos de l'application de ces zones de non-traitement.Le ministre a évoqué le conseil d'État qui a "imposé" au gouvernement de "mieux protéger les riverains", lors de la conférence de presse de présentation du salon de l'agriculture."Il est exact que l'État a été par le Conseil d'Etat de modifier la réglementation sur la protection des riverains et sur le sujet des ZNT pour le 26 décembre (...) en revanche, sur la manière de le faire, il y avait plein de possibilités", a estimé Eric Thirouin, secrétaire général adjoint du syndicat.
L'organisation syndicale réclame un moratoire sur l'instauration de zone de non traitement (ZNT) aux pesticides près des habitations.
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Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin démissionnera samedi 29 août de son mandat de maire de son fief, a indiqué lundi soir son entourage à l'AFP. Dès sa nomination en tant que ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin avait déclaré qu'il ne cumulerait pas cette fonction avec celle de maire. Sa démission sera remise samedi après la célébration de son mariage avec Marie-Rose en secondes noces en mairie, a précisé son entourage à l'AFP, confirmant une information du magazine Closer. "Etre ministre de l'Intérieur, c'est être ministre à temps plein. Mais mon cœur reste à Tourcoing. Je suis toujours élu de notre ville et je redeviendrai maire dès ma mission nationale terminée", a-t-il écrit sur Twitter.Dans un premier temps, Gérald Darmanin avait annoncé qu'il cèderait son fauteuil d'édile dès le mois de juillet, avant de déclarer que finalement le nouveau maire de Tourcoing serait connu en août. Selon son cabinet interrogé fin juillet, ce report d'un mois était dû à des "réunions annulées par deux fois" en raison "d'urgences", notamment en rapport avec l'incendie de la cathédrale de Nantes, sans autre commentaire.Son successeur sera connu courant septembreFinalement, son successeur sera élu lors d'un conseil municipal en septembre, dont la date exacte n'est pas encore fixée, selon la même source. Gérald Darmanin continuera à siéger au conseil municipal et le choix du futur maire n'est pas encore arrêté, a-t-on précisé.Gérald Darmanin, réélu haut avec 60,9 % des voix au premier tour des élections municipales le 15 mars, sur fond d'abstention record. Selon la jurisprudence instaurée par Lionel Jospin en 1997, un ministre ne peut pas diriger un exécutif local. Certes, il s'agit d'une règle non-écrite -qui a souffert des exceptions, à gauche comme à droite (Le Drian, Sarkozy...)- mais l'ex-Premier ministre Edouard Philippe l'avait sanctuarisée en septembre 2019.
Initialement prévue le 14 juillet, la démission de Gérald Darmanin de son mandat de maire de Tourcoing (Nord) aura lieu samedi 29 août.
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Journal historique de la deuxième ville de France, La Marseillaise, fondée en 1943 par le Parti communiste, avait été placée en liquidation judiciaire le 13 juillet. Et après une marque d'intérêt non transformée de La Provence, associée au fondateur d'Iliad (Free) Xavier Niel, Maritima reste seule en lice.Le groupe Maritima Médias compte une radio, un site internet et une télévision locale, et son capital est détenu à 84% par la mairie de Martigues, dernier bastion communiste des Bouches-du-Rhône. En presque quarante ans d'existence, la radio Maritima a réussi à s'imposer localement avec 55.000 auditeurs par jour selon Médiamétrie et des fréquences s'étendant au-delà de l'étang de Berre, au bord duquel est situé Martigues."Nous n'avons aucune crainte sur cette offre qui préserve notre ligne éditoriale, le volume d'emploi avec des engagements sur une revalorisation salariale. Nous n'avons pas de tabou pour changer si ce n'est garder l'ossature de notre ligne éditoriale, tournée vers le social, l'associatif, très politique, très à gauche", a expliqué Emilie Parente, de la CGT.De la rédaction en chef aux syndicats, tous les salariés de La Marseillaise accueillent favorablement cette offre de la dernière chance pour un journal qui a connu de nombreux soubresauts financiers et est passé de 200 employés en 2014 à une cinquantaine aujourd'hui.Dans son projet, Maritima envisage d'ouvrir un peu cette ligne éditoriale, en essayant d'être "moins étiquetée et plus en lien avec le Printemps marseillais", liste de gauche unie qui a emporté la mairie de Marseille en juillet dernier, détaille le directeur de Maritima Thierry Debard. A ses yeux, il y a aussi un "travail de rajeunissement" à faire, notamment sur le site internet ou les réseaux sociaux.La décision du tribunal a été mise en délibéré au 7 octobre.
Le tribunal de commerce de Marseille a examiné mardi à huis clos la seule offre de reprise de l'emblématique quotidien La Marseillaise, portée par Maritima Médias, un groupe détenu par la mairie communiste de Martigues.
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C'est ce qu'on appelle un renfort de choc. Si le mercato des clubs de Ligue 1 est terminé depuis le samedi premier septembre, celui de « Danse avec les stars » bat son plein. Comme le relève un article du site de BFMTV, le télé-crochet de TF1 tient l'une de ses recrues phares : la Miss France 2015 et Miss Univers 2016, Iris Mittenaere. La belle s'était pourtant laissé désirer. Comme le rappelle BFMTV, la jeune femme de 25 ans originaire de Lille avait en effet refusé pendant deux ans les propositions de l'émission. Mais elle a fini par céder.La présentatrice de «Ninja Warrior» rejoint un casting qui compte déjà plusieurs autres étoiles. Comme le rappelle BMFTV, la reine de beauté sera en effet accompagnée, pour la neuvième saison de l'émission, par la star hollywoodienne et compagne du champion du monde Adil Rami, Pamela Anderson, l'ancien footballeur champion d'Europe en 1993 avec l'Olympique de Marseille, Basile Boli, l'actrice de «Tamara» Héloïse Martin, l'humoriste Jeanfi Janssens, l'acteur de «Demain nous appartient» Clément Rémiens ou l'animateur et ancien international français de rugby à XV, Vincent Moscato. «Danse avec les stars» sera diffusé sur TF1 à partir du mois d'octobre et devrait se terminer en décembre. L'émission vivra une petite révolution, puisque Sandrine Quétier, animatrice du télé-crochet depuis 2011, a décidé de quitter l'aventure afin de se lancer dans le théâtre. Comme le rappelle BFMTV, la relève est déjà assurée. Camille Combal et Karine Ferri auront ainsi la charge d'animer l'émission.
TF1 enregistre une recrue de choix. Comme le relève un article du site de BFMTV, Iris Mittenaere participera à la prochaine édition de «Danse avec les stars.»
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A 33 ans, cet ancien agent d'équipage aérien sud-coréen attend à présent de reprendre la route en tuant le temps dans les livres ou les séries télévisées, sans savoir quand se rouvriront les frontières d'un des pays les plus pauvres du monde, qui est aussi l'un des plus durement touchés par le Covid-19 en Afrique de l'Ouest.Le jeune homme à la longue chevelure et au sourire facile raconte un de ces innombrables itinéraires personnels singuliers qui ont en commun d'avoir été déréglés par la maladie. Lui l'Asiatique abusivement assimilé à la provenance du virus aura fait pour la première fois l'expérience de la xénophobie, explique-t-il avec détachement."Ce truc (l'épidémie) est devenu quelque chose de vraiment grave au moment où je me trouvais en Guinée", raconte-t-il. La Guinée a fermé ses frontières après l'officialisation du premier cas de contamination la deuxième semaine de mars.Piégé dans la capitale Conakry comme tant d'autres voyageurs ailleurs, Raymond Lee raconte que sept ou huit hôtels ont refusé de l'accueillir."Ils ne m'ont pas accepté parce que j'étais Asiatique", souligne-t-il, rendant compte à son tour du rejet rapporté par de nombreux Asiatiques depuis l'apparition du coronavirus en décembre en Chine."Personnellement, je n'avais jamais été confronté au racisme de ma vie, c'est la première fois".- Juste une étape -En désespoir de cause, Raymond Lee a commencé à demander aux gens dans la rue de l'héberger, et dit s'être fait rouler par un individu qui a accepté de le loger pour 50 euros puis qui a disparu avec l'argent sans plus donner de nouvelles. Raymond Lee s'est rabattu temporairement sur un hôtel haut de gamme où ses moyens ne lui ont pas permis de s'éterniser.Après avoir lancé un message de détresse sur Facebook, il a fini par être mis en contact avec une pension où il se trouve à présent et, pense-t-il, pour encore plusieurs mois.Ces petitesses ne l'ont pas autrement scandalisé. C'est moins grave que d'être heurté par un camion ou de tomber malade loin de chez soi, et puis il y a plein de gens bien à Conakry, assure-t-il."Cela ne m'a pas choqué", tempère-t-il, "on s'attend à beaucoup de choses imprévues" quand on prend la route.C'était en mars 2018 en ce qui le concerne. Départ de Nouvelle-Zélande, où il a ouvert un carnet de voyage sur YouTube. Puis vol pour l'Australie, où il a travaillé et fait des économies. Ensuite l'Europe, l'épreuve des montagnes italiennes et espagnoles, le Maroc, la traversée du désert et "des jours, des semaines, des mois d'horizon infini"."Le vélo, c'est le meilleur moyen de voyager à travers le monde", affirme-t-il.Il prend son immobilisation en patience en attendant de pouvoir pédaler jusqu'en Côte d'Ivoire. Et de là, l'Afrique du Sud peut-être, à des milliers de kilomètres, un voyage qui pourrait lui prendre plus d'un an, évalue-t-il.Il s'arrêtera quand et où il le voudra. "Je veux voir le plus de pays possible tant que j'en suis capable".
Cela faisait deux ans que Raymond Lee faisait le tour du monde à vélo quand la pandémie de nouveau coronavirus partie de son Asie d'origine l'a rattrapé en Afrique et qu'il s'est retrouvé coincé en Guinée.
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Une initiative personnelle loin d'être du goût du premier ministre : "on ne peut pas céder au populisme et dénoncer le système en étant soi-même le produit de ce système", avait déclaré Manuel Valls au lendemain de l'événement politique. La veille, il s'était énervé sifflant la fin de la récré avec son "il est temps que ça s'arrête". Une phrase assassine révélatrice de l'atmosphère tendue qui règnerait entre les deux hommes. Une certaine rivalité qu'ils ne cherchent même plus à cacher. Manuel Valls aurait même demandé à ses proches de "taper, taper, taper" sur Macron. Une attitude dénoncée par les proches de la nouvelle star de la politique. "Ce n'est pas adroit de la part d'un premier ministre de demander publiquement la tête d'un ministre au président de la République, alors qu'il n'arrive pas à l'obtenir. Il fait lui-même la démonstration de sa propre faiblesse", aurait déclaré un proche d'Emmanuel Macron dans l'Obs. Le 14 juillet, les deux hommes s'étaient fait la bise. Un moment de paix orchestrée affichée avant la prochaine attaque.
Juste avant le terrible attentat de Nice du 14 juillet, c'était la guéguerre entre Manuel Valls et Emmanuel Macron qui faisait la Une de l'actualité. Le ministre de l'économie avait organisé son premier grand meeting au nom de son mouvement "En marche" à la Mutualité le 12 juillet dernier.
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Et si chaque Français payait l'impôt sur le revenu ? "Chacun pourrait contribuer à la hauteur de ses moyens, y compris les plus modestes, même de manière très symbolique, pour recréer le lien entre citoyen et impôt. Chacun pourrait payer l'impôt sur le revenu. Y compris les plus modestes, même un euro", a estimé ce 24 février Jacqueline Gouraut dans le JDD. En plein grand débat censé répondre à la crise des "gilets jaunes", la ministre de la Cohésion des territoires y voit une piste de sortie, alors que moins d'un ménage sur deux (43%) s'acquitte de cet impôt aujourd'hui. À peine évoquée, cette proposition a été aussitôt enterrée par Matignon. "Les Français payent déjà l'impôt dès le premier euro avec la CSG. Tous payent la TVA", a-t-on rappelé, et l'exécutif s'est engagé à "baisser" les impôts.L'extension de l'impôt sur le revenu à tous serait par ailleurs assez peu rentable, souligne le JDD, selon qui "les montants promis par l'impôt universel relèvent plus de l'argent de poche que des recettes miracles". Appliqué aux 16 millions de foyers français qui ne paient pas d'impôt sur le revenu et fixé à 50 euros, il rapporterait 800 millions d'euros. Une goutte d'eau en comparaison des 77 milliards d'euros qu'a rapporté l'impôt sur le revenu en 2017, les 188 milliards d'euros encaissés grâce à la TVA ou encore les 115 milliards d'euros de la CSG. À titre de comparaison, 30 milliards d'euros échappent chaque année à l'impôt grâce aux niches fiscales, souligne l'hebdomadaire. Le JDD explique par ailleurs que l'impôt sur le revenu universel pourrait se révéler contre-productif. En effet, l'administration fiscale a fixé à 61 euros le seuil au-dessous duquel le recouvrement de l'impôt coûte plus cher qu'il ne rapporte.
Que chaque Français paye l'impôt sur le revenu, "même un euro", pourrait être l'une des pistes de sortie du grand débat national, a estimé la ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault, dans Le Journal du dimanche (JDD). Une piste aussitôt écartée par Matignon, qui ne serait en réalité pas très rentable, souligne l'hebdomadaire.
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Nouvelle vie, nouveau nom ? Marion Maréchal-Le Pen, qui doit lancer en juin une académie de sciences politiques des droites, vient de retirer le "Le Pen" sur son compte Facebook, ainsi que l'ont remarqué vendredi 18 mai plusieurs journalistes. Sur Twitter, le magazine L'Incorrect, fondé en septembre par des proches de l'ancienne députée FN du Vaucluse a par ailleurs publié dans la matinée une affiche pour promouvoir la prise de parole de "Marion Maréchal" le 31 mai sur le thème de "Débranchons mai 68".Olivier Monteil, un conseiller régional du Front national s'interroge. L'ancienne élue a-t-elle "honte de son nom" ?Marion Maréchal-Le Pen, qui a quitté la vie politique après l'échec de sa tante Marine Le Pen à la présidentielle en mai 2017, a-t-elle tourné définitivement la page ? Fin février, la jeune femme de 28 ans avait fait un retour marqué devant le gratin conservateur américain à Washington. Elle y avait souhaité rendre à la France "sa grandeur", reprenant le slogan du président américain Donald Trump. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l'Église à petite-nièce de l'islam", avait-elle déploré.
Plusieurs journalistes ont repéré que l'ex-députée FN du Vaucluse, qui a quitté la vie politique après l'échec de sa tante Marine Le Pen à la présidentielle en mai 2017, avait récemment retiré une partie de son patronyme sur les réseaux sociaux.
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Elle n'avait pas obtenu l'investiture de son mouvement, elle se présentera quand même. Alexandra Cordier, 36 ans, a annoncé samedi matin sa candidature à la mairie de Besançon, et présenté sa liste, qui comprend notamment le maire sortant de Besançon, Jean-Louis Fousseret (LREM). Le député marcheur, ancien écologiste, Eric Alauzet, lui avait été préféré par la commission d'investiture et les tentatives de rassemblement entre les deux personnalités avaient échoué."On a choisi de ne pas prendre en considération cet avis de Paris. Notre liste, 'Ensemble !', a pour objectif de défendre l'intérêt des Bisontins et faut-il être bien avec Paris ou bien avec les Bisontins ?", a-t-elle exposé samedi lors d'une conférence de presse.Le maire de Besançon, Jean-Louis Fousseret, avait été l'un des premiers maires de France à rejoindre Emmanuel Macron. Il sera 55e sur la liste d'Alexandra Cordier, une position non éligible, aux côtés d'une figure locale, l'avocat pénaliste Randall Schwerdorffer.En ordre disperséJean-Louis Fousseret a été élu pour la première fois maire socialiste de Besançon en 2001, avant d'enchaîner trois mandats à la tête de cette ville à gauche depuis plus de 60 ans. Cette liste sans étiquette "s'inscrit dans la continuité de ce qui a été fait pendant 20 ans à Besançon, avec le renouveau des personnes et des pratiques", a déclaré Mme Cordier, qui a récemment quitté son poste d'attachée de presse de la ville de Besançon.Stanislas Guérini, délégué général de la République en marche, était venu en novembre à Besançon avec Brune Poirson, secrétaire d'Etat à la Transition écologique, inaugurer la permanence du candidat officiel du parti Eric Alauzet. Le Modem a annoncé samedi lors d'une conférence de presse apporter son soutien à ce dernier. A Besançon, les déchirements au sein de LREM pourraient servir les intérêts de la liste d'Anne Vignot, une écologiste qui a su rassembler derrière elle le PS, Générations, EELV et le PCF. La liste Les Républicains est menée par Ludovic Fagaut, celle du RN par Jacques Ricciardetti.
Il s'agit d'Alexandra Cordier, ancienne référente départementale LREM dans le département du Doubs.
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La bataille des élections européennes de mai 2019 s'organise dans chaque parti et LREM n'est pas en reste. Selon Le Monde, le parti présidentiel s'intéresse de près au journaliste Bernard Guetta, bien connu des auditeurs de France Inter pour y avoir tenu de 1991 à 2018 la chronique internationale "Géopolitique". Lauréat du prix Albert-Londres, qui récompense les meilleurs grands reporters francophones, le journaliste de 67 ans est "une hypothèse réelle", assure-t-on à la direction du parti. Certains le verraient même tête de liste, soulignant qu'il "coche de nombreuses cases" : issu de la société civile, défenseur de la cause européenne et un nom connu.Interrogé par le quotidien, Bernard Guetta assure que personne ne l'a contacté, mais ne ferme pas la porte. "Si on me le propose, je verrai bien. J'y réfléchirai... Ce sera un dilemme". "Ce sera compliqué pour moi car la cause européenne m'est chère et je n'y serais pas indifférent", poursuit-il. Le journaliste avait décidé de quitter France Inter la saison dernière pour se lancer dans un "tour du monde" pour des enquêtes publiées chez Flammarion.
L'ancien journaliste de France Inter est "une hypothèse réelle" pour la bataille des élections européennes, assure la direction de La République en marche (LREM), rapporte Le Monde. Interrogé par le quotidien, le principal intéressé assure qu'il n'a pas été contacté mais ne ferme pas la porte.
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Donc pas question de transposer ce qui s'est passé aux États-Unis avec l'élection de Donald Trump. invité de Public Sénat ce jeudi, le maire de Bordeaux a refusé de faire le parallèle avec le succès de Trump. "La façon dont certains essaient de récupérer ce qui s'est passé aux Etats-Unis est ridicule. Je pense à tout le monde et à beaucoup de mes concurrents", a-t-il d'abord lâché. "Je ne suis pas Hillary Clinton. Et qui est Trump chez nous ? Il y a plusieurs Trump. Écoutez soyons sérieux. C'est très bien, il faut tirer les conséquences de cette élection et je l'ai dit, il faut écouter la colère de ceux qui se sentent complètement abandonnés mais en tirer des conséquences sur le plan simplement des personnalités c'est ridicule", a ensuite expliqué Juppé, visiblement agacé.
Invité de Public Sénat, le candidat à la primaire de la droite a refusé de faire le parallèle entre l'élection américaine et ce qui pourrait se passer en France en 2017.Alain Juppé est focalisé sur la primaire à dix jours du premier tour. Seulement.
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On le sait, une fois la tumeur enlevée, commence un autre combat: éviter la récidive et tenir cinq ans, délai à partir duquel on peut parler de guérison.Jusqu'à aujourd'hui, la seule parade consiste à administrer à presque tous les malades une chimiothérapie, un traitement préventif aux effets secondaires très handicapants. Pourtant, pour nombre de patients, ce traitement est superflu car ils n'avaient pas de risque de rechute. Mais encore aurait-il fallu le savoir.C'est ce que veut permettre aujourd'hui l'aboutissement de recherches menées au Centre de lutte contre le cancer Georges-François Leclerc de Dijon (CGFL)."On voulait faire un outil informatique automatique et gratuit qui permette de savoir qui va récidiver ou pas", explique Valentin Derangère, chercheur au CGFL.Pour ce faire, l'équipe de l'Inserm a utilisé le QuPath, un logiciel "open-source" (accessible gratuitement et modifiable par tous) qui sait lire les "plaques", ces lamelles de verre couvrant un échantillon pour une observation au microscope.Mais encore faut-il dire au logiciel comment interpréter ce qu'il lit, comme on donne à un enfant l'alphabet lui permettant de déchiffrer des mots. "On lui a appris à repérer les tissus, sains ou non, puis à chercher des correspondances pour établir un diagnostic", explique M. Derangère. Pour ce faire, les chercheurs ont monté une bibliothèque tissulaire, provenant de 80 malades atteints du cancer du colon. Elle est constituée de 35.000 "tuiles" (ou segments) qui chacune sont colorées selon la nature du tissu: rouge pour la tumeur, violet pour les cellules immunitaires, orange pour les tissus sains...Ce travail titanesque a permis d'établir un modèle de plaques colorées qui, une fois numérisées, sont autant d'images qu'on "donne à manger au logiciel", ainsi devenu capable d'établir son pronostic, poursuit M. Derangère. - Fiable à 85% -Grâce à cela, "on sait qui va récidiver sur un période de cinq ans", assure le professeur François Ghiringhelli, directeur de l'unité de l'Inserm qui mène les recherches au CGFL."Cela permet d'isoler le petit quart de malades qui a une chance sur deux de rechuter. Ainsi, dès la chirurgie, on sait qu'à ceux-là, il faudra une chimio plus lourde. A l'inverse, on détermine les malades, environ 15%, qui ont de très très bons pronostics et qui, donc, ne nécessitent pas de traitement après l'ablation de la tumeur".Fini donc l'administration à l'aveugle de la chimio à tout malade. "On sait quels patients en ont besoin et qui non".Le logiciel mis au point, entièrement gratuit, s'utilise de plus "sur un PC de bureau ou même un portable standard", souligne Caroline Truntzer, ingénieur de recherche bioinformatique au CGFL.Quant à la fiabilité, elle a fait l'objet d'une étude à partir de lames établies il y a cinq ans sur 1.200 patients: le logiciel a établi un pronostic sur la base de ces plaques qui a été confronté à la réalité. "Notre taux de réussite est de 85%", se félicite M. Derangère.L'invention du CGFL ne concerne pour l'instant que le cancer du côlon mais elle pourra être élargie à d'autres cancers, comme celui du sein, moyennant "un logiciel plus lourd".Des recherches similaires sont menées en Allemagne, ainsi que par une équipe anglo-britannique. En France, l'équipe de Jérôme Galon d'Inserm Transfert, filiale privée de l'Inserm, a développé Immunoscore, un test qui permet également de prédire les risques de récidive. Mais il s'agit d'un produit commercial et qui "ne prend en compte que le système immunitaire", explique le professeur Ghiringhelli. "Nous voulions ajouter le système cellulaire et le tissulaire, pour affiner le pronostic".Le logiciel dijonnais devrait demander son autorisation de mise sur le marché "dans un an ou deux", selon le professeur, à l'issue de nouveaux tests.Mais, d'ores et déjà, il préfigure le bouleversement à venir des soins de santé du fait de l'avènement de l'intelligence artificielle. "L'IA va révolutionner complètement la médecine: c'est l'ordinateur qui validera les pronostics du médecin".
Comment savoir si un traitement lourd préventif est nécessaire ? A Dijon, une équipe de chercheurs a mis au point un logiciel, gratuit et fonctionnant sur un simple PC, qui permet de prédire les risques de rechute de cancer.
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"Merci à tous pour votre soutien, mais le principal c'est de soutenir notre droit à manifester pacifiquement", a déclaré sur sa page Facebook M. Azar, journaliste au journal d'opposition Novaïa Gazeta. "Malheureusement, les choses ont encore empiré en ce qui concerne ce droit", a-t-il ajouté.Ilia Azar, 35 ans, avait été arrêté en mai pour avoir manifesté en solitaire en soutien à un ancien policier, Vladimir Vorontsov, connu pour son travail sur les violations de la loi par les forces de l'ordre mais poursuivi pour des accusations qu'il affirme montées de toutes pièces.Les manifestations en solitaire sont une forme de protestation courante en Russie, car elles ne nécessitent pas d'autorisation préalable et ne sont dès lors d'ordinaire pas réprimées.La police a toutefois considéré, dans le cas d'Ilia Azar, qu'il avait violé l'interdiction d'organiser des manifestations durant le confinement contre la pandémie du nouveau coronavirus en vigueur à Moscou.Sa condamnation par un tribunal à 15 jours de prison, peine ensuite réduite à 10 jours, avait provoqué des manifestations de protestation de ses collègues et soutiens, dont plusieurs dizaines avaient été brièvement arrêtés sur plusieurs jours.Sa condamnation a été dénoncée par l'ONG Amnesty international et l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).L'été dernier, M. Azar avait participé à l'organisation d'une série de rassemblements antigouvernementaux à Moscou, réclamant des élections équitables, auxquels avaient participé des dizaines de milliers de personnes.
Le journaliste et député municipal d'opposition russe Ilia Azar a retrouvé la liberté dimanche après avoir passé 10 jours en prison pour une manifestation en solitaire à Moscou, une détention qui avait provoqué des protestations.
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La situation devient de plus en plus préoccupante en France. En 24 heures, 2.288 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus, une progression inédite depuis le mois de mai, d'après le bilan quotidien de la Direction générale de la Santé (DGS) publié ce vendredi 7 août. En tout, plus de 9.330 nouveaux cas ont été enregistrés en une semaine (dont 1.604 jeudi et 1.695 mercredi), alors que la barre des 1.000 contaminations par jour avait été de nouveau franchie fin juillet."Les indicateurs se dégradent, confirmant une circulation plus active du virus sur l'ensemble du territoire, en particulier chez les jeunes adultes", a souligné la Direction générale de la Santé en appelant à "renforcer la vigilance". En outre, depuis jeudi, 21 nouveaux clusters sont apparus, portant leur nombre total à 787, dont 288 actifs et 499 clôturés.Le nombre des patients du Covid-19 en réanimation a en revanche légèrement baissé à 383 malades, soit sept de moins que la veille, alors que ce solde de malades en réanimation oscille entre hausse et baisse ces derniers jours, rompant ainsi avec la baisse continue observée depuis avril.Masques obligatoires dans plusieurs villesPour tenter de freiner la propagation du virus, plusieurs villes ont rendu obligatoire le port du masque même à l'extérieur - Marseille, Ajaccio, Lille, Toulouse, Nice, Bayonne, Blois, Nancy, Tours ou encore Saint-Tropez, où deux clusters ont été identifiés. Objectif : éviter le reconfinement.La France compte désormais 30.324 décès, soit 12 de plus que jeudi, dont 19.818 au sein des établissements hospitaliers et 10.506 en établissements sociaux et médico-sociaux. Ce dernier chiffre, qui date de mardi, sera actualisé le 11 août.Mardi, le Conseil scientifique, qui guide le gouvernement dans la lutte contre le Covid-19, avait prévenu que la France n'était pas à l'abri d'une reprise incontrôlée de l'épidémie, et exhorté les Français à respecter les mesures barrières.
2.288 nouveaux cas de coronavirus ont été enregistrés ces dernières 24 heures en France selon la Direction générale de la Santé ce vendredi 7 août. Il s'agit d'une progression inédite depuis mai.
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Des coupons de 20 euros offerts à chaque famille pour les inciter à retourner dans les restaurants. C'est l'idée mise en place par la ville de Chevreuse dans les Yvelines depuis le mois de juillet, indique France 3. Elle a permis aux restaurateurs locaux de voir revenir les clients en salle et de limiter la casse. Dans le Nord, la ville de Hem a délivré des bons de 10 euros à chacun des 7 000 foyers de la commune. Une bouffée d'oxygène pour la trésorerie des restaurateurs, particulièrement éprouvés par les longs mois sans clientèle. Un secteur profondément touché par la crise sanitaireLes mesures de confinement et obligations de fermeture du printemps ont été particulièrement lourdes de conséquences pour les cafés, hôtels et restaurants. En France, les restaurants n'ont pu rouvrir leurs portes aux clients que début juin. Et encore, seulement ceux situés dans les départements classés "zone verte". 15% des restaurants pourraient fermer avant la fin de l'année 2020. Le secteur a enregistré une baisse de chiffre d'affaires de plus de 85%. Dans le secteur des hôtels-restaurants, près de 200 000 emplois sont menacés. En Espagne, pays très touché par la crise sanitaire, ce sont déjà 40 000 établissements qui ont fermé, soit près de 15% des hôtels et restaurants.La mesure forte du gouvernement britanniqueAu Royaume-Uni, où 22 000 emplois ont été supprimés dans la restauration suite à la crise sanitaire, le gouvernement a opté pour une mesure radicale : payer la moitié de l'addition, en dehors de l'alcool. Une mesure mise en place depuis le début du mois d'août, pour un total de 550 millions d'euros consacré à cette aide ambitieuse. Une mesure qui semble porter ses fruits à en croire les analyses du CEBR, un centre de recherche économique britannique. Selon eux, la baisse fréquentation dans les restaurants a nettement baissé depuis la mise en place de cette mesure.
Si en Angleterre, l'Etat rembourse la moitié de l'addition, certaines communes en France délivrent des coupons pour encourager les familles à retourner au restaurant, rapporte France 3.
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"J'étais terrifiée quand j'ai découvert que j'étais enceinte (...) Je pense que si on nous avait parlé de rapports sexuels protégés, nous ne serions pas tombés dans ce piège", explique à l'AFP la jeune femme, aujourd'hui âgée de 20 ans.Huong, un pseudonyme pour protéger son identité, a 16 ans quand elle apprend qu'elle attend un enfant. Elle se tourne vers une amie plus âgée qui l'oriente vers une clinique privée où elle subit une opération. "Ça m'a fait vraiment mal". Après, "j'ai ressenti (...) une grande insécurité et un grand vide", raconte-t-elle.Elle retombe enceinte deux ans plus tard. Mieux informée, elle recourt alors à la pilule abortive.Son cas n'est pas isolé dans un pays où le taux d'avortement a longtemps été l'un des plus élevés au monde.Le Vietnam a une population jeune et les comportements sexuels ont radicalement changé ces dernières années, avec des rapports plus tôt et des mariages plus tardifs. La multiplication des applications de rencontre, une meilleure distribution des préservatifs et des pilules contraceptives ont aussi fait bouger certaines lignes.Mais à la maison ou à l'école, le sexe reste un sujet "en quelque sorte interdit", relève Linh Hoang, 23 ans, partie en croisade pour faire évoluer les mentalités du pays communiste. La sexualité protégée n'est pas abordée et la société "n'a aucune idée de ce qu'est l'éducation sexuelle ni comment l'enseigner", ajoute la jeune femme qui a fondé à Hanoï avec trois amis WeGrow Edu, une start-up pour parler aux jeunes de sexualité. Lancée il y a dix-huit mois, la petite entreprise vend des coffrets contenant des serviettes hygiéniques, des tests de grossesse et des préservatifs avec des guides pour les utiliser. L'équipe part aussi à la rencontre d'étudiants dans une vingtaine d'écoles de la capitale.- contrôle des naissances - Pendant des décennies, le Vietnam a imposé une politique limitant le nombre d'enfants à deux par famille, mais faute d'éducation et de planning familial, cela a conduit à une explosion des interruptions volontaires de grossesse (IVG).En 2005, on en comptait ainsi 37 pour 100 naissances, selon les données du ministère de la Santé.La politique de contrôle des naissances a depuis été abandonnée et le taux d'avortement est tombé à 12 pour 100 naissances en 2019, contre 29 pour 100 en France en 2018. Mais le chiffre vietnamien est largement sous-estimé selon les experts qui expliquent que de nombreuses IVG sont pratiquées dans des cliniques privées et ne sont donc pas comptabilisées.Légal jusqu'à 22 semaines et facilement accessible dans ces établissements, cette pratique reste utilisée fréquemment, et pas seulement en dernier recours, d'après eux.Il y a toujours une "tendance inquiétante" qui consiste à "considérer l'avortement comme une contraception", confirme Nguyen Van Cong, un jeune médecin qui a fondé le programme d'éducation "We are grown up" ("Nous sommes adultes"). Masturbation, consentement, maladies sexuellement transmissibles: son équipe, qui a déjà rencontré des milliers d'étudiants, évoque tous les sujets.Avec la pandémie de coronavirus, Linh Hoang a dû stopper les réunions, mais elle continue à dispenser ses conseils à travers les coffrets qu'elle vend.Quand ils les reçoivent, "même mes amis confessent que c'est la première fois qu'ils touchent un préservatif", relève-t-elle. Et c'est encore le cas "pour la majorité des gens".
En deux ans, Huong a subi deux interruptions volontaires de grossesse. Faute de libération de la parole dans les foyers et de manque d'éducation sur la pilule ou les préservatifs, de nombreuses Vietnamiennes considèrent encore l'avortement comme un moyen de contraception.
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Vendredi soir, la juge de première instance, Cristina Feijo, de Rio de Janeiro a interdit à TV Globo, la plus grande chaîne du pays, la publication de tout document en lien avec l'enquête visant le fils du président Jair Bolsonaro, qui avait porté l'affaire devant la justice. "Il semble que la censure contre la presse est de retour dans ce pays, comme pendant la période de la dictature militaire" entre 1964 et 1985, a réagi Paulo Jerónimo, le président de l'Association brésilienne de la presse (ABP)."Cette décision complique la couverture journalistique sur les graves accusations à l'encontre du sénateur et empêche la société d'évaluer le travail des autorités dans l'enquête sur les faits", a mis en garde l'Association brésilienne de journalisme d'investigation (Abraji).Flavio Bolsonaro, 39 ans, est visé par une enquête pour une affaire de corruption lorsqu'il était élu de l'Etat de Rio de Janeiro."Je viens de remporter une décision empêchant #globolixo (globo-ordure) de publier tout document de mon affaire en vertu du secret de l'instruction. Je n'ai rien à cacher et j'ai tout expliqué, mais les histoires qu'une partie de la presse invente pour ternir mon image et celle du président Jair Bolsonaro sont des actes criminels", a réagi vendredi Flavio Bolsonaro. Le magazine Crusoé a affirmé le mois dernier que Fabricio Queiroz, un policier à la retraite, ami de Jair Bolsonaro et ancien conseiller de Flavio Bolsonaro, aurait déposé 21 chèques d'un total de 72.000 réais (environ 22.000 dollars) sur le compte de Michelle Bolsonaro, l'épouse du président, entre 2011 et 2016. D'autres documents indiquent que l'épouse de Queiroz aurait déposé 17.000 réais supplémentaires sur le compte de Michelle Bolsonaro, portant la valeur totale à 89.000 réais. Les interrogations de la presse sur ces révélations ont déclenché de violentes réactions du président Bolsonaro. "J'ai envie de te fermer la gueule à coups de poings", avait répondu fin août le président d'extrême droite à une question posée par un journaliste d'O Globo sur cette affaire.
Plusieurs syndicats brésiliens de journalistes ont dénoncé samedi la décision d'une juge d'interdire, en vertu du secret de l'instruction, à TV Globo la diffusion de documents concernant l'enquête pour corruption visant le sénateur Flavio Bolsonaro, le fils aîné du président d'extrême droite.
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La France n'est pas encore sortie de la crise, mais le pays n'est plus sans vie. Malgré une reprise de l'épidémie, l'activité économique poursuit sa remontée et si certains secteurs sont toujours en crise, la situation n'est pas si mauvaise que cela. Mieux même, selon Alain Griset, ministre délégué en charge des PME, invité sur BFM Business mercredi 16 septembre, elle est "un peu meilleure que ce qui était prévu". Et selon ses dires, la relance pourrait même être meilleure si les Français y mettaient du leur. "Si ceux qui avaient mis de l'argent de côté pouvaient eux-mêmes contribuer un peu plus à la consommation, ce serait encore mieux", a-t-il ainsi déclaré. "Ils pourraient se faire plaisir, ils pourraient améliorer leur habitat, ils pourraient participer à la relance", a-t-il même encouragé. Et ce, en rappelant qu'au total, depuis le début de l'année 2020, la population a épargné pas moins de 80 milliards d'euros. Selon lui, si l'État participe à hauteur de 100 milliards d'euros à la reprise économique du pays grâce à son plan de relance, il reste toujours cette manne de 80 milliards d'euros qui pourraient profiter à l'activité du pays.Chacun a une "part de responsabilité" "Comme au niveau sanitaire, chaque Français a une part de responsabilité", a insisté Alain Griset sur BFM Business, mercredi. "L'Etat joue son rôle, chaque Français - qui le peut - peut contribuer d'une façon ou d'une autre" à cette relance économique et notamment "en achetant français, en ayant une activité de loisirs quand c'est possible." Jeudi 3 septembre dernier, Jean Castex avait levé le voile sur les détails du plan de relance que le gouvernement mettait sur pied depuis déjà plusieurs longues semaines. Avec un recours massif à la dette, l'exécutif prévoit donc d'allouer 100 milliards d'euros aux entreprises sur les trois prochaines années. Un plan de relance annoncé après déjà des investissements massifs de l'État : 470 milliards d'euros débloqués pour tenter de limiter l'impact de la crise sanitaire à travers des prêts garantis par l'État, un report de charges sociales ou encore la mise en place du chômage partiel.
Invité mercredi 16 septembre de l'émission Good Morning Business sur BFM Business, Alain Griset, ministre délégué en charge des PME a estimé que les Français pouvaient participer à la relance du pays grâce à leur consommation.
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L'astéroïde de 490 mètres de diamètre avait été soigneusement choisi pour cette mission, car les scientifiques pensaient, sur la base d'observations par télescopes, qu'il était couvert de sable "comme une plage", a raconté lors d'une conférence téléphonique Dante Lauretta, de l'université de l'Arizona, responsable scientifique de la mission. Une telle surface aurait garanti une opération d'échantillonnage sans grand danger.Mais en arrivant près du caillou fin 2018, les images ont montré qu'il était en réalité couvert de rochers. "La surface est rugueuse, accidentée, rocheuse", a décrit le scientifique.L'équipe a passé l'année 2019 à cartographier minutieusement la surface pour sélectionner le site de prélèvement qui semble le plus sûr: le cratère de Nightingale. Le 20 octobre, la sonde se rapprochera doucement de Bennu, puis déploiera un bras de prélèvement et visera une zone de huit mètres de diamètre, relativement plane, large comme quatre places de parking."Des années de préparation et de dur labeur par cette équipe vont se résumer à ce contact avec le sol pendant cinq à dix secondes", a résumé Mike Moreau, chef de projet adjoint à la Nasa.En touchant le sol, le robot va souffler de l'azote, ce qui fera voler des grains qui seront ensuite récupérés par le bras d'Osiris-Rex. Le but est de collecter au moins 60 grammes. Selon Mike Moreau, il y a jusqu'à 30% de risque que le bras ne récupère pas assez de matériaux, par exemple si le contact a lieu sur une grosse pierre au lieu de grains plus fins. A plus de 320 millions de kilomètres de distance, les ingénieurs ne peuvent garantir une précision absolue.Une éventuelle seconde tentative pourrait avoir lieu en janvier dans un autre cratère.En mars 2021, Osiris-Rex commencera son long voyage de retour vers la Terre. Elle finira par relâcher le container contenant les échantillons pour un atterrissage dans le désert de l'Utah, ralenti par un parachute, le 24 septembre 2023.Avant cela, les Terriens se préparent à analyser les échantillons d'un autre astéroïde, Ryugu, auquel a rendu visite la sonde japonaise Hayabusa 2 l'an dernier. Le retour sur Terre de ces poussières-là est prévu le 6 décembre prochain.
Après quatre ans de voyage et d'observation, la sonde américaine Osiris-Rex descendra le 20 octobre sur la surface de l'astéroïde Bennu pour prélever des échantillons de son sol, dans l'espoir de les rapporter sur Terre et peut-être de nous éclairer sur la formation du système solaire, a annoncé la Nasa jeudi.
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"Ils peuvent nous tuer et ils s'en sortent avec une tape sur la main", assure jeudi à l'AFP Marcus Reede, 52 ans, un gérant d'une échoppe de grillades qui a grandi dans ce quartier familial de cette ville du Kentucky. Cet Afro-Américain dénonce la clémence du procureur dont auraient bénéficié les agents qui ont tiré sur Breonna, une résidente de "South Louisville". Un anneau doré à l'oreille gauche, il raconte avoir lui-même été brutalisé par les forces de l'ordre lorsqu'il était jeune. "Ils étaient cinq ou six, en train de me frapper et de sauter sur moi", se souvient-il, en retournant ses côtes de porc.Mais a l'époque, regrette-t-il, "il n'y avait pas de caméras" pour filmer les violences. George Floyd, Jacob Blake... La captation d'images de brutalités policières a donné ces derniers mois un écho national à ces affaires et alimenté un mouvement historique contre le racisme.La jeune Breonna Taylor vivait à quelques rues du restaurant de M. Reede, au milieu d'un lotissement en briques, typique des classes populaires américaines."Repose en paix ma jolie, je n'arrêterai pas de me battre tant que tes meurtriers n'auront pas ce qu'ils méritent", mentionne une des lettres déposée contre la terrasse de cet appartement du rez-de-chaussée, au milieu de fleurs et de bougies. "Je n'arrêterai jamais de crier ton nom". Devant le numéro 4 où Breonna Taylor habitait avec son conjoint et sa soeur, une porte blanche est venue remplacer celle enfoncée par les policiers le 13 mars au petit matin.Sur le paillasson voisin, un message glaçant: "Rien à l'intérieur d'ici ne vaut la peine de mourir." - Peur de mourir -La mort de Breonna Taylor, dont le nom est scandé dans des manifestations antiracistes à travers les Etats-Unis depuis des mois, a provoqué une onde de choc dans cette communauté "de travailleurs", "où on essaie de s'en sortir du mieux qu'on peut", selon les mots d'une riveraine, Lillie McBride. L'affaire a réveillé auprès de plusieurs Afro-Américaines la peur de subir le même calvaire."Avant, c'était les hommes noirs" seulement qui se faisaient brutaliser par la police, assure Mme McBride, 46 ans, emmitouflée dans un pull blanc. Cette Afro-Américaine dénonce "l'injustice" à laquelle elle est exposée en raison de la couleur de sa peau."Je me sens toujours menacée", abonde Taina Thomas, qui a côtoyé Breonna Taylor au lycée. "Elle ne méritait pas ça", raconte-t-elle à propos de sa camarade, évoquant une personne "incroyable", "bosseuse", "au bon esprit". Cette femme de 28 ans, deux ans de plus que la travailleuse hospitalière tuée à son domicile, dit échanger régulièrement avec ses amies sur cette angoisse que la mort de Breonna Taylor a ravivée. Et d'assurer: "Cela pourrait être n'importe laquelle d'entre nous".
"On se sent toujours menacé": dans le quartier de Louisville où vivait Breonna Taylor, tuée par des policiers finalement pas poursuivis pour cet homicide, les résidents disent subir depuis trop longtemps les abus ou le racisme des forces de l'ordre.
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Terrible accident ce samedi entre l'île de Port-Cros et celle du Levant (Var). Un homme a perdu la vie de façon accidentelle alors qu'il "s'adonnait au loisir nautique de la bouée tractée", explique Var Matin.Si les circonstances du drame sont encore floues, l'artère fémorale de l'homme a été perforée par l'hélice d'un bateau, provoquant une forte perte de sang. Rien n'indique encore s'il a été éjecté » de sa bouée au moment de l'accident.Massages cardiaquesImmédiatement pris en charge par des vacanciers qui étaient présents, l'homme semble-t-il âgé entre 20 et 30 ans, a reçu des massages cardiaques notamment de la part d'un pompier professionnel et un urgentiste du SAMU, précise Var Matin. Ramenée sur le port de l'Ayguade, la victime est finalement décédée. Un large panel de secouristes avait pourtant été déployé : pompiers, militaires (présents sur l'île du Levant) et un hélicoptère.La CrossMed a rappelé ses conseils de vigilance en mer en période estivale et à proximité "d'unités motorisées".
Un jeune homme est mort ce samedi au large de l'île de Port-Cros, indique Var Matin. Il a percuté l'hélice d'un bateau alors qu'il faisait de la bouée nautique.
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Il y a désormais 19.856 cas de personnes contaminées par le coronavirus recensées, selon le bilan dévoilé par le ministre de la Santé Olivier Véran lundi 23 mars. En outre, 8.675 malades sont hospitalisés, dont 2.082 dans un état grave, soignés dans des services de réanimation. On compte désormais 860 décès, soit 186 de plus en 24 heures. Cinq médecins décédés Parmi les victimes, on compte désormais cinq médecins. Le ministre a annoncé que "pour tous ces soignants qui tombent malades, le coronavirus sera reconnu comme maladie professionnelle : il n'y aura aucun débat là-dessus". "La situation est difficile", a-t-il reconnu, "mais nous ne perdons pas espoir".La chloroquine, seulement pour les cas graves Par ailleurs, le ministre s'est exprimé sur le traitement de la maladie par la chloroquine. Le Haut conseil de santé publique recommande de ne pas utiliser cet antipaludique, sauf pour des formes graves et sous surveillance médicale stricte, a indiqué le ministre. De très nombreuses personnes se sont pressées lundi à Marseille, pour se faire tester par les équipes du professeur Didier Raoult. Ce spécialiste des maladies infectieuses préconise ce traitement après des essais positifs portant sur 24 patients.40 millions de masques pour les soignants Répondant à l'inquiétude des professionnels, il a également assuré que "20 millions de masques seront livrés cette semaine aux hôpitaux et aux Ehpad, en privilégiant les zones de circulation active du virus", et encore 20 millions aux soignants de ville "au plus tard au début de la semaine prochaine".De même, il a indiqué que grâce aux travaux en cours, deux sortes de tests fondamentaux pour identifier les malades du coronavirus "plus rapides, plus simples, évitant de passer par de grosses structures" allaient être disponibles, "nous espérons dans les prochaines semaines". Il s'agit de sérologies qui permettent, par simple prise de sang, de savoir si le patient a ou non contracté la maladie.5.000 tests par jour Selon Olivier Véran, avec 5.000 tests pratiqués chaque jour actuellement, la France est dans la "moyenne haute" des pays occidentaux, même si l'Allemagne en réalise "un peu plus du double". "Tous les établissements de santé, qu'ils soient publics ou privés, sont pleinement mobilisés, en particulier dans le Grand Est", a-t-il insisté pour "faire taire certaines rumeurs" : "Les cliniques privées sont mobilisées et les services de réanimation sont accessibles", a-t-il assuré.Aider les personnes âgées isolées Le ministre a par ailleurs annoncé la mise en place d'une mission spéciale sur le grand-âge, confiée à un spécialiste de la question, l'ancien parlementaire Jérome Guedj, "pour lutter contre l'isolement des personnes âgées et confinées en période épidémique". "Je lui ai demandé de nous aider à identifier tous les leviers" à disposition des pouvoirs publics et des acteurs sociaux et économiques "pour combattre l'isolement, en temps de crise et dans la période qui suivra". "L'isolement ne sera jamais en pareilles circonstances synonyme d'égoïsme ou d'indifférence" a-t-il garanti.Pour veiller sur les personnes vulnérables, le ministre de l'Intérieur a déjà demandé "à tous les préfets d'activer les plans d'alerte et d'urgence, d'ordinaire activés en cas de canicule", a encore expliqué le ministre. Ces plans permettent aux communes d'activer l'appel et le soutien aux personnes inscrites sur le registre nominatif des personnes âgées et isolées. Et de nombreuses communes ont déjà activé des cellules dédiées pour prendre en charge les personnes isolées. Les personnes de plus de 70 ans constituent les cibles privilégiées des formes graves du virus qui oblige, en outre, à restreindre les contacts sociaux.Décès de 20 résidents d'un Ehpad des VosgesOn a appris lundi la mort de 20 résidents d'un Ehpad de Cornimont (Vosges), "en lien possible avec le Covid-19", selon l'Agence régionale de santé (ARS) du Grand Est et la préfecture des Vosges. Cet établissement accueille 163 personnes âgées dépendantes.
Le ministre de la Santé Olivier Véran a donné les derniers chiffres de l'épidémie de Covid-19 dans le pays.
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Ils étaient une bonne centaine dès 8H00 samedi matin à se presser devant la gare du téléphérique qui rouvrait pour le week-end, avec port de masque obligatoire, marquage de distanciation physique au sol, caméra thermique et 30 personnes par benne - désinfectée - quand 68 y entrent en temps normal.Hissés à 3.842 mètres en quelques minutes à peine, amateurs ou professionnels de ski, de raquette, d'alpinisme cachaient à peine leur excitation. Surtout après avoir dépassé une mer de nuages et découvert l'étendue de neige vierge.Parmi les premiers à s'élancer, les Chamoniards Léo Slemett, champion du monde de freeride, et Vivian Bruchez, guide et skieur de pentes raides. Mais parmi les suivants, chacun y est allé à son rythme. Giulia et Giovanna, deux amies italiennes, l'une guide et l'autre architecte, sourient de toutes leurs dents: "ça fait du bien! on monte pour le plaisir". Antoine, Français de 33 ans qui travaille dans la prévention en montagne, entend "prendre l'air et reprendre contact avec la nature".Au programme pour beaucoup, une descente de l'itinéraire majestueux de la Vallée Blanche, une randonnée glaciaire ou la course de l'arête des Cosmiques. Tout semble possible par cette journée de grand beau. "Le lointain était inaccessible et c'est reparti", savoure Mathieu Dechavanne, PDG de la Compagnie du Mont-Blanc, qui exploite le téléphérique de l'Aiguille, comme le train du Montenvers qui a repris du service vers la Mer de Glace.Environ 300 personnes sont montées samedi. Elles seront sans doute plus nombreuse dimanche avec une belle météo, contre 1.500 à 2.000 en temps normal à cette saison. Et si les sportifs ont été le plus matinaux, les contemplatifs ont pu aussi jouir du panorama grandiose.- "comme à l'origine" -Jacques Ouziel n'a pas craint de se faire bousculer avec ses béquilles, souvenir durable d'une fracture en descendant des Drus l'été dernier. "D'en bas, on ne voit pas les Grandes Jorasses ni la Dent du Géant, ni le côté italien", énumère ce kiné de 60 ans en balayant le massif du regard.Accoudé à l'une des rambardes, il se laisse envahir par ce "sentiment d'immensité et cette beauté". Absente la foule habituelle très asiatique, en quête de son selfie devant le Mont Blanc. Pas de tente de bivouac ni de cordées déjà partout. Et surtout tellement peu de traces dans la couverture immaculée. "C'est un peu comme à l'origine..."Des craquement sourds montent des flancs. "Une chute de sérac", dit-il.C'est bien ces montagnes mythiques que les guides de la vallée espèrent arpenter au plus vite avec des clients. La réputation internationale du massif y draine une foule cosmopolite qui risque fort de faire défaut cet été.Ulrika Asp, Suédoise et guide indépendante à la clientèle nordique à 90%, "n'a pas grand chose de prévu" pour le moment. Elle rêve d'une "invasion de Français en vallée de Chamonix, de gens qui d'habitude ne viennent pas"."On sait s'adapter aux novices, aux familles. On s'adapte bien en permanence à la montagne, à la météo et à nos clients ! Il y a plein de choses possibles en petites escalades, balades glaciaires, via ferrata, canyoning", énumère la Chamoniarde d'adoption.Après la reprise partielle des activités des guides et accompagnateurs, effective cette semaine, le président du Syndicat national des guides de montagne (SNGM) Christian Jacquier se veut optimiste. Si le déconfinement se passe bien, deux contraintes pourraient être assouplies: le rayon des 100 kilomètres qui empêche les clients de venir et la fermeture des refuges. Rouvrant d'autres pans de rêves en altitude.
"J'en ai des frissons de bonheur!" Medhi Bidault contemple le Mont Blanc, de l'Aiguille du Midi (Haute-Savoie). Ce guide de la vallée de Chamonix est monté par les premières bennes du téléphérique pour reprendre pied dans la montagne. Et emmener son premier client depuis la fin du confinement.
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Le maire d'Antibes (Alpes-Maritimes) s'est défendu d'être "la caution centriste" de Laurent Wauquiez et estime que son parti doit "être équilibré entre l'autorité et l'humanité"."Laurent Wauquiez a été élu sur une ligne et cette ligne est une ligne régalienne d'autorité", a rappelé Jean Leonetti, nommé dimanche premier vice-président de LR après le limogeage de Virginie Calmels. "Je pense que notre parti doit être équilibré entre autorité et humanité", a ajouté l'ancien ministre délégué aux Affaires européennes, soulignant que "dans le projet de Laurent Wauquiez il y a la défense des classes moyennes"."Notre parti est faible parce qu'on est dispersé"Jean Leonetti a réfuté être "la caution centriste" du parti. "Je n'ai jamais eu l'impression d'être une caution dans toutes les fonctions que j'ai assumées (...) Je pense que j'ai des convictions, je suis un modéré, oui, j'assume, mais je pense que aujourd'hui le parti a besoin - Laurent a besoin - que nous soyons tous ensemble pour rassembler", a-t-il ajouté."Notre parti est faible parce qu'on est dispersé, qu'on a perdu une élection et qu'une partie de nos troupes est au gouvernement", a-t-il poursuivi en référence à Bruno Le Maire et Gérald Darmanin qui ont rejoint le gouvernement d'Édouard Philippe après l'élection présidentielle. L'élu a également regretté "l'amertume" avec laquelle Virginie Calmels quitte le parti. Selon les informations du Journal du Dimanche (JDD), la juppéiste s'est vue refuser l'accès à son bureau dès le 18 juin et ses affaires ont été rassemblées dans un carton à l'accueil du siège. "Je regrette qu'elle le ressente éventuellement comme une brimade", avoue son remplaçant. Avant de conclure : "Quand j'étais ministre, on a perdu une élection et j'ai fait mes cartons en une heure. C'est la vie."À la question de savoir s'il était intéressé par la tête de liste pour les élections européennes, Jean Leonetti a botté en touche, sans fermer la porte. "Ce n'est pas d'actualité (...) donc je ne vous dirai rien du tout, voilà", a-t-il répondu, finissant par lâcher que "ça ne (l')intéresse pas pour l'instant". Son nom circule pour la tête de liste LR aux élections européennes de 2019, alors qu'un nombre grandissant de responsables, dont Nicolas Sarkozy, plaident pour que Laurent Wauquiez conduise lui-même la liste.
VIDÉO. Le nouveau numéro 2 des Républicains (LR), Jean Leonetti, était l'invité de RTL ce mercredi 20 juin.
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L'islamologue suisse mis en examen en France pour les viols de quatre femmes qu'il conteste, et celle qui se fait appeler "Christelle" dans les médias, seront présents à l'audience, ont indiqué leurs avocats.C'est la première fois qu'ils se retrouveront face à face publiquement depuis le début de l'affaire. "Christelle", qui a déposé plainte en 2017, accuse M. Ramadan de l'avoir violée dans une chambre d'hôtel à Lyon en 2009.M. Ramadan est convoqué au tribunal à la demande du parquet, qui lui reproche d'avoir enfreint la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.Son article 39 interdit de "diffuser (...) des renseignements concernant l'identité d'une victime d'une agression ou d'une atteinte sexuelle" sans son accord écrit, sous peine de 15.000 euros d'amende.Le véritable nom de "Christelle" est cité 84 fois dans le livre de Tariq Ramadan, "Le devoir de vérité", sorti en septembre dernier et dans lequel il raconte sa version de l'affaire qui lui a valu de passer dix mois en détention provisoire.Le parquet demande aussi que l'intellectuel soit jugé pour avoir cité le nom de cette femme lors d'un entretien accordé à BFTMV lors de la sortie de ce livre et dans un communiqué de presse en faisant la promotion. "Donner son nom (...) c'est la désigner comme cible auprès de ses derniers adeptes", a affirmé l'avocat de "Christelle", Me Eric Morain, en dénonçant la campagne "inouïe" de "harcèlement, de menaces" que subit selon lui sa cliente de la part des soutiens de l'islamologue. Les avocats de Tariq Ramadan se sont dit de leur côté "surpris de l'audace" de "Christelle": "elle est la première à avoir dévoilé son nom et son image, en lançant une cagnotte et lors de multiples interviews", a assuré Me Pascal Garbarini.En septembre dernier, "Christelle" avait tenté, en vain, de faire interdire la sortie du livre. La justice avait alors considéré que son identité avait déjà été rendue publique et que sa demande "porterait une atteinte excessive et disproportionnée à la liberté d'expression" de M. Ramadan.Empêché par son contrôle judiciaire de quitter la France, Tariq Ramadan doit être par ailleurs confronté la semaine prochaine, à Paris et en présence de magistrats français et suisses, à une plaignante suisse qui l'accuse également de viol, selon l'avocat de cette femme, Grégoire Leclerc.
Tariq Ramadan comparaîtra mercredi devant le tribunal correctionnel à Paris, pour avoir révélé dans un livre et à la télévision l'identité de l'une des femmes qui l'accusent de viol.
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Jusqu'à 40°C en journée, 25°C la nuit : l'Hexagone va connaître cette une canicule exceptionnelle par sa précocité et son intensité. Les fortes chaleurs se sont installées sur une grande partie du pays dès ce dimanche 23 juin. À tel point que Météo France a placé Paris et sa petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne) et la Seine-et-Marne en vigilance orange canicule jusqu'à mardi matin.À 15h, 30 degrés ont été relevées au Jardin du Luxembourg, dans le centre de Paris, 29 degrés à Nemours et 28 degrés à Fontainebleau (Seine-et-Marne). "Les remontées d'air chaud en provenance du Sahara vont affecter une grande partie du pays", prévient Météo France, selon qui "les températures maximales, s'élevant d'abord entre 33 et 35 degrés mardi, atteindront jusqu'à 38 degrés, localement 40, au plus chaud de l'épisode jeudi". Les nuits seront également chaudes avec des températures qui ne descendront pas sous 19 à 21 degrés.Une canicule comparable à celle de 2003"On attend une canicule qui va concerner de nombreuses régions, plus de la moitié de la France, d'une intensité maximale : le jour le plus chaud atteint sera comparable à 2003, pas très loin en tout cas", a annoncé vendredi le météorologue François Gourand lors d'une conférence de presse. "Cette canicule s'annonce sans précédent pour un mois de juin" et des records de chaleur pour cette période devraient être battus, a-t-il prévenu. "Depuis 1947, seule la vague de chaleur du 18 au 28 juin 2005 avait été aussi précoce. L'épisode attendu s'annonce bien plus intense, sans précédent au mois de juin", selon Météo France.Ces fortes chaleurs pourraient perdurer jusqu'au week-end prochain.
MÉTÉO. Alors qu'une canicule exceptionnelle par sa précocité et son intensité est attendue sur la France dès lundi, Météo France a placé dimanche Paris et sa petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne) et la Seine-et-Marne en vigilance orange canicule jusqu'à mardi matin.
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Selon le site américain d'information Axios, le président des États-Unis Donald Trump aurait demandé lors d'une réunion sur les ouragans s'il serait possible, pour les empêcher de se former complètement en mer, de lâcher une bombe atomique sur leur centre.Selon une source anonyme citée par Axios, les personnes qui participaient à la réunion en sont sorties perplexes.Le site ne précise pas quand cette réunion aurait eu lieu. L'idée qu'aurait avancée Donald Trump n'est pas nouvelle, précise toutefois Axios. Elle a été initialement émise dans les années 1950 par un scientifique qui travaillait pour le gouvernement américain, sous la présidence de Dwight Eisenhower. Depuis, cette piste resurgit régulièrement, bien qu'il y ait un consensus scientifique pour dire que cela ne marcherait pas. L'agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA) a une page dédiée à la question. "À chaque saison des ouragans, il est toujours suggéré que l'on devrait simplement utiliser des armes nucléaires pour essayer de détruire les tempêtes. Non seulement une bombe ne modifierait pas la tempête, mais les vents répandraient rapidement les retombées radioactives sur les terres avoisinantes", explique l'agence. "Inutile de dire que ce n'est pas une bonne idée", estime la NOAA.Aucun commentaire de la Maison BlancheSelon Axios, Donald Trump avait déjà demandé une première fois, en 2017, si son administration devait bombarder des ouragans pour les empêcher de toucher terre. Dans cette conversation, le président n'avait pas évoqué l'emploi éventuel de bombes nucléaires, précise le site. La Maison Blanche n'a pas voulu commenter les affirmations d'Axios. "L'objectif" d'arrêter les ouragans "n'est pas mauvais", a souligné sous le couvert d'anonymat un haut responsable de l'administration américaine, sans confirmer si les propos cités par Axios avaient été tenus par le président. Les États-Unis sont régulièrement frappés par des ouragans. En 2017, l'ouragan Harvey a été le plus puissant en 12 ans à avoir atteint le territoire américain. Depuis, la côte orientale du pays a été touchée par une série de tempêtes catastrophiques, qui ont tué des milliers de personnes et causé des centaines de milliards de dollars de dégâts.
Le président Donald Trump aurait suggéré de lâcher des bombes nucléaires sur les ouragans avant qu'ils ne touchent les États-Unis, a affirmé dimanche le site d'information américain Axios.
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Ça y est, les onze célébrités sont entrées dans la danse sur TF1 ! Ce samedi 15 octobre 2016, la première chaîne a donné le coup d'envoi de la saison 7 de Danse avec les stars. Devant environ 5,6 millions de téléspectateurs, cette nouvelle édition a donc débuté sur les chapeaux de roues, avec des candidats motivés et exécutant des numéros déjà d'un très bon niveau.Des prestations de haute voléePour ce premier prime en direct, c'est Sylvie Tellier qui a eu la lourde tâche et l'honneur d'ouvrir le bal. Accompagnée de Christophe Licata, la patronne des Miss s'est lancée à corps perdu dans un cha-cha-cha, dévoilant une image d'elle plus sexy. La jeune maman a d'ailleurs séduit le jury, qui la gratifié de 29 points sur 40. Un joli départ. Très en forme, les juges ont par la suite distribué de très bonnes notes aux autres participants. Laurent Maistret, pailleté et tout abdos dehors, a récolté 30 points, Florent Mothe et Camille Lou ont terminé second ex-aequo avec un total de 31 points.La première marche du podium est, quant à elle, occupée par la sublime Caroline Receveur, qui a impressionné sur un tango avec son partenaire Maxime Dereymez. Pour Jean-Marc Généreux, ce tableau était "chaud patate", alors que pour Chris Marques cette démonstration était même "assez incroyable pour un premier prime". Quant à Marie-Claude Pietragalla, elle a souligné "l'élégance naturelle" et le réel "potentiel" de la jeune femme. Carton plein donc. La blogueuse mode serait-elle déjà la grande favorite pour remporter le concours ?Premiers pas encourageantsBien qu'ayant donné le meilleur de lui-même pour les fans de DALS, Julien Lepers figure à la fin du classement, devancé d'un point par le sympathique Kamel le magicien qui totalise 21 points. Pour l'ancien animateur de Questions pour un champion, Marie-Claude Pietragalla a fait remarquer qu'il a "gravit la montagne avec enthousiasme", bien que son collègue Jean-Marc Généreux a plus assimilé le numéro à une "mini-catastrophe". Fera-t-il mieux au cours du prochain volet du programme ?Valérie Damidot etKarine Ferri ont obtenu un total de 25 points chacune en offrant une prestation encourageante. Olivier Minne, lui, termine avec 27 points et l'humoriste Artus à 29, tout comme Sylvie Tellier. Si certains résultats ont surpris dans le bon comme dans le mauvais sens du terme, la distribution a démontré sa capacité d'adaptation et sa volonté de se dépasser pour faire le show. Et vous, avez-déjà vos préférés ?
La musique et les chorégraphies ont (enfin) repris de plus belle ! En effet, TF1 a présenté le premier volet de la saison 7 de Danse avec les stars et le moins que l'on puisse dire, c'est que le show était au rendez-vous ! Qui a tiré son épingle du jeu ? Qui a montré quelques faiblesses ? On vous dit tout !
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L'épidémie de coronavirus continue de décroître en France. La Direction générale de la Santé a enregistré 87 décès supplémentaires liés au Covid-19. 53 d'entre eux ont été relevés dans les hôpitaux, portant à 29.296 le nombre total de morts dans le pays depuis le début de l'épidémie, selon un bilan communiqué mardi par la Direction générale de la Santé (DGS).Dans le même temps, le nombre de cas graves du Covid-19 nécessitant une hospitalisation en réanimation continue sa décrue et est repassé sous la barre des 1.000, avec 955 malades, soit 69 de moins que la veille.
La Direction générale de la Santé a indiqué que 87 personnes étaient décédées du Covid-19 au cours des dernières 24 heures.
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La police de sécurité du quotidien s'étend, un an après son lancement. Trente-deux quartiers réputés difficiles vont faire l'objet de renforts de policiers ou de gendarmes dans le cadre du dispositif des "quartiers de reconquête républicaine" (QRR), a annoncé vendredi 8 février le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner. Ils s'ajoutent aux quinze quartiers déjà sélectionnés en 2018 par Gérard Collomb, lorsqu'il occupait encore la place Beauvau.Ces quartiers recevront entre 15 et 30 membres des forces de l'ordre supplémentaires. Pour chaque quartier, une cellule de lutte contre les trafics est créée et placée sous l'autorité du préfet de département et du procureur de la République.Parmi les nouveaux quartiers choisis figurent notamment des quartiers de Grenoble et Saint-Denis, dont les élus avaient vivement dénoncé l'absence dans les précédents contingents de QRR. Quatre zones gendarmerie dans l'Isère, le Val-d'Oise, l'Hérault et à Mayotte ont aussi été désignées. Sur les 47 QRR annoncés depuis le lancement de ce plan, le 8 février 2018, 14 sont localisés en Île-de-France. Initialement le contingent pour 2019 ne devait concerner que 15 nouveaux sites. D'ici fin 2020, un total de 60 quartiers seront labellisés QRR."La police de sécurité du quotidien, ce n'est pas une police brutale qui inspire la peur, c'est une police forte qui inspire le respect. Les quartiers de reconquête républicaine ont été répartis là où (la délinquance) est la plus forte, là où nous devons la combattre avec plus encore d'intensité", a déclaré Christophe Castaner, en déplacement à Dreux (Eure-et-Loir). L'Intérieur demande du tempsLa police de sécurité du quotidien avait été conçue pour rapprocher les forces de l'ordre et la population, en particulier dans les quartiers sensibles. En concentrant des moyens supplémentaires sur des territoires réputés gangrénés par la délinquance, la philosophie des QRR rappelle celle des zones de sécurité prioritaire (ZSP) mises en oeuvre sous Manuel Valls.L'ambition de la PSQ ne se résume pas à ces seuls quartiers difficiles, ni au mirage d'un retour à une police de proximité mise en place au carrefour des années 1990 et 2000 sous Jospin puis enterrée sous Sarkozy. Boîte à outils au contenu très divers (partenariats avec les élus, nouveaux outils numériques, nouveaux moyens humains et matériels, etc.), la PSQ a pour objectif de déconcentrer et d'adapter au niveau local les stratégies de lutte contre une délinquance. Du "sur-mesure" vanté en son temps par Gérard Collomb.Mais un an après son lancement, la police de sécurité du quotidien semble avoir besoin d'un nouveau souffle et ses artisans réclament du temps. À l'issue du conseil des ministres de mercredi 6 février, Christophe Castaner a admis : "Nous avons fait une partie du travail mais pas tout le travail. Il faut le reconnaître avec humilité".
Christophe Castaner a lancé une deuxième vague de 32 quartiers de reconquête républicaine (QRR), l'une des mesures phares de la réforme de la police de sécurité du quotidien qui prévoit des renforts dans des quartiers réputés difficiles.
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La mini-série événement sera diffusée à partir de lundi soir sur France 2 et mise en ligne ce week-end sur France.TV."J'ai voulu parler de la vie de Laëtitia. Pas du cadavre découpé en morceaux, mais de cette jeune femme qui a eu des peines, des joies, des petits copains; qui a traversé des épreuves mais qui a eu sa part de bonheur", soulignait l'auteur et historien à l'AFP il y a tout juste un an au festival de la fiction de La Rochelle. "J'étais certain que Jean-Xavier respecterait l'esprit de mon livre et derrière, des êtres humains: un papa, une maman, une soeur, des oncles, des tantes", ajoute Ivan Jablonka, dont l'ouvrage, prix Médicis 2016, avait abordé ce fait divers comme un objet d'histoire, social et sensible. En six épisodes, Jean-Xavier de Lestrade filme la vie de Laëtitia Perrais (jouée par Marie Colomb), placée très jeune avec sa soeur jumelle Jessica (Sophie Breyer) en foyer puis en famille d'accueil, et l'enquête qui a suivi son assassinat par un trentenaire à l'enfance cabossée, Tony Meilhon, près de Pornic en 2011.- "Deux jeunes filles" -Le réalisateur et documentariste avait déjà travaillé sur l'intime et sur la violence. Quand une productrice lui a proposé le projet, il a d'abord pensé "qu'il serait sage pour nous tous, membres de l'audiovisuel, de laisser ça de côté. Le livre a une telle force qu'on ne fera jamais aussi bien". "Mais il fallait donner à cette histoire l'opportunité d'être vue et ressentie par un public plus large que celui des lecteurs du livre", explique le réalisateur. "Si on s'arrête à sa mort atroce, ça n'a aucun intérêt. Mais si on creuse (...) il y a un monde derrière, mis à nu, un monde de violence ordinaire, un monde qui affleure très peu. Au milieu il y a deux jeunes filles qui essaient de panser leurs plaies".A l'été 2011, Jessica révéla les viols et attouchements répétés imposés par le père de sa famille d'accueil. Ce dernier, qui s'était arrogé à plusieurs reprises devant les médias le rôle de pourfendeur des délinquants sexuels, sera condamné à huit ans d'emprisonnement pour viols ou agressions sexuelles sur cinq jeunes victimes.Pour "Laëtitia", Ivan Jablonka récuse le terme de "fait divers", et préfère parler de "l'itinéraire d'une jeune femme qui se termine de manière tragique, des rencontres bonnes ou mauvaises, un certain état de la société".- "Respecter Laëtitia" -Pendant les trois mois de tournage, "la mort de Laëtitia nous arrivait tout le temps", raconte Jean-Xavier de Lestrade. "Il n'y a pas une seule journée où un membre de l'équipe n'a pas pleuré. Certains m'ont raconté des choses qui leur étaient arrivées, des histoires de violence".Dans les deux oeuvres, la scène de meurtre n'est pas montrée. "C'est inutile", explique le réalisateur. "Mais il y a des scènes violentes quand le père suspend son bébé au balcon, ou quand il viole la mère. Si on veut vraiment respecter Laëtitia, il faut raconter, montrer ces choses-là"."A aucun moment le livre ne se permet de juger qui que ce soit, à commencer par le criminel arrêté, Tony Meilhon. Il a commis un acte terrible mais si on puise dans son enfance, ce sont les mêmes souffrances, les mêmes traumas", souligne le réalisateur.
"Ce qui nous réunit, c'est la sobriété", affirme l'écrivain Ivan Jablonka à propos du réalisateur Jean-Xavier de Lestrade, qui a adapté pour la télévision son enquête "Laëtitia ou la fin des hommes", sur le meurtre glaçant de la jeune Laëtitia Perrais en 2011.
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Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner tente de désamorcer la colère des policiers en recevant jeudi et vendredi les syndicats après avoir prôné lundi une "tolérance zéro" pour le racisme dans les forces de l'ordre, dont la suspension sera "systématiquement envisagée pour chaque soupçon avéré" en la matière. En vain. Fabien Vanhemelryck (Alliance Police nationale): "Les propos de Christophe Castaner, c'était la goutte d'eau (...) On n'en peut plus"par BFMTVPlusieurs syndicats de police, dont Alliance et UNSA Police, participent vendredi 12 juin à une manifestation non déclarée sur les Champs-Elysées, à Paris, après plusieurs rassemblements organisés par Unité SGP Police jeudi soir. Une nouvelle action "très forte symboliquement", a estimé Fabien Vanhemelryck, secrétaire général d'Alliance Police nationale, sur BFMTV. "Il y aura un effet de surprise. L'ensemble des représentants du personnel, dans toutes les régions de France, vont défiler et lancer le mot d'ordre que s'il n'y a pas de police, il n'y aura jamais de paix. Les policiers aussi se font massacrer, et là c'est bien réel contrairement à ce qu'on peut dire ailleurs, il existe des photos à l'appui", avait-t-il précisé un peu plus tôt.Avec cette action, les syndicats de policiers souhaitent dénoncer "le climat ambiant" de "stigmatisation du policier (qui) doit s'arrêter", a par ailleurs affirmé Fabien Vanhemelryck. "À travers le ministère de l'Intérieur, c'est le gouvernement tout entier qui doit arrêter et choisir son camp : la police nationale", a-t-il ajouté.Les membres des forces de l'ordre ont commencé à se ressembler autour de l'arc de Triomphe autour de 10 heures. Une vingtaine de voitures ont descendu les Champs-Elysées en direction de la place Beauvau derrière une banderole affichant "pas de police, pas de paix". Une minute de silence a été respectée à l'approche du ministère de l'Intérieur et de l'Elysée en hommage aux policiers décédés ou blessés en service. Les manifestants ont ensuite chanté la Marseillaise."Il n'y a pas que le ministre de l'Intérieur (...) On est venu dire au président Macron qu'il doit soutenir, respecter, considérer sa police (...) La police n'est pas raciste, la police est républicaine (...), elle ne choisit pas sa délinquance, elle ne choisit pas la couleur de la délinquance (...) et elle sauve des vies quelle que soit la couleur de la peau de l'individu", a déclaré à la presse Fabien Vanhemelryck."C'est au président de s'emparer de ce dossier""Dans un moment de crise comme celui-là, les présidents des deux précédents quinquennats nous ont reçus. J'espère que le président Macron nous entendra car cela dépasse largement le cadre du ministère de l'Intérieur. C'est au président de la République de s'emparer de ce dossier", a ajouté Philippe Capon de l'Unsa, dénonçant lui aussi une "stigmatisation" des policiers.Pour Patrice Ribeiro du syndicat Synergie, on "conspue la police". "On s'est senti sali", a-t-il dit. "On a pris le terrorisme, on a pris les 'gilets jaunes', on a pris le respect du confinement sans masque (...) On se fait conspuer, pourquoi ? Parce qu'au plus haut niveau de l'Etat on a peur d'une minorité agissante (...), on voudrait que les politiques, au premier rang desquels le président de la République, nous apportent leur soutien, il doit nous recevoir", a-t-il ajouté.Jean-Paul Mégret, du syndicat SICP, a déploré que l'institution soit "mise à mal". "Quand c'est par votre propre ministre, quand c'est par le plus haut sommet de l'Etat qui ne dit pas un mot, qui ne fait pas un geste symbolique (...) je pense qu'on a un véritable problème", a-t-il déclaré.
Ulcérés par les propos du ministre de l'Intérieur prônant une tolérance zéro pour des faits de racisme, les policiers participent vendredi 12 juin à une manifestation non déclarée à Paris pour dénoncer "le climat ambiant" de "stigmatisation du policier (qui) doit s'arrêter".
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Deux ans après la mort d'Alexia Daval, on en sait peut-être un peu plus sur les motivations de son mari, Jonathann, suspect principal du meurtre. Une seconde expertise psychiatrique que s'est procurée Le Point, fait état d'une "personnalité de type obsessionnel" et une "pathologie de personnalité", indique l'hebdomadaire. Ce côté "obsessionnel", le docteur Jean Canterino, qui l'a examiné à partir de cet été, l'explique de différentes manières. D'abord, son côté calme. "Chez l'obsessionnel, il y a un refoulement de l'agressivité", dit-il, évoquant un homme "pondéré", "juste" et "droit". Mais selon lui, "cette organisation demeure fragile". Au point de craquer ? De devenir violent ? Sans doute, concède l'expert, à la suite d'un trop-plein, peut-être. Des troubles qui remontent à l'enfance, précise-t-il. Jonathann Daval aurait développé des TOC (Troubles obsessionnels compulsifs) qui se seraient amplifiés, alors adulte : "amour de l'ordre, de la propreté, du rangement et persistance de rites de vérification", précise Le Point. Lors de ses visites à la maison d'arrêt de Dijon, le psychologue a constaté une "augmentation de la fréquence des rites de vérification". Sa cellule est même appelée la "Maison de Barbie", tant elle rangée et organisée avec soin. "Ce que je voulais, c'est qu'elle se taise" Mais cette expertise décèle également la ligne de défense que l'homme de 35 ans pourrait tenir à son procès, ajoute Le Point. Face au psychologue, il est revenu sur ses problèmes conjugaux, de la violence verbale de sa femme à ses "problèmes d'érection", jusqu'à se refermer sur lui-même. Il évoque alors une côte cassée, chose qu'il n'avait jamais faite auparavant et qu'il aurait tu : "Je m'échappais pour fuir la situation, les coups et les insultes", dit-il. Il revient alors sur la nuit du drame, une soirée de dispute où Alexia Daval lui aurait asséné : "T'es pas un homme", avant de le frapper. "Elle m'a frappé avec les pieds et les mains, elle m'a poussé, alors je l'ai bloquée, je l'ai étranglée et je l'ai frappée. Ce que je voulais, c'est qu'elle se taise", avoue-t-il de manière glaciale. Autre point clé de cette expertise, le "tableau clinique" rendu par le docteur. Jonathann Daval aurait une personnalité "tout à fait nette ayant évolué sur le mode de la personnalité obsessionnelle", comme détaillé plus haut. Il souligne que ce problème de personnalité et les faits qui lui étaient reprochés sont "des facteurs défavorables sur le plan criminologique". Une version qui s'oppose en quelque sorte au premier rapport qui avait mis en avant en mars 2018 "une dangerosité criminologique", une "propension à la toute-puissance" et une personnalité pouvant le rendre "manipulateur, agressif, voire colérique". Durant l'expertise, Jonathann Daval l'a rappelé, il était "très amoureux de sa femme" et l'est "toujours". Mis en examen pour meurtre, son procès pourrait se tenir courant 2020. Si le docteur n'a décelé aucune "dangerosité psychiatrique", sa responsabilité pénale peut donc être engagée.
Un nouveau rapport psychiatrique qu'a pu se procurer Le Point en dit plus sur la personnalité "obsessionnelle" de Jonathann Daval, meurtrier présumé de sa femme, Alexia Daval.
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Les trois candidates à la mairie de Paris, Agnès Buzyn, Rachida Dati et Anne Hidalgo, devaient débattre mercredi soir sur BFMTV et BFM Paris mais l'intersyndicale leur avait demandé d'annuler leur venue en raison du mouvement social.Anne Hidalgo, candidate PS à sa réélection, a annoncé dans l'après-midi renoncer au débat pour "respecter le droit de grève" des salariés qu'elle avait rencontré, et a demandé le report du débat. Agnès Buzyn s'est aussi retirée.La direction a ensuite proposé d'écouter les revendications des salariés jeudi matin. Les salariés ont donc voté une suspension de la grève à partir de mercredi minuit. La chaîne a ainsi pu annoncer qu'elle reprogrammait le débat jeudi à 21H00, sur BFMTV et BFM Paris.Une nouvelle assemblée générale est prévue jeudi après-midi. "Cette journée était une démonstration de force que l'on est capables de reproduire si la direction n'apporte pas d'avancées significatives", a indiqué à l'AFP un membre de l'intersyndicale (CFDT, CGT, SNJ, FO, CFTC et UNSA). Les salariés souhaitent notamment qu'il n'y ait aucun départ contraint. Environ 200 personnes ont manifesté dans la matinée devant le siège parisien d'Altice, la maison-mère du groupe, avec des pancartes "premier sur l'info, premier sur le plan social" et "Drahison", du nom du patron du groupe, Patrick Drahi.Les antennes de BFMTV, RMC, RMC Découverte, BFM Paris et BFM Business ont été perturbées dès le petit matin.Fait rare pour une grève dans les médias, la chaîne d'information en continu a diffusé à la mi-journée des images de la manifestation. "L'actualité sociale, quand elle nous concerne, on vous en parle aussi", a expliqué à l'antenne la journaliste Alice Darfeuille.La filiale du groupe Altice a dévoilé le 17 juin un vaste plan d'économies et "de reconquête" pour faire face à l'impact de la crise du Covid-19. Le groupe, qui est largement bénéficiaire, anticipe un écroulement des recettes publicitaires post-crise sanitaire. NextRadioTV entend aussi économiser sur le sport, où il a perdu des droits prestigieux et devra faire face à une concurrence accrue.NextRadioTV prévoit dans ce cadre de supprimer "330 à 380 CDI et jusqu'à 200 pigistes et intermittents", soit environ un tiers des effectifs, sur un total de 1.600 salariés, selon l'intersyndicale. Contactée, la direction du groupe n'a pas souhaité faire de commentaire. - "Inquiets pour l'avenir" -"On est très inquiets pour l'avenir. Ils veulent supprimer trop d'emplois", a souligné Alexandre Thomas, 28 ans, chargé de l'habillage des émissions. "On est en train de foutre en l'air nos métiers (...) Avec le Covid, on a bossé pendant 3 mois, avec de très bonnes audiences, et voilà à quoi on a droit"."C'est la première fois qu'on voit une telle cohésion entre les techniciens et les journalistes, qu'on voit une telle mobilisation", a souligné Maxime Vedrenne, 34 ans, technicien de régie. "Je crains un impact sur la qualité de nos antennes", a regretté Amélie Rosique, grand reporter à BFMTV et porte-parole de la Société des journalistes. "On est attaché de manière viscérale à nos chaînes". La direction du groupe avait précisé à l'annonce du plan social en mai qu'il "débuterait par une phase de volontariat; les licenciements contraints n'interviendraient que si le nombre de volontaires était insuffisant", alors que les plans d'économies se multiplient dans les médias. Le syndicat SNJ-CGT a apporté son soutien aux grévistes dans communiqué, regrettant que "depuis la fin du confinement, beaucoup de patrons de médias, souvent des milliardaires, (n'aient) plus qu'un objectif : utiliser la crise sanitaire pour restructurer et +dégraisser+ leur groupe".
Première grève choc à BFM: les salariés du groupe NextRadioTV (BFM, RMC) se sont mobilisés en masse mercredi contre un plan d'économies qui prévoit de supprimer près d'un tiers des postes, provoquant le report d'un jour du dernier débat des municipales à Paris.
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La police du Portugal enquête sur un nouveau suspect dans "l'affaire Maddie", du prénom de la petite fille qui a disparu il y a douze ans. "La police judiciaire suit une nouvelle piste et un nouveau suspect qui pointent vers l'hypothèse de l'enlèvement", écrit le Correio da Manha, généralement bien informé sur les affaires judiciaires. Il ajoute que les enquêteurs tiennent à garder le secret sur l'identité du nouveau suspect. Le journal va à l'encontre d'informations publiées dans la presse britannique, qui accusait l'Allemand Martin Ney. Ce dernier est incarcéré dans son pays pour avoir enlevé et tué trois petits garçons entre 1992 et 2001.Les autorités ont confirmé par voie de communiqué que l'enquête sur les circonstances de la disparition de Madeleine McCann "reste ouverte" tout en refusant d'apporter des "clarifications supplémentaires". La fillette a disparu de sa chambre le 3 mai 2007 alors qu'elle allait fêter ses 4 ans, dans la petite station balnéaire de Praia da Luz, dans le sud du Portugal, où elle séjournait en vacances avec sa famille. Après 14 mois de recherches, marquées notamment par la mise en examen des parents de la fillette, Gerry et Kate McCann, puis par le limogeage de l'inspecteur en charge de l'enquête, la police portugaise avait classé l'affaire en 2008. Le dossier a été rouvert cinq ans plus tard, tandis que la police britannique a ouvert sa propre enquête en juillet 2013.
Selon un journal portugais, une nouvelle piste a surgi dans l'enquête sur la disparition de la fillette britannique, qui s'est volatilisée il y a 12 ans, durant des vacances au Portugal.
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Selon l'organisation, ce pays, membre de l'Union européenne depuis 2004, doit désormais être considéré comme "un régime hybride (...) dans une zone grise entre les démocraties et les autocraties complètes".La Hongrie est le seul pays de l'UE dans cette catégorie, où figurent également l'Ukraine et la Géorgie. Le rapport annuel établi par Freedom House porte sur 29 pays post-communistes de l'ancienne sphère d'influence soviétique. En 2005, la Hongrie comptait parmi les "démocraties consolidées"."Le gouvernement de Viktor Orban a "laissé tomber toute prétention à respecter les institutions démocratiques", estime l'ONG qui promeut les libertés humaines et dont le gouvernement américain constitue le principal donateur. Ancien dissident anticommuniste ayant gouverné une première fois à la fin des années 1990, Viktor Orban est revenu au pouvoir au printemps 2010, en renforçant l'emprise de son parti sur toutes les institutions du pays et en rognant sur les libertés. Ces réformes lui ont valu des dissensions multiples avec ses partenaires européens.En dix ans, le dirigeant souverainiste a "centralisé" les décisions, écrit Freedom House.Son gouvernement a "déséquilibré en sa faveur le système électoral, pris le contrôle de la plupart des médias et harcelé la société civile potentiellement critique", juge l'ONG. Depuis sa troisième réélection d'affilée en 2019, Viktor Orban a "consolidé son pouvoir en étendant son contrôle à l'éducation et à la culture", poursuit Freedom House.Selon l'ONG, l'adoption récente d'un état d'urgence illimité lui permettant de gouverner par décret, dans le cadre des mesures de lutte contre le nouveau coronavirus, a "mis en évidence le caractère non démocratique de son régime". Un porte-parole du gouvernement a balayé mercredi à Budapest ces conclusions en décrivant Freedom House comme la "figure de proue" du "réseau Soros". La Hongrie accuse régulièrement l'action philanthropique du milliardaire américain George Soros d'alimenter un complot international dirigé contre elle.En Europe centrale et orientale comme en Asie centrale, l'ONG a de manière plus globale observé un "stupéfiant renversement démocratique". Sont évoqués une "captation de l'Etat de plus en plus importante, des abus de pouvoir et des stratégies d'homme fort" dans les Balkans, ainsi que des réformes judiciaires jugées liberticides en Pologne. La Serbie et le Monténégro sont pour la premières fois également rétrogradés et appartiennent à présent à la catégorie des "régimes hybrides".
La Hongrie "ne peut plus être considérée comme une démocratie" après dix ans d'exercice du pouvoir du Premier ministre Viktor Orban, selon un rapport de l'ONG américaine Freedom House qui dit n'avoir jamais observé de "déclin aussi précipité" en la matière.
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Une fusillade a éclaté lundi 14 septembre aux alentours de minuit à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) dans le quartier du Vieux Saint-Ouen, Cité Soubise. Deux jeunes hommes de 17 et 25 ans ont été tués et un troisième, âgé de 16 ans, blessé. Le pronostic vital de ce dernier n'est pas engagé. La police avait été alertée par un appel d'urgence pour des coups de feu. Sur place, la brigade anti-criminalité a découvert un homme blessé, transporté à l'hôpital. Puis les deux autres victimes, qui sont décédées sur place.Mardi matin, des tâches de sang étaient visibles au pied d'un des immeubles de la Cité Soubise, encadré de cordons de sécurité, a constaté une journaliste de l'AFP. Douze personnes ont été placées en garde à vue pour meurtre et tentative de meurtre en bande organisée, a indiqué le parquet de Bobigny. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle.
Douze personnes ont été placées en garde à vue pour meurtre et tentative de meurtre en bande organisée après la fusillade mortelle qui a eu lieu lundi soir à Saint-Ouen.
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Le Conseil constitutionnel "a validé mais a apporté un certain nombre de précisions, voire de restrictions, qui correspondent au fond aux débats du Sénat", a affirmé sur Europe 1 le président de la chambre Haute qui avait saisi la Haute juridiction, comme le président de la République et des parlementaires de gauche.Le Conseil constitutionnel a validé lundi la loi prorogeant jusqu'au 10 juillet l'état d'urgence sanitaire et organisant la sortie du confinement, mais a censuré des éléments liés à l'isolement des malades et au "traçage" de leurs contacts.Désireux d'un "équilibre entre l'objectif constitutionnel de protection de la santé publique et les libertés publiques, qu'elles soient individuelles ou collectives", Gérard Larcher s'est félicité que la Haute juridiction demande qu'un juge des libertés "contrôle" l'isolement d'un malade plus de 12 heures par jour et qu'elle valide les dispositions de la loi sur la responsabilité des élus, cheval de bataille des sénateurs de droite.Sur CNews, le maire LR d'Antibes Jean Leonetti a salué pour sa part deux censures partielles "extrêmement bienvenues", notant qu'"on ne doit pas aliéner toutes nos libertés au nom de la sécurité, surtout dans la durée".Pour relancer l'économie frappée par la pandémie, Gérard Larcher n'a pas exclu d'augmenter le temps de travail des salariés "pourquoi pas dans un accord de transformation dans une entreprise"."L'organisation du travail, la question du temps de travail, elle devra être posée (...) dans la proximité" des territoires et "dans le dialogue social au niveau de l'entreprise", a-t-il affirmé. "Si on n'augmente pas la productivité si on n'est pas compétitif, c'est tout notre modèle social qui s'effondrera", a-t-il fait valoir.
La décision du Conseil constitutionnel, qui a validé lundi la loi d'urgence sanitaire mais en a censuré certains éléments, "correspond au fond aux débats" au Sénat sur les données personnelles ou la responsabilité des élus, a estimé mardi le président du Sénat Gérard Larcher.
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Candidat à l'élection présidentielle de 2017, son franc-parler et sa défense de la France rurale ont recueilli 1,21% des suffrages exprimés. Réélu dans la foulée député des Pyrénées-Atlantiques, il continue de revendiquer ses positions en tant que non-inscrit. Et ce mercredi 21 novembre, Jean Lassalle a fait parler de lui lors des Questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. Alors que Christophe Castaner était interrogé sur la gestion des blocages des "gilets jaunes" en sa qualité de ministre de l'Intérieur, le député a alors mis un gilet jaune, en solidarité avec les revendications des manifestants. Un comportement qui lui a valu un rappel au règlement de l'hémicycle, puis provoqué une suspension de séance. À la reprise, Christophe Castaner a pointé l'attitude de Jean Lassalle : "Monsieur Lassalle sait d'expérience que si le ridicule ne tue pas, moi je le pense". Une phrase qui a fait se lever le député de son siège, les images le montrant très vindicatif, sans que l'on puisse savoir quelle était la teneur de ses propos.Selon les informations de BFMTV, Jean Lassalle devrait écopé pour son coup d'éclat d'une retenue de 1.500 euros sur ses indemnités parlementaires. Le député LFI de la Somme, François Ruffin, avait été sanctionné de la même façon il y a plusieurs mois pour avoir arboré un maillot de football dans l'Hémicycle.
Le député des Pyrénées-Atlantique a provoqué une suspension de séance en portant un gilet jaune, avant de s'en prendre à Christophe Castaner. Jean Lassalle n'est pas un homme politique comme les autres.
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Laeticia Hallyday a réinvesti la villa de Marnes-la-Coquette, La Savannah, depuis quelques jours, à l'occasion de la promotion du dernier album de Johnny Hallyday "Mon pays c'est l'amour", dont la sortie est prévue le 19 octobre prochain. Un retour sous tension pour la veuve du rockeur, en pleine bataille judiciaire avec les deux aînés de la star, à propos de l'héritage du Taulier, décédé le 5 décembre 2017. Dans ce contexte tendu, Gala révèle que Laeticia Hallyday aurait peur pour sa sécurité. "Avant son départ, elle était à la fois sereine et inquiète. Elle est droite dans ses bottes quant à sa défense des dernières volontés de Johnny. En revanche, elle sait qu'elle n'est pas à l'abri de se faire agresser, d'une façon ou d'une autre, à Paris, mais elle va mieux", aurait confié l'un de ses proches au magazine.Inquiète, Laeticia Hallyday a donc pris ses dispositions en faisant appel à deux gardes du corps, mais également à son chauffeur attitré, Carl, qui la suivront dans tous ses déplacements dans la capitale. Et des rendez-vous, elle en a plusieurs de programmés. La veuve de Johnny Hallyday a d'ores et déjà accepté trois interviews : au JT de TF1, sur RTL et à Paris Match. Par ailleurs, Laeticia Hallyday a retrouvé le temps d'un déjeuner sa grande amie Hélène Darroze et s'est également déjà entretenue avec son avocat, Me Ardavan Amir-Aslani.
La veuve de Johnny Hallyday est de retour dans la capitale pour faire la promotion de l'album posthume du rockeur. Un retour en France placé sous haute sécurité, rapporte Gala.
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A Triunfo de la Cruz, à quelques encablures de la petite ville touristique de Puerto de Tela (à environ 220 km au nord de la capitale Tegucigalpa), quelque 10.000 Garifunas, descendants d'esclaves africains naufragés au XVIIe siècle mêlés aux indigènes caraïbes, vivent de la pêche et de l'agriculture."Ici, nous luttons à mort" contre "ceux qui veulent voler nos terres", prévient Santos Centeno, un pêcheur de Triunfo de la Cruz.Les Garifunas ont connu un premier succès en obtenant l'arrêt du projet d'hôtel Las Villas, porté par des investisseurs espagnols.L'opposition se concentre à présent sur un projet d'extension du complexe hôtelier Indura Beach & Golf Resort, à Tornabé, commercialisé par le groupe américain Hilton sous la marque d'établissements haut de gamme Curio Collection.Selon Edgardo Benedit, un dirigeant de la communauté, les Garifunas de Triunfo de la Cruz vivent dans une angoisse perpétuelle depuis des décennies car le gouvernement, la municipalité de Tela et les investisseurs semblent déterminer à poursuivre leurs projets touristiques. Sur les plages de sable blanc bordant la mer caraïbe aux eaux allant du turquoise au bleu marine, la tension est montée d'un cran le 18 juillet, lorsque quatre membres de la communauté ont été enlevés par des hommes vêtus d'uniformes de policiers.Le président du Comité de défense des terres et les trois autres hommes ne sont pas réapparus depuis lors. La communauté y voit la main du gouvernement... ou de narcotrafiquants recrutés pour l'occasion.- Patrimoine de l'Unesco -Pourtant, les Garifunas de Triunfo de la Cruz bénéficient théoriquement de la protection de la Cour interaméricaine des droits de l'homme (CIDH), qui a ordonné en 2015 aux autorités de "délimiter les terres" de la communauté et de délivrer aux Garifunas un titre de propriété "collectif". Mais la décision est restée lettre morte. Cette fois, la CIDH a exigé de l'Etat hondurien "qu'il adopte toutes les mesures nécessaires et pertinentes pour localiser les disparus".Pour le pasteur évangélique Omar Guzman, frère de l'un des disparus, Suami Mejia, il ne fait aucun doute que l'enlèvement a été mené sur l'ordre des autorités. Une douzaine d'hommes en uniforme de policiers ont menotté son frère avant de l'emmener, assure-t-il à l'AFP.Edgardo Benedit dénonce de son côté la diffusion de photos d'Albert Centeno avec des armes par le gouvernement, qui a fait courir des bruits diffamatoires sur son implication supposée avec le trafic de drogue afin de le discréditer.La presse locale, elle aussi, a insinué que l'enlèvement serait lié au trafic de drogue.Les Garifunas, présents au Honduras, au Nicaragua, au Belize et au Guatemala sont réputés pour leur musique à base de tambours, leurs danses et leur art dans l'accommodement des fruits de mer. Des membres de la communauté ont aussi brillé sur les terrains de football.En 2011, le Honduras comptait un total de 200.000 Garifunas, selon l'ONG Organisation fraternelle noire.Dès 2001, l'Unesco a même déclaré la langue, la danse et la musique du peuple garifuna comme Patrimoine immatériel de l'humanité en espérant protéger ainsi son mode de vie, ses us et ses coutumes.Mais rien n'y fait: pour Edgardo Benedit, les persécutions et les menaces contre les dirigeants de la communauté, à Triunfo de la Cruz et ailleurs, font partie d'une "stratégie" pour les déloger.Le Honduras est considéré par des organisations internationales comme l'un des pays les plus dangereux du monde pour les défenseurs des droits de l'homme et de la terre.En mars 2016 a ainsi été assassinée Berta Caceres, de l'ethnie lenca, dirigeante emblématique pour la défense des peuples autochtones qui luttait contre un projet d'un barrage hydroélectrique sur un territoire indigène. Sept hommes, accusés d'avoir participé à l'assassinat, ont été condamnés à des peines allant jusqu'à 50 ans de prison.
Des plages paradisiaques bordées de palmiers sur la côte caraïbe du Honduras sont convoitées par des groupes hôteliers internationaux avec le soutien du gouvernement. Mais leurs projets se heurtent à l'opposition farouche de la communauté garifuna qui voit menacé son mode de vie ancestral.
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Le "Trône de fer" par-ci, le "Trône de fer" par-là, difficile de passer à côté de ce phénomène mondial. Si la saga médiévo-fantastique, inspirée des romans de George R. R. Martin, est sur toutes les lèvres depuis des années, ça n'est pas pour rien. C'est un véritable carton pour le hit de la chaîne américaine HBO, qui s'est d'ailleurs confirmé lors de la cérémonie des Emmys.Récompensée de trois prix hier soir, la série entre dans l'histoire avec 38 statuettes au compteur, sur six saisons diffusées. Elle détrône ainsi la sitcom "Frasier", qui tenait jusque-là le record avec 37 Emmys. Alors si vous ne connaissiez pas "Game of Thrones", n'hésitez plus et plongez dans cet univers. Voici trois bonnes raisons !Une réalisation époustouflanteUne chose est indéniable, c'est la prouesse technique de la série. Car si le show s'est enchéri de trois nouvelles statuettes hier soir, il en avait déjà remporté neuf dans les catégories techniques du week-end dernier. Les "Creative Emmys", une cérémonie à part qui récompense les effets spéciaux, le son, etc., ont donc fait la part belle au "Trône de fer". De nombreux épisodes ont marqué la série, mais l'un d'entre eux s'est démarqué lors de la saison six. Acclamé par la critique et le public, l'avant dernier épisode de "GoT", "Battle of the Bastards", signe une sublime réalisation récompensée par un Emmy.Une histoire palpitanteDeux autres statuettes ont été offertes au hit de HBO, meilleur scénario, et le Saint Graal, celui du meilleur drama. Une intensité dramatique qui ne me manque pas de choquer, surprendre ou enflammer toutes autres émotions durant le visionnage des épisodes. L'histoire est dense et il semble parfois laborieux de se souvenir de tout. Pourtant, l'ensemble est cohérent et le suspense est roi !Et riche en personnagesDifficile de suivre tous les personnages tellement il y en a ! Mais si aucun acteur n'a été récompensé cette année, ça n'est pas pour autant qu'ils ne le méritent pas. La série peut compter sur un casting véritablement talentueux qui ne finit pas de fournir de belles prestations. Que ce soit du côté des adultes tels que Peter Dinklage, Emilia Clarke ou enore Iwan Rheon, mais aussi des plus jeunes, comme Maisie Williams ou Isaac Hempstead-Wright. Plus que deux saisons et "Game of Throne" tire sa révérence !
"Game of Thrones" est devenue LA série la plus primée de l'histoire des Emmy Awards, les Oscars de la télévision américaine, lors de la cérémonie du dimanche 18 septembre 2016, à Los Angeles. Comment ce show est-il devenu incontournable ?
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Christian Estrosi a annoncé un premier cas de coronavirus confirmé à Nice, vendredi 28 février. Selon l'édile de la ville, la personne contaminée est une jeune femme "revenant de Milan, qui a été prise en charge au CHU de Nice". Deux jours auparavant, Christian Estrosi avait annoncé l'annulation du dernier jour des festivités du carnaval de Nice, qui était prévu samedi 29 février. Il avait alors invoqué le "principe de précaution" face à la propagation du virus, qui s'est répandu de l'autre côté de la frontière franco-italienne, avec plusieurs foyers infectieux détectés notamment dans les régions de Lombardie et Vénétie.Face à ce premier cas confirmé, le maire de Nice a en outre annoncé la mise en place d'une "plateforme dédiée pour les Niçois", au 0497135600, à partir de 14h aujourd'hui puis 7 jours sur 7 de 9h à 19h.Cette annonce survient dans un contexte de multiplication des cas confirmés depuis hier. La veille, le ministre de la Santé avait fait part d'une "augmentation sensible" du nombre de cas sur notre territoire. "Plusieurs investigations sont toujours en cours, susceptibles de faire évoluer ce bilan d'ici demain soir", avait t-il précisé.
Selon le maire niçois, la personne infectée par le virus Covid-19 revenait de Milan.
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Les habitants de Jonquières et des alentours s'étaient réunis samedi pour participer à une fête votive. Pour l'occasion, des manèges avaient été installés sur une place de la commune. Dans l'une des attractions, un homme de 44 ans s'est grièvement blessé. Il a été éjecté d'une sorte de chenille, qui tourne vite mais ne s'élève pas, selon France Bleu. Sa tête a violemment heurté un montant en bois. L'homme a été hospitalisé à Marseille, il souffre d'un traumatisme crânien. En avril dernier, deux accidents spectaculaires avaient suscité l'émoi dans les allées de la foire du Trône, à Paris. Une jeune fille avait manqué d'être décapitée. Elle s'était retrouvée suspendue dans le vide par les pieds, en pleine attraction, en raison d'une sangle qui avait lâché. Par chance, elle s'était sortie de cette mésaventure sans une égratignure. Durant le même week-end, un second incident était survenu sur autre un manège de la fête foraine installée dans le Bois de Vincennes. Cette fois, une adolescente de 13 ans s'était luxé l'épaule à bord d'une attraction, constituée d'une plateforme circulaire qui tangue et secoue les participants sans qu'ils ne soient attachés. La collégienne et sa mère ont déposé plainte.
Un homme de 44 ans a été blessé à la tête dans une attraction samedi 2 septembre au soir lors d'une fête de village, près d'Orange. La sécurité du manège ne serait pas en cause, selon une information de France Bleu.
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"Après dix ans de procédure, et après avoir été à chaque fois relaxé, j'ai l'impression d'être un peu une victime du système", déclare l'actuel président de la commission des Finances à l'Assemblée dans une interview publiée par Le Figaro. "Je résisterai aux accusations". "Aujourd'hui, on voudrait me faire dire que (la campagne) a été financée par M. Kadhafi. Ce qui n'est pas le cas", ajoute-t-il, assurant ne pas connaître "les protagonistes libyens de cette affaire"."Comment garder de tout cela un souvenir précis ?""J'assume, dans les circonstances de l'époque, avoir reçu des dons anonymes et les avoir distribués à des salariés. Dans mon souvenir, ils se montaient à 30.000 euros. (...) Comment garder de tout cela un souvenir précis, onze ans après, même si je pense que nous avons fait les choses correctement ?", se demande le député de l'Oise, mis en examen pour "complicité de financement illégal de campagne".Les juges font un lien entre les sommes en liquide qui ont circulé au QG de campagne de Nicolas Sarkozy et celles qui auraient été versées au camp du candidat par le régime de Khadafi, comme l'affirment d'anciens dignitaires libyens et le sulfureux intermédiaire Ziad Takieddine. "Pour les gratifications que nous avons distribuées, je réfute qu'il s'agisse de dépenses électorales", ajoute Eric Woerth. "N'est dépense de campagne que celle ayant concouru à l'obtention de suffrages. Ce n'est pas le cas de ces sommes qui ont été distribuées après la campagne", soutient l'élu. "2007 n'a pas été un moment comme les autres : c'était un moment de grande ferveur politique. Beaucoup voulaient donner, les contributions étaient abondantes", se souvient-il.Le député note "que les campagnes sont de plus en plus mises en doute" et suggère de "penser à consolider les contrôles a priori pour solidifier les campagnes".
Le député Les Républicains (LR) Éric Woerth, mis en examen mardi dans l'enquête sur les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, estime être "une victime du système".
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Le grand débat national voulu par le président de la République en réponse aux mobilisations depuis deux mois des "gilets jaunes" doit débuter mardi 15 janvier dans tout le pays. Une consultation qui se fera sous la responsabilité de référents désignés par les préfets, rapporte France Info.Dans un courrier adressé aux préfets, le directeur de cabinet du ministère de l'Intérieur, Stéphane Bouillon, leur demande "une implication forte pour le lancement du processus".Une plateforme numérique et un numéro vertLes référents devront s'assurer que "les réunions d'initiative locale pourront bien se tenir, dès le 15 janvier dans un lieu mis à disposition de préférence par une collectivité locale ou une structure associative, et dans des conditions de sécurité" et être en relation avec les élus afin d'organiser au mieux ces réunions.Quatre thèmes seront abordés : le pouvoir d'achat, la fiscalité, la démocratie et l'environnement. Toute remise en cause de l'IVG est exclue, au même titre que la peine de mort et le mariage pour tous. France Info révèle aussi qu'une "plateforme numérique" sera mise en place à partir du 15 janvier, à l'adresse granddebatnational.fr. Un numéro vert sera par ailleurs créé afin de répondre à "toutes questions d'un particulier souhaitant organiser ou participer au grand débat". Des "kits de fond viendront en appui pour aider les animateurs des débats".
Les référents départementaux auront pour mission d'encadrer les débats et de veiller à leur bon déroulement.
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Les fans de l'idole des jeunes vont devoir patienter un peu plus longtemps que prévu. Selon les informations de BFMTV et Closer, le 51e album de Johnny Hallyday ne devrait pas être commercialisé avant le mois d'octobre. Une première date de sortie avait pourtant été évoquée par plusieurs medias : celle du 15 juin. La sortie aurait ainsi coïncidé avec l'anniversaire du chanteur, décédé dans la nuit du 5 au 6 décembre. La raison de ce report ? BFM évoque les démêlés judiciaires qui opposent sa veuve Laeticia et ses deux enfants aînés David et Laura Smet. Ces deux derniers réclament un droit de regard sur le disque. Ils ont cependant été débouté par le tribunal de Grande instance de Nanterre le 13 avril, au motif que leur père avait validé les dix titres qui composent l'album.Le décalage pourrait également être motivé par des raisons purement commerciales. Une sortie au dernier trimestre permettrait de booster les ventes avant les fêtes de fin d'année, précise Closer. Tous ces informations n'ont pas été confirmée par Warner Music.L'album comporterait douze chansons - dont 10 chantés par Johnny, deux sont instrumentales - aux sonorités très rock'n'roll. Seuls trois titres sont des ballades, les autres sont présentés comme "sombres" et "crépusculaires", avait d'ores et déjà précisé BFMTV le mois dernier. Une chanson, intitulée "J'en parlerai au diable", évoque notamment le seuil de la mort. Une autre a pour thème le pardon et s'adresserait directement à Laeticia. Tous les titres sont en français, même Back in L.A., signé Miossec.
VIDÉO. Selon BFMTV et Closer, la sortie de l'album posthume de Johnny Hallyday a été reportée à la fin de l'annnée.
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"Aujourd'hui c'est l'heure du confinement et l'heure du confinement va durer". Lors de la séance de questions au gouvernement, mardi 7 avril, Edouard Philippe s'est montré beaucoup moins prolixe quant au futur déconfinement, qui avait fait naître de l'espoir chez les Français.Les questions sur le déconfinement "sont très largement prématurées", a-t-il souligné. "Nous en évoquerons les éléments essentiels lorsque les hypothèses sur lesquelles nous travaillons seront vérifiées, les scenarii seront écrits". À l'Assemblée nationale le Premier ministre a également affirmé que le confinement pour lutter contre la propagation du coronavirus allait "durer". "Aujourd'hui c'est l'heure du confinement et l'heure du confinement va durer", a-t-il insisté.Le chef du gouvernement répondait aux députés alors que la France entre dans sa quatrième semaine de confinement, fixé jusqu'au 15 avril pour le moment. "C'est tout à fait difficile à supporter pour beaucoup de Français, j'en ai parfaitement conscience, mais c'est indispensable si nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation qui serait pire encore que celle que nous connaissons aujourd'hui", a-t-il poursuivi."Faire en sorte que le confinement fonctionne""Aujourd'hui, l'impératif c'est de faire en sorte que le confinement fonctionne, que le virus circule suffisamment lentement pour que le nombre de cas sévères qui justifient l'admission dans les services de réanimation ne soient pas supérieur aux capacités globales de notre système hospitalier", a-t-il fait valoir en réponse à une question sur le déconfinement."Nous nous préparons. Se préparer ne veut pas dire que c'est prêt. Ça veut dire se préparer techniquement, scientifiquement, logistiquement, pour être prêt le moment venu", a expliqué le Premier ministre.
Lors de la séance de questions au gouvernement, le Premier ministre a durci le ton quant au futur déconfinement, estimant qu'en parler était prématuré.
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Dans les colonnes de La Montagne, l'ex-chef de l'Etat a fait une confession qui a pu surprendre parents et élèves présents. « Vous avez le bon diplôme, celui que je n'ai jamais eu », a-t-il déclaré. Même si depuis il en a obtenu « beaucoup », le BEPC ne fait pas parti de sa collection de diplômes.L'ex-président a détaillé à La Montagne les raisons de sa non-obtention : « Étais-je un mauvais élève de collège ? Non. Mais j'étais en troisième en 1968. Il y a cinquante ans, il y avait un grand mouvement social en France (je ne fais aucune comparaison) et il était impossible de faire des examens écrits. On devait faire des exposés oraux devant des profs, qui n'étaient généralement pas là... Et je n'ai pas eu le BEPC. Mais je m'en suis néanmoins sorti. », a-t-il lancé en souriant. La géographie plutôt que les maths Dans une ambiance bon enfant, François Hollande a tout de même rappelé si les matières enseignées au collège servent à quelque chose lorsque l'on est à la tête d'un pays : « Est-ce que les maths servent à un président de la République ? Non, elles ne servent à rien lorsque vous êtes face à Vladimir Poutine. Les mathématiques sont de peu de secours, mieux vaut être bon en gymnastique. Mais la logique est utile : savoir comment un problème se pose et comment il peut être résolu. »En revanche, même si la géographie n'était pas sa tasse de thé adolescent, c'est surement la matière qui lui aura été la plus utile lors de son mandat. « Comme président de la République, c'est la matière qui m'a été la plus utile pour comprendre ce qui se passe dans le monde », a-t-il confié.
L'ancien président de la République François Hollande était invité à Brive, au collège Jean Lurçat pour une remise des diplômes samedi 14 décembre. Lors de la cérémonie, il a avoué qu'il n'a jamais eu l'ancêtre du brevet des collèges : le BEPC.De retour en Corrèze samedi 14 décembre, l'ancien président de la République était l'invité d'honneur du collège Jean Lurçat de Brive pour la cérémonie des brevets des collèges.
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Un projet de 400 millions d'euros validé par la mairie, en présence de Florentino Perez, le président du club.Le nouvel écrin sera doté d'un toit rétractable, grâce aux meilleures technologies. Il subira aussi un lifting complet, pour en faire une oeuvre architecturale unique. Le Real Madrid, limité par l'espace disponible, a renoncé à agrandir sensiblement son stade. La capacité d'accueil restera donc à un peu plus de 80 000 spectateurs. "Cela va être une transformation spectaculaire du stade Santiago-Bernabeu, qui est l'une des icônes emblématiques de notre ville et dont nous voulons faire l'un des meilleurs stades du monde", a annoncé Florentino Perez. Qui pour financer ce grand projet ? C'est un fonds d'investissement basé à Abu Dhabi qui va signer le chèque de 400 millions d'euros. En échange, le nouveau stade portera son nom.Zinédine Zidane, s'il est encore entraîneur du Real, Karim Benzema et Cristiano Ronaldo devront attendre 2019 avant de jouer dans cette nouvelle enceinte. Les travaux devraient débuter au cours de l'année 2017.
Le Real Madrid change de standing. Le stade Santiago-Bernabeu, situé au coeur de la capitale espagnole, va être complètement rénové.
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Les tensions sont déjà présentes dans les rues de la capitale. Selon les informations de BFMTV, la manifestation dénonçant les violences policières dans le pays a vu s'opposer le camp du défunt Adama Traoré et des membres du groupe « Génération identitaire ». Près de 6 000 personnes se sont données rendez-vous sur la place de la République à Paris ce samedi 13 juin. Pour s'opposer à ce mouvement, les militants identitaires ont tenté de se faire entendre. Sur le toit d'un immeuble, une banderole a détourné le célèbre slogan « Black Lives Matter » (« les vies des noirs comptent ») en « White Lives Matter » (« les vies des blancs comptent »), une manière de dénoncer le racisme anti-blanc. Face à ce message, le reste des manifestants ont entonné un chant « A bas les fachos ».Par la suite, ce sont de premiers affrontements qui ont eu lieu entre les forces de l'ordre et les manifestants. Cela s'est passé au niveau de la rue Turbigo, près de la place de la République. Les policiers ont été visés par des jets de projectiles et des tirs de mortier, ils ont par conséquent réagi en utilisant des gaz lacrymogènes. Jean-Luc Mélenchon s'attaque au préfet LallementSi les manifestants étaient autorisés à se rassembler, ils restaient en milieu d'après-midi toujours immobiles. Ils espéraient néanmoins pouvoir rejoindre la place de l'Opéra mais selon les informations de BFMTV, les forces policières ne devraient pas les accompagner jusque là. « On a appris pile poile à 14h30, heure où la manifestation était censée débuter, qu'il ne serait pas toléré qu'ils se mettent en mouvement », explique Jean-Luc Mélenchon, présent sur place.Le leader LFI n'est pas surpris et s'attend « à d'autres provocations du préfet Lallement. Il avait dit ce matin aux organisateurs que la manifestation, le rassemblement, le mouvement serait toléré ». Il assure que le préfet « n'est pas dans un état mental normal » et chercherait à mettre de l'huile sur le feu à ses yeux. « Ce qui est recherché ce sont les incidents qu'il pourrait mettre à la charge des personnes présentes au rassemblement », dénonce-t-il selon BFMTV.À l'origine de cette manifestation, Assa Traoré, sœur d'Adam Traoré décédé lors d'un contrôle de police, a une nouvelle fois rappelé l'importance de ce rassemblement. « Aujourd'hui, c'est un rassemblement pour dénoncer le déni de justice. Aujourd'hui, c'est un rassemblement pour dénoncer la violence policière. Aujourd'hui, c'est un rassemblement pour dénoncer la violence sociale. Aujourd'hui, c'est un rassemblement pour dénoncer la violence raciale », a-t-elle déclaré avant le début de la manifestation dans des propos relayés par BFMTV.
Une manifestation contre les violences policières a lieu samedi 13 juin à Paris. Assa Traoré, la soeur d'Adama décédé lors d'un contrôle de police en 2016, accompagnée notamment de personnalités politiques comme Jean-Luc Mélenchon, a fait face à des opposants issus du groupe « Génération identitaire », suscitant de vives tensions.
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Même si les enfants les adorent, les fournitures odorantes comme les stylos et gommes aux senteurs de fruits, sont loin d'être sans danger avertit l'Agence nationale de l'environnement et de maîtrise de l'énergie (l'Ademe)."Tout ce qui sent bon, il vaut mieux oublier, par exemple les feutres qui sentent la fraise, la vanille, la banane, les gommes parfumées émettent des composés organiques volatils qui ne sont absolument pas bons à respirer", conseille Florence Clément sur France Info.Privilégier les produits sans solvantsCes produits sont dangereux car "les composés intègrent nos voies respiratoires et peuvent devenir irritants et avoir des effets à plus long terme", explique la membre de l'Ademe. Pour parer à tout danger, il faut privilégier les produits sans solvants."Pour les stylos, il y a une cinquantaine de références, des marqueurs, des feutres, avec la marque NF environnement qui donne des garanties sur les émissions" de composés organiques volatils, souligne ainsi Murielle Gauvain, cheffe de produits à l'Afnor, association française de normalisation. "Ces références sont reconnaissables grâce au petit logo à la fleur de l'écolabel européen", rappelle la cheffe de produits à l'Afnor.
L'agence nationale de l'environnement et de maîtrise de l'énergie recommande notamment d'éviter les stylos parfumés.
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C'est une avancée majeure dans une affaire qui a fait grand bruit. Selon les révélations du Parisien, la police a interpellé mardi 1er octobre un homme de 18 ans suspecté d'avoir assassiné la jeune Priscillia à Estagel (Pyrénées-Orientales) près de Perpignan dans la nuit du 6 au 7 juillet 2019. Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la section de recherches de Montpellier. Dans la matinée du mercredi 2 octobre, le suspect aurait même fini par confesser être l'auteur de ce crime. La nuit du drame, un bal en l'honneur des pompiers avait lieu. La jeune fille atteinte d'une déficience intellectuelle avait disparu avant que son corps, dénudé, ne soit finalement retrouvé dans un cimetière. Elle avait été victime de violences sexuelles mais pas de viol. Après inspection, le parquet avait révélé que le cadavre présentait « cinq blessures par arme blanche au niveau du cou, dont trois entailles superficielles et deux plaies beaucoup plus profondes qui résulteraient de coups de couteau qui ont touché la jugulaire gauche et le larynx. »Lien ADN établi avec le suspectAu fur et à mesure de leurs investigations, les enquêteurs avaient recueilli de nombreux éléments dont une empreinte ADN. Ils ont testé en vain plusieurs personnes suspectées. Selon les informations du quotidien local L'Indépendant, l'ADN du suspect interpellé correspondrait avec celle retrouvée sur le lieu du crime. Une preuve majeure en plus des aveux précis qu'il aurait livré selon Le Parisien.Le prochain objectif des gendarmes reste donc de comprendre les raisons d'un tel acte. S'il est inconnu de la justice, le jeune homme de 18 ans serait lui aussi originaire d'Estagel, le village où vivait Priscillia. Son interrogatoire pourrait également permettre de comprendre les réelles conditions de sa mort. L'autopsie a révélé qu'elle était morte d'asphyxie mais sans déterminer si cela était lié à un étouffement ou une embolie pulmonaire résultant de sa grave blessure à la gorge.
Selon les informations du Parisien, la police a mis la main sur un suspect majeur dans l'enquête sur la mort de Priscillia, 18 ans, à Estagel (Pyrénées-Orientales) au début de l'été. Il aurait avoué le meurtre.
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Depuis son arrivée au pouvoir en 2016, M. Duterte n'a cessé d'accroître son emprise sur les institutions philippines, emprisonnant ou écartant ses détracteurs les plus audibles. Mais il s'était toujours bien gardé de mettre à exécution ses pires menaces à l'encontre des médias qui le critiquent.L'arrêt de la diffusion des chaînes du groupe ABS-CBN, intervenu mardi, rappelle les pires heures de l'autoritarisme philippin, a estimé Butch Olano, d'Amnesty International."C'est un jour noir pour la liberté des médias aux Philippines, qui rappelle la loi martiale, quand la dictature avait pris le contrôle des agences de presse", a déclaré M. Olano.Les chaînes du groupe ABS-CBN ont cessé d'émettre quelques heures après que le gouvernement ait contre toute attente pris un décret ordonnant leur fermeture, en raison des difficultés des discussions relatives au renouvellement de sa licence.Cette licence de 25 ans expirait lundi, mais les autorités avaient assuré précédemment que le groupe pourrait continuer à émettre provisoirement.- "Une ligne franchie" -Le conflit entre ABS-CBN et Rodrigo Duterte avait commencé en 2016, le président accusant le groupe de ne pas avoir diffusé ses clips de campagne mais d'avoir cependant conservé l'argent payé pour le faire. Depuis, M. Duterte s'en prend régulièrement au groupe de télévision, radio et internet dans ses discours. "Tout cela découle de la vendetta personnelle du président Rodrigo Duterte contre la chaîne", a estimé l'Union nationale des journalistes des Philippines (NUJP).Depuis son élection en 2016, M. Duterte, ex-maire de Davao qui n'était initialement pas favori pour la présidence, n'a cessé de consolider son pouvoir.Une de ses opposantes les plus acharnées, la sénatrice Leila de Lima, est emprisonnée pour des accusations de trafic de drogue qu'elle dit totalement fabriquées.D'autres ont été écartés de postes prestigieux, comme Maria Lourdes Sereno, présidente de la Cour suprême qui a été limogée en 2018 au terme d'un processus à la légalité très contestée.Plusieurs mois auparavant, dans un entretien à ABS-CBN justement, elle avait estimé que M. Duterte menaçait la démocratie.M. Duterte s'en est aussi pris à des médias indépendants comme le site internet d'information Rappler et le quotidien d'investigation Philippine Daily Inquirer. Ils ont à ce stade évité la fermeture.La directrice de Rappler, Maria Ressa, encourt des années de prison dans une affaire de diffamation qu'elle juge elle aussi motivée par ses critiques sur la politique de M. Duterte.L'organisation Reporters sans frontières a placé l'archipel au 136e rang de son classement mondial de la liberté de la presse, qui compte 180 pays. Malgré tout cela, la suspension d'ABS-CBN semble aggraver encore le conflit entre le gouvernement Duterte et certains médias."Nous avons franchi une ligne", a déclaré Carlos Conde, de Human Rights Watch. "Cela revient à dire à tout le monde de ne pas chercher des noises au gouvernement."Il a rappelé qu'ABS-CBN avait aussi, en son temps, été ciblé par l'ex-dictateur Ferdinand Marcos.
L'arrêt de la diffusion des chaînes d'ABS-CBN, principal groupe de médias philippin, est extrêmement préoccupant pour l'état de la démocratie dans l'archipel et peut légitimement inquiéter tous les détracteurs du président Rodrigo Duterte, ont estimé mercredi plusieurs organisations de défense des droits de l'homme.
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Le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nuñez a annoncé vendredi 15 novembre sur France 2 qu'"un peu moins de 130 débits de boissons, 12 lieux de culte, 4 écoles hors contrats et 9 associations et établissements culturels" avaient été fermés dans une quinzaine de quartiers de France "frappés par l'islamisme politique et le communautarisme". "Dans ces endroits, on entendait un discours qui était communautariste (...) qui faisait passer la loi de Dieu avant la loi de la République et le vivre ensemble", a ajouté le secrétaire d'État. Laurent Nuñez n'a donné aucune indication sur la localisation de ces quartiers, ni sur la période durant laquelle se sont opérées ces fermetures."Nous luttons contre l'islamisme politique qui laisse penser que la loi de Dieu est supérieure à celle de la République", a encore déclaré Laurent Nuñez qui a précisé que cet "islamisme politique" ne devait pas être "confondu avec l'islam".Interrogé sur une proposition du sénateur de Vendée Bruno Retailleau d'interdire les listes communautaires, le secrétaire d'État a indiqué que "nous n'en (étions) pas là". "Le droit électoral, la possibilité de se présenter à une élection, c'est une liberté importante, elle est liée à la liberté d'expression. La laïcité est un autre principe fondamental. Il faut qu'il y ait un équilibre", a précisé Laurent Nuñez."Ce que nous faisons, c'est que nous luttons contre l'islamisme politique dont les listes communautaires ne sont qu'une illustration", a-t-il conclu.
S'exprimant sur France 2, le secrétaire d'État à l'Intérieur a précisé que ces fermetures avaient eu lieu dans une "quinzaine de quartiers" de France dont il n'a pas indiqué la localisation.
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"L'allègement fondamental sera celui de la distanciation physique qui sera désormais moins contraignante", a dit Jean-Michel Blanquer sur Europe 1. Il faudra respecter une distance d'"un mètre latéral entre chaque élève", et non plus de 4m2 par élève."Dans les écoles élémentaires et les collèges, l'observation d'une distanciation physique d'au moins un mètre s'applique uniquement dans les salles de classe et tous les espaces clos, entre l'enseignant et les élèves ainsi qu'entre chaque élève lorsqu'ils sont côte à côte ou qu'ils se font face", explique un décret publié lundi matin. Depuis le début du déconfinement, le protocole sanitaire très strict imposé aux établissements scolaires ne permettait d'accueillir que 15 élèves maximum par classe en primaire. Avec cette nouvelle mesure, mise en place à partir de lundi prochain, "la limitation de 15 élèves par classe en primaire" sera donc levée.Ces derniers jours, de nombreux parents d'élèves ont fait part de leur impatience et épuisement, du fait du nécessaire suivi scolaire de leurs enfants alors que leur activité professionnelle reprenait de manière plus soutenue. Dimanche dans son allocution, Emmanuel Macron, a annoncé la reprise des cours lundi 22 juin dans les crèches, écoles, collèges "de manière obligatoire et selon les règles de présence normale". "Deux semaines ça compte, deux semaines ce n'est pas rien, que ce soit sur le plan pédagogique et psychologique" pour les élèves, a dit Jean-Michel Blanquer, affirmant que cette année la fin de l'année sera véritablement le 4 juillet, du fait de l'annulation des examens. "L'école ne doit jamais être une garderie", estime le ministre. Selon les derniers chiffres du ministère, 1,8 million d'écoliers - sur un total de 6,7 millions - sont retournés à l'école mais rarement à temps complet. Au collège, ils sont 600.000 sur 3,3 millions.
Le ministre de l'Education a annoncé lundi que le très strict protocole sanitaire qui régit actuellement les écoles va être amendé mardi pour permettre le retour à l'école la semaine prochaine de tous les élèves.
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C'est d'une façon plutôt originale que trois artistes du Lot ont décidé de rendre hommage à Jacques Brel, décédé le 9 octobre 1978, il y a bientôt 40 ans. Un sculpteur, une peintre et un paysagiste ont pour projet de dessiner sur un champ un portrait du chanteur de 110m de long sur 60m de large. L'oeuvre aussi appelée "land-art"ne sera visible que depuis la commune de Bélaye qui culmine à 100m d'altitude.Si les trois artistes, Jacques Cohen, Anne Schlesser et Vincent Cavalié, ont déjà réussi à récolter 3 000 euros grâce au financement participatif, leur projet fait polémique dans la commune de Prayssac. Un collectif d'habitants baptisé "Maniserre" dénonce une pollution visuelle. Une pétition a d'ailleurs été lancée contre la réalisation de ce "land-art". "S'il se réalise, l'œil butera éternellement sur ce tag géant. Et pourquoi Jacques Brel ? Il chante le Plat Pays qui est le sien, à l'opposé de notre pays de collines et de causses", s'indigne le collectif dans les colonnes de la Dépêche.Le portrait éphémère de Jacques Brel va être réalisé "avec des plantations de trèfles et de gazon, associé à de la paille blanchie à la chaux agricole", précisait en début février le site actu.fr. La région Occitanie, le Conseil départemental du Lot et les mairies de Prayssac et de Bélaye ont déjà apporté leur soutien au projet, qui a déjà commencé à prendre forme. Si tout se passe comme prévu, le portrait du chanteur devrait être visible dès le mois de juin, avant de disparaître à la fin de l'été.
Pour célébrer les 40 ans de la mort de Jacques Brel, trois artistes du Lot ont décidé de dessiner sur un champ du village de Prayssac un portrait éphémère du chanteur. Un projet qui ne plaît pas à tout le monde, comme le révèle La Dépêche.
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- QUI PEUT VOTER ? -► Pour pouvoir voter, il faut s'être inscrit sur les listes électorales avant le 31 décembre 2015. Ceux qui auront 18 ans avant le 1er tour de l'élection présidentielle, le 23 avril, avaient jusqu'à mi-octobre pour s'inscrire.► Les votants devront également signer une charte dans laquelle ils affirment "partager les valeurs républicaines de la droite et du centre". ► Pour les citoyens français résidant à l'étranger, le vote électronique est possible. Ils sont 58.500 à s'être inscrits.- OÙ VOTER ? -Ce sont très précisément 10.228 bureaux de vote qui seront installés dimanche en métropole et en Outre-mer. Pour savoir où voter, les électeurs peuvent chercher directement sur le site de la primaire. Trouver un bureau de vote à proximité de chez soi n'est pas toujours une mince affaire, surtout en milieu rural. Dans le Sud-Ouest par exemple, des habitants de Giscos, en Gironde, ont expliqué au micro d'Europe 1 que le bureau de vote le plus proche était situé à 26 km de là. Un trajet que tous ne sont prêts à effectuer. "Pour un vote classique on vote à Giscos, tandis que là il faut se déplacer, 25 kilomètres, aller et retour... Je ne sais pas trop ce qu'on va faire mais, indiscutablement, c'est un frein", a expliqué une retraitée de la commune. "Ça dépendra aussi du temps. S'il fait beau, on ira. Mais s'il ne fait pas beau... Ce sont des petites routes plus ou moins dangereuses", a-t-elle déclaré.- VOTE PAR PROCURATION ? -Attention, les procurations ne sont pas autorisées. Cette modalité de scrutin avait été mise en place lors de l'élection pour la présidence de l'UMP, en 2012, et avait été à l'origine de profonds désaccords entre les candidats.- COMBIEN ÇA COÛTE ? -Pour participer, il en coûtera deux euros pour chaque tour, soit quatre euros au total. En cas de bénéfices dans l'organisation de ce scrutin, l'argent sera versé au candidat désigné.
Comment fonctionne la primaire de droite et du centre? Qui peut y voter? Où? En personne ou via une procuration? Éléments de réponse.Pour ceux qui souhaitent participer, rendez-vous les dimanches 20 et 27 novembre. L'enjeu est de départager les sept candidats sur la ligne de départ pour n'en garder qu'un, ou une, afin de représenter la droite et le centre à l'élection présidentielle de 2017.
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L'exécutif avait annoncé ce week-end un cycle de consultations lundi et mardi à Matignon avec les représentants des partis politiques et des "gilets jaunes" pour tenter de dénouer la crise née de la contestation par ces derniers de la hausse des taxes sur le carburant. "Aucun membre des gilets jaunes libres ne se rendra à Matignon demain", a déclaré Benjamin Cauchy, membre occitan de la dizaine de gilets jaunes de ce collectif vu comme modéré qui avait publié une tribune dans le Journal du dimanche (JDD). "On reçoit des appels en pleine nuit" Une autre de ces signataires, Jacline Mouraud, a également indiqué qu'elle ne se rendrait pas à Matignon car elle a reçu "trop de menaces" après la parution de cette tribune. "On est visé par des espèces de gamins anarchistes qui sont manipulés. On reçoit des appels en pleine nuit, des menaces comme 'On a ton adresse, t'en as plus pour longtemps'", avait déclaré dans la matinée la Bretonne de 51 ans à l'origine d'une vidéo virale sur la "traque aux automobilistes" qui avait contribué à lancer la contestation.Interrogée sur France info, Chantal Perrotin, "gilet jaune" en Auvergne-Rhône-Alpes et cosignataire de la tribune explique à son tour : "Matignon c'est annulé pour l'instant, j'ai reçu des menaces implicites sur Facebook, pas des menaces de mort, mais quand même"."Tous les signataires de la tribune du JDD ont reçu des menaces et intimidations qui ne garantissent pas leur sécurité. Certains gilets jaunes ont fait savoir qu'ils les empêcheraient d'aller" à Matignon, a confirmé Benjamin Cauchy. Le collectif n'ira pas discuter avec le gouvernement pour une autre raison, liée à la position de l'exécutif, a-t-il ajouté. "Le mal est profond et vous même ne le voyez pas !" "Depuis hier de nombreux députés LREM font le tour des médias pour dire que le gouvernement ne changera pas de cap. Et nous n'avons pas envie d'être des marionnettes d'une communication politique", a-t-il expliqué. "On est dans une impasse politique, à se demander si le gouvernement n'a pas choisi la tactique du pourrissement. Or s'il n'est pas ouvert au dialogue et à la négociation, ça va continuer à se cristalliser. D'autant que des gilets jaunes 'canal historique' ne communiquent plus que par appel à l'insurrection et à la colère".Parmi les membres historiques les plus connus des "gilets jaunes", Eric Drouet a en effet appelé à l'intensification du mouvement de contestation lors de nouvelles manifestations samedi prochain, plutôt que de "négocier avec un gouvernement qui perd de toute part"."Lycéen, ambulancier, chômeur, smicard, classe 'laborieuse', classe moyenne et j'en passe, le mal est profond et vous même ne le voyez pas !! Raffinerie à l'arrêt !! Port bloqué !! Péage gratuit !! Où est-ce que l'état a encore la main ? Nulle part !!! Samedi sera enfin le moment où le peuple français sera plus fort que le gouvernement !!". Sur les réseaux sociaux, le nouvel appel à manifester pour samedi est intitulé "l'acte IV, dissolution de l'Assemblée nationale".La crise politique est manifeste après ce troisième samedi de mobilisation qui a donné lieu à de nombreux débordements violents et dégradations, notamment en plein cœur de Paris, et fait 263 blessés, dont 81 membres des forces de l'ordre.
Les représentants du collectif "gilets jaunes libres", qui ont appelé dimanche à une "sortie de crise", n'iront pas discuter à Matignon mardi.
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Le réseau social est accusé d'avoir recueilli, sans leur consentement, les données de millions d'usagers pour les transmettre à l'entreprise d'analyse de données "Cambridge Analytica" qui a travaillé pour Donald Trump lors de la dernière campagne présidentielle aux États-Unis. Selon le sondage Ifop, 73% des Français affirment avoir entendu parler de l'affaire, mais 34% reconnaissent ne pas savoir précisément de quoi il s'agit. Même méfiance pour les autres réseaux sociauxSelon cette même enquête, deux tiers des Français ne font pas ou plus confiance à Facebook. 25% affirment même envisager de supprimer leur compte. Les autres réseaux sociaux n'ont pas davantage la cote puisque les sondés sont 74% à ne pas faire confiance à Snapchat et Twitter et 72% à Instagram. 30% affirment même envisager de fermer leur compte Twitter contre 22% pour Snapchat et 19% pour Instagram. Cette défiance envers les réseaux sociaux s'explique principalement par la crainte de voir utiliser ses données personnelles (65%) et pour le risque d'escroquerie et d'arnaque (38%). Facebook reste de loin le réseau social le plus utilisé par les Français : 63% d'entre eux possèdent un compte contre seulement 22% pour Twitter, 21% pour Instagram et 18% pour Snapchat. Facebook estime à 87 millions le nombre d'utilisateurs dont les données personnelles sont arrivées entre les mains de l'entreprise d'analyse de données qui a travaillé ensuite pour la campagne du candidat républicain Donald Trump à la présidentielle américaine de 2016. Mardi, Mark Zuckerberg a présenté ses excuses personnelles pour ne pas avoir compris à temps à quel point son réseau social pouvait être détourné de bien des façons.Enquête réalisée en ligne auprès d'un échantillon de 1.013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
Selon un sondage Ifop publié vendredi par Le Parisien, 25% des utilisateurs français de Facebook envisagent de supprimer leur compte après le scandale "Cambridge Analytica".
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Plusieurs associations de consommateurs dénoncent mardi une explosion des litiges liés au démarchage téléphonique dans le secteur de l'assurance et demandent aux pouvoirs publics d'interdire cette pratique de plus en plus répandue. "Devant son essor et face à l'explosion des pratiques toxiques dont sont principalement victimes les plus vulnérables, nous, associations représentant les consommateurs et les familles, appelons à son interdiction", écrivent dans un communiqué l'AFOC, la CLCV, Familles Rurales, UFC-Que Choisir et l'UNAF.Ils mettent notamment en cause l'"inaction" de la Fédération française de l'assurance (FFA) et de la Chambre syndicale des courtiers d'assurance (CSCA) pour lutter contre ce qu'ils qualifient de "processus industriel délétère". De fait, le nombre de plaintes liées au démarchage à domicile ou téléphonique tous secteurs confondus ont augmenté de 60% depuis 2012, selon le baromètre 2018 des réclamations de consommateurs réalisé par les pouvoirs publics. Pour le seul secteur de l'assurance, les réclamations adressées à la Direction de la répression des fraudes ont atteint en 2018 le nombre de 325, soit une progression de 11% sur un an. Depuis 2012, elles ont plus que quadruplé."Prétextant contre l'évidence que les contrats sont conclus à la demande des consommateurs, nombreux sont les professionnels qui s'exonèrent de leur obligation de remettre une information écrite avant toute souscription", affirment les associations de consommateurs. En outre, "alors que les démarcheurs sont tenus de proposer des produits adaptés aux besoins de leurs clients, ces derniers sont rarement questionnés sur leur situation", ajoutent-elles, citant le cas du courtier SGP récemment sanctionné par le gendarme français de la finance.Fin février, l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution relevait en effet que la conclusion des contrats intervenait chez SGP "en moyenne après 4 minutes et 44 secondes de conversation, parfois dans des conditions peu propices à l'échange d'informations".Les associations dénoncent par ailleurs le mécanisme de rémunération des courtiers, "en partie liée à la non-résiliation du contrat par l'assuré", de sorte que "tout est fait pour dissuader les consommateurs d'y mettre fin". Dans l'attente d'une interdiction du démarchage, elles demandent aux pouvoirs publics un encadrement plus strict "immédiat" de la vente à distance et l'obligation de conservation de "l'intégralité des enregistrements téléphoniques des démarchages pour sanctionner efficacement les sociétés se livrant à ces dérives".
Plusieurs associations dénoncent les "pratiques toxiques" de certains courtiers, qui ont fait exploser les litiges liés au démarchage.
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Il y aura une troisième étape. Après le premier oral de sept heures à Bourgtheroulde (Eure) le 15 janvier et celui de Souillac (Lot) le 18, Emmanuel Macron participera dans la semaine du 21 janvier à une nouvelle rencontre avec des maires, a annoncé Sébastien Lecornu, ministre chargé des Collectivités territoriales et co-animateur du "grand débat national" organisé par l'exécutif. "C'est l'Élysée qui annoncera l'endroit", a-t-il ajouté au micro de RTL, vendredi 18 janvier.D'ici le 15 mars, date de la fin de cette première phase de "déroulement des débats", le président de la République devrait multiplier cet exercice. "L'idée est d'avoir une ou deux rencontres par semaine en fonction de l'agenda international bien évidemment", a déclaré Sébastien Lecornu, soucieux par ailleurs de "conserver des rencontres qui soient à taille humaine" sur le modèle de ce qui avait fait à Bourgtheroulde.À l'occasion du lancement du grand débat, le chef de l'État avait échangé durant plus de 6h30 avec 600 maires normands. Les discussions avaient porté sur les 80 km/h, l'ISF, les conséquences du Brexit, le handicap ou encore le référendum d'initiative citoyenne. "Je tirerai des solutions véritables de ce débat car je veux en faire un acte II de mon mandat", avait alors promis Emmanuel Macron.40% des débats organisés par des citoyensAu 18 janvier, 360 débats étaient référencés sur la plateforme internet mise en place par le gouvernement, selon Sébastien Lecornu. "Sur ces 360 débats, globalement 40% sont organisés par des élus locaux, des collectivités territoriales, 40% sont organisés par des citoyens et 20%, ce sont bien évidemment des moyennes, sont organisées par des associations", a-t-il détaillé.Selon un sondage Odoxa Dentsu diffusé jeudi 17 janvier, quelque 94% des Français disent avoir entendu parler du grand débat. Ils sont 64% à rester sceptiques sur son utilité et moins d'un tiers (29%) comptent y participer.
Dans le cadre du "grand débat national", une troisième rencontre avec des élus est prévue pour la semaine du 21 janvier, dans un lieu que l'Élysée doit encore annoncer, a fait savoir Sébastien Lecornu.
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Israël ne considère pas comme une guerre les 18 années continues pendant lesquelles il a occupé le sud du Liban et combattu les miliciens chiites du Hezbollah, et n'accompagne pas systématiquement les vétérans souffrant de stress post-traumatique."Ils sont envoyés en asile psychiatrique, ce n'est pas approprié!", s'exclame M. Maier, consterné. L'homme de 50 ans, cheveux longs et grisonnants, a passé onze ans dans les rangs de l'armée israélienne et a effectué plusieurs missions au Sud-Liban à l'époque où son pays contrôlait cette zone, à partir de 1982.Avec Oshrit Shtark --dont le frère Erez a péri en 1997 à l'âge de 21 ans dans la collision de deux hélicoptères militaires qui se rendaient au Liban, faisant 73 morts--, Avi Maier tente de créer un centre d'accueil pour les anciens soldats souffrant troubles de stress post-traumatique."Ce sont des gens qui ont vu la mort en face, leurs amis mourir, être blessés et pour qui la vie n'est pas simple", estime auprès de l'AFP Mme Shtark, vêtue d'un t-shirt blanc sur lequel est imprimé le visage de son défunt frère."Nous voulons les aider à mieux vivre. Nous sommes en vie grâce à eux, tout le peuple leur est redevable", renchérit Avi Maier, serrant dans sa main un drapeau israélien.- Exutoire -En mars 1978, l'armée israélienne pénètre au Liban voisin pour mettre fin aux attaques de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qu'elle repousse jusqu'au fleuve Litani, plusieurs dizaines de kilomètres plus au nord, avant de se retirer en juin.Après de nouvelles attaques attribuées à l'OLP, dont le siège est alors à Beyrouth, Israël envahit une nouvelle fois le Liban en juin 1982 au cours de l'opération "Paix en Galilée" et établit une zone tampon pour assurer la sécurité des localités du nord d'Israël. Au total, fin 1982, l'opération aura fait 20.000 morts et 30.000 blessés, selon un bilan officiel libanais.Les soldats israéliens affrontent les miliciens du mouvement chiite Hezbollah, le "parti de Dieu" créé dans la foulée de l'invasion israélienne et financé par les Gardiens de la révolution iraniens.Enraciné dans le sud du Liban, le Hezbollah mène une guérilla contre l'Etat hébreu causant des pertes humaines au sein des forces israéliennes ainsi que de l'Armée du Liban-Sud (ALS), milice libanaise alliée d'Israël. Plus de 1.200 soldats israéliens sont tués et des milliers d'autres blessés en 18 ans."A un certain moment il y avait presque un mort (israélien) tous les quatre jours", rapporte Eyal Shahar. A 32 ans, ce metteur en scène n'a pas connu "le Liban", comme on dit en Israël. Mais pour les besoins d'une série qu'il écrit sur cette période, il a créé un groupe de discussion sur Facebook.Son groupe rassemble aujourd'hui plus de 35.000 personnes qui postent des messages et souvent des photos, dit Eyal Shahar. "Ils éprouvent le besoin de partager et cherchent un exutoire", explique-t-il. "C'était très dur, physiquement, psychiquement, ils se faisaient tirer dessus tout le temps".- Bonne décision ? -Le décompte des morts ébranle l'opinion publique israélienne et pousse le Premier ministre de l'époque, Ehud Barak, à retirer les troupes israéliennes."Si c'était à refaire, je le referais, et je suis fier de l'avoir fait", a déclaré dimanche M. Barak dans une interview à la chaîne internationale I24 news, qualifiant sur Twitter de "tragédie de 18 ans" la présence militaire israélienne au Liban.Dans la nuit du 23 au 24 mai 2000, le dernier convoi militaire israélien passe la frontière. Benny Gantz, aujourd'hui ministre de la Défense devant accéder au poste de Premier ministre dans 18 mois, est alors le dernier commandant à quitter le Sud-Liban.Ce 20e anniversaire du retrait intervient dans un contexte de tensions entre l'Etat hébreu et le Hezbollah libanais, accusé par Israël de préparer des attaques depuis le Liban et la Syrie et visé dans des opérations israéliennes en Syrie."Nous regardons (encore) le front nord, que ce soit au Liban ou en Syrie avec beaucoup d'attention, les problèmes sécuritaires qui peuvent se produire au Nord n'ont pas disparu", a déclaré dimanche M. Gantz."Nous sommes partis (du Liban) et le peuple juif est toujours en vie, partir était donc peut-être une bonne décision", estime Eyal Shahar. "Mais était-ce une bonne chose d'y aller? Je ne saurais dire."
"Quand on était au Liban, on comptait les uns sur les autres. Aujourd'hui encore, il faut qu'on se soutienne", affirme Avi Maier, dans les rangs d'une marche d'anciens combattants organisée à Tel-Aviv, 20 ans après le retrait israélien du Sud-Liban.
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Il n'y avait plus que 17% de grévistes à la SNCF lundi 9 octobre, en bette baisse par rapport à jeudi et vendredi derniers. Toutefois, les conducteurs sont restés très mobilisés, à 77,3% de grévistes, a annoncé la direction de l'entreprise.Parmi les personnels indispensables à la circulation des trains, 58,4% des contrôleurs et 21,9% des aiguilleurs étaient en grève lundi, au cinquième jour du mouvement illimité contre le projet du gouvernement de système universel de retraite, indique la direction dans un communiqué. Si elle reste très forte, plus des trois quarts de conducteurs étant grévistes, la mobilisation des agents de conduite a un peu fléchi, après un taux de 85,7% jeudi et un pic à 87,2% vendredi. La direction ne publie pas les taux de grévistes du week-end. Chez les contrôleurs, il y a aussi une baisse, après 73,3% de grévistes jeudi, puis 80% le lendemain. Recul également côté aiguilleurs: ils étaient 57% en grève jeudi, avant 45,3% vendredi.Côté trafic, la grève menée de front à la SNCF et à la RATP entraînait lundi de très fortes perturbations du trafic des transports publics et avait provoqué plus de 600 kilomètres de bouchons en Île-de-France dans la matinée.La SNCF assurait "entre 15% à 20%" de son trafic habituel, avec un TGV et un Transilien (RER SNCF et trains de banlieue) sur cinq, trois liaisons TER sur dix (essentiellement par bus), un train Intercités sur cinq, tandis que le trafic international était "très perturbé".A la RATP, le trafic était "extrêmement perturbé", avec notamment neuf lignes de métro sur seize fermées.Dimanche soir, les deux groupes avaient indiqué qu'il ne devrait pas y avoir d'amélioration du trafic mardi, date d'une deuxième journée de mobilisation nationale interprofessionnelle contre le projet du gouvernement. Ils invitent les usagers à "limiter" ou "différer leurs déplacements".
La mobilisation est en recul, avant peu-être un nouveau pic dès mardi, à l'occasion d'une journée d'action des syndicats.
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Le président vénézuélien Nicolas Maduro a rejeté dimanche l'ultimatum de sept pays européens, dont la France, lui demandant la tenue d'une nouvelle élection. S'il n'acceptait pas, ces pays avaient promis de reconnaître son opposant Juan Guaido comme "président en charge". C'est ce que Londres, Paris ou encore Madrid ont annoncé lundi 4 février. "Les Vénézuéliens ont le droit de s'exprimer librement et démocratiquement. La France reconnaît Juan Guaido comme président en charge pour mettre en œuvre un processus électoral. Nous soutenons le groupe de contact, créé avec l'UE, dans cette période de transition", a estimé Emmanuel Macron. Le chef de file de la France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a réagi sur Twitter à l'annonce du chef de l'État. "Ce n'est pas la France qui soutient les putschistes au Venezuela. C'est seulement Macron. Résistez ! Avec L'ONU nous disons : Nicolas Maduro est le président du Venezuela. Paix et liberté pour le Venezuela !", a écrit le député des Bouches-du-Rhône. Pour Manon Aubry, tête de liste de LFI aux élections européennes, "ni l'un ni l'autre" de Nicolas Maduro ou Juan Guaido, "n'est en mesure d'organiser des élections". "Des pays tiers ont proposé une médiation. L'ONU a proposé une médiation, je pense que c'est cette piste qui doit être privilégiée", a-t-elle déclaré lundi matin sur BFMTV. "Nous considérons que Juan Guaido a la légitimité pour provoquer des élections présidentielles", avait déclaré plus tôt dans la matinée le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, au micro de France Inter. "Il faut sortir de cette crise par une élection présidentielle complètement légitime", avait-il ajouté.
Lundi, plusieurs pays, dont la Grande-Bretagne et la France, ont reconnu Juan Guaido comme président du Venezuela. Jean-Luc Mélenchon a de son côté apporté son soutien à Nicolas Maduro.
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Depuis quelques jours, le désormais célèbre dauphin baptisé "Zafar" par les amateurs de sports nautiques apeure les baigneurs de Landévennec (Finistère). En rut, le dauphin s'en est pris aux embarcations et aux baigneurs. La semaine dernière, une jeune femme a été projetée dans les airs par le dauphin. Connu des kayakistes et skippeurs, le dauphin "Zafar" avait ses habitudes à Plougastel-Daoulas (Finistère), en rade de Brest, mais a récemment migré vers Landévennec et a également changé de comportement. En pleine période de de reproduction, le mammifère marin a tendance à se frotter aux embarcations et à poursuivre les nageurs. Pour éviter tout accident, le maire de la de Landévennec, Roger Lars, a signé un arrêté interdisant la baignade. Une mesure que salue Océanopolis, aquarium et parc de loisirs à Brest, et qui rappelle de ne "jamais trop s'approcher d'un mammifère marin à pleine maturité sexuelle".
Le maire de la de Landévennec, Roger Lars, a signé un arrêté interdisant la baignade.
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59 personnes ont été tuées dans la fusillade la plus meurtrière des États-Unis.Joseph Lombardo, le shérif de Las Vegas a annoncé que son service enquêtait sur la fuite de ces images, diffusées par une chaîne locale de Boston, ainsi que par le magazine allemand Bild.Une photo montre le corps sans vie du tireur allongé près de deux fusils d'assaut, équipés d'une lunette de visée. Près de son pied, sur une table, se trouve ce qui semble être une lettre écrite à la main. Un peu plus loin, la massette qui a probablement été utilisée pour briser les vitres de la chambre. Les autres photos montrent plusieurs chargeurs empilés sur un sol déjà jonché de douilles, et d'autres fusils d'assaut posés sur des fauteuils. Une photo prise en dehors de la chambre montre des impacts de balle dans la porte d'entrée. Joseph Lombardo, a par ailleurs expliqué que Stephen Paddock avait installé des caméras et des appareils photo, à l'intérieur comme à l'extérieur de sa chambre située au 32e étage du Mandalay Bay. L'un de ces appareils était installé sur un chariot repas dans le couloir, apparemment dans le but de surveiller l'arrivée des forces de l'ordre.NEUF MINUTES DE FUSILLADEAucun élément ne permet pour l'instant d'établir pourquoi ce retraité de 64 ans, joueur invétéré et sans affiliation politique ou religieuse connue, a tiré pendant environ neuf minutes dimanche soir sur les 22.000 spectateurs du festival de country Route 91 Harvest, a également déclaré le shérif de Las Vegas.Le groupe Etat islamique a revendiqué l'attentat mais sans apporter de preuve décisive. Mardi soir, le président américain Donald Trump a indiqué n'avoir "aucune idée" s'il y avait un lien avec l'EI. Joseph Lombardo a cependant confirmé que le tireur avait modifié au moins un de ses fusils d'assaut semi-automatiques, pour qu'il fonctionne comme une arme automatique, capable de tirer des centaines de balles en une minute sans avoir à actionner constamment la détente avec le doigt.
C'est une plongée glaçante dans le repaire du tireur. Sur des photos diffusées mardi 3 octobre dans la presse, on découvre la chambre de l'hôtel Mandalay Bay depuis laquelle Stephen Paddock a commis le massacre de Las Vegas, dimanche soir.
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Dans une tribune publiée vendredi 20 avril sur le sur site de Franceinfo, le député LREM Jean-Michel Clément, ancien député PS, redit son opposition à la loi asile et immigration actuellement examinée à l'Assemblée nationale. "Contrairement à une idée trop répandue, la France n'est pas 'submergée', écrit le Jean-Michel Clément. Le solde migratoire est le même depuis 1975. Ceux qui frappent à notre porte sont vingt fois moins nombreux qu'au Liban, dix fois moins qu'en Allemagne. Notre pays de 67 millions d'habitants pourrait parfaitement prendre sa part et l'assumer, si nous le décidions ; et si nous décidions d'allouer 'le budget du non-accueil' à un traitement digne des personnes arrivant sur notre sol". "Nous allons continuer de transformer de très nombreux exilés en des personnes instables, insécurisées sur le plan juridique, regrette-t-il. Cette clandestinité nourrira les simplismes et les amalgames inhumains". Concernant les 90 jours de rétention administrative, le député dénonce "des conditions de promiscuité comparables à celles des maisons d'arrêt surpeuplées". "Alors que ces hommes et ces femmes - pire, parfois avec enfants - n'ont commis aucune infraction ou délit pénal ! Quel est alors le sens de cet enfermement ? ", lâche-t-il. Bientôt exclu du parti de la majorité ?Le député de la Vienne a déjà fait savoir qu'il voterait contre la loi qui devrait être approuvée ce week-end en première lecture. Richard Ferrand, le chef de file LREM à l'Assemblée nationale a déjà prévenu que "si s'abstenir était un pêché véniel, voter contre un texte était un pêché mortel qui méritait l'exclusion". Selon les informations du Parisien, le patron du groupe présidentiel s'apprêterait à exclure Jean-Michel Clément. Selon le quotidien, celui-ci sera bientôt convoqué pour s'expliquer devant les députés LREM. "Les règles statutaires sont claires : tout le monde peut faire valoir ses raisons, mais ensuite, c'est la position majoritaire du groupe qui prévaut. Sinon, c'est l'anarchie. On peut s'abstenir, mais pas voter contre", fait-on savoir dans l'entourage de Richard Ferrand.Plusieurs autres voix dans les rangs LREM se sont fait entendre contre ce projet de loi porté par Gérard Collomb comme celle du député Matthieu Orphelin. Plusieurs membres de la majorité iront-ils jusqu'à voter contre le texte ? "Il y en a qui ne se sont pas exprimés, mais qui n'en pensent pas moins. Iront-ils jusqu'à dire leur désaccord comme moi, je vais le faire en votant contre, ou vont-ils se contenter de s'abstenir ? Je crois que dans ce texte l'abstention sera aussi importante à observer", a analysé sur Europe 1 vendredi matin le député frondeur.
Alors que la loi asile et immigration devrait être votée ce week-end à l'Assemblée, le député LREM Jean-Michel Clément, opposé à la loi, fait le tour des médias pour faire valoir son point de vue contre une loi qu'il juge trop "policière". Il répète qu'il votera contre son camp.
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Les cas de Covid-19 se multiplient ces dernières semaines en France, et les étudiants ne sont pas en reste. La faculté de médecine de Montpellier a suspendu mardi 15 septembre une partie de ses cours, une soixantaine d'étudiants ayant été testés positifs au Covid-19 après une soirée étudiante. La veille, l'école d'ingénieurs "Télécom Physique Strasbourg", située à Illkirch-Graffenstaden, au sud de Strasbourg, a décidé de fermer ses portes jusqu'au 24 septembre après qu'une cinquantaine d'étudiants ont été testés positifs, tandis qu'à Rennes, 43 cas ont été ont été confirmés chez des étudiants en médecine, pharmacie et odontologie de l'université de Rennes 1. A Toulouse, 127 étudiants de l'Institut national des sciences appliquées (Insa) sont positifs au COvid-19, rapporte France Bleu. Depuis mercredi, tous les cours ont lieu à distance pour une durée de deux semaines minimum.En tout, des cas de Covid-19 ont été recensés dans une dizaine d'établissements de l'enseignement supérieur, a indiqué lundi la ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal. Selon le syndicat étudiant Unef, contacté par l'AFP, il s'agissait de 13 établissements: "Sciences Po Reims, l'Ecole des mines de Nancy, l'Ecole centrale à Lyon, l'ICAM à Toulouse, l'université de Nantes en 2e et 3e année de médecine, Sciences Po Lille, l'université catholique de Lille, l'IAE de Marseille, l'université d'Amiens, l'université Rennes I, l'université de Nice, de Poitiers et de Bordeaux".Selon le ministère, "les dernières données confirment que la multiplication de nouvelles contaminations est majoritairement liée à des rassemblements privés (soirée étudiante, privatisation de bars...) associés à un relâchement des consignes sanitaires notamment des gestes barrières". "Je sais à quel point le contexte actuel est difficile pour vous tous, et tout particulièrement pour celles et ceux qui ont été privés de lien social du fait de la Covid-19 ces derniers mois. Hélas, nous pouvons tous être exposés. C'est pourquoi j'en appelle à votre engagement collectif, à votre responsabilité individuelle", a demandé la ministre. "Il est important que les étudiants aient une vie sociale mais ils doivent faire extrêmement attention", a-t-elle insisté mardi. #BalanceTaFacPour la Fage, premier syndicat étudiant, "il y a certes une responsabilisation individuelle mais il faut aussi une responsabilisation collective. Il faut qu'on dote les établissements de manière à ce qu'ils aient les moyens d'assurer les cours". "Certains étudiants n'ont pas de masques, dans les amphis on compte parfois des centaine de jeunes... On a proposé de développer les centres de dépistage (au sein des universités ou des Crous)", a expliqué Paul Mayaux, vice-président de l'organisation étudiante.Face à la crise sanitaire, "l'université est livrée à elle-même puisqu'il n'y a pas de campagne de communication du ministère de l'Enseignement supérieur qui est arrivée", a déploré sur BFMTV la présidente de l'Unef, Mélanie Luce.Sur le campus de Villetaneuse (Seine-Saint-Denis) de l'université Sorbonne Paris-Nord, plusieurs cas de Covid-19 ont été recensés mais l'établissement est toujours ouvert, rapporte la chaîne d'info. "Dans notre promotion, on est 180 et il faut se dire qu'il n'y a pas forcément de distanciation, donc on est tous à côté. Il n'y a pas forcément de croix pour dire 'on s'assoit une place sur deux'. On est obligé de s'adapter, on a nos masques, on fait comme on peut", a expliqué une étudiante. Pour dénoncer les conditions d'accueil des établissements, des étudiants postent des photos sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #BalanceTaFac. On y voit des couloirs, amphis et autres salles de classes bondées, peuplées d'élèves masqués, sans distanciation physique.
Ces derniers jours, des cas de Covid-19 ont été recensés dans une dizaine d'établissements supérieurs du pays, "majoritairement liés à des rassemblements privés", selon le ministère de l'Enseignement supérieur. Les étudiants dénoncent eux les conditions d'accueil des établissements
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L'aggravation de l'épidémie de coronavirus a poussé l'exécutif à réagir par le biais d'un projet de loi d'urgence sanitaire, qui doit finir d'être validée par le Parlement ce vendredi 20 mars. En parallèle de la volonté affichée de maintenir l'activité économique à flot en cette période de crise du Covid-19, la loi va comporter un volet modifiant temporairement les règles en matière de droit du travail. Selon un amendement adopté au Sénat, l'employeur pourra ainsi imposer la prise de congés payés pendant la période de confinement, dans la limite d'une semaine. Cette disposition devait encore recevoir le feu vert de l'Assemblée nationale. Selon le Code du travail, actuellement, sans accord collectif, l'employeur ne peut "modifier l'ordre et les dates de départ moins d'un mois avant la date prévue". "Notre intention dans la loi c'est de réduire ce délai, pour qu'on puisse s'adapter à la situation actuelle. C'est donc une disposition qui existe déjà dont on réduit les délais de mise en œuvre", a expliqué vendredi matin la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, sur BFMTV et RMC. L'article 7 du projet de loi d'urgence sanitaire présenté par le gouvernement habilite celui-ci à "permettre à tout employeur d'imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d'une partie des congés payés, des jours de réduction du temps de travail et des jours de repos affectés sur le compte épargne temps du salarié" en dérogeant "aux délais de prévenance et modalités d'utilisation" définis dans le Code du travail, les conventions et accords collectifs ainsi que le statut général de la fonction publique. Le gouvernement pourrait donc, par ordonnance, permettre aux entreprises de fixer une partie des congés payés pendant la période de confinement.Six jours ouvrablesDans l'entourage de la ministre du Travail Muriel Pénicaud, on présentait cette mesure mercredi comme "un effort raisonnable" demandé au salarié alors que l'Etat "met en place un plan exceptionnel pour sauver l'emploi et éviter les licenciements". Dans les entreprises subissant les effets de la crise, cette mesure "serait financièrement favorable aux salariés, qui ne subissent pas de perte de rémunération lorsqu'ils sont en congé, à la différence de l'activité partielle", selon Alain Milon, président de la commission des Affaires sociales du Sénat.L'élu LR précise toutefois que "ces dérogations ne doivent pas permettre aux entreprises de requalifier unilatéralement en congés payés une période pendant laquelle les salariés sont contraints de rester chez eux, le cas échéant pour garder leurs enfants, qui ne saurait être assimilée à des vacances". Aussi, "dans un souci de proportionnalité", le sénateur a fait adopter un amendement limitant à six jours ouvrables "la durée des congés payés pouvant être imposés par l'employeur sans observer les délais de prévenance". Cet amendement doit encore être voté à l'Assemblée nationale qui débat du projet de loi ce vendredi. Le texte ne fixe cependant pas à ce stade de limite à l'imposition de prise de jours de RTT et de jours du compte épargne-temps. L'habilitation permet aussi au gouvernement de "modifier les conditions d'acquisition de congés payés". Le gouvernement n'a pas indiqué si cela visait les périodes de chômage partiel qui actuellement donnent droit à l'acquisition de congés payés.
Cette mesure est prévue dans le cadre de la loi d'urgence sanitaire présentée par le gouvernement.
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Lundi après-midi 17 décembre, alors qu'il faisait court, un professeur d'EPS du lycée Jacques Audiberti d'Antibes (Alpes-Maritimes) a fait un malaise cardiaque. Le quadragénaire s'est effondré alors qu'il donnait un cours de musculation, rapporte ce mardi France Bleu Azur. C'est la réactivité de quatre de ses élèves qui lui a sauvé la vie. En le voyant à terre, les lycéens, âgés de 17 ans, l'ont aussitôt placé en position latéral de sécurité et constaté qu'il ne respirait plus. L'un d'entre eux s'est précipité à l'infirmerie, tandis que son camarade prodiguait au professeur un massage cardiaque et qu'un autre utilisait le défibrillateur électrique. L'infirmière a ensuite pris le relais, avant l'arrivée des pompiers et de la police. L'enseignant a repris connaissance et a été transporté au centre hospitalier d'Antibes. Selon les secours, les élèves étaient parfaitement calmes et organisés. Sur Twitter, le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a félicité les jeunes. "C'est une histoire magnifique", a-t-il également dit sur BFMTV ce mardi matin, rappelant que les élèves avaient réalisé tous les gestes indispensables. "C'est une très belle histoire", a-t-il répété, rappelant qu'il avait signé un accord avec la Croix-Rouge pour développer les cours de secourisme.
Quatre élèves du lycée Jacques-Audiberti ont réalisé les gestes de premiers secours sur leur enseignant tombé en pleine séance d'EPS, lundi après-midi, rapporte France Bleu Azur. "Une très belle histoire", pour le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer.
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Un lieu chargé de symboles : Donald Trump a effectué quelques pas dimanche 30 juin en Corée du Nord en compagnie de Kim Jong Un, illustrant le rapprochement spectaculaire avec ce pays, même si le dossier nucléaire semble toujours dans l'impasse.Le président américain a réussi son pari, le numéro un nord-coréen ayant accepté à la dernière minute son invitation impromptue à le rencontrer dans la Zone démilitarisée (DMZ), le "no man's land" qui sépare les deux Etats depuis la fin de la guerre de Corée (1950-53).Donald Trump est devenu ce faisant le premier président américain en exercice à fouler le sol du régime stalinien. Accompagné de l'homme fort de Pyongyang, vêtu d'un costume Mao anthracite, le milliardaire américain a fait quelques pas en territoire nord-corén, avant de poser à ses côtés pour les journalistes sur la ligne de démarcation. "C'est un grand jour pour le monde", s'est-il félicité. De son côté, Kim Jong Un a espéré "surmonter les barrières" grâce à ses liens avec M. Trump. Troisième entrevue entre les deux hommesLa rencontre ne suffira probablement pas à régler le délicat dossier nucléaire nord-coréen. Mais le symbole est important pour deux pays qui se menaçaient mutuellement d'annihilation il y a encore un an et demi. Avant d'arriver samedi en Corée du Sud, il avait adressé via Twitter une invitation surprise à Kim Jong Un à venir lui dire "bonjour". Mais quelques heures à peine avant la visite de M. Trump à la DMZ, on ignorait encore si M. Kim se rendrait ou non au rendez-vous. "Il en a très envie", avait assuré Donald Trump, précisant que le président sud-coréen Moon Jae-in l'accompagnerait quoi qu'il arrive à la frontière. "Ce sera très court mais ça ne fait rien. Une poignée de mains signifie beaucoup", avait estimé le milliardaire américain.Il s'agit de la troisième entrevue entre les deux hommes depuis leur sommet historique de Singapour en juin 2018 et la rencontre ratée de Hanoï en février dernier.Kim Jong Un lui-même avait traversé la frontière l'an dernier lors de son premier sommet sur la DMZ avec son homologue sud-coréen. "Je serais très à l'aise de le faire, cela ne me poserait aucun problème", avait affirmé Donald Trump samedi. Une rencontre pour les caméras A son arrivée dans la DMZ, Donald Trump a visité sous un ciel gris une plateforme depuis laquelle il est possible d'observer le territoire de la Corée du Nord -- notamment un drapeau géant monté sur un mât de 160 mètres de haut."Il y avait un grand conflit ici avant notre rencontre de Singapour", a remarqué le dirigeant américain en direction de la presse. "Depuis, le danger a disparu", s'est-il félicité.De l'avis des experts, la rencontre ne devrait pas suffire à résoudre le délicat dossier de la dénucléarisation de la Corée du Nord, sur lequel achoppe le rapprochement avec Washington. L'administration Trump exige que Pyongyang renonce définitivement à son programme nucléaire avant d'envisager une levée des sanctions internationales, ce que le Nord refuse."Si cet événement s'était produit il y a plus d'un an, il aurait pu être considéré comme une percée psychologique", souligne le chercheur américain Joshua Pollack, du Middlebury Institute of International Studies."Mais maintenant? Une rencontre pour les caméras et sans ordre de jour ne fera rien pour effacer un an d'illusions et de déceptions", a-t-il estimé sur Twitter. Pour relancer les négociations, il faudrait "autre chose qu'une lettre d'une page et une nouvelle poignée de mains", estime l'expert, en référence aux échanges épistolaires entre MM. Kim et Trump.A l'exception de George Bush père, tous les présidents américains ont effectué une visite chargée de symbole sur la DMZ. Donald Trump aurait dû sacrifier à la tradition lors d'une première visite en Corée du Sud en 2017, mais le brouillard avait empêché son hélicoptère d'atterrir.
Pour la première fois de l'histoire un président américain a foulé le sol Nord-Coréen. Kim Jong Un a répondu à l'invitation surprise de Donald Trump dimanche et les deux hommes se sont retrouvés le temps d'une poignée de main sur la zone démilitarisée entre les deux Corées.
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Rarement une évasion a été aussi rocambolesque. A Hendaye dans les Hautes-Pyrénées, trois migrants sont parvenus à quitter leur centre de rétention administratif (CRA). Le Parisien révèle le plan parfaitement imaginé grâce à l'aide d'un des détenus, retenu six mois auparavant et donc au fait de la configuration du bâtiment.Aux alentours de quatre heures du matin, les trois hommes ont commencé à agir. La première étape consistait à enlever la poignée métallique de la porte de la salle où ils étaient. Ils se sont alors dirigés vers une chambre à la localisation stratégique. Une fois la fenêtre brisée, le plus périlleux a démarré pour ces migrants.Les jours précédents, ils avaient confectionné une corde faite de près de douze mètres de linge pour leur évasion. Utilisant une bouteille d'eau pour faire contrepoids, ils ont alors accédé à une cour de l'établissement inaccessible directement par les policiers en charge de la surveillance. Pour finir, ils ont tout de même franchi un mur haut de sept mètres.Une sécurité peu inspiréeSi le plan des trois détenus semblait parfaitement huilé, ils n'ont pas été gênés par une sécurité défaillante. L'alarme du centre n'a résonné qu'à six heures du matin, soit une heure et demi après le début de l'agitation. Une fois alertés, les policiers ont alors tenté d'intervenir. Supposés déverrouiller une échelle pour accéder à la fameuse cour, ils ont été retardés de plusieurs minutes. La raison ? Ils n'avaient pas pris la bonne clé.Depuis cette évasion, deux des trois évadés ont été interpellés. Pendant ce temps, les premières informations recueillies par la brigade mobile de recherche (BMR) accablent le système de sécurité du centre.Dans la nuit, aucune ronde n'aurait eu lieu. Une anomalie difficilement justifiable. «Le problème, c'est qu'on est en période de ramadan, et qu'au vu des effectifs policiers, nos collègues préfèrent ne pas rentrer dans le centre au milieu de la nuit pour éviter toute tension», explique un connaisseur des lieux au Parisien. Une fouille complète a eu lieu, permettant de mettre la main sur un couvercle de boîte de conserve taillé artisanalement et dissimulé sous un matelas.Les policiers appellent à l'aideCet événement met en lumière les manques relevés par la police depuis un certain temps. Il n'existe pas d'alarme dans la cour où les détenus sont passés, ni au niveau des fenêtres des chambres. Le mur franchi ne dispose toujours pas de grillages. «On nous dit depuis assez longtemps que rien ne se fera avant le sommet du G7 de Biarritz», confie un policier au Parisien.La gestion des migrants pose aussi question. Police aux frontières (PAF) ou associations d'aide aux migrants, tous s'accordent à constater que le système en place regorge de failles. «Quand on regarde bien, ceux qui sont expulsés, ce sont souvent les gens bien. En revanche, pour ceux qui ont un casier, il ne se passe rien ou pas grand-chose», constate un membre de la PAF. «A partir du CRA d'Hendaye, un seul avec un casier judiciaire a quitté le territoire depuis septembre.»Preuve en est avec le retenu accusé d'avoir donné les informations nécessaires à l'évasion. Il a été libéré administrativement ce mardi 23 mai, puis immédiatement placé en garde à vue. Déjà passé par un CRA, aucun pays ne l'avait reconnu comme l'un de ses ressortissants. « Du coup, il ressort avec une obligation de quitter le territoire, qu'il n'exécutera jamais», explique ce policier. Une situation floue que les policiers continuent de dénoncer.
Dans la nuit du 17 au 18 mai, trois migrants ont usé des techniques les plus surprenantes pour s'évader d'un centre de rétention.
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Il n'y aura normalement pas de montée des marches à Cannes en 2020. C'est l'hebdomadaire Le Point qui révèle cette annonce majeure dans le monde du cinéma. Si l'organisation de l'évènement n'a pas encore communiqué officiellement, le festival de Cannes ne pourra pas se tenir comme prévu entre le 12 et 23 mai prochain. La menace que représente le coronavirus a forcé son annulation. De longues discussions ont eu lieu entre les organisateurs du festival, la ville de Cannes et les services de l'Etat. L'annonce officielle devrait avoir lieu le 16 avril lors de la traditionnelle conférence de presse annonçant normalement la sélection des films et l'identité des membres du jury. « Il sera très difficile pour ne pas dire impossible de sélectionner des films venus de Chine, de Corée, d'Iran, d'Italie et sans doute d'une cinquantaine de pays, sachant que les acteurs ne pourront pas se déplacer », confie un membre du conseil d'administration au Point. « Projeter des films dans une salle de 2 000 places ne sera pas autorisé et la moindre alerte inquiétera les festivaliers. » Une décision partagée par le monde du cinéma Si cet historique évènement ne se tient pas comme prévu, cette décision ne devrait pas susciter de réelles contestations. « Et quid de Spike Lee, président du jury ? On connaît l'hypersensibilité d'Hollywood aux questions d'hygiène. Je le vois mal rester quinze jours au milieu d'une foule à l'état sanitaire non contrôlé », rajoute cette source. Le Point révèle d'ailleurs que plusieurs majors américaines ont donné pour ordre à leurs employés de ne plus recevoir d'invités à l'intérieur de leurs locaux et ce, depuis le début du mois de mars. Elles ont aussi annulé toutes les réunions et voyages pour une durée indéterminée. Outre l'industrie du cinéma, les sponsors phares du festival (Renault, L'Oréal, Chopard) poussent en coulisses pour que l'impasse soit faite sur l'édition 2020. Ils préfèrent ne pas prendre de risques plutôt que d'être associés à un évènement qui pourrait s'arrêter d'un coup en cas de propagation du virus durant la quinzaine. L'édition 2019 avait attiré environ 60 000 visiteurs par jour. L'hypothèse d'un report plutôt qu'une annulation n'est pas encore totalement mise de côté selon Le Point. Cependant, cela supposerait de décaler le festival de Cannes à l'automne, soit à la même période que d'autres comme celui d'Angoulême, de Deauville, de Venise, de New York etc... Cela s'apparaît donc compliqué à mettre en place.
Selon les informations du Point, le festival de Cannes n'aura pas lieu en 2020. Les risques de contamination au coronavirus poussent les organisateurs à ne pas prendre le moindre risque.
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"Si on est loin derrière le RN, ça va secouer". Les membres du gouvernement et les piliers de la majorité se préparent à l'idée, en cas de défaite nette de LREM aux élections européennes, à un vaste remaniement. Un mouvement qui pourrait même emporter le Premier ministre. Et en coulisses, les manœuvres ont commencé."Si on est dans un mouchoir de poche, devant ou derrière, je ne vois pas de remaniement. Si on est trois à quatre points derrière le RN, ou en dessous de 20, il y aura un mouvement de questionnement dans la majorité. Forcément il faudrait changer le dispositif", juge un pilier de la Macronie. Les sondages, qui ont longtemps mis LREM et RN au coude-à-coude, placent désormais tous la liste du lepéniste Jordan Bardella en tête, avec une avance allant de 0,5 à 2 points et une dynamique en sa faveur."Il faudra virer les deux-tiers du gouvernement""Si on est à touche-touche avec le Rassemblement national, c'est un succès !", estime un un membre du premier cercle du président, cité par Le Parisien. "Si on était en-dessous (de 20%), ce serait le chamboule-tout", tranche de son côté un stratège de la majorité. "Si on est deuxième dimanche, il faudra remanier très largement et virer les deux tiers des ministres", assure carrément un membre du gouvernement dans les colonnes du quotidien. Et dans cette atmosphère fébrile, les tensions réapparaissent au sein de l'équipe gouvernementale. "Ça se tend, les ministres de gauche se font massacrer, confie un macroniste. Comme les ministres de droite sont plus organisés politiquement, ils tapent comme des malades et poussent leur avantage. Macron a peur de les perdre, alors il laisse faire." Selon ce proche du président, Jean-Yves Le Drian, Didier Guillaume, Nicole Belloubet ou Florence Parly sont particulièrement ciblés.Considéré comme ayant sa place assurée à Matignon il y a peu, le Premier ministre Édouard Philippe voit aussi la question de son avenir posée en coulisses. "Si on est loin derrière le RN, ça va secouer. Il y aura un gros remaniement. Je ne vois pas comment on peut perdre les élections dans ces conditions sans changer de Premier ministre", juge un ministre. Cependant, d'après Le Parisien, Emmanuel Macron répète à ses proches qu'il veut maintenir le Premier ministre en poste au moins jusqu'à l'automne, avant le lancement de la campagne pour les municipales. Il n'empêche que le locataire de Matignon a perdu de son crédit au sein de la macronie. "Le PM est démonétisé, il a avalé trop de couleuvres, confie au Parisien un proche du président. (...) Il n'est plus crédible." Parmi les torts qui lui sont reprochés, notamment, son manque d'implication dans la gestion de la crise des "gilets jaunes". "Quand tu viens de lâcher 17 milliards, tu veux un Premier ministre qui fait le service après-vente", s'insurge ce même proche."Je n'ai jamais fait de politique fiction. J'ai toute confiance en Édouard Philippe qui s'engage sans compter auprès des proeuropéens", a affirmé lundi Emmanuel Macron dans son interview à la presse régionale, refusant de s'étendre sur les conséquences politiques d'une deuxième place. Quant à Édouard Philippe, il entend poursuivre sa mission, mais n'est pas homme à s'accrocher pour le poste, souligne son entourage: "il n'est pas là pour prospérer, il est là pour faire". Interrogé jeudi sur Cnews, Édouard Philippe a rappelé que "la présence d'un Premier ministre à Matignon tient à la confiance que lui accorde le président, au soutien que lui octroie la majorité et à sa volonté de continuer à mettre en œuvre une politique". "Ces trois conditions, elles sont là", a-t-il affirmé Pourquoi Édouard Philippe semble inoxydable ?par CNEWSDans le huis clos du Conseil des ministres, Emmanuel Macron avait toutefois mis la pression à ses ministres le 30 avril, en laissant entendre qu'il y aurait des changements dans l'équipe gouvernementale en cas de défaite aux européennes. D'autant qu'un remaniement post-européennes est évoqué de longue date, notamment pour les ministres têtes de listes aux municipales. "Il y a une mise sous pression phénoménale du gouvernement. En gros, si on est deuxième, Emmanuel Macron dit qu'il est capable de tout faire péter", affirme un conseiller ministériel. "Le problème c'est qu'en s'exposant autant (dans la campagne), il ne se met pas en position d'avoir un fusible", souligne le même cadre.Utile pour séduire l'électorat et les sympathisants de droite, stratégiques pour nourrir les rangs macronistes, Édouard Philippe, malgré l'usure de deux ans à Matignon et de la crise des "gilets jaunes", peut encore bien servir, au moins jusqu'au prochain scrutin, pointent de nombreux membres de la majorité. D'autant que le vivier de Premiers ministrables est limité. "Je ne vois pas du tout Philippe menacé. Je n'ai jamais vu un couple président-Premier ministre aussi fusionnel. Si le Premier ministre fait la réforme des retraites, la révision constitutionnelle, l'assurance-chômage, la fonction publique, la santé et l'école, il pourra dire 'j'ai fait le job'", soutient le patron des sénateurs en Marche, François Patriat.
Emmanuel Macron a mis une "pression phénoménale" à son gouvernement et se dit "capable de tout faire péter" en cas de défaite, selon un conseiller ministériel.
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"Je suis assez actif sur les réseaux sociaux et je n'accepte pas d'être traité des noms dont on m'a traité ces dernières semaines, de manière négative, parce que je ne m'agenouille pas", lors des manifestations contre le racisme organisées avant les départs des Grand Prix de F1, a-t-il affirmé jeudi lors d'une conférence de presse en marge du Grand Prix des 70 ans de la F1 ce weekend à Silverstone.Il avait quelques instants auparavant publié un message sur Twitter où il déclarait notamment: "il est très triste de voir comment certaines personnes manipulent ce que je dis pour faire de gros titres et faire croire que je suis raciste. Je ne suis pas raciste, je déteste absolument le racisme et le racisme est dégoûtant". "A tous ceux qui utilisent mon image pour promouvoir leurs mauvaises idées, je leur demande poliment d'arrêter. Je ne fais pas de politique et je ne veux pas être impliqué là-dedans", a encore écrit le pilote Ferrari de 22 ans.A l'initiative du sextuple champion du monde britannique Lewis Hamilton, le seul pilote de F1 noir, des cérémonies sont organisées avant le départ des Grand Prix où les pilotes sont appelés à manifester contre le racisme. Sur les 20 pilotes engagés dans le championnat du monde, quelque 70% s'agenouillent mais certains, comme Charles Leclerc, ont choisi de ne pas le faire.Le Danois Kevin Magnussen, qui pilote pour Haas, avait commencé par s'agenouiller avant les premières courses de la saison mais a choisi de ne plus le faire lors du Grand Prix de Grande-Bretagne la semaine dernière sur ce même circuit de Silverstone."Je veux assurer que je supporte le mouvement visant à mettre fin au racisme mais pas des organisations politiques comme le mouvement +Black Lives Matter+. Je veux me distinguer de cela et favoriser davantage le mouvement pour mettre fin au racisme", a-t-il déclaré jeudi lorsqu'interrogé sur cette décision.Le président de la Fédération internationale de l'automobile, Jean Todt, avait estimé dans un interview à l'AFP il y a quinze jours que chaque pilote avait la liberté d'exprimer ou non ses convictions."Il y en a qui peuvent avoir envie de se mettre à genou (pour protester contre le racisme), il y en a qui peuvent ne pas avoir envie de s'exprimer de la même manière. C'est la liberté, la démocratie", avait-il notamment déclaré.
Le pilote monégasque de Formule 1 Charles Leclerc s'est insurgé jeudi contre les accusations de racisme à son encontre portés sur les réseaux sociaux, affirmant que ses prises de position devaient être considérées comme "apolitiques".
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À un mois quasiment jour pour jour du premier tour des élections municipales, qui auront lieu le 15 mars prochain, Benjamin Griveaux, le candidat investi par LREM pour Paris, a présenté ce jeudi 13 février ses ambitions pour la capitale. Au programme : lutter contre la solitude, ou encore revenir à la semaine de quatre jours à l'école. "Cette ville est souvent pensée pour des actifs... pas pour les aînés", a-t-il notamment regretté devant ses soutiens et têtes de listes investies dans les arrondissements.L'ex-porte-parole du gouvernement a égrené ses mesures devant une centaine de soutiens. Il a également donné la parole aux maires sortantes qui l'ont rejoint - Delphine Bürkli (IXe arrondissement), anciennement LR, Florence Berthout (Ve arrondissement), ou encore Frédérique Calandra (XXe arrondissement), anciennement PS. Pierre-Yves Bournazel, ancien candidat à la mairie de Paris, était lui aussi présent.Un "mercredi au vert" pour les enfantsBenjamin Griveaux a pointé "la solitude des aînés" ainsi que celle "des parents célibataires", parmi lesquels "70.000 femmes à Paris" à qui "nous devons la même possibilité de liberté qu'à n'importe quel autre Parisien". Dans cette optique, le candidat - qui est à la 3e place, derrière Anne Hidalgo et Rachida Dati, selon plusieurs sondages - s'est engagé à mettre en place "auprès de chaque maire d'arrondissement, un adjoint chargé de la lutte contre la solitude et l'anonymat". Il souhaite, par exemple, "développer des programmes d'Ehpad à domicile" et assurer "un répit de 10 jours par an pour les aidants familiaux, en prenant en charge la personne aidée, chez elle ou en établissement spécialisé". Autre proposition pour que les personnes âgées ne soient pas contraintes de quitter la ville, le lancement d'un "plan massif de sécurisation, d'accessibilité et rénovation des trottoirs".Concernant les enfants, Benjamin Griveaux souhaite "revenir à la semaine de quatre jours" et instaurer un "mercredi au vert", où "les enfants des écoles pourront aller se promener en forêt, visiter un château, découvrir un musée ou une ferme pédagogique", a continué le candidat LREM. Enfin, comme l'ajoute 20 Minutes, Benjamin Griveaux a également répété son ambition de rendre Paris "propre en 100 jours", notamment par la création de "1.000 managers de rues".
Benjamin Griveaux, candidat La République en marche (LREM) à la mairie de Paris, a présenté ses propositions ce jeudi 13 février face à ses soutiens et têtes de listes investies dans les arrondissements. Il a notamment évoqué la lutte contre la solitude, ou encore les rythmes scolaires.
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